triarticulation

Institut pour une triarticulation sociale
(contenu spécifique au site français)
Conditions d'utilisation.

Accueil

 

Deutsch English Dutch Skandinavisk Français Italiano Español Português (Brasileiro) Russisch
Recherche
 contact   BLOG  impressum 
Collection: GA332a OEUVRES COMPLETES DE RUDOLF STEINER – CONFÉRENCES SUR L'AVENIR SOCIAL




SIXIEME CONFERENCE
Zurich, 30 octobre 1919

La vie nationale et internationale dans l'organisme social tri-articulé

SECHSTER VORTRAG
Zürich, 30. Oktober 1919

Das nationale und internationale Leben im
dreigegliederten sozialen Organismus

 


 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA332a 185-219 (1977) 30/10/1919


Original



< précédent - suivant >

Traducteur: FG
Editeur: SITE

Peut être qu'a maints sera apparu quelque peu étrange comme aura été traiter le thème que j'ai donné. Curieusement je pense d'après la direction que peut être pourrait être dit : oui, c'étaient justement des idées isolées, des pensées sur un aménagement possible de la structure sociale et de maintes choses qui dans le traitement de la question sociale aujourd'hui seront souvent répétées aujourd'hui sous forme de slogans qui a tout de suite été moins à remarquer dans ces conférences. Certainement, ce devraient être de pensées et idées dont il s'agit ici.

Mais je pense avoir aussi rendu remarquable que je différencie ces pensées et idées de maintes autres qui seront exposées en ce domaine, que dans une certaine mesure sera dit : oui,il manquerait une répartition régulière des biens vitaux. Cela viendrait de tels ou tels dommages. Ces dommages devraient être supprimés – et du genre. Ces paroles on les entend donc aujourd'hui très souvent. Il me semble que cela a plus à voir avec ce qu'on procède sur ce domaine comme sinon aussi dans la vie pratique. A-t-on à faire avec un quelque produit, qui devrait être fabriquer par une machine et dont l'humain a de quelque façon besoin pour son besoin, ainsi cela ne suffit pas qu'on élabore un programme et dise : maintenant quelques humains devraient se rassembler, qui sont organisés ainsi et ainsi, afin que ce produit soit produit. - Ainsi sonnent aussi à peu près différents programmes sociaux qui sont établis dans le présent.
Pour moi il s'agit beaucoup plus de cela, de mentionner comme la machine, dans ce cas l'organisme social, devrait être articulée et être telle que pourrait être produit, ce qui est montré par les exigences sociales plus ou moins conscientes du présent. Et je crois, qu'on ne pourra pas dire, ces conférences n'ont pas traité de comment pain et charbon ou semblable devraient être procurés.

À mon avis, elles ont traité de cela. Elles ont traité de cela, de ce que sont en fait les bases de l'organisme social, comment les humains doivent vivre et travailler ensemble dans cet organisme social afin que ressorte ce qui justement repose dans l'exigence sociale. Je voulais indiquer cela au préalable, parce que pourrait peut-être tout de suite se faire un reproche similaire pour ma conférence de conclusion.


Celui-là seul reconnaîtra le problème international comme un membre de l'entière question sociale qui voit à travers comment le prix du petit bout de pain, qui vient sur la table de tout un chacun dépend de l'ensemble de l'économie du monde, comme n'est pas indifférent ce qui se produit en Australie ou en Amérique, ce qui est travaillé là par des humains pour ce qui apparaît ici comme prix pour un petit bout de pain ou pour du charbon. Mais ce n'est aujourd'hui pas tout de suite facile vis-à-vis de maints jugements et préjugés, qui vivent là, de parler tout de suite des problèmes internationaux. Cette vie internationale l'humain se l'est donc conduite ad absurdum dans les cinq dernières années. La croyance n'était-elle pas déjà disponible en de plus larges cercles que sentiment international, compréhension internationale avaient pris place dans la récente humanité ? Où sommes-nous donc arrivés avec ce sentiment international, avec cette compréhension internationale ? À l'autodestruction des peuples (NDT Selbstzerfleichung serait littéralement « auto étripage ») par delà de vastes cercles de la civilisation ! Et ces idées ont elles-mêmes échoué pour leur propre façon de voir ces idées et efforts idéels qui tout de suite ont placé la plus grande valeur sur leur caractère international. Nous n'avons besoin que de penser à cela, comme le christianisme international – car international ce devait bien-être – en ses paroles, en ses remarques a très souvent accompagné le langage national-chauviniste. Et nous pouvons mentionner encore maintes choses d'impulsions internationales qui ont enduré le naufrage en ce dernier temps. Tout de suite alors, peut-être quand sera parlé de vie internationale de l'humanité en rapport à l'économique, ce sera aussi nécessaire de penser et apprendre maint autrement. Et il sera aussi nécessaire de pénétrer jusqu'à cette source de la nature humaine qui pourra seulement être trouvée quand on regarde sur l'esprit et sur l'âme. Et que cela devrait se passer ici ainsi, que ne serait pas purement commencé sur les slogans « esprit » et « âme », mais sur la véritable manifestation du spirituel et psychique, que je crois, les dernières conférences ont au moins tenté de montrer.


Par-dessus le monde entier ce que les humains développent dans leur vivre en commun, dans leur travailler en commun, sera dominé par deux impulsions, sur lesquelles serait avant toute chose nécessaire que règne la vérité en nous humains, une vraie, une non maquillée, une conception non ornée par toute sorte de slogans. Deux impulsions vivent dans l'âme humaine, qui se comportent l'une à l'autre comme pôle nord et sud d'un aimant. Ces deux impulsions sont égoïsme et amour. Toutefois, la façon de voir est largement répandue que l'éthique serait seulement quand l'égoïsme serait surmonté par l'amour, et quand l'humain se développerait ainsi qu'à la place de l'égoïsme pénétrerait pur amour. Comme une exigence éthique, aujourd'hui aussi comme une exigence sociale, cela est disponible chez beaucoup. La compréhension pour ce qui existe comme opposition de force entre égoïsme et amour, cela est absolument moins disponible aujourd'hui.

Quand nous parlons d'égoïsme, ainsi nous devons avant toutes choses savoir que cet égoïsme commence pour l'humain avec son besoin corporel. Ce qui source des besoins corporels de l'humain, nous ne pouvons le comprendre autrement que si nous nous le pensions poussé de la sphère de l’égoïsme. Ce dont l'humain a besoin, cela ressort de son égoïsme. Maintenant on doit absolument se penser que cet égoïsme pourrait aussi être anobli, et pour cela ce n'est pas bon de former tout de suite ses façons de voir sur ce domaine avec quelques slogans. Par ce qu'on dit, l'égoïsme devrait être surmonté par l'amour, on n'a pas encore fait grand-chose pour la compréhension de l'égoïsme. Car il s'agit par exemple de ce que celui-là, lequel manifeste à ses semblables pure et humaine compréhension d'intérêt, agit autrement que celui ne se soucie pas de ce qui vit dans les âmes et cœurs de ces humains, celui-là qui n'a pas d'intérêt pour son entourage.

C'est pourquoi le premier qui a une vraie compréhension pour ses semblables n'a absolument pas déjà besoin par là d'être non égoïste dans la vie, car il peut tout de suite appartenir à son égoïsme de maintenant servir les humains. Cela peut lui faire délectation intérieure, cela peut même lui susciter bien-être, volupté intérieure, de s'adonner au service des humains. Et alors pour la vie extérieure peuvent apparaître de manière absolument objective des expressions de vie altruistes d'un égoïsme apparent, mais qui dans la vie du sentiment ne pourra absolument pas être valorisé autrement que comme un égoïsme.


Mais la question de l'égoïsme devra encore être déployée encore bien plus loin. On doit poursuivre l'égoïsme aussi par l'entière vie d'âme et d'esprit de l'humain. On doit être soi-même clair là dessus, comme à partir de la plus intérieure entité de l'humain jaillit exactement comme cela le spirituel et psychique sur maints domaines comme les besoins corporels. Ainsi jaillit à partir de l'entité humaine par exemple tout ce qu'est son œuvre imaginative. Cela jaillit à partir de l'entité humaine, ce qu'il crée sur domaine artistique.
Quand on va non averti à des œuvres et cherche correcte compréhension pour de telles choses, alors on devra dire : ce que crée l'imagination humaine, ce qui apparaît de soubassements indéterminés de son être, cela a la même origine, seulement sur un niveau supérieur, que les besoins corporels. La vie de l'imagination qui est déployée par exemple dans l'art, repose absolument, vu subjectivement, sur satisfaction intérieure, sur une satisfaction, qui est plus fine, plus noble que par exemple la satisfaction de la faim, mais qui qualitativement n'est pas différente de cela, quand aussi ce qui par cela sera produit, a pour l'instant une autre signification.


Mais maintenant tout l'égoïsme de l'humain est rendu attentif à ce que l'humain s’accommode avec ses semblables, que l'humain vit ensemble et travaille ensemble avec ses semblables. L'égoïsme lui-même exige la vie en commun et l’ouvrage en commun avec les autres humains. Et ainsi beaucoup de ce que nous développons en société avec d'autres humains est construit aussi absolument sur l'égoïsme et peut même appartenir aux plus nobles vertus de l'humain. Nous regardons l'amour maternel : il est absolument fondé sur l'égoïsme de la mère, et il a les répercutions les plus nobles dans la vie en commun de l'humanité.


Mais ainsi aussi se déploie ce qui en fait est fondé dans l'égoïsme, parce que l'humain a un besoin humain tout de suite pour son égoïsme, sur la vie commune en famille, ainsi cela se déploie sur la vie commune d'origine, ainsi cela se déploie dans la vie commune de la nation, dans le peuple. Et de l'art et la manière comme l'humain se trouve dans le peuple, dans la nation, elle n'est pas autre chose qu'un reflet de ce qui apparaît de lui égoïstement. L'égoïsme sera certes relevé sur une haute marche dans l'amour de la patrie, dans le patriotisme, là il sera anobli, là il devient ainsi qu'il apparaît comme un idéal. Mais cet idéal racine donc dans l'égoïsme humain. Maintenant cet idéal doit devenir fructueux et se réaliser afin que tout ce qui pourrait provenir de la productivité d'un peuple puisse justement être remis à l'humanité.

Et ainsi nous voyons, comme de l'impulsion de l'âme humaine particulière, de l'égoïsme, finalement se développe tout ce qui vient à l'expression dans le nationalisme. Nationalisme est égoïsme vécu en commun. Le nationalisme est l'égoïsme porté en haut dans le spirituel. Le nationalisme est par exemple complètement abreuvé et complètement chauffé par la vie d'imagination du peuple, dans lequel le nationalisme s'amène à l'expression. Mais cette vie de l'imagination elle-même est le développement spirituel plus élevé de ce que sont les besoins humains. On doit retourner jusqu'à cette racine, pour comprendre correctement la chose par son observation.

D'un caractère tout autre est cela qui se développe dans la nature humaine comme internationalisme. National nous le devenons par ce que le nationalisme jaillit de notre propre nature personnelle. Le nationalisme est une fleur de la croissance de l'humain individuel, le sang commun avec son origine ou par d'autres appartenances liées a son peuple. Le nationalisme, il pousse avec l'humain. Il l'a, il pousse dedans, j'aimerais dire, ainsi qu'il pousse dans une grandeur de corps déterminée. L'internationalisme, on ne l'a pas de cette façon. Internationalisme se laisse plus tôt comparer avec ce sentiment que nous gagnons quand nous nous regardons la belle nature en vis-à-vis, ce à quoi nous sommes poussés à l'amour, à l'admiration, à la reconnaissance parce que nous la contemplons, parce qu'elle fait son impression sur nous, parce que nous nous y adonnons en liberté.
Pendant que nous nous faisons dans le peuple particulier, parce que nous sommes dans une certaine mesure un membre de lui, nous apprenons à connaître les autres peuples. Ils agissent vers nous, j'aimerais dire, sur les détours de la connaissance, du comprendre. Nous apprenons à les aimer de proche en proche, plein de compréhension et dans la mesure dans laquelle nous pouvons aimer plein de compréhension l'humanité dans ses différents peuples, sur leurs différents domaines, dans cette mesure grandit notre internationalisme intérieur.


Ce sont absolument deux différentes sources dans la nature humaine qui reposent à la base du nationalisme et de l'internationalisme. Le nationalisme est le plus haut développement de l'égoïsme. L'internationalisme est ce qui pénètre en nous toujours de plus en plus quand nous pouvons nous adonner à une conception de l'humain pleine de compréhension. On devra considérer la vie en commun humaine en cette lumière de par la terre civilisée, notamment quand on veut venir à une compréhension correcte de ce qui dans l'internationalisme et nationalisme pousse l'un sur l'autre.


On doit donc aussi alors, quand sera cherché à comprendre la vie économique, renvoyer sur les deux impulsions, nommées en haut, dans l'âme humaine. Ce que nous avons exposé comme élément de vie articulé triplement de l'humain dans ces conférences,cela nous reconduit sur les deux impulsions justement caractérisées dans l'âme humaine. Regardons-nous par exemple la vie de l'économie – nous voulons donc la regarder après – comme toute vie commune nationale et internationale de l'humain la noyaute. Regardons la vie de l'économie. Nous regardons sur cette vie de l'économie ainsi que nous devons reconnaître son point de départ en fait dans le besoin humain, dans la consommation. Que le besoin humain soit satisfait, cela est finalement la tâche de la vie de l'économie. Pour la satisfaction du besoin humain ont à veiller production et circulation de marchandises, administration, relation humaine et semblable. Là aussi nous pouvons nous demander : qu'est-ce qui repose à la base du besoin, de la consommation à partir de la nature humaine ? L'égoïsme repose à la base du besoin, de la consommation. Et il s'agit qu'on fasse preuve de la nécessaire compréhension de ce fait. Alors, on ne soulèvera pas la question pour la vie de l'économie : comment est à surmonter l'égoïsme ? - mais : comment est-il possible à l'altruisme de satisfaire l'égoïsme justifié ? - Peut être que cette question sonne moins idéaliste, mais elle est vraie.


Mais on voit aussitôt quand on regarde sur la production, par laquelle la consommation devrait être satisfaite, par laquelle la consommation devrait être assouvie, que là quelque chose d'autre est nécessaire. Celui-là, qui devrait produire, il est donc évidemment aussi un consommateur. Il est nécessaire – les conférences tenues l'ont expliqué-, qu'il ait compréhension pas seulement pour le processus de production mais pour la vie de ses semblables ainsi qu'il puisse s'adonner à son processus de production ainsi qu'il corresponde aux besoins de ses semblables. L'humain doit pouvoir regarder vers, serait-ce indirectement ou directement par institutions desquelles nous avons parlées, ce que les humains nécessitent dans la consommation. Alors, l'humain doit de cette compréhension pleine d'ardeur, aussi pouvoir se consacrer à telle ou telle production qui tout de suite repose dans ses capacités. On a seulement besoin de décrire cela, alors on devra voir, quand aussi cela semble sec et sobre en ce domaine, le moteur particulier de la production dans l'amour dévoué à la société humaine. Et avant qu'on ne comprenne que la production ne peut être réglée de manière sociale que par ce que seront créées des bases par les vies de l'esprit et de droit, desquelles se déverserait dans les âmes humaines – à cause de l'intérêt pour leurs semblables, à cause de l'intérêt pour la vie – un amour plein d'ardeur pour leur branche de production, plus tôt on ne dira rien de positif sur la véritable tâche du problème social.




Entre les deux, entre, j'aimerais dire, la consommation égoïste et la production faisant preuve d'amour se tient la circulation de marchandises, de biens, qui crée la compensation entre les deux, créée là aujourd'hui par le hasard du marché, par offre et demande, devrait être créée dans le futur par une association humaine laquelle place la raison à la place du hasard de marché, ainsi que des humains seront là, dont ce sera l'affaire, à partir de l'observation des besoins de consommation, d'aménager la production ainsi que le marché consistera en ce que la raison de l'organisation concernée sera en situation de faire à partir de la production pour la consommation qui tout d'abord sera correctement reconnue et observée. On se débarrassera sur ce domaine absolument de tous slogans et devra parvenir à la réalité.


Mais maintenant – qui ne le verrait pas – le temps récent a toujours de plus en plus produit quelque chose qui devait survenir qui devait se répandre toujours plus largement et largement sur la terre comme l'horizon de l'humain. À la place de l'ancienne économie nationale, l'économie sur des territoires plus étroits, est apparue l'économie mondiale. Toutefois, cette exigence s'est formée si loin que presque à chaque endroit du monde civilisé seront utilisés des produits qui seront produits à d'autres endroits de ce monde civilisé, il est indifférent si c'est le même pays ou un autre. Mais aussi sur ce domaine la saisie idéelle humaine, l'ambiance d'âme n'a pas suivi ce qui est entré comme une exigence des mondes. Partout nous voyons, comme c'est une exigence pressante des temps récents de tenir compte de l'économie mondiale, d'atteindre des institutions sous lesquelles l'économie mondiale est possible.



Sous quelles conditions l'économie mondiale est elle seule possible ? Cela on peut vraiment seulement reconnaître quand on oriente tout d'abord son regard sur comment - et je l'ai exposé dans la conférence d'hier – l'ordre social doit se former d'après le futur, quant à la place des anciennes sociétés de pouvoir, des actuelles sociétés d'échanges, entre la société commune. Cela est justement la société dans laquelle sera produit par les associations, par les contrats des associations.


Quand on fait vraiment valoir cela, en quoi se montre alors la différence réelle entre une telle société commune, et la pure société d'échanges qui aujourd'hui est encore celle qui règne diversement ? La différence se montre en ce que dans la société d'échange de préférence l'individu ou le groupe individuel a à faire avec l'autre individu ou l'autre groupe particulier. À quoi s'intéressent alors cet autre individu ou ce groupe dans leur rapport les uns aux autres ? S'ils sont consommateurs, s'ils sont producteurs – leur production, leur consommation se tiennent dans une certaine mesure séparée par un abîme l'un de l'autre par le marché de hasard et le marché de hasard fournit la circulation de marchandise, fourni le commerce. Comme sinon aussi on parle de manière justifiée ou non justifiée sur la domination du capital, du travail et du genre, sur la signification du capital et la signification du travail, on doit dire : l'essentiel pour notre société d'échange est que ce qui domine est la circulation de marchandises. C'est elle qui construit le pont entre la production et la consommation, pendant que production et consommation sont séparées l'un de l'autre par l'abîme du marché, ainsi qu'elles ne sont pas mises en contact ensemble par la raison.


Qu'est-ce qui dans la société commune s'introduira à la place de la circulation régnante ? Tout le domaine de la vie de l'économie sera tiré dedans l'intérêt de chaque gestionnaire ! Pendant qu'aujourd'hui le gestionnaire a à s'intéresser comment il reçoit ses produits ou écoule ses produits, mais a à veiller par intérêts à lui même, ce devra être ainsi dans la société commune que chaque gestionnaire ait un plein intérêt pour consommation, commerce et production, cela signifie que l'économie d'ensemble se reflète dans l'intérêt économique de l'individu. C'est de cela qu’il doit s'agir avec cette société commune.


Mais avec cette société commune qui aussi dans l’État particulier est aujourd'hui encore absolument une exigence d'avenir, regardons maintenant comment cela devrait se comporter en rapport au problème international. Ce problème international, comment se représente-t-il à nous particulièrement en apport à la vie de l'économie ? Là nous pouvons voir, qu'existe d'ailleurs l'exigence mondiale après une économie mondiale, mais qu'à l'intérieur de l'ensemble de l'économie mondiale les États nationaux particuliers se démembrent. Ces États nationaux particuliers, entièrement mis à part les autres conditions de leur constitution, ils seront tout d'abord maintenus ensemble par ce qui monte de l'égoïsme des humains vivants ensemble. Même dans le plus noble du national, en littérature ; art et ainsi de suite c'est l'imagination montant de l'égoïsme qui tient les groupe-peuples ensemble. Ces groupes-peuples ainsi tenus ensemble se sont placés maintenant dans le domaine entier de l'économie mondiale, et ils se tenaient particulièrement fort, toujours de plus en plus fort dedans au cours du 19e siècle et ce se placer dedans atteignit son apogée au début du 20e siècle. Voulons-nous en fait caractériser ce qui se passa là, alors nous devons dire : pendant qu'encore d'autres intérêts, qui ressemblaient bien plus à l'ancienne société de pouvoir, qui autrefois régnait entre les États, le principe de la société d'échange devient tout de suite prépondérant dans les relations réciproques dans la vie internationale des États, ainsi qu'un apogée fut atteint au début du 20e siècle. Comme dans les États particuliers était produit et consommer, ce qui en d'autres États était administré ou retiré d'autres États, cela était absolument tiré dans l'égoïsme des états particuliers. Pour cela fut seulement rendu valable ce à quoi s'intéressait l’État particulier en tant que tel. Comme on établissait des relations réciproques sur domaine économique entre États, cela reposait entièrement et seulement sur le principe de commerce, cela reposait sur le principe que dans la société d'échange régnait en référence la circulation de marchandises.


Sur ce champ, mais en grand, là se montrait en particulier comment cette pure société d'échange devait conduire ad absurdum. Et le conduire-ad-absurdum, cela était pour l'essentiel une des raisons principales, une des causes principales à ce qui a amené cette catastrophe guerrière mondiale. Il devient donc tout de suite après toujours de plus en plus clair à l'humain que cette grande différence existait entre l'exigence après une économie mondiale et le placer dans cette économie mondiale des états particuliers, qui s'isolent par douanes et autres, plutôt que de promouvoir l'économie mondiale, et ce qui pouvait être résultat de l'économie mondiale, ils voulaient en profiter pour soi et en ont aussi profité. Cela conduisit à cette guerre que nous décrivons comme la catastrophe guerrière mondiale.
Certainement se mêlent dedans d'autres causes, mais cela est tout de suite une des causes principales.

Et ainsi il s'agira de connaître comme tout de suite vis-à-vis de la vie internationale est en toute première ligne nécessaire que la possibilité sera trouvée, par-dessus les frontières de gérer (NDT économiquement) d'après d'autres principes que sont ceux de la pure société d'échange.Il doit devenir possible, tout de suite ainsi comme dans la société commune l'individu doit avoir l'intérêt pour la production, où elle apparaît toujours intérêt pour consommation quand il veut collaborer, comme il doit s'intéresser pour le domaine complet de l'économie – consommation de marchandises, production de marchandises, circulation de marchandises – ainsi ce doit être possible, de trouver des impulsions par lesquelles chaque structure d’État du monde pourrait avoir un véritable intérêt intérieur pour chaque autre structure d’État, ainsi que pas quelque chose d'autre, de semblable au marché de hasard se forme entre les peuples, mais règne une véritable compréhension intérieure entre les peuples.

Là nous venons aux sources plus profondes de ce qui sera recherché aujourd'hui dans l'abstraction dans la Société des Nations ainsi nommée, qui donc part de ce que seront corrigés certains dommages qui existent dans le vivre ensemble des peuples. Seul il surgit du même principe, duquel aujourd'hui beaucoup surgit. Qui aujourd'hui réfléchit sur les dommages de la vie, il pense très souvent aux prochaines corrections par lesquelles l'un ou l'autre pourra être exécuté. Là un voit que beaucoup de luxe existe, donc il veut imposer le luxe et du genre. Il ne pense pas à aller à la source de ce dont il s'agit, trouver la structure de la vie en commun sociale par laquelle un luxe impossible ne peut apparaître.
Qu'on doive aller à de telles sources, mais c'est cela dont il s'agit dans la vie des peuples. C'est pourquoi on ne devrait pas venir à une vie en commun intérieure internationale par de quelconques dispositions qui corrigeraient simplement, mais par ce qu'on va vraiment aux sources, par lesquelles compréhension de peuple vis-à-vis de compréhension de peuple pourra être trouvé.


Maintenant, il ne pourra être trouvé de compréhension de peuple quand purement on tient à l'un, qui se montre dans une certaine mesure comme la croissance elle-même à partir de l'humain, quand on regarde purement sur ce qui, comme j'ai montré, doit conduire au nationalisme, à l'isolement à l'intérieur de l'ensemble des peuples. Qu'avons-nous donc dans la vie spirituelle aujourd'hui, qui au fond unique et seul porte un caractère international et ne l'a seulement pas perdu pendant cette guerre parce que les humains n'étaient pas en état le prendre sur ce domaine ? Car l'auraient-ils pris, ainsi ils auraient du détruire le domaine lui -même. Qu'est cela,qui vraiment est international en fait par la terre entière ? Pris à la base, pas autre chose que le domaine s'étendant sur le monde des sens extérieur de la science de la nature. La science intellectualiste – j'ai montré dans les conférences comment la science de la nature doit être nommée intellectualiste -, elle a pris un caractère international.

Et c'était facile à remarquer dans ces temps où tant de contraires à la vérité sont entrés dans le monde. Quand quiconque a fait du mal à la science d'en mésuser dans le sens national, ainsi il se comporta à elle pour ainsi dire par son vrai caractère. Mais ne voit-on pas de l'autre côté tout de suite par le fait que je devais justement mentionner que cette sorte de vie de l'esprit, qui se vit dans l'intellectualisme, n'était pas en état de fonder une vie internationale ? On le voit, je pense assez clairement que cette nostalgie, que j'ai décrite des plus différents points de vue pour cette direction spirituelle intellectualiste, s'est entièrement montrée particulièrement à l'internationalisme dans le comportement de cette vie de l'esprit intellectualiste.

La science n'était pas en état, de verser dans l'âme humaine de si profondes impulsions internationales que celles-ci auraient résisté vis-à-vis des terribles événements des dernières années. Et là, où cette science voulait apparaître, former des impulsions sociales comme dans l'internationalisme socialiste, là s'est montré que ce socialisme internationaliste ne pouvait aussi pas se maintenir, mais la plupart du temps refluait dans le chenal national. Pourquoi ? Parce que justement il a tout de suite repris seulement l'intellectualisme des anciens héritages de l'humanité et que l'intellectualisme n'est pas assez fort pour œuvrer formateur dans la vie. C'est cela, qui d'un côté atteste que cette récente direction scientifique, qui est montée en même temps que capitalisme et culture technique, contient certes un élément international, mais en même temps atteste qu'elle est comme impuissante à la fondation d'une véritable vie internationale de l'humanité.

Vis-à-vis de cela devra maintenant se faire valoir, ce que j'ai expliqué dans la quatrième conférence sur l'orientation de science de l'esprit, qui repose sur la façon de voir, sur la connaissance de l'esprit. Cette façon de voir l'esprit, elle ne repose pas sur façon de voir sensorielle plus extérieure, elle provient de l'évolution de la nature humaine propre. Elle éclot à partir de ce dont éclot aussi l'imagination. Mais elle éclot à partir de profondeurs plus profondes de la nature humaine. C'est pourquoi elle ne se dresse pas purement aux structures individualistes de l'imagination, mais aux structures de connaissance objectives de la réalité spirituelle du monde. Sous ce rapport, cette façon de voir spirituelle sera donc aujourd'hui encore très souvent mal comprise. Ceux qui ne la connaissent pas, ils disent : oui, ce qui de cette manière sera trouvé par cette façon de voir spirituelle, cela est donc seulement subjectif, personne ne peut prouver cela. – Les connaissances mathématiques sont aussi subjectives et ne sont pas démontrables ; et on ne peut jamais confirmer des vérités mathématiques par consensus des humains ! Qui connaît le théorème pythagoricien , celui-là sait, qu'il est correct, quand bien des millions d'humains le contrediraient. Ainsi vient aussi à un intérieurement objectif ce qui est pensé ici avec science de l'esprit. Mais cela prend le même chemin, que l'imagination prend et grimpe plus haut, racine en des profondeurs objectives et grimpe jusqu'en des hauteurs objectives. C'est pourquoi cette façon de voir spirituelle se maintient par-dessus tout ce qui sinon rougeoie incandescent comme imagination par les peuples. Et en même temps sera cherchée cette façon de voir de l'esprit dans ce peuple ou celui-là à partir de cette langue ou celle-là. Elle est une et la même, à travers tous les humains, de par la Terre entière, si seulement elle sera cherchée assez profondément.


C'est pourquoi cette façon de voir spirituelle de laquelle je devais montrer qu'elle peut intervenir vraiment façonnante dans la vie pratique sociale, a en même temps la possibilité d'intervenir dans la vie internationale, être un lien de peuple à peuple. Un peuple produira de manière individuelle, sa poésie, les particularités de ses domaines artistiques restants. À partir de l'individualisme d'un peuple apparaîtra quelque chose pour la façon de voir spirituelle qui est entièrement identique à ce qui apparaît n'importe où autrement. Les bases, dont les choses, proviennent sont à différents endroits dans lesquels elles trouvent finalement leur résultats, cela est identique de par la terre entière. Beaucoup d'humains parlent aujourd'hui d'esprit ; ils ne savent seulement pas que l'esprit devra être expliqué.Mais quand il sera expliqué alors il est quelque chose qui ne sépare pas les humains, mais relie les humains parce qu'il retourne jusque dans l'être le plus intérieur de l'humain, en ce qu'un humain produit la même chose que l'autre humain, en ce qu'un humain peut pleinement comprendre un autre humain.

Alors, quand vraiment, ce qui sinon vient à l'expression seulement de manière individualiste dans l'imagination populaire particulière, on l'approfondit jusqu'à la façon de voir spirituelle alors les révélations de peuple seront seulement des expressions variées pour ce qui est unité dans la façon de voir de l'esprit. Alors, on pourra de par toute la Terre laisser subsister les différentes individualités de peuple parce qu'a besoin de régner non une unité abstraite, mais parce que concret l'un qui sera trouvé par la façon de voir de l'esprit, sera laissé s'amener à l'expression de la manière la plus diversifiée. Et par cela l'un pourra se comprendre dans le spirituel parmi les nombreux. Alors, vous trouverez de l'unité de leurs nombreuses sortes de compréhensions, la possibilité pour les statuts d'une société des nations, alors pourra apparaître aussi du contexte de l'esprit, à partir de la constitution spirituelle, la législation qui lie les peuples.
Et alors prendra de la place dans les peuples particuliers, ce qui peut être chez chaque peuple particulier : intérêt pour production et consommation d'autres peuples. Alors pourra se développer vraiment ce qui est vie de l'esprit des peuples, vie de droit des peuples, la compréhension pour d'autres peuples de par la Terre entière.


Ainsi, on devra aussi sur ce domaine soit passer à l'esprit ou on devra renoncer à créer avec encore des statuts aussi bien pensés quelque chose de mieux que ce qui a été là jusqu'à présent. Certainement, beaucoup d'humains parlent aujourd'hui de manière compréhensible de leur incroyance en l'action d'un tel spirituel ; mais en fait à cause de ce qu'ils n'ont pas le courage, d'aller à ce spirituel. On fait donc véritablement la vie bien dure à ce spirituel. Mais là, où il peut se déployer seulement en petits cercles malgré qu'on lui fasse la vie difficile, là cela montre déjà que c'est ainsi, comme je l'ai justement décrit maintenant. A-t-on appris à connaître en quelque endroit dans un des États conduisant auparavant la guerre, la mentalité des humains, ce que les humains ont pensé sur d'autres appartenant à des États ennemis, comme ils les ont haït, on a appris à connaître comment était peu d'international en un tel domaine conduisant la guerre, alors on a un jugement là dessus, comme celui, qui parle devant vous, qui de nouveau et à nouveau est venu vers cet endroit, que j'ai déjà mentionné dans ces conférences, dans le nord-ouest de la Suisse, où se dresse le lieu du soin de cette science de l'esprit pensée ici, le Goetheanum, l'université pour science de l'esprit. Qu'est-ce que ça a au fond été comme lieu par toutes les années de guerre ? En ce lieu des humains de toutes les nations ont œuvré ensemble à travers toutes les années de guerre, sans qu'ils se soient moins entendus pendant ce temps qu'autrefois, quand aussi ils ont conduit maintes discussions inutiles ou utiles.


Cette compréhension, qui est ressortie de la saisie commune d'une façon de voir l'esprit est déjà devenue réalité. On peut dire : nous avons pu faire l'expérience en ce domaine. Nous avons pu montrer que les humains qui voulaient aller là en ces temps pouvaient comprendre d'autres humains.

Mais cette compréhension, elle n'a pas le droit d'être cherchée par une indication abstraite sur l'esprit, mais doit être cherchée dans le plus étroit, réel s'élaborer l'esprit. De cela l'actuelle humanité veut encore peu savoir : que l'esprit devrait en fait être travaillé. On parle donc très souvent aussi aujourd'hui de l'esprit, que l'esprit devrait venir – je l'ai de nouveau évoqué hier – et devrait parcourir ce que sont les pures exigences sociales matérialistes.
Mais on n'entend pas beaucoup plus que l'on devrait appeler à l'esprit. Oui, quand de tels humains qui sinon sont donc très bien pensants, sont aussi unilatéraux, sont aussi traversés par l'éthique sociale, quand de tels humains voudraient seulement se réfléchir ce qui suit, quand ils aimeraient seulement pouvoir se dire : oui, nous avons toutefois eu l'esprit ; mais pouvons-nous quelque peu appeler aujourd'hui au même esprit que nous avons eu ? Cet esprit nous a donc tout de suite amenés dans la situation dans laquelle nous sommes ! Donc, n'ayons pas besoin d'une nouvelle situation par l'ancien esprit. Celle-là nous ne pouvons la recevoir par un ancien esprit. Cela il l'a montré. Nous avons besoin d'un nouvel esprit – Mais ce nouvel esprit devra être acquis. Et il ne pourra être acquis que dans la vie de l'esprit autonome.

C'est pourquoi nous nous représentons comme l'exigence après une économie mondiale s'accomplit– car elle devra cela par ses propres nécessités –, ainsi devront se tenir à l'intérieur de cette économie mondiale structures sociales à côté de structures sociales, partout de manière individuelle, des humains qui habitent ensemble dans cette structure, et produisent du spirituel et du juridique. Mais cela qui sera produit là de manière individuelle, cela sera tout de suite le moyen, pour comprendre les autres structures sociales et ce sera par là le moyen de vraiment faire l'économie mondiale. Mais sinon, si un tel moyen n’est pas créé, se placeront seulement à nouveau dans l'économie mondiale, les intérêts nationaux ainsi nommés et profiteront à leur fin de ce qui pourra être aspiré de cette économie mondiale. Là où chacun veut cela sans compréhension pour les autres, devrait apparaître nécessairement à nouveau la disharmonie.


Mais comment pourra être conduite une véritable économie mondiale ? Elle pourra seulement être conduite par ce que l'organisation spirituelle, l'organisation juridique ne s'emparent pas des structures particulières de cette économie, car celles-ci doivent avoir forme individuelle. À la collectivité, à l'unité elles vont seulement dans la compréhension spirituelle en ce qu'elles atteignent ce qui sur toute la terre est l'autre unité. Que cette terre sera émancipée des individualismes, cela est sur la terre entière l'autre unité.

Maintenant c'est tout autant vrai que quand on descend suffisamment profond dans la nature humaine avec l'évolution de l'humain jusqu'à une hauteur objective, ainsi qu'on trouve comme façon de voir l'esprit que chaque autre, chaque autre nation trouve, ainsi on doit dire qu'aussi les besoins humains de consommation sur la terre entière ne seront pas touchés par les nationalismes particuliers. Les besoins humains sont internationaux. Seulement, ils se tiennent polaires vis-à-vis de ce qui est l'esprit international.
L'esprit international doit livrer la compréhension, doit pouvoir emplir cette compréhension par amour pour l'autre nationalité, doit pouvoir déployer l'amour jusqu'à l'internationalité au sens de ce qui a été expliqué auparavant. Mais l'égoïsme est tout aussi international. Cela pourra seulement créer un pont à la production mondiale quand cette production mondiale est issue d'une compréhension spirituelle commune, d'une façon de voir unitaire spirituelle commune. Jamais ne pourront apparaître à partir des égoïsmes de peuples des compréhensions pour la consommation commune, qui repose sur l'égoïsme commun.

Mais seul de la façon de voir spirituelle commune peut se développer ce qui ne vient pas de l'égoïsme, mais finalement de l'amour, comme j'ai expliqué, et qui de ce fait peut dominer la production.


Par quoi est apparue l'exigence après une économie mondiale ? Parce ce que par le devenir compliqué des rapports de vie humains sur tout le monde civilisé toujours de plus en plus les besoins de consommation des humains se sont unifiés, se montre toujours de plus en plus comment par tout le monde civilisé les humains ont besoin de la même chose.
Comment pourra pousser de ces besoins unitaires un principe de production unitaire qui sera actif pour l'économie du monde de par le monde entier ? Par cela, qu'on monte à la vie spirituelle, ainsi que c'est pensé ici, à véritable façon de voir spirituelle, qui est suffisamment puissante pour créer la production mondiale commune à la consommation mondiale commune. Mais alors pourra être créée la compensation, en ce que l'unité de l'esprit agit vers l'unité de la consommation, alors sera créer la compensation dans la circulation, la médiation entre production et consommation.


Ainsi, on doit regarder dans le plus intérieur de l'humain quand on veut connaître, comme vraiment de beaucoup d'organismes devrait apparaître un organisme unitaire sur toute la terre civilisée. D'aucune autre manière peut se construire cet organisme unitaire, cet organisme unitaire, qui doit contenir les conditions que maintenant soit créé vraiment un tel rapport organique entre production et consommation conformément aux exigences sociales sur toute la terre, que le petit bout de pain ou le charbon dont j'ai besoin pour le ménage individuel ou pour l'humain individuel, correspondent vraiment aux exigences sociales, qui aujourd'hui sont valables dans la sousconscience de l'humanité.


Je sais très bien que, quand on pousse les choses aussi dans une telle sphère d'observation, beaucoup disent : oui, mais cela est de l'idéalisme, cela se dresse en d'idéales hauteurs ! - Mais dans cela on trouve unique et seul ce qu'est le moteur propulsant pour la multiplicité extérieure. Et pour cette raison que les humains n'ont pas cherchés tout de suite après les moteurs, qui pourront être trouvés seulement de cette manière, à cause de cela nous sommes rentrés dans les contextes sociaux et les contextes politiques du présent sur tout le monde civilisé. Pas plus tôt qu'on dira : ceux qui s'occupent de créer les forces propulsantes intérieures pour l'organisme social du monde, ceux-là sont les vrais praticiens, pendant que ceux qui se nomment souvent praticiens, connaissent seulement rudimentaires leur vrai domaine et sont abstraits de cela.- pas plus tôt que jusqu'à ce qu'on connaîtra cela, la question sociale ne pourra pas se tenir sur un sol sain.


Un de ceux, pour qui aussi, maintenant il y a bien longtemps, cela était sérieux, celui-là a rendu attentif là dessus, alors qu'il a parlé sur un certain domaine de la vie humaine, que les ainsi nommés idéalistes ne sont pas tout de suite ceux qui ne savent pas comment les idéaux se comportent à la vie véritable. Il l'a éprouvé, comme c'est insensé quand des praticiens ainsi nommés viennent et disent aux idéalistes : oui, tes idéaux sont très beaux, mais la pratique exige quelque chose de tout autre ! - L'unique état de fait est celui-là que tout de suite exige la pratique de cet idéal, quand il devrait devenir une véritable pratique. Et cela empêche la réalisation de cet idéal que ces soi-disant praticiens soient ceux-là qui ne les laissent pas réaliser parce qu'ils sont trop confortables pour cela ou ont un autre intérêt de ne pas les laisser réaliser.
Et le même homme qui a dit : que les idéaux ne sont pas immédiatement applicables dans la vie, cela nous le savons justement aussi bien que les autres, seulement nous savons que la vie doit être formée à jamais d'après ces idéaux. Mais ceux-là qui ne peuvent s'en convaincre, ceux-là ne montrent rien d'autre que cela que justement la vie n'a plus compté sur leur collaboration dans sa formation, et ainsi on aimerait leur souhaiter qu'ils reçoivent au bon moment pluie et soleil et si possible une bonne digestion.

C'est cela, par quoi le rapport de l'idéalisme souvent catharisé à la véritable pratique de vie devrait être caractérisé, que vous avez besoins, quand vous voulez construire un pont – une tâche, qu'aussi l'art d'ingénieur maîtrise absolument d'après des idées non matérielles : comme tout d'abord tout le pont doit être idéel et tout de suite alors quand il est bien calculé idéellement, il peut devenir un véritable pont pratique, ainsi doit ce qui devrait se former de l'idéalisme, être une idée pratique ressortant de sens pratique intérieur. Et on doit avoir l'instinct, le sentiment pour ce on a à porter dehors comme une telle légalité objective dans la véritable pratique de vie. Alors on de demandera aussi plus : comment porte-t-on ces choses dedans la pratique de vie ? - Alors on saura : quand suffisamment d'humains sont là qui comprennent les choses, alors la chose sera immédiatement pratique par ces humains et leurs actes.


On entend aujourd'hui très souvent : oui, ces idées sont donc très souvent très belles, et même réalisées, elles seraient très belles, mais les humains ne sont pas mûrs pour cela. Dans leur masse les humains ne seraient pas encore mûrs pour cela. - Oui, qu'est-ce que cela signifie alors en fait quand on dit, les humains dans leur masse ne seraient pas encore mûrs ? Qui connaît le rapport à la réalité, qui regarde au travers de la vie pratique d'après son caractère de réalité, celui-là pense autrement sur ces humains, celui-là sait qu'assez d'humains sont dans le présent, lesquels, quand ils rentrent seulement assez profondément dans leur intérieur, peuvent trouver pleine compréhension pour ce dont il s'agit ici. Ce qui empêche est le plus souvent seulement le découragement. L'énergie manque, pour vraiment avancer jusqu'à où on pourrait avancer quand on pouvait seulement former pleine conscience en soi.

Ce qui avant toutes choses nous fait défaut, cela est quelque chose qui pris au fond chaque humain individuel pourrait corriger chez lui quand seulement il regarderait suffisamment sur la réalité. Mais pendant que d'un côté on tombe dans le matérialisme, se complaît même dans le matérialisme, on est de l'autre côté amoureux dans l'abstraction, dans toutes sortes de principes abstraits et intellectuels et ne veut absolument pas pénétrer dans la réalité.

Déjà dans la vie extérieure on croit aujourd'hui, être pratique ; mais on ne se donne pas la peine de vraiment considérer les choses ainsi qu'on pourrait les connaître dans leur caractère de réalité. Qui aujourd'hui par exemple se voit présenter une quelque affirmation, celui-là s'adonne à cette affirmation. Il prend seulement le contenu abstrait. Là il peut tout de suite s'éloigner de la vie, pas se rapprocher un peu toujours plus de la vie. Quand aujourd'hui l'un lit un bel éditorial, ainsi est à dire là-dessus qu'aujourd'hui écrire un bel éditorial n'est pas une difficulté particulière. Car tant a été pensé dans la civilisation moderne qu'on n'a seulement besoin de s'acquérir une routine, ainsi on peut placer phrase à phrase. Il ne s'agit pas de cela qu'on est aujourd'hui d'accord avec le contenu mot à mot de quelque chose, mais qu'on s'acquiert un jugement sur comment ce contenu est en rapport avec la réalité. Mais là beaucoup est à corriger dans le présent d'après la direction qu'on doit dire : les humains devraient avant toutes choses exiger après la vérité, après cette vérité qui les porte plein de courage au-devant de la réalité.

.
Pour cela deux exemples. Vous pouvez en maintes statistiques, disons sur les États balkaniques, lire – les humains s'informent donc aujourd'hui sur les rapports de la vie extérieure, jugent une quelque situation politique mondiale ou du genre par statistiques - : tant et tant de Grecs, tant et tant de Serbes, tant et tant de Bulgares ! Et là on peut alors calculer, quels sont les droits justifiés de l'élément grec, l'élément bulgare, l'élément serbe. Regarde-t-on alors un peu plus exactement après ce que cela signifie, relie-t-on ce qu'on a acquis comme connaissance abstraite par le chiffre des Bulgares, des Serbes, des Grecs, des Macédoniens avec l'expérience, alors on découvre peut être que sont inscrits le père comme un grec, l'un des fils comme un bulgare, le deuxième fils comme un serbe ! Maintenant on aimerait savoir comme cela ressort avec la vérité. La famille peut elle vraiment être ainsi que le père est un grec, un des fils un bulgare, le deuxième fils un serbe ? Apprend-on vraiment quelque chose sur la réalité quand on a une statistique faite sur de telles conditions préalables ? La plupart de ce qui est aujourd'hui rassemblé en statistique dans le monde, repose sur de tels rassemblements, en particulier très souvent dans la vie d'affaires.
Pour cela, parce que les humains n'ont pas le besoin de toujours avancer de ce qui leur sera dit mot pour mot, au contenu du vrai, de la réalité, pour cela aujourd'hui sera si souvent jugé à côté, car il ne sera pas parvenu aux choses. Les humains sont contents avec ce qui purement comme une couche supérieure recouvre les réalités vraies. Mais commencer sur les vraies réalités, cela est la première exigence dans la vie de notre époque, pas de bavarder si les humains sont mûrs ou pas mûrs, mais tout de suite de montrer sur ce que sont les dommages principaux.
Les humains se comprendront alors seulement quand ils trouveront d'autres humains qui se donnent la peine de découvrir ces dommages principaux et rendent attentifs suffisamment fort dessus.


Ou bien : le monde à début juin 1917 lu – une partie du monde s'est malgré tout encore intéressé à cela – le discours du trône de l'empereur d'Autriche d'alors Karl. Dans ce discours du trône sera parler très moderne de démocratie, toujours de nouveau de démocratie. Maintenant, ce discours du trône – j'ai lu maintes choses sur lui : comme les gens se sont enthousiasmés pour ce qu'au monde serait annoncé démocratie, comme beau ce serait, que là sera dit au monde quelque chose sur démocratie. Maintenant quand on prenait le discours du trône du début à la fin, purement d'après son contenu mot pour mot – c'était une belle prestation, feuilletonnesque, quand on veut purement se réjouir au style, à la formation des phrases, comme elles veulent en appeler à la satisfaction humaine. Beau. Mais on voyait la vérité. Là on doit placer dans son milieu ce qui est mot pour mot. Là on doit demander : qui parle ? Dans quel entourage parle-t-il ? Et là on voit se tenir le souverain moyenâgeux dans le plus ancien ornement de couronnement de tous les luxes ostentatoires possibles et de toutes les superbes possibles,ne cachant pas une fois ce qui est écrit dans son élucubration, entouré de ses paladins brillants et couverts d'or ; le tout moyenâgeux, que quand cela a parlé vrai, a parlé autrement que de démocratie ! Qu'est la parole de démocratie quand c'est encore aussi beau, mot pour mot, dans une telle élucubration. Un mensonge d'histoire mondiale !

On doit repartir du contenu mot pour mot jusqu'à l'observation de la réalité. On ne doit pas purement saisir les choses avec l'intellect, on doit parvenir à la façon de voir. C'est tout de suite ce qu'exige la science de l'esprit.
On ne méconnaît pas la réalité extérieure sans punition. Qui veut connaître la réalité spirituelle correctement dans le sens de la science de l'esprit, comme cela est penser ici, veut seulement voir la réalité spirituelle, celui-là doit avant toutes choses s'habituer à la plus absolue vérité dans le monde des sens : ne s'adonner à aucune illusion sur ce qui se passe autour de lui pour ses cinq sens. Tout de suite qui veut pénétrer dans l'esprit doit utiliser en vérité ses cinq sens sains, ne pas s'adonner au fantasme, auquel s'adonnent tout de suite des gens d'affaires ainsi nommés, beaucoup de praticiens qui seront beaucoup vénérés, auxquels s'adonne presque le monde entier.


Ce dont nous avons besoin, n'est pas une lamentation douillette que les humains ne seraient pas mûrs, ce dont nous avons besoin, est un rendre attentif sur ce que nous devons devenir vrais, intérieurement vrais. Alors ne résonnera pas par le monde le racontar sur l'esprit et toujours à nouveau sur l'esprit contraire à la vérité. Alors aussi pas ce racontar contraire à la vérité des différences entre doit et morale ne résonnera pas de par le monde, mais alors résonnera quelque chose d'un travail que devrait s'acquérir l'esprit. Alors résonnera quelque chose de ce que comment, quand l'esprit sera acquis, les humains vivront en des conditions telles qu'ils trouveront aussi entre eux le même droit et alors en premier on pourra parler de cela comment l'économie traversée d'esprit et traversée de droit pourra fonder une véritable société commune. Cela est beaucoup plus nécessaire qu'on considère : il y a suffisamment d'humains là qui au moins se maîtrisent seulement intérieurement pour pouvoir comprendre en eux-mêmes de telles indications. On ne devrait seulement pas devenir fatigué de souligner ces choses toujours de nouveau et de nouveau. On ne devrait seulement pas croire que quand on dit : l'esprit devrait régner -, cet esprit viendrait dans le monde par un quelque prodige. Non, seul par le travail spirituel humain cet esprit peut venir dans le monde. Aussi en ce rapport il s'agit de ce qu'on ne laisse pas toujours résonner au dehors la contrevérité dans le monde : l'esprit devrait être, mais laisse la vérité résonner dehors : l'esprit sera seulement quand des lieux sont là dans lesquels ne sera pas travaillé purement sur la nature extérieure, pas purement au sens du matérialisme, mais dans lesquels sera acquise une façon de voir l'esprit.

Mais de cette façon de voir l'esprit – je crois cela, avoir tout de suite montrer dans ces conférences ce qui donc devaient seulement être une tentative, une faible tentative – proviendra aussi une véritable compréhension sociale des habitudes de vie de l'humanité dans le présent et dans le proche avenir. Que les humains tout de suite en rapport au spirituel et en rapport à l'aspiration spirituelle deviennent vrais, il s'agit de cela. Car l'esprit peut seulement être trouvé sur le chemin de la vérité.


C'est seulement un prétexte quand on dit : oui, les humains ne le savent pas. - À l'aspiration spirituelle il s'agit de cela que, quand le mensonge sera suivi inconsciemment, ce mensonge agit tout aussi dommageable dans le monde comme quand il sera suivit consciemment. Car l'humain a dans le présent l'obligation, de remonter le sousconscient pour éliminer la contre-vérité dans tous les domaines, aussi dans le domaine du sousconscient.



Réponses aux questions après la sixième conférence.

Tout d'abord est posée ici une question :

Comment Monsieur le Docteur Steiner se place-t-il à l'économie de l'intérêt et au revenu sans travail ?

J'ai – pas en forme polémique, mais en forme constructive – donc traité de cela dans mon livre « Les fondements de la question sociale ». Il m'a très souvent été reproché que l'intérêt ne serait pas entièrement disparu de ce qui me plane devant comme structure sociale de la société humaine. Maintenant il me semble que c'est plus sincère de se placer sur le sol de la réalité et de souligner vraiment le possible et nécessaire, plutôt que sur un quelque sol nébuleux sur lequel on dresse purement des exigences. J'ai dans mes « Points fondamentaux de la question sociale » tenté de montrer que oui absolument le travail avec capital est nécessaire. On ne peut pas créer de grosses entreprises sans gros amas de capital, absolument pas amener d'économie nationale en état dans le sens actuel . Si maintenant ce capital est pensé en forme d'argent ou en autre forme, cela est une chose en soi.

La plupart des humains commettent en ce qu'ils se jettent sur la question sociale, très souvent l'erreur, qu'ils saisissent des yeux seulement le présent dans une certaine mesure comme un instant unique et pour cet instant unique réfléchissent : comment est là à former la vie de l'économie ? - Mais gérer (NDT économiquement) signifie en même temps, avec le géré en un certain instant, créer une base par la gestion du futur. Sans qu'on crée n'importe comment une base pour le futur, on ne pourrait maintenir la continuité de la vie de l'économie, la vie de l'économie s’interromprait toujours. Mais cela ne fonde pas d'intérêt à partir des bénéfices de l'intérêt, mais bien des bénéfices de l'intérêt parce que la possibilité doit exister que toujours en un quelque instant sera ainsi travaillé autant que de ce travail apparaissent des prestations, qui peuvent aussi servir à un travail futur. Cela n'est pas à penser sans que le concerné pour ce qu'il fournit pour le futur, obtienne une sorte d'équivalent, et cela signifierait une sorte d'intérêt. J'aurais aussi pu l'appeler autrement, quand j'aurais voulu flatter ceux-là, qui aujourd'hui pestent sur intérêt dans le revenu.
Mais il me semble plus sincère de nommer ainsi la chose, comme elle est dans la réalité. Il est nécessaire, que ceux qui apportent en contribution une quelque chose à cela – ce sera donc la plus simple expression pour des processus compliqués - à cela, que pourra être utilisé du capital rassemblé, que ceux qui fournissent leur travail du passé, du présent dans l'avenir, le maintiennent de cette manière valorisé à l'avenir. Intérêt dans la forme, comme je le décris dans mes « Points fondamentaux de la question sociale » n'est rien d'autre que valorisation de ce qui a été fourni dans le présent pour le futur.


Mais maintenant, à de telles choses vient toujours en considération ce qui sinon est contenu avec dans l'organisme social comme un membre nécessaire. Il s'agit chez l'humain par exemple qu'il ait tous ses membres, car ils agissent tous ensemble. Ainsi, on peut aussi comprendre un membre seulement à partir de l'humain d'ensemble. Ainsi, c'est aussi dans l'organisme social qu'on ne peut comprendre le particulier que de l'entier. Quand vous pouvez vous rappeler à ce que j'ai expliqué en rapport à cela, comment est à saisir le rapport de la fabrication de moyens de production, ainsi vous verrez qu'il s'agit à cela que les moyens de production ne coûtent quelque chose, sont vendable seulement aussi longtemps qu'ils ne sont pas terminés. Sont-ils terminés, ils restent toutefois chez celui qui a la capacité de les amener à être terminés ; mais alors, ils vont par des rapports juridiques, ne sont donc plus vendables.
Par cela ressortira aussi pour les actifs en argent un effet entièrement déterminé. Il ne s'agit pas de ce qu'on fasse des lois, que l'argent ne devrait pas porter d'intérêt, mais il s'agit de cela que des résultats ressortent qui correspondent à l'organisme social.

Par cela ce qui existe comme actifs en argent recevra un caractère similaire à d'autres biens. D'autres biens se différencient aujourd'hui de l'argent par cela qu'ils disparaissent ou seront consommés ; mais l'argent n'a pas besoin de se perdre. Sur de plus longs espaces de temps, il se perd donc aussi, mais pas en de cours espaces de temps. De cela maintes gens croient qu'aussi en des espaces de temps plus long il se maintiendrait.

Il y a même eu des humains, qui ont fait des testaments, qui ont légué ceci ou cela à quelque ville. Alors, ils ont calculé, combien cela fait après quelques siècles. Ce sont des sommes tellement grosses, qu'on pourrait alors payer avec les dettes d’État d’un État très fortement endetté. Mais la blague est seulement celle-là que ce n’est alors plus là, parce que c’est impossible, de maintenir l’argent dans la génération d'intérêt sur de si longues durées.
Mais pour cela l’intérêt véritable est à maintenir pour de plus courtes durées. Mais si dans le processus d'économie nationale/politique cela pénétrait, qu'en fait les moyens de production ne coûteraient plus rien quand ils sont là, fond et sol deviendrait en fait objet de droit – pas objet d’achat, pas un objet de circulation économique -, alors s’introduit pour l'actif monétaire, je l’ai souvent exprimé, qu’après un certain temps il commence à avoir une mauvaise odeur, comme des aliments qui sont avariés et ont une mauvaise odeur, ne sont plus utilisables. Cela s’établit simplement par le processus économique lui-même que l’argent perd sa valeur après un certain espace de temps, qui n’est absolument pas quelque chose d’injustement court ; mais c’est justement ainsi.
Par cela vous voyez combien beaucoup cette impulsion pour la triarticulation de l’organisme social est pensée à partir des réalités. Lorsque vous donnez des lois, vous donnez des abstractions, par lesquelles vous voulez maîtriser la réalité. Pensez-vous sur la réalité, ainsi vous voulez former la réalité ainsi que les choses se montrent ainsi qu’elles expriment la plus profonde conscience de l’humain.

Tout aussi bien, dans un organisme tel que je le pense, n'est absolument pas contenu le revenu sans travail comme tel. Seulement, on doit aussi avoir des concepts clairs sur ces choses. Qu’est finalement un revenu sans travail ? Dans ce concept « revenu sans travail » est donc fourré beaucoup, vraiment beaucoup de non-clartés, et avec des concepts non clairs on ne peut véritablement pas conduire de réformes. Voyez-vous, pour celui, qui nomme « travail » purement fendre du bois, pour lui est certainement un revenu sans travail ce que quelqu’un reçoit pour un tableau, qu’il peint, et semblable. C’est juste exprimé un peu radicalement, mais ainsi est souvent jugé absolument le soi-disant « revenu sans travail ». (NDT : en 1919 est paru un livre sur le sujet „Die Beseitigung des arbeitslosen Einkommens“: die künftige Wirtschaft (Wertschafft) : deutsches Ideal. Heinrich Dolle. R. Steiner y fait peut-être référence ici.) Ce qui fonde des valeurs économiques s’assemble, justement de différents facteurs dans la vie. Cela s’assemble premièrement à partir des facultés des humains, deuxièmement du travail, mais troisièmement aussi de constellations, et c’est une des plus grandes erreurs, lorsqu’on a à peine défini, qu’un quelconque bien qui est dans la circulation économique serait seulement du « travail cristallisé ». Cela il ne l’est absolument pas.
Je me suis donc exprimé sur le travail dans ces conférences. Il s’agit donc que l’on n’assemble pas d’une quelconque manière le concept de travail, comme il est aujourd’hui diversement assemblé, avec le concept de revenu. Son revenu, un humain le reçoit donc véritablement pas purement parce qu’il mange et boit ou satisfait sinon quelque besoin corporel ou psychique, mais aussi parce qu’il travaille pour d’autres humains. Donc le processus économique est bien trop compliqué, pour qu’on veuille l’englober avec de tels concepts simples.

Le conférencier dérive-t-il aussi le surconscient, les états de transe, l'illumination et ainsi de suite de l'égoïsme ?

Maintenant, j'ai donc bien clairement rendu remarquable que ce que je nomme les sources de la façon de voir spirituelle fait certes le chemin que font les choses qui viennent de l'égoïsme ; mais quand deux font le même chemin ainsi ils n'ont donc quand même pas besoin pour cela de venir de la même chose. Les deux vont par l'intérieur de l'humain, mais l'un grimpe se montrant à partir de profondeurs objectives, ai-je dit, et grimpe haut à des hauteurs objectives. Maintenant je voudrais aussi ne pas être mal compris. Les états de transe ne sont pas du tout un surconscient, mais absolument un sousconscient, plus sous-conscient que par exemple de quelconques émotions et du genre. Et maint, qu'on nomme « illuminations », ce qui vient ainsi de soi-même, cela est la plupart du temps aussi un très, très sous-conscient. Ce que je concevrais comme surconscient,cela vous le trouvé décrit dans mon livre « Comment obtient-on des connaissances des mondes supérieurs ? ».

Comment le conférencier fonde-t-il ce qu'il a exprimé dans le vote de la discussion d'hier de l'avis déviant de la conception de la moderne économie nationale, d'après laquelle seulement fond et sol serait productif ? Est ce que repose à la base de cet avis seulement un peu une autre description du concept de production, de productivité ?

Je n'ai pas, je crois, donné aussi seulement une quelque sorte la raison pour croire que mon opinion irait là où seulement fond et sol serait productif. Avec ce concept « productif », « non productif » et du genre ce n'est pas entièrement productif de gérer beaucoup,mais il s'agit aux choses donc plus de ce qu'on ne parvienne pas trop à des concepts terminés. Les humains parlent aujourd'hui bien trop en mots. Il ne s'agit pas de ce qu'on donnerait de telles définitions, quelque chose serait productif ou improductif ; là il s'agit toujours de cela, comment on conçoit le productif ou l'improductif ; mais il s'agit de ce qu'on décrive vraiment les conditions d’après les contextes. Et là, je tentais hier à décrire, comme fond-et-sol se place autrement dedans le processus d'économie nationale, que par exemple la production industrielle. Il s'agit de telles descriptions, de telles caractéristiques.


Quand seulement une fois on voudrait se rendre clair, combien seront causés de dommages par ce que, notamment dans les sciences, on se tienne trop à de telles définitions ou détermination de concept ! Ce qu'on décrit, pour cela on n'a donc pas besoin de détermination de concepts. Il règne aujourd'hui très souvent l'indécence que quelqu'un dit, il serait pour cela ou de cet ou tel avis. Là, on doit premièrement s'entendre là dessus ce qu'il comprend sous ce prédicat. Vraisemblablement après de longues tractations il viendra là dessus qu'il pense la même chose que l'autre. Ce qui conduit à véritable production, quand je veux nommer cela production, ce qui conduit à une véritable consommation, quand je parle là dessus, ainsi je dois saisir des yeux tous les facteurs particuliers, des plus élémentaires jusqu'aux plus compliqués.


Là sera par exemple très difficile, de monter de ce que donc – toutefois dans un sens quelque plus large on pourrait nommer l'économie des animaux. Les animaux mangent et boivent donc aussi. Donc il ont, aussi loin qu'ils ne sont pas apprivoisés, aussi une sorte de vie économique. Mais il profitent dans la règle ce qui n'ont pas trop fortement besoin de se préparer. La plupart des animaux prennent ce qui est déjà là. Maintenant, pour eux la nature est productive, quand nous voulons utiliser l'expression productive. Beaucoup de ce que l'humain savoure se trouve donc aussi sur ce sol. Quand finalement il savoure des fruits, ainsi ce n'est pas beaucoup éloigné – seulement par des rapports de circulation et propriété et semblable – de la sorte d'économie des animaux, mais chez lesquels on pourrait même trouver aussi des bases à des rapports de propriété. Maintenant il s'agit de cela, de maintenant suivre le processus plus loin, comme l'humain commence tout d'abord à traiter, ce qui est apporté par la nature, alors amener plus loin par le commerce (NDT Verkehr) dans la circulation et ainsi de suite. Là, commence une poursuite du concept, qui commence à la nature. Alors on vient à ce qui est production pour le plus extérieur luxe, ce qui ne correspond plus à de véritables besoins, cela signifie, correspond à des besoins justifiés ou raisonnables. Oui, limiter de quelque manière le concept, cela serait productif ou non productif, cela est absolument quelque chose, qui pris à la base, conduit en premier dans le nébuleux. Évidemment, on peut, quand on l'aime, se remuer dans de tels concepts nébuleux, discuter longuement là dessus, comme les physiocrates ont pensé que seul le travail du sol serait productif. On peut opposer à cela : aussi quand quelqu'un fait du commerce, ainsi cela est productif, et on peut produire de très belles preuves pour cela. L'erreur est celle-là, qu'on établit une définition : cela est improductif, cela est productif ! - mais on doit pouvoir embrasser du regard tout le processus de la vie économique vraiment conformément aux choses.

Donc, je prie de ne pas comprendre ce que j'ai exposé, comme si cela devait aussi tomber dans une telle façon de définir, mais cela devrait être description conforme aux choses de ce qui se passe vraiment dans la vie de l'économie. Et là je crois avoir rendu attentif en fait à une différence factuelle, comment se place autrement fond et sol dans le processus économique que par exemple, disons les moyens industriels de production , machines et du genre. Mais se place aussi autrement dans le processus économique que par exemple le commerce, ce qui est sur base de fond et sol. On a besoin d'être ni mercantiliste unilatéral, ni physiocrate unilatéral. On devra reconnaître que dans l'instant où on est porté sur de telles choses comme « productif », « improductif », alors justement ont lieu de tels avis unilatéraux comme mercantilisme, physiocratisme et ainsi de suite. Cela devrait être tout de suite représenté ici : qu'on ne se place pas sur des unilatéralités, mais des multiplicités.



Maintenant fut encore posée une question :

Qu'altruisme, égoïsme, amour conçu psychologiquement sont à la base une seule et même chose, et que de fait l'un ou l'autre n'ont pas besoin d'être surmontés.

Oui, jusqu'où le concept de surmonter est un faux, j'ai donc exposé dans la conférence elle-même. Mais c'est un grand danger, quand on pousse ce concept de l'unité de tout le possible hors du concret dans l'abstrait. Là il s'agit seulement alors de nouveau de ce qu'on a à l’œil comme abstraction. Voyez-vous, on doit être clair là dessus, que, quand on reste debout dans l'abstrait – et à cette question, repose à la base une manière de penser très abstraite -, alors pris à la base, on a raison avec une affirmation et aussi avec l'affirmation opposée. Des humains, qui pensent dans le concret, ceux-là savent beaucoup chérir la remarque de Goethe : on ne peut en fait pas exprimer la vérité en un mot ou en une phrase, mais on exprime l'un, exprime l'autre, et la vérité est gagnée au problème, qui repose entre les deux. On doit alors pouvoir gagner un rapport vivant à la vérité.



Il y a des gens, qui sont portés là dessus comme mystiques, de définir : ils portent Dieu en eux-mêmes ; le Dieu serait dans l'intérieur de l'humain, le divin serait dans l'intérieur de l'humain. Ils trouvent cela comme l'unique définition possible. D'autres trouvent cette définition entièrement fausse, ils disent : Dieu rempli tout et nous, comme humains, sommes en Dieu. Oui, il y a exactement d'aussi bonnes preuves pour l'un comme il y a de bonnes preuves pour l'autre. Mais là vaut justement le dicton goethéen : la vérité repose au milieu, dedans entre les affirmations opposées, tout de suite ainsi que l'arbre réel repose au milieu entre deux prises photographiques, que je fais d'un côté et de l'autre. Dans ce rapport on doit tout simplement rendre attentif sur les dangers de la pensée unilatérale. Il ne s'agit pas du tout si quelqu'un dit, altruisme, égoïsme, amour seraient une seule et même chose, et pour cela cela n'a pas besoin d'être surmonté. Comme dit, comme cela se tient avec le surmonté, j'ai donc moi-même expliqué dans la conférence. Mais il s'agit de ce que quand on explique vraiment quelque chose comme ça, on tente, comme je le fais toujours, de formuler soigneusement les questions. Je n'ai absolument pas prétendu ici n'importe comment que quand on aspire vers une certaine unité, on ne pouvait pas parvenir à une unification d'égoïsme et amour ou égoïsme et altruisme. On a seulement besoin de monter jusqu'à une abstraction nécessaire, alors on vient à cela. Mais dans la vie extérieure concrète égoïsme et altruisme se distinguent justement quand même ainsi qu'on peut dire, comme j'ai dit dans la conférence, dit consciemment : ce sont les deux motivations à partir desquelles l'humain commerce.
Quand je dis, là-haut sur telle ou telle montagne, là est une source, et deux heures après cela, là est une autre source, de ces deux sources l'adduction d'eau d'un quelque endroit sera alimentée, ainsi cela se laisse comparer avec ce que j'ai dit aujourd'hui sur égoïsme et amour. J'ai rendu attentif aux deux sources. Alors, personne n'a le droit de rendre attentif et dire : oui, voit une fois, dans une des sources est de l'eau, dans l'autre aussi, c'est donc la même. - Il s'agit de cela, que, quand on insiste pédant sur l'abstraction, on peut partout voir la même chose.


Mais tout de suite à la recherche de l'unité il s'agit de cela que par exemple on comprenne quelque chose ainsi que la métamorphose goethéenne. Quand on suit la métamorphose goethéenne, ainsi on sait comment Goethe montre que la feuille de plante verte et le pétale de fleur rouge est une et la même, seulement qu'une est transformée de l'autre. Mais il sait en même temps que les deux, en ce qu'elles sont les même, en même temps sont une différente, une formation infinie. Il s'agit de ce que dans la recherche d'unité on deviendra toujours conscient, comment dans la vie concrète l'unitaire varie toujours à la diversité et que dans l'aspiration vers l'unité on doit savoir ne pas ne pas voir la multiplicité.

Il y a une société qui se nomme « Société théosophique ». La Société théosophique parle de cela qu'elle cherche l'unité dans toutes les confessions religieuses. Toutes les confessions religieuses surgissent à partir des autres, seraient prises fondamentalement une et la même. Elle enseigne, toutes les confessions religieuses contiennent une et même chose. Cette affirmation n'est toujours apparue comme quand quelqu'un prétend, qu'il voudrait caractériser ce qui est sur la table seulement d'après son unité. On a seulement besoin de choisir une abstraction, disons « additif alimentaire », additif alimentaire :cela est sel, cela est poivre, cela est aussi paprika. Oui, certes, tout est un et le même, notamment additif alimentaire. Mais quand on dit, à la place de saler la soupe : oh, c'est la même chose, additif alimentaire, quand je prends poivre -, ainsi vous ne serez pas si content avec cela. Ainsi il s'agit aussi de ce qu'on n'accepte pas une telle unité comme celle qui de la Société théosophique sera transmis dogmatiquement, comme : toutes les confessions religieuses contienne une seule et même chose. Cette unité des religions de la Société théosophique m'apparaissait toujours comme l'affirmation : poivre, sel et paprika seraient une seule et même chose.

Comme dit, je reconnais absolument l'aspiration justifiée après l'unité. Mais cette aspiration justifiée vers unité n'a pas le droit de venir à l'abstraction de la réalité.


Maintenant est encore une question ici.

Turmbau de Baden. Le national appartient à tout le significatif spirituel et culturel. Toutes les religions sont adaptées aux races. Le tempérament des différentes nations, races pour art et science est différent. La langue et les superficialités de l'environnement forcent à une forme d'expression. L'essentiel est toujours international, la forme toujours art national. Le plus international la musique. Aime ton prochain comme toi-même.


Maintenant je ne sais en fait pas bien ce que je devrais faire avec cette question. Car un « édifice tour de Baden » - je connais bien un édifice tour de Babel, mais pas un de Baden. Je ne sais pas s'il y a aussi quelque édifice tour ici en Bade ?

« Le national appartient au significatif spirituel et culturel. » Oui, certainement, on peut dire cela : mais je ne sais pas comment ça vient à la conférence d'aujourd'hui.

« Toutes les religions sont adaptées aux races. Le tempérament des différentes nations, races », ce sont deux choses différentes, « pour art et science est différent. » Certainement.

« La langue et les superficialités de l'environnement forcent à une forme d'expression. L'essentiel est toujours international... » Oui, l'essentiel de l'international, on doit chercher cela en premier ; car quand l'essentiel serait vraiment là, alors ne serait pas tant d'anti-international parmi les humains. Cela est naturellement absolument à considérer.

« ...la forme toujours art national. Le plus international la musique. » J'ai, ce qui ici repose à la base, indiqué doucement dans la conférence en ce que j'ai dit, l'imagination se manifeste nationalement, toutefois sur certains domaines de l'art seulement en certaines nuances. Mais les nuances, celui qui a compréhension pour cela,les trouvera déjà aussi dans la musique. Il trouvera cela aussi là où apparemment est entièrement de l'international, repose aussi un national, et quand cela consiste seulement là-dedans qu'un peuple est simplement plus musical que l'autre, et pourra être compris internationalement, quand aussi cela pourrait seulement être produit chez un peuple particulier.

Mais ce dont il s'agit est qu'on trouve maintenant un quelque contenu dans l'humain lui-même, de l'observable spirituellement se trouvant dans chaque humain, qui ainsi peut agir internationalement, comme je l'ai exposé dans la conférence.

Maintenant, comme je crois, avec cela, les questions actuelles sont épuisées, et je crois aussi que la soirée est avancée aussi loin que je n'aimerai pas tenir une allocution de conclusion détaillée. Mais j'aimerais encore souligner en cinq mots : que cela me serait particulièrement opportun si ces conférences étaient vérifiées par la suite sur dans quelle mesure elles ne sont pas en quelque chose d'inventer, de programmatique, mais dans quelle mesure elles sont seulement la tentative, la tentative à ses débuts toutefois, de gagner à partir de la vie elle-même une idée sociale ou une somme d'idées sociales.

Oui, de telles idées, qui comme forces agissantes sont écoutées de la vie, elles exposent tout simplement ce qui partout sur tous les domaines pourra accouché, que je vous ai caractérisé ici comme véritable façon de voir spirituelle. Je sais que beaucoup, qu'on caractérise aujourd'hui comme façon de voir spirituelle, sera confondu, comme je rends attentif déjà dans les conférences, avec ce qui ici tout de suite est pensé comme façon de voir spirituelle. Mais cela valait la peine donc très facilement, de parvenir tout de suite une fois au caractère de réalité de cette façon de voir spirituelle. J'ai, lorsque le moment fut venu au cours de cette terrible catastrophe guerrière, où on pouvait croire, que du besoin du temps quelque chose pourrait être reconnu de ce qui des profondeurs de l'humain veut se hisser à la surface, rendu attentif maints humains responsables sur ce qu'en fait le temps exige, et ai, avant que je sois entré dans le public, il y a des années, dans les années difficiles, parlé à maints de cette tri-articulation, dans la pleine conscience de ce qu'elle devrait avoir pour effet quant à partir de tel esprit la tentative aurait été faite de parvenir au bout de ce terrible massacre, l'adoucir, l'arrêter.
Et j'ai dans le temps dit : au moins existe l'effort , avec ce qui est pensé avec cette impulsion, de ne pas donner une quelque idée programmatique, mais ce qui dans les trente ou vingt ou quinze ou même dix années veut se réaliser.


Et je disais à maints : on peut donc aujourd'hui, quand on veut, nier de telles choses, on peut être trop confortable pour cela. Mais qui le prend au sérieux avec la vie, celui-là devrait se dire : On aurait le choix, ou bien entendre raison ou aller au-devant de tristes temps de révolution et de cataclysmes sociaux. Je disais cela en des temps, dans lesquels ces récentes révolutions, aussi la russe, n'étaient encore longtemps pas survenues.

Et il s'agit toujours de ce qu'il est déjà imposer aux humains, de ne pas vivre dormant dans le jour, mais de se faire des représentations sur la manière dont cela doit continuer. Car l'humain a donc cela d'avance devant les autres êtres terrestres qu'il est appelé à agir avec une certaine prévoyance. Mais on peut seulement intervenir avec une certaine prévoyance dans l'action, quand on a un instinct pour le vraiment possible. A-t-on eu un véritable instinct dans le temps de la première moitié de l'année 1914 dans le domaine du monde civilisé ? Dans une des discussions passées, je vous ai exposé des exemples de ce que les gens ont dit sur ce qui viendrait. Alors est venu le grand massacre.

Les humains ne devraient-ils pas apprendre des faits ?

Maintenant, c'est tout de suite la tâche présente des humains : apprendre des événements. Car les événements montrent par la grandeur, la rapidité avec lesquelles ils se déroulent que les humains devraient apprendre d'eux, que les humains devraient saisir certains événements comme signes des temps. Sinon pourrait s'introduire quelque chose, qui en rapport à beaucoup de choses s'est introduit dans les dernières années. Maint à ainsi atteint les gens qu'ils ont dits : aurions-nous su cela plus tôt – maintenant il est trop tard. - Mais il n'est pas toujours nécessaire d'attendre jusqu'à ce qu'il soit trop tard !

Dans l'opinion seront en particulier exposées les idées de la tri-articulation de l'organisme social. Et ainsi que ce sera tenté ici, comme ce sera tenté dans notre revue ici en Suisse, « Avenir social », comme cela a été tenté dans mes « Noyaux germinatifs de la question sociale » : elles seront exposées à partir de l'opinion qu'elles aimeraient être conçues, aimeraient être prises pour l'action pratique, avant qu'il ne soit trop tard.
Afin qu'on ne doive pas dire plus tard sur des choses importantes que ce serait trop tard, c'est pourquoi on se secoue et tente de fonder, si en ces choses qui ont été exposées ici, sont seulement des pensées ou si c'est extrait de la réalité.

J'accentue toujours de nouveau : c'est une faible tentative. Mais je crois donc : cette faible tentative sera-t-elle accueillie par un suffisamment grand nombre d'humains, alors ce sera peut-être quelque chose de plus intelligent que ce qu'un individu peut faire de lui-même. Mais elle devrait être accueillie, et elle peut être accueillie, car elle est de la réalité et pourra être éprouvée de la réalité.


Je voulais encore ajouter ces quelques mots à ce qui a été dit.

Es wird vielleicht manchem etwas sonderbar erschienen sein, wie von mir das angegebene Thema behandelt worden ist. Sonderbar meine ich nach der Richtung hin, daß vielleicht gesagt werden könnte: Ja, das waren eben einzelne Ideen, Gedanken über eine mögliche Einrichtung der sozialen Struktur, und von manchem, was gerade in der Behandlung der sozialen Frage heute oftmals schlagwortartig wiederholt wird, ist in diesen Vorträgen weniger zu bemerken gewesen. Gewiß, Gedanken und Ideen mußten es zunächst sein, um die es sich hier handelte.

Aber ich meine, auch bemerkbar gemacht zu haben, daß sich diese Gedanken und diese Ideen unterscheiden von manchem anderen, das auf diesem Gebiete vorgebracht wird dadurch, daß gewissermaßen gesagt wird: Ja, es fehle an einer gleichmäßigen Verteilung der Lebensgüter. Das rühre von diesen oder jenen Schäden her. Diese Schäden müßten abgeschafft werden — und dergleichen. Diese Worte hört man ja heute vielfach. Mir scheint es mehr darum zu tun zu sein, daß man auch auf diesem Gebiete so verfahre wie auch sonst im praktischen Leben. Hat man es zu tun mit irgendeinem Produkte, das durch eine Maschine erzeugt werden soll und das der Mensch irgendwie braucht für seinen Bedarf, so genügt es nicht, daß man ein Programm entwirft und sagt: Nun, es müssen sich halt einige Menschen zusammentun, die so und so organisiert sind, damit dieses Produkt hervorgebracht werde. — So ungefähr klingen auch verschiedene soziale Programme, die in der Gegenwart aufgestellt werden. Mir handelt es sich vielmehr darum, anzugeben, wie die Maschine, in diesem Fall der soziale Organismus, gegliedert und beschaffen sein müsse, damit dasjenige hervorgebracht werden könne, was durch die mehr oder weniger bewußten oder unbewußten sozialen Forderungen der Gegenwart gegeben ist. Und ich glaube, daß man nicht wird sagen können, diese Vorträge haben nicht gehandelt von dem, wie Brot oder Kohle oder dergleichen beschafft werden soll. Sie haben meiner Ansicht nach davon gehandelt. Sie haben davon gehandelt, welches die eigentlichen Grundlagen des sozialen Organismus sind, wie Menschen in diesem sozialen Organismus zusammen leben und arbeiten müssen, damit das herauskomme, was eben in den sozialen Forderungen liegt. Ich wollte dieses vorausschicken, weil vielleicht gerade für meinen heutigen Schlußvortrag sich ein ähnlicher Vorwurf erheben könnte.

Derjenige allein wird das internationale Problem als ein Glied der ganzen sozialen Frage erkennen, der durchschaut, wie der Preis des Stückchens Brot, das auf den Tisch eines jeden kommt, mit der gesamten Weltwirtschaft zusammenhängt, wie nicht gleichgültig ist, was in Australien oder in Amerika vor sich geht, was dort von Menschen er arbeitet wird für das, was hier als Preis für ein Stückchen Brot oder für Kohlen entsteht. Aber es ist heute nicht gerade leicht gegenüber mancherlei Urteilen und Vorurteilen, die da leben, gerade von dem internationalen Problem zu sprechen. Hat doch dieses internationale Leben der Menschen sich in einer merkwürdigen Weise in den letzten fünf Jahren ad absurdum geführt. War nicht in weitesten Kreisen bereits der Glaube vorhanden, daß internationales Fühlen, internationales Verständnis in der neueren Menschheit Platz gegriffen habe? Wohin sind wir mit diesem internationalen Gefühl, mit diesem internationalen Verständnis nun eigentlich gekommen? Zur Selbstzerfleischung der Völker über weite Kreise der zivilisierten Welt hin! Und versagt haben selbst für ihre eigene Anschauung diejenigen Ideen und Ideenbestrebungen, die gerade auf ihren internationalen Charakter den allergrößten Wert gelegt haben. Wir brauchen nur daran zu denken, wie das internationale Christentum — denn international sollte es wohl sein -- in seinen Worten, in seinen Aussprüchen und Anschauungen die national-chauvinistische Sprache vielfach mitgeführt hat. Und wir könnten noch manches von internationalen Impulsen anführen, das Schiffbruch erlitten hat in dieser letzten Zeit. Gerade dann vielleicht, wenn vom internationalen Leben der Menschheit in bezug auf das Wirtschaftliche gesprochen wird, wird es auch nötig sein, mancherlei umzudenken und umzulernen. Und nötig wird es auch sein, bis in jene Quellen der Menschennatur hineinzugehen, die nur gefunden werden können, wenn man auf den Geist und auf die Seele hinsieht. Und daß das hier so geschehen soll, daß nicht bloß auf die Schlagworte «Geist» und «Seele» losgegangen werde, sondern auf das wirkliche Walten des Geistigen und des See lischen, das, glaube ich, haben die letzten Vorträge wenigstens zu zeigen versucht.

Über die ganze Welt hin wird das, was die Menschen in ihrem Zusammenleben, in ihrem Zusammenarbeiten entwickeln, von zwei Impulsen beherrscht, von zwei Impulsen, über die es vor allen Dingen notwendig wäre, daß Wahrheit in uns Menschen herrsche, eine wahre, eine ungeschminkte, eine nicht durch allerlei Schlagworte verunzierte Auffassung. Zwei Impulse leben in der menschlichen Seele, die wie Nord-und Südpol eines Magneten sich zueinander verhalten. Diese zwei Impulse sind Egoismus und Liebe. Weitverbreitet ist allerdings die Anschauung, ethisch sei es nur, wenn der Egoismus überwunden werde durch die Liebe, und wenn die Menschen sich so entwickeln, daß an die Stelle des Egoismus lautere Liebe trete. Als eine ethische Forderung, heute auch als eine soziale Forderung ist das bei vielen vorhanden. Verständnis, was eigentlich für ein Kraftgegensatz besteht zwischen Egoismus und Liebe, das ist durchaus weniger heute vorhanden.

Wenn wir vom Egoismus sprechen, so müssen wir vor allen Dingen wissen, daß dieser Egoismus für den Menschen mit seinen leiblichen Bedürfnissen beginnt. Was aus des Menschen leiblichen Bedürfnissen hervorquillt, können wir nicht anders verstehen, als wenn wir es uns in die Sphäre des Egoismus gerückt denken. Wessen der Mensch bedarf, das geht aus seinem Egoismus hervor. Nun muß man sich durchaus denken, daß dieser Egoismus auch veredelt sein könnte, und deshalb ist es nicht gut, gerade auf diesem Gebiete mit irgendwelchen Schlagworten seine Anschauungen zu bilden. Dadurch, daß man sagt, es solle der Egoismus durch Liebe überwunden werden, hat man noch nicht viel für das Verständnis des Egoismus getan. Denn es handelt sich zum Beispiel darum, daß derjenige, welcher seinen Mitmenschen das reine menschliche Interessenverständnis entgegenbringt, anders handelt als derjenige, der enge Interessen hat, der sich nicht kümmert um das, was in den Seelen und Herzen dieser Mitmenschen lebt, der kein Interesse für seine Umgebung hat. Deshalb braucht der erstere, der wahres Verständnis für seine Mitmenschen hat, durchaus nicht schon dadurch unegoistischer zu sein im Leben, denn es kann gerade zu seinem Egoismus gehören, nun den Menschen zu dienen. Das kann ihm innerliches Wohlbehagen machen, das kann ihm sogar innerliches Wohlgefühl, Wollust hervorrufen, dem Dienst der Menschen sich hinzugeben. Und dann können für das äußere Leben in objektiver Weise durchaus altruistische Lebensäußerungen aus einem scheinbaren Egoismus hervorkommen, der aber im Gefühlsleben durchaus nicht anders gewertet werden kann als ein Egoismus.

Aber die Frage des Egoismus muß noch viel weiter ausgedehnt werden. Man muß den Egoismus auch verfolgen durch das ganze Seelen-und Geistesleben des Menschen. Man muß sich klar darüber sein, wie aus des Menschen innerer Wesenheit heraus genau ebenso entspringt das Geistige und Seelische auf manchen Gebieten, wie die leiblichen Bedürfnisse. So entspringt aus des Menschen Wesenheit heraus zum Beispiel alles, was sein Phantasieschaffen ist. Es entspringt aus des Menschen Wesenheit heraus, was er auf künstlerischem Gebiete schafft. Wenn man unbefangen zu Werke geht und richtiges Verständnis sucht für solche Sachen, dann wird man sagen müssen: Was des Menschen Phantasie schafft, was aus unbestimmten Untergründen seines Wesens her vorkommt, das hat denselben Ursprung, nur auf einer höheren Stufe, wie die leiblichen Bedürfnisse. Das Phantasieleben, das entfaltet wird zum Beispiel in der Kunst, beruht durchaus, subjektiv angesehen, auf innerer Befriedigung des Menschen, auf einer Befriedigung, die feiner, edler ist als zum Beispiel die Befriedigung des Hungers, die aber qualitativ für den Menschen selbst nicht davon verschieden ist, wenn auch das, was dadurch hervorgebracht wird, für die Welt zunächst eine andere Bedeutung hat.

Nun aber ist aller Egoismus des Menschen darauf angewiesen, daß der Mensch mit seinen Mitmenschen sich abfindet, daß der Mensch mit seinen Mitmenschen zusammenlebt und zusammenarbeitet. Der Egoismus selber erfordert das Zusammenleben und Zusammenwirken mit den anderen Menschen. Und so ist auch vieles von dem, was wir gemeinschaftlich mit anderen Menschen entwickeln, durchaus auf den Egoismus gebaut und kann sogar zu den edelsten Tugenden des Menschen gehören. Wir sehen die Mutterliebe an: sie ist durchaus auf den Egoismus der Mutter begründet, und sie wirkt Edelstes aus im Zusammen leben der Menschheit.

So aber auch dehnt sich das, was eigentlich im Egoismus gegründet ist, weil der Mensch des Menschen bedarf gerade für seinen Egoismus, auf das Zusammenleben in der Familie, so dehnt es sich aus auf das Zusammenleben im Stamme, so dehnt es sich aus auf das Zusammenleben in der Nation, im Volke. Und die Art und Weise, wie sich der Mensch im Volke, in der Nation findet, sie ist nichts anderes als ein Spiegelbild desjenigen, was egoistisch aus ihm hervorkommt. Da wird in der Vaterlandsliebe, im Patriotismus der Egoismus gewiß auf eine hohe Stufe heraufgehoben, da wird er veredelt, da wird er so, daß er als ein Ideal erscheint, mit Recht als ein Ideal erscheint. Aber dieses Ideal wurzelt doch im menschlichen Egoismus. Nun muß dieses Ideal aus dem menschlichen Egoismus ersprießen und sich erfüllen, damit alles, was aus der Produktivität eines Volkes hervorgehen könne, eben der Menschheit übergeben werden kann. Und so sehen wir, wie aus dem Impuls der einzelnen menschlichen Seele, aus dem Egoismus, zuletzt sich alles das jenige entwickelt, was im Nationalismus zum Ausdrucke kommt. Nationalismus ist gemeinsam durchlebter Egoismus. Nationalismus ist ins Geistige heraufgetragener Egoismus. Der Nationalismus ist zum Beispiel durchtränkt und durchwärmt von dem Phantasieleben des Volkes, in dem sich der Nationalismus zum Ausdrucke bringt. Aber dieses Phantasieleben selbst ist die geistig höhere Ausbildung dessen, was menschliche Bedürfnisse sind. Man muß bis zu dieser Wurzel zurück gehen, um die Sache durch ihre Betrachtung richtig zu verstehen.

Ganz andersgeartet ist dasjenige, was sich in der menschlichen Natur entwickelt als Internationalismus. National werden wir dadurch, daß der Nationalismus aus unserer eigenen persönlichen Natur aufsprießt. Der Nationalismus ist eine Blüte des Wachstums des einzelnen Menschen, der gemeinsamen Blutes mit seinem Stamme oder durch eine andere Zusammengehörigkeit an sein Volk gebunden ist. Nationalismus, er wächst mit dem Menschen. Er hat ihn, er wächst hinein, ich möchte sagen, so wie er in eine bestimmte Leibesgröße hineinwächst. Internationalismus hat man nicht in dieser Art. Internationalismus läßt sich eher vergleichen mit jenem Gefühl, das wir gewinnen, wenn wir uns der schönen Natur gegenüber sehen, wozu wir zur Liebe, zur Verehrung, zur Anerkennung getrieben werden dadurch, daß wir es anschauen, dadurch, daß es seinen Eindruck auf uns macht, dadurch, daß wir in Freiheit uns ihm hingeben. Während wir in das eigene Volk hineinwachsen, weil wir gewissermaßen ein Glied von ihm sind, lernen wir die anderen Völker kennen. Sie wirken, ich möchte sagen, auf dem Umwege des Erkennens, des Verstehens zu uns. Wir lernen sie nach und nach verständnisvoll lieben, und in dem Maße, in dem wir die Menschheit in ihren verschiedenen Völkern auf ihren verschiedenen Gebieten verständnisvoll lieben können, in dem Maße wächst unser innerer Internationalismus.


Es sind durchaus zwei verschiedene Quellen in der menschlichen Natur, die zugrunde liegen dem Nationalismus und dem Internationalismus. Der Nationalismus ist die höchste Ausbildung des Egoismus. Der Internationalismus ist dasjenige, was in uns immer mehr und mehr hereindringt, wenn wir uns verständnisvoller Menschenauffassung hingeben können. Man wird in diesem Lichte das menschliche Zusammen leben ansehen müssen über die zivilisierte Erde hin, namentlich wenn man zu einem richtigen Verständnis desjenigen kommen will, was im Internationalismus und Nationalismus aufeinanderstößt.

Muß man doch auch dann, wenn das wirtschaftliche Leben zu begreifen gesucht wird, zurückweisen auf die oben genannten zwei Impulse in der menschlichen Seele. Was wir als das dreifach gegliederte Lebenselement des Menschen in diesen Vorträgen angeführt haben, es führt uns zurück auf die beiden eben charakterisierten Impulse in der menschlichen Seele. Sehen wir uns das Wirtschaftsleben zum Beispiel an — wir wollen es ja nachher betrachten —, wie es alles nationale und internationale Zusammenleben der Menschen durchsetzt. Sehen wir uns dieses Wirtschaftsleben an. Wir blicken auf dieses Wirtschaftsleben so, daß wir seinen Ausgangspunkt anerkennen müssen eigentlich im menschlichen Bedarf, in der Konsumtion. Daß der menschliche Bedarf befriedigt werde, das ist schließlich im Grunde die Aufgabe des Wirtschaftslebens. Zur Befriedigung des menschlichen Bedarfes haben Produktion und Warenzirkulation, Verwaltung, menschlicher Verkehr und der gleichen zu sorgen. Auch da können wir uns fragen: Was liegt aus der menschlichen Natur heraus dem Bedarf, der Konsumtion zugrunde? Der Egoismus liegt dem Bedarf, der Konsumtion zugrunde. Und es handelt sich darum, daß man dieser Tatsache das nötige Verständnis entgegenbringt. Dann wird man nicht für das Wirtschaftsleben die Frage aufwerfen: Wie ist der Egoismus zu überwinden? — sondern: Wie ist es dem Altruismus möglich, den berechtigten Egoismus zu befriedigen? — Vielleicht klingt diese Frage weniger idealistisch, aber wahr ist sie.

Man sieht aber sogleich, wenn man auf die Produktion hinsieht, durch die die Konsumtion befriedigt, durch die der Konsumtion entsprochen werden soll, daß da etwas anderes notwendig ist. Derjenige, der produzieren soll, er ist ja selbstverständlich zu gleicher Zeit auch ein Konsument. Er hat notwendig — die gehaltenen Vorträge haben es ausgeführt —, daß er Verständnis habe nicht nur für den Produktionsprozeß, sondern für das Leben seiner Mitmenschen, so daß er seinem Produktionsprozesse sich so hingeben könne, wie es entspricht dem Bedürfnis seiner Mitmenschen. Hinschauen muß der Mensch können, sei es mittelbar oder unmittelbar durch Einrichtungen, von denen wir gesprochen haben, auf das, was die Menschen bedürfen in der Konsumtion. Dann muß der Mensch aus diesem hingebungsvollen Verständnisse auch dieser oder jener Produktion, die gerade in seinen Fähigkeiten liegt, sich widmen können. Man braucht das nur zu schildern, dann wird man, wenn es auch auf diesem Gebiete trocken und nüchtern erscheint, den eigentlichen Motor der Produktion sehen müssen in der hingebungsvollen Liebe an die menschliche Gesellschaft. Und ehe man nicht begreifen wird, daß die Produktion nur dadurch in sozialer Weise geregelt werden kann, daß Grundlagen geschaffen werden durch Geistes- und Rechtsleben, aus denen sich in die menschliche Seele hineinergieße — wegen des Interesses für ihre Mitmenschen, wegen des Interesses für das Leben — hingebungsvolle Liebe für ihre Produktionszweige, eher wird man nichts Positives sagen über die eigentliche Aufgabe des sozialen Problems.

Zwischen beiden, zwischen, ich möchte sagen, der egoistischen Konsumtion und der liebedurchwalteten Produktion steht die Waren-, die Güterzirkulation, die den Ausgleich zwischen beiden schafft, schafft heute durch den Zufall des Marktes, durch Angebot und Nachfrage, schaffen soll in der Zukunft durch eine menschliche Assoziation, welche die Vernunft an die Stelle des Zufallsmarktes setzt, so daß Menschen da sein werden, deren Angelegenheit es sein wird, aus der Beobachtung der Konsumtionsbedürfnisse heraus die Produktion einzurichten, so daß der Markt bestehen wird in dem, was die Vernunft der betreffenden Organisation aus der Produktion heraus für die Konsumtion, die zuerst richtig erkannt und beobachtet wird, zu schaffen in der Lage sein wird. Man wird sich auf diesem Felde durchaus aller Schlagworte entschlagen und auf die Wirklichkeiten eingehen müssen.

Nun aber — wer sollte es nicht sehen — hat die neuere Zeit immer mehr und mehr etwas hervorgebracht, das auftreten mußte, als der Horizont der Menschen immer weiter und weiter über die Erde sich verbreitete. An die Stelle der alten Nationalwirtschaften, der Wirtschaft auf engeren Territorien, ist die Weltwirtschaft getreten. Allerdings ist diese Weltwirtschaft zunächst bloß als eine Art Forderung vorhanden. Gewiß, diese Forderung hat sich so weit ausgebildet, daß fast an jedem Orte der zivilisierten Welt Produkte verbraucht werden, die an anderen Orten, gleichgültig ob es das gleiche oder ein anderes Land ist, dieser zivilisierten Welt produziert werden. Aber auch auf diesem Gebiete ist das menschliche ideelle Erfassen, ist die menschliche Seelenstimmung dem nicht nachgekommen, was als eine Weltenforderung aufgetreten ist. Überall sehen wir, wie es dringende Forderung der neueren Zeit ist, der Weltwirtschaft Rechnung zu tragen, Einrichtungen zu treffen, unter denen die Weltwirtschaft möglich ist.

Unter welchen Bedingungen ist allein die Weltwirtschaft möglich? Das kann man wahrlich nur einsehen, wenn man zunächst seinen Blick darauf richtet, wie sich — und ich habe das im gestrigen Vortrage ausgeführt — die soziale Ordnung gegen die Zukunft hin gestalten muß, wenn an die Stelle der alten Gewaltgemeinschaft, Gewaltgesellschaft, der gegenwärtigen Tauschgesellschaft, die Gemeingesellschaft tritt. Das ist eben die Gesellschaft, in welcher von den Assoziationen, durch die Verträge der Assoziationen produziert wird.

Wenn man das wirklich geltend macht, worin zeigt sich dann der reale Unterschied einer solchen Gemeingesellschaft von der bloßen Tauschgesellschaft, die heute noch vielfach die herrschende ist? Der Unterschied zeigt sich darinnen, daß es in der Tauschgesellschaft vorzugsweise der einzelne oder die einzelne Gruppe mit dem anderen einzelnen oder der anderen Gruppe zu tun haben. Wofür interessieren sich dann dieser andere einzelne oder diese Gruppe in ihrem Verhältnis zueinander? Ob sie Konsumenten sind, ob sie Produzenten sind — ihre Produktion, ihre Konsumtion stehen gewissermaßen durch einen Abgrund voneinander getrennt durch den Zufallsmarkt, und der Zufalls markt vermittelt die Warenzirkulation, vermittelt den Handel. Wie man auch sonst, in berechtigter oder unberechtigter Weise, über die Herrschaft des Kapitals, der Arbeit und dergleichen, über Bedeutung des Kapitals und Bedeutung der Arbeit spricht, man muß sagen: Das Wesentliche für unsere Tauschgesellschaft ist, daß das Herrschende die Warenzirkulation ist. Die ist es, welche die Brücke baut zwischen der Produktion und der Konsumtion, während Produktion und Konsumtion durch den Abgrund des Marktes voneinander geschieden sind, so daß sie nicht durch die Vernunft miteinander vermittelt sind.

Was wird in der Gemeingesellschaft an die Stelle der herrschenden Zirkulation treten? Das ganze Gebiet des Wirtschaftslebens wird in das Interesse jedes Wirtschaftenden hereingezogen! Während sich heute der Wirtschaftende zu interessieren hat, wie er seine Produkte bekommt oder seine Produkte absetzt, dafür zu sorgen hat aber aus Interesse an sich selber, wird es in der Gemeingesellschaft so sein müssen, daß jeder Wirtschaftende ein volles Interesse für Konsumtion, Handel und Produktion habe, das heißt, daß das gesamte Wirtschaften sich widerspiegle in den Wirtschaftsinteressen des einzelnen. Das ist es, um was es sich bei der Gemeingesellschaft handeln muß.

Sehen wir uns aber jetzt an, wie es sich mit dieser Gemeingesellschaft, die auch im einzelnen Staate heute durchaus noch eine Zukunftsforderung ist, in bezug auf das internationale Problem verhalten müssen Dieses internationale Problem, wie stellt es sich uns denn besonders mit Bezug auf das Wirtschaftsleben dar? Da können wir sehen, daß zwar die Weltforderung besteht nach Weltwirtschaft, daß sich aber innerhalb der gesamten Weltwirtschaft die einzelnen Nationalstaaten abgliedern. Diese einzelnen Nationalstaaten, ganz abgesehen von den anderen historischen Bedingungen ihres Entstehens, sie werden zunächst zusammengehalten durch das, was aus dem Egoismus der beisammen-lebenden Menschen aufsteigt. Selbst im Edelsten des Nationalen, in Literatur, Kunst und so weiter, ist es die aus dem Egoismus aufsteigende Phantasie, die die Volksgruppen zusammenhält. Diese so zusammen gehaltenen Volksgruppen stellten sich nun in das ganze Gebiet der Weltwirtschaft hinein, und sie stellten sich besonders stark, immer stärker und stärker hinein im Laufe des 19. Jahrhunderts, und dieses Hineinstellen erreichte seinen Höhepunkt im Beginn des 20. Jahrhunderts. Wollen wir charakterisieren, was da eigentlich geschah, dann müssen wir sagen: Während noch andere Interessen, Interessen, die viel mehr ähnelten der alten Gewaltgesellschaft, früher zwischen den Staaten herrschten, wurde das Prinzip der Tauschgesellschaft gerade im gegenseitigen Verkehre im internationalen Leben der Staaten vorwiegend, so daß ein Höhepunkt erreicht wurde im Beginne des 20. Jahrhunderts. Wie in den einzelnen Staaten produziert und konsumiert wurde, was an andere Staaten verabreicht oder von anderen Staaten bezogen wurde, das war durchaus hineinbezogen in den Egoismus der einzelnen Staaten. Dafür wurde nur geltend gemacht, wofür der einzelne Staat als solcher sich interessierte. Wie man gegenseitige Beziehungen auf wirtschaftlichem Gebiete zwischen den Staaten herstellte, das beruhte ganz und gar auf dem Handelsprinzip, das beruhte auf dem Prinzip, das in der Tauschgesellschaft bezüglich der Warenzirkulation waltete.

Auf diesem Felde, aber im großen, da zeigte sich insbesondere, wie sich die bloße Tauschgesellschaft ad absurdum führen mußte. Und das Ad-absurdum-Führen, das war im wesentlichen eine der Hauptveranlassungen, Hauptursachen zu dem, was diese Weltkriegskatastrophe herbeigeführt hat. Es wird ja nachgerade den Menschen immer klarer und klarer, daß dieser große Gegensatz bestand zwischen der Forderung nach Weltwirtschaft und dem Hineinstellen der einzelnen Staaten in diese Weltwirtschaft, die sich abschlossen, statt in ihren Grenzen die Weltwirtschaft zu fördern, durch Zölle und anderes, und das, was Ergebnis der Weltwirtschaft sein konnte, für sich in Anspruch nehmen wollten und auch in Anspruch nahmen. Das führte zu jener Krise, die wir als die Weltkriegskatastrophe bezeichnen. Gewiß mischen sich andere Ursachen hinein, aber das ist gerade eine der Hauptursachen.

Und so wird es sich darum handeln, zu erkennen, wie gerade gegen über dem internationalen Leben in allererster Linie nötig ist, daß die Möglichkeit gefunden werde, über die Grenzen hinüber nach anderen Prinzipien zu wirtschaften, als die der bloßen Tauschgesellschaft sind. Möglich muß es werden, geradeso wie in der Gemeingesellschaft der einzelne das Interesse für Produktion, wo sie immer auftritt, das Interesse für Konsumtion, wo sie immer auftritt, haben muß, wenn er mitarbeiten will, wie er sich für das gesamte Gebiet der Wirtschaft — Waren konsumtion, Warenproduktion, Warenzirkulation — interessieren muß, so muß es möglich sein, Impulse zu finden, durch die ein jedes Staatsgebilde der Welt ein wirkliches inneres, wahrhaftiges Interesse haben könne für jedes andere Staatsgebilde, so daß nicht etwas anderes, dem Zufallsmarkt Ähnliches sich gestaltet zwischen den Völkern, sondern ein wirklich inneres Verständnis zwischen den Völkern walte.

Da kommen wir zu den tieferen Quellen dessen, was heute in der Abstraktheit in dem sogenannten Völkerbund gesucht wird, der ja darauf ausgeht, daß gewisse Schäden, die im Volkszusammenleben bestehen, korrigiert werden. Allein er entspringt aus demselben Prinzip, aus dem heute sehr vieles entspringt. Wer heute nachdenkt über die Schäden des Lebens, er denkt vielfach an die nächsten Korrekturen, durch die das eine oder andere ausgeführt werden kann. Da sieht einer, daß viel Luxus existiert, also will er den Luxus besteuern und dergleichen. Er denkt nicht daran, an die Quellen desjenigen zu gehen, um was es sich handelt, die Struktur des sozialen Zusammenlebens zu finden, durch die ein unmöglicher Luxus nicht entstehen kann. Daß man an solche Quellen gehen muß, das ist es aber, worauf es auch im Völkerleben ankommt. Daher wird man nicht durch irgendwelche Bestimmungen, die bloß korrigierend wirken sollen, zu einem internationalen innerlichen Zusammenleben kommen, sondern dadurch, daß man wirklich an die Quellen herangeht, durch die Volksverständnis gegenüber Volksverständnis gefunden werden kann.

Nun, es kann kein Volksverständnis gefunden werden, wenn man bloß auf das eine hält, das sich gewissermaßen wie das Wachstum selber aus dem Menschen heraus ergibt, wenn man bloß auf dasjenige sieht, was, wie ich gezeigt habe, zum Nationalismus, zur Abschließung innerhalb der Volkheit führen muß. Was haben wir denn im geistigen Leben heute, das im Grunde einzig und allein einen internationalen Charakter trägt und ihn nur während dieses Krieges deshalb nicht verloren hat, weil die Menschen nicht imstande waren, ihn auf diesem Gebiete zu nehmen? Denn hätten sie ihn genommen, so hätten sie das Gebiet selber vernichten müssen. Was ist da, das wirklich heute über die ganze Erde eigentlich international ist? Nichts anderes im Grunde genommen, als das Gebiet der auf die äußere Sinneswelt gehenden Naturwissenschaft. Die intellektualistische Wissenschaft — ich habe in den Vorträgen gezeigt, wie die Naturwissenschaft intellektualistisch genannt werden muß —, die hat einen internationalen Charakter angenommen. Und leicht war es zu bemerken in diesen Zeiten, wo so viel Unwahres in die Welt getreten ist: Wenn irgend jemand der Wissenschaft das Leid angetan hat, sie im nationalen Sinne zu mißbrauchen, so benahm er ihr sozusagen dadurch ihren wahren Charakter. Aber sieht man nicht auf der anderen Seite, gerade durch die Tatsache, die ich eben anführen mußte, daß diese Art des Geisteslebens, die sich im Intellektualismus auslebt, nicht imstande war, ein internationales Leben zu begründen? Man sieht es, denke ich, klar genug, daß jene Ohnmacht, die ich von den verschiedensten Gesichtspunkten aus für diese intellektualistische Geistesrichtung geschildert habe, sich ganz besonders deutlich gezeigt hat in dem Verhältnis dieses intellektualistischen Geisteslebens zum Internationalismus.

Die Wissenschaft war nicht imstande, so tiefe internationale Impulse in die Menschenseele hineinzugießen, daß diese standgehalten hätten gegenüber den furchtbaren Ereignissen der letzten Jahre. Und da, wo diese Wissenschaft auftreten wollte, Sozialimpulse zu bilden wie im sozialistischen Internationalismus, da hat sich gezeigt, daß dieser internationalistische Sozialismus sich auch nicht halten konnte, sondern zumeist ins nationale Fahrwasser abströmte. Warum? Weil er eben gerade von den alten Erbgütern der Menschheit nur den Intellektualismus übernommen hat, und der Intellektualismus nicht stark genug ist, um ins Leben hinein gestaltend zu wirken. Das ist es, was auf der einen Seite bezeugt, daß diese neuere wissenschaftliche Richtung, die zugleich mit Kapitalismus und Kulturtechnik heraufgekommen ist, zwar ein internationales Element enthält, aber zu gleicher Zeit bezeugt, wie ohnmächtig zur Begründung eines wirklichen internationalen Lebens der Menschheit sie ist.

Demgegenüber muß nun geltend gemacht werden, was ich im vierten Vortrage über die geisteswissenschaftliche Richtung auseinandergesetzt habe, die auf der Anschauung, auf der Erkenntnis des Geistes beruht. Diese Geistesanschauung, sie beruht nicht auf äußerer Sinnesanschauung; sie geht hervor aus der Entwickelung der eigenen Menschennatur. Sie sprießt aus dem heraus, woraus auch die Phantasie sprießt. Aber sie sprießt aus tieferen Tiefen der Menschennatur heraus. Deshalb erhebt sie sich nicht bloß zu den individualistischen Gebilden der Phantasie, sondern zu dem objektiven Erkenntnisgebilde der geistigen Wirklichkeit der Welt. In dieser Beziehung wird ja diese Geistanschauung heute noch vielfach mißverstanden. Die sie nicht kennen, die sagen: Ja, was auf diese Weise durch die Geistesanschauung gefunden wird, das ist ja nur subjektiv, das kann niemand beweisen. -- Die mathematischen Erkenntnisse sind auch subjektiv und sind nicht beweisbar; und niemals kann man durch Übereinstimmung der Menschen mathematische Wahrheiten erhärten! Wer den pythagoräischen Lehrsatz kennt, der weiß, daß er richtig ist, und wenn ihm Millionen Menschen widersprechen würden. So kommt auch zu einem innerlich Objektiven, was mit Geisteswissenschaft hier gemeint ist. Aber es nimmt denselben Weg, den die Phantasie nimmt, und steigt höher hinauf, wurzelt in objektiven Tiefen der Menschennatur und steigt bis zu objektiven Höhen hinauf. Daher erhebt sich diese geistige Anschauung über alles, was sonst als Phantasie die Völker durchglüht. Und gleichzeitig wird in diesem oder jenem Volke aus diesen oder jenen Sprachen heraus diese Geistesanschauung gesucht. Sie ist ein und dieselbe, durch alle Menschen hindurch, über die ganze Erde hin, wenn sie nur tief genug gesucht wird.


Daher begründet diese Geistesanschauung, von der ich zeigen mußte, daß sie wirklich gestaltend in das praktische, in das soziale Leben ein greifen kann, zugleich die Möglichkeit, einzugreifen in das internationale Leben, ein Band zu sein von Volk zu Volk. Seine Dichtung, die Eigentümlichkeiten auch seiner übrigen Kunstgebiete wird ein Volk auf individualistische Art hervorbringen. Aus dem Individualismus des Volkes heraus wird für die Geistanschauung etwas entstehen, was ganz gleich ist dem, was irgendwo anders entsteht. Die Grundlagen, aus denen die Dinge hervorgehen, sind an verschiedenen Orten; worinnen sie zuletzt ihre Ergebnisse finden, das ist über die ganze Erde hin gleich. Es reden heute viele Menschen vom Geiste; sie wissen nur nicht, daß der Geist erklärt werden muß. Wenn er aber erklärt wird, dann ist er etwas, was nicht Menschen trennt, sondern Menschen verbindet, weil es zurückgeht bis auf das innerste Wesen des Menschen, indem ein Mensch dasselbe hervorbringt wie der andere Mensch, indem ein Mensch den anderen Menschen völlig verstehen kann.

Dann aber, wenn man wirklich, was sonst nur individualistisch in der einzelnen Volksphantasie zum Ausdrucke kommt, bis zur Geistanschauung vertieft, dann werden die einzelnen Volksoffenbarungen nur mannigfaltige Ausdrücke sein für das, was in der Geistanschauung eine Einheit ist. Dann wird man über die ganze Erde hin bestehen lassen können die verschiedenen Volksindividualitäten, weil nicht eine abstrakte Einheit zu herrschen braucht, sondern weil sich das konkrete eine, das gefunden wird durch die Geistanschauung, in der mannigfaltigsten Weise wird zum Ausdruck bringen lassen. Und dadurch werden sich in dem geistigen einen die vielen verstehen können. Dann werden sie aus ihrem vielartigen Begreifen des Einheitlichen die Möglichkeit finden von Satzungen für ein Bündnis der Nationen, dann wird aus dem Geisteszustand, aus der geistigen Verfassung heraus auch die Rechtssatzung entstehen können, welche die Völker verbindet. Und dann wird Platz greifen in den einzelnen Völkern, was bei jedem einzelnen Volke sein kann: Interesse für Produktion und Konsumtion anderer Völker. Dann wird, was Geistesleben der Völker, was Rechts leben der Völker ist, das Verständnis für andere Völker über die ganze Erde hin wirklich entwickeln können.

So wird man entweder auch auf diesem Gebiete zum Geiste übergehen müssen, oder man wird darauf verzichten müssen, mit noch so gut gemeinten Satzungen etwas Besseres zu schaffen, als bisher dagewesen ist. Gewiß, heute reden in begreiflicher Weise sehr viele Menschen von ihrem Unglauben an die Wirkung eines solchen Geistigen; aber eigentlich deshalb, weil sie nicht den Mut haben, an dieses Geistige heran zugehen. Man macht ja diesem Geistigen wahrhaftig das Leben recht schwer. Aber da, wo es sich, trotzdem man ihm das Leben schwer macht, nur in kleinem Kreise entfalten kann, da zeigt es schon, daß es so ist, wie ich es eben jetzt dargestellt habe. Hat man kennengelernt irgendwo in einem der vorhin kriegführenden Staaten die Stimmung der Menschen, das, was die Menschen über andere feindliche Staats angehörige gedacht haben, wie sie sie gehaßt haben, hat man kennen gelernt, wie wenig Internationales in einem solchen kriegführenden Gebiete war, dann hat man ein Urteil darüber, wie der, der vor Ihnen spricht, der immer wieder und wiederum nach diesem Orte gekommen ist, den ich schon erwähnte in diesen Vorträgen, im Nordwesten der Schweiz, wo sich die Pflegestätte dieser hier gemeinten Geisteswissenschaft erhebt, das Goetheanum, die Hochschule für Geisteswissenschaft. Was war das im Grunde genommen durch die ganzen Kriegsjahre hin durch für eine Stätte? An dieser Stätte haben immer durch die ganzen Kriegsjahre hindurch Menschen aller Nationen zusammengewirkt, ohne daß sie sich im geringsten weniger verstanden hätten während dieser Zeit als früher, wenn sie auch manche unnötige oder nötige Diskussion geführt haben. Dieses Verständnis, das hervorgegangen ist aus dem gemeinsamen Ergreifen einer Geistesanschauung, ist schon zur Wirklichkeit geworden, wenn es auch erst in einem kleinen Kreise zur Wirklichkeit geworden ist. Man kann sagen: Das Experiment haben wir auf diesem Gebiete machen können. Wir haben zeigen können, daß die Menschen, die zu Zeiten dahin gehen wollten, andere Menschen verstehen können.

Aber dieses Verständnis, es darf nicht durch ein abstraktes Hinweisen auf den Geist gesucht werden, sondern es muß gesucht werden im engsten, wirklichen Sich-Erarbeiten des Geistes. Davon will die heutige Menschheit noch wenig wissen: daß der Geist eigentlich erarbeitet werden müsse. Man redet ja vielfach auch heute vom Geiste, daß der Geist kommen müßte — ich habe es gestern wieder erwähnt — und das, was bloß die materialistischen sozialen Forderungen sind, durchdringen müsse. Aber man hört nicht viel mehr, als daß an den Geist appelliert werden soll. Ja, wenn solche Menschen, die sonst ja ganz gut meinend sind, auch einsichtig sind, auch vom sozialen Ethos durchdrungen sind, wenn solche Menschen sich nur das Folgende überlegen möchten, wenn sie sich nur sagen möchten: Ja, wir haben allerdings den Geist gehabt; aber können wir denn an denselben Geist, den wir gehabt haben, heute appellieren? Dieser Geist hat uns ja gerade in die Lage hineingebracht, in der wir sind! Also brauchen wir nicht durch den alten Geist eine neue Lage. Die können wir nicht bekommen durch einen alten Geist. Das hat er gezeigt. Wir brauchen einen neuen Geist. — Dieser neue Geist aber muß erarbeitet werden. Und erarbeitet werden kann er nur in dem selbständigen Geistesleben.

Daher stellen wir uns vor, wie — denn das wird sie durch ihre eigene Notwendigkeit müssen — die Forderung nach Weltwirtschaft sich erfüllt, so wird innerhalb dieser Weltwirtschaft drinnen stehen soziales Gebilde neben sozialem Gebilde, überall auf individuelle Art aus den Menschen, die in diesen Gebilden zusammenwohnen, Geistiges und Rechtliches hervorbringend. Aber dies, was da hervorgebracht wird auf individuelle Art, das wird gerade das Mittel sein, um die anderen sozialen Gebilde zu verstehen, und es wird dadurch das Mittel sein, wirklich Weltwirtschaft zu treiben. Sonst aber, wenn solches Mittel nicht geschaffen wird, werden sich nur immer wiederum die sogenannten Nationalinteressen hineinstellen in die Weltwirtschaft und werden dasjenige, was aus dieser Weltwirtschaft herausgesogen werden kann, für sich in Anspruch nehmen. Da jeder das will ohne Verständnis für den anderen, wird notwendig wiederum Disharmonie auftreten müssen.

Wie aber wird allein eine wirkliche Weltwirtschaft geführt werden können? Nur dadurch wird sie geführt werden können, daß sich nicht die geistige Organisation, die rechtliche Organisation der einzelnen Gebilde dieser Wirtschaft bemächtigen, denn die müssen ja individuelle Gestalt haben. Zur Allgemeinheit, zur Einheit dringen Sie nur im geistigen Verständnis, indem Sie erringen, was über die ganze Erde hin die andere Einheit ist. Daß diese Erde emanzipiert werde von den Individualismen, das ist über die ganze Erde hin die andere Einheit.

Nun, ebenso wie es wahr ist, daß man, wenn man nur tief genug in die menschliche Natur hinuntergeht, mit der Entwickelung des Menschen bis zu einer objektiven Höhe hinaufsteigen kann, so daß man als Geistanschauung findet, was jeder andere jeder anderen Nation findet, so muß man sagen, daß auch die menschlichen Konsumbedürfnisse über die ganze Welt hin nicht berührt werden von den einzelnen Nationalismen. Die menschlichen Bedürfnisse sind international. Nur stehen sie polarisch gegenüber demjenigen, was das Internationale des Geistes ist. Das Internationale des Geistes muß das Verständnis liefern, muß in Liebe durchdringen können dieses Verständnis für die andere Nationalität, muß die Liebe ausdehnen können bis zur Internationalität im Sinne des vorhin Auseinandergesetzten. Der Egoismus aber ist ebenso international. Er wird nur eine Brücke schaffen können zu der Weltproduktion, wenn diese Weltproduktion aus einem gemeinsamen geistigen Verständnis, aus einer gemeinsamen geistigen Einheitsanschauung hervorgeht. Niemals werden aus den Volksegoismen heraus Verständnisse für die gemeinsame Konsumtion entstehen können, die auf dem gemeinsamen Egoismus beruht. Allein aber aus der gemeinsamen Geistanschauung kann sich das entwickeln, was nicht aus dem Egoismus, was schließlich aus der Liebe kommt, wie ich auseinandergesetzt habe, und was daher die Produktion beherrschen kann.

Wodurch ist die Forderung nach Weltwirtschaft entstanden? Weil durch das Kompliziert werden der menschlichen Lebensverhältnisse über die ganze zivilisierte Welt hin immer mehr und mehr sich die Konsumbedürfnisse der Menschen vereinheitlicht haben, sich immer mehr und mehr zeigt, wie über die ganze zivilisierte Welt hin die Menschen dasselbe bedürfen. Wie wird diesem einheitlichen Bedürfnisse ein einheitliches Produktionsprinzip erwachsen können, das über die ganze Welt hin für die Weltwirtschaft wirksam sein wird? Dadurch, daß man aufsteigt zum geistigen Leben, so wie es hier gemeint ist, zur wirklichen Geistanschauung, die mächtig genug ist, um zur gemeinsamen Weltkonsumtion die gemeinsame Weltproduktion zu schaffen. Dann aber wird der Ausgleich geschaffen werden können, indem Einheit des Geistes zur Einheit der Konsumtion hinwirkt, dann wird der Ausgleich geschaffen werden in der Zirkulation, in der Vermittelung zwischen Produktion und Konsumtion.

So muß man in das Innere des Menschen hineinschauen, wenn man erkennen will, wie über die ganze zivilisierte Erde hin wirklich aus vielen Organismen ein einheitlicher Organismus entstehen soll. Auf keine andere Weise kann sich dieser einheitliche Organismus aufbauen, dieser einheitliche Organismus, der die Bedingungen enthalten soll, daß nun wirklich den sozialen Forderungen gemäß über die ganze Erde hin ein solcher organischer Zusammenhang geschaffen werde zwischen Produktion und Konsumtion, daß das Stückchen Brot oder die Kohle, die ich brauche für den einzelnen Haushalt oder für den einzelnen Menschen, wirklich den sozialen Forderungen entspricht, die heute im Unterbewußtsein der Menschheit geltend sind.

Ich weiß sehr gut, daß, wenn man die Dinge auch in eine solche Betrachtungssphäre rückt, viele sagen: Ja, das ist aber Idealismus, das erhebt sich in ideale Höhen! — Aber in diesen findet man einzig und allein, was der treibende Motor für die äußere Vielheit ist. Und gerade aus dem Grunde, weil die Menschen nicht nach den Motoren gesucht haben, die nur auf diese Weise gefunden werden können, deshalb sind wir in die sozialen Zustände und in die politischen Zustände der Gegenwart über die ganze zivilisierte Welt hineingekommen. Nicht früher, als bis man sagen wird: Diejenigen, welche sich damit befassen, wirklich die innerlich treibenden Kräfte für den sozialen einzelnen Organismus und für den sozialen Organismus der Welt zu schaffen, die sind die wahren Praktiker, während diejenigen, die sich oftmals Praktiker nennen, nur rudimentär ihr wahres Gebiet kennen und deshalb abstrakt sind — nicht eher, als bis man das erkennen wird, wird die soziale Frage auf einem gesunden Boden stehen können.

Einer derjenigen, dem es auch, nun vor recht langer Zeit, ernst war, der hat, als er auf einem gewissen Gebiete des menschlichen Lebens gesprochen hat, darauf aufmerksam gemacht, daß die sogenannten Idealisten nicht gerade diejenigen sind, die nicht wissen, wie sich Ideale zu wirklichem Leben verhalten. Er hat es empfunden, wie unsinnig es ist, wenn sogenannte Praktiker kommen und dem Idealisten sagen: Ja, deine Ideale sind sehr schön, aber die Praxis fordert ganz anderes! — Der einzig wirkliche Tatbestand ist der, daß die Praxis diese Ideale gerade fordert, wenn sie eine wirkliche Praxis werden soll. Und das verhindert die Verwirklichung dieser Ideale, daß diese angeblichen Praktiker diejenigen sind, die sie nicht verwirklichen lassen, weil sie zu bequem dazu sind oder ein anderes Interesse haben, sie nicht verwirklichen zu lassen. Und derselbe Mann, der hat gesagt: Daß Ideale im Leben nicht unmittelbar anwendbar sind, das wissen wir ebensogut wie die anderen, nur wissen wir, daß das Leben immerdar geformt werden muß nach diesen Idealen. Diejenigen aber, die sich davon nicht überzeugen können, die zeigen nichts anderes, als daß das Leben in seiner Gestaltung eben auf ihre Mitwirkung nicht mehr gerechnet hat, und so möge man ihnen wünschen, daß sie zur rechten Zeit Regen und Sonnenschein und wenn möglich eine gute Verdauung bekommen.

Das ist es, wodurch das Verhältnis des oftmals verketzerten Idealismus zu der wirklichen Lebenspraxis charakterisiert werden soll, das Sie brauchen, wenn Sie eine Brücke bauen wollen — eine Aufgabe, die durchaus nach nicht materiellen Ideen auch die Ingenieurkunst meistert: Wie zuerst die ganze Brücke ideell sein muß, und gerade dann, wenn sie gut ideell errechnet ist, eine wirkliche praktische Brücke werden kann, so muß das, was aus Idealismus sich gestalten soll, aus innerem praktischem Sinn heraus eine praktische Idee sein. Und man muß den Instinkt, das Gefühl dafür haben, wie man eine solche objektive Gesetzmäßigkeit in die wirkliche Lebenspraxis hineinzutragen hat. Dann wird man auch nicht mehr fragen: Wie trägt man diese Dinge in die Lebenspraxis hinein? — Dann wird man wissen: Wenn genügend Menschen da sind, die die Dinge verstehen, dann wird durch diese Menschen und ihre Handlungen die Sache unmittelbar praktisch.

Man hört heute vielfach: Ja, diese Ideen sind ja vielfach sehr schön, und sogar verwirklicht gedacht wären sie sehr schön, aber die Menschen sind ja noch nicht reif dazu. In ihrer Masse seien die Menschen noch nicht reif dazu. — Ja, was heißt denn das eigentlich, wenn man sagt, die Menschen in ihrer Masse seien noch nicht reif? Wer das Verhältnis der Idee zur Wirklichkeit kennt, wer das praktische Leben nach seinem Wirklichkeitscharakter durchschaut, der denkt anders über diese Menschen, der weiß, daß genügend Menschen in der Gegenwart sind, welche, wenn sie nur tief genug in ihr Inneres hineingehen, volles Verständnis aufbringen können für das, um was es sich hier handelt. Was abhält, ist zumeist nur die Mutlosigkeit. Die Energie fehlt, zu dem wirklich vorzudringen, bis zu dem man vordringen könnte, wenn man nur volles Selbstbewußtsein in sich ausbilden könnte.

Was uns vor allen Dingen not tut, das ist etwas, was im Grunde genommen jeder einzelne Mensch heute bei sich selber korrigieren könnte, wenn er nur genügend auf die Wirklichkeit hinschaute. Aber während man auf der einen Seite in Materialismus verfällt, sogar sich gefällt im Materialismus, ist man auf der anderen Seite in die Abstraktheit verliebt, in allerlei abstrakte und intellektuelle Sätze, und will durchaus nicht in die Wirklichkeit eindringen.

Schon im äußeren Leben glaubt man heute, praktisch zu sein; aber man gibt sich nicht Mühe, die Dinge wirklich so anzusehen, daß man sie in ihrem Wirklichkeitscharakter erkennen könnte. Wer heute zum Beispiel irgendeine Behauptung vorgesetzt bekommt, der gibt sich dieser Behauptung hin. Er nimmt nur den abstrakten Inhalt. Da kann er sich gerade vom Leben entfernen, nicht etwa immer mehr dem Leben nähern. Wenn heute einer einen schönen Leitartikel liest, so ist darüber zu sagen, daß heute einen schönen Leitartikel schreiben keine besondere Schwierigkeit ist. Denn so viel ist gedacht worden in der modernen Zivilisation, daß man sich nur einige Routine zu erwerben braucht, so kann man Phrase an Phrase setzen. Nicht darum handelt es sich, daß man mit dem wortwörtlichen Inhalt von etwas heute einverstanden ist, sondern daß man sich ein Urteil darüber erwirbt, wie dieser Inhalt zusammenhängt mit der Wirklichkeit. Da ist aber vieles in der Gegenwart nach der Richtung hin zu korrigieren, daß man sagen muß : Nach Wahrheit sollten die Menschen heute vor allen Dingen verlangen, nach jener Wahrheit, die sie mutvoll der Wirklichkeit entgegenträgt.

Dafür zwei Beispiele. Sie können in mancher Statistik, sagen wir über die Balkanstaaten, lesen -- die Menschen unterrichten sich ja heute über die Verhältnisse der Außenwelt, beurteilen irgendeine weltpolitische Lage oder dergleichen durch Statistiken —: So und so viele Griechen, so und so viele Serben, so und so viele Bulgaren! Und da kann man dann errechnen, welches die berechtigten Ansprüche des griechischen Elementes, des bulgarischen Elementes, des serbischen Elementes sind. Sieht man dann etwas genauer nach, das heißt, verbindet man, was man als abstrakte Erkenntnis erworben hat über die Zahl der Bulgaren, der Serben, der Griechen in Mazedonien mit der Erfahrung, dann entdeckt man vielleicht, daß der Vater als ein Grieche, der eine Sohn als ein Bulgare, der zweite Sohn als ein Serbe eingetragen ist! Nun möchte man wissen, wie das mit der Wahrheit herauskommt. Kann die Familie wirklich so beschaffen sein, daß der Vater ein Grieche, der eine Sohn ein Bulgare, der zweite ein Serbe ist? Erfährt man wirklich etwas über die Wirklichkeit, wenn man eine aus solchen Voraussetzungen gemachte Statistik hat? Das meiste, das heute in der Welt in Statistiken zusammengestellt ist, beruht auf solchen Zusammenstellungen, insbesondere im geschäftlichen Leben sehr häufig. Deshalb, weil die Menschen nicht das Bedürfnis haben, immer vorzudringen von dem, was ihnen wortwörtlich gesagt wird, zum Inhalte des Wahren, der Wirklichkeit, deshalb wird heute so vielfach vorbeigeurteilt, denn es wird nicht eingegangen auf die Dinge. Die Menschen sind zufrieden mit dem, was bloß als eine Oberschichte des Lebens die wahren Wirklichkeiten zudeckt. Aber auf die wahren Wirklichkeiten losgehen, das ist die erste Forderung im Leben unserer Zeit, nicht zu schwatzen, ob die Menschen reif oder unreif seien, sondern gerade hinzudeuten auf das, was Hauptschäden sind. Die Menschen werden sie dann begreifen, wenn sich nur andere Menschen finden, die sich die Mühe nehmen, diese Hauptschäden aufzudecken und genügend stark darauf hinzuweisen.

Oder: Die Welt hat Anfang Juni 1917 gelesen — ein Teil der Welt hat sich immerhin noch dafür interessiert — die Thronrede des damaligen österreichischen Kaisers Karl. In dieser Thronrede wird sehr zeitgemäß von Demokratie gesprochen, immer wieder von Demokratie. Nun, diese Thronrede — ich habe manches über sie gelesen: wie sich die Leute enthusiasmiert haben dafür, daß der Welt von Demokratie verkündigt werde, wie schön es sei, daß da der Welt über Demokratie etwas gesagt wird. Nun, wenn man die Thronrede vom Anfang bis zum Ende nahm, bloß ihrem äußeren wortwörtlichen Inhalte nach — es war eine schöne Leistung, feuilletonistisch, wenn man sich bloß an dem Stil, an der Gestaltung der Sätze, wie sie das menschliche Wohlgefallen hervorrufen wollen, erfreuen will. Schön. Aber man sehe die Wahrheit. Da muß man das, was wortwörtlich ist, hineinstellen in sein Milieu. Da muß man fragen: Wer redet das? In welcher Umgebung redet er das? Und da sieht man im uralten Krönungsornat, von allem möglichen prunkend und von allem möglichen glänzend, den mittelalterlichen Herrscher stehen, nicht einmal es verbergend vor dem, was in seinem Elaborat steht, umgeben von seinen glänzenden, goldbetreßten Paladinen; das ganz Mittelalterliche, das, wenn es wahr gesprochen hat, anders gesprochen hat als von Demokratie! Was ist das Reden von Demokratie, wenn es noch so schön ist, wortwörtlich, in einem solchen Elaborat? Eine weltgeschichtliche Lüge!

Man muß von dem wortwörtlichen Inhalt der heutigen Dinge zurückgehen bis zur Anschauung der Wirklichkeit. Man muß nicht bloß mit dem Intellekt die Dinge auffassen, man muß eingehen auf die Anschauungen. Gerade das ist es, was Geisteswissenschaft fordert. Nicht ungestraft verkennt man die äußere Wirklichkeit. Wer richtig im geisteswissenschaftlichen Sinne, wie es hier gemeint ist, die geistige Wirklichkeit erkennen will, nur die geistige Welt sehen will, der muß sich vor allen Dingen absoluteste Wahrheit in der Sinneswelt angewöhnen: keiner Täuschung sich hinzugeben über dasjenige, was um ihn herum für seine fünf Sinne vorgeht. Gerade wer in den Geist eindringen will, muß seine gesunden fünf Sinne in Wahrheit anwenden, sich nicht der Phantasterei hingeben, der sich gerade sogenannte Geschäftsleute, viele Praktiker hingeben, die viel verehrt werden, der sich fast die ganze Welt hingibt.

Was wir brauchen, ist nicht ein wehleidiges Jammern, daß die Menschen nicht reif seien, was wir brauchen, ist ein Hinweisen darauf, wie wir wahr, innerlichst wahr werden müssen. Dann wird auch nicht das unwahre Gerede von dem Geiste und immer wiederum dem Geiste durch die Welt tönen. Dann wird auch nicht dieses unwahre Gerede von dem Unterschiede zwischen Recht und Moral durch die Welt tönen, sondern dann wird etwas tönen von einer Arbeit, die sich den Geist erarbeiten soll. Dann wird etwas tönen von dem, wie, wenn der Geist erarbeitet wird, die Menschen in einem solchen Zusammenhange leben werden, daß sie auch unter sich das gleiche Recht finden werden, und dann erst wird man davon reden können, wie die durchgeistigte und durchrechtete Wirtschaft eine wirkliche Gemeingesellschaft wird begründen können. Das ist viel notwendiger, daß man einsähe: es sind genügend Menschen da, die sich wenigstens nur innerlich zusammennehmen, solche Hinweise in sich selber begreifen zu können. Man soll nur nicht müde werden, diese Dinge immer wieder und wieder zu betonen. Man soll nur nicht glauben, daß wenn man sagt: Der Geist soll herrschen —, dieser Geist durch irgendeinen Zauber in die Welt kommen werde. Nein, durch die menschliche Geistesarbeit allein kann dieser Geist in die Welt kommen. Auch in dieser Beziehung handelt es sich darum, daß man wahr werde, daß man nicht immer wieder die Unwahrheit hinaustönen läßt in die Welt, Geist müsse sein, sondern die Wahrheit hinaustönen läßt: Geist wird nur sein, wenn Stätten da sind, in denen nicht bloß über die äußere Natur, nicht bloß im Sinne des Materialismus gearbeitet wird, sondern in denen eine Geistanschauung erarbeitet wird.

Aus dieser Geistanschauung aber wird -- das glaube ich, gerade in diesen Vorträgen gezeigt zu haben, die ja nur ein Versuch sein sollen, ein schwacher Versuch — hervorgehen auch ein wirkliches soziales Verständnis der Lebensgewohnheiten der Menschheit in der Gegenwart und in der nächsten Zukunft. Daß die Menschen gerade in bezug auf das Geistige und in bezug auf das geistige Streben wahr werden, darum handelt es sich. Denn der Geist kann nur auf dem Wege der Wahrheit gefunden werden.

Es ist nur eine Ausrede, wenn man sagt: Ja, die Menschen wissen es nicht. — Beim Geistesstreben handelt es sich darum, daß, wenn der Lüge unbewußt gefolgt wird, diese Lüge ebenso schädlich in der Welt wirkt, wie wenn ihr bewußt gefolgt wird. Denn der Mensch hat in der Gegenwart die Verpflichtung, das Unterbewußte heraufzuheben, um die Unwahrheit auf allen Gebieten, auch auf dem Gebiete des Unterbewußten, auszutilgen.


Fragenbeantwortung nach dem sechsten Vortrag

Zunächst ist hier eine Frage gestellt:

Wie stellt sich Herr Dr. Steiner zur Zinswirtschaft und zum arbeitslosen Einkommen?

Ich habe -- nicht in polemischer Form, aber in aufbauender Form — ja darüber gehandelt in meinem Buche «Die Kernpunkte der sozialen Frage». Mir ist vielfach vorgeworfen worden, daß der Zins nicht ganz geschwunden sei aus dem, was mir als soziale Struktur der menschlichen Gesellschaft vorschwebt. Nun scheint es mir, daß es ehrlicher ist, auf den Boden der Wirklichkeit sich zu stellen und das Mögliche und Notwendige wirklich zu betonen, als auf irgendeinen nebulosen Boden, auf dem man bloß Forderungen aufstellt. Ich habe in meinen «Kern punkten der sozialen Frage» versucht zu zeigen, daß ja durchaus das Arbeiten mit Kapital notwendig ist. Man kann nicht ohne Kapitalansammlungen große Betriebe schaffen, überhaupt im heutigen Sinne keine Volkswirtschaft zustande bringen. Ob nun dieses Kapital in Geldform gedacht wird oder in anderer Form, das ist ja eine Sache für sich.

Die meisten Menschen begehen, indem sie sich über die soziale Frage hermachen, sehr häufig den Fehler, daß sie nur die Gegenwart gewisser maßen wie einen einzigen Augenblick ins Auge fassen und für diesen einzigen Augenblick nachdenken: Wie ist da das Wirtschaftsleben zu gestalten? — Aber wirtschaften heißt zu gleicher Zeit, mit dem in einem gewissen Zeitpunkt Gewirtschafteten eine Grundlage für das Wirtschaften der Zukunft schaffen. Ohne daß man irgendwie eine Grundlage für die Zukunft schafft, würde man die Kontinuität des Wirtschaftslebens nicht aufrechterhalten können, das Wirtschaftsleben würde immer abreißen. Das begründet aber nicht Zins aus Zinserträgnissen, wohl aber Zinserträgnis, weil die Möglichkeit bestehen muß, daß immer in irgendeinem Zeitpunkt so viel gearbeitet wird, daß aus dieser Arbeit Leistungen entstehen, die auch einer zukünftigen Arbeit wieder dienen können. Das ist nicht zu denken, ohne daß der Betreffende für das, was er für die Zukunft leistet, eine Art von Äquivalent erhält, und das würde eine Art von Zins bedeuten. Ich hätte es auch anders nennen können, wenn ich hätte schmeicheln gewollt denen, die heute wettern über Zins im Einkommen. Aber es schien mir ehrlicher, die Sache so zu benennen, wie sie in der Wirklichkeit ist. Es ist notwendig, daß diejenigen, welche irgend etwas dazu beisteuern -- das wird ja der einfachste Ausdruck für komplizierte Vorgänge sein — dazu, daß Kapital angesammelt, verwendet werden kann, daß diese ihre Arbeit, die sie aus der Vergangenheit, aus der Gegenwart her in die Zukunft leisten, auf diese Weise in die Zukunft vergütet erhalten. Zins in der Form, wie ich es schildere in meinen «Kernpunkten der sozialen Frage», ist nichts anderes als Vergütung desjenigen, was in der Gegenwart geleistet worden ist, für die Zukunft.

Nun, bei solchen Dingen kommt aber natürlich immer in Betracht, was sonst im sozialen Organismus als ein notwendiges Glied mitenthalten ist. Es kommt beim Menschen zum Beispiel darauf an, daß er alle seine Glieder hat, denn sie wirken alle zusammen. So kann man ein Glied auch nur verstehen aus dem gesamten Menschen heraus. So ist es auch im sozialen Organismus, daß man das Einzelne nur aus dem Ganzen verstehen kann. Wenn Sie sich an das erinnern können, was ich mit Bezug darauf auseinandergesetzt habe, wie aufzufassen ist das Verhältnis des Bearbeitens von Produktionsmitteln, so werden Sie sehen, daß es sich dabei darum handelt, daß Produktionsmittel nur so lange etwas kosten, nur so lange verkäuflich sind, als sie nicht fertig sind. Sind sie fertig, bleiben sie allerdings bei dem, der die Fähigkeit hat, sie fertig zu bringen; dann aber gehen sie durch rechtliche Verhältnisse über, sind also nicht mehr verkäuflich. Dadurch wird auch für das Geldvermögen eine ganz bestimmte Wirkung herauskommen. Es kommt nicht darauf an, daß man Gesetze macht, das Geld solle keine Zinsen tragen, sondern es kommt darauf an, daß Ergebnisse herauskommen, die dem sozialen Organismus entsprechen.

Dadurch wird das, was als Geldvermögen existiert, einen ähnlichen Charakter bekommen wie andere Güter. Andere Güter unterscheiden sich heute vom Gelde dadurch, daß sie zugrunde gehen oder verbraucht werden; das Geld aber braucht nicht zugrunde zu gehen. Über längere Zeiträume geht es ja auch zugrunde, aber in kürzeren Zeiträumen nicht. Daher glauben manche Leute, auch in längeren Zeiträumen halte es sich.

Es hat sogar Menschen gegeben, die haben Testamente gemacht, daß sie irgendeiner Stadt das oder jenes vermacht haben. Dann haben sie ausgerechnet, wieviel das nach ein paar Jahrhunderten ist. Das sind so große Summen, daß man dann damit die Staatsschulden eines sehr stark verschuldeten Staates zahlen könnte. Aber der Witz ist nur der, daß es dann nicht mehr da ist, weil es unmöglich ist, über so lange Zeiten das Geld in der Verzinsung zu erhalten. Dafür aber ist die regelrechte Verzinsung für kürzere Zeit aufrechtzuerhalten. Aber wenn im volkswirtschaftlichen Prozeß das einträte, daß tatsächlich Produktionsmittel nichts mehr kosten, wenn sie da sind, Grund und Boden tatsächlich Rechtsobjekte werden — nicht ein Kaufobjekt, nicht ein Wirtschafts Zirkulationsobjekt —, dann tritt für das Geldvermögen ein, daß es, ich habe es öfter ausgedrückt, nach einer bestimmten Zeit anfängt einen üblen Geruch zu haben, wie Speisen, die verdorben sind und einen üblen Geruch haben, nicht mehr brauchbar sind. Einfach durch den wirtschaftlichen Prozeß selber stellt es sich heraus, daß Geld seinen Wert verliert nach einem bestimmten Zeitraume, der durchaus nicht etwa ungerecht kurz ist; aber es ist eben so. Dadurch sehen Sie, wie sehr dieser Impuls für den dreigliederigen sozialen Organismus aus den Realitäten heraus gedacht ist. Wenn Sie Gesetze geben, so geben Sie Abstraktionen, durch die Sie die Wirklichkeit beherrschen wollen. Denken Sie über die Wirklichkeit, so wollen Sie die Wirklichkeit so gestalten, daß sich die Dinge so ergeben, wie sie dem tieferen Bewußtsein des Menschen entsprechen.

Ebenso ist in einem solchen Organismus, wie ich ihn denke, durchaus nicht das arbeitslose Einkommen als solches enthalten. Nur muß man über diese Dinge auch klare Begriffe haben. Was ist denn schließlich ein arbeitsloses Einkommen? In diesem Begriff «arbeitsloses Einkommen» steckt ja sehr, sehr viel von Unklarheiten drinnen, und mit unklaren Begriffen kann man wahrhaftig keine Reformen durchführen. Sehen Sie, für denjenigen, der «Arbeit» bloß Holzhacken nennt, für den ist ganz sicher ein arbeitsloses Einkommen dasjenige, was jemand für ein Bild erhält, das er malt, und dergleichen. Es ist nur etwas radikal aus gesprochen, aber so wird oftmals das sogenannte «arbeitslose Einkommen» durchaus beurteilt. Es setzt sich das, was wirtschaftliche Werte begründet, eben aus verschiedenen Faktoren im Leben zusammen. Es setzt sich zusammen erstens aus den Fähigkeiten der Menschen, zweitens aus der Arbeit, drittens aber auch aus Konstellationen, und es ist einer der größten Irrtümer, wenn man gar definiert hat, daß irgendein Gut, das in der wirtschaftlichen Zirkulation ist, nur «kristallisierte Arbeit» sei. Das ist es durchaus nicht.


Über Arbeit habe ich mich ja in diesen Vorträgen ausgesprochen. Es kommt also darauf an, daß man überhaupt den Begriff der Arbeit nicht in irgendeiner Weise zusammen bringt, wie er heute vielfach zusammengebracht wird, mit dem Begriff des Einkommens. Sein Einkommen bekommt ja ein Mensch wahrhaftig nicht bloß dafür, daß er ißt und trinkt oder sonst irgendwelche leiblichen oder seelischen Bedürfnisse befriedigt, sondern auch dafür, daß er für andere Menschen arbeitet. Also es ist der wirtschaftliche Prozeß ein viel zu komplizierter, als daß man ihn mit so einfachen Begriffen sollte umfassen wollen.

Leitet der Referent auch das überbewußte, Trancezustände, Erleuchtung und so weiter aus dem Egoismus her?

Nun, ich habe ja wohl deutlich bemerkbar gemacht, daß dasjenige, was ich die Quellen der geistigen Anschauung nenne, zwar den Weg macht, den die Dinge machen, die aus dem Egoismus kommen; aber wenn zwei denselben Weg machen, so brauchen sie ja doch deshalb nicht aus demselben herzukommen. Es geht beides durch das Innere des Menschen; aber das eine steigt aus objektiven Tiefen, habe ich gesagt, hervor und steigt zu objektiven Höhen empor. Nur möchte ich auch nicht mißverstanden sein. Trancezustände sind ganz und gar kein Überbewußtes, sondern durchaus ein Unterbewußtes, ein sehr Unterbewußtes, viel unterbewußter als zum Beispiel irgendwelche Emotionen und dergleichen. Und manches, was man «Erleuchtungen» nennt, was so von selber kommt, das ist zumeist auch ein sehr, sehr Unterbewußtes. Was ich als Überbewußtes auffassen würde, das finden Sie geschildert in meinem Buche «Wie erlangt man Erkenntnisse der höheren Welten?».

Wie begründet der Vortragende die im gestrigen Diskussionsvotum geäußerte, von der Auffassung der modernen Nationalökonomie abweichende Ansicht, wonach nur der Grund und Boden produktiv sei? Liegt diesem Ausspruch etwa nur eine andere Umschreibung des Begriffes der Produktion, der Produktivität zugrunde?

Ich habe nicht, glaube ich, irgendwie auch nur Veranlassung gegeben dazu, zu glauben, daß meine Meinung dahin gehe, daß nur der Grund und Boden produktiv sei. Mit diesem Begriff «produktiv», «unproduktiv» und dergleichen ist es nicht ganz produktiv, viel zu wirtschaften, sondern es handelt sich bei den Dingen doch mehr darum, daß man nicht zu stark auf fertiggemachte Begriffe eingehe. Die Menschen reden heute viel zu sehr in Worten. Es kommt nicht darauf an, daß man solche Definitionen gebe, irgend etwas sei produktiv oder unproduktiv; da kommt es immer darauf an, wie man das produktiv oder unproduktiv auffaßt; sondern darauf kommt es an, daß man die Verhältnisse nach Zusammenhängen wirklich schildert. Und da versuchte ich gestern zu schildern, wie anders sich der Grund und Boden hineinstellt in den nationalökonomischen Prozeß, als zum Beispiel die industrielle Produktion. Auf solche Schilderung, auf Charakteristik kommt es an. Wenn man nur einmal sich klar werden wollte, wieviel dadurch Schaden angerichtet wird, namentlich in den Wissenschaften, daß man sich zu sehr an solche Definitionen oder Begriffsbestimmungen hält! Was man beschreibt, dafür braucht man ja nicht Begriffsbestimmungen. Es herrscht heute vielfach die Unsitte, daß jemand sagt, er sei über das oder jenes dieser oder jener Ansicht. Da muß man sich erst verständigen darüber, was er nun unter diesem Prädikat versteht. Wahrscheinlich nach langem Verständigen wird er darauf kommen, daß er dasselbe meint wie der andere. Was zur wirklichen Produktion führt, wenn ich das Produktion nennen will, was zu einem wirklichen Konsum führt, wenn ich darüber spreche, so muß ich ja alle einzelnen Faktoren, von dem allerelementarsten bis zu dem kompliziertesten, ins Auge fassen.

Da wird es zum Beispiel sehr schwierig, aufzusteigen von dem, was man doch — allerdings in einem etwas weiteren Sinne die Wirtschaft der Tiere nennen könnte. Die Tiere essen und trinken ja auch. Also die haben, insofern sie nicht gezähmt sind, auch eine Art Wirtschaftsleben. Aber sie genießen in der Regel, was sie sich nicht sehr stark zuzubereiten brauchen. Die meisten Tiere nehmen, was schon da ist. Nun, für die ist die Natur produktiv, wenn wir den Ausdruck produktiv anwenden wollen. Vieles von dem, was der Mensch genießt, gehört ja auch auf diesen Boden. Wenn er schließlich Obst genießt, so ist das nicht viel entfernt -- nur durch Verkehrs- und Besitzverhältnisse und dergleichen entfernt — von der Art der Wirtschaft der Tiere, bei denen man aber sogar auch Ansätze zu Besitzverhältnissen finden könnte. Nun handelt es sich darum, jetzt weiter den Prozeß zu verfolgen, zu verfolgen, wie der Mensch anfängt, dasjenige, was von der Natur hergegeben ist, zuerst zu verarbeiten, dann durch den Verkehr weiter in die Zirkulation zu bringen und so fort. Da beginnt eine Fortsetzung des Begriffes, der bei der Natur anfängt. Dann kommt man zu demjenigen, was Produktion für den äußersten Luxus ist, was nicht mehr wirklichen Bedürfnissen entspricht, das heißt, gerechtfertigten oder vernünftigen Bedürfnissen entspricht. Ja, den Begriff, das sei produktiv oder nicht produktiv, irgendwie zu begrenzen, das ist durchaus etwas, was im Grunde genommen zuerst ins Nebulose führt. Selbstverständlich kann man, wenn man es liebt, sich in solchen nebulosen Begriffen zu bewegen, lange darüber diskutieren, wie die Physiokraten gemeint haben, daß nur die Bearbeitung des Bodens produktiv sei. Man kann dagegensetzen: Auch wenn jemand Handel treibt, so ist das produktiv, und kann sehr schöne Beweise dafür erbringen. Der Fehler ist der, daß man eine Definition aufstellt: Das ist unproduktiv, das ist produktiv! — sondern man muß den ganzen Vorgang des Wirtschaftslebens wirklich sachgemäß überschauen können.



Also ich bitte, dies was ich vorgebracht habe, nicht so aufzufassen, als wenn es auch hineinfallen sollte in eine solche Art des Definierens, sondern es sollte eine sachgemäße Schilderung dessen sein, was im Wirtschaftsleben wirklich vorgeht. Und da glaube ich, in der Tat hingewiesen zu haben auf einen sachlichen Unterschied, wie sich in den Wirtschaftsprozeß anders hineinstellt Grund und Boden als zum Beispiel, sagen wir, industrielle Produktionsmittel, Maschinen und dergleichen. Aber auch anders stellt sich in den Wirtschaftsprozeß hinein, was auf der Grundlage des Grund und Bodens ist, als zum Beispiel der Handel. Man braucht weder einseitiger Merkantilist zu sein, noch einseitiger Physiokrat. Man wird einsehen müssen, daß in dem Augenblick, wo man versessen ist auf solche Dinge wie «produktiv», «unproduktiv», dann eben solche einseitigen Ansichten wie Merkantilismus, Physiokratismus und so weiter zustande kommen. Das sollte gerade hier vertreten worden sein: daß man sich nicht auf Einseitigkeiten stellt, sondern auf Allseitigkeit stellt.

Nun wurde noch eine Frage gestellt:

Daß Altruismus, Egoismus, Liebe, psychologisch aufgefaßt, im Grunde genommen ein und dasselbe sind, und daß daher das eine oder das andere nicht überwunden zu werden braucht.

Ja, inwiefern der Begriff des Überwindens ein falscher ist, habe ich ja im Vortrage selber ausgeführt. Aber es ist eine große Gefahr, wenn man diesen Begriff der Einheit von allem möglichen aus dem Konkreten ins Abstrakte hineintreibt. Da handelt es sich nur dann wieder um darum, was man für eine Abstraktion im Auge hat. Sehen Sie, man muß sich klar darüber sein, daß man, wenn man im Abstrakten stehen bleibt — und dieser Frage liegt eine sehr abstrakte Denkweise zugrunde —, dann im Grunde genommen mit der einen Behauptung Recht hat und auch mit der entgegengesetzten Behauptung Recht hat. Menschen, die im Konkreten denken, die wissen den Ausspruch Goethes sehr zu schätzen: Man kann eigentlich die Wahrheit nicht unmittelbar in einem Worte oder in einem Satze aussprechen, sondern man spricht das eine aus, spricht das andere aus, und die Wahrheit wird am Problem gewonnen, das zwischen beiden liegt. Man muß dann ein lebendiges Verhältnis zur Wahrheit gewinnen können.

Es gibt Leute, die sind als Mystiker darauf versessen, zu definieren: sie tragen Gott in sich selber; der Gott sei im Inneren des Menschen, das Göttliche sei im Inneren des Menschen. Sie finden dies als die einzig mögliche Definition. Andere finden diese Definition ganz falsch; sie sagen: Gott erfüllt alles und wir als Menschen sind in Gott. Ja, es gibt genau ebenso gute Beweise für das eine, wie es gute Beweise gibt für das andere. Aber da gilt eben der Goethesche Satz: Die Wahrheit liegt mitten drinnen zwischen den entgegengesetzten Behauptungen, geradeso wie der wirkliche Baum mitten drinnen liegt zwischen zwei photographischen Aufnahmen, die ich von der einen oder von der anderen Seite mache. In dieser Beziehung muß man geradezu auf die Gefahren des einseitigen Denkens hinweisen. Es kommt gar nicht darauf an, ob jemand sagt, Altruismus, Egoismus, Liebe seien ein und dasselbe, und deshalb braucht es nicht überwunden zu werden. Wie gesagt, wie es mit dem Überwinden steht, habe ich ja im Vortrag selber auseinandergesetzt. Aber darum handelt es sich, daß man wirklich, wenn so etwas auseinanderzusetzen ist, versucht, wie ich es immer tue, die Sätze sorgfältig zu formulieren. Ich habe durchaus hier nicht irgendwie behauptet, daß man nicht, wenn man nach einer gewissen Einheit hinstrebt, zu einer Vereinheitlichung von Egoismus und Liebe oder Egoismus und Altruismus kommen könne. Man braucht nur bis zu dem nötigen Abstraktum aufzusteigen, dann kommt man dazu. Aber im äußerlichen konkreten Leben unterscheiden sich Egoismus und Altruismus eben doch so, daß man sagen kann, wie ich im Vortrage gesagt habe, bewußt gesagt habe: sie sind die zwei Antriebe, aus denen der Mensch heraus handelt. Wenn ich sage, da oben auf diesem oder jenem Berge, da ist eine Quelle, und zwei Stunden davon, da ist eine andere Quelle, aus diesen zwei Quellen wird die Wasserleitung von irgendeinem Orte gespeist, so läßt sich dieses vergleichen mit dem, was ich heute gesagt habe über Egoismus und Liebe. Ich habe auf die zwei Quellen hingewiesen. Dann darf niemand hinweisen und sagen: Ja, sieh einmal, in der einen Quelle ist Wasser, in der anderen auch, es ist ja dasselbe. — Es handelt sich darum, daß, wenn man pedantisch auf das Abstraktum besteht, man überall dasselbe sehen kann.

Aber gerade beim Einheitsuchen handelt es sich darum, daß man zum Beispiel so etwas versteht wie die Goethesche Metamorphose. Wenn man die Goethesche Metamorphose verfolgt, so weiß man, wie Goethe zeigt, daß das grüne Pflanzenblatt und das rote Blumenblatt ein und dasselbe ist, nur das eine umgewandelt aus dem anderen. Aber er weiß zu gleicher Zeit, daß die beiden, indem sie dasselbe sind, zu gleicher Zeit ein Mannigfaltiges, ein Verschiedenes, ein unendlich Gestaltetes sind. Darauf kommt es an, daß man sich im Einheitsuchen immer bewußt werde, wie im konkreten Leben das Einheitliche immer zur Vielheit hin variiert, und daß man im Streben nach Einheit wissen muß, nicht die Vielheit zu übersehen.

Es gibt eine Gesellschaft, die sich die «Theosophische Gesellschaft» nennt. Die Theosophische Gesellschaft spricht davon, daß sie die Einheit in allen Religionsbekenntnissen suche. Alle Religionsbekenntnisse entspringen aus den anderen heraus, seien im Grunde genommen ein und dasselbe. Sie lehrt, alle Religionsbekenntnisse enthalten ein und dasselbe. Mir ist diese Behauptung immer erschienen, wie wenn jemand behauptet, er wolle das, was auf dem Tisch steht, nur nach seiner Einheit charakterisieren. Man braucht nur eine Abstraktion zu wählen, sagen wir «Speisezusatz», Speisezusatz: das ist Salz, das ist Pfeffer, das ist auch Paprika. Ja, gewiß, alles ist ein und dasselbe, nämlich Speise-Zusatz. Aber wenn man, statt daß man die Suppe salzt, sagt: Oh, es ist dasselbe, Speisezusatz, wenn ich Pfeffer nehme —, so werden Sie nicht sehr zufrieden damit sein. So handelt es sich auch darum, daß man nicht eine solche Einheit, wie die, die von der Theosophischen Gesellschaft dogmatisch tradiert wird, als: Alle Religionsbekenntnisse enthalten ein und dasselbe — hinnimmt. Mir erschien immer diese Einheit der Religionen der Theosophischen Gesellschaft wie die Behauptung: Pfeffer, Salz und Paprika seien ein und dasselbe.

Wie gesagt, ich erkenne durchaus an das berechtigte Streben nach Einheit. Aber dieses berechtigte Streben nach Einheit darf nicht zum Abstrahieren von der Wirklichkeit kommen.

Nun ist noch eine Frage hier.

Turmbau von Baden. Es gehört Nationales zu allem geistig und kulturell Bedeutenden. Alle Religionen sind den Rassen angepaßt. Die Veranlagung der verschiedenen Nationen, Rassen für Kunst und Wissenschaft ist verschieden. Die Sprache und alle Äußerlichkeiten der Umgebung zwingen zu einer Ausdrucksform. Das Wesentliche ist immer international, die Form immer nationale Kunst. Am internationalsten die Musik. Liebe Deinen Nächsten wie Dich selbst.

Nun weiß ich eigentlich nicht recht, was ich mit dieser Frage machen soll. Denn einen «Turmbau von Baden» — ich kenne wohl einen Turmbau von Babel, nicht aber einen von Baden. Ich weiß nicht, ob es hier in Baden etwa auch einen Turmbau gibt?

«Es gehört Nationales zu allem geistig und kulturell Bedeutenden.» Ja, gewiß, das kann man sagen: aber ich weiß nicht, wie es zu dem heutigen Vortrage kommt.

«Alle Religionen sind den Rassen angepaßt. Die Veranlagung der verschiedenen Nationen, Rassen», das sind zwei verschiedene Dinge, «für Kunst und Wissenschaft ist verschieden.» Gewiß.

«Die Sprache und alle Äußerlichkeiten der Umgebung zwingen zu einer Ausdrucksform. Das Wesentliche ist immer international ... » Ja, das Wesentliche des Internationalen, das muß man erst suchen; denn wenn das Wesentliche wirklich da wäre, dann wäre nicht so viel Anti Internationales unter den Menschen. Das ist natürlich durchaus zu berücksichtigen.

«... die Form immer nationale Kunst. Am internationalsten die Musik.» Ich habe das, was hier zugrunde liegt, im Vortrage leise angedeutet, indem ich gesagt habe, die Phantasie prägt sich national aus, allerdings auf gewissen Gebieten der Kunst nur in gewissen Nuancierungen. Aber die Nuancierungen wird derjenige, der für dieses Verständnis hat, schon auch in der Musik finden. Er wird finden, daß auch da, wo scheinbar ganz Internationales ist, auch ein Nationales drinnen liegt, und wenn es nur darinnen besteht, daß das eine Volk einfach mehr musikalisch ist als das andere, und international verstanden werden kann, wenn es auch nur bei einem einzelnen Volke hervorgebracht werden konnte.

Aber das, worum es sich handelt, ist, daß man nun irgendeinen Inhalt im Menschen selbst findet, in jedem Menschen befindliches geistig Anschaubares, das so international wirken kann, wie ich es im Vortrage dargestellt habe.

Nun, damit sind die heutigen Fragen, wie ich glaube, erschöpft, und ich glaube auch, daß der Abend soweit vorgeschritten ist, daß ich nicht eine ausführliche Schlußrede halten möchte. Aber das eine möchte ich nur noch in fünf Worten hervorheben: daß es mir besonders daran gelegen wäre, wenn diese Vorträge daraufhin geprüft würden, inwiefern sie nicht irgend etwas Ausgedachtes, Programmatisches sind, sondern inwiefern sie nur der Versuch sind, der anfängliche Versuch allerdings, aus dem Leben selbst heraus eine soziale Idee oder eine Summe von sozialen Ideen zu gewinnen.

Ja, solche Ideen, die als praktisch wirksame Kräfte dem Leben abgelauscht sind, die stellen geradezu das dar, was überall auf allen Gebieten aus dem herausgeboren werden kann, was ich Ihnen hier als eigentliche Geistesanschauung charakterisiert habe. Ich weiß, daß vieles, was man heute als Geistesanschauung charakterisiert, verwechselt wird, wie ich schon in den Vorträgen andeutete, mit dem, was hier gerade als Geistesanschauung gemeint ist. Aber es verlohnte sich viel leicht doch, gerade auf den Wirklichkeitscharakter dieser Geistesanschauung einmal einzugehen. Ich habe, als der Zeitpunkt heran getreten war im Verlaufe dieser furchtbaren Kriegskatastrophe, wo man glauben konnte, daß aus der Not der Zeit heraus etwas eingesehen werden könnte von dem, was sich aus Menschentiefen an die Oberfläche ringen will, manche verantwortlichen Menschen aufmerksam gemacht auf dasjenige, was eigentlich die Zeit fordert, und habe, bevor ich in die Öffentlichkeit getreten bin, vor Jahren, in den schweren Jahren, zu manchem gesprochen von dieser Dreigliederung, in dem vollen Bewußtsein, was es für eine Wirkung haben müßte, wenn aus solchem Geiste heraus der Versuch gemacht worden wäre, diesem schrecklichen Morden beizukommen, es mildernd, es endend. Und ich habe dazumal gesagt: Wenigstens liegt die Bemühung vor, mit dem, was in diesem Impulse gemeint ist, nicht irgendeine programmatische Idee zu geben, sondern dasjenige, was sich in den nächsten dreißig oder zwanzig oder fünfzehn Jahren, sogar zehn Jahren verwirklichen will. Und ich sagte manchem: Man kann ja heute, wenn man will, solche Dinge ableugnen, man kann zu bequem dazu sein. Aber wer es mit dem Leben ernst nimmt, der sollte sich sagen: Man habe die Wahl, entweder Vernunft anzunehmen oder traurigen Zeiten der Revolutionen und sozialen Kataklysmen entgegenzugehen. — Das sagte ich in Zeiten, in denen diese neueren Revolutionen, auch die russische, noch lange nicht heraufgekommen waren.

Und es handelt sich immer darum, daß es schon den Menschen auferlegt ist, nicht schlafend in den Tag hineinzuleben, sondern sich über die Art, wie es weitergehen kann, Vorstellungen zu machen. Denn der Mensch hat ja das voraus vor anderen Erdenwesen, daß er mit einer gewissen Voraussicht zu handeln berufen ist. Aber man kann nur mit einer gewissen Voraussicht in das Handeln eingreifen, wenn man einen Instinkt für das wirklich Mögliche hat. Hat man einen wirklichen Instinkt für das Mögliche gehabt in der Zeit der ersten Hälfte des Jahres 1914 auf dem Gebiete der zivilisierten Welt? Ich habe Ihnen Beispiele angeführt in einer der früheren Diskussionen, was die Leute gesagt haben über das, was kommen werde. Dann ist das große Morden gekommen. Müßten nicht die Menschen von den Tatsachen lernen?

Nun, das ist gerade die gegenwärtige Aufgabe der Menschen: von den Ereignissen zu lernen. Denn die Ereignisse zeigen durch die Größe, durch die Schnelligkeit, mit der sie sich abwickeln, daß die Menschen von ihnen lernen sollen, daß die Menschen gewisse Ereignisse als Zeichen der Zeit auffassen sollen. Sonst könnte etwas eintreten, was in bezug auf viele Dinge in den letzten Jahren eingetreten ist. Manches hat die Leute so getroffen, daß sie gesagt haben: Hätten wir das früher gewußt — jetzt ist es zu spät. — Aber es ist nicht immer nötig, zu warten, bis es zu spät ist!

In der Gesinnung werden insbesondere die Ideen von der Dreigliederung des sozialen Organismus vorgetragen. Und so, wie es hier versucht wird, wie es in unserer Zeitschrift hier in der Schweiz, der «Sozialen Zukunft» versucht wird, wie es in meinen «Kernpunkten der sozialen Frage» versucht worden ist: aus der Gesinnung heraus werden sie vorgetragen, daß sie begriffen, aufgefaßt werden mögen, genommen werden mögen zum praktischen Handeln, ehe es zu spät ist. Damit man über wichtige Dinge des Lebens nicht später wird sagen müssen, es sei zu spät, deshalb rüttle man sich auf und versuche zu ergründen, ob in diesen Dingen, die hier vorgetragen worden sind, nur Gedanken sind, oder ob es Extrakt der Wirklichkeit ist.

Ich betone immer wieder: Es ist ein schwacher Versuch. Aber ich glaube doch: Wird dieser schwache Versuch von einer genügend großen Anzahl von Menschen aufgenommen, dann wird er vielleicht etwas viel Gescheiteres, als ein einzelner aus ihm machen kann. Aber er müßte aufgenommen werden, und er kann aufgenommen werden, denn er ist aus der Wirklichkeit und kann aus der Wirklichkeit erprobt werden.

Diese paar Worte wollte ich zu dem Gesagten noch hinzufügen.