| Dans la situation grave actuelle
                                          d'une grande partie de l'humanité, en
                                          particulier de l'humanité de l’Europe
                                          centrale, il serait désastreux de
                                          chercher à guérir divers dommages
                                          sociaux graves par de petits et
                                          mesquins moyens. Il est nécessaire
                                          aujourd'hui de prendre son essor à des
                                          impulsions globales et pénétrantes
                                          basées sur une connaissance réelle de
                                          ce qui nous a plongés dans la
                                          confusion et le chaos, et il est
                                          nécessaire de regarder d'une manière
                                          impartiale, honnête et sincère ce qui
                                          est réellement là et dont nous voulons
                                          sortir. Ces considérations,
                                          caractérisées par les quelques phrases
                                          que je viens de mentionner, ont été le
                                          point de départ de la rédaction de cet
                                          appel à la tri-articulation de
                                          l'organisme social, qui vous est connu
                                          et dont je veux de nouveau parler
                                          aujourd'hui. Il est toujours seulement
                                          possible, j’aimerais dire, de
                                          souligner de tel ou tel point de vue
                                          la nécessité de ce qui est dit dans
                                          cet appel et maintenant un peu plus
                                          largement, mais aussi un peu plus
                                          largement, dans mon livre « Les points
                                          centraux de la question sociale dans
                                          les nécessités de la vie du présent et
                                          du futur ». Et on aurait besoin de
                                          beaucoup de conférences si l'on
                                          voulait seulement pointer du doigt
                                          tout ce qui sous-tend les impulsions
                                          qui ont conduit à cet appel. Par
                                          conséquent, je dois vous demander
                                          d'accepter ce que je peux dire dans
                                          une seule conférence de telle sorte
                                          qu'elle puisse toujours seulement être
                                          une partie de ce qui conduit
                                          réellement à la compréhension de cette
                                          volonté sociale qui est pensée avec
                                          l’appel. Mais je voudrais avant toutes
                                          choses indiquer aujourd'hui qu'aussi
                                          un coup d’oeil sur ce qui a conduit à
                                          partir de la situation internationale
                                          à la terrible catastrophe de ces
                                          dernières années doit, quant on
                                          l'examine correctement et de manière
                                          impartiale, conduire à cet appel.
                                          Lorsque nous parlons de l'Allemagne du
                                          point de vue de la politique
                                          étrangère, les conditions politiques
                                          et intérieures semblent nous forcer
                                          aux impulsions qui sont pensées ici.
                                          L'idée de base qui sous-tend cet appel
                                          est que la terrible situation dans
                                          laquelle nous sommes entrés découle
                                          essentiellement de cette évolution
                                          récente qui a conduit à un mélange de
                                          trois domaines de la vie qui doivent
                                          maintenant se développer
                                          indépendamment, les trois domaines de
                                          la vie spirituelle, de la simple vie
                                          politique, juridique ou étatique, et
                                          de la vie économique.
 
 
 
 
 
 
 Dans l'état-unitaire, de plus en plus
                                          considéré comme la panacée de l'ordre
                                          social, hypnotisant l'humanité, tout
                                          ce qui fait la force de ces trois
                                          domaines de la vie a été fusionné.
                                          Aujourd'hui, le salut doit être
                                          recherché comme un véritable objectif
                                          pratique par rapport à notre organisme
                                          social dans l'indépendance de ces
                                          trois domaines de la vie. C'est
                                          d'abord sous une forme abstraite,
                                          j’aimerais dire l'impulsion de base
                                          qui sous-tend cet appel. Si nous
                                          voulons comprendre, d'un des nombreux
                                          points de vue que l'on peut
                                          considérer, ce qui a conduit
                                          l'humanité d'Europe centrale, en
                                          particulier, à la terrible et
                                          terrifiante catastrophe d'aujourd'hui,
                                          nous devons regarder dans une certaine
                                          mesure vers la gauche et vers la
                                          droite. L'Allemagne était en guerre
                                          contre l'Ouest et contre l'Est, le
                                          peuple allemand était impliqué dans la
                                          guerre, et il est juste de dire que,
                                          d'après les conditions de l'Ouest et
                                          de l'Est dans leur interaction, nous
                                          devons également comprendre la
                                          situation dans laquelle nous nous
                                          trouvons aujourd'hui en Europe
                                          centrale.
 
 Celui qui se tourne vers l'Occident,
                                          s'il veut d'abord considérer les
                                          difficultés sociales, se rendra compte
                                          que dans les pays occidentaux, dans
                                          les pays avec lesquels la guerre la
                                          plus longue a été menée, une fusion
                                          claire de la vie économique et de la
                                          vie politique a eu lieu dans
                                          l'évolution historique des temps
                                          récents, de sorte que je voudrais dire
                                          que dans cette région du monde, des
                                          instinct de peuple, notamment à partir
                                          de la population anglophone,
                                          j’aimerais dire, sur ce domaine de la
                                          terre est apparu comme élémentairement
                                          naturel avant toute chose une
                                          aspiration d’état sous les points de
                                          vue particuliers de la vie de
                                          l’économie. Tout ce qui était
                                          politique a été imprégné par
                                          l'économique. Les lois économiques
                                          sont devenues là des lois politiques.
                                          C'est ainsi que nous voyons la fusion
                                          de la vie politique et économique
                                          quand nous orientons le coup d’oeil
                                          vers l'Occident.
 D'une autre manière, nous voyons la
                                          fusion de la vie politique et de la
                                          vie de culture d'abord sous la forme
                                          de cultures de peuple nationalistes et
                                          leur vie de l’esprit sortant de ce
                                          nationalisme. En regardant vers l'Est,
                                          nous voyons la fusion de la vie de
                                          l’esprit avec la vie politique. Tout -
                                          ici, cela peut seulement être évoqué,
                                          comme le montre une étude approfondie
                                          des conditions européennes et
                                          américaines – tout montre que les
                                          substances explosives qui se sont
                                          progressivement accumulées entre
                                          l'Europe centrale et l'Occident
                                          peuvent seulement être comprises du
                                          conflit qui a surgi en Occident même
                                          entre la vie de l’économie et la vie
                                          de l’état, parce que la vie de
                                          l’économie et la vie de l’Etat, mais
                                          avec une prévalence particulière de la
                                          vie de l’économie, ont été fusionnées
                                          d’une manière chaotique. En Orient,
                                          les explosifs se stockaient par la
                                          fusion des cultures spirituelles
                                          particulières des communautés
                                          nationales avec la vie politique de
                                          l'État.
 
 
 
 Entre ce qui s'y accumulait, nous
                                          étions placés dans l’évolution des
                                          temps plus récents. Jusqu'à présent,
                                          nous avons manqué d’apprendre ce
                                          qu’est notre tâche dans cet être
                                          coincé entre l'Ouest et l'Est. La
                                          terrible catastrophe mondiale qui a
                                          émergé de ces deux impulsions que j'ai
                                          caractérisées devrait nous apprendre
                                          où nous avons à piloter, tout de suite
                                          en Europe centrale, qui devrait
                                          apprendre de l'Ouest et de l'Est. Elle
                                          devrait apprendre de l'Occident qu'en
                                          tant que voisin de cet Occident, elle
                                          aurait la tâche de particulariser et
                                          d’autonomiser vie de l’économie et vie
                                          politique d'État. De l'Orient, elle a
                                          à apprendre la distinction de la vie
                                          de l’esprit de - si nous regardons
                                          superficiellement nous le voyons aussi
                                          seulement dans la vie nationale – de
                                          la vie de l'Etat. D'énormes erreurs -
                                          il ne sert à rien de se fermer devant
                                          ce fait aujourd'hui – d’énormes
                                          erreursse sont accumulées dans la
                                          politique des États centraux, dans la
                                          politique désinvolte de ces États
                                          centraux, qui ont finalement abouti
                                          dans la nullité, parce que les hommes
                                          d'État n'ont pas été capables de voir,
                                          comme il est encore inoffensif en
                                          Occident aujourd'hui par certains
                                          instincts de peuple que la vie de
                                          l’économie a fusionné avec la vie
                                          politique et a la main haute en elle,
                                          mais comme elle a fourni/livré du
                                          matériel explosif sur du matériel
                                          explosif en Orient, que la vie
                                          spirituelle a fusionné avec la vie de
                                          l'état d'une manière inorganique. Ce
                                          sont des erreurs politiques énormes
                                          qu’on doit justement reconnaitre dans
                                          leur nécessité historique qui ont dû
                                          finalement se décharger dans cette
                                          catastrophe qui nous a apporté le
                                          désastre/malheur le plus terrible.
                                          Avait-t-on dans les derniers temps, et
                                          je pense déjà de longs derniers temps,
                                          oui, a-t’on en fait jusqu’à
                                          aujourd’hui la bonne volonté, de
                                          regarder ces circonstances/rapports
                                          d'une manière énergique ? Ne se
                                          trouve-t-il pas parmi nous, malgré la
                                          situation terrible d'aujourd'hui, de
                                          nombreuses personnalités qui,
                                          considèrent un coup d’œil sur les
                                          impulsions vraiment pratiques, comme
                                          de l’idéalisme dépourvu de valeur,
                                          parce que ces impulsions pratiques
                                          sont aujourd'hui de grands idéaux, et
                                          qui, à partir du confort et de la
                                          timidité de l'esprit, portent à de
                                          petits objectifs qu'ils appellent
                                          seuls pratiques, tandis qu’ils se
                                          tournent contre les grands objectifs
                                          qui sont nécessaires comme contre des
                                          impraticables/non pratiques. Ces gens,
                                          qui aujourd'hui rejettent les grands
                                          objectifs vraiment pratiques comme des
                                          idéalismes et aimeraient seulement
                                          regarder que le tout prochain, sont
                                          les mêmes ou les descendants de
                                          ceux-là mêmes qui ont amené l'humanité
                                          d'Europe centrale, l'humanité
                                          européenne en général, dans la
                                          situation actuelle et qui vont faire
                                          que les dégâts deviendront toujours
                                          plus grands. Quand ce n'est pas
                                          possible que la pratique de la vie
                                          réelle prenne la place de la
                                          soi-disant pratique de la vie des
                                          petits bougres et des philistins -
                                          aujourd'hui la situation doit être vue
                                          impartialement et honnêtement – ainsi
                                          ne viendra jamais ce qu’est le
                                          résultat d'une véritable politique
                                          étrangère, qui conduit aux impulsions
                                          de la tri-articulation de l'organisme
                                          social.
 
 Mais aujourd'hui, nous n’avons pas
                                          seulement à faire à une conséquence de
                                          la politique étrangère. Nous avons
                                          affaire à des forces d’évolution qui
                                          inondent encore à partir d’un tout
                                          autre côté et font des vagues dans
                                          l'humanité ! Ce à quoi nous sommes
                                          confrontés aujourd'hui peut être
                                          comparé à la migration des peuples et
                                          à la rencontre de cette migration des
                                          peuples au début du Moyen Âge avec le
                                          christianisme. A qui prend en compte
                                          les grandes impulsions du
                                          christianisme dans leur efficacité à
                                          travers le Moyen Âge et le nouvel âge
                                          actuel, doit en fait lui venir quel
                                          caractère les impulsions du
                                          christianisme on prises tout de suite
                                          chez les peuples dont on parle
                                          habituellement en considérant la
                                          migration des peuples et lesquelles
                                          ont été adoptées parmi les peuples
                                          plus au sud. Originaire d'Asie, le
                                          christianisme a d'abord touché les
                                          peuples très développés de Grèce et
                                          d'Italie, les intellectuels très
                                          développés de ces régions du sud de
                                          l'Europe. Ce n'est qu'alors qu'il
                                          envahit les terres des "barbares",
                                          comme les peuples du Sud appelaient
                                          ceux qui venaient à eux en tempête du
                                          Nord. Si l'on se crée un aperçu
                                          général de ces conditions/rapports,
                                          alors on trouve ce qu’en fait, ce par
                                          quoi le christianisme en tant que tel
                                          devint œuvrant mondialement ne s'est
                                          pas formé lorsqu'il est passé par les
                                          peuples du Sud, qui étaient au plus
                                          haut niveau mais qui étaient déjà en
                                          voie de déclin, mais qu'il a développé
                                          ses énormes impulsions dans les cœurs,
                                          dans les têtes de ces peuples qui
                                          avaient encore une intelligence non
                                          dépensée, un force inutilisée dans
                                          leur âme. C'était, j’aimerais dire, la
                                          migration horizontale des peuples avec
                                          ses particularités au début du Moyen
                                          Âge. Aujourd'hui, en ce que nous
                                          regardons le mouvement prolétarien,
                                          nous sommes devant à une migration
                                          verticale des peuples. Des profondeurs
                                          de la vie de culture aux courants
                                          dominants de la culture, coule ce qui
                                          peut être appelé le prolétariat. Mais
                                          ce que nous devons chercher comme
                                          nouvel élément de culture qui nous
                                          sauve, comme les grandes impulsions
                                          qui nous sortent des confusions, cela
                                          œuvre, j’aimerais, à partir de
                                          profondeurs grises de l'esprit, tout
                                          comme le Christianisme l'a fait un
                                          jour pour les peuples grecs et
                                          romains. Et nous voyons comment ce que
                                          l'avenir veut saisir pour une
                                          réorganisation du monde en relation
                                          spirituelle, étatique, économique, a
                                          besoin des intellects non utilisés,
                                          des âmes tranquille non utilisées de
                                          ces masses de peuples qui coulent de
                                          bas en haut dans la migration
                                          verticale actuelle des peuples,
                                          pendant, comme je l'ai déjà expliqué
                                          ici la dernière fois, dans les
                                          cerveaux usés/utilisés de ceux qui,
                                          comme les Grecs et les Romains de
                                          l'Antiquité, sont un jour/autrefois
                                          sur les hauteurs de la culture, chez
                                          les cercles dirigeants, guidants à
                                          peine quelque chose est à percevoir de
                                          ce feu dont nous avons besoin
                                          aujourd'hui pour trouver les moyens de
                                          sortir de la misère sociale et de
                                          réaliser des objectifs humains
                                          vraiment grands et pratiques. Le fait
                                          que de telles voies doivent être
                                          trouvées est surtout indiqué par ce
                                          qui s'est vécu comme une telle
                                          migration verticale des peuples au
                                          cours du développement/de l’évolution
                                          plus récente de l'humanité.
 
 La politique étrangère nous renvoie à
                                          la tri-articulation de l'organisme
                                          social. Que nous montrent les
                                          événements politiques intérieurs ? Ils
                                          nous montrent que ce sont précisément
                                          ces éléments du peuple qui portent de
                                          bas en haut l'intellect non
                                          utilisé/dépensé, les forces
                                          émotionnelles/d’âme tranquille 
                                          non dépensées de l'âme - aussi peu que
                                          beaucoup aujourd'hui veulent peut-être
                                          encore l'admettre, aussi peu que le
                                          prolétariat lui-même trouve déjà
                                          aujourd'hui les mots et les idées
                                          appropriés et correspondants pour
                                          certains phénomènes -, que ces
                                          éléments de peuple ressentent dans
                                          leur âme, ressentent aussi dans la
                                          détresse de leur corps, ressentent
                                          dans tout ce qui leur vient en
                                          vis-à-vis, on peut déjà dire depuis
                                          trois ou quatre siècles, mais en
                                          particulier au XIXe et au début du XXe
                                          siècle, de triple manière de la triple
                                          détresse de l'ordre social. Ils ont
                                          senti qu'ils devaient faire face à une
                                          vie de l’esprit avec laquelle ils ne
                                          ressentaient aucune autre
                                          communion/communauté que celle qui
                                          leur avait été caractérisée au cours
                                          du dernier demi-siècle, avec les
                                          paroles de Karl Marx sur la «
                                          plus-value »". C’est ce repose là au
                                          fond, par aucun chemin, tant d'un
                                          côté, le bourgeois, ni de l'autre, le
                                          prolétarien, n'a été pleinement
                                          compris. Les choses seront donc prises
                                          passablement extérieurement dans
                                          l'éducation plus récente. Ce repose à
                                          la base, c'est que la culture
                                          spirituelle des temps modernes dans
                                          son ensemble, tant vantée, tant
                                          prisée, pouvait seulement se
                                          développer dans toutes ses
                                          ramifications comme la culture de
                                          quelques-uns sur le sous-sol des
                                          privations à la culture du côté des
                                          grandes, larges masses. Non comme si
                                          absolument les classes dirigeantes
                                          jusqu’à présent avaient apporté la
                                          misère et la détresse aux masses
                                          prolétariennes par une mauvaise
                                          volonté, par une diablerie. Non, ils
                                          les ont apportés - j'ai essayé de le
                                          montrer lundi dernier - par
                                          ignorance/non raison analytique, par
                                          incompréhension/manque de
                                          compréhension vis-à-vis de ces tâches
                                          qui se sont donné selon l'histoire du
                                          monde par ce que des masses de la
                                          nouvelle migration verticale des
                                          peuples, toujours de plus en plus
                                          larges, étaient saisies par la lutte
                                          pour/l’aspiration à une vie de
                                          l’esprit dont ils étaient privés par
                                          elles. Mais ainsi c’était une fois, et
                                          c'est l'essentiel, que ce que nous
                                          avons fourni d'art, oui, de science,
                                          d'éducation dans la vie de l’esprit,
                                          d'un côté, pouvait seulement être pour
                                          peu et que cela devait être élaboré
                                          sous les privations de beaucoup. Cette
                                          forme particulière de vie de l’esprit
                                          ne pouvait être là sans créer un abîme
                                          entre les privilégiés et les
                                          défavorisés. C'est ce qu'ont ressenti
                                          la large masse qui s'efforçaient de
                                          s'élever vis-à-vis du membre principal
                                          de la vie humaine, vis-à-vis de la vie
                                          de l’esprit.
 06330142143198303051919  
                                          Vis-à-vis de la vie d’État ou
                                          politique ou de droit elle éprouva
                                          tout de suite dans son ascension de
                                          plus en plus qu’il y a quelque chose
                                          pour la nature humaine qui est une
                                          même chose/un égal pour tous les
                                          humains. Cette même chose/cet égal on
                                          ne peut pas développer en une quelque
                                          théorie, c’est simplement disponible
                                          dans les expériences de chaque âme
                                          saine. Comme on ne peut pas parler à
                                          un humain aveugle sur une couleur bleu
                                          ou rouge, ainsi on ne peut pas parler
                                          avec une âme non développée sainement
                                          sur ce qui vit dans chaque âme saine
                                          comme la conscience du droit, cette
                                          conscience du droit, laquelle fait
                                          l’humain égal vis-à-vis de tous les
                                          autres humains sur le deuxième domaine
                                          de la vie sociale, la vie de l’État.
                                          Mais ce sentiment, qui dans les vieux
                                          contextes patriarcaux, aussi encore
                                          dans les contextes du Moyen-âge, fut
                                          encore contenu dans les larges masses,
                                          ce sentiment de droits égaux, il
                                          survint toujours plus intensivement
                                          dans les derniers siècles et en
                                          particulier dans l’évolution
                                          prolétarienne des dix-neuvième et
                                          vingtième siècles. Les classes guides,
                                          dirigeantes ne purent autrement que
                                          d’appeler les larges masses à la
                                          démocratie. Elles avaient besoin de
                                          cela pour leurs intérêts. Elles
                                          avaient besoin d’un prolétariat
                                          toujours de plus en plus formé dans
                                          une mesure scolaire. Mais on ne peut
                                          pas former l’un dans l’âme sans former
                                          l’autre avec. En ce que les classes
                                          régnantes, dirigeantes ont fait du
                                          prolétariat un travailleur instruit
                                          pour les exécutions compliquées dans
                                          leurs fabriques et pour d’autres
                                          choses, elles durent, parce que l’un
                                          n’est pas possible sans l’autre, par
                                          ce que l’autre se développe de
                                          lui-même, admettre en même temps que
                                          dans le prolétariat cette conscience
                                          du droit émergea, que chaque âme
                                          humaine venue à elle-même est
                                          particulière. Mais cette conscience du
                                          droit se développa chez le prolétaire
                                          tout autrement que dans les
                                          jusqu'alors cercles guides, dirigeants
                                          de l’humanité. Dans les jusqu’alors
                                          cercles guides, dirigeants de
                                          l’humanité, les sentiments de droit se
                                          développèrent aux cercles d’intérêts,
                                          dedans lesquels ces classes depuis
                                          longtemps étaient nées. Le prolétaire
                                          ne fut pas, en ce qu’il fut placé à la
                                          machine, en ce qu’il fut attelé dans
                                          le capitalisme sclérosant/désertifiant
                                          l’âme, armé avec de tels intérêts. Ces
                                          relations, qui partout existent entre
                                          ce que les classes dirigeantes
                                          représentaient, et ce qu’elle
                                          ressentaient/éprouvaient comme leur
                                          humanité, ces rapports/pendants
                                          d’intérêts il n’y avait pas pour le
                                          prolétaire. Je ne le pense vraiment
                                          pas humoristiquement quand je dis :
                                          pour le membre des classes
                                          dirigeantes, aimerait du contexte
                                          social dans lequel il était placé,
                                          être issu quelque chose d’une
                                          conscience intérieure d’humanité qui
                                          lui donnait une certaine conscience
                                          du/de droit, quand, disons maintenant,
                                          il pouvait écrire sur sa carte de
                                          visite « prossesseur de fabrique » et
                                          du même, ou aussi « lieutenant de
                                          réserve ». Mais pour le prolétaire il
                                          n’y avait pas un tel contexte/pendant
                                          d’intérêt entre la machine
                                          sclérosant/désertifiant l’âme et son
                                          humain, et rien, entre l’être attelé
                                          dans le capitalisme et à nouveau, son
                                          humain. Le prolétaire était placé sur
                                          son pur droit de l’humain, et en ce
                                          qu’il regardait sur les autres, il
                                          voyait à la place de droit de l’humain
                                          universel des avantages de classe, des
                                          privilèges de classe et des préjudices
                                          de classe. C'était la deuxième
                                          expérience, l'expérience dans le
                                          domaine de la vie de l'État.
 
 
 Et la troisième expérience se donna
                                          pour le prolétariat dans le domaine de
                                          la vie de l’économie. Là, il a vu
                                          comment sa force de travail était
                                          traité exactement comme une
                                          marchandise dans le rapport de salaire
                                          par les cercles dirigeants, guidants.
                                          Cela a ensuite profondément,
                                          profondément frappé  les
                                          sentiments du prolétariat moderne.
                                          Cela a créé une conscience qui ne
                                          s'exprimait peut-être pas très
                                          clairement dans la tête, mais qui
                                          s'établissait de plus en plus
                                          profondément et intensément dans les
                                          cœurs des prolétaires conscients de
                                          leur humanité : Dans l'Antiquité, il y
                                          avait des esclaves, tout l'homme
                                          pouvait être vendu et acheté comme une
                                          chose ; plus tard, il y eu le servage,
                                          moins d'homme pouvait être acheté et
                                          vendu, mais encore assez ; aujourd'hui
                                          il y a encore l'achat et la vente du
                                          travail humain pour celui qui ne
                                          possède que ce travail. Cette force de
                                          travail, il faut l'accompagner en la
                                          vendant, on ne peut pas la porter
                                          comme un objet sur le marché et
                                          retourner après l'avoir vendue, il
                                          faut s'abandonner à celui qui achète
                                          la force de travail. La troisième
                                          expérience du prolétariat moderne fut
                                          l'attelage de la force de travail dans
                                          le cycle économique. Ainsi, dans ce
                                          qui s’est formé comme ordre social
                                          étatique, le prolétaire se
                                          trouva  amalgamé l’un avec
                                          l’autre dans ce que nous avions
                                          justement trouvé amalgamé auparavant
                                          dans la politique étrangère ; dans
                                          l'Etat moderne, il trouva amalgamé la
                                          vie de l’esprit, la vie étatique de
                                          droit et la vie de l’économie. De même
                                          que l'amalgame des grands
                                          impérialismes a conduit aux explosions
                                          de la guerre mondiale, de même ce qui
                                          va de bas en haut, ce qui sera vécu
                                          triplement dans la vie intellectuelle,
                                          dans la vie de droit ou de l’état et
                                          dans la vie de l’économie, a conduit à
                                          une explosion sociale. Les deux vont
                                          ensemble. L'ancien ordre a explosé
                                          dans la catastrophe de la guerre
                                          mondiale des empires dans lesquels le
                                          capitalisme moderne s'est vu
                                          transformé dans les grandes
                                          entreprises, sans qu’il le sache
                                          correctement. Les grandes entreprises
                                          sont devenues l'impérialisme, et le
                                          choc des impérialismes a donné lieu à
                                          la catastrophe de la guerre mondiale.
                                          Ce qui s'est déplacé verticalement, de
                                          bas en haut, contient les mêmes
                                          impulsions. Cela ne mène que dans une
                                          direction différente à cette misère
                                          sociale qui était une misère sociale
                                          mondiale dans les circonstances des
                                          nouveaux empires, qui soit, comme en
                                          Occident, sont devenus des empires
                                          d'intérêt, soit, comme en Orient, des
                                          fusions d'empires d'État avec des
                                          empires nationaux. La fusion des trois
                                          domaines de la vie a conduit à
                                          l'explosion de la guerre mondiale et à
                                          une détresse sociale du plus grand
                                          style, car cette soi-disant guerre
                                          mondiale est quelque chose de
                                          différent des guerres précédentes.
                                          C'est le fait de vivre de l'ancien
                                          ordre d'une manière terrible. Voyons
                                          comment un nouveau veut commencer, de
                                          bas en haut. Ne manquons pas de voir
                                          quelles impulsions veulent être
                                          différentes pour le développement
                                          futur de l'humanité de celles qui ont
                                          été celles qui se sont développées de
                                          l'ancien ordre économique aux
                                          impérialismes du monde et ont ainsi
                                          conduit aux horreurs les plus
                                          terribles de ces derniers temps. Ainsi
                                          parlent les signes des temps
                                          d'aujourd'hui. Ainsi l'humain
                                          d'aujourd'hui doit savoir se placer à
                                          ces signes des temps. Ne l'avons-nous
                                          pas vécu que tout de suite en Europe
                                          centrale, s’est montré, comment les
                                          humains ont progressivement perdu un
                                          jugement vraiment sain sur la vie de
                                          l’esprit, sur la vie de l’économie,
                                          sur la vie politique, à cause de la
                                          fusion contre nature, impossible et
                                          progressive des trois domaines ?
 
 
 Je vous demande si, sans me laisser
                                          aller à une critique des rapports, je
                                          vous demande si les événements, si les
                                          faits de la dernière évolution humaine
                                          - nous voulons seulement les examiner
                                          maintenant en référence à l'Europe -
                                          ne sont pas tout de suite survenus
                                          sous l'influence de la fusion, par
                                          exemple, de la politique et de la vie
                                          de l’économie ? Le monde entier a crié
                                          - je ne veux pas m’impliqué dans une
                                          critique de ces cris, bien sûr, ce ne
                                          sont pas purement des agneaux là-bas
                                          et purement des loups là-bas - mais le
                                          monde entier a crié sur la percée par
                                          la Belgique au début de la guerre.
                                          Cette percée, par quoi pouvait-elle
                                          seulement venir en l’état ? Cela a
                                          seulement pu venir en l’état que les
                                          chemins de fer stratégiques ont été
                                          construits vers là-bas. Ils n'auraient
                                          pas été là si les forces économiques
                                          sur le territoire allemand avaient été
                                          séparées des forces politiques.
                                          Regardez la carte de l'Europe,
                                          regardez un grand nombre de réseaux
                                          ferroviaires, puis étudiez à partir
                                          d'une science industrielle saine - que
                                          nous n'avons même pas encore - si ces
                                          institutions purement économiques, les
                                          chemins de fer, seraient telles
                                          qu'elles sont - même en pays neutre,
                                          vous pouvez faire ces études - si
                                          elles servent simplement la vie
                                          économique et se développent à partir
                                          de celle-ci. Ou ne nous vient-il pas
                                          quand nous regardons les relations
                                          entre la vie économique et la vie
                                          politique, tout de suite
                                          progressivement de l'Europe centrale,
                                          parce que de plus en plus l'empire a
                                          fondu avec les conditions économiques,
                                          est devenu, même ici aussi selon le
                                          modèle occidental, de plus en plus une
                                          grande maison de commerce? Ne nous
                                          vient-il pas frappés par le fait que
                                          l'éducation politique disparaît de
                                          plus en plus ? Pensez une fois aux
                                          sommes colossales d'intelligence, aux
                                          sommes colossales de prudence qui ont
                                          été dirigées dans la pure vie des
                                          affaires, dans la vie de l’économie,
                                          pendant que les peuples d'Europe
                                          centrale, surtout ces derniers temps,
                                          sont devenues toujours plus
                                          apolitiques, même contre leur
                                          apolitique des siècles passés. Nous
                                          nous sommes dépolitisés en fusionnant
                                          la politique avec la vie de
                                          l’économie.
 
 
 Et enfin, toujours de plus en plus,
                                          nous sommes entrés dans une dépendance
                                          complète de toute vie de l’esprit de
                                          la vie de l'Etat. Ici aussi, on doit
                                          indiqué toujours de nouveau à quel
                                          point non seulement l'occupation des
                                          postes et l'administration des écoles
                                          sont devenues dépendantes de la vie
                                          moderne de l’Etat, mais aussi le
                                          contenu de la vie de l’esprit
                                          elle-même, le contenu de l'art, le
                                          contenu de la science. Les gens ne
                                          remarquent pas encore cela
                                          aujourd’hui, et c'est donc tout de
                                          suite dans ce domaine que les préjugés
                                          les plus terribles surgissent quand
                                          sera parti sur ce dont il s’agit. Et
                                          il s’agit aujourd'hui que nous
                                          prenions notre essor vers une saine
                                          séparation de la vie économique de la
                                          vie étatique ou politique ou
                                          juridique, d'un côté, et à nouveau
                                          vers une séparation de l’ensemble de
                                          la vie de l’esprit de la vie de
                                          l’État, de l'autre côté.
 L'appel à la socialisation passe
                                          maintenant par notre vie de
                                          l’économie. Il provient, aimerait-on
                                          dire, de la migration verticale des
                                          peuples qui a été évoquée auparavant,
                                          comme une devise d'histoire du monde.
                                          Et aussi peu qu'il y ait à voir une
                                          compréhension pour la véritable
                                          socialisation, même si elle est aussi
                                          seulement quelque peu suffisante, nous
                                          devons néanmoins dire que si nous
                                          regardons la vie sociale sans parti
                                          pris : ainsi peu/non clair aussi
                                          qu’aimerai être pensé sur la chose,
                                          quelque chose d'histoire du monde
                                          s’exprime dans l'appel à la
                                          socialisation. Peut-être le
                                          voyons-nous le mieux parce que, tout
                                          de suite à partir des terribles
                                          expériences économiques de la guerre,
                                          même des penseurs capitalistes ne
                                          pouvaient éviter de parler de la
                                          nécessité de la socialisation de
                                          l'économie. Cette nécessité de la
                                          socialisation de l'économie, par
                                          exemple, est énergiquement soulignée
                                          par un homme qui pense sinon sur des
                                          voies entièrement capitalistes,
                                          Walther Rathenau. Oui, avec ce que
                                          pense l'« appel », on peut même
                                          trouver dans de nombreux points de
                                          contact avec ce que Walther Rathenau,
                                          par exemple, expose dans son livret «
                                          La nouvelle économie ». Mais comme
                                          nous le verrons bientôt, pour celui
                                          qui comprend vraiment les impulsions
                                          de la tri-articulation de l'organisme
                                          social, il y a pour lui une différence
                                          radicale, une différence fondamentale
                                          dans la socialisation de l'économique
                                          entre ce qui doit être exigé sur le
                                          terrain de cette tri-articulation
                                          comme telle et les façons de voir de
                                          Rathenau. Et dans cette différence
                                          fondamentale, nous voyons ce qui est
                                          le plus nécessaire dans les
                                          aspirations sociales du présent.
 
 
 Par quoi les humains sont-ils en fait
                                          entrés dans l'idée de socialisation,
                                          dans les exigences de socialisation
                                          sur le domaine économique ? Pendant
                                          longtemps, on a vu un idéal humain
                                          dans ce qu'on a appelé le libre jeu
                                          des forces économiques. Une grande
                                          partie de ce que l'on peut appeler la
                                          forme moderne d'économie capitaliste
                                          privée, cela est apparu comme résultat
                                          du libre jeu des forces économiques,
                                          de la libre concurrence des
                                          personnalités et des groupes faisant
                                          l’économie. Mais alors, au cours de ce
                                          développement de la forme de
                                          l’économie qui s'était développée sous
                                          l'influence de la technique moderne,
                                          sous l'influence du capitalisme
                                          moderne et sous l'influence du libre
                                          jeu des forces économiques, là s’est
                                          montré que la majorité prolétarienne,
                                          devenue porteuse des trois grandes
                                          revendications que je venais de
                                          caractériser, était justement de plus
                                          en plus séparée d'une minorité
                                          humaine. C'est ainsi que du
                                          prolétariat est né l'appel légitime à
                                          la socialisation, ce qui est à
                                          l'opposé du pur jeu des forces dans le
                                          domaine de la vie de l’économie. Ce
                                          qui, selon les pensées des
                                          personnalités dirigeantes du
                                          prolétariat, doit désormais se
                                          développer dans la vie de l’économie,
                                          devrait être l'organisation à travers
                                          de toute la vie de l’économie. Et nous
                                          voyons donc, comme sur certains
                                          domaines, mais à l'horreur et au
                                          dégoût de beaucoup, ce qu'est une
                                          organisation aussi
                                          énergique.<<<< Pour le
                                          vieux jeu libre des forces, le beau
                                          dicton du salut du trône et de l'autel
                                          a été trouvé comme un écho des ordres
                                          d’économies et d'état antérieurs.
                                          Maintenant, après la catastrophe de la
                                          guerre mondiale, l'appel et
                                          l'enthousiasme pour le trône et
                                          l'autel seront abandonnés, mais nous
                                          voyons quelque chose qui se cache, qui
                                          s’ouvre vis-à-vis de l'ancien trône et
                                          l'autel. Non seulement les classes
                                          dominantes jusqu'à présent, aussi déjà
                                          les couches les plus larges du
                                          prolétariat vraiment rationnels
                                          synthétiquement, pensant, éprouvent
                                          quelque chose d'effrayant à propos de
                                          la question : comment cela va-t-il se
                                          passer, si le comptoir et la machine
                                          prennent la place du trône et de
                                          l'autel, cela va-t-il devenir meilleur
                                          pour nous ? Les dictateurs qui se sont
                                          développés sous l'influence du trône
                                          et de l'autel ne pourraient-ils pas se
                                          développer dans les circonstances
                                          parmi ceux qui travaillent dans les
                                          usines et les comptoirs ? Il s'agit
                                          d'une question pertinente, mais aussi
                                          d'une question dont la réponse saine
                                          doit permettre de sortir de la misère
                                          sociale pour conduire à des objectifs
                                          vraiment pratiques. Dans un sens, je
                                          parle encore d'une manière très
                                          abstraite, mais dans cette pensée, que
                                          je veux exprimer, il y a quelque chose
                                          qui peut être appliqué en pratique
                                          dans tous les domaines de la vie de
                                          l’économie, si seulement une fois que
                                          tous les membres de la vie de
                                          l’économie étaient appelés à régler
                                          ces affaires. Mais de telle sorte que
                                          la confiance peut régner entre tous
                                          ces membres de la vie de l’économie.
 
 
 
 Parlons sur ce sol une fois une parole
                                          ouverte, honnête. Ce fut une grande
                                          expérience pour moi de vivre les
                                          journées ici à Stuttgart avec les
                                          conférences devant de nombreuses
                                          assemblées prolétariennes. J'ai à
                                          peine parlé aux prolétaires, seulement
                                          autrement sous la forme tout au plus,
                                          que je parle ici. Il s'est avéré que
                                          j'ai été compris en Suisse et ici dans
                                          les cercles les plus larges du
                                          prolétariat. Et qu'est-ce que cela m'a
                                          appris ? Cela m'a appris que c'est
                                          seulement possible d’aller plus loin,
                                          que ce soit avec la socialisation, que
                                          ce soit avec d'autres exigences
                                          sociales du présent, que si nous
                                          travaillons avec la confiance de
                                          l'humanité. Que nous allons plu loin
                                          seulement lorsque nous travaillons
                                          avec les humains, lorsque nous nous
                                          mettons en accord avec sa volonté,
                                          lorsque nous nous abstenons de
                                          chercher le salut seulement en donnant
                                          des décrets venant d'en haut à partir
                                          d’une raison analytique apparemment
                                          supérieure. Aujourd'hui, nous pouvons
                                          seulement éviter les dictatures si
                                          nous trouvons ces mots qui, lorsque
                                          l'individu les prononce, sont exprimés
                                          par le cœur, à partir des sentiments
                                          des masses les plus larges, tout de
                                          suite de  la population
                                          travaillant. C'est ce que je voulais
                                          dire d'avance. Cela indique sur ce
                                          que, qu’elles aimeraient s'appeler
                                          d'une manière ou d'une autre, les
                                          questions sociales qui sont
                                          immédiatement urgentes, ne peuvent pas
                                          être résolues dans de petits cercles,
                                          qu'elles doivent être résolues sur la
                                          base large des usines, des ateliers, à
                                          partir des humains, non à partir des
                                          théories socialistes.
 Une des premières exigences, quand on
                                          compte avec cet humain, est pour la
                                          vie de l’économie celle qui découle
                                          des durs, des terribles événements de
                                          la catastrophe de la guerre mondiale,
                                          c'est-à-dire de ce qui est devenu la
                                          catastrophe de la guerre mondiale que
                                          de cela soit appris comment la
                                          socialisation a à se dérouler. Nous
                                          devons apprendre que tout doit être
                                          une catastrophe, ce qui depuis peu
                                          conduit à une telle socialisation, qui
                                          a récemment mélangé la vie d'État ou
                                          la vie juridique avec la vie
                                          économique.
 Toujours de nouveau je dois indiquer
                                          sur cet amalgame contre nature de la
                                          vie économique avec la vie étatique ou
                                          de droit, telle qu'elle s'est
                                          développée en Autriche dans le dernier
                                          tiers du XIXe siècle. Le fait que
                                          l'Autriche soit tombée dans un tel
                                          état de délabrement, qu'elle était
                                          mûre pour la décadence bien avant la
                                          catastrophe de la guerre mondiale, la
                                          faute est dûe à ce que tout de suite
                                          sur cette terre chaude on n'a pas
                                          compris à quel point ce devait être
                                          destructeur lorsque dans la montée de
                                          la vie la plus récente de la
                                          constitution de l'État de droit a été
                                          formée à partir de la curie
                                          économique. Ce n'est que par la
                                          coercition/contrainte, plus tard, mais
                                          beaucoup trop tard, que l'on est passé
                                          à quelque chose de différent de ce qui
                                          avait été tenté dans les années
                                          soixante. Le soi-disant Conseil
                                          impérial a été formé de quatre curies
                                          économiques : Grands propriétaires
                                          fonciers ; chambres de commerce ;
                                          villes, marchés et sites industriels ;
                                          communautés rurales. Sur le territoire
                                          de l'Etat, où la loi devait voir le
                                          jour, on faisait valoir des intérêts
                                          purement économiques. Les intérêts
                                          économiques se sont transformés en
                                          droits ! Et quiconque a étudié le
                                          développement/l’évolution de l'État,
                                          que l’on a appelée la fabrication de
                                          saucisses dans le dernier tiers du
                                          XIXe siècle sous le ministère de
                                          Taaffe, qui a bien étudié le
                                          développement politique de l'Autriche,
                                          sait quels germes de malheur se
                                          trouvent dans le fait que dans ces
                                          territoires, fondés sur les
                                          nationalités les plus diverses, on ne
                                          trouvait pas l'impulsion de développer
                                          séparément pour soi la vie de droit et
                                          de développer, séparé pour lui-même,
                                          la vie de l’économie. Je devrais
                                          parler beaucoup - et je pourrais
                                          parler beaucoup traversant tous les
                                          parlements de tous les États actuels -
                                          si je voulais montrer en détail
                                          comment, partout, l'impossibilité de
                                          fusionner la vie politique, étatique
                                          ou de droit avec la vie de l’économie
                                          est devenue de plus en plus grande.
                                          Dorénavant, ce doit être la première
                                          condition de séparer à nouveau cette
                                          vie économique de la vie étatique.
                                          Alors, avec l'utilisation de toutes
                                          les forces humaines actives dans la
                                          vie de l’économie, avec confiance en
                                          elles, nous pouvons avancer vers une
                                          socialisation adéquate, qui consistera
                                          - je l'ai expliqué dans mon livre et
                                          l'ai également indiqué ailleurs - dans
                                          la formation d'associations d'abord
                                          selon les professions, puis selon les
                                          contextes, coalitions, coopératives,
                                          qui se forment de l’effort à
                                          l'harmonisation des conditions dans la
                                          consommation et la production. C'est
                                          seulement sur cette base qu'une
                                          socialisation saine peut se donner.
                                          Elle se donnera si l'on voit à la fois
                                          les dommages causés par le libre jeu
                                          des forces qu’aussi les dommages
                                          causés par la socialisation mécanique
                                          - les deux préjugés se sont donnés
                                          pour les humains - et ce n'est que si
                                          l'on apprend des choses qui se sont
                                          montrées dans l'histoire mondiale, de
                                          telle sorte que l'on socialise à
                                          partir du libre jeu des forces, de la
                                          façon que la socialisation ne naisse
                                          pas par la suppression du libre jeu
                                          des forces, mais tout de suite par la
                                          compréhension de ce libre jeu des
                                          forces humaines. Vous pouvez seulement
                                          cela si vous répandez la confiance,
                                          mais alors vous le pouvez ! Ainsi à
                                          peu près, on aimerait dire, un certain
                                          mot de Gretchen parlant à Faust, ainsi
                                          à peu près pense aussi Walther
                                          Rathenau, mais la tri-articulation de
                                          l'organisme social pense encore
                                          quelque chose de substantiellement
                                          autre.
 
 
 
 Voyez-vous, c'est pourquoi le
                                          projet de socialisation de Walther
                                          Rathenau est quelque chose de très
                                          différent de la socialisation qui
                                          devait être proposée par la
                                          tri-articulation, parce que Walther
                                          Rathenau ne peut rien du tout se
                                          représenter d’autre que ce que cette
                                          socialisation aille de soi et
                                          quand-même continue la supervision
                                          étatique, et que l'État retire
                                          continuellement les profits des
                                          entreprises socialisées.
 
 Cela témoigne seulement qu'un humain
                                          qui aurait pu finalement apprendre de
                                          la pratique reste quand même
                                          biaisée/inhibé dans une théorie
                                          aveugle. Cela témoigner seulement à
                                          quel point les pensées qui se sont
                                          formées au cours du développement du
                                          nouveau capitalisme continuent d'avoir
                                          un effet, même parmi ceux qui luttent
                                          pour la socialisation, sur la
                                          nécessité de résister aux préjugés
                                          dans ce domaine avec toute la force
                                          d'une compréhension pratique et libre
                                          des circonstances. Tout ce qui devrait
                                          s'appliquer à l'ordre de la vie
                                          économique, à de la raison
                                          synthétique, de la raison analytique,
                                          de la moralité parcourant la vie de
                                          l’économie, doit venir des
                                          personnalités et des organismes
                                          indépendants qui gouvernent la vie de
                                          l’économie elle-même. La vie
                                          économique sera développée sainement
                                          seulement lorsque l'Etat n'a rien
                                          d'autre à dire dans la vie de l’
                                          économie que ce qu'il doit dire à
                                          travers les personnalités qui
                                          participent à la vie économique, en
                                          tant que personnes ayant des droits.
                                          Évidemment, quand l'un trompe l’autre
                                          dans le domaine de la vie de
                                          l’économie, alors il est soumis à la
                                          loi de l'État. Il est soumis à la loi
                                          de l'État en tant que personnalité.
                                          Mais ce que sont ses fonctions, ce
                                          qu’est son efficacité dans la vie de
                                          l’économie, doit être basé à
                                          l'intérieur de la société économique
                                          sur le pur contrat, sur la pure
                                          confiance. Cela aimerait-il
                                          rencontrer, même du côté
                                          socialiste,  de nombreux préjugés
                                          aujourd'hui encore; qui ne juge pas
                                          d'après des concepts, des idées, mais
                                          de cette expérience qui a conduit les
                                          dernières décennies de l'économie
                                          européenne à la chute économique dans
                                          la guerre, le dira. Et il doit dire
                                          que nous ne parviendrons pas à des
                                          conditions économiques saines tant que
                                          la vie économique ne sera pas séparée
                                          de la vie de l'État. Nous sommes
                                          entrés dans la situation actuelle par
                                          l’amalgame de ce qui doit être basé
                                          sur la confiance et le contrat avec
                                          l'étatique, qui doit seul être basé
                                          sur des lois. Les lois de l'État on
                                          seulement la permission de briller
                                          dans la vie de l’économie aussi loin
                                          qu’ elles brillent à travers les
                                          personnalités. C'est seulement ainsi
                                          que nous amenons à faire sortir de la
                                          vie de l’économie ce qui doit en être
                                          sorti, ce qui, en tant que force de
                                          travail comme marchandise, est
                                          aujourd'hui
                                          illégalement/illégitimement attelé
                                          dans le cycle de l’économie pour le
                                          sentiment prolétarien.
 
 
 D'un côté, la vie de l’économie jouxte
                                          les conditions naturelles. Pensez à
                                          l'absurdité suivante : il s'agirait
                                          d'un consortium économique, il
                                          déterminerait son bilan, le bilan
                                          probable pour 1919 ; et ce consortium
                                          ferait le bilan de 1918 et voudrait
                                          ensuite déterminer à partir des actifs
                                          et des passifs combien de jours de
                                          pluie, par exemple, à l'été 1919, pour
                                          qu'un cycle économique souhaitable
                                          émerge l'année suivante. Bien sûr que
                                          c'est n'importe quoi, n'est-ce pas ?
                                          Mais je dis ces absurdités pour la
                                          seule raison qu'il faut en déduire
                                          que, d'une part, la vie économique est
                                          basée sur des conditions naturelles
                                          que nous ne pouvons pas réguler
                                          complètement à partir de cette vie de
                                          l’économie. Nous pouvons faire
                                          certaines choses avec des
                                          installations techniques, mais nous ne
                                          pouvons pas les réglementer
                                          complètement à partir de la pure
                                          vie  de l’économie. Tout comme la
                                          vie économique, d'un côté, jouxte à la
                                          vie de la nature, la vie de l’économie
                                          doit à l'avenir jouxter à la vie de
                                          droit de l'État, et dans la vie de
                                          droit de l'État, tout ce qui est
                                          soumis à la vie de droit doit être
                                          réglementé, qui justement est soumis à
                                          la vie de droit,  avant toutes
                                          choses, la force humaine de travail.
                                          Pour le cycle de l’économie, la
                                          régulation du travail humain du
                                          travailleur doit reposer en dehors de
                                          ce processus de l’économie. Tout comme
                                          la force de la nature sous la terre
                                          fait mûrir le grain, le blé en dehors
                                          du processus économique, de même la
                                          réglementation de la mesure, du temps
                                          et de la façon du travail du
                                          travailleur doit reposer en dehors du
                                          processus de l’économie. Rien n’a la
                                          permission doit être déterminé à
                                          partir de la conjoncture économique,
                                          rien n’a la permission d’ être
                                          déterminé à partir des conditions
                                          préalables et des forces économiques
                                          en rapport à la mesure et à la façon
                                          de la force humaine de travail. En
                                          rapport à la force de travail,
                                          l'humain est confronté à l'humain tout
                                          à fait différemment qu'en ce qui
                                          concerne la satisfaction des besoins
                                          humains, qui sont satisfaits par le
                                          cycle de l’économie par la production
                                          de marchandises, la circulation de
                                          marchandises et la consommation de
                                          marchandises. La force de travail doit
                                          être retirée de cette circulation du
                                          produire et régulée dans la vie 
                                          purement démocratique de l'État, dans
                                          l'État séparé émancipé de la vie de
                                          l’économie. Ainsi, le processus de
                                          l’économie est sainement coincé entre
                                          la nature, d'un côté, et la vie de
                                          droit de l'État, de l'autre côté.
 
 05330153153198303051919   
                                          Tout cela devra être établit dans
                                          l’esprit de la tri-articulation. Cela
                                          peut seulement arriver parce que sur
                                          le sol de la vie de l’État ne se
                                          développe pas ce qui peut se
                                          développer dans le se tenir dedans la
                                          vie économique d’humain à humain, mais
                                          que sur le sol de la vie de l’État se
                                          tienne seulement tout ce qui se
                                          rapporte au rapport d’humain
                                          individuel à humain individuel, ce en
                                          quoi chaque humain individuel est égal
                                          à chaque humain individuel. Sur le sol
                                          de cette vie de l’État n’a par
                                          conséquent aucun gain à régner, qui
                                          provienne d’un consortium d’humain,
                                          d’un groupe économique, d’une
                                          communauté économique. Ce qui est
                                          gagné sur sol économique doit aussi à
                                          nouveau couler dans la vie économique
                                          des humains pour l’élévation de leur
                                          état/niveau de vie.
 Ce qui coule à l’État, appelons-le
                                          impôt ou bien comme toujours, cela n’a
                                          la permission, si je devais m’exprimer
                                          clairement, de venir seulement du
                                          portemonnaie de l’unique humain
                                          individuel. Face à l’État peut
                                          seulement se tenir  l’humain
                                          individuel ; alors sur le sol de
                                          l’État se tient seulement l’être
                                          humain individuel vis-à-vis de
                                          l’humain individuel. Alors des droits
                                          d’humanité prospèrent vraiment sur le
                                          sol de l’État.
 Alors, la question sociale se résoud,
                                          aussi loin qu’elle est une question de
                                          travail, par l'émancipation de la vie
                                          de l’Etat de la vie de l’économie,
                                          dans laquelle la contrainte ne peut
                                          plus régner, par laquelle la force de
                                          travail dans le libre jeu des forces
                                          lui-même devient un objet de ce libre
                                          jeu des forces. Le travailleur doit
                                          avoir sa force de travail régulée
                                          avant qu’il entre dans l'atelier,
                                          avant d'entrer dans l'usine, avant
                                          d'entrer dans le processus économique.
                                          Alors il entre en tant que
                                          personnalité libre, dont la liberté
                                          est garantie par la loi de l'État sur
                                          les travailleurs, face au chef du
                                          travail ; alors seulement un rapport
                                          sain se développe.
 
 Ici, nous nous tenons sur un sol de
                                          socialisation vraiment pratique. Celui
                                          qui voit à travers les rapports de ce
                                          sol sait que d'autres conditions
                                          préalables, on peut faire sans fin des
                                          lois cadres de socialisation. On peut
                                          les faire aujourd'hui, après deux ans,
                                          trouver inutile, réformer, après cinq
                                          ans, de nouveau inutile, réformer, et
                                          ainsi de suite. On ne parviendra pas à
                                          un contexte sain, salutaire avant
                                          qu’on prenne son essor à saisir 
                                          la pratique à un tel point comme est
                                          celui que je viens justement
                                          d’indiquer. C'est tout de suite le
                                          caractéristique dans l’évolution du
                                          temps récent, que cette 
                                          évolution réponde à quantité pour la
                                          pensée humaine, aux habitudes humaines
                                          de penser à la surface des choses. Et
                                          maintenant, où nous sommes placés à
                                          des faits qui transforment le monde,
                                          nous voyons malheureusement dans tant
                                          de cas, malheureusement,
                                          l'inadéquation des anciens jugements
                                          de parti devaient construire, et qui
                                          se comportent souvent dans la
                                          construction non pas comme des
                                          jugements qui interviennent dans la
                                          réalité, mais comme des momies de
                                          jugement qui sont mortes sous la
                                          rigidité de parti, sous la
                                          philistrosité de parti des temps
                                          récents. C'est pourquoi, on peut dire
                                          qu'aujourd'hui, où les choses
                                          devraient être vues de manière
                                          vivante, directe, honnête et sincère,
                                          les choses les plus importantes sont
                                          ainsi vues de travers. Il est
                                          compréhensible que même ceux qui ont
                                          vu le capitalisme moderne dans sa
                                          montée en puissance aient aujourd'hui
                                          le point de vue: Tout ce capitalisme
                                          privé doit partir, la propriété
                                          commune dans tous les moyens de
                                          production doit arriver. - Il est
                                          compréhensible que ce jugement, qui
                                          s'est formé au fil des décennies,
                                          j’aimerais dire, à partir d’âmes qui
                                          saignent, par la misère et le besoin,
                                          puisse difficilement être rejeté.
                                          Néanmoins, une question plus profonde
                                          devra émerger - nous ne pouvons pas
                                          nous passer des accumulations de
                                          capital dans l'économie moderne - la
                                          question : qu'est-ce qui doit être lié
                                          aux accumulations de capital ? La
                                          capacité individuelle des humains à
                                          utiliser le capital de manière
                                          appropriée, non pas de manière
                                          égoïste, mais tout de suite dans un
                                          sens social, doit être liée à
                                          l'accumulation du capital. Nous ne le
                                          pouvons pas quand nous ne cultivons
                                          pas les faculté individuelles
                                          humaines, quand nous ne rendons pas
                                          simplement la gestion du capital
                                          respectif des entreprises accessible à
                                          ces capacités individuelles humaines.
                                          C'est pourquoi, sur le sol où s'est
                                          fait jour cet appel à la
                                          tri-articulation sociale, dont on vous
                                          a encore parlé aujourd'hui, il était
                                          nécessaire de se faire une idée sur
                                          l'efficacité future du capital, qui
                                          représente quelque chose de bien
                                          différent de ce qui est encore souvent
                                          compris aujourd'hui comme la
                                          socialisation du capital.
 Curieusement, c'est tout de suite
                                          lorsque l'on pense en termes pratiques
                                          que l'on est amené à rendre la
                                          gestion/l’administration du capital
                                          dépendante du troisième domaine, qui
                                          doit devenir indépendant dans
                                          l'organisme social sain, l'organisme
                                          spirituel émancipé. Nous l’avons
                                          touours de plus en plus amener à
                                          briser le lien entre le travail
                                          spirituel et le travail du capital
                                          dans le processus de l’économie. Par
                                          cela, nous sommes venus toujours de
                                          plus en plus à ce qu’ au lieu de nous
                                          développer dedans l’essor économique,
                                          qui peut être associée à
                                          l’augmentation du niveau de vie des
                                          grandes masses, malgré toute l’essor
                                          technique, nous nous sommes développé
                                          de dans une sorte d'exploitation
                                          économique prédatrice. Tout de suite
                                          en rapport aux impulsions jouant un
                                          grand rôle dans la vie économique
                                          moderne, par exemple l'impulsion du
                                          crédit, la vie moderne de l’économie
                                          s’est obstinée dans un étrange
                                          cul-de-sac. Aujourd'hui, le crédit sur
                                          le terrain de la vie de l’économie est
                                          quelque chose qui ne peut presque plus
                                          être soutenu que par des facteurs
                                          économiques déjà disponibles. À
                                          l'avenir, nous avons besoin de la
                                          possibilité que le crédit ne naisse
                                          pas seulement sur le sol de la vie
                                          économique, nous avons besoin de la
                                          possibilité que le crédit puisse
                                          naître dans la vie économique de
                                          l'extérieur. N’est-ce-pas, une
                                          affirmation paradoxale, une
                                          affirmation particulière ; mais ce qui
                                          la sous-tend est, comme elle l'est,
                                          encore plus particulière. On sortira
                                          parce que la vie de l’esprit devient
                                          indépendante contre/vers le futur,
                                          qu’elle  se développera à partir
                                          de ses propres conditions, au-delà de
                                          cette vie de l’esprit abstraite,
                                          au-delà de cette vie de l’esprit
                                          luxueuse, qui ne peut trouver aucun
                                          relation avec la pratique de la vie.
                                          Ceux qui me connaissent ne présumerons
                                          pas à ce que je veuille diminuer
                                          n’importe comment la vie de l’esprit.
                                          Seule cette vie de l’esprit qui sera
                                          séparée des deux autres organismes
                                          sociaux, qui se développera à partir
                                          de ses propres conditions, elle ne
                                          sera pas une vie abstraite, purement
                                          prêchante ou se tenant à des hauteurs
                                          spirituelles abstraites, ce sera une
                                          vie de l’esprit qui ne conduira pas à
                                          un savoir abstrait sur telle ou telle
                                          chose, mais qui conduit à rendre les
                                          êtres humains capables comme humains.
                                          Cependant, nous ne pourrons plus
                                          utiliser nos lycéens étrangers à la
                                          vie dans un futur ordre social.
                                          Semblable non plus.
 
 
 
 
 Mais ce qui vivra sera quelque chose
                                          qui a un force spirituelle de
                                          propulsion, que est à même de porter
                                          l'âme humaine dans tous ses besoins
                                          les plus spirituels pour la vie. Tout
                                          de suite lorsqu'on forme ce que tant
                                          de humains considèrent encore
                                          aujourd'hui comme une vie spirituelle
                                          lointaine, alors on en vient à trouver
                                          cette voie qui ne peut être trouvée
                                          par notre éducation forgée à l'état,
                                          cette voie qui forme l'humain comme
                                          humain entier, qui forme l'humain de
                                          telle sorte que toute culture
                                          spirituelle ne sera plus possible sans
                                          être en même temps une compétence pour
                                          des choses pratiques, une possibilité
                                          pour examiner des choses pratiques. Le
                                          matérialisme de ces derniers temps a
                                          rendu les gens non pratiques. Une
                                          vraie vie de l’esprit, qui ne sera pas
                                          une vie de valets de l’état dans le
                                          domaine de l'esprit, cela rendra 
                                          de nouveau les humains pratiques, cela
                                          ne produira pas des humains dans le
                                          domaine de la plus haute culture, qui
                                          croient avoir des conception du monde,
                                          mais qui ne savent pas ce qu'est une
                                          banque, du crédit, des hypothèques et
                                          ainsi de suite, et comment ceux-ci
                                          fonctionnent dans la vie économique.
                                          Cela ne produira pas des humains qui
                                          connaissent les forces dont parle la
                                          physique, mais qui n'ont jamais fendu
                                          du bois de leur vie. Je pense cela
                                          naturellement à la manière d’une
                                          comparaison. Un pont vraiment pratique
                                          mène d'une vie de l’esprit vraie et
                                          placée sur elle-même à la direction de
                                          la vie de l’économie. Le capitalisme
                                          peut seulement être vaincu dans ses
                                          dégâts quand l'administration du
                                          capitalisme est étroitement liée à la
                                          récupération/guérison de la vie de
                                          l’esprit. C'est alors que montera ce
                                          que l'on peut appeler la socialisation
                                          saine du capital. Alors ces humains
                                          s'élèveront toujours de la vie de
                                          l’esprit qui peuvent aussi apporter du
                                          crédit, un nouveau crédit dans la vie
                                          de l’économie, qui peuvent toujours
                                          féconder la vie économique à nouveau.
                                          Alors le cycle du capital, dont je
                                          parle dans mon livre, sera possible.
                                          Je peux seulement indiquer sur ces
                                          points aujourd'hui. Dans les
                                          prochaines conférences que j'aurai la
                                          permission de tenir ici, devront être
                                          abordée des questions particulières de
                                          détail de cette sorte, notamment la
                                          relation entre le capital et le
                                          travail humain.
 
 
 Nous voyons donc comment, à travers
                                          l'organisme social triparti, ces trois
                                          grandes impulsions du développement/de
                                          l’évolution sociale humaine peuvent
                                          être réalisées, qui, depuis la
                                          Révolution française, comme je l'ai
                                          mentionné l'autre jour, ont été comme
                                          brillante devises devant les
                                          aspirations humaines. Liberté sur le
                                          domaine de la vie autonome de
                                          l’esprit, égalité dans tous les
                                          domaines de la vie de l'État,
                                          fraternité par les associations et les
                                          coopératives de vie de l’économie
                                          construite sur elle-même.
 
 Maintenant, en conclusion, j’aimerais
                                          seulement encore dire ceci : je sais
                                          que quand on entend ainsi  le
                                          général, et pas encore dans le
                                          spécial, ce qui a été de nouveau 
                                          dit aujourd'hui, on peut avoir
                                          beaucoup de choses contre cela, parce
                                          qu'on ne sait pas comment, dans les
                                          pensées de cette tri-articulation de
                                          l'organisme social sain, vraiment tout
                                          est pratiquement lié, de la fondation
                                          de l'université à la vente de la
                                          brosse à dents. C'est tout de suite
                                          là-dessus que repose l'aspect pratique
                                          de la proposition pensée, que l’on
                                          peut objecter maintes choses lorsque
                                          l'on entend uniquement le général.
                                          Mais la pratique viendra au premier
                                          plan lorsque les humains de toutes les
                                          classes de professions, de toutes les
                                          manières d’activités humaines en
                                          travail social participeront tout de
                                          suite à la réalisation de cette idée
                                          dans le détail concret. Face à
                                          l'objection que ce serait de
                                          l'idéalisme ou même que c'est quelque
                                          chose d'utopique, face à cette
                                          objection se dressera ce qui parlera
                                          toujours de plus en plus aux humains
                                          des faits graves de l'époque.De telles idées, comme beaucoup les
                                          tiennent encore aujourd'hui comme
                                          pratiques, ont été en juillet et dans
                                          les premiers jours d'août 1914 étté
                                          conduites d'une manière particulière
                                          ad absurdum par l’évolution d'histoire
                                          du monde. A la fin de mon écrit « Les
                                          points clés de la question sociale »,
                                          où les rapports internationaux sont
                                          discutés, j'ai attiré l'attention sur
                                          le fait que l'humanité, de l’intérieur
                                          et de l’extérieur du pays, n'a
                                          toujours aucune idée de ce qui s'est
                                          réellement passé à Berlin le dernier
                                          jour de juillet et dans les premiers
                                          jours d'août 1914. Ce qui s'y est
                                          passé là, le monde va exiger
                                          d’apprendre à le connaître. On verra,
                                          quand la vérité sera dite sur ces
                                          choses, qu'une lumière terrible
                                          tombera sur les événements des temps
                                          nouveaux, une lumière qui montrera que
                                          nous n'avons pas purement besoin d'une
                                          transformation de l'un ou l'autre, que
                                          nous avons besoin de nouvelles
                                          pensées, de nouvelles habitudes de
                                          pensée, que nous ne devons pas
                                          seulement transformer les
                                          institutions, mais que nous devons
                                          réapprendre et repenser dans les
                                          pensées de nos têtes.
 Celui qui se trouve honnêtement et
                                          sincèrement dans cette situation ne
                                          méprisera pas les objections de ceux
                                          qui disent : Toi idéaliste, reste à ta
                                          prestation, reste à tes idéaux, ne
                                          nous bavarde pas dans la pratique ! -
                                          Ces praticiens, ils verront en quel
                                          ravageur cette pratique de vie va se
                                          dévoiler. Mais ceux qui sont les vrais
                                          praticiens, et qui pensent à partir
                                          des grandes impulsions de l’évolution
                                          de l’humanité, ils ne s'attribuent
                                          aucune intelligence particulière. Car
                                          ce qui nous pousse aujourd'hui à
                                          parler comme je l'ai fait à nouveau
                                          aujourd'hui, par exemple, ce sont les
                                          faits mêmes du présent. Oh, là, on en
                                          arrive parfois à ce qu’on aimerait se
                                          comparer à ce garçon qui était une
                                          fois assis là à la machine et avait à
                                          faire fonctionner les deux robinets,
                                          où par l'un était laissée entrer la
                                          vapeur, par l'autre l'eau de
                                          condensation. Le garçon n'était
                                          véritablement pas un inventeur
                                          ingénieux déjà à cause de son âge,
                                          mais il se tenait devant la machine,
                                          qui lui a révélé quelque chose par ses
                                          faits. Il a vu comment l'ouverture
                                          d'un robinet coïncidait avec
                                          l'abaissement du balancier d'un côté,
                                          l'ouverture de l'autre robinet avec
                                          l'abaissement de la tige de balancier
                                          de l'autre. Là, il prit, dans sa
                                          naïveté, des cordes et attacha les
                                          robinets à la tige de balancier - et
                                          vit là que là il se tenait devant sa
                                          machine à vapeur et pouvait voir
                                          comment le balancier montait et
                                          descendait toujours et ouvrait et
                                          refermait de nouveau les robinets.
                                          Mais avec cela, fut trouvé quelque
                                          chose d'important. - Il n'avait pas
                                          raison à l'époque, celui qui
                                          s'approcha de ce garçon et a dit :
                                          Toi, vaurien (NDT : Nichtnutz, lit :
                                          sans utilité), débarrasse toi avec les
                                          ficelles, reste seulement à
                                          l’ouverture des robinets avec la main,
                                          - mais il avait raison, qui a trouvé
                                          le pilotage automatique de la machine
                                          à vapeur par les machinations naïves
                                          de ce garçon.
 
 Les faits parlent si violemment
                                          aujourd'hui que l'on se sent
                                          véritablement naïf quand on trouve
                                          comment devrait être trouvée la
                                          régulation automatique de l'organisme
                                          social sain. Je pouvais seulement vous
                                          suggérer cela aujourd'hui. Elle se
                                          trouvera quand travailleront en pleine
                                          autonomie : la vie de l’esprit 
                                          placée sur elle-même, la vie de
                                          l’économie placée sur elle-même, vie
                                          politique ou de l'État placée sur
                                          elle-même.
 
 L'humanité aimerait-elle, en
                                          particulier l'humanité d'Europe
                                          centrale, comprendre ce que signifient
                                          ces impulsions dans les nécessités de
                                          la vie des temps récents, avant qu'il
                                          ne soit trop tard. Car il faut
                                          reconnaître qu'aujourd'hui, par
                                          nécessité sociale, nous ne pouvons
                                          nous diriger efficacement vers des
                                          objectifs pratiques que si nous avons
                                          des idées qui portent en elles le
                                          germe de l'action. Nous, qui
                                          représentons l'organisme social
                                          tri-articulé dans ses trois impulsions
                                          de vies de l’esprit, de l’économie et
                                          de droit indépendantes, nous croyons
                                          que ces impulsions doivent être
                                          transmises à l’évolution de l'humanité
                                          avant qu'il ne soit trop tard.
 
 
 
 
 Conclusion après la discussion
 Mes très chers présents ! Je ne veux
                                          pas vous retarder beaucoup plus
                                          longtemps avec ma conclusion, non pas
                                          tant parce qu'il n'y a pas grand-chose
                                          à ajouter sur ce que les honorables
                                          orateurs ont exposés, mais surtout
                                          parce que nous avons déjà trop avancés
                                          dans le temps. C'est pourquoi
                                          volontiers maint de ce qui, j’aimerais
                                          dire, a encore sonné obscur chez
                                          maints vénérés orateurs au cours du
                                          débat devra être prise en
                                          considération dans les deux prochaines
                                          conférences à tenir ici. Mais
                                          j’aimerais quand-même commenter
                                          quelques points aujourd'hui, même si
                                          ce n'est que très brièvement.
                                          Pardonnez donc la brièveté de la
                                          réponse aux questions directes qui
                                          m'ont été posées.
 La question a été posée de savoir
                                          pourquoi moi-même – éventuellement par
                                          l'intermédiaire de ceux à qui ma
                                          parole aurait pu faire quelque
                                          impression - n'ont pas fait entendre
                                          la voix de la paix plus tôt. —
 Maintenant, même s'il y a eu des
                                          orateurs dans cette discussion qui ont
                                          encore une fois reproché l'idéalisme,
                                          j’aimerais souligner très fortement
                                          que je suis et que je veux être un
                                          praticien de la vie jusqu'au bout, et
                                          qu'il ne m'est donc jamais possible de
                                          propager des choses purement pensées
                                          qui ne montrent pas leurs possibilités
                                          de réalisation dans les faits de la
                                          vie. C'est pourquoi j’aimerais aussi
                                          répondre à ces questions avec quelques
                                          faits. Selon vous, qu'est-ce qui
                                          aurait été un chemin vraiment pratique
                                          de faire une vraie propagande de paix,
                                          maintenant, disons ici à Stuttgart, au
                                          milieu de l'année ou au printemps 1916
                                          ? En ce qu’on vous aurait convoqué
                                          ici, en vous aurait parlé sur la
                                          nécessité de la paix avec de belles
                                          paroles ? Pensez-vous qu'au printemps
                                          1916, par exemple, un praticien de la
                                          vie réelle aurait pu y parvenir si
                                          facilement ? Mais y avait d'autres
                                          chemins. Sur ces chemins, qui venaient
                                          de la connaissance, de la pleine
                                          connaissance du contenu de la chose,
                                          on a essayé de faire ce qui était
                                          juste à l'époque. Dans un avenir pas
                                          trop lointain, il faudra parler
                                          sérieusement de l'histoire des quatre
                                          ou cinq dernières années, pas comme on
                                          parle encore aujourd'hui de l'histoire
                                          de ces années dans de larges cercles.
                                          Pour mentionner un des faits, j'ai
                                          pleinement représenté ce que j'ai jugé
                                          nécessaire dès le printemps 1916, à
                                          l'endroit où il aurait été possible de
                                          passer à l'action concrètement. J'ai
                                          essayé tout ce qui était possible. En
                                          partie à cause du manque de temps,
                                          parce que devrait beaucoup en parler,
                                          je ne veux pas continuer d’exposé.
                                          Cela en vint au point où ma tâche
                                          aurait dû commencer un certain jour
                                          face aux terribles événements. Mais
                                          ensuite vint la dernière instance, et
                                          malgré tout, ceux qui avaient examiné
                                          la chose l'ont tenaient pour très
                                          prometteuse, et puis vint de cette
                                          instance à laquelle de nombreux
                                          humains croyaient parce que leur avait
                                          été ordronné de croire, l'étrange
                                          décret/disposition, ainsi je veux
                                          l'appeler : C'est un allemand
                                          autrichien. Avant que nous utilisons
                                          des Autrichiens pour de tels services,
                                          nous devons utiliser nos gens allemand
                                          compétent. - C'est la vérité ! Ainsi
                                          peut être une vérité! Si je devais
                                          vous raconter les choses dans leur
                                          contexte entier, personne ne me
                                          demanderait pourquoi je n'ai pas pris
                                          la parole plus tôt pour ce que je
                                          défends aujourd'hui. Et encore quelque
                                          chose. Au début de ce siècle, et à la
                                          fin du siècle dernier, j'étais
                                          professeur dans une école de formation
                                          des travailleurs qui avait été fondée
                                          par le vieux Wilhelm Liebknecht. Dans
                                          cette école de formation des
                                          travailleurs, je me suis formé un
                                          public très fidèle parmi les élèves.
                                          Mais peut-être que les membres du
                                          parti socialiste ici présents savent
                                          qu'il y a aussi de soi-disant Bonzes
                                          dans ce parti. C'est ainsi qu'un beau
                                          jour, ces bonzes, parce que je ne
                                          voulais pas enseigner une vision
                                          orthodoxe, dogmatique et matérialiste
                                          de l'histoire, que quatre personnes se
                                          sont opposées à six cents de mes
                                          élèves - quatre personnes qui ne
                                          m'avaient jamais entendu, contre six
                                          cents de mes élèves qui m'avaient
                                          entendu pendant des années - et ont
                                          réussi à faire que le siège fut placé
                                          devant la porte. C'est aussi un petit
                                          chapitre, pourquoi ces choses dont je
                                          parle maintenant n'ont pas été
                                          abordées plus tôt. Qui sait comment et
                                          où j’en ai parlé ne demande pas après.
                                          Mais c'est autre chose si quelqu'un
                                          parle de quelque chose ou si quelqu'un
                                          l'écoute. Je crois très fort que
                                          beaucoup de ceux qui m'écoutent
                                          aujourd'hui n'auraient pas écouté du
                                          tout avant que les grands
                                          enseignements des terribles, terribles
                                          événements de ces dernières années ne
                                          viennent. C'est aussi quelque chose
                                          qui devra être considéré.
 
 
 
 
 
 Quand a été dit qu'une pomme de
                                          discorde devrait être jetée entre État
                                          et travail, alors, s'il vous plaît, je
                                          dois aussi faire référence à l'une des
                                          prochaines conférences. Cela montrera
                                          que monsieur l'orateur précédent m'a
                                          complètement mal compris lorsqu'il
                                          pense que je ne veux faire de l'État
                                          un économiste sur un quelque point. Ce
                                          ne sera pas le cas, mais l'État ne
                                          jouera en rien un rôle économique, de
                                          sorte qu'il ne peut pas non plus être
                                          le payeur du salaire, mais il s’agit
                                          pour lui de la liberté de la force de
                                          travail. En ce sens, j'ai aussi été
                                          bien compris par beaucoup.
 
 Maintenant, j'ai seulement répondu
                                          brièvement par des faits individuels à
                                          certaines questions. Au fil du temps,
                                          il sera  répondu à ces questions
                                          encore bien autrement.
 Quand maintenant un des chers monsieur
                                          l’orateur précédent a fait remarquer
                                          qu'il a été dit que je n'ai pas fondé
                                          des choses, il faut dire qu'il s'agit
                                          précisément de choses qui peuvent être
                                          seulement fondées à partir de
                                          l'expérience de la vie, que
                                          lorsqu'elles sont exprimées, elles
                                          vont comme un appel à la pensée
                                          humaine et à l'expérience humaine. On
                                          doit vraiment se tourner une fois vers
                                          la vie, sinon nous ne progresserons
                                          pas. Ici est une fois quelque chose
                                          qui approche des humain ainsi qu'ils
                                          devraient lui apporter leur libre
                                          compréhension. Nous avons
                                          malheureusement fait l'expérience que
                                          beaucoup de choses ont été comprises
                                          ces derniers temps - maintenant, ce
                                          que je n'ai pas compris, ce sont les
                                          choses que certains messieurs se sont
                                          permis d'encadrer dans de très beaux
                                          cadres ces dernières années, les
                                          proverbes de certains côtés, je ne les
                                          ai pas compris. La différence entre ce
                                          qui doit être compris ici et ce qui a
                                          été si facilement compris au cours des
                                          dernières années, la différence entre
                                          les deux, c'est que, naturellement, il
                                          devrait y avoir un acte de liberté
                                          intérieure avec le comprendre. Là la
                                          compréhension était commandée.
                                          Levons-nous une fois, essayons de
                                          comprendre ce que ne nous est pas
                                          commandé de comprendre, et essayons
                                          d'arriver à ce que combien de ce que
                                          croyons comprendre, nous croyons le
                                          comprendre seulement parce que cela
                                          nous est inoculé, éduqué dedans ou
                                          ordonné de comprendre. Maintenant,
                                          celui qui est un praticien de la vie
                                          peut finalement comprendre quand
                                          quelqu'un dit : Ne soyez pas dur avec
                                          le porteur du sac d'argent, ayez
                                          quand-même pitié de celui-ci ou
                                          celui-là. Mais de telles instructions
                                          sont quand-même en fait des
                                          instructions seulement bien égoïstes,
                                          vraiment seulement des instructions
                                          égoïstes, parce qu'il ne s’agit pas de
                                          ce que quelqu'un envisage que l'argent
                                          soit de la saleté ou croit constamment
                                          que l'argent est un petit dieu. Il ne
                                          s’agit pas de cela pour le penseur
                                          social, mais il s’agit de ce que
                                          l'argent et un humain qui a l'argent
                                          jouent pour un rôle social.
 
 On ne doit pas s'enfermer dans de tels
                                          sentiments : Nous avons pitié du
                                          porteur de sac d'argent -, mais il
                                          faut ouvrir la tête pour les
                                          circonstances/les rapports, pas
                                          purement pour ce que l'on veut
                                          plaindre ou pas selon son goût. Il
                                          s'agit de se déshabituer de la
                                          prédication paresseuse. Cette
                                          prédication oisive est l'une des
                                          choses qui nous a apporté pauvreté et
                                          misère. J'ai toujours de nouveau dis à
                                          mes auditeurs, au sens figuré, que
                                          tout parler d'amour du prochain, de
                                          fraternité, c'est beau, ça fait si
                                          bien à l'âme intérieure égoïste quand
                                          on parle d'amour du prochain dans une
                                          pièce bien chauffée, d'aimer tous les
                                          gens sans distinction de statut, et
                                          ainsi de suite. Mais c'est maintenant
                                          devant la réalité, comme si je me
                                          plaçait devant le poêle, je disait
                                          ainsi, et  dise au poêle : Toi
                                          poêle, c'est ton devoir de poêle de
                                          chauffer la pièce. Tel que tu semble,
                                          tu portes la physionomie d'un poêle,
                                          un tel objet a l'impératif catégorique
                                          de réchauffer la pièce. - Mais elle ne
                                          se réchauffe pas, je peux prêcher
                                          autant que je veux.
 
 Et ainsi les gens prêchent dans
                                          l'abstraction toujours de nouveau et à
                                          nouveau, ça ne se réchauffe pas, mais
                                          à l'extérieur, ça va entretemps sans
                                          dessus dessous. Ce dont il s'agit,
                                          c'est que j'arrête de prêcher, que je
                                          me soucie de la façon dont la chaleur
                                          se produit d'une manière
                                          synthétiquement raisonnable, et que je
                                          me procure du bois de chauffage et que
                                          je fasse du feu. Avec les choses
                                          auxquelles nous faisons face
                                          aujourd'hui, cela dépend du fait que
                                          dans nos pensées il y ait des germes
                                          de ce qui peut être fait. Je crois que
                                          celui qui cherche vraiment trouvera
                                          cela dans ce qui est réellement pensé
                                          avec l'appel, avec mon livre « Les
                                          points germinatifs de la question
                                          sociale dans les nécessités de la vie
                                          du présent et de l'avenir ». Les mots
                                          qui ne sont que des mots ont déjà
                                          assez changés, nous avons maintenant
                                          besoin d'action. Mais sur les actes
                                          nous devons, s’ils devaient être
                                          synthétiquement raisonnables, d'abord
                                          nous accorder. Nous avons besoin de
                                          pensées-germes pour des actes, de
                                          telles pensées-germes/semences qui
                                          mènent le plus tôt possible à des
                                          actes avant qu'il ne soit trop tard.
 
 | In der
                                            gegenwärtigen ernsten Lage eines
                                            großen Teiles der Menschheit,
                                            insbesondere der Menschheit
                                            Mitteleuropas, wäre es
                                            verhängnisvoll, wenn die Heilung
                                            verschiedenartiger schwerwiegender
                                            sozialer Schäden mit kleinen und
                                            kleinlichen Mitteln gesucht würde.
                                            Es ist notwendig, sich heute
                                            aufzuschwingen zu umfassenden
                                            eindringlichen Impulsen, die
                                            begründet sind in einer wirklichen
                                            Erkenntnis desjenigen, was uns
                                            hineingetrieben hat in die Wirrnisse
                                            und in das Chaos, und es ist
                                            notwendig, unbefangen, ehrlich und
                                            aufrichtig den Blick auf dasjenige
                                            zu wenden, was eigentlich da ist und
                                            aus dem wir herauswollen. Von diesen
                                            Erwägungen, die mit den eben
                                            angeführten paar Sätzen
                                            charakterisiert sind, ist bei
                                            Abfassung jenes Aufrufes zur
                                            Dreigliederung des sozialen
                                            Organismus ausgegangen worden, der
                                            Ihnen bekannt ist und über den ich
                                            auch heute wieder sprechen will. Es
                                            ist immer nur möglich, ich möchte
                                            sagen, von diesem und jenem
                                            Gesichtspunkte aus auf die
                                            Notwendigkeit desjenigen
                                            hinzuweisen, was in diesem Aufrufe
                                            und jetzt etwas ausführlicher, aber
                                            auch nur etwas ausführlicher, in
                                            meinem Buche «Die Kernpunkte der
                                            sozialen Frage in den
                                            Lebensnotwendigkeiten der Gegenwart
                                            und Zukunft» gesagt ist. Und man
                                            hätte viele Vorträge nötig, wenn man
                                            auf alles das nur hinweisen möchte,
                                            was zugrunde liegt den Impulsen, die
                                            zu diesem Aufrufe geführt haben.
                                            Daher muß ich Sie schon bitten, das,
                                            was ich in einem einzelnen Vortrage
                                            sagen kann, auch so hinzunehmen, daß
                                            es immer gewissermaßen nur ein
                                            Ausschnitt aus demjenigen sein kann,
                                            was eigentlich zum Verständnis jenes
                                            sozialen Wollens führt, das mit dem
                                            Aufrufe gemeint ist. Vor allen
                                            Dingen möchte ich aber heute darauf
                                            hinweisen, daß auch ein Blick auf
                                            dasjenige, was aus der
                                            internationalen Lage heraus in die
                                            furchtbare Katastrophe der letzten
                                            Jahre geführt hat, wenn man es
                                            sachgemäß und unbefangen betrachtet,
                                            zu diesem Aufrufe hinführen muß.
                                            Auswärtige — wenn wir vom
                                            Gesichtspunkte Deutschlands sprechen
                                            — politische Verhältnisse und
                                            innerpolitische Verhältnisse
                                            scheinen hinzuzwingen zu den
                                            Impulsen, die hier gemeint sind. Es
                                            geht ja dieser Aufruf in seinen
                                            Grundgedanken davon aus, daß die
                                            furchtbare Lage, in die wir
                                            hereingeraten sind, im wesentlichen
                                            von jener Entwickelung in der
                                            neueren Zeit herrührt, die zu einer
                                            Vermischung und Vermengung dreier
                                            Lebensgebiete geführt hat, die sich
                                            von jetzt ab selbständig entwickeln
                                            müssen, der drei Lebensgebiete des
                                            geistigen Lebens, des eigentlich
                                            politischen oder Rechts- oder
                                            staatlichen Lebens und des
                                            wirtschaftlichen Lebens.In dem Einheitsstaate, der immer
                                            mehr und mehr, wie die Menschheit
                                            hypnotisierend, als das
                                            Allheilmittel der sozialen Ordnung
                                            angesehen worden ist, wurde
                                            verschmolzen all dasjenige, was die
                                            Kräfte dieser drei Lebensgebiete
                                            sind. Heute muß das Heil zu einem
                                            wirklichen praktischen Ziele in
                                            bezug auf unseren sozialen
                                            Organismus in der Verselbständigung
                                            dieser drei Lebensgebiete gesucht
                                            werden. Das ist zunächst in
                                            abstrakter Form, ich möchte sagen,
                                            der Grundimpuls, der diesem Aufrufe
                                            zugrunde liegt. Wir müssen, wenn wir
                                            von einem der vielen Gesichtspunkte
                                            aus, die in Betracht kommen,
                                            verstehen wollen, was namentlich die
                                            mitteleuropäische Menschheit in die
                                            furchtbare, die schreckensvolle
                                            Katastrophe von heute geführt hat,
                                            gewissermaßen nach links und nach
                                            rechts schauen. Gegen Westen und
                                            gegen Osten war Deutschland, war das
                                            deutsche Volk in den Krieg
                                            verwickelt, und man kann schon
                                            sagen: Aus den Verhältnissen des
                                            Westens und des Ostens in ihrem
                                            Zusammenwirken müssen wir auch
                                            verstehen, in welcher Lage wir heute
                                            in Mitteleuropa stehen.
 
 Wer nach Westen blickt, der wird,
                                            wenn er zunächst vor allen Dingen
                                            die soziale Not ins Auge fassen
                                            will, gewahr werden, wie gerade in
                                            den Ländern des Westens, in
                                            denjenigen Ländern, mit denen am
                                            längsten Krieg geführt wurde, in der
                                            geschichtlichen Entwickelung der
                                            neueren Zeit eine deutliche
                                            Verschmelzung von wirtschaftlichem
                                            Leben mit politischem Leben
                                            stattfand, so daß aus den
                                            Volksinstinkten namentlich der
                                            englischsprechenden Bevölkerung
                                            heraus, ich möchte sagen, auf diesem
                                            Gebiete der Erde wie elementar
                                            natürlich entstanden ist vor allen
                                            Dingen ein Staatsstreben unter den
                                            besonderen Gesichtspunkten des
                                            Wirtschaftslebens. Alles Politische
                                            wurde da durchdrungen von dem
                                            Wirtschaftlichen. Die
                                            wirtschaftlichen Gesetze wurden da
                                            politische Gesetze. So sehen wir die
                                            Verschmelzung des politischen und
                                            des wirtschaftlichen Lebens, wenn
                                            wir den Blick nach dem Westen
                                            lenken.
 In anderer Art sehen wir die
                                            Verschmelzung des politischen Lebens
                                            mit dem Kulturleben zunächst in der
                                            Form der nationalistischen
                                            Volkskulturen und ihres aus diesem
                                            Nationalistischen herausgehenden
                                            Geisteslebens. Nach Osten blickend,
                                            sehen wir die Verschmelzung des
                                            Geisteslebens mit dem politischen
                                            Leben. Alles — hier kann es nur
                                            angedeutet werden, gerade
                                            eingehendes, gründliches Studium der
                                            europäischen und amerikanischen
                                            Verhältnisse belegt es —, alles
                                            weist darauf hin, daß die
                                            Zündstoffe, die sich allmählich
                                            zwischen Mitteleuropa und dem Westen
                                            angehäuft haben, nur verstanden
                                            werden können aus dem Konflikt, der
                                            im Westen selber zwischen dem
                                            Wirtschaftsleben und dem Staatsleben
                                            dadurch entstanden ist, daß
                                            Wirtschafts- und Staatsleben, aber
                                            mit besonderem Überhandnehmen des
                                            Wirtschaftslebens, in chaotischer
                                            Weise verschmolzen waren. Im Osten
                                            lagerten sich die Zündstoffe auf
                                            durch das Verschmelzen der einzelnen
                                            geistigen Kulturen der nationalen
                                            Gemeinschaften mit dem politischen
                                            Staatsleben.
 Zwischen das, was sich da anhäufte,
                                            waren wir in der Entwickelung der
                                            neueren Zeit hineingestellt. Wir
                                            haben bisher versäumt zu lernen, was
                                            unsere Aufgabe in diesem
                                            Eingekeiltsein zwischen Westen und
                                            Osten ist. Die furchtbare
                                            Weltkatastrophe, welche aus diesen
                                            beiden Impulsen, die ich
                                            charakterisiert habe, hervorgegangen
                                            ist, sie sollte uns lehren, wohin
                                            wir zu steuern haben gerade in
                                            Mitteleuropa, das lernen sollte vom
                                            Westen und Osten. Vom Westen sollte
                                            es lernen, daß es als Nachbar dieses
                                            Westens die Aufgabe habe, zu sondern
                                            und zu verselbständigen
                                            Wirtschaftsleben und politisches
                                            Staatsleben. Vom Osten hat es zu
                                            lernen die Sonderung des
                                            Geisteslebens von -- wenn wir
                                            oberflächlich betrachtend es auch
                                            nur im nationalen Leben sehen — dem
                                            Staatsleben. Riesengroße Irrtümer —
                                            es hilft nichts, sich heute vor
                                            dieser Tatsache zu verschließen —,
                                            riesengroße Irrtümer haben sich
                                            aufgetürmt in der Politik der
                                            Mittelstaaten, in der lässigen,
                                            endlich ganz in die Nullität
                                            hinführenden Politik dieser
                                            Mittelstaaten, weil die Staatsmänner
                                            nicht fähig waren, zu sehen, wie es
                                            im Westen durch gewisse
                                            Volksinstinkte heute noch
                                            unschädlich ist, daß das
                                            Wirtschaftsleben mit dem politischen
                                            Leben verschmolzen ist und in
                                            demselben die Oberhand hat, wie es
                                            aber Zündstoffe über Zündstoffe
                                            lieferte im Osten, daß das geistige
                                            Leben mit dem Staatsleben in
                                            unorganischer Weise verschmolzen
                                            ist. Riesengroße politische
                                            Irrtümer, die man eben in ihrer
                                            historischen Notwendigkeit erkennen
                                            muß, sind es, welche zuletzt sich
                                            entladen mußten in jener
                                            Katastrophe, die gerade uns das
                                            furchtbarste Unheil gebracht hat.
                                            Hatte man in der letzten Zeit, und
                                            ich meine schon eine lange letzte
                                            Zeit, ja, hat man eigentlich bis
                                            heute den guten Willen, in
                                            eindringlicher Weise diese
                                            Verhältnisse anzuschauen? Finden
                                            sich nicht wiederum unter uns trotz
                                            der heutigen furchtbaren Lage viele
                                            Persönlichkeiten, die ein Hinblicken
                                            auf die wirklich praktischen Impulse
                                            wie wertlosen Idealismus ansehen,
                                            weil diese praktischen Impulse heute
                                            große Ideale sind, und welche aus
                                            der Bequemlichkeit und dem Kleinmut
                                            des Geistes heraus nach kleinen
                                            Zielen Verlangen tragen, die sie
                                            allein praktisch nennen, während sie
                                            sich gegen eben heute notwendige
                                            große Ziele als gegen die
                                            unpraktischen wenden. Diese Leute,
                                            welche heute die wirklich
                                            praktischen, großen Ziele als
                                            Idealismen ablehnen und nur auf das
                                            allernächste sehen möchten, diese
                                            Leute sind dieselben oder die
                                            Nachkommen derselben, welche die
                                            mitteleuropäische Menschheit, die
                                            europäische Menschheit überhaupt, in
                                            die heutige Lage hineingebracht
                                            haben und welche bewirken werden,
                                            daß die Schäden noch immer größer
                                            werden. Wenn es nicht möglich ist,
                                            daß wirkliche Lebenspraxis an die
                                            Stelle der sogenannten Lebenspraxis
                                            der Spießer und Philister tritt —
                                            heute muß die Lage der Sache
                                            unbefangen und ehrlich angesehen
                                            werden —, so wird nie kommen, was
                                            das Ergebnis einer wahren
                                            Außenpolitik ist, was auf die
                                            Impulse der Dreigliederung des
                                            sozialen Organismus führt.
 
 
 
 Aber wir haben es heute nicht nur
                                            mit einer Folge der Außenpolitik zu
                                            tun. Wir haben es zu tun mit
                                            Entwickelungskräften, die noch von
                                            ganz anderer Seite her fluten und
                                            Wellen schlagen in der Menschheit!
                                            Dasjenige, dem wir heute
                                            gegenüberstehen, man kann es
                                            vergleichen mit der Völkerwanderung
                                            und dem Bègegnen dieser
                                            Völkerwanderung im Beginn des
                                            Mittelalters mit dem Christentum.
                                            Wer die großen Impulse des
                                            Christentums in ihrer Wirksamkeit
                                            durch das Mittelalter und die
                                            bisherige neue Zeit in Betracht
                                            zieht, dem muß eigentlich auffallen,
                                            welchen Charakter die Impulse des
                                            Christentums gerade bei den Völkern,
                                            von denen man gewöhnlich spricht,
                                            wenn man die Völkerwanderung
                                            betrachtet, und welchen sie bei den
                                            mehr südlichen Völkern angenommen
                                            haben. Drüben in Asien entstanden,
                                            wirkte das Christentum zuerst auf
                                            die hochentwickelten Völker
                                            Griechenlands und Italiens, auf die
                                            hochentwickelten Intellekte dieser
                                            südlichen Gebiete Europas. Dann erst
                                            drang es ein in die Länder der
                                            «Barbaren», wie die südlichen Völker
                                            die vom Norden Heranstürmenden
                                            nannten. Verschafft man sich einen
                                            Überblick über diese Verhältnisse,
                                            dann findet man, daß eigentlich
                                            dasjenige, wodurch das Christentum
                                            als solches weltwirkend wurde, nicht
                                            sich bildete beim Durchgang durch
                                            die auf höchster, aber schon in
                                            absteigender Entwickelung
                                            begriffenen südlichen Völker,
                                            sondern es entfaltete seine
                                            gewaltigen Impulse in den Herzen, in
                                            den Köpfen derjenigen Völker, die
                                            noch unverbrauchte Intelligenz,
                                            unverbrauchte Seelenkraft hatten.
                                            Das war, ich möchte sagen, die
                                            horizontale Völkerwanderung mit
                                            ihren Eigentümlichkeiten im Beginn
                                            des Mittelalters. Heute stehen wir,
                                            indem wir die proletarische Bewegung
                                            betrachten, vor einer vertikalen
                                            Völkerwanderung. Aus den Tiefen des
                                            Kulturlebens heraus zu den führenden
                                            Strömungen der Kultur strömt
                                            dasjenige, was Proletariat genannt
                                            werden kann. Das aber, was wir
                                            suchen müssen als das neue, uns
                                            rettende Kulturelement, als die
                                            großen Impulse, die uns aus den
                                            Wirrnissen herausführen, das wirkt,
                                            ich möchte sagen, aus grauen
                                            Geistestiefen heraus so, wie das
                                            Christentum einstmals auf die
                                            griechischen und römischen Völker.
                                            Und wir sehen, wie dasjenige, was
                                            die Zukunft ergreifen will zu einer
                                            Neugestaltung der Welt in geistiger,
                                            in staatlicher, in wirtschaftlicher
                                            Beziehung, braucht die
                                            unverbrauchten Intellekte, die
                                            unverbrauchten Gemüter jener
                                            Völkermassen, die in der heutigen
                                            vertikalen Völkerwanderung von unten
                                            nach oben strömen, während, wie ich
                                            schon das letztemal hier ausgeführt
                                            habe, in den verbrauchten Gehirnen
                                            derjenigen, die ähnlich wie
                                            einstmals die Griechen und Römer auf
                                            der Höhe der Kultur stehen, bei den
                                            bisher leitenden, führenden Kreisen
                                            kaum etwas von jenem Feuer
                                            wahrzunehmen ist, das wir heute
                                            notwendig haben, um die Wege aus der
                                            sozialen Not zu wirklich großen,
                                            praktischen Menschheitszielen zu
                                            finden. Daß solche Wege gefunden
                                            werden müssen, dafür spricht vor
                                            allen Dingen auch dasjenige, das
                                            sich als eine solche vertikale
                                            Völkerwanderung im Laufe der neueren
                                            Menschheitsentwickelung ausgelebt
                                            hat.
 Die äußere Politik weist uns auf die
                                            Dreigliederung des sozialen
                                            Organismus. Was zeigt uns das innere
                                            politische Geschehen? Es zeigt uns,
                                            daß eben gerade diejenigen
                                            Volkselemente, die den
                                            unverbrauchten Intellekt, die
                                            unverbrauchten Gemütskräfte der
                                            Seele von unten nach oben tragen —
                                            so wenig das heute vielleicht noch
                                            viele zugeben wollen, so wenig das
                                            Proletariat selbst heute schon
                                            passende und entsprechende Worte und
                                            Ideen für gewisse Erscheinungen
                                            findet —, daß diese Volkselemente in
                                            ihrer Seele fühlen, fühlen auch an
                                            der Not ihres Leibes, fühlen in
                                            alledem, was ihnen entgegentrat, man
                                            kann schon sagen seit drei bis vier
                                            Jahrhunderten, aber insbesondere im
                                            neunzehnten und im beginnenden
                                            zwanzigsten Jahrhundert, in
                                            dreifacher Weise die dreifache Not
                                            der sozialen Ordnung. Sie fühlten,
                                            wie sie gegenüberstanden erst einem
                                            Geistesleben, mit dem sie keine
                                            andere Gemeinschaft empfanden als
                                            diejenige, die ihnen in dem letzten
                                            halben Jahrhundert charakterisiert
                                            wurde mit dem Karl Marxschen Worte
                                            vom «Mehrwert». Es ist, was da
                                            zugrunde liegt, keineswegs, weder
                                            auf der einen, der bürgerlichen,
                                            noch auf der anderen Seite, der
                                            proletarischen, voll verstanden
                                            worden. Die Dinge werden ja gerade
                                            in der neueren Bildung ziemlich
                                            äußerlich genommen. Was zugrunde
                                            liegt, ist, daß sich die ganze, so
                                            viel gelobte, so viel gepriesene
                                            geistige Kultur der neueren Zeit in
                                            allen ihren Verzweigungen nur
                                            entwickeln konnte als die Kultur
                                            Weniger auf dem Unterboden der
                                            Entbehrungen an Kultur von seiten
                                            der großen, breiten Masse. Nicht,
                                            als ob durchaus die bisher führenden
                                            Klassen aus einem bösen Willen, aus
                                            einer Teufelei heraus den
                                            proletarischen Massen Not und Elend
                                            gebracht hätten. Nein, gebracht
                                            haben sie diese — das habe ich
                                            letzten Montag zu zeigen versucht —
                                            durch Unverstand, durch
                                            Verständnislosigkeit gegenüber
                                            denjenigen Aufgaben, die sich
                                            weltgeschichtlich dadurch ergaben,
                                            daß immer breitere und breitere
                                            Massen von der neueren vertikalen
                                            Völkerwanderung, von dem Streben
                                            nach einem von ihnen entbehrten
                                            Geistesleben ergriffen wurden. Aber
                                            so war es einmal, und das ist das
                                            Wesentliche, daß das, was wir an
                                            Kunst, ja, was wir an Wissenschaft,
                                            was wir an Erziehung mit Bezug auf
                                            das Geistesleben geleistet haben,
                                            auf der einen Seite nur für wenige
                                            sein konnte und daß es erarbeitet
                                            werden mußte unter den Entbehrungen
                                            vieler. Diese besondere Art des
                                            Geisteslebens konnte nicht da sein,
                                            ohne einen Abgrund zu schaffen
                                            zwischen Bevorzugten und
                                            Benachteiligten. Das empfand die
                                            breite, nach aufwärts strebende
                                            Masse gegenüber dem Hauptgliede des
                                            menschlichen Lebens, gegenüber dem
                                            Geistesleben.
 
 Gegenüber dem Staats- oder
                                            politischen oder Rechtsleben empfand
                                            sie gerade in ihrem Aufsteigen mehr
                                            und mehr, daß es etwas gibt für die
                                            Menschennatur, welches für alle
                                            Menschen ein Gleiches ist. Dieses
                                            Gleiche kann man nicht in
                                            irgendeiner Theorie entwickeln, es
                                            ist einfach vorhanden in den
                                            Erlebnissen jeder gesunden Seele.
                                            Wie man zu einem Menschen mit
                                            blinden Augen nicht sprechen kann
                                            über eine blaue oder rote Farbe, so
                                            kann man nicht sprechen mit einer
                                            nicht gesund entwickelten Seele über
                                            dasjenige, was in jeder gesunden
                                            Seele lebt als das Rechtsbewußtsein,
                                            jenes Rechtsbewußtsein, welches den
                                            Menschen auf dem zweiten Gebiete des
                                            sozialen Lebens, dem Staatsleben,
                                            gegenüber allen anderen Menschen
                                            gleich macht. Dieses Gefühl aber,
                                            das in alten patriarchalischen
                                            Zuständen, auch noch in den
                                            Zuständen des Mittelalters, in den
                                            breiten Massen noch zurückgedrängt
                                            war, dieses Gefühl von dem gleichen
                                            Rechte, es kam in den letzten
                                            Jahrhunderten und insbesondere in
                                            der proletarischen Entwickelung des
                                            neunzehnten und zwanzigsten
                                            Jahrhunderts immer intensiver
                                            herauf. Die leitenden, führenden
                                            Klassen konnten nicht anders, als
                                            die breite Masse zur Demokratie
                                            aufzurufen. Das brauchten sie für
                                            ihre Interessen. Sie brauchten ein
                                            immer mehr und mehr schulmäßig
                                            gebildetes Proletariat. Aber man
                                            kann nicht eines in der Seele
                                            ausbilden, ohne daß sich das andere
                                            mit ausbildet. Indem die
                                            herrschenden, führenden Klassen die
                                            Proletarier zu gelernten Arbeitern
                                            für die komplizierten Verrichtungen
                                            in ihren Fabriken und für anderes
                                            gemacht haben, mußten sie, weil das
                                            eine ohne das andere nicht möglich
                                            ist, weil sich das andere von selbst
                                            entwickelt, zugleich zulassen, daß
                                            in dem Proletariat jenes
                                            Rechtsbewußtsein heraufkam, das
                                            jeder zu sich selbst gekommenen
                                            Menschenseele eigen ist. Dieses
                                            Rechtsbewußtsein entwickelte sich
                                            aber bei dem Proletarier ganz anders
                                            als in den bisher leitenden,
                                            führenden Kreisen der Menschheit. In
                                            den bisher führenden, leitenden
                                            Kreisen der Menschheit entwickelten
                                            sich die Gefühle von Recht an den
                                            Interessenkreisen, in die diese
                                            Klassen seit langem hineingeboren
                                            waren. Der Proletarier war, indem er
                                            an die Maschine gestellt war, indem
                                            er eingespannt wurde in den
                                            seelenverödenden Kapitalismus, mit
                                            solchen Interessen nicht
                                            ausgerüstet. Jene Beziehungen, die
                                            überall bestanden zwischen dem, was
                                            die führenden Klassen im sozialen
                                            Leben vorstellten, und dem, was sie
                                            als ihr Menschliches empfanden, jene
                                            Interessenzusammenhänge gab es nicht
                                            für den Proletarier. Ich meine es
                                            wirklich nicht humoristisch, wenn
                                            ich sage: Für den Angehörigen der
                                            führenden Klassen mag aus dem
                                            sozialen Zusammenhang, in den er
                                            hineingestellt war, etwas
                                            hervorgegangen sein von einem
                                            innerlichen Menschheitsbewußtsein,
                                            das ihm ein gewisses
                                            Rechtsbewußtsein gab, wenn er, nun
                                            sagen wir, auf seine Visitenkarte
                                            schreiben konnte «Fabrikbesitzer»
                                            und dergleichen, oder auch
                                            «Reserveleutnant». Aber für den
                                            Proletarier gab es einen solchen
                                            Interessenzusammenhang nicht
                                            zwischen der seelenverödenden
                                            Maschine und seinem Menschlichen,
                                            und nicht zwischen dem
                                            Eingespanntsein in den Kapitalismus
                                            und wiederum seinem Menschlichen.
                                            Der Proletarier war auf sein bloßes
                                            Menschenrecht gestellt, und indem er
                                            hinsah auf die anderen, erblickte er
                                            statt allgemeiner Menschenrechte
                                            Klassenvorteile, Klassenvorrechte
                                            und Klassenbenachteiligung. Das war
                                            die zweite Erfahrung, die Erfahrung
                                            auf dem Gebiete des Staatslebens.
 Und die dritte Erfahrung ergab sich
                                            für den Proletarier auf dem Gebiete
                                            des Wirtschaftslebens. Da sah er,
                                            wie seine Arbeitskraft im
                                            Lohnverhältnis von den leitenden,
                                            führenden Kreisen genau ebenso
                                            behandelt wurde wie eine Ware. Das
                                            hat dann tief, gründlich tief
                                            eingeschlagen in die Empfindungen,
                                            in die Gefühle des modernen
                                            Proletariats. Das erzeugte ein
                                            Bewußtsein, das sich vielleicht
                                            nicht ganz deutlich im Kopfe
                                            aussprach, das aber tief und
                                            intensiv in den Herzen der ihrer
                                            Menschheit bewußten Proletarier
                                            immer mehr und mehr sich festsetzte:
                                            Im Altertum gab es Sklaven, der
                                            ganze Mensch konnte verkauft und
                                            gekauft werden wie eine Sache;
                                            später gab es Leibeigenschaft,
                                            weniger vom Menschen konnte gekauft
                                            und verkauft werden, aber immer noch
                                            genug; heute gibt es noch Kauf und
                                            Verkauf der menschlichen
                                            Arbeitskraft für den, der nichts
                                            anderes besitzt als diese
                                            Arbeitskraft. Diese Arbeitskraft,
                                            man muß mit ihr gehen, indem man sie
                                            verkaufen muß, man kann sie nicht
                                            hintragen wie einen Gegenstand auf
                                            den Markt und wiederum zurückgehen,
                                            nachdem man den Gegenstand verkauft
                                            hat, man muß sich selbst ausliefern
                                            demjenigen, der die Arbeitskraft
                                            kauft. Einspannung der Arbeitskraft
                                            in den Wirtschaftskreislauf, das war
                                            das dritte Erlebnis des modernen
                                            Proletariats. So fand in dem, was
                                            sich herausbildete als
                                            sozialstaatliche Ordnung, der
                                            Proletarier miteinander verquickt
                                            dasjenige, was wir eben vorher auch
                                            in der Außenpolitik verquickt
                                            fanden; er fand im modernen Staate
                                            verquickt Geistesleben, staatliches
                                            Rechtsleben und Wirtschaftsleben. So
                                            wie die Verquickung in den großen
                                            Imperialismen zu Explosionen des
                                            Weltkrieges geführt hat, so führte
                                            andererseits dasjenige, was von
                                            unten nach oben sich bewegt, was
                                            dreifach erlebt wird im
                                            Geistesleben, im Rechts- oder
                                            Staatsleben und im Wirtschaftsleben,
                                            zur sozialen Explosion. Beides
                                            gehört zusammen. Die alte Ordnung
                                            explodierte in der
                                            Weltkriegskatastrophe aus den
                                            Imperien heraus, in die sich der
                                            moderne Kapitalismus aus dem
                                            Großbetrieb umgewandelt sah, ohne
                                            daß er es recht wußte. Aus dem
                                            Großbetrieb sind Imperialismen
                                            geworden, und aus dem Zusammenstoß
                                            der Imperialismen ist die
                                            Weltkriegskatastrophe entstanden.
                                            Dasjenige, was vertikal sich
                                            bewegte, von unten nach oben, das
                                            enthält dieselben Impulse. Das führt
                                            nur in anderer Richtung zu jener
                                            sozialen Not, die eine weltsoziale
                                            Not war in den Verhältnissen der
                                            neueren Imperien, die entweder, so
                                            wie im Westen, Interessenimperien,
                                            oder wie im Osten,
                                            Zusammenschmelzungen von
                                            Staatsimperien mit Nationalimperien
                                            geworden sind. Die Verschmelzung der
                                            drei Lebensgebiete führte zur
                                            Explosion des Weltkrieges und in
                                            eine soziale Not größten Stiles
                                            hinein, denn etwas anderes als
                                            frühere Kriege ist dieser sogenannte
                                            Weltkrieg. Er ist das Ausleben der
                                            alten Ordnung in einer furchtbaren
                                            Art. Schauen wir, wie ein Neues
                                            beginnen will, von unten nach oben.
                                            Versäumen wir nicht zu sehen, welche
                                            Impulse da anders werden wollen für
                                            die Weiterentwickelung der
                                            Menschheit, als diejenigen gewesen
                                            sind, die sich von der alten
                                            Wirtschaftsordnung in die
                                            Weltimperialismen hinein-entwickelt
                                            haben und so zu den furchtbarsten
                                            Schrecknissen der neuesten Zeit
                                            führten. So sprechen heute die
                                            Zeichen der Zeit. So muß der Mensch
                                            heute zu diesen Zeichen der Zeit
                                            sich zu stellen wissen. Haben wir es
                                            nicht erlebt, daß gerade in
                                            Mitteleuropa sich gezeigt hat, wie
                                            die Menschen allmählich verloren
                                            haben ein wirklich gesundes Urteil
                                            über das Geistesleben, über das
                                            Wirtschaftsleben, über das
                                            politische Leben, wegen der
                                            unnatürlichen, der unmöglichen
                                            allmählich heraufkommenden
                                            Verschmelzung der drei Gebiete?
 Ich frage Sie, ohne mich in eine
                                            Kritik der Verhältnisse einzulassen,
                                            ich frage Sie, ob nicht Ereignisse,
                                            ob nicht Tatsachen der letzten
                                            menschheitlichen Entwickelung — wir
                                            wollen sie jetzt nur mit Bezug auf
                                            Europa ansehen — geradezu entstanden
                                            sind unter dem Einfluß der
                                            Verschmelzung, zum Beispiel von
                                            Politik und Wirtschaftsleben? Die
                                            ganze Welt hat geschrien — ich will
                                            mich in eine Kritik dieses Schreiens
                                            nicht einlassen, gewiß, es sind
                                            nicht hüben bloß Lämmer und drüben
                                            bloß Wölfe —, aber die ganze Welt
                                            hat geschrien über den Durchbruch
                                            durch Belgien am Anfang des Krieges.
                                            Dieser Durchbruch, wodurch konnte er
                                            nur zustande kommen? Nur dadurch
                                            konnte er zustande kommen, daß die
                                            strategischen Bahnen dorthin gebaut
                                            worden sind. Die wären nicht
                                            dagewesen, wenn innerhalb des
                                            deutschen Gebietes die
                                            wirtschaftlichen Kräfte von den
                                            politischen Kräften getrennt gewesen
                                            wären. Sehen Sie sich die Karte von
                                            Europa an, betrachten Sie sehr viele
                                            Eisenbahnnetze und studieren Sie
                                            dann aus einer gesunden
                                            Industriewissenschaft heraus — die
                                            wir noch gar nicht haben —, ob diese
                                            rein wirtschaftlichen Einrichtungen,
                                            die Eisenbahnen, so wären, wie sie
                                            sind — selbst in neutralen Ländern
                                            können Sie diese Studien machen —,
                                            wenn sie bloß dem wirtschaftlichen
                                            Leben dienen und aus diesem heraus
                                            sich entwickeln würden. Oder fällt
                                            uns nicht auf, wenn wir auf die
                                            Beziehungen zwischen
                                            wirtschaftlichem und politischem
                                            Leben sehen, wie gerade aus
                                            Mitteleuropa allmählich, weil immer
                                            mehr und mehr das Reich
                                            zusammengeschmolzen ist mit den
                                            wirtschaftlichen Verhältnissen, auch
                                            hier nach westlichem Vorbild immer
                                            mehr und mehr ein großes
                                            Geschäftshaus geworden ist? Fällt es
                                            uns nicht auf, daß die politische
                                            Schulung immer mehr und mehr
                                            dahinschwand? Denken Sie einmal,
                                            welche Unsummen von Intelligenz,
                                            welche Unsumme von Umsicht auf das
                                            reine Geschäftsleben, auf das
                                            Wirtschaftsleben gelenkt worden ist,
                                            während die Völker Mitteleuropas
                                            gerade in den letzten Zeiten immer
                                            unpolitischer geworden sind, selbst
                                            noch gegen ihre Unpolitik der
                                            früheren Jahrhunderte.
                                            Entpolitisiert haben wir uns durch
                                            die Verschmelzung der Politik mit
                                            dem Wirtschaftsleben.
 Und endlich, immer mehr und mehr
                                            sind wir hineingekommen in eine
                                            vollständige Abhängigkeit alles
                                            Geisteslebens von dem Staatsleben.
                                            Auch da muß man immer wieder darauf
                                            hinweisen, wie nicht nur
                                            Stellenbesetzung, Schulverwaltung in
                                            Abhängigkeit gekommen sind von dem
                                            modernen Staatsleben, sondern der
                                            Inhalt des Geisteslebens selbst, der
                                            Inhalt der Kunst, der Inhalt der
                                            Wissenschaft. Die Leute merken dies
                                            heute noch nicht, daher erhebt sich
                                            gerade auf diesem Gebiet das
                                            ungeheuerste Vorurteil, wenn auf
                                            dasjenige losgegangen wird, worauf
                                            es ankommt. Und es kommt heute
                                            darauf an, daß wir uns aufschwingen,
                                            hinzuwirken auf eine gesunde
                                            Trennung des wirtschaftlichen Lebens
                                            von dem Staats- oder politischen
                                            oder Rechtsleben auf der einen
                                            Seite, und wiederum auf eine
                                            Abtrennung des gesamten
                                            Geisteslebens vom Staatsleben auf
                                            der anderen Seite.
 Der Ruf nach Sozialisierung geht
                                            heute durch unser Wirtschaftsleben.
                                            Er geht hervor, möchte man sagen,
                                            aus der früher angedeuteten
                                            vertikalen Völkerwanderung wie eine
                                            weltgeschichtliche Devise. Und so
                                            wenig auch noch zu sehen ist von
                                            einem auch nur einigermaßen
                                            hinlänglichen Verständnis für wahre
                                            Sozialisierung, so müssen wir doch
                                            sagen, wenn wir auf das soziale
                                            Leben ohne Voreingenommenheit
                                            hinschauen: So unklar auch gedacht
                                            werden mag über die Sache, etwas
                                            weltgeschichtlich Deutliches spricht
                                            sich in dem Ruf nach Sozialisierung
                                            aus. Wir sehen das wohl vielleicht
                                            am besten dadurch, daß gerade aus
                                            den furchtbaren wirtschaftlichen
                                            Erfahrungen des Krieges heraus
                                            immerhin selbst kapitalistisch
                                            orientierte Denker nicht umhin
                                            konnten, von der Notwendigkeit der
                                            Sozialisierung der Wirtschaft zu
                                            sprechen. Diese Notwendigkeit der
                                            Sozialisierung der Wirtschaft, sie
                                            wird zum Beispiel ganz energisch
                                            betont von einem sonst ganz in
                                            kapitalistischen Bahnen denkenden
                                            Manne, von Walther Rathenau. Ja, mit
                                            demjenigen, was der «Aufruf» meint,
                                            kann sogar in manchem der oder jener
                                            Berührungspunkt gefunden werden mit
                                            demjenigen, was Walther Rathenau zum
                                            Beispiel in seinem Büchelchen «Die
                                            neue Wirtschaft» ausführt. Aber wie
                                            wir gleich sehen werden, für den,
                                            der die Impulse der Dreigliederung
                                            des sozialen Organismus wirklich
                                            versteht, für den gibt es einen
                                            radikalen, einen fundamentalen
                                            Unterschied in der Sozialisierung
                                            des Wirtschaftlichen zwischen dem,
                                            was auf dem Boden dieser
                                            Dreigliederung als solche
                                            Sozialisierung gefordert werden muß,
                                            und Rathenaus Anschauungen. Und in
                                            diesem fundamentalen Unterschied
                                            zeigt sich gerade, was zum
                                            Allernotwendigsten im sozialen
                                            Streben der Gegenwart gehört.
 Wodurch sind denn die Menschen
                                            eigentlich auf wirtschaftlichem
                                            Gebiet in die
                                            Sozialisierungsgedanken, in die
                                            Sozialisierungsforderungen
                                            hineingekommen? Man hat ja durch
                                            lange Zeiten hindurch ein
                                            menschliches Ideal gesehen in dem,
                                            was man das freie Spiel der
                                            wirtschaftlichen Kräfte genannt hat.
                                            Ein großer Teil dessen, was man
                                            nennen kann die moderne
                                            privatkapitalistische
                                            Wirtschaftsform, das entstand als
                                            Ergebnis des freien Spiels der
                                            wirtschaftlichen Kräfte, der freien
                                            Konkurrenz der wirtschaftenden
                                            Persönlichkeiten und Gruppen. Dann
                                            aber, im Verlaufe jener Entwickelung
                                            der Wirtschaftsform, die sich
                                            herausgebildet hatte unter dem
                                            Einfluß der modernen Technik, unter
                                            dem Einfluß des modernen
                                            Kapitalismus und unter dem Einfluß
                                            des freien wirtschaftlichen
                                            Kräftespiels, da zeigte sich, daß
                                            immer mehr und mehr abgesondert
                                            wurde von einer menschlichen
                                            Minorität eben die proletarische
                                            Majorität, welche der Träger wurde
                                            jener drei großen Forderungen, die
                                            ich gerade vorhin charakterisiert
                                            habe. Und so entstand aus dem
                                            Proletariat heraus der berechtigte
                                            Ruf nach Sozialisierung, das ist
                                            nach dem Gegenteil des reinen Spiels
                                            der Kräfte auf dem Gebiete des
                                            Wirtschaftslebens. Dasjenige, was
                                            sich nach den Gedanken führender
                                            Persönlichkeiten des Proletariats im
                                            Wirtschaftsleben fortan entwickeln
                                            sollte, das sollte sein
                                            Durchorganisierung des ganzen
                                            Wirtschaftslebens. Und wir sehen ja,
                                            wie auf gewissen Gebieten,
                                            allerdings zum Schreck und Abscheu
                                            von vielen, das verwirklicht wird,
                                            was eine solche durchgreifende
                                            Organisierung ist. Für das alte
                                            freie Spiel der Kräfte fand man als
                                            Nachklang an frühere Staats- und
                                            Wirtschaftsordnungen noch den
                                            schönen Spruch von dem Heilsamen von
                                            Thron und Altar. Jetzt wird aus der
                                            Weltkriegskatastrophe heraus der Ruf
                                            und die Begeisterung für Thron und
                                            Altar verlassen, aber wir sehen
                                            etwas lauern, was sich auftut
                                            gegenüber dem früheren Thron und
                                            Altar. Nicht nur die bisher
                                            führenden Klassen, auch schon
                                            breiteste Schichten des wirklich
                                            vernünftigen, denkenden
                                            Proletariats, sie empfinden etwas
                                            Beängstigendes in der Frage: Wie
                                            wird es, wenn nun an die Stelle von
                                            Thron und Altar treten Kontor und
                                            Maschine, wird es da für uns besser
                                            werden? Könnten sich nicht unter
                                            Umständen aus den Reihen derer, die
                                            mit Fabrik und Kontor arbeiten,
                                            dieselben Diktatoren entwickeln, die
                                            sich entwickelt haben unter dem
                                            Einfluß von Thron und Altar? Hier
                                            liegt eine bedeutungsvolle Frage,
                                            aber auch eine Frage, deren gesunde
                                            Beantwortung auf einen Weg aus der
                                            sozialen Not zu wirklich praktischen
                                            Zielen führen muß. Ich rede ja
                                            gewissermaßen noch sehr abstrakt,
                                            allein in diesem Gedanken, den ich
                                            aussprechen will, liegt etwas, das
                                            praktische Anwendung finden kann auf
                                            allen Gebieten des
                                            Wirtschaftslebens, wenn man nur
                                            einmal die gesamten Angehörigen des
                                            Wirtschaftslebens zur Ordnung dieser
                                            Angelegenheiten aufruft. Aber so
                                            aufruft, daß Vertrauen herrschen
                                            kann zwischen allen diesen Gliedern
                                            des Wirtschaftslebens.
 Sprechen wir auf diesem Boden einmal
                                            ein offenes, ehrliches Wort. Es
                                            waren mir die Tage, die ich hier in
                                            Stuttgart mit den Vorträgen vor
                                            zahlreichen Proletarierversammlungen
                                            erlebt habe, ein großes Erlebnis.
                                            Ich sprach kaum, nur in der Form
                                            höchstens, zu den Proletariern
                                            anders, als ich hier spreche. Ich
                                            wurde, das zeigte sich, in der
                                            Schweiz und hier in breitesten
                                            Kreisen des Proletariats verstanden.
                                            Und was lehrte mich dieses? Das
                                            lehrte mich, daß es nur möglich ist,
                                            weiterzukommen, sei es mit
                                            Sozialisierung, sei es mit anderen
                                            sozialen Forderungen der Gegenwart,
                                            wenn wir arbeiten mit dem Vertrauen
                                            der Menschheit. Daß wir nur
                                            weiterkommen, wenn wir mit den
                                            Menschen arbeitend uns in Einklang
                                            setzen mit ihrem Wollen, wenn wir
                                            ablassen davon, das Heil nur darin
                                            zu suchen, Verordnungen von oben zu
                                            geben aus scheinbar überlegenem
                                            Verstand heraus. Wir können heute
                                            Diktaturen nur vermeiden, wenn wir
                                            diejenigen Worte finden, die, wenn
                                            sie der Einzelne ausspricht,
                                            ausgesprochen sind aus dem Herzen,
                                            aus den EmpFindungen der breitesten
                                            Massen gerade der arbeitenden
                                            Bevölkerung heraus. Das wollte ich
                                            vorausschicken. Es weist darauf hin,
                                            daß nicht in kleinen Zirkeln, mögen
                                            sie sich so oder so nennen, die
                                            sozialen Fragen, die unmittelbar
                                            dringend sind, gelöst werden können,
                                            daß sie gelöst werden müssen auf der
                                            breiten Basis der Fabriken, der
                                            Werkstätten, aus den Menschen
                                            heraus, nicht aus den
                                            sozialistischen Theorien heraus.
 
 Eine der ersten Forderungen, wenn
                                            man mit diesem Menschlichen rechnet,
                                            ist für das Wirtschaftsleben diese,
                                            daß nun aus den herben, aus den
                                            schreckensvollen Ereignissen der
                                            Weltkriegskatastrophe, das heißt,
                                            aus dem, woraus die
                                            Weltkriegskatastrophe geworden ist,
                                            daß aus dem gelernt werde, wie die
                                            Sozialisierung sich zu vollziehen
                                            hat. Das müssen wir lernen, daß
                                            alles von Unheil sein muß, was zu
                                            einer solchen Sozialisierung führt,
                                            die neuerdings staatliches oder
                                            rechtliches Leben mit
                                            wirtschaftlichem Leben vermengt.
 Immer wieder muß ich hinweisen auf
                                            jene unnatürliche Verquickung des
                                            wirtschaftlichen Lebens mit dem
                                            staatlichen oder Rechtsleben, wie es
                                            sich in Österreich in dem letzten
                                            Drittel des neunzehnten Jahrhunderts
                                            herausgebildet hat. Daß Österreich
                                            in einer so schrecklichen Weise
                                            verfallen ist, zum Verfall reif war
                                            lange vor der Weltkriegskatastrophe,
                                            daran ist schuld, daß man gerade auf
                                            diesem heißen Boden nicht verständen
                                            hat, wie zerstörend es wirken mußte,
                                            wenn im Aufgang des neueren
                                            Verfassungslebens der Rechtsstaat
                                            aus wirtschaftlichen Kurien heraus
                                            gebildet wurde. Nur durch Zwang ist
                                            man später, aber viel zu spät, zu
                                            etwas anderem übergegangen, als in
                                            den sechziger Jahren versucht worden
                                            ist. Man hat den sogenannten
                                            Reichsrat aus vier wirtschaftlichen
                                            Kurien gebildet: Großgrundbesitzer;
                                            Handelskammern; Städte, Märkte und
                                            Industrialorte; Landgemeinden. Rein
                                            wirtschaftliche Interessen wurden
                                            geltend gemacht auf dem Boden des
                                            Staates, wo das Recht entstehen
                                            sollte. Wirtschaftliche Interessen
                                            wurden in Rechte umgewandelt! Und
                                            wer jene staatliche Entwickelung,
                                            die man unter dem Ministerium Taa f
                                            f e im letzten Drittel des
                                            neunzehnten Jahrhunderts das
                                            Wursteln genannt hat, wer jene
                                            politische Entwickelung Österreichs
                                            sachgemäß studiert, der weiß, welche
                                            Keime des Unterganges darin lagen,
                                            daß man in diesen, auf die
                                            verschiedensten Nationalitäten sich
                                            stützenden Territorien nicht den
                                            Impuls fand, das Rechtsleben für
                                            sich gesondert zu entwickeln und das
                                            Wirtschaftsleben für sich gesondert
                                            zu entwickeln. Ich müßte viel
                                            sprechen — und durchgehend durch die
                                            Parlamente eigentlich aller
                                            gegenwärtigen Staaten, könnte man
                                            viel sprechen —, wenn ich im
                                            einzelnen nachweisen wollte, wie
                                            überall größer und größer geworden
                                            ist die Unmöglichkeit der
                                            Verschmelzung von politischem oder
                                            staatlichem oder Rechtsleben mit dem
                                            Wirtschaftsleben. Das muß von heute
                                            ab das erste Erfordernis sein,
                                            dieses wirtschaftliche Leben
                                            wiederum loszulösen von dem
                                            staatlichen Leben. Dann können wir
                                            mit Inanspruchnahme aller im
                                            Wirtschaftsleben tätigen
                                            Menschenkräfte, im Vertrauen auf
                                            diese zur sachgemäßen Sozialisierung
                                            schreiten, welche bestehen wird —
                                            ich habe das in meinem Buche
                                            ausgeführt und auch an anderen Orten
                                            angedeutet — in der Bildung von
                                            Assoziationen zunächst nach Berufen,
                                            dann nach Zusammenhängen,
                                            Koalitionen, Genossenschaften, die
                                            sich bilden aus dem Streben nach
                                            Harmonisierung der Verhältnisse in
                                            der Konsumtion und Produktion. Nur
                                            auf dieser Grundlage kann sich eine
                                            gesunde Sozialisierung ergeben. Sie
                                            wird sich ergeben, wenn man sowohl
                                            die Schäden des freien Spiels der
                                            Kräfte als auch die Schäden der
                                            mechanischen Sozialisierung sehen
                                            wird — beide Vorurteile haben sich
                                            für die Menschen ergeben —, nur dann
                                            wird sie sich ergeben, wenn gelernt
                                            wird aus den Dingen, die sich in der
                                            Weltgeschichte gezeigt haben, so daß
                                            man aus dem freien Spiel der Kräfte
                                            heraus sozialisieren wird in der
                                            Art, daß die Sozialisierung nicht
                                            entstehen wird durch die Ausrottung
                                            des freien Spiels der Kräfte,
                                            sondern gerade durch die
                                            verständnisvolle Arbeit des freien
                                            Spiels der Menschenkräfte. Das
                                            können Sie nur, wenn Sie Vertrauen
                                            ausbreiten, aber dann können Sie es!
                                            So ungefähr, möchte man sagen, ein
                                            gewisses Wort Gretchens zu Faust
                                            nachsprechend, so ungefähr meint es
                                            Walther Rathenau auch, aber die
                                            Dreigliederung des sozialen
                                            Organismus meint noch etwas
                                            wesentlich anderes. Sehen Sie,
                                            deshalb ist Walther Rathenaus
                                            Entwurf einer Sozialisierung etwas
                                            ganz anderes als jene
                                            Sozialisierung, die von der
                                            Dreigliederung vorgeschlagen werden
                                            mußte, weil Walther Rathenau sich
                                            gar nichts anderes vorstellen kann,
                                            als daß die Sozialisierung vor sich
                                            gehe und doch die Staatsaufsicht
                                            fortbestehe, und daß der Staat
                                            fortlaufend Gewinn herausziehe aus
                                            dem, was in den sozialisierten
                                            Betrieben produziert wird.
 Das bezeugt nur, daß ein Mensch, der
                                            schließlich von der Praxis gelernt
                                            haben könnte, doch in einer blinden
                                            Theorie befangen bleibt. Das bezeugt
                                            nur, wie stark suggestiv die
                                            Gedanken, die sich im Laufe der
                                            Entwickelung des neueren
                                            Kapitalismus gebildet haben, selbst
                                            bei den nach Sozialisierung
                                            Strebenden nachwirken, wie sehr man
                                            notwendig hat, sich gegen Vorurteile
                                            auf diesem Gebiete zu stemmen mit
                                            aller Kraft einer freien praktischen
                                            Einsicht in die Verhältnisse. Alles
                                            dasjenige, was an Ordnung des
                                            wirtschaftlichen Lebens, an das
                                            wirtschaftliche Leben durchziehender
                                            Vernünftigkeit, Verständigkeit, an
                                            Moralität aufgebracht werden soll,
                                            muß von den das Wirtschaftsleben
                                            selbst leitenden, selbständigen
                                            Persönlichkeiten und Körperschaften
                                            kommen. Gesund wird das
                                            Wirtschaftsleben erst entwickelt,
                                            wenn der Staat nichts anderes in das
                                            Wirtschaftsleben hineinzureden hat
                                            als das, was er durch die
                                            Persönlichkeiten, die am
                                            Wirtschaftsleben beteiligt sind, als
                                            Rechte besitzende Persönlichkeiten,
                                            hineinzureden hat.
                                            Selbstverständlich, wenn einer den
                                            andern betrügt auf dem Gebiet des
                                            Wirtschaftslebens, dann unterliegt
                                            er dem Staatsgesetz. Er unterliegt
                                            dem Staatsgesetz als Persönlichkeit.
                                            Aber dasjenige, was seine
                                            Funktionen, was seine Wirksamkeit im
                                            Wirtschaftsleben sind, das hat in
                                            der wirtschaftlichen Sozietät
                                            drinnen auf dem bloßen Vertrag zu
                                            beruhen, auf dem bloßen Vertrauen.
                                            Mag das auch auf sozialistischer
                                            Seite heute noch vielen Vorurteilen
                                            begegnen; wer nicht urteilt aus
                                            Begriffen, aus Ideen heraus, sondern
                                            aus jener Erfahrung, die die letzten
                                            Jahrzehnte europäischer Wirtschaft
                                            bis zum wirtschaftlichen Untergang
                                            im Kriege gebracht haben, der wird
                                            dieses sagen. Und er muß sagen: Zu
                                            gesunden wirtschaftlichen
                                            Verhältnissen werden wir nicht eher
                                            kommen, als bis die Loslösung des
                                            Wirtschaftslebens von dem
                                            Staatsleben sich vollzogen hat. Wir
                                            sind in die gegenwärtige Lage
                                            hineingekommen durch die Verquickung
                                            dessen, was auf Vertrauen und
                                            Vertrag beruhen soll, mit dem
                                            Staatlichen, das allein auf Gesetzen
                                            beruhen soll. Die Gesetze des
                                            Staates dürfen nur hineinleuchten in
                                            das Wirtschaftsleben, insofern sie
                                            durch die Persönlichkeiten
                                            hineinleuchten. Nur dadurch bringen
                                            wir heraus aus dem Wirtschaftsleben,
                                            was herausgebracht werden muß, das,
                                            was als Arbeitskraft gleich einer
                                            Ware heute für das proletarische
                                            Empfinden unrechtmäßigerweise in den
                                            Wirtschaftskreislauf hineingespannt
                                            ist.
 Das Wirtschaftsleben grenzt auf der
                                            einen Seite an die Naturbedingungen.
                                            Man denke sich einmal folgende
                                            Absurdität: es würde sich irgendein
                                            wirtschaftliches Konsortium
                                            zusammensetzen, es bestimmte seine
                                            Bilanz, die wahrscheinliche Bilanz
                                            für 1919; und dieses Konsortium
                                            nähme die Bilanz von 1918 vor und
                                            wollte danach aus Aktiven und
                                            Passiven bestimmen, wieviel Tage es
                                            zum Beispiel im Sommer 1919 regnen
                                            soll, damit eine wünschenswerte
                                            geschäftliche Konjunktur für das
                                            nächste Jahr herauskäme. Es ist das
                                            natürlich der reinste Unsinn, nicht
                                            wahr. Ich sage aber diesen Unsinn
                                            nur aus dem Grunde, weil daraus
                                            ersehen werden soll, daß sich nach
                                            der einen Seite hin das
                                            Wirtschaftsleben aufbaut auf die
                                            Naturbedingungen, die wir nicht aus
                                            diesem Wirtschaftsleben heraus
                                            restlos regeln können. Durch
                                            technische Einrichtungen können wir
                                            einiges tun, restlos regeln können
                                            wir sie aber nicht aus dem bloßen
                                            Wirtschaftsleben heraus. Ebenso nun,
                                            wie das Wirtschaftsleben auf der
                                            einen Seite an das Naturleben
                                            grenzt, so muß in der Zukunft das
                                            Wirtschaftsleben an das Rechtsleben
                                            des Staates grenzen, und in dem
                                            Rechtsleben des Staates muß alles
                                            reguliert werden, was eben dem
                                            Rechtsleben unterliegt, vor allen
                                            Dingen die menschliche Arbeitskraft.
                                            Für den Wirtschaftskreislauf muß die
                                            Regelung der menschlichen
                                            Arbeitskraft des Arbeiters außerhalb
                                            dieses Wirtschaftsprozesses liegen.
                                            So wie die Naturkraft unter dem
                                            Boden das Korn, den Weizen reift
                                            außerhalb des wirtschaftlichen
                                            Prozesses, so muß die Regulierung
                                            von Maß, Zeit und Art der
                                            Arbeitskraft des Arbeiters außerhalb
                                            des Wirtschaftsprozesses liegen.
                                            Nicht darf aus der wirtschaftlichen
                                            Konjunktur, nicht darf aus den
                                            wirtschaftlichen Voraussetzungen und
                                            Kräften heraus irgend etwas bestimmt
                                            werden mit Bezug auf Maß und Art der
                                            menschlichen Arbeitskraft. Mit Bezug
                                            auf die Arbeitskraft steht Mensch
                                            dem Menschen ganz anders gegenüber
                                            als mit Bezug auf jene Befriedigung
                                            der menschlichen Bedürfnisse, denen
                                            entsprochen wird durch den
                                            Wirtschaftskreislauf in
                                            Warenerzeugung, Warenverkehr und
                                            Warenkonsum. Aus dieser Zirkulation
                                            des Produzierens muß die
                                            Arbeitskraft herausgenommen werden,
                                            und im rein demokratischen
                                            Staatsleben, im abgesonderten, vom
                                            Wirtschaftsleben emanzipierten
                                            Staate reguliert werden. So ist der
                                            Wirtschaftsprozeß in gesunder Weise
                                            eingezwängt zwischen der Natur auf
                                            der einen Seite und dem Rechtsleben
                                            des Staates auf der andern Seite.
                                            Das muß alles im Geiste der
                                            Dreigliederung eingerichtet werden.
                                            Es kann nur dadurch geschehen, daß
                                            auf dem Boden des Staatslebens sich
                                            nicht das entwickelt, was sich nur
                                            im Drinnenstehen des
                                            Wirtschaftsprozesses von Mensch zu
                                            Mensch entwickeln kann, sondern daß
                                            auf dem Boden des Staatslebens nur
                                            alles das steht, was sich bezieht
                                            auf das Verhältnis des
                                            Einzelmenschen zum Einzelmenschen,
                                            das, worin jeder einzelne Mensch
                                            jedem anderen einzelnen Menschen
                                            gleich ist. Auf dem Boden dieses
                                            Staatslebens darf daher auch kein
                                            Gewinn walten, der von einem
                                            Menschenkonsortium, von einer
                                            wirtschaftlichen Gruppe, von einer
                                            wirtschaftlichen Gemeinschaft
                                            herkommt. Was auf wirtschaftlichem
                                            Boden gewonnen wird, muß auch
                                            wiederum in das Wirtschaftsleben der
                                            Menschen zur Erhöhung ihres
                                            Lebensstandes hineinfließen. Was dem
                                            Staate, nennen wir es Steuer oder
                                            wie immer, zufließt, das darf, wenn
                                            ich mich deutlich ausdrücken soll,
                                            nur aus dem Portemonnaie des
                                            einzelnen individuellen Menschen
                                            kommen. Dem Staat gegenüber kann nur
                                            der einzelne Mensch stehen; dann
                                            steht auch auf dem Boden des Staates
                                            nur der einzelne Mensch dem
                                            einzelnen Menschen gegenüber. Dann
                                            gedeihen auf dem Boden des Staates
                                            wirklich Menschheitsrechte. Dann
                                            löst sich die soziale Frage,
                                            insofern sie eine Arbeitsfrage ist,
                                            durch die Emanzipation des
                                            Staatslebens von dem
                                            Wirtschaftsleben, in dem dann nicht
                                            mehr walten kann der Zwang, durch
                                            den die Arbeitskraft im freien Spiel
                                            der Kräfte selbst ein Gegenstand
                                            dieses freien Spiels der Kräfte
                                            wird. Der Arbeiter muß seine
                                            Arbeitskraft reguliert haben, bevor
                                            er in die Werkstätte, bevor er in
                                            die Fabrik, bevor er in den
                                            Wirtschaftsprozeß eintritt. Dann
                                            tritt er als eine freie
                                            Persönlichkeit, deren Freiheit durch
                                            das Staatsarbeitergesetz garantiert
                                            ist, dem Leiter der Arbeit
                                            gegenüber; dann erst entwickelt sich
                                            ein gesundes Verhältnis.
 Hier stehen wir auf einem Boden
                                            wahrhaft praktischer Sozialisierung.
                                            Derjenige, der die Verhältnisse
                                            dieses Bodens durchschaut, der weiß,
                                            daß man aus andern Voraussetzungen
                                            Sozialisierungs-Rahmengesetze ohne
                                            Ende machen kann. Man kann sie heute
                                            machen, nach zwei Jahren nichtsnutz
                                            finden, reformieren, nach fünf
                                            Jahren wieder nichts-nutz finden und
                                            reformieren und so weiter. Man wird
                                            nicht früher zu einem gesunden,
                                            heilsamen Zustand kommen, bevor man
                                            sich aufschwingt, die Praxis an
                                            einem solchen Punkte anzugreifen,
                                            wie der ist, auf den ich eben
                                            hingewiesen habe. Das ist gerade das
                                            Charakteristische in der
                                            Entwickelung der neueren Zeit, daß
                                            diese Entwickelung vielfach für das
                                            menschliche Denken, für die
                                            menschlichen Denkgewohnheiten an der
                                            Oberfläche der Dinge haftet. Und
                                            jetzt, wo wir vor weltumwälzende
                                            Tatsachen gestellt sind, sehen wir
                                            in so vielen Fällen leider, leider
                                            die Unzulänglichkeit der alten
                                            Parteiurteile, die aufbauen sollten,
                                            und die sich im Aufbau oftmals
                                            verhalten nicht wie Urteile, die in
                                            die Wirklichkeit eingreifen, sondern
                                            wie Urteilsmumien, die gestorben
                                            sind unter der Parteisteifheit,
                                            unter der Parteiphilistrosität der
                                            neueren Zeit. Deshalb werden, man
                                            kann schon sagen, in den jetzigen
                                            Tagen, wo die Dinge eindringlich und
                                            gerade und ehrlich und wahr gesehen
                                            werden sollten, die wichtigsten
                                            Dinge so schief gesehen. Es ist
                                            begreiflich, daß gar manche, die den
                                            modernen Kapitalismus in seiner
                                            Heraufentwickelung gesehen haben,
                                            heute die Ansicht haben: Dieser
                                            ganze Privatkapitalismus muß fort,
                                            Gemeineigentum an allen
                                            Produktionsmitteln muß eintreten.
                                            —Begreiflich ist es, daß dieses
                                            Urteil, das sich durch Jahrzehnte,
                                            ich möchte sagen, aus blutenden
                                            Seelen heraus, aus Not und Elend
                                            gebildet hat, schwer abgelegt werden
                                            kann. Dennoch wird eine tiefere
                                            Frage auftauchen müssen — wir können
                                            ja in der modernen Wirtschaft ohne
                                            Kapitalanhäufungen nicht auskommen
                                            —, die Frage: Was muß mit den
                                            Kapitalanhäufungen verbunden sein?
                                            Mit den Kapitalanhäufungen muß
                                            verbunden sein die inviduelle
                                            Fähigkeit der Menschen, die
                                            Kapitalien in der entsprechenden
                                            Weise nicht in egoistischem, sondern
                                            gerade in sozialem Sinne zu
                                            verwenden. Das können wir nicht,
                                            wenn wir nicht die menschlichen
                                            individuellen Fähigkeiten pflegen,
                                            wenn wir nicht diesen menschlichen
                                            individuellen Fähigkeiten gerade
                                            zugänglich machen die jeweiligen
                                            Kapitalverwaltungen der Betriebe.
                                            Deshalb mußte auf dem Boden, auf dem
                                            dieser Ihnen heute wieder erwähnte
                                            Aufruf zur sozialen Dreigliederung
                                            entstanden ist, über die zukünftige
                                            Wirksamkeit des Kapitals zu einer
                                            Idee gegriffen werden, die etwas
                                            ganz anderes darstellt als das, was
                                            man heute noch vielfach als
                                            Sozialisierung des Kapitals auffaßt.
 Merkwürdig, man wird, gerade wenn
                                            man praktisch denkt, dazu geführt,
                                            die Kapitalverwaltung abhängig
                                            machen zu müssen von dem dritten
                                            Gebiete, das selbständig werden muß
                                            im gesunden sozialen Organismus, von
                                            dem emanzipierten geistigen
                                            Organismus. Wir haben es immer mehr
                                            und mehr dazu gebracht, daß das Band
                                            zwischen geistigem Arbeiten und
                                            zwischen der Arbeit des Kapitals im
                                            Wirtschaftsprozeß zerrissen wurde.
                                            Dadurch kamen wir immer mehr und
                                            mehr dazu, statt in den
                                            wirtschaftlichen Aufschwung, der mit
                                            Erhöhung des Lebensstandes der
                                            großen Massen verbunden sein kann,
                                            uns hineinzuentwickeln, trotz allen
                                            technischen Aufschwunges in eine Art
                                            wirtschaftlichen Raubbaues. Gerade
                                            mit Bezug auf die im modernen
                                            Wirtschaftsleben eine großartige
                                            Rolle spielenden Impulse, zum
                                            Beispiel den Impuls des Kredits, hat
                                            sich das moderne Wirtschaftsleben in
                                            eine merkwürdige Sackgasse hinein
                                            verrannt. Der Kredit auf dem Boden
                                            des Wirtschaftslebens ist heute
                                            etwas, was fast nur getragen werden
                                            kann von schon vorhandenen
                                            wirtschaftlichen Faktoren. Wir
                                            brauchen in der Zukunft die
                                            Möglichkeit, daß Kredit nicht nur
                                            auf dem Boden des Wirtschaftslebens
                                            geboren werde, wir brauchen die
                                            Möglichkeit, daß Kredit von außen
                                            her in das Wirtschaftsleben
                                            hineingeboren werden kann. Nicht
                                            wahr, eine paradoxe Behauptung, eine
                                            sonderbare Behauptung; aber
                                            dasjenige, was zugrunde liegt, ist
                                            so, wie es ist, noch sonderbarer.
                                            Man wird dadurch, daß das
                                            Geistesleben gegen die Zukunft hin
                                            selbständig wird, daß es aus seinen
                                            eigenen Bedingungen heraus sich
                                            entwickeln wird, hinauskommen über
                                            jenes abstrakte Geistesleben, über
                                            jenes Luxusgeistesleben, das keine
                                            Beziehung zur Lebenspraxis finden
                                            kann. Diejenigen, die mich kennen,
                                            werden mir nicht zumuten, daß ich
                                            das Geistesleben irgendwie
                                            heruntersetzen will. Allein
                                            dasjenige Geistesleben, das
                                            abgesondert von den beiden anderen
                                            sozialen Organismen sein wird, das
                                            aus seinen eigenen Bedingungen
                                            heraus sich entwickeln wird, das
                                            wird nicht ein abstraktes, bloß
                                            predigendes oder in abstrakten
                                            geistigen Höhen sich haltendes
                                            Geistesleben sein, das wird ein
                                            Geistesleben sein, das nicht zum
                                            abstrakten Wissen über das oder
                                            jenes bloß führt, sondern das dahin
                                            führt, die Menschen als Menschen
                                            fähig zu machen. Unsere dem Leben
                                            fremden Gymnasien werden wir in
                                            einer zukünftigen sozialen Ordnung
                                            allerdings nicht mehr brauchen
                                            können. Ähnliches auch nicht.
 Dasjenige aber, was leben wird, das
                                            wird etwas sein, was geistige
                                            Stoßkraft hat, was die menschliche
                                            Seele zu tragen vermag in all ihren
                                            geistigsten Bedürfnissen für das
                                            Leben. Gerade wenn man das
                                            ausbildet, was heute noch so viele
                                            Menschen als ein fernliegendes
                                            Geistesleben ansehen, dann kommt man
                                            dazu, jenen Weg zu finden, der nicht
                                            gefunden werden kann von unserer an
                                            den Staat geschmiedeten Erziehung,
                                            jenen Weg, der den Menschen als
                                            ganzen Menschen ausbildet, der den
                                            Menschen so ausbildet, daß
                                            irgendeine Geisteskultur nicht mehr
                                            möglich sein wird, ohne zugleich
                                            eine Geschicklichkeit für praktische
                                            Dinge zu sein, eine Möglichkeit, in
                                            praktische Dinge hineinzuschauen.
                                            Der Materialismus der neueren Zeit
                                            hat die Menschen unpraktisch
                                            gemacht. Ein wahres Geistesleben,
                                            das nicht Staatsknechtsleben auf dem
                                            Gebiete des Geistes sein wird, das
                                            wird die Menschen wieder praktisch
                                            machen, das wird nicht auf dem
                                            Gebiete der höchsten Kultur Menschen
                                            erzeugen, die glauben,
                                            Weltanschauungen zu haben, aber die
                                            nicht wissen, was eine Bank, was
                                            Kredit, was Hypotheken und so weiter
                                            sind, und wie diese im
                                            wirtschaftlichen Leben wirken. Das
                                            wird nicht Menschen erzeugen, die
                                            die Kräfte, von denen die Physik
                                            spricht, kennen, die aber niemals im
                                            Leben Holz gehackt haben. Ich meine
                                            das natürlich immer vergleichsweise.
                                            Von einem wahren, auf sich
                                            gestellten Geistesleben zu der
                                            Leitung des Wirtschaftslebens führt
                                            eine wirklich praktische Brücke. Der
                                            Kapitalismus kann in seinen Schäden
                                            nur dann überwunden werden, wenn die
                                            Verwaltung des Kapitalismus eng
                                            angeknüpft wird an die Gesundung des
                                            Geisteslebens. Dann wird das
                                            herauskommen, was gesunde
                                            Sozialisierung des Kapitals genannt
                                            werden kann. Dann werden aus dem
                                            Geistesleben immer diejenigen
                                            Menschen aufsteigen, die auch
                                            Kredit, neuen Kredit in das
                                            Wirtschaftsleben hineintragen
                                            können, die das Wirtschaftsleben
                                            immer neu befruchten können. Dann
                                            wird der Kreislauf des Kapitals
                                            möglich sein, von dem ich in meinem
                                            Buche spreche. Ich kann auf diese
                                            Punkte heute nur hinweisen. In den
                                            nächsten Vorträgen, die ich hier
                                            werde halten dürfen, wird über
                                            einzelne besondere Fragen dieser Art
                                            von mir gesprochen werden müssen,
                                            namentlich über die Beziehung von
                                            Kapital und Menschenarbeit.
 So sehen wir, wie sich werden
                                            verwirklichen können durch den
                                            dreigeteilten sozialen Organismus
                                            jene drei großen Impulse der
                                            menschlichen sozialen Entwickelung,
                                            die seit der Französischen
                                            Revolution, wie ich schon neulich
                                            erwähnte, als leuchtende Devisen vor
                                            dem menschlichen Streben stehen.
                                            Freiheit auf dem Gebiet des
                                            selbständigen Geisteslebens,
                                            Gleichheit auf allen Gebieten des
                                            Staatslebens, Brüderlichkeit durch
                                            die Assoziationen und
                                            Genossenschaften des auf sich selbst
                                            gebauten Wirtschaftslebens.
 
 Nun möchte ich zum Schlusse nur noch
                                            dieses sagen: Ich weiß, daß, wenn
                                            man so das Allgemeine hört, und noch
                                            nicht im speziell Praktischen das,
                                            was heute wieder gesagt worden ist,
                                            man viel dagegen haben kann, denn
                                            man weiß nicht, wie in den Gedanken
                                            von dieser Dreigliederung des
                                            gesunden sozialen Organismus
                                            wirklich alles praktisch
                                            zusammenhängt, von der Begründung
                                            der Universität bis zum Verkauf
                                            einer Zahnbürste. Gerade darauf
                                            beruht das Praktische des hier
                                            gemeinten Vorschlages, daß man
                                            mancherlei einwenden kann, wenn man
                                            nur das Allgemeine hört. Aber die
                                            Praxis wird hervortreten, wenn sich
                                            die Menschen aller Berufsklassen,
                                            aller menschlichen Betätigungsweisen
                                            in sozialer Arbeit im einzelnen
                                            Konkreten gerade an der
                                            Verwirklichung dieser Idee
                                            beteiligen. Gegenüber dem Einwand,
                                            daß das Idealismen oder gar, daß es
                                            etwas Utopistisches sei, gegenüber
                                            diesem Einwand wird sich erheben,
                                            was immer mehr und mehr zu den
                                            Menschen aus den ernsten Tatsachen
                                            der Zeit heraus sprechen wird.
 Solche Ideen, wie sie heute noch
                                            viele für praktisch halten, die sind
                                            im Juli und in den ersten
                                            Augusttagen des Jahres 1914 in einer
                                            sonderbaren Weise ad absurdum
                                            geführt worden durch die
                                            weltgeschichtliche Entwickelung. Ich
                                            habe in meiner Schrift «Die
                                            Kernpunkte der sozialen Frage» am
                                            Schlusse, wo die internationalen
                                            Verhältnisse besprochen werden,
                                            darauf aufmerksam gemacht, wie die
                                            Menschheit des In- und Auslandes
                                            heute noch keine Ahnung hat von dem,
                                            was in Berlin wirklich vorgegangen
                                            ist am letzten Julitag und in den
                                            ersten Augusttagen 1914. Was da
                                            vorgegangen ist, die Welt wird
                                            fordern, es kennenzulernen. Man wird
                                            sehen, wenn über diese Dinge die
                                            Wahrheit gesagt werden wird, daß ein
                                            furchtbares Licht fällt auf die
                                            Ereignisse in der neueren Zeit, ein
                                            Licht, welches zeigen wird, daß wir
                                            nicht bloß eine Umwandlung des einen
                                            oder anderen brauchen, daß wir neue
                                            Gedanken, neue Denkgewohnheiten
                                            brauchen, daß wir nicht nur
                                            Einrichtungen umwandeln müssen,
                                            sondern daß wir in den Gedanken
                                            unserer Köpfe umlernen, umdenken
                                            müssen.
 Wer sich ehrlich und aufrichtig in
                                            diese Sachlage hineinfindet, der
                                            wird nicht mutlos zurückweichen
                                            gegenüber den Einwänden derer, die
                                            da sagen: Du Idealist, bleib' bei
                                            deinem Leisten, bleib' bei deinen
                                            Idealen, schwätz uns nichts in die
                                            Praxis herein! — Diese Praktiker,
                                            sie werden sehen, als welcher
                                            Schädling sich diese Lebenspraxis
                                            enthüllen wird. Diejenigen, die aber
                                            die wahren Praktiker sind, und die
                                            aus den großen Impulsen der
                                            Menschheitsentwickelung heraus
                                            denken, die schreiben sich gar nicht
                                            eine besondere Gescheitheit zu. Denn
                                            dasjenige, was uns heute dazu
                                            drängt, so zu sprechen, wie zum
                                            Beispiel auch ich heute wiederum
                                            gesprochen habe, das sind die
                                            Tatsachen der Gegenwart selber. Oh,
                                            da kommt man sich manchmal so vor,
                                            daß man sich vergleichen möchte mit
                                            jenem Knaben, der da einmal saß an
                                            der Maschine und zu bedienen hatte
                                            die beiden Hähne, wo durch den einen
                                            der Dampf, durch den andern das
                                            Kondensierwasser eingelassen wurde.
                                            Der Knabe war wahrhaftig schon wegen
                                            seines Alters nicht ein genialer
                                            Erfinder, aber er stand vor der
                                            Maschine, die ihm durch ihre
                                            Tatsachen etwas enthüllte. Er sah,
                                            wie das öffnen des einen Hahnes mit
                                            dem Herabgehen des Balanciers auf
                                            der einen Seite, das öffnen des
                                            anderen Hahnes mit dem Herabgehen
                                            der Balancierstange auf der anderen
                                            Seite zusammenfielen. Da nahm er in
                                            seiner Naivität Stricke und knüpfte
                                            die Hähne an die Balancierstange —
                                            und siehe da, da stand er an seiner
                                            Dampfmaschine und konnte zuschauen,
                                            wie der Balancier immer auf und ab
                                            ging und die Hähne öffnete und
                                            wieder schloß. Damit aber war etwas
                                            Wichtiges gefunden. — Nicht der
                                            hatte damals recht, der nun zu jenem
                                            Knaben trat und sagte: Du
                                            Nichtsnutz, weg mit den Schnüren,
                                            bleibe nur beim öffnen der Hähne mit
                                            der Hand, — sondern der hatte recht,
                                            der die Selbststeuerung der
                                            Dampfmaschine fand durch die naiven
                                            Machinationen jenes Knaben.
 So gewaltig sprechen heute die
                                            Tatsachen, daß man sich wahrhaftig
                                            auch naiv vorkommt, wenn man findet,
                                            wie die Selbststeuerung des gesunden
                                            sozialen Organismus gefunden werden
                                            soll. Ich konnte Ihnen das heute nur
                                            andeuten. Sie wird gefunden werden,
                                            wenn in voller Selbständigkeit
                                            wirken werden: das Geistesleben auf
                                            sich selbst gestellt, das
                                            Wirtschaftsleben auf sich selbst
                                            gestellt, das politische oder
                                            Staatsleben auf sich selbst
                                            gestellt.
 Möge, damit möchte ich auch heute
                                            wiederum schließen, möge die
                                            Menschheit, insbesondere die
                                            mitteleuropäische Menschheit
                                            einsehen, was diese Impulse in den
                                            Lebensnotwendigkeiten der neueren
                                            Zeit bedeuten, bevor es zu spät ist.
                                            Denn eingesehen werden muß, daß wir
                                            uns heute nur wirksam zu praktischen
                                            Zielen aus der sozialen Not bewegen
                                            können, wenn wir zu Ideen kommen,
                                            die den Keim von Taten in sich
                                            haben. Keimhaltende Gedanken,
                                            Tatenkeim haltende Gedanken sind es,
                                            die gesucht werden sollen, und wir,
                                            die wir den dreigliedrigen sozialen
                                            Organismus vertreten in seinen drei
                                            Impulsen des selbständigen Geistes-,
                                            Wirtschaffs- und Rechtslebens, wir
                                            glauben, daß diese Impulse in die
                                            Menschheitsentwickelung
                                            hineingetragen werden müssen, bevor
                                            es zu spät ist.
 Schlußwort nach der Diskussion
 Meine sehr verehrten Anwesenden!
                                            Lange möchte ich Sie nicht mehr
                                            aufhalten mit meinem Schlußwort,
                                            nicht so sehr darum, weil nicht noch
                                            manches zu sagen wäre zu den
                                            Ausführungen der verehrten
                                            Diskussionsredner, sondern vor allen
                                            Dingen darum, weil wir schon zu sehr
                                            in der Zeit vorgeschritten sind.
                                            Deshalb wird wohl manches von dem,
                                            was, ich möchte sagen, doch nur
                                            dunkel angeklungen hat bei manchen
                                            der verehrten Diskussionsredner, in
                                            den nächsten zwei hier zu haltenden
                                            Vorträgen berücksichtigt werden
                                            müssen. Ich möchte aber auf einiges
                                            doch heute noch, wenn auch ganz
                                            kurz, eingehen. So verzeihen Sie die
                                            Kürze der Antwort auf die direkten
                                            Fragen, die an mich gestellt worden
                                            sind.
 Es ist die Frage gestellt worden,
                                            warum ich selbst — eventuell durch
                                            diejenigen, auf die mein Wort
                                            irgendwelchen Eindruck hätte machen
                                            können — nicht schon früher die
                                            Stimme des Friedens erhoben habe. —
 
 Nun, wenn auch selbst in dieser
                                            Diskussion Redner waren, die wieder
                                            den Vorwurf des Idealismus erhoben
                                            haben, so möchte ich doch ganz stark
                                            betonen, daß ich durch und durch
                                            Praktiker des Lebens bin und sein
                                            will, und daß daher für mich niemals
                                            in Betracht kommt, bloß gedachte
                                            Dinge zu propagieren, die nicht ihre
                                            Verwirklichungsmöglichkeiten in den
                                            Tatsachen des Lebens zeigen. Ich
                                            möchte deshalb auch mit einigen
                                            Tatsachen auf diese Fragen
                                            antworten. Was, glauben Sie, wäre
                                            ein wirklich praktischer Weg
                                            gewesen, Friedenspropaganda real,
                                            sagen wir hier in Stuttgart, zu
                                            treiben, nun, sagen wir in der Mitte
                                            des Jahres oder im Frühling des
                                            Jahres 1916? Indem man Sie hier
                                            zusammengerufen und Ihnen von der
                                            Notwendigkeit des Friedens schöne
                                            Worte gesprochen hätte? Glauben Sie,
                                            daß das etwa im Frühling des Jahres
                                            1916 so leicht ein wirklicher
                                            Lebenspraktiker hätte zustande
                                            bringen können? Nun, es gab aber
                                            andere Wege. Über diese Wege, die
                                            aus der Erkenntnis, aus der
                                            vollinhaltlichen Erkenntnis der
                                            Sache heraus kamen, versuchte man
                                            das, was dazumal das Richtige war,
                                            zu tun. Es wird schon einmal in gar
                                            nicht zu ferner Zukunft notwendig
                                            sein, über die Geschichte der
                                            letzten vier bis fünf Jahre
                                            ernsthaft zu reden, nicht so, wie
                                            man auch heute noch in. weiten
                                            Kreisen über die Geschichte dieser
                                            Jahre redet. Ich habe, um eine der
                                            Tatsachen zu erwähnen, dasjenige,
                                            was ich für notwendig hielt, schon
                                            im Frühling des Jahres 1916 an
                                            derjenigen Stelle, wo es möglich
                                            gewesen wäre, zu praktischer Tat
                                            überzugehen, voll vertreten. Ich
                                            habe alles mögliche versucht. Zum
                                            Teil wegen Mangel an Zeit, denn ich
                                            müßte viel darüber reden, will ich
                                            es nicht weiter ausführen. Es kam so
                                            weit, daß einmal meine Aufgabe
                                            gegenüber den furchtbaren
                                            Ereignissen an einem bestimmten Tag
                                            hätte beginnen sollen. Da aber kam
                                            von letzter Instanz, trotzdem
                                            diejenigen, die die Sache geprüft
                                            hatten, die Sache für sehr
                                            aussichtsvoll hielten, da kam von
                                            derjenigen Instanz, an welche
                                            zahlreiche Menschen glauben, weil
                                            ihnen befohlen war, zu glauben, die
                                            sonderbare Verfügung, so will ich es
                                            nennen: Der ist ja ein
                                            österreichischer Deutscher. Bevor
                                            wir für solche Dienste Österreicher
                                            verwenden, müssen wir unsere fähigen
                                            deutschen Leute dazu anstellen. —
                                            Das ist die Wahrheit! So kann eine
                                            Wahrheit sein! Würde ich Ihnen im
                                            ganzen Zusammenhang die Dinge
                                            erzählen, dann würde mich niemand
                                            fragen, warum ich nicht früher für
                                            dasjenige eingetreten bin, für das
                                            ich heute eintrete. Und noch etwas.
                                            Im Beginn dieses Jahrhunderts und am
                                            Ende des vorigen Jahrhunderts war
                                            ich Lehrer an einer
                                            Arbeiterbildungsschule, die von dem
                                            alten Wilhelm Liebknecht gegründet
                                            war. In jener Arbeiterbildungsschule
                                            habe ich mir bei den Schülern eine
                                            sehr treue Anhängerschaft
                                            herangebildet. Vielleicht wissen
                                            aber die hier anwesenden Angehörigen
                                            der Sozialistischen Partei, daß es
                                            auch innerhalb dieser Partei
                                            sogenannte Bonzen gibt. Und so kam
                                            es denn eines schönen Tages, daß
                                            jene Bonzen, weil ich nicht eine
                                            rechtgläubige, dogmatische,
                                            materialistische
                                            Geschichtsauffassung lehren wollte,
                                            daß vier Leute gegen sechshundert
                                            meiner Schüler — vier Leute, die
                                            mich nie gehört hatten, gegen
                                            sechshundert meiner Schüler, die
                                            mich seit Jahren gehört hatten --
                                            auftraten und es zuwege brachten,
                                            daß mir der Stuhl vor die Türe
                                            gesetzt worden ist. Das ist auch ein
                                            kleines Kapitel, warum diejenigen
                                            Dinge, von denen jetzt von mir
                                            gesprochen wird, nicht früher
                                            gesprochen worden sind. Wer weiß,
                                            wie und wo ich sie gesprochen habe,
                                            der frägt nicht danach. Aber etwas
                                            anderes ist es, ob jemand etwas
                                            spricht oder ob ihm jemand zuhört.
                                            Ich glaube sehr stark, daß viele von
                                            denen, die mir heute zuhören, ganz
                                            und gar nicht zugehört hätten, bevor
                                            die großen Lehren der furchtbaren,
                                            der schrecknisvollen Ereignisse der
                                            letzten Jahre gekommen sind. Das ist
                                            auch etwas, was berücksichtigt
                                            werden muß.
 Wenn gesagt worden ist, daß ein
                                            Zankapfel geworfen werden sollte
                                            zwischen Staat und Arbeit, dann,
                                            bitte, muß ich auch auf einen der
                                            nächsten Vorträge verweisen. Da wird
                                            hervorgehen, daß der verehrte Herr
                                            Vorredner mich ganz mißverstanden
                                            hat, wenn er glaubt, daß ich nur in
                                            irgendeinem Punkte den Staat zum
                                            Wirtschafter machen möchte. Das wird
                                            nicht der Fall sein, sondern der
                                            Staat wird in nichts eine
                                            wirtschaftliche Rolle spielen, also
                                            kann er auch nicht der Auszahler des
                                            Lohnes sein, sondern es handelt sich
                                            für ihn um die Freiheit der
                                            Arbeitskraft. In diesem Sinne bin
                                            ich auch von vielen richtig
                                            verstanden worden.
 Nun habe ich nur kurz mit einzelnen
                                            Tatsachen auf gewisse Fragen
                                            geantwortet. Es wird schon im Laufe
                                            der Zeit gerade auf diese Fragen
                                            noch recht, recht sehr anders
                                            geantwortet werden.
 Wenn nun einer der verehrten Herren
                                            Vorredner darauf hingewiesen hat,
                                            daß gesagt worden ist, ich hätte die
                                            Dinge nicht begründet, so muß gesagt
                                            werden, daß es sich ja gerade darum
                                            handelt, daß diese Dinge nur aus der
                                            Lebenserfahrung heraus begründet
                                            werden können, daß, wenn sie
                                            ausgesprochen werden, sie als ein
                                            Appell an das menschliche Denken und
                                            menschliche Erfahren gehen. Man muß
                                            sich wirklich einmal zum Leben
                                            hinwenden, sonst kommen wir nicht
                                            vorwärts. Hier ist einmal etwas, was
                                            an die Menschen so herantritt, daß
                                            sie ihm ihr freies Verständnis
                                            entgegenbringen sollen. Wir haben ja
                                            leider erlebt, daß viel verstanden
                                            worden ist in der letzten Zeit —
                                            nun, was ich nicht verstanden habe,
                                            sind die Dinge, die sich gewisse
                                            Herrschaften in den letzten Jahren
                                            in recht schöne Rahmen haben
                                            einrahmen lassen, die Spruchworte
                                            von gewisser Seite her, die habe ich
                                            nicht verstanden. Der Unterschied
                                            zwischen dem, was hier verstanden
                                            werden soll und demjenigen, was so
                                            leicht verstanden wurde im Laufe der
                                            letzten Jahre, der Unterschied
                                            zwischen beiden ist der, daß
                                            natürlich hier mit dem Verstehen
                                            eine Tat der inneren Freiheit
                                            vorliegen soll. Dort war das
                                            Verständnis befohlen. Richten wir
                                            uns einmal auf, versuchen wir zu
                                            verstehen, was uns zu verstehen
                                            nicht befohlen wird, und versuchen
                                            wir darauf zu kommen, wieviel von
                                            dem, was wir zu verstehen glauben,
                                            wir nur deshalb zu verstehen
                                            glauben, weil es uns eingeimpft,
                                            einerzogen oder zu verstehen
                                            befohlen ist. Nun, wer ein
                                            Lebenspraktiker ist, kann
                                            schließlich verstehen, wenn jemand
                                            sagt: Seid nicht hart gegen den
                                            Geldsackträger, habt doch Mitleid
                                            mit dem oder jenem. Aber solche
                                            Anweisungen sind doch eigentlich nur
                                            recht egoistische Anweisungen,
                                            wirklich nur egoistische
                                            Anweisungen, denn darauf kommt es ja
                                            nicht an, ob nun jemand einsieht,
                                            daß das Geld Dreck ist, oder
                                            fortdauernd glaubt, daß das Geld ein
                                            kleiner Gott ist. Darauf kommt es
                                            den sozial Denkenden ja gar nicht
                                            an, sondern darauf kommt es an, was
                                            das Geld und ein Mensch, der das
                                            Geld hat, für eine soziale Rolle
                                            spielt.
 Man muß sich nicht verschließen in
                                            solchen Gefühlen: Wir haben Mitleid
                                            mit dem Geldsackträger —, sondern
                                            man muß den Kopf aufmachen für die
                                            Verhältnisse, nicht bloß für das,
                                            was man nach seinem Geschmack
                                            bemitleiden oder nicht bemitleiden
                                            will. Da handelt es sich darum, sich
                                            das müßige Predigen abzugewöhnen.
                                            Dieses müßige Predigen gehört zu
                                            dem, was uns in Not und Elend
                                            gebracht hat. Ich habe immer wieder
                                            zu meinen Zuhörern bildlich gesagt:
                                            Alles Reden über Nächstenliebe, über
                                            Brüderlichkeit ist ja schön, es tut
                                            so wohl der innerlich egoistischen
                                            Seele, wenn man in gutgeheiztem
                                            Zimmer über die Nächstenliebe redet,
                                            darüber, daß man alle Menschen ohne
                                            Unterschied des Standes lieben soll
                                            und so weiter. Aber das ist nun
                                            gegenüber der Wirklichkeit so, wie
                                            wenn ich mich vor den Ofen
                                            hinstelle, so sagte ich, und spreche
                                            zu dem Ofen: Du Ofen, es ist deine
                                            Ofenpflicht, das Zimmer zu heizen.
                                            So wie du aussiehst, trägst du
                                            Ofenphysiognomie, solch ein
                                            Gegenstand hat den kategorischen
                                            Imperativ, das Zimmer warm zu
                                            machen. — Aber es wird nicht warm,
                                            ich kann predigen, soviel ich will.
 Und so predigen die Leute in
                                            Abstraktionen immer wieder und
                                            wiederum, es wird nicht warm, aber
                                            draußen geht es mittlerweile drunter
                                            und drüber. Das, um was es sich
                                            handelt, ist, daß ich mein Predigen
                                            einstelle, durch meine Gedanken
                                            sorge, wie Wärme zustande kommt auf
                                            vernünftige Weise, und daß ich
                                            Brennholz herbeischaffe und Feuer
                                            mache. Bei den Dingen, um die es
                                            sich jetzt handelt, kommt es darauf
                                            an, daß in unseren Gedanken Keime
                                            liegen zu dem, was getan werden
                                            kann. Das glaube ich, wird
                                            derjenige, der wirklich sucht,
                                            finden in dem, was mit dem Aufruf,
                                            was mit meinem Buche «Die Kernpunkte
                                            der sozialen Frage in den
                                            Lebensnotwendigkeiten der Gegenwart
                                            und Zukunft» eigentlich gemeint ist.
                                            Der Worte, die bloß Worte sind, sind
                                            schon genug gewechselt, jetzt
                                            brauchen wir Taten. Aber über die
                                            Taten müssen wir uns, wenn sie
                                            vernünftig sein sollen, erst
                                            verständigen. Keimgedanken zu Taten
                                            brauchen wir, solche Keimgedanken,
                                            die möglichst bald zu Taten führen,
                                            ehe es zu spät ist.
 
 
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