Version 2 au
27/04/2018
L'IMPULSION SOCIALE ANTHROPOSOPHIQUE
Passages de l'œuvre complète de Rudolf Steiner - Volume 8
Cette page remplace celle de l'édition allemande du printemps
2003 par une version modifiée et augmentée déjà
disponible en allemand en impression à demande depuis
décembre 2013.
On pourra aussi lire la transcription de la conférence de Jean-Marc Decressonnière
qui "renverse" en novembre 2017 l'ordre historique présenté
ici.
Ancienne
version française - Version en ligne sur le site allemand
Compilé et annoté par Sylvain
Coiplet
Traduction française par François Germani et les éditeurs
francophones collaborants.
Préambule
Rudolf Steiner a déjà tenté d'écrire et de parler sur la
question sociale avant le temps de la tri-articulation (1917
– 1921). Mais cela n'a pas rencontré d'intérêt particulier,
et ainsi cela est resté fragmentaire.
Les anthroposophes venant après ont bien eu deux raisons
pour s'intéresser pour ces déclarations précoces. Pour
quelques anthroposophes, il s'agissait d'éclairer le rapport
de ces déclarations à la proposition de tri-articulation.
Pour d'autres, il s'agissait d'éviter la confrontation avec
la tri-articulation sociale et de se limiter à des
déclarations qui apparemment leur conviennent plus, ou
offrent au moins plus de jeu pour des interprétations plus
confortables. L'ainsi nommée « impulsion sociale
anthroposophique » est malheureusement souvent
présentée d'après cela.
Ici devrait consciemment être tenté d'éclaircir, comment
de telles déclarations, qui furent en partie seulement
faites vis-à-vis d'un public intéressé à partir de
l'anthroposophie, se situent à la tri-articulation sociale,
que Rudolf Steiner a présenté devant le large public. Pour
cela, des déclarations de 1922, après que le mouvement de
tri-articulation sociale ait échoué, aident de manière
évidente et sont particulièrement riches. Ces déclarations
seront à nouveau volontiers interprétées ainsi que Rudolf
Steiner explique avec cela son apport comme n'existant plus.
Avec cela on n'aurait plus besoin de s'occuper plus avant.
Mais qui s'en occupe malgré cela, remarque que ces
déclarations tardives peuvent éclairer toutes les
précédentes en leur rapport interne.
Loi sociologique fondamentale - 1898
Si on voit la loi sociologique fondamentale à la lumière
des déclarations ultérieures de Rudolf Steiner, elle se
réfère à l'individualisation croissante dans la vie de
l'esprit. Mais, autrefois, la formulation la laisse
cependant ouverte. Il manque en ce temps encore une
présentation systématique de la tri-articulation
sociale. Par conséquent, il ne sera parlé que de
l'individualisation et pas mentionné qu'elle ne s’étend pas
sur le social en général, mais sur le spirituel. Cela
aurait aussi été mal compris parce que beaucoup – même
encore aujourd'hui - saisissent le spirituel plus
étroitement que Steiner. Steiner s’expose de ce fait
alors de préférence au danger de surtendre l’arc et se
prononce pour une anarchie spirituelle, politique et
économique. '"Anarchie" est écrit ici pour la liberté
individuelle et la «politique» tout comme «économie» pour
tout ce que les deux revendiquent chaque fois pour soi, mais
appartient en fait à la vie de l’esprit.
La question sociale
Liberté et société
Sur la loi sociologique fondamentale
La date que j'ai calculée pour les deux
essais précédents n’est peut être pas exacte. Elle ne
va pas, au moins, avec la date de la lettre suivante.
Lettre 534 à John Henry Mackay
Loi sociale principale - 1905
Science de l'esprit et question sociale
(Lucifer-Gnosis)
« Sur encore d'autres d'aspects supplémentaires
» ne fut malheureusement plus allé par défaut
d'intérêt du lecteur. Dans quelques conférences de l'époque
Rudolf Steiner revient sur le thème et introduit quelques
aspects complémentaires.
La question sociale et la Théosophie
Confrérie et la lutte pour l'existence
Un motif pour les déclarations de Rudolf Steiner sur la
question sociale n'a finalement pas été la révolution
échouée de 1905 en Russie. Pour les travailleurs d'alors
elle avait eu un effet de signal. Mais pas pour la
bourgeoisie qui rapidement était retournée à l'ordre du
jour. Rudolf Steiner était en ce temps-là actif comme
professeur à l'école de formation des travailleurs de
Berlin, mais devait cependant abandonner cette activité,
contre la volonté de ses élèves, parce que son cours
d'histoire n'était pas assez matérialiste pour la direction
d'école marxiste.
Aux théosophes, qui tout de suite avaient commencé à
s'intéresser à Steiner, ses explications avec la théorie de
la plus-value et la théorie de lutte des classes de Marx
n'étaient par contre pas assez ésotériques. Il pouvait
encore se donner autant de peine de relier la question
sociale avec la question de la réincarnation et du karma.
Son point de départ n'était pas assez égoïste en ce
temps-là, pour les spirituellement intéressés. Quand il
aurait voulu devenir aussi pratique, il aurait donc dû
parler préférence sur « Homme, femme et enfant »
ou sur l'alimentation, cela aurait vraiment aidé les gens.
On peut donc comprendre pourquoi il y a besoin de plus de
deux ans jusqu’à ce qu'il revienne à parler sur le thème de
la question sociale.
Profession/métier et gagne-pain
Science de l'esprit et question sociale
(Hambourg)
Loi sociologique fondamentale et loi sociale principale
Les deux lois précédentes pourrons facilement être
comprises ainsi qu'elles se contredisent. Mais Steiner ne
voit pas cela ainsi. Pour lui la loi sociale principale
présuppose la loi sociologique fondamentale. La loi sociale
principale ne peut en fait pas provenir d'associations non
libres, mais seulement d'individus qui se mettent ensemble
librement, pour réaliser le social.
La loi sociale principale présuppose
la loi sociologique fondamentale
Quand Steiner pense, que, dans les « Points
fondamentaux », il décrit sur quel chemin la loi
sociale principale pourra être réalisée, alors il pense bien
les association décrites là. Il l'a aussi visé dans les
faits dans les conférences de Zurich qu'il a placé à la base
de ses « Points fondamentaux ». Seulement que là,
il ne parle pas seulement d'associations, mais aussi de vie
de droit démocratique comme condition de la loi sociale
principale.
Loi sociale principale et
tri-articulation sociale
Déterminer le rapport entre la loi sociale principale
(1905) et la tri-articulation sociale (1919) place de
nombreux interprètes devant de difficiles problèmes.
Une des questions principales est en cela jusqu'où la loi
sociale principale va avec l'altruisme économique et si en
cela ça va même encore plus loin que la tri-articulation
sociale. La séparation entre travail et revenu est-elle
aussi absolue dans la tri-articulation que dans la loi
sociale principale? La tri-articulation ne représente-t-elle
pas une régression dans la pensée de Rudolf Steiner? Ne
devrait-on pas se tenir de préférence à sa loi sociale
principale et prendre position pour un revenu de base
inconditionnel – comme un premier pas vers la vraie
séparation entre travail et revenu?
À ces problèmes d'interprétation contribue le fait que
Rudolf Steiner en 1905 – autrement qu'en 1919 – devait
fortement accepter l'usage langagier d'alors. En ce temps-là
on pensait avec l'expression « vie sociale » en
première ligne la vie de l'économie. La loi sociale
principale est avec cela une loi principale économique. Mais
comment cela se tient-il avec les expressions
« travail » et « revenu »? Steiner
comprend-il en 1905 sous travail la même chose qu'il
comprend en 1919 sous travail ? En 1919 il voit donc la
question du travail comme une question de la vie de droit
démocratique. En 1905 on cherche en vain dans l'article sur
la loi sociale principale le mot vie de droit. Et exactement
aussi peu se tient pas là le mot vie de l'esprit. Comment
devrait-on s'orienter?
Autrement que beaucoup pensent, Steiner ne parle pas en
premier en 1919, mais déjà en 1905 d'une tri-articulation
sociale. Toutefois sous d'autre signes avant coureurs que
plus tard. A cette version précoce de la tri-articulation
sociale appartient – à côté de la fraternité dans le corps,
qui se tient au point central de la loi sociale principale -
l'égalité en esprit et la liberté de l'âme – qui ici seront
aussi toutes les deux évoquées. Steiner compte les deux aux
conditions de la loi sociale principale. Qui veut s'engager
au sens de la loi sociale principale doit en effet créer une
motivation au travail indépendante du revenu.
En 1919, Steiner ne cherche plus cette motivation au
travail dans l'égalité en esprit et dans la liberté de
l'âme, mais dans la vie démocratique et dans la vie libre de
l'esprit. La question après le rapport entre la loi sociale
principale et la tri-articulation sociale sera à cause de
cela – vu de plus près – la question du rapport interne
entre les deux variantes de la tri-articulation sociale.
Mais Rudolf Steiner as-t-il dit son dernier mot en
1919 ?
Des lecteurs attentifs indiquent sur ce qu'en 1922, donc
après le temps de la tri-articulation, Rudolf Steiner parle
de la propagation d'une « spiritualité œuvrant
unitairement » comme une condition préalable nécessaire
qui doit être remplie avant que puisse être pensé à amener
les humains à se rassembler en associations. Ici se
rassemblerait donc de nouveau esprit et égalité. Avec la
« spiritualité œuvrant unitairement » avec quoi
naturellement serait pensé l'anthroposophie, viendrait à
honorer de nouveau« l'égalité dans l'esprit » de
1905. La diffusion de l'anthroposophie serait la condition
préalable pour la loi sociale fondamentale, parle pour les
associations. On pourrait, après le temps de la
tri-articulation, de nouveau retourner à l'ordre du jour et
se concentrer avec bonne conscience de nouveau sur
l’anthroposophie. Avec cela serait assez contribué au salut
de l'humanité. La première parole de Rudolf Steiner sur la
question sociale aurait aussi été sa dernière.
Mais qui se regarde plus exactement la « parole
intermédiaire », la tri-articulation de 1919, remarque
n'importe quand que là, la « spiritualité œuvrant
unitaire » n'a jamais totalement disparue. En ce temps,
elle sera seulement évoquée/mentionnée dans un train de
respiration avec la vie libre de l'esprit et expliquée à
l'exemple du lieu où la vie de l'esprit est arrivée dans les
temps récents – la fabrique. Tout de suite là il y aurait
besoin d'une « spiritualité œuvrant
unitairement », mais avec quoi ne sont pensées aucunes
conférences anthroposophiques. L'entrepreneur devrait
beaucoup plus poser, ouvert aux collaborateurs, tous les
rapports d'affaire, y compris la comptabilité. Cela est sa
propre contribution à la « spiritualité œuvrant
unitaire », la contribution qu'il peut seulement
fournir, là où il se tient dans la vie. Réalise-t-il cela,
alors Rudolf Steiner et ses conférences anthroposophiques
auront fait correctement sens.
1 Plus précis là-dessus se trouve dans le volume
7 : « Idéaux sociaux : liberté, égalité,
fraternité ».
S'il pense à la place de cela que ses collaborateurs ne
sont pas encore arrivés aussi loin et se le fait-il de
préférence confortable avec des sympathisants en des
conférences anthroposophiques, alors se pose la question
d'où il est lui-même arrivé aussi loin et si a compréhension
de l'anthroposophie suffit vraiment à contribuer au salut de
l'humanité.
Loi sociale principale et jugement démocratique
Pas seulement les associations mais aussi la démocratie
présuppose l'individualisation pour Steiner. Cela est bien
la raison pourquoi ici la loi sociale principale présuppose
une correcte interaction entre vie de l'économie et vie de
droit démocratique.
Loi sociale principale par démocratisation
du droit du travail.
Loi sociale principale et la vie de droit.
La loi sociale principale n'a pas été
saisie.
Loi sociale principale et « spiritualité œuvrant
unitairement »
L'économie de monde réclame une
spiritualité oeuvrant unitairement.
Cercle commun de représentations des
preneurs de travail et donneurs de travail.
La fabrique a besoin d'une vie de l'esprit
commune.
Phénomène social primordial - 1918
Introduction
Le « phénomène primordial de la science sociale » comme
Steiner l'appelle lui-même, joue au sein du mouvement
anthroposophique peut-être encore un rôle plus grand que
l'approche de la tri-articulation sociale. Il se laisse
facilement réinterprété ainsi qu'il ne peut s’agir pour une
guérison sociale non d’institutions sociales, mais seulement
de l’humain. Non pour rien les interprétations placent
leur centre de gravité dans la pensée sur le phénomène
social primordial, et confondent souvent ce cas particulier
avec le phénomène social primordial absolument. Mais cela
vaut non seulement pour la pensée, mais exactement ainsi
pour le sentiment et la volonté.
On se rapproche déjà de la chose, quand on explique une
première fois pourquoi Steiner parle d'un phénomène
primordial. L’expression « phénomène primordial » vient
de Goethe - ce que Steiner lui-même met en avant
explicitement - et vient de sa théorie des
couleurs. Autrement que Newton, Goethe ne ramène pas
les couleurs seulement sur la lumière, mais sur une
interaction de la lumière et de l'obscurité. Cette
interaction, il l’appelle « phénomène primordial » et essaye
de montrer comment des phénomènes plus complexes, tels que
l'arc-en-ciel, se laissent expliquer par ce phénomène
primordial. Steiner fait la même chose avec la science
sociale. Pour lui, la société ne se laisse pas
expliquer, si on part seulement de l’humain
social. Elle consiste bien plus en une interaction de
socialité et d’anti-socialité. Il essaye de montrer par
cela que, tant dans la pensée que le sentiment et la
volonté, l’humain a aussi un fort côté anti-social.
Mais maintenant se pose la question de la santé
sociale. Afin de se développer personnellement plus
loin l’humain a besoin présentement d’une portion afférente
d'anti-socialité. Cela doit être capté par des
institutions qui créent un équilibre grâce à leur
socialité. Steiner voit là-dedans la tâche de la
tri-articulation sociale, qui est pour cela conditionnée par
le temps - ou dit positivement actuelle.
La plupart des déclarations qui peuvent directement être
amenée en lien avec le phénomène social primordial, se
laissent par contre facilement réduire à la perspective
individuelle. On ne voit pas facilement qu'il y a aussi là
dessous des passages où Steiner change constamment entre
perspective individuelle et de société. Et cependant on
pourrait le plus apprendre de ces passages. Qu'est-ce qu'a à
voir de surmonter l'antisocialité propre par l'éducation de
soi avec la tri-articulation sociale? Ne conduit-elle pas
tout de suite à l'avis de la nécessité d'une
tri-articulation sociale? Et inversement, le rejet plus ou
moins ouvert d'une tri-articulation sociale n'est il pas un
signe pour ce qu'avec cette éducation de soi, on n'en est
pas loin ?
Si on arrête de jouer l'un contre l'autre phénomène
social primordial et tri-articulation sociale, se donnent de
toutes nouvelles questions :
- Les exemples individuels que Steiner présente pour le
phénomène social primordial dans penser, sentir, et vouloir,
pris seuls, sont-il une bonne entrée dans la
tri-articulation sociale pour des humains qui ne se sont
encore jamais intéressés à des questions sociétales ?
Donc un portier automatique pour la compréhension de la
tri-articulation sociale pour la plupart qui malgré leur
occupation avec l'anthroposophie s'intéressent encore
toujours avant tout à eux-mêmes ?
- Ou ces exemples individuels aident-ils en premier plus
avant quand leur rapport avec les exemples sociétaux devient
clair ?
Aux citations isolées
Si on s'est une fois rendu familier des déclarations de
décembre 1918 sur le phénomène social primordial, alors on
trouve des traces claires dans des déclarations plus
précoces de l'occupation de Steiner avec ce phénomène.
La première citation montre en même temps que Steiner ne
conçoit pas la liberté si unilatéralement, comme maints le
lui attribue. Il ne s'agit pas seulement d'affirmation de
soi, de réalisation de soi, mais aussi de franchise. Avec
cela devient aussi plus clair ce qu'il comprend plus tard
sous liberté dans la vie de l'esprit. Des esprits libres qui
s'intéressent seulement à leurs propres pensées ne sont pour
lui pas pleinement libres, mais de complets novice à la
liberté
À une totale liberté appartient
l'écoute
La prochaine citation datée d'octobre 1918, donc peu
avant la première citation du phénomène social primordial en
décembre1918. Mais la parenté est incontestable,
cela va donc autour du besoin, « d'avoir un bien trop
grand intérêt pour ce que nous mijotons nous-même, et un
intérêt bien trop faible pour ce que d'autres humains
pensent et sentent et veulent ». Un besoin qui
calmement devrait être nommé Lucifer par son nom spiritue,.
Mais aussi un besoin qui a à garder l'humain de boire le
bouillon dans la connaissance de l'humain. Tout de suite
c'est cette ambivalence entre social et antisocial qui amène
Steiner peu après, théorie des couleur de Goethe à l'appui,
à parler d'un phénomène social originel dans le penser, le
sentir et le vouloir.
Phénomène social primordial et perspective
d'oiseau luciférienne.
Pulsions sociales et antisociales dans la
pensée, le sentiment et la volonté
Instincts sociaux et antisociaux dans
l'humain
La pensée uniformisante conduit au sentir et
au vouloir antisocial.
Le renforcement de la conscience de soi par la pensée
récente s'exprime dans les différents domaines – en science,
art, religion, morale et aussi dans les exigences sociales
comme revers du sentir antisocial. De la récente volonté
vient l'expérimenter, mais cela amène seulement jusqu’à la
machine et nie l'humain. La science de l'esprit par contre
accroît la pensée à l'imagination et l'inspiration et la
volonté à l'intuition avec quoi elle peut pénétrer dans le
prénatal et dans le postmortem.
Penser antisocial en morale, art et
religion.
Qui construit sur l'anthroposophie peut alors comprendre
l'enfance et la jeunesse et être compris d'elles. Si on
reste à la pensée et à la volonté récente, une telle
compréhension réciproque et avec cela une vie sociale est
impossible.
Social
en imagination, inspiration et intuition.
Loi de causalité sociale - 1922
Remarque de FG : ce serait Hans Georg Schweppenhauser qui
aurait identifié en premier cette "loi" dans l'oeuvre en
science sociale de R. Steiner. Celui-ci ne l'a pas mentionnée
spécifiquement comme celles sociologique et sociales.
On vient seulement en avant quand on pense
en cercle
La critique à la superstructure idéologique
est aujourd'hui presque justifié
L'humain mérite plus que seulement une
proposition subordonnée
Les
marxistes ne parlent donc pas seulement d'institutions
Résumé : qui comme marxiste se promet la solution de
la question sociale seulement du changement des institutions
pense avec institutions le « pur côté objectif,
économique ». Mais qui comme marxiste promeut que les
institutions permettent à l'humain de vivre d'après ses
capacités et besoins, parle – sans le savoir- quand même de
l'humain, à savoir de sa vie de représentation et de
volonté. S'il ne masquait la vie de sentiment, il
considérerait l'humain total, à savoir pas seulement dans
son rapport avec lui-même et avec la nature, mais aussi dans
son rapport avec les autres humains.
Les institutions seront faites par les
humains et leur pensées
Salut
et misère pas seulement par institutions
Rapport
comme effets extérieurs de constitution intérieure de l'âme
Conditions faites par les humains
Nous faisons les conditions sociales !
|