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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection:  GA332a OEUVRES COMPLETES DE RUDOLF STEINER – CONFÉRENCES SUR L'AVENIR SOCIAL




CINQUIEME CONFERENCE
Zurich, 29 octobre 1919


Les effets conjugués des
vies de l'esprit, du droit et de l'économie pour l'organisme
social tri-articulé unitaire.

FÜNFTER VORTRAG
Zürich, 29. Oktober 1919

Die Zusammenwirkung des
Geistes-, Rechts- und Wirtschaftslebens zum einheitlichen
dreigegliederten sozialen Organismus

 


 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA332a 151-184 (1977) 29/10/1919


Original



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Traducteur: FG v.02 - 05/10/2020
Editeur: SITE

Dans la deuxième conférence j'ai déjà esquissé comme un tel façonnement des vies de l'esprit, droit et économie, comme je cherchais à les décrire dans les trois conférences passées, est seulement accessible par cela que ce qu'on a pensé jusqu'alors comme un État unitaire sévèrement formé en lui même, serait tri-articuler, deviendrait organisme social tri-articulé, cela signifie, que tout ce qui se rapporte sur des rapports juridiques -politiques, étatiques, trouve son administration en un parlement démocratique, que par contre serait démembré de cette organisation politique ou de droit tout ce qui se rapporte à la vie de l'esprit d'un côté et cette vie de l'esprit serait administrée autonome dans sa liberté ; que de l'autre côté se démembrerait du politique la vie économique, qui à nouveau à partir de ses propres rapports, de ses propres conditions trouverait son administration, fondée sur connaissance métier et compétence.


Maintenant sera toujours de nouveau soulevé l'objection qu'une telle articulation de l'organisme social contredirait la nécessitée que de former la vie en société en une unité, car toutes les institutions particulières, tout particulier que l'humain peut accomplir à l'intérieur de l'organisme social devrait concourir à une telle unité. Et une telle unité serait brisée, ainsi sera dit, quand on essayerait de faire éclater l'organisme social en trois membres. - Une telle objection est tout à fait compréhensible et intelligible des habitudes de penser du présent. Mais elle n'est, comme nous voulons voir aujourd'hui, absolument pas justifiée.
Elle est compréhensible parce qu'on a donc seulement besoin de regarder sur la vie économique elle-même : comme dans cette vie économique tout s'écoule ensemble en le plus petit ; spirituel, juridique et en fait économique. Vis-à-vis de cela on peut déjà dire : comment devrait là une quelque séparation, une articulation venir à un salut ?

Prenons seulement une fois le problème de la valeur des marchandises, des biens elle-même, ainsi nous trouverons que la valeur des biens, des marchandises porte pour soi déjà trois aspects, mais trois aspects, qui en ce que le bien sera produit dans l'organisme social, circulera, et sera consommé, se montre comme une unité, j'aimerais dire, attaché à l'unité du bien, de la manière suivante : qu'est-ce qui conditionne la valeur d'un bien par lequel l'humain peut satisfaire ses besoins ? - Tout d'abord l'humain subjectif doit avoir un quelque besoin pour ce bien. Mais regardons par quoi un tel besoin se détermine. Cela dépend premièrement de la constitution corporelle de l'humain. La constitution corporelle conditionne en effet la valeur des plus différents biens matériels. Mais aussi les biens matériels seront jugés différemment, selon que l'humain aura passé par telle ou telle éducation et a telle ou telle exigence.
Et d'abord quand il s'agit de biens spirituels, qui donc souvent ne pourront pas du tout être séparés de la sphère des biens physiques charnels, là nous verrons que l'entière constitution de l'humain conditionne absolument l'art et la manière comme l'un valorise quelque bien, ce qu'il aimerait fournir comme travail pour un quelque bien, ce qu'il aimerait appliquer en prestations propres pour un tel bien. Là nous voyons que l'élément spirituel qui vit dans l'humain est déterminant pour la valeur d'un bien, pour la valeur d'une marchandise.

De l'autre côté nous voyons que donc les marchandises, en ce qu'elles seront échangées entre humain et humain, sont attachées à des rapports de possession, cela ne signifie pas autre chose qu'à des rapports de droit. En ce qu'un quelque humain veut acquérir un bien d'un autre il butte sur des droits, que l'autre a à ce bien d'une quelque manière. Ainsi que la vie de l'économie, la circulation de l'économie est absolument traversée de purs rapports de droit.


Et comme troisième : un bien a aussi une valeur objective, pas seulement cette valeur que nous lui attribuons par notre besoin et la valorisation subjective de ce besoin, qui alors se transfère sur le bien, mais un bien a sa valeur objective, en ce qu'il est conservable ou inconservable, durable ou non durable, en ce qu'il est plus ou moins utilisable selon sa nature, en ce qu'il est plus ou moins fréquent ou plus ou moins rare. Tout cela conditionne une valeur objective, une valeur économique particulière, à la détermination de laquelle est nécessaire une connaissance objective de la chose et à la fabrication de laquelle est nécessaire une objective compétence.

Mais ces trois déterminations de valeur sont unifiées dans le bien en une unité. Et de cela on peut dire avec droit : comment devrait donc, ce qui s'unifie dans le bien, être séparé en trois domaines d'administration, qui se rapportent à ce bien, qui ont une quelque chose à faire avec ce bien dans sa circulation ?

Maintenant, tout d'abord il s'agit purement d'après l'idée, de considérer que toutefois dans la vie peuvent s'unifier des choses qui seront administrées des plus différents côtés. Pourquoi ne devrait pas d'un côté ce que l'humain subjectif apporte en vis-à-vis d'estime des biens à partir de lui, être déterminé à partir de son éducation qui a sa propre administration ? Pourquoi ne devrait pas être formé à partir de tout autre côté ce que sont des rapports de droit dedans la vie économique et pourquoi ne devrait pas s'ajouter à tout cela et s'unifier dans l'objet en une unité ce qui de la connaissance des choses et compétence en la matière revient de valeur objective au bien ? Mais cela est pour le moment idéel et n'a pas particulièrement beaucoup de valeur. Cela devra être bien plus profondément fondé, ce que veut en fait la tri-articulation de l'organisme social dans cette direction.

Et là doit pour l'instant être dit : cette tri-articulation de l'organisme social n'est pas une quelque idée qui sera saisie aujourd'hui par un ou une paire d'humains à partir de motivations subjectives, mais cette impulsion de la triarticulation de l'organisme social se montre d'un regard objectif sur l'évolution de l'humanité dans les temps récents. Ainsi qu'on peut dire : en fait déjà depuis des siècles l'humanité tend inconsciemment dans les motivations les plus importantes vers cette tri-articulation. Elle n'a seulement jamais trouvé la force de faire vraiment cette tri-articulation et du manque à ce développement de force sont nos situations actuelles, est apparu le malheur de notre environnement. Mais aujourd'hui les choses sont mûres aussi loin qu'on doit dire : on devra s'attaquer à cela, ce qui s'est préparé depuis des siècles pour la formation de l'organisme social


Tout d'abord, on doit dire : la vie de l'esprit vraiment libre s'est en fait déjà depuis longtemps démembré de la vie de l’État et de la vie de l'économie. Car la vie de l'esprit qui est dépendante de la vie économique et de la vie de droit et d’État, cette vie de l'esprit n'est absolument pas une libre. Elle est un bout de vie de l'esprit, qui a été arrachée détachée de l'en fait fructueuse vie de l'esprit libre. Nous pouvons beaucoup plus dire qu'au début du temps, dans lequel le capitalisme, dans lequel l'ordre économique technique moderne avec sa géniale division du travail est montée, que dans ce temps la véritable vie de l'esprit libre – cette vie de l'esprit, qui se crée elle-même seulement des motivations de l'humain, ainsi que je l'ai hier revendiqué pour la vie de l'esprit d'ensemble -, que cette vie de l'esprit libre, mais justement, en certains domaines de l'art, de la conception du monde, de la conviction religieuse s'est détachée de la vie économique et de la vie d’État et dans une certaine mesure sera cultivée entre les lignes de la vie pendant qu'est arrachée à nouveau de cette libre vie de l'esprit créant à partir de la motivation humaine elle-même ce dont la vie économique a besoin pour son administration, ce que l’État a besoin pour son administration.



Ce dont la vie de l'économie a besoin pour son administration est devenu dépendant des puissances économiques elles-mêmes. Aux endroits, dans les cercles dans lesquels est le pouvoir économique, la possibilité est disponible, de former aussi au préalable les descendances selon la science économique ainsi qu'à nouveau elles soient appropriées à atteindre à nouveau le pouvoir économique. Mais ce qui là comme science économique provient de l'économie elle-même, est seulement une partie de ce qui pourrait couler dans la vie de l'économie, si la vie de l'esprit d'ensemble était rendue féconde pour la vie de l'économie. C'est seulement cela qui reste encore de l'économie de hasard pour la réflexion et ce qui alors est fait science de l'économie.

Et à nouveau la vie de l’État : l’État a besoin de ses fonctionnaires, donc même ses érudits ainsi qu'ils correspondent à ses modèles, qu'il a une fois formés pour ses fonctions. Il souhaite, réclame que dans les humains serait formé ce qui s'adresse à l'environnement de ce qu'il a déterminé pour sa fonction. Mais cela est une vie de l'esprit non libre même quand cela croit être libre. Cela ne remarque pas sa dépendance, cela ne remarque pas comme ce sera placer dans les frontières du modèle de position.

Mais la véritable vie de l'esprit libre s'est, indépendamment de la vie de l'économie, de la vie de l’État, malgré tout acquis une certaine position dans le monde. Mais laquelle ! Je l'ai pour part déjà caractérisée. Cette vie de l'esprit qui s'est conservé sa liberté est devenue étrangère à la vie. Elle a dans un certain sens accueilli un caractère abstrait. On n'a besoin aujourd'hui que de voir ce qui est disponible de la libre vie de l'esprit dans l'esthétique, dans le religieux, même dans les conceptions du monde orientées scientifiquement, ainsi on verra : il sera donc dit de toutes sortes, mais ce qui sera dit est plus ou moins seulement prédication pour l'humanité. C'est là,pour saisir la raison et l'âme (NDT Gemüt). C'est là, pour jouer un rôle à l'intérieur de l'humain, pour remplir l'âme dans l'intérieur de délectation et sensation de bien-être, mais cela n'a pas la force, pas la force de propulsion, de vraiment intervenir dans la vie extérieure. De cela est aussi venue l'incroyance à cette vie de l'esprit, cette incroyance qui là part de côté socialiste, qui là dit : jamais une quelque idée sociale, et si elle est encore si bien pensée, quand elle est purement née à partir de l'esprit, transformera la vie sociale. Pour cela il y a besoin de forces réelles. – Et aux forces réelles cette vie de l'esprit sécessionniste n'est pas du tout comptée. Comme cela est éloigné – j'ai déjà aussi exprimé cela – ce qu'aujourd'hui le commercial, le fonctionnaire d'État, l'actif industriel a comme sa vie de conviction intérieure, religieuse, même sa scientifique des lois qu'il applique dans la vie économique, dans sa position extérieure, dans l'administration d'affaires publiques !

Continuellement une reconnaissance double de la vie ! D'un côté certains principes de base, mais qui sont entièrement issus de la vie de l'économie et de l'État, de l'autre côté un reste de liberté, de vie de l'esprit, mais qui est jugé comme nostalgie vis-à-vis des affaires extérieures de la vie.


Cela devra être dit d'un côté qu'une vie de l'esprit libre s'est déjà démembrée depuis des siècles, mais parce ce qu'on ne voulait pas le reconnaître dans la formation de la vie publique, cette libre vie de l'esprit est devenue abstraite, étrangère à la vie. Mais cette vie de l'esprit revendique aujourd'hui le retour de son pouvoir, de sa force, parce qu'on a besoin de l'influence de l'esprit sur la vie sociale extérieure. C'est la situation, qui nous sera donnée aujourd'hui.


La vie du droit a pris un autre chemin. Pendant que la vie de l'esprit s'est dans une certaine mesure, aussi loin que c'est une libre, émancipée, la vie du droit s'est complètement laissé fusionner avec les rapports de pouvoir économiques. On ne l'a pas du tout remarqué, mais les deux sont pleinement devenus un. Ce qu'étaient intérêts économiques et besoins, cela a été exprimé en droits publics. Ces droits publics on les tient pour des droits de l'humanité. Examinés exactement ils sont seulement des intérêts et besoins étatiques et économiques transposés dans un caractère de droit. Pendant que d'un côté la vie de l'esprit revendique sa force, nous voyons de l'autre côté comme maintenant un désarroi est entré en rapport à la relation des conditions de droit et d'économie. De par le monde civilisé, de larges cercles de notre population actuelle revendiquent en cela qu'ils appellent la question sociale, des soudures supplémentaires entre la vie de droit et la vie de l'économie. Nous voyons, comme sous des concepts politiques, de droit, devrait être formé l'ensemble de la vie de l'économie. Et si nous considérons les slogans appréciés chez beaucoup aujourd'hui, que sont-ils alors d'autre que la dernière conséquence de la fusion de la vie de droit avec la vie de l'économie ?
Nous voyons aujourd'hui le parti radical socialiste tirant de larges cercles revendiquer – comme je l'ai déjà exprimé hier - que serait basculé sur la vie de l'économie un système politique central, construit hiérarchisé par dessus, administré articulé. La vie de l'économie devrait être entièrement saisie dans de purs rapports de droit. Nous voyons tout simplement comme le pouvoir des rapports de droit devrait être entièrement et complètement déployé sur les rapports de l'économie.


Cela est l'autre, qui rentre comme la crise dans notre temps, ce qu'on peut exprimer par cela qu'on dit : en ce que de manière radicale ces rapports politiques et de droit seront revendiqués pour la vie de l'économie, devrait déferlé dans une certaine mesure la tyrannie de l’État, du système juridique sur le système économique. Nous voyons que pour la vie de l'économie et sa guérison ne sera pas revendiquée une formation de la vie économique, qui est formée à partir de rapports économiques eux-mêmes, mais qu'est revendiquée une domination du pouvoir politique à partir du point de vue d'amener à soi et dominer la vie de l'économie par ce pouvoir politique. Dictature du prolétariat, qu'est-ce d'autre que la dernière conséquence de la fusion ensemble de vie de droit ou d’État et vie de l'économie ?



Ainsi sera ici prouvé, bien sûr d'une manière négative, comme est nécessaire aujourd'hui d'aller à l'ouvrage testant fondamentalement sur le rapport de vie de droit ou d’État et la vie de l'économie. Ainsi, on voit d'un côté que dans une partie de sa force, la libre vie de l'esprit s'est émancipé et revendique sa force originelle ; ainsi, on voit de l'autre côté que la vie de droit amène tout l'organisme social en désordre si elle devait plus longtemps être toujours étroitement et plus étroitement liée à la vie de l'économie.

Cela a duré assez longtemps que l'organisme social unitaire a été pensé sous la suggestion de l’État unitaire. Aujourd'hui le temps est venu où le fruit de cette pensée vient vers nous en un chaos social qui est répandu sur une grande partie du monde civilisé. Les conditions économiques exigent au sens strict de devenir séparées de la vie du droit parce que s'est montré quelle bêtise cette vie du droit elle-même devait présenter de proche en proche pour la vie économique, quand la dernière conséquence était tirée de ce qui s'est formé à partir de cela dans le cours des derniers siècles.


L'impulsion de l'organisme social triarticulé compte avec ces faits. Et je voudrais vous montrer à un exemple parlant comme par ce fait tout de suite a été arraché l'un de l'autre ce qui dans la vie devait œuvrer comme une unité. On dit aujourd'hui, la tri-articulation de l'organisme social voudrait déchirer l'unité de la vie sociale. On dira dans le futur : cette tri-articulation a fondé pour la première fois cette unité dans le sens correct. Que l'aspiration abstraite après l'unité a tout de suite détruit cette unité, cela on peut justement le voir à un exemple parlant. Aujourd'hui certaines personnes sont extraordinairement fières de faire la différence théorique entre droit et morale. La morale est l'estimation de l'acte d'un humain purement d'après des points de vue intérieurs de l'âme. Le jugement d'un acte, s'il est bon ou mauvais, sera seulement guidé par de tels points de vue intérieurs de l'âme.

Et on différencie très soigneusement, tout de suite dans des questions de conception du monde, de ce jugement moral le jugement juridique qui concerne la vie publique extérieure, qui doit être déterminée par les dispositions, par les mesures de la vie étatique ou autres vies sociales publiques.


De cette séparation de morale et droit on ne savait tout le temps rien jusqu'à un moment où montèrent le récent développement technicoéconomique et le récent capitalisme. Dans les derniers siècles ont été arrachées l'une de l'autre en premier les impulsions de droit et de morale. Et pourquoi ? Parce que le jugement moral a été déchargé dans cette libre vie de l'esprit, qui s'est émancipée, mais qui vis-à-vis de la vie extérieure est devenue sans pouvoir de vraiment intervenir dans la vie, qui dans une certaine mesure n'est seulement là que pour prédication et jugement.
Mais ces maximes-là qui peuvent intervenir dans la vie, elles ont besoin de motivations économiques parce qu'elles ne peuvent plus trouver de pures motivations humaines qui sont débarrassées sur la morale, et elles seront alors transposées dans le droit. Ainsi est au milieu arraché l'un de l'autre ce qui agit dans la vie : détermination du droit et son transchauffage avec morale humaine – déchiré l'une de l'autre au milieu en une dualité ce qui tout de suite devrait être une unité.

C'est pourquoi qui étudie mieux l'évolution des États modernes, celui-là trouvera que tout de suite la suggestion de l’État unitaire a amené une séparation des forces, qui en fait devrait collaborer en une unité. Tout de suite contre cette séparation l'impulsion de la triarticulation de l'organisme social veut œuvrer. Déjà quand on regarde correctement le véritable principe de cette impulsion, on verra que ne peut pas du tout être parlée en cela d'une fission de la vie.


À la vie de l'esprit, qui devrait avoir son administration propre – chaque humain ne se tient pas  en un rapport à cette vie de l'esprit, quand, comme je l'ai décrite, elle se développe pleinement libre ? Il sera éduqué dans cette vie de l'esprit libre, il laisse à nouveau éduquer ses enfants, il a ses intérêts spirituels immédiats pour cette vie de l'esprit, il est lié avec cette vie de l'esprit. Et les mêmes humains qui sont liés avec cette vie de l'esprit de cette manière, qui tirent leurs forces de cette vie de l'esprit, se tiennent dans la vie de droit ou d’État et déterminent en celle-ci ce qui œuvre entre eux comme ordre de droit. Ils déterminent à partir à partir de l'esprit, car ils accueillent de cette vie de l'esprit, cet ordre du droit. Cet ordre du droit est immédiatement provoqué par ce qui sera acquis par le rapport à la vie de l'esprit. Et à nouveau, ce qui sera développé d'humain à humain démocratiquement sur le sol de l'ordre de droit, ce qu'ainsi l'humain accueille comme l'impulsion de sa relation à d'autres humains, cela il porte parce que donc à nouveau ce sont les mêmes humains qui ont des relations à la vie de l'esprit, se tiennent dans la vie de droit et gèrent, dedans dans la vie de l'économie.

Les institutions qu'il rencontre, l'art et la manière comme il s'associe avec d'autres humains, l'art et la manière comme absolument il gère, tout cela est parcouru par ce qu'il développe dans la vie de l'esprit, ce qu'il règle comme ordre du droit dans la vie de l'économie, car ce sont les mêmes humains qui se tiennent dedans l'organisme social triarticulé, et pas par un quelque ordre abstrait, mais par l'humain vivant lui-même sera obtenue l'unité. Seulement que chacun des membres se forme sa propre nature et essence par son autonomie et ainsi tout de suite de la manière la plus pleine de force peut œuvrer à l'unité. Chacun des membres peut œuvrer ainsi pendant que nous pouvons justement voir comme par la suggestion de l’État unitaire tout de suite ce qui fait partie de la vie, fait partie même si intérieurement comme droit et morale se disloquent.
Donc l'impulsion pour la triarticulation de l'organisme social, se fait valoir, pas pour séparer ce qui va ensemble, mais pour vraiment amené à collaborer du collaborant ou ce qui est déterminé à la collaboration.


La vie de l'esprit que j'ai décrite hier, celle-là peut seulement se développer sur son propre sol libre. Mais quand elle se développe sur son propre sol libre, alors elle ne sera pas, quand on lui concède qu'elle aurait même droit à côté des deux membres restants de l'organisme social, une structure étrangère à la vie comme cette vie de l'esprit là qui s'est développée justement étrangère à la vie et abstraite depuis des siècles, mais elle développera la force de propulsion d'intervenir immédiatement dans la véritable, réelle vie extérieure du droit et de l'économie. Cela pourrait sembler comme une contradiction paradoxale quand d'un côté sera prétendu que la vie de l'esprit devrait devenir pleinement autonome, devrait se développer à partir de ses propres bases ainsi que je l'ai décrit hier et elle pourrait quand même intervenir sur les autres côtés dans les domaines pratiques de la vie. Mais tout de suite alors quand l'esprit est laissé à lui même, alors il développe les impulsions qui peuvent englober toute la vie. Car cet esprit laissé à lui même, celui-là n'est pas assigné à cela, d'écouter sur ce que l'humain devrait former en soi au but d'un quelque modèle d’État, il n'est pas déterminé par cela que seulement celui-là pourra être formé à qui revient un certain pouvoir économique, mais ce sera développer à partir des conditions de l'individualité humaine, à partir de l'observation des facultés humaines, ce qui veut pénétrer au grand jour en une quelque génération.


Mais ce qui veut pénétrer au grand jour en une quelque génération, cela ne sera pas, parce que l'esprit déploie son intérêt par-dessus toute la vie, englober seulement la nature dans ses phénomènes et faits, mais qu'avant toutes choses cela englobera la vie humaine elle-même. Nous étions condamnés à être non pratiques sur domaine spirituel, parce que nous étaient laissés pour la vie de l'esprit libre ces domaines-là qui n'avaient pas le droit d'intervenir dans la réalité extérieure. À l'instant où on le concède à l'esprit, pas purement d'enregistrer ce que parlements déterminent comme droit d’État, mais où de lui même, comme cela devrait être, il a à déterminer le droit d’État, en cet instant il fera le droit d’État à sa création et il interviendra dans la boite de vitesse, dans l'ordonnance de l'économie à l'instant, où on formera certains points de vue et maximes pour cette vie de l'économie pas purement d'après une laissée à elle-même économie, qui roule plus loin après ses faits, sans qu'elle soit dominée par des pensées, mais quand ce sera laisser à l'esprit, d'intervenir dans cette vie de l'économie.
Alors, elle s’avérera aussi capable à la pratique de vie à l'intérieur du cycle économique. On a seulement besoin de lui concéder la force d'intervenir dans la vie pratique, alors elle le fera. Mais cette façon de voir la réalité est nécessaire qu'on n'enferme pas hermétiquement l'esprit dans l'abstraction, mais qu'on lui donna l'influence dans la vie. Alors, il fécondera tout de suite à partir de lui la vie de l'économie à tout moment, pendant que sinon cela reste infécondé ou sera seulement fécondé par des phénomènes de hasard.

Cela doit être considéré quand on veut voir clair, comment dans l'organisme social triarticulé esprit, droit et état et économie devraient œuvrer ensemble. Sur ces choses, des personnalités très sensées du présent sont aussi absolument dans la non-clarté.
Ces personnes sensées voient souvent comme sous la vie de l'économie, dont l'esprit s'est de lui-même dans une certaine mesure propulsé au-dehors, se sont développés des contextes qui aujourd'hui sont devenus socialement intenables. Là nous avons par exemple un penseur sur la vie de l'économie, très considéré aujourd'hui, qui trouve par exemple ce qui suit. Il dit : quand aujourd'hui nous regardons la vie de l'économie, ainsi nous voyons avant toutes choses un système de consommation, qui a un haut degré conduit à des dommages sociaux. Les humains, qui le peuvent, consomment ceci ou cela qui en fait est seulement du luxe. - Ce penseur rend attentif là dessus, quel rôle ce qu'il nomme luxe, joue aujourd'hui dans la vie de l'humain, quel rôle cela joue aussi dans la vie économique des humains. Certainement, on peut cela facilement ; on a seulement besoin de rendre attentif à de tels phénomènes comme, par exemple, quand, disons, une dame s'achète aujourd'hui un collier de perles. Cela maints aujourd'hui le verront toujours encore pour un très insignifiant luxe. Mais il ne sera pas considéré pour cela ce que ce collier de perles a comme valeur à l'intérieur de la structure économique actuelle. Pour ce collier de perles, pour la valeur de ce collier de perles on peut entretenir six mois durant cinq familles de travailleurs ! Cela pend autour du cou de la dame concernée. Oui, on peut reconnaître cela et on peut à partir de l'esprit actuel chercher après remède. Le penseur estimé, que j'ai à l’œil ici, celui-là trouve à partir de cela que ce serait nécessaire, que l’État – évidemment, par l’État chacun est suggéré ! - introduise de hauts impôts sur le luxe, et d'ailleurs de tels impôts sur le luxe qu'il passe absolument aux gens de se procurer un tel luxe. Il ne laisse pas valoir l'objection que beaucoup font que quand on impose le luxe, alors le luxe diminue et l’État n'aurait rien de ce luxe. Il dit : non, cela est tout de suite correct, que le luxe s'arrête, car l'imposition doit avoir un but éthique.
La moralité humaine devrait être promue par l'imposition.


Voyez-vous, ainsi est la pensée. On a si peu de foi à la force de du psychisme humain, du spirituel humain que ce qui devrait jaillir du psychisme humain, du spirituel humain, on veut l'établir sur le chemin de l'imposition, cela signifie le droit ! Pas de miracle que là toutefois on ne vient pas à une articulation unitaire de la vie.


Le même penseur rend attentif alors là dessus comme acquisition de propriété devient non droit par cela que dans notre vie des monopoles sont possibles, que toujours encore la vie sociale se tient sous l'influence du droit successoral et du genre. À nouveau il fait la proposition, de régler toutes ces choses par la législation fiscale. Quand on imposerait aussi fortement que possible la propriété héritée, alors ressortirait, comme il pense, une justice en rapport à la propriété. On pourrait justement ainsi par lois d’État, cela signifie par maximes juridiques, agir contre les monopoles et plus du genre.L'étrange est que ce penseur dit : oui, mais il ne s'agit pas du tout de cela, que par des lois d’État, des lois fiscales et ainsi de suite tout cela, qui place donc en vue, serait vraiment déterminé, car il se montrerait donc que la valeur de telles lois d’État en serait absolument une contestable, que de telles lois d’État ne font pas du tout toujours ce qu'elles devraient faire. Mais maintenant il dit : il ne s'agit pas de cela, qu'en fait ces lois lèvent la moralité, empêchent les monopoles et ainsi de suite, mais il s'agirait de la mentalité à partir de laquelle ces lois seront données.


Maintenant nous sommes donc arrivés dans le plus absolu tourner en rond. Un penseur politique estimé du présent dit à peu près, ce que je vous ai caractérisé. Il veut susciter mentalité, mentalité éthique par législation ; mais il ne s'agit pas de cela, que les résultats de cette législation se manifesteraient, mais que les humains aient la mentalité à cette législation !
C'est le pur chinois qui veut se suspendre à sa propre tresse. C'est un étrange cercle vicieux, mais un cercle vicieux qui œuvre fondamentalement dans notre vie sociale actuelle. Car sous l'influence d'une telle manière de penser on fait aujourd'hui la vie publique. Et on ne voit pas que toutes ces choses conduisent en dernière fin à cela de reconnaître que les fondements devront être pour une véritable nouvelle formation de la vie sociale : la vie de l'esprit dans son autonomie, la vie du droit dans son autonomie, dans son détachement de l'organisme économique et la libre formation de l'organisation économique comme une telle.


De telles choses se montrent à vous particulièrement clairement aujourd'hui, quand, comme maintenant par exemple chez Robert Wilbrandt, c'est le cas, qui écris dans son livre sur socialisme, qui justement est paru, quand on voit là, comme des gens extraordinairement bien pensants, chez des gens, qui ont absolument l'éthique pour une nouvelle formation de la vie sociale, se montre, j'aimerais dire, un léger montrer sur l'absolue nécessité par exemple d'une base spirituelle de l'édification sociale, mais comme partout manque la révélation par laquelle cette base spirituelle serait à remporter. Robert Wilbrandt n'est pas un humain qui simplement parle purement à partir de la théorie. Premièrement, il parle d'un cœur chaud et socialement enthousiaste. Deuxièmement, il a pratiquement voyagé dans le monde entier, pour apprendre à connaître les rapports sociaux, et il décrit fidèlement dans son livre comme durement la misère joue aussi encore sur tout le monde civilisé. Il donne des exemples parlants de la misère du prolétariat dans le monde civilisé. Mais il indique aussi de son point de vue, comme dans les plus différents domaines dans lesquels la question sociale est aujourd'hui devenue actuelle, les humains ont essayés de travailler à une reconstruction, mais comme ils ont soit échoués, ou comme se montre clairement comme, par exemple, dans l'actuelle Allemagne, qu'ils doivent échouer, et Robert Wilbrandt est pour lui entièrement clair là dessus qu'échoueront tous les essais qui seront faits à partir du sens actuel.
Avec cela il conclut à peu près son livre. Après que cela ait déjà été évoqué en différents tons au cours des textes du livre, le livre entier résonne alors de cette étrange manière. Là il dit : les essais qui là seront faits doivent échouer ; vous n'arriverez à nouveau à aucune édification parce qu'a l'organisme social manque aujourd'hui l'âme et avant qu'il ne reçoive l'âme, il ne fournira pas de travail fructueux. – L'intéressant est, que le livre se conclu avec cette tonalité, qu'il ne parle pas de l'art et la manière comment cette âme devrait être trouvée.

L'impulsion pour l'organisme social triarticulé aimerait justement :pas parler théoriquement, qu'âme est nécessaire, et attendre, jusqu'à ce que l'âme se manifeste d'elle-même, mais rendre attentif sur comment cette âme se développera. Elle se développera quand on détachera de la vie de l’État et de la vie de l'économie, la vie de l'esprit. Et alors, cette vie de l'esprit deviendra forte quand elle peut seulement suivre les motivations, que l'humain se donne lui-même pour l'esprit, pour aussi pouvoir intervenir dans la vie pratique restante. Alors se formera cette vie de l'esprit ainsi que j'essayais hier de décrire cette vie de l'esprit. Alors, cette vie de l'esprit contiendra réalité en elle-même. Et alors, on pourra dire de cette vie de l'esprit qu'on est dans la situation de lui imputer ce qui par exemple lui sera imputé dans mes « Noyaux germinatifs de la question sociale dans les nécessités de vie du présent et du futur ».


Certainement, on peut aujourd'hui rendre attentif là dessus – et nous l'avons fait dans la deuxième conférence -, sur comment le capital œuvre aujourd'hui dans le processus social économique. Seul, quand on parle purement de cela, que le capital devrait être supprimé ou être transféré dans la propriété publique, ainsi on n'a pas de concept de cela, comment en fait à l'intérieur de la vie économique, particulièrement sous les conditions de production actuelles, œuvre le capital, comment c'est nécessaire que les amoncellements de capital aient lieu, afin que les humains rendus capables puissent tout de suite œuvrer au service public par l'administration de ces masses de capital.Pour cela au fond dans mes « Points fondamentaux de la question sociale » l'administration du capital a été faite dépendante de la vie de l'esprit sous collaboration de l'autonome vie du droit. Pendant qu'aujourd'hui nous disons que le capital gère lui-même, sera réclamé par l'impulsion pour la triarticulation de l'organisme social que certes il devrait toujours être possible de former des amoncellements de capital, que ce devrait être possible que cet amoncellement de capital puisse être administré par celui qui a développé de la vie de l'esprit les capacités nécessaires pour quelque affaire, mais que ces amoncellements de capital devraient être administrés par celui qui les a amoncelés seulement aussi longtemps qu'il peut les administrer lui-même. A l'instant, ou au moins bientôt après cet instant – sur le particulier nous n'avons pas besoin aujourd'hui d'aller -, quand le concerné ne peut plus se tenir lui-même avec ses facultés derrière l'administration du capital, il a pour cela à veiller, où s'il se sent incapable de cela, il y a une quelque corporation de la vie de l'esprit qui doit être là pour laisser veiller à que cette exploitation puisse passer à nouveau à un plus capable qui peut l'administrer pour le service public.
Cela signifie : le transfert d'une exploitation (NDT ou entreprise) à une personnalité ou groupe de personnes n'est pas attaché à l'achat ou à de tels transferts de capitaux, mais est attaché à ce qui se présente à partir des capacités de l'humain lui-même, des capacités aux capacités, de ceux, qui peuvent travailler dans le service de la communauté de la meilleure manière à ceux qui à nouveau peuvent travailler au service de la communauté de la meilleure manière. De ce transfert dépend la guérison sociale du futur. Mais ce transfert ne sera pas un économique, comme c'est aujourd'hui, mais ce transfert proviendra d'impulsions de l'humain, qu'il reçoit de la vie de l'esprit autonome et de la vie du droit autonome.
Il y aura même des corporations disponibles dans la vie de l'esprit, liées avec tous les autres domaines de la vie de l'esprit, auxquelles incombera pour ainsi dire l'administration du capital.

Ainsi pourrais-je à la place du transfert des moyens de production à la communauté placer la circulation de moyens de production dans l'organisme social, le transfert des capables aux capables, cela signifie la circulation ; et cette circulation dépend de l'autonomie de la vie de l'esprit, à laquelle elle est dans une certaine mesure subordonnée, par laquelle elle sera provoquée.
Ainsi qu'on peut dire : dans ce qui en un sens le plus éminent se tient dedans le cycle économique, agi, ce qui comme force est disponible dans la vie de l'esprit, est disponible dans la vie du droit. On ne peut se penser fermée l'unité dans la vie de l’économie, comme elle sera obtenue par de telles mesures. Mais le courant qui s'articule dans la vie de l'économie provient de la vie de l'esprit autonome, de la vie de droit autonome. L'humain ne sera plus livré au hasard, qui là œuvre par pure offre et demande ou par les autres facteurs qui sinon aujourd'hui sont actifs dans la vie de l'économie, mais dans cette vie de l'économie agira dedans raison et relation de droits entre humain et humain. Donc coopéreront esprit, droit et économie, quand aussi ils seront administrés séparés les uns des autres, parce que l'humain d'un domaine dans l'autre – il appartient à tous les trois – portera dedans ce qui est à y introduire. Toutefois, les humains devront se rendre libres de maints préjugés quand ces choses devraient venir au grand jour de proche en proche.

Aujourd'hui on est encore absolument clair là dessus que moyen de production, que fond et sol sont des choses de la vie de l'économie. L'impulsion de la triarticulation de l'organisme social réclame que dans la vie de l'économie seront seulement administré les valeurs mutuelles, auxquelles les prix devraient être rapprochés, ainsi que purement la détermination de prix est ce qui finalement sort en fait de l'administration de l'économie.

Mais faire de cette détermination de prix une correcte est impossible quand dedans la vie de l'économie agit le moyen de production comme tel et fond et sol (NDT foncier) comme tel. La disposition sur fond et sol, qui aujourd'hui se concentre dans le droit de propriété de fond et sol, et la disposition sur les moyens de production terminés ne peuvent pas être des affaires économiques, mais ils devraient être affaire pour part une spirituelle, pour part une de droits. Cela signifie, le transfert de fond et sol d'une personne ou groupe de personnes à une autre ne devrait pas avoir lieu par achat ou héritage, mais par un transfert sur le sol de droit respectivement à partir des principes de la vie spirituelle.
Le moyen de production, donc cela par quoi dans l'industrie ou du genre sera produit, qui de préférence repose à la base de la formation de capital, ne peut coûter quelque chose seulement aussi longtemps jusqu'à ce que ça soit terminé. Cela est-il terminé, alors l'administre celui-là, qui l'a amené à être, parce qu'il le comprend le mieux, aussi longtemps que lui-même peut être avec ses capacités à cette administration. Mais ce n'est pas plus loin un bien, qui peut être vendu, mais pourra être transféré que par droit seulement – respectivement par détermination spirituelle, qui sera réalisée par droit, d'une personne ou groupe de personne sur une autre personne ou groupe de personne.

Ainsi, ce qui aujourd'hui se tient à tord dans la vie de l'économie, le droit de disposition de propriété, le droit de disposition foncier, le droit de disposition de moyen de production, sera placé sur le sol autonome du droit sous participation du sol autonome de l'esprit.


Ces idées peuvent encore faire l'effet d'être étrangères aux humains actuels. Mais c'est donc tout de suite le triste, l'amer qu'elles font l'effet d'être étrangères aux humains actuels. Car d'abord par cela que ces choses vraiment diffusent dans les esprits humains, dans les âmes humaines et aussi dans les cœurs humains, ainsi que les humains se comportent socialement dans la vie d'après elles, premièrement par cela peut venir ce que tant d'humains veulent amener d'une tout autre manière, mais ne pourront jamais amener. C'est cela qu'on devrait enfin reconnaître : que maint qu'on devrait enfin reconnaître : que maint qui aujourd'hui encore semble paradoxe, semblera comme quelque chose d'évident à une vie vraiment sociale. L'impulsion pour la tri-articulation de l'organisme social pose ses revendications pas à partir des passions, des motivations et émotions desquelles aujourd'hui souvent seront placées les revendications sociales. Il les pose d'une étude de la véritable évolution de l'humanité dans les temps récents et jusque dedans le présent. Il voit par exemple, comme au cours de longs siècles une forme sociale a dissout l'autre.

Retournons-nous en arrière dans le dernier moyen-âge – cela s’est encore étendu quelque peu dedans le dernier moyen-âge ; notamment dans le monde civilisé européen – ainsi, nous trouvons la vie sociale dans une telle structure que nous pouvons parler d’une société de pouvoir. Cette société de pouvoir était montée, pour seulement amener un exemple, parce que, ma foi, un quelque conquérant s’est fait sédentaire n’importe où avec une suite, a dans une certaine mesure fait de sa suite sa classe laborieuse. Alors par là que le guide fût considéré en vertu de ses particularités individuelles, efficacité individuelle ou efficacité individuelle supposée, le rapport social fut amené entre son pouvoir et le pouvoir de ceux qu'il commanda en premier et qui alors furent ses serviteurs, respectivement sa classe laborieuse.
Là alla dans une certaine mesure comme donnant la mesure pour l’organisme social, ce qui jaillissait dans un individu ou dans un groupe aristocratique, cela continua à vivre dans l’ensemble. La volonté, qui était dans l’ensemble, fut dans une certaine mesure dans cette société de pouvoir seulement le décalque, la projection de la volonté individuelle.


Sous l’influence des temps récents, de la division du travail, du capitalisme, de la culture technique, à la place de cette société de pouvoir pénétra la société de l’échange, mais elle poursuit absolument ses impulsions parmi les humains et le vivre ensemble humain. Ce que l’individu produisait, devint marchandise qu’il échangea avec l’autre. Car finalement l’économie de l’argent n’est rien d’autre, aussi loin qu’elle est circulation avec les autres individus ou avec les autres groupes. C’est une circulation d’échanges. La société est devenue une société d’échange. Pendant que dans la société de pouvoir l’ensemble a à faire avec la volonté de l’individu, qu’elle absorbe, la société d’échange, au milieu de laquelle nous sommes encore et de laquelle une grande partie de l’humanité aspire à sortir, a à faire avec la volonté de l’individu qui se tient contre la volonté de l’individu, et de l'oeuvrer ensemble de volonté individuelle à volonté individuelle, la volonté d’ensemble apparaît tout d’abord, comme un résultat du hasard. Là bourgeonne de ce qui advient de l’individu à l’individu, ce qui se forme comme communauté économique, ce qui se forme comme richesses, ce qui s'en forme en ploutocratie et ainsi de suite. Mais dans tout cela agit dedans ce qui a à faire avec l’affrontement de la volonté individuelle sur la volonté individuelle.

Ce n’est pas un miracle que la vieille société de pouvoir ne pouvait pas aspirer à une quelque émancipation du spirituel. Car celui qui fut le guide fut aussi reconnu en vertu de son efficacité comme guide du spirituel et comme guide de l’ordre du droit. Mais c’est aussi compréhensible, que le principe politique, de droit, d’état, a particulièrement pris la main dans la société d’échange.
Avons-nous donc vu sur quoi en fait le droit veut reposer, quand aussi ce vouloir ne vient pas à correcte expression dans l’ordre social actuel. Le droit a en fait à faire avec ce que l’humain individuel comme égal a à définir vis-à-vis de l’autre, qui lui est égal.
Dans la société d’échange l’individu a à faire avec l’individu. Ainsi la société des échanges a l’intérêt de transformer sa vie économique où aussi l’individu a à faire avec l’individu, en une vie du droit, cela signifie, de transformer en statuts de droit ce que sont des intérêts économiques.

Tout comme la vieille société de pouvoir est passée en une société des échanges, ainsi la société des échanges aspire aujourd’hui d’impulsion les plus intérieures de l’évolution humaine à une nouvelle société, notamment sur sol économique. Car la société des échanges est de proche en proche, en ce qu’elle s’est appropriée la vie de l’esprit, l’a fait non libre, l’a fait étrangère à la vie, devenue une pure société de l’économie, et elle sera exigée comme telle par certains socialistes radicaux.
Mais de plus profondes impulsions de l’humanité actuelle cette société des échanges, notamment sur domaine économique, veut se changer en ce que je voudrai nommer – quand aussi le nom boîte un peu, mais c’est justement une chose nouvelle, et on n’a en règle générale pas de descriptions pertinentes, qui donc devront être formées de la langue – la société commune/collective (NDT : Gemeingessellschaft). La société des échanges doit passer dans la société commune.

Comment sera formée la société commune ? Tout comme dans la société de pouvoir la volonté individuelle ou volonté d’une aristocratie, donc aussi une sorte de volonté individuelle agit loin dans l’ensemble, ainsi que les individus dans leurs volitions n’interprètent que des transpositions de la volonté de l’individu, et comme la société des échanges a à faire avec l’affrontement de volonté individuelle sur volonté individuelle, ainsi l’ordre économique de la société commune aura à faire avec une sorte de volonté d’ensemble, qui maintenant agit en retour à l’envers sur la volonté individuelle. Car je l’ai expliqué, dans la deuxième conférence comment des associations des différentes branches de production doivent apparaître sur le domaine de la vie économique, associations des différentes branches de production avec les consommants, ainsi que partout devraient se grouper les faisants l’économie et aussi les consommants économiquement.
Les associations passeront des contrats les unes avec les autres. Il se formera à l’intérieur de groupes, qui sont plus grands ou plus petits, une sorte de volonté d’ensemble. Vers cette volonté d’ensemble aspirent donc beaucoup de se languissants socialistes. Seulement, ils se représentent souvent la chose d’une manière au plus non claire, de manière absolument non sensée.

Tout de suite comme dans la société de pouvoir, dans la société de puissance la volonté unique a agi dans l’ensemble, ainsi dans la société commune du futur une volonté conjointe, une volonté globale devra agir dans l’individu.

Mais comment cela sera-t-il possible ? Qu'est-ce qui doit dans la volonté d'ensemble – elle doit donc apparaître par l'agir ensemble des volontés uniques, les volontés uniques doivent engendrer quelque chose, qui n’est pas tyrannie, n’est pas tyrannie démocratique pour l’individu, à l’intérieur de quoi l'individu peut se sentir libre – donc être fiché dans cette volonté d'ensemble ? Dans cette volonté d'ensemble doit être fiché ce que l’âme individuelle et l’esprit humain individuel peuvent accueillir, avec quoi ils peuvent se déclarer d’accord, ce dans quoi ils peuvent s’acclimater. Cela signifie, ce qui vit dans l’humain individuel, esprit et âme, cela doit vivre dans la volonté d'ensemble de la société commune. Cela n’est pas autrement possible que quand ceux qui façonnent cette volonté d'ensemble, à partir de la volonté particulière portent en eux dans leur volonté, dans leur sentiment, dans leur représentation la pleine compréhension pour l’humain particulier. Dans cette volonté d’ensemble doit s’écouler ce que l’humain particulier ressent comme son propre spirituel et psychique et corporel. Alors, cela doit être déposé dedans.

Ce fut autrement dans l’instinctive société de pouvoir, où l’individu était reconnu de l’ensemble parce que les individus ne faisaient pas valoir leur volonté propre ; ce fut autrement dans la société des échanges, où la volonté individuelle est percutée et une sorte de point commun de hasard en est sortie ; mais cela doit être autrement quand une volonté d'ensemble organisée devrait agir sur l’individu. Alors, personne n’a le droit, qui prend part au façonnement de cette volonté d'ensemble, d’être déraisonnable vis-à-vis de ce qu’est le vraiment humain.

Alors, on n’a pas le droit de se rapprocher de la vision de la vie avec une science de la nature abstraite, qui est purement orientée sur la nature extérieure et ne peut jamais comprendre tout l’humain.
Alors, on doit se rapprocher de la vision de la vie avec science de l’esprit, avec cette science de l'esprit qui, parce qu’elle englobe l’humain entier d’après corps, âme et esprit, suscite aussi une compréhension pour ces humains individuels à la mesure du sentiment et à la mesure de la volonté.

 Veut-on par là susciter un ordre économique communautaire, on ne pourra seulement le susciter quand on pourra le doter d'âme à partir de la vie de l’esprit autonome. Ainsi, sera seulement possible de former un avenir prospère quand d'autre part pourra se passer que rayonne en retour de la vie économique ce qui est pensé dans la vie libre de l'esprit.
Et cette vie libre de l'esprit ne s’avérera pas non pratique, elle s’avérera comme très pratique. Seulement qui séjourne dans la vie non libre de l'esprit peut vivre ainsi qu'il réfléchit sur le bien, qu'il réfléchi sur le mal, sur le correct et sur le vrai, sur le beau et sur le laid et cela seulement réside dans l'intérieur de son âme. Mais celui-là qui regarde l'esprit comme quelque chose de vivant saisit par connaissance de science de l'esprit, celui-là devient pratique dans tous ses actes en particulier en rapport à la vie humaine.

Ce qu'il prend en lui de la vision de l'esprit, cela va immédiatement dans les mains, cela passe dans chaque tâche de vie, cela se forme vraiment ainsi que cela peut se vivre dedans dans la vie pratique immédiate. Seulement une culture de l'esprit évincée de la vie pratique deviendra étrangère à la vie. Une culture de l'esprit à qui on autorise de l'influence sur la vie pratique, celle-là se développe à la pratique. J'aimerais dire :
Qui connais vraiment la vie spirituelle, celui-là sait comme peu chaque élément spirituel qui est laissé à sa motivation propre se tient étranger à la vie pratique. J'aimerais dire : celui-là n'est pas un bon philosophe qui ne peut aussi fendre du bois à l'instant correct, car qui veut fonder une philosophie, sans qu'il puisse mettre la main à la vie immédiatement pratique, celui-là ne fonde aucune philosophie de vie, celui-là fonde une philosophie étrangère à la vie. La véritable vie de l'esprit est pratique.

Sous les influences, qui au cours des siècles sont montées, on peut le comprendre quand aujourd'hui tout de suite des humains qui se tiennent à l'intérieur de la vie de culture actuelle, des vies spirituelles dirigeantes actuelles comme, par exemple, Robert Wilbrandt, qui a écrit sa socialisation à partir d'une véritable bonne mentalité, d'une véritable éthique sociale, disent quand même : il ne peut pas être fourni de travail innovateur parce que l'âme manque -, quand ils ne peuvent pas prendre leur essor à cela, de demander après la réalité de la formation d'âme, du façonnement d'âme, ne peuvent se décider de demander : que provoque une vie véritablement libre de l'esprit pour la vie d’État et aussi pour la vie de l'économie ? Cette vie de l'esprit libre collaborera de manière correcte, comme je l'ai montré, avec la vie de l'économie. Mais alors la vie de l'économie qui peut collaborer avec la vie de l’État et de l'esprit, pourra à tout moment former de tels humains qui à nouveau peuvent donner l'impulsion à la vie de l'esprit.


Un vivre ensemble libre, immédiatement réel sera provoqué par la tri-articulation de l'organisme social. C'est pourquoi on aimerai rétorquer aux humains qui aujourd'hui à partir d'un instinct, mais absolument pas à partir d'un véritable courage de vie, réclament après une âme indéterminée, après un esprit indéterminé : apprenez à connaître ce qu'est la réalité de l'esprit, priez l'esprit, ce qu'est l'esprit, priez l'âme, ce qu'est l'âme, et il apparaîtra aussi la vie de l'économie qui est l'économie.


Réponse aux questions après la cinquième conférence

Ici est tout d'abord posée la question :

Je crains que par la triarticulation de l'organisme social sera produit un éternel schématisme, comme celui de l'idéalisme allemand, spécialement Kant l'était, qui a pressé le riche ensemble de vie de l'esprit dans le schéma de la nature triarticulée de pensée, sentir et vouloir

Pardonnez-moi quand j'indique d'abord sur quelque chose de personnel. Je me suis placé la tâche dans les plus différents livres – et c'est donc une grosse série que j'ai écrite, une bien trop grosse -, d'expliquer le non correct, l'erroné dans un certain rapport même du kantisme dans la conception du monde. C'est aujourd'hui encore une affaire bien impopulaire. Et j'ai en particulier toujours à nouveau du rendre attentif au malsain de la manière de penser kantienne pour la raison que je sentais comment une pensée formée et façonnée à partir de la réalité est exactement opposée à la kantienne. On aimerait dire : la pensée kantienne est tant aimée parce qu'elle schématise. Qui a suivi mes exposés ici, celui-là trouvera que je dois d'ailleurs aussi utiliser des mots, mais ne pourrait trouver qu'esprit schématique dans ces mots, dans ces explications qui lui-même le porterait d'abord dedans. Dans l'art et la manière comme je tente de regarder la réalité, ne repose vraiment rien de schématisant, mais quand absolument on parle – là on peut tenir la parole pour inutile, cela font donc seulement peu d'humains aujourd'hui -, ainsi on doit se servir de mots et alors il s'agit seulement de ce qu'on sera compris de la manière correcte.
Je ne parle pas ainsi que j'ai à l’œil un quelque thème philosophique, mais j'aimerai saisir des yeux toute la vie.


À l'occasion il est déjà nécessaire, de toucher quelque chose de personnel. J'ai donc bientôt accompli ma sixième décennie de vie et ai en fait traverser maintes choses, ai été porté par mon destin dans toutes sortes de domaines de vie, ai pu apprendre à connaître ce que l'humain actuel vit dans les différentes classes, états et d'ailleurs appris à connaître ainsi que là véritablement aucun schématisme ne reposait à la base, mais que justement je pouvais accepter la pleine vie. Et à partir de cette pleine vie se sont montrées à moi des façons de voir que maints humains ne trouvent pas aussitôt compréhensibles pour la raison que justement tout de suite le schématisme qui est tant apprécié aujourd'hui ne suffit pas à leur compréhension, mais parce qu'on a besoin d'un certain instinct de vie, pour savoir ces choses de la manière correcte. Toutefois une chose – malgré que j'ai appris à connaître des hommes de parti de la droite la plus extérieure aux radicaux les plus à gauche et aussi dans le centre – je n'ai pas mené à terme : appartenir moi-même à un parti.
Peut-être dois-je tout de suite à cette circonstance – au moins d'après ma propre croyance c'est ainsi – une certaine impartialité.


Maintenant ce que j'expose pour la tri-articulation de l'organisme social ne devrait véritablement pas correspondre à un quelque schématisme, mais partout, où on saisit la vie, cela se montre dans cette triarticulation. Vérifiez dans mon livre « Des énigmes de l'âme » : là il ne s'agit pas d'un schématisme, après lequel je veux répartir à peu près tout l'organisme naturel humain, comme Kant a réparti si finement soigneux la vie de l'esprit dans ses trois sections, mais là c'est ainsi que vraiment trois membres œuvrent l'un dans l'autre. Cela n'est pas schématisme, quand on décrit une quelque chose de la réalité, où il s'agit des trois membres et fait en cela ces trois membres nommables. C'est quelque chose de tout autre quand on réparti d'après des points de vue subjectifs, que quand on tente de rendre la réalité. Et cela repose tout de suite à la base de la manière de penser, qui ici sera faite valant ; que la réalité en tant que telle sera prise, que ne sera pas prétendu ce qui ne sera pas tout de suite dicté par la réalité elle-même.


J'aimerais vous le faire clair par un exemple. J'ai une fois dans une petite ville d'Allemagne du Sud tenu une conférence sur la sagesse du christianisme. Là étaient aussi deux prêtres catholiques. Et parce la conférence ne contenait pas ce qu'il pouvaient contester quand au contenu, ainsi ils vinrent à moi après et dirent : oui, voyez-vous nous ne pouvons rien dire contre ce que vous avez exposé aujourd'hui, mais vous exposez cela ainsi que vous parlez seulement à quelques humains qui tout de suite par leur formation sont prédestinés à écouter ces choses, pendant que nous parlons à tous les humains. - Je disais en ce temps-là : oui, savez-vous, que vous et moi, nous nous imaginons quelque peu que nous parlons à tous les humains, cela est subjectif, cela au fond chaque humain peut se l'imaginer ; car pourquoi devrait-il sinon absolument parler à des humains, s'il ne croyait pas que ce qu'il dit est universellement valable et éclairant. Mais de ce subjectif il ne s'agit pas du tout. Il s'agit de cela si les faits objectifs parlent et si on se comporte au sens de ces faits objectifs. Et maintenant je leur demande : vous dites, vous parlez à tous les humains, cela est votre opinion subjective, aussi votre aspiration subjective, ma foi, mais tous les humains vont-ils chez vous dans l'église ? Cela serait la preuve que vous parlez à tous les humains. Là ils ne pouvaient naturellement pas dire : oui, ce serait ainsi. Car là parlent les faits, pas les opinions subjectives. Maintenant je disais : cela nous le prenons maintenant comme un fait, et à ceux, qui ne vont pas chez vous à l'église, à ceux-là je parle, car ceux-là ont aussi un droit d'entendre du Christ.

Ainsi, on laisse parler la réalité. Là on ne schématise véritablement pas, ne s'oriente absolument pas d'après subjectif, mais tente d'interpréter ce que sont les véritables impulsions du temps. À partir de telles véritables impulsions du temps veut être parlé.

Vous pensez-vous la triarticulation de l'organisme social mise à exécution à l'intérieur des États existants ou comment ? Cela signifie, l'actuel État est-il le cadre avec ses frontières politiques aussi dans le nouvel ordre ?

Maintenant il est seulement possible, de former une quelque chose fructueuse quand ne veut pas taper court et petit, mais quand on est centré sur la véritable évolution, quand on travaille au sens de la véritable évolution. Vous avez peut être déjà pu remarquer, comme tout de suite à l'intérieur des idées d'organisme social triarticulé sera recherché après une organisation de la vie à partir de bases de science de l'esprit. Ces bases de science de l'esprit montreront aussi ce que des penseurs estimés négligent, notamment une véritable science de l'économie. Ce qui aujourd'hui est nommé science de l'économie, cela sont donc seulement des morceaux portés ensemble d'observations isolées. Cela n'est pas quelque chose qui vraiment pourrait devenir une impulsion pour la volonté sociale.Une véritable science de l'économie peut justement seulement grandi de bases de science de l'esprit.

Là se montreront maintes choses en rapport à la délimitation des organisations sociales. Par exemple, des lois se donnerons d'elles-mêmes à partir de la vie de l'économie, comment domaines économiques, territoires économiques devraient être délimités en eux-mêmes, ainsi qu'on puisse jeter un regard sur un futur sur lequel on devrait parler quelque peu de la manière suivante. Une véritable science de l'économie montre : quand les associations, desquelles je vous ai parlé dans la deuxième conférence et dans celle d'aujourd'hui, deviendront trop grosses, alors elles ne sont aussi plus possibles économiquement, quand elles deviennent trop petites elles ne sont aussi plus possibles économiquement. Par les conditions intérieures d'un territoire économique, par la production variée, par les branches variées, domaines variés, qui sont là, la grandeur de ce territoire est aussi déterminée. Si je voulais exprimer la loi pour cette grandeur, ainsi je devrais dire à peu près : de trop petits domaines économiques œuvrent par là dommageable, qu'ils ne laissent aucune place aux humains associés, dans une certaine mesure laissent mourir de faim les humains associés, de trop grands territoires économiques par contre œuvrent ainsi qu'elles nuisent à ceux se trouvant en dehors du territoire, les laissent mourir de faim. On peut en fait pour de plus petits points de vue économiques et aussi pour de plus grands points de vue économiques laisser déterminer la grandeur du territoire économique à partir de lois internes. Et il n'est aussi pas du tout requis – j'aurai encore à parler de cela -, quand l'organisme social est vraiment tri-articulé, que les frontières de l'esprit tombent ensemble avec les frontières de l'économie ou avec les frontières du droit. Une grande partie du malheur dans le présent qui s'est déchargé en cette terrible catastrophe guerrière mondiale – qui, comme je l'ai expliqué à la fin de la conférence d'hier, n'est absolument pas finie -, repose là dessus, que justement sous l'état unitaire on a laissé tomber partout ensemble frontières culturelles spirituelles, politiques, et économiques. Il s'agit donc de ce que d'une légalité interne, à partir de la vie vivante elle-même se montrera la grandeur des territoires.

Mais on doit compter avec l'évolution. C'est pourquoi le début devra tout d'abord être fait avec le donné. Et là on peut dire : tout d'abord, s'établira toutefois que les corporations et structures historiques doivent évoluer d'après cette impulsion de triarticulation de l'organisme social. Mais alors, quand elles ont de manières saines, je ne veux pas dire, mis à exécution, mais ont en soi, alors des lois de la vie se produira bien l'autre qui se montre alors.


Donc n'aurait pas le droit d'être répondu théoriquement à ces choses, mais à la mesure de la vie. Ainsi qu'on dit : ce qui se montre à peu près demain, cela sera premièrement la base pour après demain. Donc, il s'agit de de rendre attentif à une vie, pas d'inventer de quelconques programmes. De tels programmes sont terriblement bon marché, et ont déjà été véritablement assez inventés.

Le traitement des moyens de production agraires se différenciera-t-il de ceux industriels ?

Le traitement des moyens de production agraires, donc de préférence fond et sol – car aussi loin que viennent en considération d'autres moyens de production, ils sont donc aussi des moyens industriels de production -, se présente à l'un aujourd'hui sur le sol ce combat qui sera conduit par les réformateurs fonciers. Vous pouvez donc facilement vous approprier ce qui vient là en considération, quand vous remontez sur le réformateur foncier originel, sur Henry Georges « Progrès et pauvreté » et sur son souci de faire équilibrer, supprimer, par l'ainsi nommée « single tax » les injustices de l'ordonnance sociale qui pourront être créées par la valorisation du sol. Celui qui a la possession du sol peut gagner sans le moindre travail à fournir sous certaines circonstances. Ainsi sera tenté de ce côté là, de placer tout d'abord, au moins en certaines limites, les moyens de production agraires au service du commun.


Maintenant il y a beaucoup d'années, j'avais une fois une discussion avec Damaschke, qui donc en certains sens repose sur Henry George, et je lui disais cette fois-là : les moyens de production agraires n'ont pas, sans plus, le droit d'être confondus avec les moyens de production industriels, car il existe une différence considérable de l'un et l'autre qui conditionne tout l'ordre social.

Le sol a une grandeur déterminée, le sol n'est pas élastique. Quand deux maisons se trouvent l'une à côté de l'autre, se font limite l'une l'autre, ainsi on ne peut pas aussi, étirer le sol sur lequel elles sont, ainsi que là entre, pourra être construite une troisième maison.
Par contre, des moyens de production industriels pourront, j'aimerais dire, être maintenus en élasticité, pourront être multipliés. Cela provoque une grosse différence. C'est pourquoi les deux devront être traités différemment. Il n'est pas droit de transférer quelque peu sans plus sur le moyen de production fond et sol la théorie sociale démocrate, qui est de préférence taillée pour les moyens de production industriels. Ce dont il s'agit est ce que j'ai tout de suite dit aujourd'hui dans la conférence : que fond et sol, aussi bien que le moyen de production terminé, ne devraient pas être un objet de gestion (NDT économique), mais un objet du transfert de droit à partir de points de vue spirituels. Quand cela est le cas chez les deux, alors les différences ne se montrent pas de manière théorique, mais de la vie immédiate. Pensez par exemple seulement le suivant :
Les moyens industriels de production  s'usent, ils doivent toujours être rénovés. Chez les moyens de production agraires, cela est déjà à nouveau quelque peu autre, pas seulement, qu'ils ne sont pas élastiques, mais ils ne s'usent seulement que dans une mesure bien moindre, ils devront au moins être traités tout autrement que les moyens de production industriels.

Mais il existe encore un rapport essentiellement autre entre moyen de production agraire et moyen industriel de production. On aimerait penser à cela que, oui, une partie du rendement de l'industrie devra être utilisé pour amener l'industrie plus haut, pour la façonner toujours plus et plus. Là nous voyons qu'une partie de cela, que nous pouvons nommer l'administration du capital de l'industrie, sera à nouveau avalée par l'industrie.
Cela n'est pas le cas de la même manière chez les moyens de production agraires. Les livres (NDT comptables), s'ils étaient conduits comme livres d'ensembles pour une vie économique, indiqueraient deux pôles : l'un des pôles indiquerait à peu près vers la production de charbon, là on aurait, partant de la production de charbon, à peu près tous ces postes qui se promènent dedans l'industriel. L'autre pôle va vers le pain, si on écrivait ensemble tous les postes qui se rapportent au pain – au sens plus large évidemment, comme montrent les autres produits alimentaires qui seront créés par fond et sol -, si on les inscrivait, ainsi on verrait à peu près en ressortir ce que fournit fond et sol.


Maintenant beaucoup de ce qui dans ce livre d'ensemble serait fiché, quand fond et sol aussi bien que les moyens de production de l'économie seraient sortis et attribués à l'ordonnance du droit, à l'ordonnance de l'esprit, beaucoup de cela est recouvert par ce que l'industrie sera confondue avec l'administration de fond et sol.
On a donc seulement besoin d'être industriel et avoir des hypothèques sur fond et sol, ainsi la confusion est déjà là. Mais encore par nombreuses autres choses. Si cela n'était pas le cas, on verrait purement que l'économie mondiale se tient aujourd'hui ainsi – aussi paradoxal que cela semble pour maints aujourd'hui -, que fond et sol sont vraiment productifs, que l'ensemble de l'industrie n'estpas productive, mais est en vérité obtenue par les rendements de fond et sol. Aussi curieux que cela sonne aujourd'hui pour maintes gens, c'est malgré tout ainsi le cas.
Chaque entreprise industrielle est au fond ce qu'on nomme dans l'agriculture un bien qui broute (NDT fressendes Gut), cela signifie un bien qui en fait grignote ses bénéfices.

On ne regarde absolument pas aujourd'hui l'économie d'ensemble. Elle est recouverte par les circonstances les plus variées. Mais dans la vie réelle se montreraient les points de vue qui peuvent donner la mesure lors du transfert aussi bien des moyens agraires de production d'un côté, comme des moyens industriels de production de l'autre côté.

Au pôle industriel ce sera donc de préférence les capacités spirituelles individuelles des humains, ce qu'ils peuvent, ont appris, ce à quoi ils sont adaptés, qui viennent en considération à ce transfert. Au transfert agraire vient autre chose en considération, là vient par exemple en considération l'avoir-grandi-ensemble de l'humain avec fond et sol. Là devra absolument être tenu compte que celui-là, qui a les meilleures capacités pour continuer à travailler fond et sol, ne pourra être choisi de manière abstraite d'après son tempérament spirituel, mais devra d'une certaine manière avoir grandi ensemble avec sol. Quand de la manière correcte tout de suite dehors à la campagne pourrait être fait compris le sens de la triarticulation, ainsi l'ensemble de la paysannerie y souscrirait.
Évidemment, quand un quelconque sort qui se tient dans le mauvais appel d'un cultivé ; alors, les gens naturellement ne l'écouteront pas, alors il n'a rien à dire, mais quand la chose sera amenée aux gens de la manière correcte, ils n'auront rien du tout contre. Car en fait sera donc agit d'après ce principe, tout de suite parmi les gens de la terre (NDT Agrariertum). Pas dans la grande propriété foncière, mais dans la paysannerie sera, aussi loin que l’État n'intervient pas gênant, penser et agit absolument pour l'essentiel en ce sens.

Il s'agit donc de ce que les points de vue se montrent dans le concret et à partir de cela. Des programmes n'auront pas le droit d'être faits pour un ordre social capable de vie, mais il s'agit de caractériser ainsi que la vie peut réussir. La vie a alors encore quelque chose à faire.


Voyez-vous, cette impulsion de la triarticulation sociale qui ici sera exposée se différencie de toute sorte de programmes qui donc aujourd'hui en fait sont bon marché comme des mûres. Ces programmes sociaux, ils échafaudent : premièrement, deuxièmement, troisièmement et ainsi de suite. En fait, ils schématisent tout. Cette omniscience, l'idée de la tri-articulation ne se l'attribue absolument pas, mais elle veut que les humains puissent oeuvrer ensemble à partir d'eux-mêmes ainsi qu'ils viennent à former l'organisme social approprié.
Elle aimerait seulement amener les humains dans de tels rapports que de cela peut apparaître une ordonnance sociale correspondante. Quand on ne comprendrait que cela, que cela est une différence principale entre l'impulsion de la tri-articulation et l'autre, qui aujourd'hui apparaît, ainsi on verrait, comme cette tri-articulation tout de suite crée justement à partir de la pleine réalité.

J'ai pour cela souvent dit aux gens : il ne s'agit pas du tout de si ça ou cet autre devrait être ainsi ou autrement. Ma foi, j'aimerais même dire radical : on attaquerait la chose, peut être s'en montre que ne reste plus une pierre sur l'autre, mais il naîtra quelque chose qui très certainement a stabilité parce que la réalité est saisie à un coin. Tout de suite quand on saisit la réalité, ainsi se montre peut-être quelque chose de tout autre à ce qu'on a tout d'abord dit de programmatique. Mais il s'agit de cela, non pas d'installer un programme, mais d'indiquer comme on a à saisir la réalité.


Au début des réponses aux questions, un visiteur avait pris la parole pour de plus longs exposés. Dr Steiner répond là dessus.

Maintenant encore quelques mots en rapport à ce qu'a dit le cher Monsieur orateur précédent. Il disait par exemple, la triarticulation a toujours existé. Je comprenais très bien qu'il a exprimé cela, car il a, ce que j'ai dit, confondu avec quelque chose d'autre. Il a aussi clairement évoqué qu'il le confond : il parlait toujours de la « triarticulation du socialisme », si je l'ai entendu correctement.


Je ne parlerais naturellement jamais de la « triarticulation du socialisme ». Cela m'apparait comme une complète impossibilité. Car le socialisme peut naturellement comme conception du monde être seulement quelque chose d'unitaire. Et seulement quand on pense si abstrait, on est tenté de dire : maintenant la vie était donc toujours tripartite, pourquoi doit-on premièrement parler de cette triarticulation, tripartition de la vie ?

Oui, cela est tout de suite de quoi il s'agit ! Certainement, la vie était toujours tripartite, et il ne s'agit pas de cela qu'on tripartitionne tout de suite la vie. Cela se partage de soi-même. Il s'agit de cela que dans l'administration de la vie on a pas toujours atteint la manière correcte, justement pour administrer, pour ordonner, pour orienter la vie triarticulée. C'est donc une évidence que la vie est triarticulée. C'est donc de cela qu'on parle tout de suite ! Parce que la vie est triarticulée, on demande : comment devrions-nous le faire, quand une unité devrait en sortir, que celle-ci en sorte vraiment ? - Elle n'est pas sortie pour les derniers siècles et le présent. Donc, à cause de cela il s'agit de trouver un nouveau chemin. C'est au plus haut sens – quand elle croit aussi être bienveillante à la réalité – une manière de penser abstraite, étrangère à la vie quand on veut écarter avec des évidences ce qui absolument compte avec ces évidences, mais tout de suite à partir de ces évidences reconnaît la nécessité que justement la vie devrait être formée conformément à ces évidences.

Dans la vie cela arrive justement seulement trop souvent qu'on pousse de telles évidences dans un faux chenal et de cela proviennent alors les crises de vie. C'est cela sur quoi j'aimais en particulier rendre attentif.


Justement ainsi c'est vraiment une pire façon de parler quand on dit : de l'économie ensemble avec l'esprit vient le droit. Maintenant, certes, cela vient déjà si une fois l'organisme triarticulé est là, alors viendra aussi le droit. Mais cela viendra justement de la manière dont on trouve comment, cela devrait venir. Les humains doivent l'instituer. Donc on doit réfléchir sur la méthode, comment ils devraient l'instituer.

Alors ont encore été dites maintes autres choses dignes d'être suivi sur le rattachement de vie spirituelle et travail pratique. Je n'aimerais pas arriver sur personnel, sinon je pourrais facilement prouver au cher orateur précédent comment je me suis efforcé durant toute ma vie, de relier travail pratique avec vie de l'esprit.
Mais on a seulement pas le droit d'exiger de moi ce qu'on a exigé de moi dans maintes discussions : que dans ce domaine la vie pratique devrait consister en ce qu'on collabore dans le cadre d'un quelque parti. Cela maints l'on notamment compris avec le « travailler social pratique ». Ce travailler social pratique est parfois un travailler social très théorique et non pratique. Donc on n'a absolument pas le droit de le confondre avec véritable pratique de la vie.

Alors a été dit que quand devait se montrer vraiment une amélioration, une guérison des conditions, il s'agirait de ce que la compagnie des travailleurs ( NDT Arbeiterschaft) s'occupe vraiment avec les fondements spirituels de la vie sociale. Je suis complètement d'accord avec cela, mais crois aussi avoir déjà évoqué dans ces conférences les moyens corrects par lesquels les travailleurs peuvent justement s'occuper avec les questions spirituelles. J'ai déjà rendu attentif là dessus que des années durant j'ai été professeur à une école de formation de travailleurs, que j'ai très bien trouvé là la compagnie des travailleurs, aussi le ton pour tout de suite parler scientifiquement aux cœurs des travailleurs. Seul alors les dirigeants sont venus, ceux-là m'ont foutu dehors, si je devais dire cela en allemand, parce qu'ils voulaient qu'eux seulement soient écoutés et que seulement sera écouté ce qu'ils ordonnent que serait représenté. Je vous ai déjà raconté cela précédemment dans ces conférences. Alors que je disais : si la liberté d'enseigner ne devait pas régner ici, où doit-elle donc régner ? - Là répondit un des dirigeants : liberté d'enseignement, cela ne peut être chez nous, une contrainte raisonnable, c'est cela dont il s'agit !

Oui, voyez-vous, je pourrais vous exposer beaucoup ensemble avec ce qui serait un bon moyen par lequel les travailleurs actuels pourraient venir en fait à la saisie des bases spirituelle pour une réorganisation sociale. Ce moyen serait celui-là : se dire détaché de la plupart des actuels dirigeants, qui absolument n'ont pas à l’œil d'amener de manière sincère une réorganisation sociale, mais qui ont quelque chose de tout à fait autre à l’œil, mais auxquels sera encore beaucoup plus obéit sous beaucoup de rapports – cela a tout de suite montré la pratique de l'oeuvrer dans la triarticulation sociale -, que sera obéit par les catholiques à leur archevêque. Cela est quelque chose qui devrait pris à coeur. Et je suis convaincu de cela. Il règne aujourd'hui tant de sens sain dans les larges masses du peuple que dans l'instant où maint dirigeant tomberait, apparaîtrait beaucoup de véritable saine raison sociale. Nous avons aujourd'hui besoin que les humains se cristallisent à nouveau autour d'idées, autour de véritables impulsions idéelles, à partir desquelles la vie pourra être formée, afin que les vieux modèles de partis et programmes de partis soient surmontés, car ce sont eux, qui principalement empêchent une raison saine et aussi une activité saine au sens d'une telle raison.

On doit seulement aussi là, à partir de la pleine réalité, rechercher ce qui peut conduire au salut. La pure revendication ne le fait pas, tout de suite aussi peu que le fait la pure revendication : abolition du capital – mais comment on doit voir, comment le capital devrait œuvrer. Alors « abolition », cela est facile. Cela signifie, ce n'est pas facile à cause de ce que cela conduit à la ruine. Mais quand on devrait sortir par dessus les dommages du capitalisme, alors quelque chose d'autre est nécessaire. Comme c'est nécessaire, sur ce domaine concret de regarder dans la réalité, ainsi il est déjà aussi nécessaire, dans l'actuelle vie humaine de regarder dedans la pleine réalité de se dire que les partis ne vivent très souvent encore que des abstraites continuations de leurs programmes, mais qu'elles ne correspondent plus avec la vie. Mais cela est nécessaire en particulier là, où il s'agit d'une véritable nouvelle organisation sur le domaine de la vie sociale.

C'est cela que j'aimais dire aujourd'hui bien que pour l'éclaircissement de telles questions maint devrait encore être souligné.

Im zweiten Vortrage habe ich bereits skizziert, wie eine solche Gestaltung des Geistes-, Rechts- und Wirtschaftslebens, wie ich sie zu schildern versuchte in den drei vorangegangenen Vorträgen, nur erreichbar ist dadurch, daß dasjenige, was man bisher als einen streng in sich gestalteten Einheitsstaat gedacht hat, dreigegliedert werde, zum dreigliederigen sozialen Organismus werde, das heißt, daß alles, was sich auf Rechts-, politische, Staatsverhältnisse bezieht, in einem demokratischen Parlamente seine Verwaltung finde, daß dagegen abgegliedert werde von dieser politischen oder Rechtsorganisation alles, was sich auf das Geistesleben bezieht einerseits und dieses Geistesleben in seiner Freiheit selbständig verwaltet werde; daß sich andererseits abgliedere vom politischen das wirtschaftliche Leben, das wiederum aus seinen eigenen Verhältnissen heraus, aus seinen eigenen Bedingungen heraus seine Verwaltung finde, begründet auf Sachkenntnis und Fachtüchtigkeit.

Nun wird ja immer wieder der Einwand erhoben, daß eine solche Gliederung des sozialen Organismus der Notwendigkeit widerspreche, das gesellschaftliche Leben zu einer Einheit zu formen, denn alle einzelnen Einrichtungen, alles einzelne, was der Mensch vollbringen kann innerhalb des sozialen Organismus, müsse zusammenstreben zu einer solchen Einheit. Und eine solche Einheit würde durchbrochen, so wird gesagt, wenn man versuche, den sozialen Organismus in drei Glieder zu zersprengen. — Ein solcher Einwand ist aus den Denkgewohnheiten der Gegenwart heraus ganz begreiflich und verständlich. Aber er ist, wie wir heute sehen wollen, durchaus nicht gerechtfertigt. Er ist verständlich, weil man ja nur zunächst hinzuschauen braucht auf das wirtschaftliche Leben selbst: wie in diesem wirtschaftlichen Leben im kleinsten alles zusammenfließt, Geistiges, Rechtliches und eigentlich Wirtschaftliches. Demgegenüber kann man schon sagen: Wie soll da irgendeine Trennung, eine Gliederung zu einem Heil kommen?

Nehmen wir nur einmal das Wertproblem der Waren, der Güter selbst, so werden wir finden, daß der Güter-, der Warenwert für sich schon Dreifaches zeitigt, Dreifaches aber, das, indem das Gut im sozialen Organismus produziert wird, zirkuliert und konsumiert wird, sich als eine Einheit, ich möchte sagen, gebunden an die Einheit des Gutes, zeigt in der folgenden Weise: Was bedingt den Wert eines Gutes, durch das der Mensch seine Bedürfnisse befriedigen kann? — Zunächst muß der Mensch subjektiv irgendwelchen Bedarf für dieses Gut haben. Sehen wir aber zu, wodurch sich ein solcher Bedarf bestimmt. Das hängt zusammen, erstens, selbstverständlich mit der leiblichen Artung des Menschen. Die leibliche Artung bedingt namentlich den Wert der verschiedensten materiellen Güter. Aber auch materielle Güter werden verschieden beurteilt, je nachdem der Mensch diese oder jene Erziehung durchgemacht und diese oder jene Ansprüche hat. Und erst, wenn es sich um geistige Güter handelt, die ja oft gar nicht getrennt werden können von der Sphäre der leiblichen, physischen Güter, da werden wir sehen, daß die ganze Verfassung des Menschen durchaus die Art und Weise bedingt, wie einer irgendein Gut bewertet, was er für irgendein Gut für eine Arbeit leisten möchte, was er aufbringen möchte an eigenen Leistungen für solch ein Gut. Da sehen wir, daß das geistige Element, das im Menschen lebt, bestimmend ist für den Wert eines Gutes, für den Wert einer Ware.

Auf der anderen Seite sehen wir, daß ja die Waren, indem sie ausgetauscht werden zwischen Mensch und Mensch, gebunden sind an Besitzverhältnisse, das heißt auch nichts anderes als an Rechtsverhältnisse. Indem irgendein Mensch von einem anderen ein Gut erwerben will, stößt er auf Rechte, die der andere in irgendeiner Weise an diesem Gut hat. So daß das Wirtschaftsleben, die Wirtschaftszirkulation durchaus durchdrungen ist von lauter Rechtsverhältnissen.

Und zum dritten: Ein Gut hat auch einen objektiven Wert, nicht nur denjenigen Wert, den wir ihm beilegen durch unsere Bedürfnisse und die subjektive Bewertung dieser Bedürfnisse, die sich dann auf das Gut überträgt, sondern ein Gut hat einen objektiven Wert, indem es haltbar oder unhaltbar, dauerhaft oder nicht dauerhaft ist, indem es durch seine Natur mehr oder weniger brauchbar ist, indem es mehr oder weniger häufig oder mehr oder weniger selten ist. Das alles bedingt einen objektiven, einen eigentlich wirtschaftlichen Wert, zu dessen Bestimmung eine objektive Sachkenntnis und zu dessen Herstellung eine objektive Fachtüchtigkeit notwendig ist.

Aber diese drei Wertbestimmungen sind in dem Gute zu einer Einheit vereinigt. Und daher kann man mit Recht sagen: Wie soll also, was in dem Gute sich vereinigt, in drei Verwaltungsgebiete getrennt werden, die sich auf dieses Gut beziehen, die mit diesem Gute in seinen Zirkulationen irgend etwas zu schaffen haben?

Nun, zunächst handelt es sich, rein der Idee nach, darum, einzusehen, daß sich allerdings im Leben Dinge vereinigen können, die von den verschiedensten Seiten her verwaltet werden. Warum sollte nicht auf der einen Seite das, was der Mensch subjektiv von sich aus an Wertschätzung den Gütern entgegenbringt, von seiner Erziehung aus, die ihre selbständige Verwaltung hat, bestimmt sein? Warum sollte nicht von ganz anderer Seite her das in das wirtschaftliche Leben hinein-gestaltet werden, was Rechtsverhältnisse sind, und warum sollte nicht hinzukommen zu alldem und sich im Objekte zu einer Einheit vereinigen, was aus der Sachkenntnis und Fachtüchtigkeit an objektivem Werte dem Gute zukommt? Aber das ist zunächst ideell und hat nicht viel besonderen Wert. Es muß vielmehr tiefer begründet werden, was in dieser Richtung die Dreigliederung des sozialen Organismus eigentlich will.

Und da muß zunächst gesagt werden: Diese Dreigliederung des sozialen Organismus ist nicht irgendeine Idee, die heute aus subjektiven Antrieben eines oder ein paar Menschen heraus gefaßt wird, sondern dieser Impuls von der Dreigliederung des sozialen Organismus ergibt sich aus einer objektiven Betrachtung der geschichtlichen Entwickelung der Menschheit in der neueren Zeit. So daß man sagen kann: Eigentlich schon seit Jahrhunderten tendiert unbewußt die Menschheit in den wichtigsten Antrieben nach dieser Dreigliederung. Sie hat nur niemals die Kraft gefunden, diese Dreigliederung wirklich durchzuführen, und aus dem Mangel an dieser Kraftentwickelung sind unsere heutigen Zustände, ist das Unheil unserer Umgebung entstanden. Heute aber sind die Dinge so weit reif, daß man sagen muß: Es muß in Angriff genommen werden, was sich seit Jahrhunderten für die Gestaltung des sozialen Organismus vorbereitet hat.

Zunächst muß man sagen: Es hat sich ja eigentlich seit langer Zeit das wirklich freie Geistesleben abgegliedert von dem Staatsleben und von dem Wirtschaftsleben. Denn das Geistesleben, das abhängig ist vom Wirtschaftsleben und vom Rechts- und Staatsleben, dieses Geistesleben ist eben durchaus kein freies. Es ist ein Stück Geistesleben, das losgerissen worden ist von dem eigentlich fruchtbaren freien Geistesleben. Wir können vielmehr sagen, daß im Beginne der Zeit, in der der Kapitalismus, in der die moderne technische Wirtschaftsordnung mit ihrer großartigen Arbeitsteilung heraufgekommen ist, daß in dieser Zeit das eigentlich freie Geistesleben — jenes Geistesleben, das nur aus den Antrieben der Menschen selbst heraus schafft, so wie ich es gestern für das gesamte Geistesleben gefordert habe —, daß dieses freie Geistesleben, aber eben nur als ein Teil des Geisteslebens, in gewissen Gebieten der Kunst, der Weltanschauung, der religiösen Überzeugungen sich losgelöst hat vom Wirtschaftsleben und vom Staatsleben und gewissermaßen zwischen den Zeilen des Lebens getrieben wird, während wiederum losgerissen ist von diesem freien, aus den menschlichen Antrieben selbst heraus schaffenden Geistesleben, was das Wirtschaftsleben zu seiner Verwaltung braucht, was der Staat zu seiner Verwaltung braucht.

Was das Wirtschaftsleben zu seiner Verwaltung braucht, ist abhängig geworden von den wirtschaftlichen Mächten selbst. In den Stellen, in den Kreisen, in denen wirtschaftliche Macht ist, ist die Möglichkeit vorhanden, die Nachkommen auch wirtschaftswissenschaftlich vorzubilden, so daß sie wiederum geeignet sind, wirtschaftliche Macht zu erringen. Aber was da als Wirtschaftswissenschaft aus der Wirtschaft selbst hervorgeht, ist nur ein Teil desjenigen, was hineinfließen könnte in das Wirtschaftsleben, wenn das gesamte Geistesleben für das Wirtschaftsleben fruchtbar gemacht würde. Es ist nur das, was von der Zufallswirtschaft noch für das Nachdenken übrigbleibt, und was dann zur Wirtschaftswissenschaft gemacht wird.

Und wiederum das Staatsleben: Der Staat braucht seine Beamten, ja selbst seine Gelehrten so, daß sie den Schablonen entsprechen, die er einmal für seine Stellungen ausgebildet hat. Er wünscht, verlangt, daß in dem Menschen das herangebildet werde, was sich hineinschickt in den Umkreis dessen, was er für seine Stellungen bestimmt hat. Das aber ist ein unfreies Geistesleben, selbst wenn es wähnt, frei zu sein. Es bemerkt nicht seine Abhängigkeit, es bemerkt nicht, wie es in die Grenze der Stellungsschablonen hineingestellt wird.

Das eigentlich freie Geistesleben aber hat sich, unabhängig vom Wirtschaftsleben, vom Staatsleben, immerhin eine gewisse Stellung in der Welt erworben. Aber was für eine! Ich habe sie zum Teil schon charakterisiert. Es ist dieses Geistesleben, das sich seine Freiheit bewahrt hat, lebensfremd geworden. Es hat in einem gewissen Sinn einen abstrakten Charakter angenommen. Man braucht nur heute zu sehen, was in den ästhetischen, in den religiösen, selbst in den wissenschaftlich orientierten Weltanschauungen des freien Geisteslebens vorhanden ist, so wird man sehen: Es wird ja mancherlei gesagt, aber was gesagt wird, ist mehr oder weniger nur Predigt für die Menschheit. Es ist da, um den Verstand und das Gemüt zu ergreifen. Es ist da, um im Inneren des Menschen eine Rolle zu spielen, die Seele mit innerem Wohlbehagen und Wohlgefühl zu erfüllen, aber es hat nicht die Kraft, nicht die Stoßkraft, wirklich ins äußere Leben einzugreifen. Daher ist auch der Unglaube an dieses Geistesleben gekommen, jener Unglaube, den ich auch charakterisiert habe, der da ausgeht von sozialistischer Seite, der da sagt: Niemals wird irgendeine soziale Idee, und wenn sie noch so gut gemeint ist, wenn sie bloß aus dem Geiste heraus geboren ist, das soziale Leben umgestalten. Dazu bedarf es realer Kräfte. -- Und zu den realen Kräften wird eben dieses abgespaltene Geistesleben gar nicht gerechnet. Wie weit entfernt ist das — ich habe das auch schon ausgesprochen was heute als sein inneres, religiöses, selbst sein wissenschaftliches Überzeugungsleben der Kaufmann, der Staatsbeamte, der industriell Tätige hat, von den Gesetzen, die er anwendet im wirtschaftlichen Leben, in seiner äußeren Stellung, in der Verwaltung öffentlicher Angelegenheiten! Vollständig eine zweifache Würdigung des Lebens! Auf der einen Seite gewisse Grundsätze, die aber ganz hervorgegangen sind aus Wirtschafts- und Staatsleben, auf der anderen Seite ein Rest von Freiheit, von Geistesleben, der aber zur Ohnmacht gegenüber den äußeren Angelegenheiten des Lebens verurteilt ist.

Das muß auf der einen Seite gesagt werden, daß sich ein einheitliches freies Geistesleben schon seit Jahrhunderten abgegliedert hat, daß aber, weil man es nicht anerkennen wollte in der Gestaltung des öffentlichen Lebens, dieses freie Geistesleben abstrakt, lebensfremd geworden ist. Es fordert dieses Geistesleben aber heute, weil man den Einfluß des Geistes auf das äußere soziale Leben braucht, seine Macht, seine Kraft zurück. Das ist die Situation, die uns heute gegeben wird.

Einen anderen Weg hat das Rechtsleben genommen. Während das Geistesleben sich gewissermaßen, insoferne es ein freies ist, emanzipiert hat, hat das Rechtsleben sich im Laufe der letzten Jahrhunderte vollständig verschmelzen lassen mit den wirtschaftlichen Machtverhältnissen. Man hat es gar nicht bemerkt, aber beide sind völlig eins geworden. Was wirtschaftliche Interessen und Bedürfnisse waren, das wurde in öffentlichen Rechten ausgedrückt. Diese öffentlichen Rechte hält man oftmals für Menschheitsrechte. Genau besehen sind sie nur in den Rechtscharakter umgesetzte wirtschaftliche und staatliche Interessen und Bedürfnisse. Während das Geistesleben auf der einen Seite seine Kraft fordert, sehen wir auf der anderen Seite, wie nun eine Verwirrung eingetreten ist mit Bezug auf die Beziehung von Rechts- und Wirtschaftsverhältnissen. Weite Kreise unserer heutigen Bevölkerung durch die zivilisierte Welt hindurch fordern in dem, was sie die soziale Frage nennen, weitere Zusammenschweißung des Rechtslebens und des Wirtschaftslebens. Wir sehen, wie unter politischen, unter Rechtsbegriffen das gesamte Wirtschaftsleben gestaltet werden soll. Und wenn wir die bei vielen heute beliebten Schlagworte ansehen, was sind sie denn anderes als die letzte Konsequenz der Verschmelzung des Rechtslebens mit dem Wirtschaftsleben? Wir sehen heute die weite Kreise ziehende radikalsozialistische Partei fordern, daß — wie ich es hier schon ausgesprochen habe -- über das Wirtschaftsleben ein politisches System zentral, hierarchisch übergebauter, gegliederter Verwaltungen gestülpt werde. Ganz eingefaßt werden soll das Wirtschaftsleben in lauter Rechtsverhältnisse. Wir sehen geradezu, wie die Macht der Rechtsverhältnisse ganz und gar ausgedehnt werden soll über die Wirtschaftsverhältnisse.

Das ist das andere, was als die Krisis in unserer Zeit eintritt, was man dadurch aussprechen kann, daß man sagt: Indem in radikaler Weise diese politischen und Rechtsverhältnisse für das Wirtschaftsleben gefordert werden, soll gewissermaßen die Tyrannis des Staates, des Rechtssystems über das wirtschaftliche Wesen hereinbrechen. Wir sehen, daß für das Wirtschaftsleben und seine Heilung nicht eine Gestaltung des Wirtschaftslebens gefordert wird, die aus wirtschaftlichen Verhältnissen heraus selber gebildet ist, sondern daß Eroberung der politischen Macht gefordert wird, aber Eroberung der politischen Macht von dem Gesichtspunkte aus, das Wirtschaftsleben durch diese politische Macht an sich zu bringen und zu beherrschen. Diktatur des Proletariats, was ist es anderes, als die letzte Konsequenz der Zusammenschweißung von Rechts- oder Staatsleben und Wirtschaftsleben?

So wird hier, freilich auf eine negative Art, bewiesen, wie nötig es heute ist, über das Verhältnis von Rechts- oder Staatsleben und Wirtschaftsleben gründlich nachprüfend zu Werke zu gehen. So sieht man auf der einen Seite, daß das in einem Teil seiner Kraft freie Geistesleben sich emanzipiert hat und seine ursprüngliche Kraft fordert; so sieht man auf der anderen Seite, daß das Rechtsleben, wenn es weiter immer enger und enger an das Wirtschaftsleben gebunden werden soll, den ganzen sozialen Organismus in Unordnung bringt.

Genügend lange hat es gewährt, daß unter der Suggestion des Einheitsstaates, des einheitlichen sozialen Organismus gedacht wurde. Heute ist die Zeit gekommen, wo die Frucht dieses Denkens uns entgegentritt in dem sozialen Chaos, das über einen großen Teil der zivilisierten Welt ausgegossen ist. Die wirtschaftlichen Zustände fordern im strengsten Sinne, getrennt zu werden von dem Rechtsleben, weil es sich gezeigt hat, welchen Unfug dieses Rechtsleben selber nach und nach für das Wirtschaftsleben anrichten müßte, wenn die letzte Konsequenz von dem gezogen würde, was sich im Lauf der letzten Jahrhunderte herausgebildet hat.

Mit diesen Tatsachen rechnet der Impuls vom dreigliederigen sozialen Organismus. Und ich möchte Ihnen an einem anschaulichen Beispiel zeigen, wie durch diese Tatsache gerade dasjenige auseinandergerissen worden ist, was im Leben als eine Einheit wirken sollte. Man sagt heute, die Dreigliederung des sozialen Organismus wolle die Einheit des sozialen Lebens zerreißen. Man wird in der Zukunft sagen: Diese Dreigliederung begründet erst im rechten Sinne diese Einheit. Daß das abstrakte Streben nach der Einheit gerade diese Einheit zerstört hat, das kann man eben an einem anschaulichen Beispiel sehen. Heute sind gewisse Leute außerordentlich stolz darauf, den theoretischen Unterschied zu machen zwischen Recht und Moral. Moral ist die Schätzung einer Handlung eines Menschen rein nach inneren Gesichtspunkten der Seele. Die Beurteilung einer Handlung, ob sie gut oder böse ist, wird nur von solchen inneren Gesichtspunkten der Seele geleitet. Und man unterscheidet sehr sorgfältig, gerade in Weltanschauungsfragen, von dieser moralischen Beurteilung die rechtliche Beurteilung, die das äußere öffentliche Leben angehe, die bestimmt sein soll durch die Verfügungen, durch die Maßnahmen des staatlichen oder sonstigen sozialen öffentlichen Lebens.

Von dieser Trennung von Moral und Recht wußte man die ganze Zeit nichts bis zu jenem Zeitpunkte, als die neuere technische wirtschaftliche Entwickelung und der neuere Kapitalismus heraufzogen. Erst in den letzten Jahrhunderten wurden die Impulse des Rechtes und der Moral auseinandergerissen. Und warum? Weil die moralische Beurteilung abgewälzt wurde in jenes freie Geistesleben hinein, das sich emanzipiert hat, das aber gegenüber dem äußeren Leben machtlos geworden ist, das gewissermaßen nur zum Predigen, zum Beurteilen da ist, dem aber die Kraft geschwunden ist, wirklich einzugreifen in das Leben. Diejenigen Maximen aber, die in das Leben eingreifen können, die brauchen, weil sie rein menschliche Antriebe nicht mehr finden können, die auf die Moral abgeschoben sind, wirtschaftliche Antriebe, und die werden dann in das Recht umgesetzt. So ist mitten auseinandergerissen, was im Leben wirkt: Rechtsbestimmung und ihre Durchwärmung mit menschlicher Moral — mitten auseinandergerissen zu einer Zweiheit, was gerade eine Einheit sein sollte.

Wer daher die Entwickelung der modernen Staaten genauer studiert, der wird finden, daß gerade die Suggestion des Einheitsstaates eine Trennung der Kräfte herbeigeführt hat, die eigentlich zu einer Einheit zusammenwirken sollen. Gerade gegen diese Trennung will der Impuls von der Dreigliederung des sozialen Organismus wirken. Schon wenn man das eigentliche Prinzip dieses Impulses richtig betrachtet, wird man sehen, daß von einer Spaltung des Lebens dabei gar nicht die Rede sein kann.

Das Geistesleben, das seine eigene Verwaltung haben soll — steht nicht jeder Mensch zu diesem Geistesleben, wenn es so, wie ich es geschildert habe, völlig frei sich entwickelt, in einer Beziehung? Er wird in diesem freien Geistesleben erzogen, er läßt wiederum seine Kinder erziehen, er hat seine unmittelbaren geistigen Interessen bei diesem Geistesleben, er ist mit diesem Geistesleben verbunden. Und dieselben Menschen, die auf diese Weise mit diesem Geistesleben verbunden sind, die ihre Kraft aus diesem Geistesleben ziehen, stehen im Rechts- oder Staatsleben und bestimmen in diesem, was als Rechtsordnung zwischen ihnen wirkt. Sie bestimmen aus dem Geiste heraus, den sie aus diesem Geistesleben aufnehmen, diese Rechtsordnung. Diese Rechtsordnung ist unmittelbar bewirkt durch das, was durch die Beziehung zum Geistesleben erworben wird. Und wiederum, was von Mensch zu Mensch demokratisch auf dem Boden der Rechtsordnung entwickelt wird, das, was so der Mensch aufnimmt als den Impuls seiner Beziehung zu anderen Menschen, das trägt er, weil es ja wiederum dieselben Menschen sind, die zum Geistesleben Beziehungen haben, im Rechtsleben drinnen-stehen und wirtschaften, hinein in das Wirtschaftsleben. Die Einrichtungen, die er trifft, die Art und Weise, wie er sich mit anderen Menschen assoziiert, die Art und Weise, wie er überhaupt wirtschaftet, das alles ist durchdrungen von dem, was er im Geistesleben ausbildet, was er als Rechtsordnung regelt im Wirtschaftsleben, denn dieselben Menschen sind es, die in dem dreigegliederten sozialen Organismus drinnen-stehen, und nicht durch irgendeine abstrakte Ordnung, sondern durch den lebendigen Menschen selber wird die Einheit bewirkt. Nur daß jedes der Glieder seine eigene Natur und Wesenheit durch seine Selbständigkeit sich ausbilden und so gerade in der kraftvollsten Weise zur Einheit wirken kann. Jedes der Glieder kann so wirken, während wir eben sehen können, wie durch die Suggestion des Einheitsstaates gerade das, was im Leben zusammengehört, selbst was so innerlich zusammengehört wie Recht und Moral, auseinanderfällt. Also nicht um Zusammengehöriges zu trennen, sondern um Zusammenwirkendes oder dasjenige, was zum Zusammenwirken bestimmt ist, wirklich zum Zusammenwirken zu bringen, macht sich der Impuls für die Dreigliederung des sozialen Organismus geltend.

Das Geistesleben, das ich gestern geschildert habe, das kann nur auf seinem eigenen freien Boden sich entwickeln. Aber wenn es sich auf seinem eigenen freien Boden entwickelt, dann wird es, wenn man ihm zugesteht, daß es gleiches Recht habe neben den beiden übrigen Gliedern des sozialen Organismus, nicht ein lebensfremdes Gebilde sein wie dasjenige Geistesleben, das sich seit Jahrhunderten eben lebensfremd und abstrakt entwickelt hat, sondern es wird die Stoßkraft entwickeln, unmittelbar in das wirkliche, äußerlich wirkliche Rechts- und Wirtschaftsleben einzugreifen. Es könnte als ein grotesker, als ein paradoxer Widerspruch erscheinen, wenn auf der einen Seite behauptet wird, das Geistesleben solle völlig selbständig werden, solle sich aus seinen eigenen Grundlagen heraus, so wie ich es gestern geschildert habe, entwickeln, und es könne doch auf der anderen Seite eingreifen in die praktischsten Gebiete des Lebens. Aber gerade dann, wenn der Geist sich selber überlassen ist, dann entwickelt er die Impulse, die das ganze Leben umfassen können. Denn dieser sich selbst überlassene Geist, der ist nicht darauf angewiesen, hinzuhorchen auf das, was der Mensch in sich ausbilden soll zum Zwecke irgendeiner Staatsschablone; er ist nicht bestimmt dadurch, daß nur derjenige ausgebildet werden kann, dem eine gewisse wirtschaftliche Macht zusteht, sondern es wird aus den Bedingungen der menschlichen Individualität heraus, aus der Beobachtung der menschlichen Fähigkeiten heraus entwickelt, was zutage treten will in irgendeiner Generation.

Das aber, was so zutage treten will in irgendeiner Generation, das wird, weil der Geist sein Interesse über das ganze Leben hin ausdehnt, nicht nur die Natur in ihren Erscheinungen und Tatsachen umfassen, sondern das wird vor allen Dingen das Menschenleben selbst umfassen. Wir waren verurteilt, unpraktisch zu sein auf geistigem Gebiete, weil uns für das freie Geistesleben nur diejenigen Gebiete überlassen waren, die nicht eingreifen durften in die äußere Wirklichkeit. In dem Augenblicke, wo man dem Geiste es zugestehen wird, nicht bloß zu registrieren, was Parlamente als Staatsrecht bestimmen, sondern wo er von sich aus, wie es sein soll, das Staatsrecht zu bestimmen hat, in diesem Augenblicke wird er das Staatsrecht zu seiner Schöpfung machen und er wird eingreifen in das Getriebe, in die Ordnung der Wirtschaft in dem Augenblicke, wo man nicht bloß nach einer sich selbst überlassenen Wirtschaft, die nach ihren Tatsachen weiterrollt, ohne daß sie von Gedanken beherrscht wird, gewisse Gesichtspunkte und Maximen ausbilden wird für dieses Wirtschaftsleben, sondern wenn es dem Geiste überlassen wird, in dieses Wirtschaftsleben einzugreifen. Dann wird er sich auch fähig erweisen zur Lebenspraxis innerhalb des Wirtschaftskreislaufes. Man braucht ihm nur die Kraft zuzugestehen, ins praktische Leben einzugreifen, dann wird er es tun. Aber diese Wirklichkeitsanschauung ist notwendig, daß man den Geist nicht hermetisch abschließe in die Abstraktion, sondern daß man ihm den Einfluß in das Leben gebe. Dann wird er aus sich heraus jederzeit das Wirtschaftsleben gerade befruchten, während es sonst unbefruchtet bleibt oder nur durch Zufallserscheinungen befruchtet wird.

Das muß berücksichtigt werden, wenn man klar sehen will, wie im dreigliederigen sozialen Organismus Geist, Recht und Staat und Wirtschaft zusammenwirken sollen. Über diese Dinge sind auch sehr einsichtige Persönlichkeiten der Gegenwart durchaus im unklaren. Diese einsichtigen Persönlichkeiten sehen oftmals, wie sich unter dem Wirtschaftsleben, das gewissermaßen von sich den Geist herausgetrieben hat, Zustände entwickelt haben, die heute sozial unhaltbar geworden sind. Da haben wir einen heute sehr angesehenen Denker über das Wirtschaftsleben, der findet zum Beispiel das Folgende. Er sagt: Wenn wir uns heute das Wirtschaftsleben anschauen, so sehen wir vor allen Dingen ein Verbrauchssystem, das im höchsten Grade zu sozialen Schäden führt. Die Menschen, die es können, die verbrauchen dies oder jenes, was eigentlich nur Luxus ist. — Dieser Denker weist darauf hin, weiche Rolle das, was er Luxus nennt, im Leben der Menschen heute spielt, welche Rolle das auch spielt im wirtschaftlichen Leben der Menschen. Gewiß, man kann das leicht; man braucht nur auf solche Erscheinungen hinzuweisen, wie zum Beispiel, wenn sich, sagen wir, heute eine Dame eine Perlenkette kauft. Das werden manche heute noch immer für einen ganz geringen Luxus ansehen. Aber es wird dabei nicht bedacht, was innerhalb der heutigen wirtschaftlichen Struktur diese Perlenkette eigentlich wert ist. Für diese Perlenkette, für den Wert dieser Perlenkette kann man sechs Monate hindurch fünf Arbeiterfamilien erhalten! Das hängt die betreffende Dame um den Hals. Ja, man kann das einsehen, und man kann aus dem heutigen Geiste heraus nach Abhilfe suchen. Der angesehene Denker, den ich hier im Auge habe, der findet heraus, daß es notwendig sei, daß der Staat — selbstverständlich, vom Staat ist jeder suggeriert! — hohe Luxussteuern einführe, und zwar solche Luxussteuern, daß es den Leuten überhaupt vergeht, solchen Luxus sich anzuschaffen. Er läßt den Einwand nicht gelten, den sehr viele machen, daß wenn man den Luxus besteuere, dann ja der Luxus nachlasse und der Staat nichts habe von diesem Luxus. Er sagt: Nein, das ist gerade richtig, daß der Luxus aufhört, denn das Besteuern soll einen sittlichen Zweck haben. Die menschliche Sittlichkeit soll durch die Besteuerung gefördert werden.

Sehen Sie, so ist das Denken. So wenig Glauben hat man an die Kraft des menschlichen Seelischen, des menschlichen Geistigen, daß man das, was aus dem menschlichen Seelischen, aus dem menschlichen Geistigen heraussprießen soll, herstellen will auf dem Wege der Besteuerung, das heißt des Rechtes! Kein Wunder, daß man da allerdings nicht zu einer einheitlichen Gliederung des Lebens kommt.

Derselbe Denker weist dann darauf hin, wie Besitzerwerbung dadurch Unrecht wird, daß in unserem Leben Monopole möglich sind, daß noch immer das soziale Leben unter dem Einflusse des Erbrechtes steht und dergleichen. Wiederum macht er den Vorschlag, diese Dinge alle durch die Steuergesetzgebung zu regeln. Wenn man vererbten Besitz so stark als möglich besteuere, dann werde eine Gerechtigkeit in bezug auf den Besitz, wie er meint, herauskommen. Ebenso könnte man durch Staatsgesetze, das heißt durch rechtliche Maximen, gegen die Monopole wirken und dergleichen mehr. Das Merkwürdige ist, daß dieser Denker sagt: Ja, aber es komme gar nicht darauf an, daß durch Staatsgesetze, Steuergesetze und so weiter dies alles, was er ja in Aussicht stellt, wirklich bestimmt werde, denn es zeige sich ja, daß der Wert solcher Staatsgesetze ein durchaus anfechtbarer sei, daß solche Staatsgesetze gar nicht immer das bewirken, was sie bewirken sollen. Aber nun sagt er: Darauf komme es nicht an, daß diese Gesetze tatsächlich die Sittlichkeit heben, die Monopole verhindern und so weiter, sondern es käme auf die Gesinnung an, aus welcher heraus diese Gesetze gegeben werden.

Jetzt sind wir ja nun doch wirklich bei dem absolutesten Drehen im Kreise angelangt. Ein angesehener politischer Denker der Gegenwart sagt ungefähr, was ich Ihnen hier charakterisiert habe. Gesinnung, ethische Gesinnung will er durch die Gesetzgebung hervorrufen; aber es komme nicht darauf an, daß die Erfolge dieser Gesetzgebung einträten, sondern daß die Menschen die Gesinnung zu dieser Gesetzgebung haben! Es ist der reine Chinese, der sich an seinem eigenen Zopfe auffangen will. Es ist ein merkwürdiger Zirkelschluß, aber ein Zirkelschluß, der gründlich in unserem heutigen sozialen Leben drinnen wirkt. Denn unter dem Einflusse einer solchen Denkweise macht man heute das öffentliche Leben. Und man sieht nicht, daß alle diese Dinge letzten Endes doch dahin führen, anzuerkennen, daß die Grundlagen werden müssen für eine wirkliche Neugestaltung des sozialen Lebens: das Geistesleben in seiner Selbständigkeit, das Rechtsleben in seiner Selbständigkeit, in seiner Losgelöstheit vom Wirtschaftsorganismus, und die freie Ausgestaltung der Wirtschaftsorganisation als eine solche.

Solche Dinge treten einem besonders deutlich heute entgegen, wenn man, wie es jetzt zum Beispiel bei Robert Wilbrandt der Fall ist, der sein Buch über Sozialismus schrieb, das eben erschienen ist, wenn man da sieht, wie bei außerordentlich wohlmeinenden Leuten, bei Leuten, die durchaus das Ethos haben für eine Neugestaltung des sozialen Lebens, auftritt, ich möchte sagen, ein leises Hindeuten auf die absolute Notwendigkeit zum Beispiel einer geistigen Grundlage des sozialen Aufbaues, wie aber überall die Einsicht fehlt, wodurch diese geistige Grundlage zu erringen sei. Robert Wilbrandt ist kein Mensch, der bloß rein aus der Theorie heraus redet. Erstens redet er aus einem warmen und sozial begeisterten Herzen heraus. Zweitens hat er schier die ganze Welt bereist, um die sozialen Verhältnisse kennenzulernen, und er schildert in seinem Buche treulich, wie hart das Elend dem Menschen heute noch mitspielt über die ganze zivilisierte Welt hin. Er gibt anschauliche Beispiele von dem Elend des Proletariats in der zivilisierten Welt. Er deutet aber auch von seinem Gesichtspunkte an, wie in den verschiedensten Gebieten, in denen heute die soziale Frage aktuell geworden ist, die Leute versucht haben, an einem Neuaufbau zu arbeiten, wie sie aber entweder gescheitert sind, oder wie es sich deutlich zeigt, wie zum Beispiel im heutigen Deutschland, daß sie scheitern müssen; und Robert Wilbrandt ist sich ganz klar darüber, daß alle die Versuche, die aus dem heutigen Sinne heraus gemacht werden, scheitern müssen. Damit schließt er ungefähr sein Buch. Nachdem das schon in verschiedenen Tönen im Verlauf des Textes des Buches angedeutet worden ist, klingt dann das ganze Buch in dieser merkwürdigen Weise aus. Da sagt er: Scheitern müssen diese Versuche, die da gemacht werden; zu keinem Aufbau werden sie wiederum kommen, weil dem sozialen Organismus heute die Seele fehlt, und ehe er die Seele bekommt, wird er keine fruchtbare Arbeit leisten. -- Das Interessanteste ist, daß das Buch mit diesem Tone schließt, daß es nicht spricht von der Art und Weise, wie diese Seele gefunden werden soll.

Das möchte eben der Impuls für den dreigliederigen sozialen Organismus: nicht theoretisch reden, daß Seele notwendig ist, und warten, bis die Seele von selber sich einstellt, sondern hinweisen darauf, wie diese Seele sich entwickeln wird. Sie wird sich entwickeln, wenn man herauslöst aus dem Staatsleben und aus dem Wirtschaftsleben das Geistesleben. Und dann wird dieses Geistesleben, wenn es nur den Antrieben folgen kann, die der Mensch sich selbst für den Geist gibt, stark werden, um auch in das übrige praktische Leben eingreifen zu können. Dann wird sich dieses Geistesleben so gestalten, wie ich das Geistesleben gestern zu schildern versuchte. Dann wird dieses Geistesleben Wirklichkeit in sich selber enthalten. Und dann wird man von diesem Geistesleben sagen können, daß man in der Lage ist, ihm aufzubürden, was ihm zum Beispiel aufgebürdet wird in meinen «Kernpunkten der sozialen Frage in den Lebensnotwendigkeiten der Gegenwart und Zukunft».

Gewiß, man kann heute hinweisen darauf — und wir haben es im zweiten Vortrage getan —, wie das Kapital im sozialen wirtschaftlichen Prozeß heute wirkt. Allein, wenn man bloß davon spricht, daß das Kapital abgeschafft werden soll oder in Gemeineigentum übergeführt werden soll, so hat man keinen Begriff davon, wie eigentlich im wirtschaftlichen Leben drinnen, besonders unter den heutigen Produktionsverhältnissen, das Kapital wirkt, wie es notwendig ist, daß die Kapitalansammlungen stattfinden, damit die befähigten Menschen durch die Verwaltung dieser Kapitalmassen gerade zum Gemeindienste wirken können. Deshalb wurde im Grunde genommen in meinen «Kernpunkten der sozialen Frage» die Kapitalverwaltung abhängig gemacht von dem Geistesleben unter Mitwirkung des selbständigen Rechtslebens. Während wir heute sagen, daß das Kapital selber wirtschaftet, wird verlangt von dem Impuls für die Dreigliederung des sozialen Organismus, daß es zwar immer möglich sein müsse, Kapitalansammlung zu bilden, daß es möglich sein müsse, daß diese Kapitalansammlung verwaltet werden könne von demjenigen, der für irgendeinen Betrieb die nötigen Fähigkeiten aus dem geistigen Leben heraus entwickelt hat, daß aber diese Kapitalansammlungen nur so lange von demjenigen, der sie angesammelt hat, verwaltet werden sollen, als er sie selbst verwalten kann. In dem Augenblicke, oder wenigstens bald nach diesem Augenblicke — auf das einzelne brauchen wir heute nicht einzugehen —, wenn der Betreffende nicht mehr mit seinen Fähigkeiten selbst hinter der Verwaltung des Kapitals stehen kann, hat er dafür zu sorgen, oder wenn er sich dazu unfähig fühlt, hat er irgendeine Korporation des Geisteslebens, die da sein muß, dafür sorgen zu lassen, daß dieser Betrieb wiederum an einen Fähigsten, der ihn verwalten kann zum Gemeindienste, übergehen könne. Das heißt: Die Überleitung eines Betriebes an eine Persönlichkeit oder Personengruppe ist nicht gebunden an Kauf oder an sonstigen Kapitalübergang, sondern ist gebunden an das, was sich aus den Fähigkeiten der Menschen selbst ergibt, von den Fähigen an die Fähigen, von denjenigen, die im Gemeinschaftsdienste arbeiten können an diejenigen, die wiederum im Gemeinschaftsdienste in der besten Weise arbeiten können. Von diesem Übergange hängt das soziale Heil der Zukunft ab. Dieser Übergang wird aber nicht ein wirtschaftlicher sein, wie er es jetzt ist, sondern dieser Übergang wird aus Impulsen der Menschen erfolgen, die er bekommt aus dem selbständigen Geistesleben und aus dem selbständigen Rechtsleben. Es werden sogar Korporationen im Geistesleben vorhanden sein, verbunden mit allen anderen Gebieten des Geisteslebens, denen sozusagen die Verwaltung des Kapitals obliegt.

So konnte ich an die Stelle des Übergangs der Produktionsmittel an die Gemeinschaft die Zirkulation der Produktionsmittel im sozialen Organismus setzen, den Übergang vom Fähigen zum Fähigen, das heißt, die Zirkulation; und diese Zirkulation hängt ab von der Selbständigkeit des Geisteslebens, der sie gewissermaßen untersteht, von der sie bewirkt wird. So daß man sagen kann: In dem, was im eminentesten Sinne im Wirtschaftskreislauf drinnensteht, wirkt, was als Kraft im Geistesleben vorhanden ist, im Rechtsleben vorhanden ist. Man kann sich die Einheit im Wirtschaftsleben nicht geschlossener denken, als sie bewirkt wird durch solche Maßnahmen. Aber die Strömung, die sich dem Wirtschaftsleben eingliedert, kommt aus dem selbständigen Geistesleben, aus dem selbständigen Rechtsleben her. Der Mensch wird nicht mehr dem Zufall preisgegeben sein, der da wirkt durch bloßes Angebot und Nachfrage oder durch die sonstigen Faktoren, die heute im Wirtschaftsleben tätig sind, sondern in dieses Wirtschaftsleben wird hereinwirken Vernunft und rechtliche Beziehung zwischen Mensch und Mensch. Also zusammenwirken wird Geist, Recht und Wirtschaft, wenn sie auch getrennt voneinander verwaltet werden, weil der Mensch aus einem Gebiete in das andere — er gehört allen dreien an -- dasjenige hineintragen wird, was hineinzutragen ist. Allerdings werden sich die Menschen von manchem Vorurteil frei machen müssen, wenn diese Dinge nach und nach zustande kommen sollen.

Heute ist man sich noch durchaus klar darüber, daß Produktionsmittel, daß Grund und Boden Dinge des Wirtschaftslebens sind. Der Impuls der Dreigliederung des sozialen Organismus verlangt, daß im Wirtschaftsleben nur verwaltet werden die gegenseitigen Werte, an die angenähert werden sollen die Preise, so daß bloß die Preisbestimmung dasjenige ist, was eigentlich zuletzt aus der Wirtschaftsverwaltung herauskommt.

Diese Preisbestimmung aber zu einer gerechten zu machen, ist unmöglich, wenn im Wirtschaftsleben drinnen wirkt das Produktionsmittel als solches und der Grund und Boden als solcher. Die Verfügung über Grund und Boden, was sich heute im Eigentumsrecht von Grund und Boden konzentriert, und die Verfügung über die fertigen Produktionsmittel können keine wirtschaftliche Angelegenheit sein, sondern die sollen zum Teil eine geistige, zum Teil eine rechtliche Angelegenheit sein. Das heißt, die Überleitung von Grund und Boden von einer Person oder Personengruppe auf eine andere soll nicht durch Kauf oder Erbschaft, sondern durch eine Übertragung auf dem Rechtsboden beziehungsweise aus den Prinzipien des geistigen Lebens heraus erfolgen. Das Produktionsmittel, also dasjenige, wodurch in der Industrie oder dergleichen produziert wird, das vorzugsweise der Kapitalbildung zugrunde liegt, kann nur solange etwas kosten, bis es fertig ist. Ist es fertig, dann verwaltet es derjenige, der es zustande gebracht hat, weil er es am besten versteht, so lange als er selbst mit seinen Fähigkeiten bei dieser Verwaltung dabei sein kann. Aber es ist ferner nicht ein Gut, das verkauft werden kann, sondern das nur durch Rechts- beziehungsweise durch geistige Bestimmung, die durch das Recht realisiert wird, von einer Person oder Personengruppe auf eine andere Person oder Personengruppe übertragen werden kann.

So wird dasjenige, was heute zu Unrecht im Wirtschaftsleben drinnensteht, das Eigentumsverfügungsrecht, das Grund- und Bodenverfügungsrecht, das Verfügungsrecht über die Produktionsmittel, gestellt auf den selbständigen Rechtsboden unter Mitwirkung des selbständigen Geistesbodens.

Fremd mögen den heutigen Menschen noch diese Ideen anmuten.Aber das ist ja gerade das Traurige, das Bittere, daß sie den gegenwärtigen Menschen fremd anmuten. Denn erst dadurch, daß diese Dinge wirklich einziehen in die Menschengeister, in die Menschenseelen und auch in die Menschenherzen, so daß sich die Menschen sozial im Leben nach ihnen verhalten, erst dadurch kann dasjenige kommen, was so viele Menschen auf ganz andere Art herbeiführen wollen, aber niemals werden herbeiführen können. Das ist es, was man endlich einsehen sollte: daß manches, was heute noch paradox erscheint, einem wirklich gesundenden sozialen Leben als etwas Selbstverständliches erscheinen wird. Nicht aus den Leidenschaften, aus den Antrieben und Emotionen heraus, aus denen heute oftmals soziale Forderungen gestellt werden, stellt der Impuls für die Dreigliederung des sozialen Organismus seine sozialen Forderungen. Er stellt sie aus einem Studium der wirklichen Entwickelung der Menschheit in der neueren Zeit und bis in die Gegenwart herein. Er sieht zum Beispiel, wie im Laufe langer Jahrhunderte eine soziale Form die andere abgelöst hat. Gehen wir zurück hinter das letzte Mittelalter — es hat sich noch etwas hineinerstreckt ins letzte Mittelalter, namentlich in der europäischen zivilisierten Welt —, so finden wir das gesellschaftliche Leben in einer solchen Struktur, daß wir sprechen können von einer Machtgesellschaft. Diese Machtgesellschaft war dadurch heraufgekommen, daß, um nur ein Beispiel anzuführen, meinetwillen irgendein Eroberer mit einer Gefolgschaft sich irgendwo seßhaft gemacht, seine Gefolgschaft gewissermaßen zu seiner Arbeiterschaft gemacht hat. Dann wurde dadurch, daß der Führer angesehen wurde vermöge seiner individuellen Eigenschaften, individuellen Tüchtigkeit oder vermeintlichen individuellen Tüchtigkeit, das soziale Verhältnis zustande gebracht zwischen seiner Macht und der Macht derer, die er erst anführte und die dann seine Diener beziehungsweise seine Arbeiterschaft waren. Da ging gewissermaßen als das Maßgebliche für den sozialen Organismus dasjenige, was in einem entsprang oder in einer aristokratischen Gruppe, auf die Gesamtheit über, das lebte in der Gesamtheit weiter. Der Wille, der in der Gesamtheit war, war gewissermaßen in dieser Machtgesellschaft nur die Abzeichnung, die Projektion des Einzelwillens.

Unter dem Einflusse der neueren Zeit, der Arbeitsteilung, des Kapitalismus, der technischen Kultur, trat an die Stelle dieser Machtgesellschaft, aber durchaus ihre Impulse fortsetzend unter den Menschen und dem menschlichen Zusammenleben, die Tauschgesellschaft. Was der einzelne hervorbrachte, wurde zur Ware, die er mit dem anderen austauschte. Denn schließlich ist die Geldwirtschaft auch nichts anderes, insofern sie Verkehr mit dem anderen einzelnen oder mit der anderen Gruppe ist. Es ist ein Tauschverkehr. Die Gesellschaft ist eine Tauschgesellschaft geworden. Während in der Machtgesellschaft die Gesamtheit es zu tun hat mit dem Willen des einzelnen, den sie aufnimmt, hat es die Tauschgesellschaft, in der wir noch mitten drinnen sind und aus der ein großer Teil der heutigen Menschheit herausstrebt, zu tun mit dem Willen des einzelnen, der gegen den Willen des einzelnen steht, und aus dem Zusammenwirken von Einzelwille zu Einzelwille entsteht erst, wie ein Zufallsergebnis, der Gesamtwille. Da sprießt auf aus dem, was von einzelnem zu einzelnem geschieht, was sich bildet als Wirtschaftsgemeinschaft, was sich bildet als Reichtümer, was sich herausbildet in der Plutokratie und so weiter. In all dem wirkt aber dasjenige drinnen, was zu tun hat mit dem Aufeinanderprallen von Einzelwillen auf Einzelwillen.

Es ist kein Wunder, daß die alte Machtgesellschaft nicht nach irgendeiner Emanzipation des Geistigen streben konnte. Denn derjenige, der der Führer war, wurde vermöge seiner Tüchtigkeit auch anerkannt als der Führer des Geistigen und als der Führer der Rechtsordnung. Es ist aber auch begreiflich, daß das Rechts-, das Staats-, das politische Prinzip in der Tauschgesellschaft besonders überhandgenommen hat. Haben wir doch gesehen, worauf das Recht eigentlich beruhen will, wenn auch dieses Wollen nicht zum richtigen Ausdrucke kommt in der heutigen sozialen Ordnung. Das Recht hat es eigentlich zu tun mit dem, was der einzelne Mensch als ein gleicher dem anderen gegenüber, der ihm gleich ist, auszumachen hat. In der Tauschgesellschaft hat der einzelne mit dem einzelnen zu tun. So hat die Tauschgesellschaft das Interesse, ihr Wirtschaftsleben, wo auch der einzelne mit dem einzelnen zu tun hat, in ein Rechtsleben umzuwandeln, das heißt, zu Rechtssatzungen umzugestalten, was wirtschaftliche Interessen sind.

Geradeso wie die alte Machtgesellschaft übergegangen ist in eine Tauschgesellschaft, so strebt heute aus innersten Impulsen der Menschheitsentwickelung heraus diese Tauschgesellschaft in eine neue Gesellschaft hinein, namentlich auf wirtschaftlichem Boden. Denn die Tauschgesellschaft ist nach und nach, indem sie sich angeeignet hat das Geistesleben, es unfrei gemacht hat, lebensfremd gemacht hat, eine bloße Wirtschaftsgesellschaft geworden, und sie wird als solche gefordert von gewissen radikalen Sozialisten. Aber aus tiefsten Impulsen der heutigen Menschheit heraus will diese Tauschgesellschaft, namentlich auf wirtschaftlichem Gebiete, in das übergehen, was ich nennen möchte — wenn auch der Name etwas hinkt, es ist aber eben eine neue Sache, und man hat in der Regel für die neuen Sachen nicht zutreffende Bezeichnungen, die ja aus der Sprache heraus gebildet werden müssen — die Gemeingesellschaft. Es muß übergehen die Tauschgesellschaft in die Gemeingesellschaft.


Wie wird diese Gemeingesellschaft gestaltet sein? Geradeso wie in der Machtgesellschaft der Einzelwille oder der Wille einer Aristokratie, also auch eine Art Einzelwille, gewissermaßen fortwirkt in der Gesamtheit, so daß die einzelnen in ihren Wollungen nur darstellen Fortsetzungen des Willens der einzelnen, und wie die Tauschgesellschaft zu tun hatte mit dem Aufeinanderprallen von Einzelwille auf Einzelwille, so wird es die wirtschaftliche Ordnung der Gemeingesellschaft zu tun haben mit einer Art von Gesamtwille, der nun umgekehrt auf den Einzelwillen zurückwirkt. Denn ich habe es im zweiten Vortrage auseinandergesetzt, wie auf dem Gebiete des Wirtschaftslebens Assoziationen der verschiedenen Produktionszweige auftreten sollen, Assoziationen von Produktionszweigen mit den Konsumierenden, so daß überall sich die Wirtschaftenden und auch die wirtschaftlich Konsumierenden zusammenschließen sollen. Die Assoziationen werden Verträge miteinander schließen. Es wird sich innerhalb von Gruppen, die größer oder kleiner sind, eine Art von Gesamtwille bilden. Nach diesem Gesamtwillen streben ja viele sozialistisch sich Sehnende. Nur stellen sie sich die Sache oftmals in einer höchst unklaren, durchaus nicht vernünftigen Weise vor.

Geradeso wie in der Gewaltgesellschaft, in der Machtgesellschaft der Einzelwille in der Gesamtheit gewirkt hat, so wird in der Gemeingesellschaft der Zukunft ein gemeinsamer Wille, ein Gesamtwille in dem einzelnen wirken müssen.

Wie aber wird das möglich sein? Was muß in dem Gesamtwillen — er muß ja entstehen durch das Zusammenwirken der Einzelwillen, die Einzelwillen müssen etwas ergeben, was keine Tyrannis ist, keine demokratische Tyrannis ist für den einzelnen, innerhalb dessen sich der einzelne frei fühlen kann —, was muß denn drinnenstecken in diesem Gesamtwillen? In diesem Gesamtwillen muß drinnenstecken, was die einzelne Seele und der einzelne menschliche Geist aufnehmen können, womit sie sich einverstanden erklären können, worinnen sie sich einleben können. Das heißt, das, was im einzelnen Menschen lebt, Geist und Seele, das muß im Gesamtwillen der Gemeingesellschaft leben. Das ist nicht anders möglich, als wenn diejenigen, die diesen Gesamtwillen ausgestalten, aus dem Einzelwillen heraus in sich tragen in ihrem Wollen, in ihrem Empfinden, in ihrem Vorstellen das völlige Verständnis für den einzelnen Menschen. Einfließen muß in diesen Gesamtwillen, was der einzelne Mensch als sein eigenes Geistiges und Seelisches und Leibliches empfindet. Dann muß es aber hineingelegt werden.


Anders war das in der instinktiven Machtgesellschaft, wo der einzelne anerkannt wurde von der Gesamtheit, weil die einzelnen in der Gesamtheit nicht geltend machten ihren eigenen Willen; anders war es in der Tauschgesellschaft, wo der Einzelwille aufgeprallt ist und eine Art Zufallsgemeinsamkeit herausgekommen ist; anders aber muß es sein, wenn ein organisierter Gesamtwille auf den einzelnen wirken soll. Dann darf niemand, der an der Gestaltung dieses Gesamtwillens teilnimmt, unverständig sein gegenüber dem, was das wahrhaft Menschliche ist. Dann darf man nicht mit einer abstrakten Naturwissenschaft, mit einer Naturwissenschaft, die bloß auf die äußere Natur gerichtet ist und die niemals den ganzen Menschen verstehen kann, heranrücken an die Lebensanschauung. Dann muß man mit Geisteswissenschaft an die Lebensanschauung heranrücken, mit jener Geisteswissenschaft, die, weil sie den ganzen Menschen umfaßt nach Leib, Seele und Geist, auch empfindungsgemäß und willensgemäß ein Verständnis hervorruft für diesen einzelnen Menschen.

Will man daher eine gemeinschaftliche Wirtschaftsordnung hervorrufen, wird man sie nur hervorrufen können, wenn man sie wird beseelen können aiu dem selbständigen Geistesleben heraus. So wird nur möglich sein, eine gedeihliche Zukunft zu gestalten, wenn es andererseits wird geschehen können, daß widerstrahlt, was in freiem Geistesleben gedacht ist, aus dem Wirtschaftsleben heraus. Und dieses freie Geistesleben wird sich nicht als unpraktisch erweisen, es wird sich als sehr praktisch erweisen. Nur wer im unfreien Geistesleben verweilt, kann so leben, daß er nachdenkt über das Gute, daß er nachdenkt über das Böse, über das Richtige und über das Wahre, über das Schöne und über das Häßliche, und das nur im Inneren seiner Seele besteht. Derjenige aber, der den Geist als etwas Lebendiges durch Geisteswissenschaft anschaut, durch geisteswissenschaftliche Erkenntnis ergreift, der wird insbesondere in bezug auf das Menschenleben praktisch in allen seinen Handlungen. Was er aus der Geistanschauung in sich aufnimmt, das geht unmittelbar in die Hände, das geht in jede Lebensverrichtung über, das gestaltet sich wirklich so, daß es sich hineinleben kann in das unmittelbare praktische Leben. Nur eine aus dem praktischen Leben verdrängte Geisteskultur wird lebensfremd. Eine Geisteskultur, der man Einfluß gestattet auf das praktische Leben, die entwickelt sich zur Praxis. Ich möchte sagen: Wer das geistige Leben wirklich kennt, der weiß, wie wenig jenem geistigen Element, das seinem eigenen Antrieb überlassen ist, das praktische Leben fernsteht. Ich möchte sagen: Der ist kein guter Philosoph, der nicht im richtigen Augenblicke auch Holz hacken kann, denn wer eine Philosophie begründen will, ohne daß er Hand anlegen kann an das unmittelbar praktische Leben, der begründet keine Lebensphilosophie, der begründet eine lebensfremde Philosophie. Praktisch ist das wirkliche Geistesleben.

Unter den Einflüssen, die im Laufe der Jahrhunderte heraufgezogen sind, kann man es begreifen, wenn heute gerade Menschen, die innerhalb des heutigen Kulturlebens, des heutigen führenden Geisteslebens stehen wie zum Beispiel Robert Wilbrandt, der seine Sozialisierung aus einer wirklichen guten Meinung heraus, aus einem wirklichen sozialen Ethos heraus geschrieben hat, doch sagen: Es kann keine praktische Aufbauarbeit geleistet werden, weil die Seele fehlt —, wenn sie sich nicht dazu aufschwingen können, nach der Realität der Seelenbildung, der Seelengestaltung zu fragen, sich nicht entschließen können zu fragen: Was bewirkt ein wirkliches freies Geistesleben auch für das Staats-, auch für das Wirtschaftsleben? Dieses freie Geistesleben wird in der richtigen Weise zusammenwirken, wie ich gezeigt habe, mit dem Wirtschaftsleben. Dann aber wird auch das Wirtschaftsleben, das mit dem Staats- und Geistesleben zusammenwirken kann, jederzeit solche Menschen ausbilden können, die wiederum die Anregung geben dem Geistesleben.

Ein freies, unmittelbar wirkliches Zusammenleben wird durch die Dreigliederung des sozialen Organismus bewirkt. Daher möchte man den Menschen, die heute aus einem Instinkt heraus, aber durchaus nicht aus einem wirklichen Lebensmute heraus, nach einer unbestimmten Seele, nach einem unbestimmten Geist verlangen, entgegenrufen: Lernet erkennen, was die Wirklichkeit des Geistes ist; gebet dem Geiste, was des Geistes ist, gebet der Seele, was der Seele ist, und es wird auch dem Wirtschaftsleben erscheinen, was der Wirtschaft ist.


Fragenbeantwortung nach dem fünften Vortrag

Hier ist zunächst die Frage gestellt:

Ich fürchte, daß durch die Dreigliederung des sozialen Organismus ein ewiger Schematismus erzeugt werden wird, wie derjenige des deutschen Idealismus, speziell Kants war, der das gesamte reiche Geistesleben in das Schema der Dreigliedrigkeit von Denken, Fühlen und Wollen hineingepreßt hat.

 Verzeihen Sie, wenn ich zunächst auf etwas Persönliches hinweise. Ich habe mir in den verschiedensten Büchern — und es ist ja eine große Reihe, die ich geschrieben habe, eine viel zu große — die Aufgabe gestellt, das Unrichtige, das Verwerfliche in einer gewissen Beziehung sogar des Kantianismus in der Weltanschauung darzulegen. Es ist das heute noch ein recht unpopuläres Geschäft. Und ich habe insbesondere immer wiederum auf das Ungesunde der kantianischen Denkweise aus dem Grunde hinweisen müssen, weil ich fühlte, wie ein aus der Wirklichkeit heraus gestaltetes und geformtes Denken dem kantischen genau entgegengesetzt ist. Man möchte sagen: Das kantische Denken ist deshalb so beliebt, weil es schematisiert. Wer meine Vorträge hier verfolgt hat, der wird finden, daß ich ja zwar auch Worte gebrauchen muß, daß aber schematischen Geist in diesen Worten, in diesen Auseinandersetzungen nur finden könnte, wer ihn selbst erst hineinträgt. In der Art und Weise, wie ich versuche, die Wirklichkeit anzusehen, liegt wirklich nichts Schematisierendes, sondern, wenn man überhaupt redet — man kann da das Reden für unnütz halten, das tun ja doch nur wenige Menschen heute —, so muß man sich der Worte bedienen, und dann handelt es sich nur darum, daß man in der richtigen Weise verstanden wird. Ich spreche nicht so, daß ich irgendein philosophisches Thema im Auge habe, sondern ich möchte das Ganze des Lebens ins Auge fassen.

Bei der Gelegenheit ist es schon notwendig, etwas Persönliches zu berühren. Ich habe ja mein sechstes Lebensjahrzehnt bald vollendet und habe tatsächlich manches durchgemacht, bin durch mein Schicksal getragen worden in mancherlei Lebensgebiete, habe kennenlernen können, was in den verschiedensten Klassen, Ständen der heutigen Menschen lebt, und zwar so kennenlernen, daß da wahrhaftig kein Schematismus zugrunde lag, sondern daß ich eben das volle Leben hinnehmen konnte. Und aus diesem vollen Leben heraus haben sich mir deshalb Anschauungen ergeben, die manche Menschen aus dem Grunde nicht gleich verständlich finden, weil eben gerade der Schematismus, der heute so beliebt ist, nicht genügt zu ihrem Verständnisse, sondern weil man einen gewissen Lebensinstinkt braucht, um diese Dinge in der richtigen Weise zu wissen. Allerdings, eines habe ich -- trotzdem ich kennengelernt habe Parteimänner von der äußersten Rechten zur radikalsten Linken und auch in der Mitte -- nie fertiggebracht: selber einer Partei anzugehören. Vielleicht verdanke ich gerade diesem Umstande — wenigstens nach meinem eigenen Glauben ist es so — eine gewisse Unbefangenheit.

Nun soll das, was ich für die Dreigliederung des sozialen Organismus vorbringe, wahrhaftig nicht irgendeinem Schematismus entsprechen, sondern überall, wo man das Leben anfaßt, zeigt es sich in dieser Dreigliederung. Lesen Sie in meinem Buche «Von Seelenrätseln» nach: da handelt es sich nicht um einen Schematismus, nach dem ich etwa den ganzen menschlichen natürlichen Organismus einteilen will, wie Kant so fein säuberlich das Geistesleben in seine drei Abteilungen eingeteilt hat, sondern da ist es so, daß da wirklich drei Glieder ineinanderwirken. Das ist nicht Schematismus, wenn man irgend etwas von der Wirklichkeit beschreibt, wo es ankommt auf die drei Glieder und dabei diese drei Glieder namhaft macht. Es ist etwas ganz anderes, wenn man einteilt nach subjektiven Gesichtspunkten, als wenn man versucht, die Wirklichkeit wiederzugeben. Und das liegt gerade der Denkweise zugrunde, die hier geltend gemacht wird: daß die Wirklichkeit als solche genommen wird, daß nichts behauptet wird, was nicht gerade von der Wirklichkeit selber diktiert wird.

Ich möchte es Ihnen durch ein Beispiel klarmachen: Ich habe in einer kleinen süddeutschen Stadt einmal einen Vortrag gehalten über die Weisheit des Christentums. Da waren auch zwei katholische Pfarrer. Und weil der Vortrag gerade nichts enthielt, was sie inhaltlich anfechten konnten, so kamen sie nachher zu mir und sagten: Ja, sehen Sie, wir können ja nichts sagen gegen das, was Sie heute vorgebracht haben; aber Sie bringen das so vor, daß Sie nur zu einigen Menschen sprechen, die gerade durch ihre Bildung prädestiniert sind, sich diese Dinge anzuhören, während wir zu allen Menschen sprechen. — Ich sagte damals: Ja, wissen Sie, daß Sie und ich, daß wir uns etwa einbilden, wir sprechen zu allen Menschen, das ist subjektiv, das wird sich im Grunde genommen jeder Mensch einbilden können; denn warum sollte er denn sonst überhaupt zu Menschen sprechen, wenn er nicht glaubte, daß das allgemein gültig und einleuchtend ist, was er sagt. Aber auf dieses Subjektive kommt es gar nicht an. Es kommt darauf an, ob die objektiven Tatsachen sprechen und man im Sinne dieser objektiven Tatsachen sich verhält. Und nun frage ich Sie: Sie sagen, Sie sprechen zu allen Menschen; das ist Ihre subjektive Meinung, auch Ihr subjektives Bestreben meinetwillen; aber gehen alle Menschen zu Ihnen in die Kirche? Das würde der Beweis sein, daß Sie zu allen Menschen sprechen. — Da konnten sie natürlich nicht sagen: Ja, das sei so. Denn da sprachen die Tatsachen, nicht die subjektiven Meinungen. Nun sagte ich: Das nehmen wir jetzt als eine Tatsache, und zu denen, die nicht zu Ihnen in die Kirche gehen, zu denen spreche ich, denn die haben auch ein Recht, vom Christus zu hören.

So läßt man die Wirklichkeit sprechen. Da schematisiert man wahrhaftig nicht, richtet sich überhaupt nicht nach Subjektivem, sondern versucht zu deuten, was wirkliche Zeitimpulse sind. Aus solchen wirklichen Zeitimpulsen heraus will gesprochen werden.

Denken Sie sich die Dreigliederung der sozialen Ordnung innerhalb der bestehenden Staaten durchgeführt oder wie? Das heißt, ist der heutige Staat der Rahmen mit seinen politischen Grenzen auch in der neuen Ordnung?

Nun,es ist nur möglich, irgend etwas fruchtbar zu gestalten,wenn man nicht alles kurz und klein schlagen will, sondern wenn man auf die wirkliche Entwickelung bedacht ist, wenn man im Sinn der wirklichen Entwickelung arbeitet. Sie haben vielleicht schon bemerken können, wie gerade innerhalb der Ideen vom dreigliederigen sozialen Organismus hingearbeitet wird nach einer Ausgestaltung des Lebens aus geisteswissenschaftlichen Grundlagen heraus. Diese geisteswissenschaftlichen Grundlagen werden auch das ergeben, was angesehene Denker heute vermissen, nämlich eine wirkliche Wirtschaftswissenschaft. Was heute Wirtschaftswissenschaft genannt wird, das sind ja nur zusammengetragene Brocken aus einzelnen Beobachtungen. Das ist nicht etwas, was wirklich ein Impuls für das soziale Wollen werden könnte. Eine wirkliche Wirtschaftswissenschaft kann eben nur aus geisteswissenschaftlichen Grundlagen erwachsen.
Da wird sich mancherlei ergeben in bezug auf die Übergrenzung der sozialen Organisationen. So werden sich zum Beispiel Gesetze aus dem Wirtschaftsleben heraus selbst ergeben, wie Wirtschaftsgebiete, Wirtschaftsterritorien in sich abgegrenzt werden sollen, so daß man auf eine Zukunft blicken kann, über die man etwa in der folgenden Art sprechen müßte. Eine wirkliche Wirtschaftswissenschaft zeigt: Wenn die Assoziationen, von denen ich im zweiten und im heutigen Vortrage gesprochen habe, zu groß werden, dann sind sie nicht mehr wirtschaftlich möglich; wenn sie zu klein werden, sind sie auch nicht mehr wirtschaftlich möglich. Durch die inneren Bedingungen eines Wirtschaftsterritoriums, durch die mannigfaltige Produktion, durch die mannigfaltigen Zweige, mannigfaltigen Gebiete, die da sind, ist auch die Größe dieses Territoriums bestimmt. Wollte ich das Gesetz für diese Größe aussprechen, so müßte ich etwa sagen: zu kleine Wirtschaftsgebiete irgendwelcher Art wirken dadurch schädlich, daß sie die assoziierten Menschen nicht aufkommen lassen, gewissermaßen die assoziierten Menschen verhungern lassen; zu große Wirtschaftsterritorien dagegen wirken so, daß sie die außerhalb des Territoriums Befindlichen schädigen, verhungern lassen. Man kann tatsächlich für kleinere Wirtschaftsgesichtspunkte und auch für größere Wirtschaftsgesichtspunkte aus inneren Gesetzen heraus die Größe der Wirtschaftsterritorien bestimmen lassen. Und es ist auch gar nicht geboten — ich werde davon noch zu sprechen haben —, wenn der soziale Organismus wirklich dreigegliedert ist, daß die Geistesgrenzen mit den Wirtschaftsgrenzen oder mit den Rechtsgrenzen zusammenfallen. Ein großer Teil des Unheiles in der Gegenwart, das sich entladen hat in dieser furchtbaren Weltkriegskatastrophe — die, wie ich am Ende des gestrigen Vortrages auseinandergesetzt habe, durchaus nicht zu Ende ist —, beruht darauf, daß man eben unter dem Einheitsstaat überall wirtschaftliche, politische und Geisteskulturgrenzen hat zusammenfallen lassen. Es handelt sich also darum, daß aus einer inneren Gesetzmäßigkeit, aus dem lebendigen Leben selbst heraus die Größe der Territorien sich ergeben wird.

Aber man muß mit der Entwickelung rechnen. Deshalb muß zunächst der Anfang gemacht werden mit dem Gegebenen. Und da kann man sagen: Zunächst wird sich allerdings herausstellen, daß die historischen Körperschaften und Gebilde hinarbeiten müssen nach diesem Impuls der Dreigliederung des sozialen Organismus. Dann aber, wenn sie diese in gesunder Weise, ich will nicht sagen, durchgeführt haben, sondern in sich haben, dann wird aus dem Gesetze des Lebens, das sich dann ergibt, schon das andere hervorgehen.

Also diese Dinge dürften nicht theoretisch beantwortet werden, sondern lebensgemäß. So daß man sagt: Was sich etwa morgen ergibt, das wird erst die Grundlage sein für das Übermorgen. Also es handelt sich darum, auf ein Leben hinzuweisen, nicht irgendwelche Programme zu erfinden. Solche Programme sind furchtbar billig, und es sind ihrer wahrhaftig schon genug erfunden worden.

Wird sich wesentlich die Behandlung der agrarischen Produktionsmittel von derjenigen der industriellen unterscheiden?

Die Behandlung der agrarischen Produktionsmittel, also vorzugsweise des Grundes und Bodens — denn insoferne andere Produktionsmittel in Betracht kommen, sind sie ja auch industrielle Produktionsmittel —, tritt einem besonders heute auf dem Boden desjenigen Kampfes entgegen, der geführt wird von den Bodenreformern. Sie können ja leicht das, was da in Betracht kommt, sich aneignen, wenn Sie zurückgehen auf den zunächst originellsten Bodenreformer, auf Henry Georges «Fortschritt und Armut» und auf sein Bestreben, durch die sogenannte «single tax» die Ungerechtigkeiten der gesellschaftlichen Ordnung, welche durch die Bodenverteuerung bewirkt werden können, auszugleichen, auszumerzen. Gewinnen kann unter Umständen derjenige, der am Bodenbesitz nicht die geringste Arbeit geleistet hat. So wird von dieser Seite her versucht, zunächst die agrarischen Produktionsmittel, in gewissen Grenzen wenigstens, in den Dienst der Gemeinsamkeit zu stellen.

Nun hatte ich einmal vor vielen Jahren eine Diskussion mit Damaschke, der ja in gewissem Sinne durchaus auf Henry George fußt, und ich sagte ihm dazumal: Es dürfen nicht ohne weiteres die agrarischen Produktionsmittel mit den industriellen Produktionsmitteln verwechselt werden, denn es besteht ein beträchtlicher Unterschied, der einen Unterschied in der Wirkung der Produktionsmittel, des einen und des anderen, für die ganze soziale Ordnung bedingt. Der Boden hat eine bestimmte Größe, der Boden ist nicht elastisch. Wenn zwei Häuser nebeneinanderstehen, aneinandergrenzen, so kann man auch nicht den Boden, auf dem sie stehen, auseinanderziehen, so daß zwischen sie ein drittes Haus gebaut werden kann. Dagegen können industrielle Produktionsmittel, ich möchte sagen, in Elastizität gehalten werden, können vermehrt werden. Das bewirkt einen großen Unterschied. Deshalb muß beides verschieden behandelt werden. Es darf also nicht etwa die sozialdemokratische Theorie, die vorzugsweise zugeschnitten ist auf die industriellen Produktionsmittel, ohne weiteres auf das Produktionsmittel Grund - und Boden übergeleitet werden. Worauf es ankommt, ist das, was ich gerade heute im Vortrag gesagt habe: daß Grund und Boden sowohl wie das fertige Produktionsmittel kein Gegenstand des Wirtschaftens sein soll, sondern ein Gegenstand der Rechtsübertragung aus geistigen Gesichtspunkten heraus. Wenn das bei beiden der Fall ist, dann ergeben sich die Unterschiede nicht auf theoretische Art, sondern aus dem unmittelbaren Leben. Denken Sie zum Beispiel nur das Folgende: Die industriellen Produktionsmittel nützen sich ab; sie müssen immer erneuert werden. Bei den agrarischen Produktionsmitteln ist das schon wiederum etwas anders; nicht nur, daß sie nicht elastisch sind, sondern sie nützen sich nur in viel geringerem Maße ab, müssen wenigstens ganz anders behandelt werden als die industriellen Produktionsmittel.

Aber es besteht noch ein wesentlich anderes Verhältnis zwischen agrarischen Produktionsmitteln und industriellen Produktionsmitteln. Man mag daran denken, daß ja ein Teil des Erträgnisses der Industrie dazu verwendet werden muß, um diese Industrie höher zu bringen, um sie immer mehr und mehr auszugestalten. Da sehen wir, daß ein Teil desjenigen, was wir die Kapitalverwaltung der Industrie nennen können, von der Industrie wiederum verschluckt wird. Das ist in derselben Art nicht der Fall bei den agrarischen Produktionsmitteln. Die Bücher, wenn sie geführt würden als Gesamtbücher für ein Wirtschaftsleben, würden zwei Pole aufweisen: Der eine Pol würde ungefähr hinweisen nach der Kohlenproduktion; da würde man von der Kohlenproduktion ausgehend ungefähr alle diejenigen Posten haben, welche in das Industrielle hineinwandern. Der andere Pol geht zu dem Brot; wenn man alle Posten zusammenschreiben würde, welche sich auf das Brot — im weitesten Sinne selbstverständlich, wie die anderen Nahrungsmittel zeigen, die durch Grund und Boden beschaffen werden — beziehen, wenn man die aufschreiben würde, so würde man ungefähr das herausbekommen, was der Grund und Boden leistet.

Nun ist vieles von dem, was in diesem Gesamtbuch stecken würde, wenn Grund und Boden sowohl wie die Produktionsmittel aus der Wirtschaft heraußen wären und zugeteilt würden der Rechtsordnung, der Geistesordnung, vieles davon ist heute dadurch verdeckt, daß die Industrie mit der Verwaltung von Grund und Boden konfundiert wird. Man braucht ja nur Industrieller zu sein und Hypotheken zu haben auf Grund und Boden, so ist die Konfundierung schon da. Aber noch durch zahlreiche andere Dinge. Wenn das nicht der Fall wäre, würde man reinlich sehen, daß die Weltwirtschaft heute so steht — so paradox das für manchen heute noch scheint —, daß wirklich produktiv Grund und Boden ist; nicht produktiv, sondern erhalten aus den Erträgnissen in Wahrheit von Grund und Boden, ist die gesamte Industrie. So sonderbar das für manchen heute klingt, so ist es dennoch so der Fall. Es ist jedes industrielle Unternehmen im Grunde genommen das, was man in der Landwirtschaft nennt ein fressendes Gut, das heißt ein Gut, das seine Erträgnisse eigentlich aufzehrt.

Man betrachtet heute durchaus nicht die Gesamtwirtschaft. Sie ist verdeckt durch die mannigfaltigsten Umstände. Im wirklichen Leben aber würden sich die Gesichtspunkte ergeben, welche bei der Übertragung sowohl der agrarischen Produktionsmittel einerseits, wie der industriellen Produktionsmittel andererseits maßgebend sein können.

Bei dem industriellen Pol wird ja vorzugsweise die individuelle geistige Fähigkeit der Menschen, dasjenige, was sie können, gelernt haben, wozu sie veranlagt sind, bei dieser Übertragung in Betracht kommen. Bei der agrarischen Übertragung kommt anderes in Betracht; da kommt zum Beispiel in Betracht das Zusammengewachsensein des Menschen mit Grund und Boden. Da muß durchaus berücksichtigt werden, daß derjenige, der die besten Fähigkeiten hat, um den Grund und Boden weiter zu bearbeiten, nicht in abstrakter Weise gewählt werden kann nach seiner geistigen Veranlagung, sondern in einer gewissen Weise mit dem Boden zusammengewachsen sein muß. Wenn in der richtigen Weise gerade auf dem Land draußen der Sinn der Dreigliederung klargemacht werden könnte, so würde das gesamte Bauerntum zustimmen. Selbstverständlich, wenn irgendeiner hinauskommt, der in dem üblen Ruf eines Gelehrten steht, dann werden ihn die Leute natürlich nicht anhören, dann hat er nichts zu sagen; aber wenn in der richtigen Weise die Sache an die Leute herangebracht wird, werden sie gar nichts dagegen haben. Denn eigentlich wird ja nach diesem Prinzip gehandelt, gerade im Agrariertum. Nicht im Großgrundbesitz, aber im Bauerntum wird im wesentlichen, insofern nicht der Staat störend eingreift, durchaus in diesem Sinne gedacht und gehandelt.

Es handelt sich also darum, daß sich die Gesichtspunkte im Konkreten und aus diesem heraus ergeben. Programme dürfen bei einer lebensfähigen sozialen Ordnung nicht gemacht werden, sondern darum handelt es sich, so zu charakterisieren, daß das Leben bestehen kann. Das Leben hat dann noch etwas zu tun.

Sehen Sie, dadurch unterscheidet sich dieser Impuls der sozialen Dreigliederung, der hier vorgetragen wird, von mancherlei Programmen, die ja heute eigentlich billig wie Brombeeren sind. Diese sozialen Programme, die stellen auf: Erstens, zweitens, drittens und so weiter. Die schematisieren eigentlich alles. Diese Allwissenheit, die schreibt sich die Idee von der Dreigliederung des sozialen Organismus durchaus nicht zu, sondern sie will, daß die Menschen aus sich heraus so zusammenwirken können, daß sie dazu kommen, den sozialen Organismus entsprechend zu gestalten. Sie möchte nur die Menschen in solche Verhältnisse bringen, daß daraus eine entsprechende soziale Ordnung entstehen kann. Wenn man nur das begreifen würde, daß dies ein prinzipieller Unterschied ist zwischen dem Impuls der Dreigliederung und dem anderen, was heute auftritt, so würde man sehen, wie diese Dreigliederung eben gerade aus der vollen Wirklichkeit heraus schöpft.

Ich habe deshalb oftmals zu den Leuten gesagt: Es kommt gar nicht darauf an, ob das eine oder das andere so oder anders sein soll. Meinetwillen sogar, möchte ich radikal sagen: Man nehme die Sache in Angriff, vielleicht stellt sich heraus, daß kein Stein auf dem anderen bleibt, aber es wird etwas entstehen, was ganz gewiß Standfestigkeit hat, weil die Wirklichkeit an einem Zipfel angefaßt ist. Gerade wenn man die Wirklichkeit anfaßt, so ergibt sich vielleicht etwas ganz anderes, als man programmatisch zunächst gesagt hat. Aber es handelt sich darum, kein Programm aufzustellen, sondern hinzuweisen, wie man die Wirklichkeit anzufassen hat.

Zu Beginn der Fragebeantwortung hatte ein Besucher zu längeren Ausführungen das Wort ergriffen. Dr. Steiner antwortete darauf:

Nun noch ein paar Worte mit Bezug auf das, was der verehrte Herr Vorredner gesagt hat. Er sagte zum Beispiel, es habe die Dreigliederung immer bestanden. Ich verstand sehr gut, daß er das ausgesprochen hat, denn er hat das, was ich gesagt habe, mit etwas anderem verwechselt. Er hat auch deutlich angedeutet, daß er es verwechselt: er sprach nämlich immer von der «Dreigliederung des Sozialismus», wenn ich ihn richtig gehört habe.

Ich würde natürlich niemals von der «Dreigliederung des Sozialismus» sprechen. Das erscheint mir als eine völlige Unmöglichkeit. Denn der Sozialismus kann natürlich als Weltanschauung nur etwas Einheitliches sein. Und nur, wenn man so abstrakt denkt, ist man versucht, zu sagen: Nun, das Leben war ja immer dreigeteilt, warum soll man denn erst von dieser Dreigliederung, Dreiteilung des Lebens reden?

Ja, das ist es ja gerade, worum es sich handelt! Gewiß, das Leben war immer dreigeteilt, und es handelt sich nicht darum, daß man das Leben gerade dreiteilt. Das teilt sich von selber. Es handelt sich darum, daß man in der Verwaltung des Lebens nicht immer das Richtige getroffen hat, um das dreigliederige Leben eben in der richtigen Weise zu verwalten, zu ordnen, zu orientieren. Es ist ja eine Selbstverständlichkeit, daß das Leben dreigliederig ist. Darum redet man ja gerade! Weil das Leben dreigliederig ist, frägt man: Wie soll man es machen, wenn eine Einheit herauskommen soll, daß diese wirklich herauskommt? — Sie ist nicht herausgekommen für die letzten Jahrhunderte und die Gegenwart. Also darum handelt es sich, einen neuen Weg zu finden. Es ist eine im höchsten Sinne — wenn sie auch glaubt, der Wirklichkeit freundlich zu sein — abstrakte, lebensfremde Denkweise, wenn man mit Selbstverständlichkeiten abtun will, was durchaus mit diesen Selbstverständlichkeiten rechnet, aber gerade aus diesen Selbstverständlichkeiten heraus die Notwendigkeit einsieht, daß eben das Leben diesen Selbstverständlichkeiten gemäß gestaltet werden müßte. Im Leben kommt es eben nur zu häufig vor, daß man solche Selbstverständlichkeiten in ein falsches Fahrwasser rückt, und daraus kommen dann die Lebenskrisen. Das ist es, worauf ich im besonderen aufmerksam machen möchte.

Ebenso ist es wirklich eine bloße Redensart, wenn man sagt: Aus der Wirtschaft mit dem Geist zusammen kommt das Recht. Nun, ganz gewiß, es kommt schon; wenn einmal der dreigliederige Organismus da sein wird, dann wird auch das Recht kommen. Aber es wird eben auf die Art kommen, daß man findet, wie es kommen soll. Die Menschen müssen es einrichten. Also muß man über die Methode nachdenken, wie sie es einrichten sollen.

Dann ist noch manches andere Beherzigenswerte gesagt worden über die Verbindung von geistigem Leben und praktischer Arbeit. Ich möchte nicht auf Persönliches eingehen, sonst könnte ich dem verehrten Vorredner leicht beweisen, wie ich mich bemüht habe mein ganzes Leben lang, praktische Arbeit zu verbinden mit dem Geistesleben. Aber man darf mir nur nicht zumuten, was man mir in manchen Diskussionen zugemutet hat, daß das praktische Leben auf diesem Gebiete darinnen bestehen soll, daß man im Rahmen irgendeiner Partei mitarbeitet. Das haben nämlich manche mit dem «praktischen sozialen Arbeiten» verstanden. Dieses praktische soziale Arbeiten ist manchmal ein sehr theoretisches und unpraktisches soziales Arbeiten. Also diese Dinge darf man durchaus nicht mit wirklicher Lebenspraxis verwechseln.

Dann wurde gesagt, daß wenn wirklich eine Besserung, eine Gesundung der Verhältnisse eintreten solle, es sich darum handle, daß die Arbeiterschaft sich wirklich mit den geistigen Grundlagen des sozialen Lebens befasse. Ich bin vollständig damit einverstanden, glaube aber auch, in diesen Vorträgen schon das richtige Mittel angedeutet zu haben, wodurch sich die Arbeiterschaft eben befassen kann mit den geistigen Fragen. Ich habe bereits darauf hingedeutet, daß ich durch Jahre hindurch Lehrer an einer Arbeiterbildungsschule war, daß ich da sehr wohl die Arbeiterschaft gefunden habe, auch den Ton, um gerade in Arbeiterherzen hinein wissenschaftlich zu sprechen. Allein dann sind die Führer gekommen; die haben mich herausgeschmissen, wenn ich das auf deutsch sagen soll, weil sie wollten, daß nur auf sie gehört werde und nur das gehört werde, was sie befehlen, daß es vertreten werde. Ich habe Ihnen das in diesen Vorträgen ja schon früher erzählt. Als ich sagte: Wenn nicht einmal hier Lehrfreiheit herrschen soll, wo soll sie denn herrschen? — Da erwiderte einer der Führer: Lehrfreiheit, das kann nicht sein bei uns, ein vernünftiger Zwang, das ist es, um was es sich handelt!

Ja, sehen Sie, mit diesem zusammen könnte ich Ihnen vieles anführen, was ein gutes Mittel wäre, wodurch die gegenwärtige Arbeiterschaft tatsächlich zum Ergreifen der geistigen Grundlagen für eine soziale Neugestaltung kommen würde. Dieses Mittel wäre dieses: sich loszusagen von den meisten der gegenwärtigen Führer, die durchaus nicht im Auge haben, in ehrlicher Weise einen sozialen Neuaufbau herbeizuführen, sondern die etwas ganz anderes im Auge haben, denen aber in vieler Beziehung heute noch viel mehr gehorcht wird — das hat gerade die Praxis des Wirkens in der sozialen Dreigliederung ergeben —, als von den Katholiken ihren Erzbischöfen gehorcht wird. Das ist etwas,was beherzigt werden sollte. Und ich bin überzeugt davon: Es herrscht heute so viel gesunder Sinn in den breiten Massen des Volkes, daß in dem Augenblicke, wo mancher Führer fiele, viel wirkliche gesunde soziale Einsicht eintreten würde. Wir haben es heute nötig, daß die Menschen sich wiederum kristallisieren um Ideen, um wirkliche ideelle Impulse, aus denen heraus das Leben gestaltet werden kann, daß die alten Parteischablonen und Parteiprogramme überwunden werden, denn die sind es, was hauptsächlich eine gesunde Einsicht und auch ein gesundes Wirken im Sinne einer solchen Einsicht hindert. Man muß nur auch da aus der vollen Wirklichkeit heraus das aufsuchen, was zum Heile führen könnte. Die bloße Forderung tut es nicht, geradesowenig wie es die bloße Forderung tut: Abschaffung des Kapitals — sondern wie man sehen muß, wie das Kapital wirken soll. Denn «Abschaffung», das ist leicht. Das heißt, es ist deshalb nicht leicht, weil es zum Ruin führt. Aber wenn man hinauskommen soll über die Schäden des Kapitalismus, dann ist etwas anderes notwendig. Wie es notwendig ist, auf diesem konkreten Gebiete in die Wirklichkeit hineinzuschauen, so ist es schon auch notwendig, im heutigen Menschenleben in die volle Wirklichkeit hineinzuschauen und sich zu sagen, daß die Parteien vielfach nur noch leben von den abstrakten Fortführungen ihrer Programme, daß sie aber mit dem Leben nicht mehr zusammenhängen. Das aber ist insbesondere da notwendig, wo es sich um einen wirklichen Neuaufbau auf dem Gebiete des sozialen Lebens handelt.

Das ist es, was ich heute sagen möchte, obwohl zur Aufhellung solcher Fragen noch manches gestreift werden müßte.