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Collection:  340 - Cours d'économie nationale.

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Sujet: 

DEUXIEME CONFÉRENCE,
Dornach, 25 juillet 1922

ZWEITER VORTRAG,
Dornach, 25. Juli 1922



Les références : Rudolf Steiner Œuvres complètes GA340 023-037 (2002) 25/07/1922

Original



Traducteur: FG  v. 01 08/06/2022
Editeur: SITE

Les premiers concepts et façons de voir que nous aurons à développer, tout de suite dans le domaine d'économie de peuple, devront être quelque peu compliqués, et ce pour une raison très objective. Vous devez vous représenter que l'économie de peuple, même si nous la considérons comme une économie mondiale, est en constante évolution, que j'aimerais dire, comme le sang circule à travers l'humain, ainsi les biens circulent comme marchandises par tous les chemins possibles à travers tout le corps économique. En cela nous avons alors à saisir comme les choses les plus importantes à l'intérieur de ce processus d'économie de peuple, ce qui se joue entre l'achat et la vente. C'est du moins ce qui doit valoir pour l'économie de peuple actuelle. Ce qui toujours sinon aimerait être disponible - et nous aurons à discuter des diverses impulsions qui sont contenues dans le corps d'économie de peuple - mais quoi qu'il en soit : l'économie de peuple en tant que telle s'approche de l'humain quand il a quelque chose à vendre ou à acheter. C'est ce qui se joue entre l'acheteur et le vendeur, à quoi finalement vise, culmine, toute pensée instinctive sur l'économie de peuple de chaque humain naïf, et sur quoi, pris fondamentalement, tout arrive.

01

Es werden die ersten Begriffe, Anschauungen, die wir zu entwickeln haben gerade auf volkswirtschaftlichem Gebiete, etwas kompliziert sein müssen, und das aus einem ganz sachlichen Grunde. Sie müssen sich vorstellen, daß die Volkswirtschaft, auch wenn wir sie als Weltwirtschaft auffassen, in einer fortwährenden Bewegung ist, daß, ich möchte sagen, wie das Blut durch den Menschen, so die Güter als Waren auf allen möglichen Wegen durch den ganzen volkswirtschaftlichen Körper hindurchfließen. Dabei haben wir dann als die wichtigsten Dinge innerhalb dieses volkswirtschaftlichen Prozesses aufzufassen dasjenige, was sich abspielt zwischen Kauf und Verkauf. Wenigstens muß das für die heutige Volkswirtschaft gelten. Was auch immer sonst vorliegen mag — und wir werden ja die verschiedensten Impulse, die im volkswirtschaftlichen Körper enthalten sind, zu besprechen haben —, was aber auch immer vorliegen mag : die Volkswirtschaft als solche kommt an den Menschen heran, wenn er irgend etwas zu verkaufen oder zu kaufen hat. Was sich zwischen Käufer und Verkäufer abspielt, ist das, wonach schließlich alles instinktive Denken über die Volkswirtschaft jedes naiven Menschen abzielt, gipfelt, und worauf im Grunde genommen alles ankommt.

Maintenant, prenez seulement une fois ce qui se fait valoir là, quand, à l'intérieur de la circulation d'économie de peuple, de l'achat et la vente entrent en considération. Ce dont il s'agit pour l'humain, c'est le prix d'une quelque marchandise, d'un quelque bien. La question du prix est absolument en fin de compte cette question à laquelle les explications d'économie de peuple les plus importantes doivent conduire/courir, car dans le prix culmine tout ce qui d'impulsions, de forces est en fait actif dans l'économie de peuple. Donc, dans une certaine mesure, nous devrons d'abord saisir de l'œil le problème des prix, mais le problème du prix n'est pas d'une simplicité extraordinaire. Vous avez donc seulement à penser au cas le plus simple : nous avons à un endroit, A, une quelque marchandise, qui a un certain prix dans cet endroit A ; elle n'y sera pas achetée, elle sera conduite plus loin. Il devra être ambitionné qu'alors au prix, s'ajoute ce qui était nécessaire pour payer le fret jusqu'à la deuxième place, B. Le prix change pendant la circulation. C'est le cas le plus simple, j'aimerais dire le plus banal. Mais bien sûr, il y a des cas beaucoup plus compliqués.

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Nun, nehmen Sie nur einmal dasjenige, was da sich geltend macht, wenn innerhalb der volkswirtschaftlichen Zirkulation Kauf und Verkauf in Betracht kommen. Das, worauf es dem Menschen ankommt, das ist der Preis irgendeiner Ware, irgendeines Gutes. Die Preisfrage ist überhaupt zuletzt diejenige Frage, auf die die wichtigsten volkswirtschaftlichen Auseinandersetzungen hinauslaufen müssen; denn im Preis gipfelt alles, was in der Volkswirtschaft eigentlich an Impulsen, an Kräften tätig ist. Wir werden also gewissermaßen zuerst das Preisproblem ins Auge zu fassen haben; aber das Preisproblem ist kein außerordentlich einfaches. Sie brauchen ja nur an den einfachsten Fall zu denken: Wir haben an einem Orte, A, irgendeine Ware, die hat an diesem Orte A einen bestimmten Preis; sie wird dort nicht gekauft, sie wird weitergefahren. Es muß angestrebt werden, daß dann zu dem Preis hinzukommt dasjenige, was notwendig war, an Frachtgut zu bezahlen bis zum zweiten Orte, B. Der Preis ändert sich während der Zirkulation. Das ist der einfachste, ich möchte sagen der platteste Fall. Aber es gibt ja natürlich viel kompliziertere Fälle.

Supposons, disons, qu'une maison dans une grande ville coûte tant et tant à un moment donné. Après quinze ans, la même maison coûte peut être six ou huit fois autant. Et nous n'avons même pas besoin de penser, en parlant de cette hausse des prix, que la chose principale reposerait dans la dévaluation de l'argent. Nous ne voulons pas du tout supposer cela. L'augmentation des prix peut simplement être due au fait qu'entre-temps beaucoup d'autres maisons ont été construites tout autour, dans les environs se trouvent d'autres bâtiments qui augmentent particulièrement la valeur de la maison. Il peut résider dans dix ou quinze autres circonstances que le prix de cette maison a été augmenté. Nous ne sommes en fait jamais dans la situation de dire quelque chose de général dans des cas particuliers : pour les maisons, les marchandises en fer ou pour les céréales, reposent la possibilité de déterminer clairement le prix pour un quelque endroit à partir d'une quelque condition. - Tout d'abord, nous ne pouvons pas en dire beaucoup plus : nous devons observer comment le prix fluctue avec le lieu, avec le temps. - Et nous pouvons peut-être suivre certaines des conditions par lesquelles, dans un lieu concret, le prix s'établit tout de suite de la manière qu'il est. Mais il ne peut y avoir une définition générale de comment le prix se compose d'une quelque manière, elle est en fait impossible. Par conséquent, cela doit toujours de nouveau et à nouveau surprendre, que, dans les œuvres d'économies nationales usuelles, nous trouvions parlé sur le prix comme si on pouvait définir le prix. On ne peut pas le définir, car le prix est partout un concret, et avec chaque définition on a tout de suite, chez des choses d'économie de peuple, en fait quelque chose de donné qui ne s'approche pas une fois de la chose de quelque façon que ce soit.

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Nehmen Sie an, sagen wir, ein Haus in einer größeren Stadt kostet zu irgendeiner Zeit so und so viel. Nach fünfzehn Jahren kostet dasselbe Haus vielleicht sechs- oder achtmal so viel. Und dabei brauchen wir gar nicht, indem wir von dieser Preiserhöhung sprechen, daran zu denken, daß etwa die Hauptsache in der Geldentwertung liege. Das wollen wir gar nicht annehmen. Die Preiserhöhung kann einfach darin liegen, daß mittlerweile viele andere Häuser ringsherum gebaut worden sind, in der Nähe andere Gebäude liegen, die den Wert des Hauses besonders erhöhen. Es kann durchaus in zehn, fünfzehn anderen Umständen liegen, daß dieses Haus im Preis erhöht worden ist. Wir sind niemals eigentlich in der Lage, im einzelnen Falle etwas Generelles zu sagen, etwa zu sagen: Bei Häusern oder bei Eisenwaren oder bei Getreide liegt vor die Möglichkeit, für irgendeinen Ort eindeutig aus irgendwelchen Bedingungen heraus den Preis zu bestimmen. — Wir können zunächst eigentlich nicht einmal viel mehr sagen als : Wir müssen beobachten, wie der Preis schwankt mit dem Ort, mit der Zeit. — Und wir können einzelne von den Bedingungen vielleicht verfolgen, durch die an einem konkreten Orte der Preis sich gerade herausstellt in der Weise, wie er ist. Aber eine allgemeine Definition, wie der Preis sich irgendwie zusammensetzt, die kann es nicht geben, die ist eigentlich unmöglich. Daher muß es immer wieder und wiederum überraschen, daß wir in gebräuchlichen nationalökonomischen Werken so über den Preis gesprochen finden, als ob man den Preis definieren könne. Man kann ihn nicht definieren; denn der Preis ist überall ein konkreter, und mit jeder Definition hat man gerade bei volkswirtschaftlichen Dingen eigentlich etwas gegeben, das nicht einmal annähernd irgendwie an die Sache herankommt.

Par exemple, j'ai vécu une fois le cas de parcelles de terrain dans une région où les prix étaient très bas. Une société a un homme assez célèbre en son centre. Cette société s'achète maintenant tout le terrain bon marché et fait ensuite construire une maison à l'homme célèbre dans ce quartier. Alors, les terrains seront proposés. Ils sont à proposer pour essentiellement plus cher en argent qu'ils n'ont été achetés, purement par ce que l'homme célèbre a été incité à se construire une maison là.

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Ich habe zum Beispiel einmal den Fall erlebt: In einer Gegend sind die Grundstücke recht billig. Eine Gesellschaft hat in ihrer Mitte einen ziemlich berühmten Mann. Diese Gesellschaft kauft sich nun sämtlich die billigen Grundstücke und veranlaßt dann den berühmten Mann, in dieser Gegend sich ein Haus zu bauen. Dann werden die Grundstücke ausgeboten. Sie sind um wesentlich teureres Geld auszubieten, als sie gekauft worden sind, bloß dadurch, daß man den berühmten Mann veranlaßt hat, sich dort ein Haus hinzubauen.

Ce sont des choses qui vous montrent de quelles conditions indéterminées dépend le prix d'une chose dans le processus d'économie de peuple. Vous pouvez maintenant naturellement dire : oui, mais de telles choses, on doit les piloter. - Les réformateurs fonciers et des personnes semblables s'opposent à de telles choses, veulent déterminer d'une certaine manière un prix équitable pour les choses par toutes sortes de mesures. On le peut, mais pensé en termes d'économie de peuple, le prix n'est pas changé par cela. On peut par exemple, disons, quand quelque chose comme cela se passe et qu'alors les parcelles de terrain seront vendues plus cher, on peut à nouveau retirer l'argent aux gens sous forme d'un impôt foncier élevé. Alors l'État met ce qui en tombe dans sa poche. Mais on n'a pas encore saisi la réalité avec cela. En réalité, la chose est malgré tout devenue plus chère. Vous pouvez donc prendre des contre-mesures, mais elles cachent seulement la chose. Le prix est quand même celui qui serait devenu sans ces mesures. On fait seulement un réarrangement ; et ce n'est pas pensé économiquement quand on dit alors que les propriétés ne sont pas devenues plus chères après dix ans quand on a caché la chose par des mesures. Il s'agit de ce que l'économie de peuple doit se tenir avec les deux jambes justement dans la réalité et que, dans l'économie de peuple, on doit seulement toujours parler des conditions/rapports qui sont là tout de suite à une époque donnée et tout de suite là où on parle. Que les choses puissent être différentes se donnera alors pour celui qui veut le progrès de l'humanité ; mais les choses devront d'abord être considérées dans leur réalité de l'instant. De là, vous voyez comme c'est en fait impossible d'approcher quelque chose comme le concept le plus important dans l'économie de peuple : le prix, et vouloir saisir ce prix avec un concept aux contours très nets. Ainsi dans l'économie de peuple, on ne peut pas venir à quelque chose de tel. D'autres chemins devront absolument être empruntés. Le processus d'économie de peuple lui-même devra être regardé.

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Das sind Dinge, die Ihnen zeigen, von welchen unbestimmten Bedingungen der Preis einer Sache im volkswirtschaftlichen Prozeß abhängt. Sie können nun natürlich sagen: Ja, aber solchen Dingen muß man steuern. — Bodenreformer und ähnliche Leute stemmen sich gegen solche Dinge, wollen in einer gewissen Weise eine Art gerechten Preises für die Dinge feststellen durch allerlei Maßregeln. Das kann man; aber volkswirtschaftlich gedacht, wird dadurch der Preis nicht geändert. Man kann zum Beispiel, sagen wir, wenn so etwas geschieht und dann die Grundstücke teurer verkauft werden, man kann den Leuten das Geld wiederum in Form einer hohen Grundsteuer abnehmen. Dann steckt der Staat dasjenige, was abfällt, ein. Die Wirklichkeit hat man aber damit doch nicht ergriffen. In Wirklichkeit ist die Sache dennoch teurer geworden. Sie können also Gegenmaßregeln ergreifen, die kaschieren aber nur die Sache. Der Preis ist doch derjenige, der er geworden wäre ohne diese Maßregeln. Man macht nur eine Umlagerung; und volkswirtschaftlich gedacht ist das nicht, wenn man dann sagt, die Grundstücke sind nach zehn Jahren nicht teurer geworden, wenn man durch Maßregeln die Sache kaschiert hat. Es handelt sich darum, daß Volkswirtschaft mit beiden Beinen eben in der Wirklichkeit stehen muß, und man in der Volkswirtschaft immer nur sprechen kann von den Verhältnissen, die gerade in einem Zeitalter und gerade dort sind, wo man spricht. Daß die Dinge anders sein können, das wird sich natürlich dann für den ergeben, der den Fortschritt der Menschheit will; aber zunächst müssen die Dinge in ihrer augenblicklichen Wirklichkeit betrachtet werden. Daraus ersehen Sie, wie unmöglich es eigentlich ist, heranzugehen an so etwas, wie an den allerwichtigsten Begriff in der Volkswirtschaft : den Preis, und diesen Preis mit einem scharf konturierten Begriff erfassen zu wollen. So kann man nicht in der Volkswirtschaftslehre zu etwas kommen. Es müssen eben durchaus andere Wege eingeschlagen werden. Der volkswirtschaftliche Prozeß selbst muß betrachtet werden.

Néanmoins, le problème du prix est le plus important de tous, et nous devons nous diriger vers ce problème du prix, c'est-à-dire saisir de l'œil le processus d'économie de peuple et essayer d'attraper le point, pour ainsi dire, où, n'importe où ou n'importe quand, le prix résulte des soubassements d'économie de peuple pour une quelque chose.

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Trotzdem ist das Preisproblem das allerwichtigste, und wir müssen auf dieses Preisproblem hinsteuern, müssen also den volkswirtschaftlichen Prozeß ins Auge fassen und versuchen, gewissermaßen zu erhaschen den Punkt, wo irgendwo oder irgendwann der Preis sich aus den volkswirtschaftlichen Untergründen heraus für irgendeine Sache ergibt.

Quand vous suivez maintenant les enseignements/théories d'économie de peuple d'usage, ainsi vous trouverez habituellement énumérés là trois facteurs, par desquels l'interaction de l'ensemble de l'économie de peuple se joue. Vous trouvez répertoriés : la nature, le travail humain et le capital. Certes, on peut dire tout d'abord : quand on suit le processus d'économie de peuple, on trouve au cours de celui-ci ce qui vient de la nature, ce qui est obtenu par le travail humain, et ce qui sera entrepris ou sera ordonné par le capital. Mais quand nous regardons ainsi, j'aimerais dire, simplement l'un à côté de l'autre la nature, le travail et le capital, ainsi on ne saisira pas vivant le processus d'économie de peuple. Par une telle considération, on sera conduit aux unilatéralités les plus diverses. Et l'histoire de la théorie de l'économie de peuple montre donc cela. Pendant que les uns pensent que toute valeur reposerait dans la nature et qu'en réalité aucune valeur particulière ne s'ajouterait à la matière des objets naturels par le travail humain, d'autres sont d'avis qu'en fait toute valeur d'économie de peuple est imprimée à un quelque bien, une marchandise, par le, comme on dit aussi volontiers, le travail cristallisé en elle. À nouveau, à l'instant où vous juxtaposez le capital et le travail, vous trouverez d'un côté que les gens disent que c'est en fait le capital qui rend le travail uniquement possible, et que le salaire serait payé sur la masse du capital. De l'autre côté, sera dit : Non, tout ce qui produit des valeurs, c'est le travail, et ce que gagne/remporte le capital est seulement la valeur ajoutée/plus-value retirée du résultat du travail.

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Wenn Sie nun die gebräuchlichen Volkswirtschaftslehren verfolgen, so finden Sie gewöhnlich dort drei Faktoren verzeichnet, durch deren Ineinanderwirken die gesamte Volkswirtschaft sich abspielen soll. Sie finden verzeichnet: die Natur, die menschliche Arbeit und das Kapital. Gewiß, man kann zunächst sagen : Wenn man den Volkswirtschaftsprozeß verfolgt, so findet man im Verlaufe desselben dasjenige, was von der Natur stammt, dasjenige, was durch menschliche Arbeit erreicht, und dasjenige, was unternommen wird oder geordnet wird durch das Kapital. Aber wenn man so, ich möchte sagen, einfach nebeneinander betrachtet Natur, Arbeit und Kapital, so wird man nicht lebendig den volkswirtschaftlichen Prozeß erfassen. Man wird gerade durch eine solche Betrachtung zu den mannigfaltigsten Einseitigkeiten geführt werden. Und das zeigt ja die Geschichte der Volkswirtschaftslehre. Während die einen meinen, aller Wert liege in der Natur und eigentlich käme kein besonderer Wert zu dem Stoffe der Naturobjekte hinzu durch die menschliche Arbeit, sind andere der Ansicht, daß eigentlich aller volkswirtschaftliche Wert aufgedrückt wird irgendeinem Gut, einer Ware, durch die, wie man wohl auch sagt, hineinkristallisierte Arbeit. Wiederum, in dem Augenblick, wo Sie Kapital und Arbeit nebeneinanderstellen, werden Sie auf der einen Seite finden, daß die Leute sagen, eigentlich ist es das Kapital, welches die Arbeit einzig und allein möglich macht, und der Arbeitslohn werde gezahlt aus der Kapitalmasse. Auf der anderen Seite wird gesagt : Nein, alles dasjenige, was Werte produziert, das ist die Arbeit, und das, was das Kapital erringt, ist nur der aus dem Arbeitsergebnis abgezogene Mehrwert.

La chose est ainsi : si on regarde les choses de l'un des points de vue, l'un a raison ; si on la regarde de l'autre point de vue, l'autre a raison. Une telle vision de la réalité vous vient vraiment en vis-à-vis en fait comme maintes comptabilités : si on place le poste là, c'est ça qui sort ; si on le met là-bas, c'est ça qui sort, et ainsi de suite. On peut très bien parler de valeur ajoutée/plus-value avec de très fortes raisons fictives/d'apparences, qu'en fait le salaire du travail est retiré et que le capitaliste se l'approprie. On peut parler avec des raisons tout aussi bonnes qu'en fait, dans le contexte d'économie de peuple, tout revient aux capitalistes et qu'il paie ses travailleurs seulement à partir de ce qu'il peut utiliser pour le salaire du travail. Il y a de très bonnes, et aussi de très mauvaises raisons pour les deux. Toutes ces considérations ne peuvent notamment pas en fait absolument parvenir à la réalité d'économie de peuple. Ces considérations sont bonnes comme base pour l'agitation, mais elles ne sont absolument pas quelque chose qui vient n'importe comment en considération dans la sérieuse théorie d'économie de peuple. D'autres bases doivent être présentes en premier, quand on veut parler avec un certain droit d'un développement ultérieur de l'organisme d'économie de peuple. Maintenant, naturellement, jusqu'à un certain degré, de telles constellations sont déjà justifiées ; et quand Adam Smith voit, par exemple, dans le travail qui est utilisé sur les choses, le facteur primordial/originel de formation de valeur, ainsi on peut aussi avancer de très bonnes raisons pour cela. Un homme comme Adam Smith ne pensait pas de façon absurde, mais ce qui là aussi repose à la base est que l'on pense toujours pouvoir saisir une quelque chose qui reste immobile et ensuite donner une définition, pendant que dans le processus d'économie de peuple tout est constamment en mouvement. Il est relativement facile de construire des concepts sur les phénomènes naturels, même les plus compliqués, par opposition à ces façons de voir dont on a besoin pour un enseignement d'économie de peuple. Les phénomènes de l'économie de peuple sont infiniment plus complexes, instables/labiles et variables que ceux de la nature, beaucoup plus fluctuants et beaucoup moins faciles à saisir avec quelque concept déterminé.

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Die Sache ist so : Betrachtet man von dem einen Gesichtspunkt die Dinge, so hat der eine recht; betrachtet man sie von dem anderen Gesichtspunkt, so hat der andere recht. Es kommt einem eine solche Betrachtung der Realität gegenüber eigentlich wirklich vor wie manche Buchhaltung : Setzt man den Posten da hin, kommt das heraus ; setzt man ihn dort hin, kommt das heraus und so weiter. Man kann ganz gut mit sehr starken Scheingründen von Mehrwert sprechen, der eigentlich dem Arbeitslohn abgezogen ist und den sich der Kapitalist aneignet. Man kann mit ebenso guten Gründen davon sprechen, daß eigentlich im volkswirtschaftlichen Zusammenhange dem Kapitalisten alles gebührt und er nur aus dem, was er zum Arbeitslohn verwenden kann, eben seine Arbeiter bezahlt. Für beides gibt es sehr gute und auch sehr schlechte Gründe. Alle diese Betrachtungen können nämlich eigentlich durchaus nicht an die volkswirtschaftliche Wirklichkeit herankommen. Diese Betrachtungen sind gut als Grundlagen für Agitationen, aber sie sind durchaus nicht etwas irgendwie in der ernsten Volkswirtschaftslehre in Betracht Kommendes. Andere Grundlagen müssen zuerst da sein, wenn man überhaupt mit einem gewissen Recht von einer Fortentwickelung des volkswirtschaftlichen Organismus sprechen will. Nun, natürlich, bis zu einem gewissen Grade sind alle solche Aufstellungen schon berechtigt; und wenn Adam Smith zum Beispiel in der Arbeit, die verwendet ist auf die Dinge, den eigentlich wertbildenden Urfaktor sieht, so kann man eben auch dafür außerordentlich gute Gründe vorbringen. Solch ein Mann wie Adam Smith hat schon nicht unsinnig gedacht; aber dasjenige, was auch da zugrunde liegt, ist, daß man immer meint, man könne irgend etwas, was stillsteht, erfassen und dann eine Definition geben, während im volkswirtschaftlichen Prozeß alles fortwährend in Bewegung ist. Es ist verhältnismäßig einfach, über Naturerscheinungen Begriffe aufzustellen, selbst über die kompliziertesten, gegenüber denjenigen Anschauungen, die man braucht für eine Volkswirtschaftslehre. Unendlich viel komplizierter, labiler, variabler sind die Erscheinungen in der Volkswirtschaft als die in der Natur, viel fluktuierender, viel weniger zu erfassen mit irgendwelchen bestimmten Begriffen.

On doit justement utiliser une méthode complètement différente. Cette méthode vous sera seulement difficile dans les toutes premières heures, mais vous verrez qu'en ressortira ce qu'on peut poser à la base d'un véritable enseignement de l'économie de peuple. On peut dire que dans ce processus d'économie de peuple, que l'on a à saisir de l'œil, cours dedans la nature, le travail humain et - donc tout d'abord lorsque l'on considère le pur extérieur de l'économie de peuple - le capital. Tout d'abord !

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Man muß eben eine ganz andere Methode einschlagen. Diese Methode wird Ihnen nur schwierig sein in den allerersten Stunden; Sie werden aber sehen, daß sich daraus ergeben wird, was man einer wirklichen Volkswirtschaftslehre zugrunde legen kann. Man kann sagen : In diesen 'volkswirtschaftlichen Prozeß, den man ins Auge zu fassen hat, laufen ein Natur, menschliche Arbeit und — also zunächst, wenn man auf das rein Äußere der Volkswirtschaft hinsieht — Kapital. Zunächst!

Mais maintenant, lorsque nous regardons immédiatement le central, le travail humain, nous essayons de nous forger une façon de voir parce que nous descendons une fois - j'ai déjà fait de telles allusions hier - dans le domaine de l'animal et regardons l'économie des moineaux, l'économie des hirondelles au lieu de l'économie de peuple. Oui, là, la nature est la base pour l'économie. Le moineau doit aussi faire une sorte de travail. Il doit au moins sauter dans tous les sens et sauter là où il trouve son petit grain, et parfois il a même beaucoup à sauter par jour jusqu'à ce qu'il trouve son petit grain. L'hirondelle qui construit son nid doit aussi faire une sorte de travail. Elle a aussi beaucoup à faire avec cela. Néanmoins, au sens d'économie de peuple, nous ne pouvons pas appeler cela travail. Nous ne pouvons pas aller plus loin avec des façons de voir d'économie de peuple lorsque nous appelons cela du travail ; parce que, si nous y regardons de plus près, nous devons dire : le moineau, l'hirondelle sont en fait exactement organisés de telle sorte que les choses qu'ils doivent exécuter dans une certaine mesure pour trouver leur nourriture, ils les exécutent tout de suite. Ils ne pourraient pas du tout être en bonne santé s'ils ne pouvaient pas se déplacer/mouvoir de cette manière. C'est une continuation de leur organisation, qui leur appartient comme ils ont des jambes ou des ailes. De sorte que, dans ce cas, nous pouvons nous passer de ce que l'on pourrait appeler un travail apparent/en apparence quand nous voulons construire des concepts d'économie de peuple. Où la nature sera prise immédiatement et que l'être individuel/particulier effectue le travail apparent correspondant simplement pour satisfaire soi ou ses tout proches, là nous devons en fait alors retirer ce travail apparent quand nous voulons déterminer ce qui est valeur au sens d'économie de peuple. Et c'est pourquoi il s'agit d'abord nous nous approchions d'une façon de voir la valeur d'économie de peuple.

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Nun aber, wenn wir gleich auf das Mittlere schauen, auf die menschliche Arbeit, versuchen wir uns eine Anschauung zu bilden dadurch, daß wir einmal heruntergehen — ich habe schon gestern solche Andeutungen gemacht -- ins Feld des Tierischen und uns statt der Volkswirtschaft die Spatzenwirtschaft, die Schwalbenwirtschaft ansehen. Ja, da ist die Natur die Grundlage für die Wirtschaft. Der Spatz muß auch eine Art von Arbeit verrichten. Er muß mindestens herumhüpfen und dorthin hüpfen, wo er sein Körnlein findet, und er hat manchmal gar sehr viel zu hüpfen im Tag, bis er sein Körnlein findet. Die Schwalbe, die ihr Nest baut, muß auch eine Art Arbeit verrichten. Sie hat auch damit sehr viel zu tun. Dennoch, im volkswirtschaftlichen Sinn können wir das nicht Arbeit nennen. Wir kommen nicht weiter mit volkswirtschaftlichen Anschauungen, wenn wir das Arbeit nennen; denn, sehen wir genauer zu, so müssen wir sagen: Der Spatz, die Schwalbe sind eigentlich genau so organisiert, daß sie die Dinge, die sie gewissermaßen, um ihr Futter zu finden, ausführen müssen, daß sie gerade diese ausführen. Sie würden gar nicht gesund sein können, wenn sie sich nicht in dieser Weise bewegen könnten. Es ist eine Fortsetzung ihrer Organisation, die zu ihnen gehört, wie sie Beine haben oder Flügel haben. So daß wir in diesem Fall eigentlich durchaus von dem, was man hier eine Scheinarbeit nennen könnte, absehen können, wenn wir volkswirtschaftliche Begriffe aufbauen wollen. Wo die Natur unmittelbar genommen wird und das einzelne Wesen, bloß um sich oder die Allernächsten zu befriedigen, die entsprechenden Scheinarbeiten ausführt, da müssen wir diese Scheinarbeiten eigentlich dann abziehen, wenn wir bestimmen wollen dasjenige, was im volkswirtschaftlichen Sinne Wert ist, ein Wert ist. Und darum handelt es sich zunächst, daß wir uns nähern einer Anschauung über den volkswirtschaftlichen Wert.

Donc, si nous regardons l'économie animale, nous pouvons seulement dire : celle-ci est ainsi que la nature elle-même forme simplement de la valeur. Pour l'économie animale, juste la nature elle-même est formatrice de la valeur. Mais maintenant, à l'instant où nous arrivons en haut à l'humain, cela signifie à l'économie de peuple, nous avons toutefois du côté de la nature le point de épart de la valeur de nature ; mais à l'instant où des humains prennent soin pas seulement d'eux ou de leurs tout proches, mais prennent soin les uns des autres, vient maintenant toutefois aussitôt en considération ce qu'est le travail humain. Aussi ce que l'humain doit maintenant faire à l'instant où il n'utilise pas purement les produits de la nature pour soi, mais où il se tient en relation avec d'autres humains et échange des biens avec eux, ce qu'il fait devient du travail par rapport/vis-à-vis de la nature. Et ici, nous avons un des côtés de la valeur dans l'économie de peuple. Ce côté-là apparaît du fait que du travail humain sera utilisé sur des produits naturels, et nous avons des produits naturels transformés (NDT retouchés) par le travail humain dans la circulation économique en face de nous. C'est là qu'apparaît en fait en premier une réelle valeur d'économie de peuple. Aussi longtemps que le produit naturel est à son lieu de découverte, intact, il n'a pas d'autre valeur que celle qu'il a pour l'animal, par exemple. À l'instant où vous faites le premier pas pour ajouter le produit naturel au processus de circulation d'économie de peuple, le produit naturel retouché commence à avoir une valeur économique. Dans ce cas, nous pouvons caractériser cette valeur d'économie de peuple en exprimant la phrase/le principe : la valeur d'économie de peuple de ce côté-là est un produit naturel, transformé/retouché par le travail humain. - Que ce travail humain consiste à creuser, à hacher ou à transporter le produit naturel d'un endroit à un autre, ne fait rien à la chose. Si nous voulons d'abord avoir la détermination de la valeur en général, ainsi nous devons dire que le travail humain forme la valeur, qui change ainsi un produit naturel de telle manière qu'il peut passer dans le processus de circulation d'économie de peuple.

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Wenn wir also in der Tierwirtschaft Umschau halten, so können wir nur sagen : Diese ist so, daß wertbildend für sie lediglich die Natur selber ist. Wertbildend ist für die Tierwirtschaft lediglich die Natur selber. Nun aber, in dem Augenblick, wo wir zum Menschen, das heißt zur Volkswirtschaft heraufkommen, haben wir allerdings von der Naturseite her den Ausgangspunkt des Naturwertes ; aber in dem Augenblick, wo Menschen nicht bloß für sich oder ihre Allernächsten sorgen, sondern füreinander sorgen, kommt nun allerdings sofort dasjenige in Betracht, was menschliche Arbeit ist. Auch dasjenige, was der Mensch nun tun muß in dem Augenblick, wo er nicht bloß die Naturprodukte für sich verwendet, sondern wo er mit andern Menschen in irgendwelcher Beziehung steht und austauscht mit ihnen Güter, wird dasjenige, was er tut, der Natur gegenüber zur Arbeit. Und wir haben hier die eine Seite des Wertes in der Volkswirtschaft. Diese eine Seite entsteht dadurch, daß auf Naturprodukte menschliche Arbeit verwendet wird, und wir in der volkswirtschaftlichen Zirkulation Naturprodukte umgeändert durch menschliche Arbeit vor uns haben. Da entsteht eigentlich erst ein wirklicher volkswirtschaftlicher Wert. Solange das Naturprodukt an seiner Fundstelle ist, unberührt, solange hat es keinen anderen Wert als denjenigen, den es auch zum Beispiel für das Tier hat. In dem Augenblick, wo Sie den ersten Schritt machen, das Naturprodukt hineinzufügen in den volkswirtschaftlichen Zirkulationsprozeß, beginnt durch das umgeänderte Naturprodukt der volkswirtschaftliche Wert. In diesem Falle können wir diesen volkswirtschaftlichen Wert dadurch charakterisieren, daß wir den Satz aussprechen : Volkswirtschaftlicher Wert von dieser einen Seite ist Naturprodukt, umgewandelt durch menschliche Arbeit. — Ob diese menschliche Arbeit darinnen besteht, daß wir graben, daß wir hacken oder daß wir das Naturprodukt von einem Ort zum anderen bringen, das tut nichts zur Sache. Wenn wir zunächst die Wertbestimmung im allgemeinen haben wollen, so müssen wir sagen: Wertbildend ist die menschliche Arbeit, die ein Naturprodukt so verändert, daß es in den volkswirtschaftlichen Zirkulationsprozeß übergehen kann.

Si vous saisissez cela de l'œil, alors vous aurez aussitôt la valeur entièrement fluctuante d'un bien qui circule dans l'économie de peuple. Car le travail est quelque chose de continuellement disponible qui est utilisé sur le bien d'économie de peuple. Ainsi que vous ne pouvez en fait pas du tout dire ce qu'est la valeur, mais pouvez seulement dire : la valeur apparaît à un endroit déterminé en un temps déterminé en ce que le travail humain transforme un produit naturel. -- Là apparaît la valeur. Nous ne pouvons et ne voulons pas du tout définir d'abord la valeur, mais nous voulons seulement pointer/indiquer vers l'endroit où la valeur apparaît. J'aimerais vous décrire cela schématiquement, j'aimerais vous le décrire schématiquement ainsi que je vous dis : dans une certaine mesure, nous avons la nature en arrière-plan (voir dessin 2, à gauche) ; et nous avons, s'approchant de la nature, le travail humain ; et ce qui apparaît à travers l'interaction de la nature et du travail humain, pour ainsi dire, ce qui y devient visible là, c'est d'un côté la valeur. Dessin 2. Ce n'est absolument pas une image fausse, quand vous vous dites, par exemple : vous regardez une surface noire, une quelque chose de noir à travers quelque chose de clair - vous le voyez bleu. Mais selon que le clair est épais ou mince, c'est bleu différemment. Selon la façon dont vous le déplacez, c'est différemment dense. C'est fluctuant. Ainsi est la valeur dans l'économie de peuple, qui n'est en fait rien d'autre que l'apparence/la manifestation de la nature à travers le travail humain, fluctuant partout.

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Wenn Sie das ins Auge fassen, dann werden Sie gleich haben das ganz Fluktuierende des Wertes eines in der Volkswirtschaft zirkulierenden Gutes. Denn die Arbeit ist ja etwas fortwährend Vorhandenes, die verwendet wird auf das volkswirtschaftliche Gut. So daß Sie eigentlich gar nicht sagen können, was Wert ist, sondern nur sagen können: Der Wert erscheint an einer bestimmten Stelle in einer bestimmten Zeit, indem menschliche Arbeit ein Naturprodukt umwandelt. -- Da erscheint der Wert. Wir können und wollen den Wert zunächst gar nicht definieren, sondern wollen nur hindeuten auf die Stelle, wo der Wert erscheint. Das möchte ich Ihnen schematisch darstellen, möchte es Ihnen so schematisch darstellen, daß ich Ihnen sage: Wir haben gewissermaßen im Hintergrunde die Natur (siehe Zeichnung 2, links); und wir haben an die Natur herankommend die menschliche Arbeit; und dasjenige, was gleichsam durch das Ineinanderwirken von Natur und menschlicher Arbeit erscheint, was da sichtbar wird, das ist von der einen Seite her der Wert. Zeichnung 2 Es ist durchaus kein falsches Bild, wenn Sie sich zum Beispiel sagen: Sie schauen sich eine schwarze Fläche, irgend etwas Schwarzes an durch irgend etwas Helles — Sie sehen es blau. Aber je nachdem das Helle dick oder dünn ist, ist es verschieden blau. Je nachdem Sie es verschieben, ist es verschieden dicht. Es ist fluktuierend. So ist der Wert in der Volkswirtschaft, der eigentlich nichts anderes ist als die Erscheinung der Natur durch die menschliche Arbeit hindurch, überall fluktuierend.

Nous ne gagnons tout d'abord pas grand-chose d'autre avec ces choses, que quelques indices abstraits ; mais ceux-ci nous orienteront dans les prochains jours pour chercher les choses concrètes. Maintenant, vous y êtes habitué, on commence dans toutes les sciences avec ce qui est d'abord le plus simple. Voyez-vous, le travail en soi n'a justement aucune détermination dans le contexte/pendant d'économie de peuple. Car si un humain coupe/fend du bois ou se place debout sur une roue, il y en a parce qu'il est gros et qu'il grimpe toujours d'une marche à l'autre - elle va en bas - et il s'amincit ainsi : il peut fournir le même travail que celui qui coupe du bois. Regarder le travail de la même façon que Marx le regarde, par exemple, en disant qu'on devrait chercher comme équivalent ce qui est consommé par le travail à l'organisme humain, c'est un non-sens colossal ; car la même chose sera consommée quand un humain danse sur une roue comme quand il coupe du bois. Il ne s'agit pas de ce qui arrive à l'humain au sens d'économie de peuple. Nous avons donc vu que l'économie de peuple frôle le non économique de peuple. D'un point de vue purement d'économie de peuple, il n'y a aucune justification d'indiquer n'importe comment sur ce que le travail - du moins dans un premier temps pour placer le concept du travail selon l'économie de peuple - épuise/use les humains. Il a une signification indirecte, parce qu'on doit à nouveau s'occuper des besoins de l'humain. Comme Marx a fait les observations, on a à faire avec un non-sens colossal.

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Wir gewinnen mit diesen Dingen zunächst nicht viel anderes als einige abstrakte Hinweise; aber diese werden uns in den nächsten Tagen orientierend sein, um die konkreten Dinge aufzusuchen. Nun, Sie sind es ja gewohnt, man fängt doch in allen Wissenschaften an mit demjenigen, was zunächst das allereinfachste ist. Sehen Sie, Arbeit an sich hat eben gar keine Bestimmung im volkswirtschaftlichen Zusammenhang. Denn, ob ein Mensch Holz hackt oder sich auf ein Rad stellt, es gibt solche, weil er dick ist und immer von der einen Stufe zu der anderen steigt — sie geht hinunter — und er sich dadurch dünner macht : er kann dasselbe Quantum Arbeit leisten wie der, der Holz hackt. Arbeit so betrachtet, wie sie zum Beispiel Marx betrachtet, daß er sagt, man solle als Äquivalent suchen dasjenige, was aufgebraucht wird durch die Arbeit am menschlichen Organismus, das ist ein kolossaler Unsinn; denn aufgebraucht wird dasselbe, wenn der Mensch da auf dem Rad hinauftanzt, wie wenn er Holz hackt. Es kommt nicht darauf an im volkswirtschaftlichen Sinn, was am Menschen geschieht. Wir haben ja gesehen, daß die Volkswirtschaft an Unvolkswirtschaftliches angrenzt. Rein volkswirtschaftlich betrachtet, hat es keine Berechtigung, irgendwie darauf hinzuweisen, daß die Arbeit — wenigstens zunächst, um den Begriff der Arbeit volkswirtschaftlich hinzustellen — den Menschen abnützt. Es hat in einem mittelbaren Sinn Bedeutung, weil man wiederum für die Bedürfnisse des Menschen sorgen muß. Wie Marx die Betrachtungen angestellt hat, hat man es zu tun mit einem kolossalen Unsinn.

Maintenant, qu'est-ce qui est nécessaire pour saisir le travail dans le processus d'économie de peuple ? Là, il est nécessaire que d'abord on ignore l'être humain et regarde comment le travail s'intègre/se place dans le processus d'économie de peuple. Le travail n'entre pas du tout en jeu dans un tel rouage, il adhère complètement à l'humain ; fendre du bois se place dans le processus d'économie de peuple. Il s'agit seulement de comment le travail se place dans le processus d'économie de peuple. Et ici, il s'agit en fait pour tout ce qui vient en considération, de ce que la nature sera partout transformée par le travail humain. Et seulement aussi loin que la nature est transformée par le travail humain, nous produisons des valeurs d'économie de peuple d'après un côté. Quand, par exemple, disons, nous trouvons correct pour notre santé corporelle, de travailler à la nature et, entre-temps, dansons toujours un peu alentour ou faisons de l'eurythmie, alors cela peut être jugé d'un point de vue différent ; mais ce que nous faisons entre-temps ne doit pas être qualifié de travail d'économie de peuple et ne pas être considéré comme une quelque valorisation d'économie de peuple. D'un autre côté, cela peut être générateur de valeur, mais nous devons d'abord nous former les concepts purs des valeurs d'économie de peuple en tant que telles.

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Nun, was ist da notwendig, um die Arbeit im volkswirtschaftlichen Prozeß zu erfassen? Da ist notwendig, daß man ganz vom Menschen zunächst absieht und hinsieht, wie sich in den volkswirtschaftlichen Prozeß die Arbeit hineinstellt. Die Arbeit an einem solchen Rad stellt sich gar nicht herein, die bleibt ganz am Menschen haften; das Holz- hacken stellt sich hinein in den volkswirtschaftlichen Prozeß. Ganz allein darauf kommt es an wie sich die Arbeit in den volkswirtschaftlichen Prozeß hineinstellt. Und hier handelt es sich eigentlich für alles, was in Betracht kommt, darum, daß die Natur überall verändert wird durch die menschliche Arbeit. Und nur insofern, als die Natur verändert wird durch die menschliche Arbeit, erzeugen wir volkswirtschaftliche Werte nach dieser einen Seite. Wenn wir zum Beispiel, sagen wir, es zu unserer leiblichen Gesundheit richtig finden, an der Natur zu arbeiten und dazwischen drinnen immer einmal ein bißchen herumzutanzen oder Eurythmie zu treiben, so kann das von einem anderen Standpunkte aus beurteilt werden; aber dasjenige, was wir dazwischen tun, darf nicht als volkswirtschaftliche Arbeit bezeichnet werden und nicht für irgendwie volkswirtschaftlich wertbildend angesehen werden. Von anderer Seite aus kann es wertbildend sein; aber wir müssen uns erst die reinlichen Begriffe bilden von den volkswirtschaftlichen Werten als solchen.

Maintenant, il y a cependant une tout autre possibilité, qu'une valeur d'économie de peuple apparaisse. C'est celle que nous considérons le travail comme tel et que nous prenions maintenant le travail d'abord comme quelque chose de donné. Alors c'est donc, comme vous venez de le voir, ce travail est tout d'abord quelque chose de complètement neutre, insignifiant d'un point de vue d'économie de peuple. Mais il devient économiquement créateur de valeur dans chaque cas où nous dirigeons ce travail à travers l'esprit, l'intelligence de l'humain - je dois parler là un peu différemment qu'avant. Vous pourriez même penser dans les cas les plus extrêmes, que quelque chose qui sinon n'est pas du tout travail, est transformé en travail par l'esprit de l'humain. Si cela vous vient lorsque quelqu'un utilise cette roue, la met dans sa chambre et veut devenir plus mince, alors aucune valeur d'économie de peuple n'est disponible là. Mais quand quelqu'un tire une corde autour de la roue et que cette corde intervient d'une manière ou d'une autre pour entraîner une machine, alors vous avez utilisé par l'esprit ce qui n'est pas du tout travail. L'effet secondaire/collatéral, c'est qu'il devient déjà maigre ; mais ce qui est décisif ici, c'est que le travail sera amené dans une certaine direction par l'esprit, par l'intelligence, par la réflexion, peut-être aussi par la spéculation, que les travaux seront amenés dans certaines interactions, et ainsi de suite. Ainsi que nous pouvons dire : nous avons ici le deuxième côté de la création de valeur dans l'économie de peuple. Là où le travail se tient en arrière-plan et où devant l'esprit dirige le travail, là le travail nous brille à travers l'esprit et génère une valeur d'économie de peuple.

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Nun gibt es aber noch eine ganz andere Möglichkeit, daß ein volkswirtschaftlicher Wert entsteht. Das ist diese, daß wir auf die Arbeit als solche hinsehen und nun die Arbeit zunächst als etwas Gegebenes nehmen. Dann ist ja, wie Sie eben jetzt gesehen haben, diese Arbeit zunächst etwas volkswirtschaftlich ganz Neutrales, Irrelevantes. Sie wird aber in jedem Fall volkswirtschaftlich werterzeugend, wenn wir diese Arbeit durch den Geist, die Intelligenz des Menschen dirigieren — ich muß da etwas anders sprechen als vorhin. Sie könnten selbst in den extremsten Fällen denken, daß etwas, was sonst gar nicht Arbeit ist, durch den Geist des Menschen in Arbeit umgewandelt wird. Wenn es einem einfällt, wenn einer jenes Rad benützt, es in sein Zimmer stellt und magerer werden will, so ist da kein volkswirtschaftlicher Wert vorhanden. Wenn aber einer ein Seil herumzieht um das Rad und dieses Seil irgendwie eingreift, um eine Maschine zu treiben, so haben Sie durch den Geist dasjenige, was gar keine Arbeit ist, verwertet. Der Nebeneffekt ist der, daß der schon magerer wird; aber das, was hier eigentlich das Maßgebende ist, ist, daß die Arbeit durch den Geist, durch die Intelligenz, durch die Überlegung, vielleicht auch durch die Spekulation in eine gewisse Richtung gebracht wird, daß die Arbeiten in gewisse Wechselwirkungen gebracht werden und so weiter. So daß wir sagen können: Hier haben wir die zweite Seite des Wertbildenden in der Volkswirtschaft. Da, wo die Arbeit im Hintergrunde steht und der Geist vorne die Arbeit dirigiert, da scheint uns die Arbeit durch den Geist durch und erzeugt wiederum volkswirtschaftlichen Wert.

Nous verrons déjà que ces deux côtés sont absolument présents partout. Quand j'ai dessiné le schéma ici de telle manière (voir dessin 2, à gauche) que tout de suite la valeur d'économie de peuple apparaisse - tableau 2 -, quand nous avons la nature apparaissant à travers le travail, ainsi je devrais dessiner ce que j'ai maintenant expliqué ainsi que nous avons le travail là derrière et là devant ce qui est spirituel, ce qui donne une certaine modification au travail. (voir dessin 2, à droite).

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Wir werden schon sehen, daß diese beiden Seiten durchaus überall vorhanden sind. Wenn ich das Schema hier so gezeichnet habe (siehe Zeichnung 2, links), daß gerade der volkswirtschaftliche Wert- Tafel 2 - erscheint, wenn wir durch die Arbeit hindurch die Natur erscheinend haben, so müßte ich das, was ich jetzt auseinandergesetzt habe, so zeichnen, daß wir da hinten die Arbeit haben und da vorne zunächst dasjenige, was geistig ist, was der Arbeit eine gewisse Modifikation gibt (siehe Zeichnung 2, rechts).

Ce sont pour l'essentiel les deux pôles du processus d'économie de peuple. Vous ne trouverez aucune autre façon dont des valeurs économiques seront produites: soit la nature sera modifiée par le travail, soit le travail sera modifié par l'esprit, ce en quoi l'esprit se vit à l'extérieur très souvent dans les formations du capital, de sorte qu'en rapport à l'économie de peuple, l'esprit devra être recherché dans la configuration des capitaux. Au moins son expression extérieure est là. Cela se donnera quand même à nous quand nous considérons le capital comme tel, puis alors le capital comme moyen d'argent.

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Das sind im wesentlichen die zwei Pole des volkswirtschaftlichen Prozesses. Sie finden keine anderen Arten, wie volkswirtschaftliche Werte erzeugt werden : entweder wird die Natur durch die Arbeit modifiziert oder es wird die Arbeit durch den Geist modifiziert, wobei der Geist im Äußeren vielfach in den Kapitalformationen sich darlebt, so daß in bezug auf die Volkswirtschaft der Geist in der Konfiguration der Kapitalien gesucht werden muß. Wenigstens sein äußerer Ausdruck ist da. Doch das wird sich uns ergeben, wenn wir das Kapital als solches und dann das Kapital als Geldmittel betrachten.

Ainsi vous voyez donc que nous ne pouvons pas parler de ce qu'une définition de la valeur d'économie de peuple peut se donner. Car à nouveau pensez seulement de quoi tout cela dépend, de combien de gens stupides et intelligents cela dépend, que n'importe où le travail sera modifié par l'esprit. Il y a là toutes sortes de conditions fluctuantes. Mais pour cela vaut toujours ce qui est conforme à la façon de voir : que les moments formateurs de valeur dans le processus d'économie de peuple sont à chercher sur ces deux contraires polaires.

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So sehen Sie ja, daß wir nicht sprechen können davon, daß eine Definition des volkswirtschaftlichen Wertes sich ergeben kann. Denn wiederum bedenken Sie nur, wovon das alles abhängt, von wieviel dummen und gescheiten Leuten es abhängt, daß irgendwo vom Geiste die Arbeit modifiziert wird. Da sind lauter fluktuierende Bedingungen vorhanden. Aber dafür gilt das, was anschauungsgemäß ist, immer : daß auf diesen zwei polarischen Gegensätzen die wertbildenden Momente im volkswirtschaftlichen Prozeß zu suchen sind.

Maintenant, quand c'est le cas, alors c'est disponible : quand nous nous tenons quelque part dans le processus d'économie de peuple, et que le processus d'économie de peuple, j'aimerais le dire, se joue n'importe où lors de l'achat et de la vente, ainsi nous avons dans l'achat et la vente pour l'essentiel échange de valeur, un échange de valeurs. Vous ne trouvez aucun autre échange que celui de valeurs. Il est en fait faux quand on parle d'échange de biens. Dans le processus d'économie de peuple, le bien est, qu'il s'agisse d'un produit naturel modifié ou maintenant d'un travail modifié, une valeur. Ce qui sera échangé, ce sont des valeurs. C'est de cela qu'il s'agit. Ainsi que - vous devez donc vous dire : quand n'importe où se jouent l'achat et la vente, ainsi des valeurs seront échangées. - Et ce qui ressort maintenant dans le processus d'économie de peuple, quand valeur et valeur entrent en collision dans une certaine mesure pour s'échanger, c'est le prix. Vous ne trouvez jamais le prix à apparaître autrement que comme valeur entrant en collision avec valeur dans le processus d'économie de peuple. C'est pourquoi, on ne peut aussi pas du tout réfléchir sur le prix quand on pense à l'échange de purs biens. Quand vous achetez une pomme pour, oui, je ne sais pas, disons, cinq pfennigs, alors vous pouvez dire, vous échangez un bien contre un autre bien, la pomme pour cinq pfennigs. Mais de cette manière, vous n'arrivez jamais à une observation/considération d'économie de peuple. Car la pomme est cueillie quelque part, a alors été promue, et s'est peut-être encore passé beaucoup d'autres choses autour d'elle. C'est le travail qui l'a modifiée. Vous n'avez pas à faire avec la pomme, mais avec le produit naturel modifié par le travail de l'humain, qui représente une valeur. Et on doit toujours partir de la valeur dans l'économie de peuple. Vous avez justement à faire ainsi avec une valeur avec les cinq pfennigs et non avec un bien ; car ces cinq pfennigs sont quand même volontiers seulement le signe qu'il y a une autre valeur dans l'humain qui doit s'acheter la pomme, qu'il échange pour cela.

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Nun, wenn das der Fall ist, dann liegt das vor : Wenn wir irgendwo drinnenstehen im volkswirtschaftlichen Prozeß, und der volkswirtschaftliche Prozeß, ich möchte sagen, irgendwo beim Kauf und Verkauf sich abspielt, so haben wir im Kauf und Verkauf im wesentlichen Wertaustausch, Austausch von Werten. Sie finden keinen anderen Austausch als den von Werten. Eigentlich ist es falsch, wenn man von Güteraustausch spricht. Im volkswirtschaftlichen Prozeß ist das Gut, ob es nun modifiziertes Naturprodukt ist oder modifizierte Arbeit, ein Wert. Was getauscht wird, sind Werte. Darauf kommt es an. So daß - Sie sich also sagen müssen: Wenn irgendwo sich Kauf und Verkauf abspielen, so werden Werte ausgetauscht. — Und dasjenige, was nun herauskommt im volkswirtschaftlichen Prozeß, wenn Wert und Wert gewissermaßen aufeinanderprallen, um sich auszutauschen, das ist der Preis. Sie finden den Preis erscheinen niemals anders, als daß Wert an Wert stößt im volkswirtschaftlichen Prozeß. Daher kann man auch über den Preis gar nicht nachdenken, wenn man etwa an den Austausch von bloßen Gütern denkt. Wenn Sie einen Apfel um, ja, ich weiß nicht, sagen wir fünf Pfennige kaufen, dann können Sie ja sagen, Sie tauschen ein Gut aus gegen ein anderes Gut, den Apfel gegen fünf Pfennige. Auf diese Weise kommen Sie aber nie zu einer volkswirtschaftlichen Betrachtung. Denn der Apfel ist irgendwo gepflückt, ist dann befördert worden, es ist vielleicht um ihn herum noch manches andere geschehen. Das ist die Arbeit, die ihn modifiziert hat. Sie haben es nicht zu tun mit dem Apfel, sondern mit dem von Menschenarbeit veränderten Naturprodukt, das einen Wert darstellt. Und man muß immer ausgehen vom Wert in der Volkswirtschaft. Ebenso haben Sie es bei den fünf Pfennigen mit einem Wert und nicht mit einem Gut zu tun; denn diese fünf Pfennige sind doch wohl nur das Zeichen dafür, daß vorhanden ist in dem Menschen, der sich den Apfel kaufen muß, ein anderer Wert, den er eintauscht dafür.

Donc, ce dont il s'agit pour moi, c'est qu'aujourd'hui, nous en arrivons à la vue que c'est faux de parler des biens dans l'économie de peuple, que nous devons parler comme/que de l'élémentaire, des valeurs, et que c'est faux de vouloir essayer de saisir le prix autrement, d'une autre façon que de ce qu'on saisisse de l'œil le jeu des valeurs. La valeur contre la valeur donne le prix. Si déjà la valeur est quelque chose de fluctuant qu'on ne peut pas définir, alors est donc, quand vous échangez de la valeur contre de la valeur, dans une certaine mesure, ce qui survient dans l'échange comme prix, c'est quelque chose de fluctuant au carré.

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Also, worauf es mir ankommt, ist das : daß wir heute zu der Einsicht kommen, daß es falsch ist, in der Volkswirtschaft von Gütern zu sprechen, daß wir sprechen müssen, als von dem Elementaren, von Werten, und daß es falsch ist, den Preis anders erfassen zu wollen, auf eine andere Art, als daß man das Spiel der Werte ins Auge faßt. Wert gegen Wert gibt den Preis. Wenn schon der Wert etwas Fluktuierendes ist, das man nicht definieren kann, dann ist ja, wenn Sie Wert gegen Wert austauschen, gewissermaßen dasjenige, was im Austausch entsteht als Preis, das ist etwas Fluktuierendes im Quadrat.

Mais de toutes ces choses, peut s'en suivre pour vous qu'il est tout à fait vain de vouloir saisir n'importe comment des valeurs et des prix afin de se tenir sur un sol solide dans l'économie de peuple et quelque peu vouloir intervenir dans un processus d'économie de peuple. Ce qui vient là en considération doit être quelque chose de complètement différent. Cela doit reposer derrière lui et ça repose donc aussi derrière lui. C'est ce que montre une observation très simple.

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Aus all diesen Dingen kann Ihnen aber folgen, daß es also ganz vergeblich ist, irgendwie erfassen zu wollen Werte und Preise, um in der Volkswirtschaft auf festem Boden zu stehen und etwa gar in einen volkswirtschaftlichen Prozeß eingreifen zu wollen. Dasjenige, was da in Betracht kommt, muß etwas ganz anderes sein. Das muß dahinterliegen und es liegt ja auch dahinter. Das zeigt eine sehr einfache Betrachtung.

Pensez-vous seulement une seule fois : la nature nous apparaît à travers le travail humain. Quand, disons, nous gagnons du fer à un endroit dans des conditions extraordinairement difficiles, ainsi ce qui en sort comme valeur est un objet naturel modifié par le travail humain. Si, à un autre endroit, le fer devait être produit sous des conditions plus légères, il en résulte éventuellement une valeur complètement différente. Vous voyez donc qu'on ne doit pas saisir la chose à la valeur, mais qu'il faut la saisir derrière la valeur. On doit revenir à ce qui constitue/forme la valeur, et là, on doit peut-être en venir progressivement aux rapports plus constants, sur lesquelles on peut alors avoir une influence immédiate. Car à l'instant où vous avez amené la valeur dans la circulation d'économie de peuple, là vous devez la laisser fluctuer au sens de l'organisme d'économie de peuple. Tout de suite aussi peu que lorsque vous regardez la composition plus fine des cellules sanguines, qui est différente dans la tête et différente dans le cœur et différente dans le foie, que vous avez là dans la main pour le dire : Il s'agit pour trouver une définition du sang - c'est pourquoi il ne peut s'agir d'une définition, il ne peut s'agir que de ce que sont les aliments les plus favorables/avantageux dans tel ou tel cas ; justement ainsi, il ne peut jamais s'agir de tourner autour du pot sur valeur et prix, mais seulement qu'on aille aux premiers facteurs, à ceux qui, quand alors c'est correctement formé, font justement ressortir le prix correspondant, qui alors deviendra ainsi déjà de lui-même.

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Denken Sie sich nur einmal : Die Natur erscheint uns durch menschliche Arbeit. Wenn wir, sagen wir, Eisen an einem Ort gewinnen unter außerordentlich schwierigen Verhältnissen, so ist das, was als Wert herauskommt, durch menschliche Arbeit modifiziertes Naturobjekt. Wenn an einer anderen Stelle Eisen unter leichteren Verhältnissen produziert werden soll, so ist die Sache diese, daß eventuell ein ganz anderer Wert sich ergibt. Sie sehen also, daß man nicht am Wert die Sache erfassen soll, sondern hinter dem Wert sie erfassen muß. Man muß zu dem zurückgehen, was den Wert bildet, und muß da allmählich vielleicht auf die konstanteren Verhältnisse kommen, auf die man dann einen unmittelbaren Einfluß haben kann. Denn in dem Augenblick, wo Sie den Wert in die volkswirtschaftliche Zirkulation gebracht haben, da müssen Sie ihn im Sinne des volkswirtschaftlichen Organismus fluktuieren lassen. Geradesowenig wie Sie, wenn Sie auf die feinere Zusammensetzung des Blutkörperchens sehen, das anders ist im Kopf und anders im Herz und anders in der Leber, wie Sie da in der Hand haben zu sagen: Es ist darum zu tun, für das Blut eine Definition zu finden — darum kann es einem nicht zu tun sein, es kann einem nur darum zu tun sein, welches die günstigeren Nahrungsmittel sind in diesem oder jenem Falle; ebenso kann es sich niemals darum handeln, über den Wert und Preis herumzureden, sondern nur darum, daß man zu den ersten Faktoren geht, zu demjenigen, was dann, wenn es richtig formiert wird, eben den entsprechenden Preis herausbringt, der dann schon von selber so wird.

C'est tout à fait impossible de rester immobile dans le domaine de la valeur ou de la définition de prix avec la considération d'économie de peuple, mais on doit revenir partout à ce que sont les points de départ, c'est-à-dire à ce dont le processus d'économie de peuple tire son alimentation/sa nourriture d'un côté et d'où il est régulé de l'autre côté : donc à la nature sur un côté, à l'esprit sur l'autre.

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Es ist ganz unmöglich, mit der volkswirtschaftlichen Betrachtung stehenzubleiben im Gebiet von Wert- oder Preisdefinitionen, sondern man muß überall zurückgehen zu demjenigen, was die Ausgangspunkte sind, also gewissermaßen zu demjenigen, woraus der volkswirtschaftliche Prozeß seine Nahrung auf der einen Seite zieht und wodurch er auf der anderen Seite reguliert wird: also zu der Natur auf der einen Seite, zu dem Geist auf der anderen.

Cela a été la difficulté avec toutes les théories d'économie de peuple de ces derniers temps, que l'on a toujours voulu tout d'abord saisir ce qui est fluctuant. Par cela, presque aucune fausse définition ne s’est donné, pour celui qui voit à travers la chose, pris au fond, mais seulement des correctes. On doit déjà vraiment taper beaucoup à côté, quand on dit : le travail correspond à ce qui doit être à nouveau remplacé dans l'organisme humain, il est de la substance épuisée. - On doit déjà taper beaucoup à côté et ne pas voir les choses les plus ordinaires. Mais il s'agit qu'aussi des gens correctement/bien intelligents ont trébuché/échoués lors de la formation de leur théorie d'économie de peuple parce qu'ils ont voulu observer au repos les choses qui sont dans le courant/le flux. On peut faire cela aux choses de la nature, on doit le faire souvent, mais là il suffit d'observer ce qui est au repos d'une tout autre manière. Quand nous regardons le mouvement, ainsi nous en sommes seulement arrivés dans l'observation de la nature, de la regarder composée de petits repos/répis qui sautent alors plus loin. En ce que nous intégrons, nous regardons aussi le mouvement comme quelque chose qui se compose de repos.

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Das ist die Schwierigkeit gewesen bei allen volkswirtschaftlichen Theorien der neueren Zeit, daß man zunächst immer das fassen wollte, was fluktuierend ist. Dadurch ergaben sich für denjenigen, der die Sache durchschaut, im Grunde genommen fast gar keine falschen Definitionen, sondern lauter richtige. Man muß schon wirklich sehr danebenhauen, wenn man sagt : Die Arbeit entspricht dem, was wiederum ersetzt werden muß im menschlichen Organismus, sie ist aufgebrauchter Stoff. — Da muß man schon sehr danebenhauen und die gewöhnlichsten Dinge nicht sehen. Aber es handelt sich darum, daß auch wirklich recht kluge Leute durchaus gestrauchelt sind beim Ausbilden ihrer volkswirtschaftlichen Theorie daran, daß sie die Dinge, die im Fluß sind, in Ruhe haben beobachten wollen. Das kann man den Naturdingen gegenüber tun, muß es oftmals tun; aber da genügt es, in ganz anderer Weise das Ruhende zu beobachten. Wenn wir die Bewegung betrachten, so sind wir nur dazu gekommen in der Naturbetrachtung, sie aus kleinen Ruhen zusammengesetzt zu betrachten, die dann fortspringen. Indem wir integrieren, betrachten wir auch die Bewegung als etwas, was sich aus Ruhen zusammensetzt.

Il n'est pas possible d'examiner le processus d'économie de peuple d'après le modèle d'une telle connaissance. Ainsi qu'on doit dire : ce dont il s'agit est d'aborder d'abord la théorie d'économie de peuple de la façon et la manière comme d'un côté, la valeur apparaît en ce que la nature sera transformée par le travail, la nature sera vue par le travail, et de l'autre côté comment la valeur apparaît en en ce que le travail sera vu par l'esprit. Et ces deux origines des valeurs sont absolument polairement différentes, ainsi que dans le spectre, l'un des pôles, le pôle clair, le pôle jaune, est différent du pôle bleu, violet. Ainsi que vous pouvez déjà retenir l'image : tout comme d'un côté les couleurs chaudes apparaissent dans le spectre, ainsi apparaît d'un côté la valeur de la nature, qui se manifestera davantage dans la formation des rentes lorsque nous percevons la nature transformée par le travail ; de l'autre côté nous apparaît davantage la valeur qui se transforme en capital lorsque nous jetons un coup d'œil au travail transformé par l'esprit. Alors, le prix peut toutefois survenir lorsque les valeurs d'un pôle entrent en collision avec les valeurs de l'autre pôle, ou lorsque les valeurs à l'intérieur d'un pôle interagissent entre elles. Mais chaque fois que la formation de prix vient en considération, alors c'est ainsi que la valeur interagit avec la valeur. Cela signifie que nous devons nous abstenir complètement de tout ce qui est là sinon, des substances elles-mêmes, de tout cela nous devons nous abstenir et nous devons d'abord voir comment les valeurs seront formées d'un côté, et comment les valeurs sont formées de l'autre côté. Alors nous pourrons avancer au problème du prix.

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Nach dem Muster solcher Erkenntnis kann man nicht den volkswirtschaftlichen Prozeß betrachten. So daß man sagen muß: Dasjenige, worauf es ankommt, ist, zunächst anzufassen die Volkswirtschaftslehre bei der Art und Weise, wie auf der einen Seite erscheint der Wert, indem die Natur durch die Arbeit verwandelt wird, die Natur durch die Arbeit gesehen wird, auf der anderen Seite, wie der Wert erscheint, indem die Arbeit durch den Geist gesehen wird. Und diese beiden Entstehungen der Werte sind durchaus polarisch verschieden, so wie im Spektrum der eine Pol, der helle Pol, der gelbe Pol, von dem blauen, violetten Pol verschieden ist. So daß Sie schon das Bild festhalten können : so wie auf der einen Seite die warmen Farben erscheinen im Spektrum, so erscheint auf der einen Seite der Naturwert, der sich mehr in der Rentenbildung zeigen wird, wenn wir Natur durch Arbeit verwandelt wahrnehmen; auf der anderen Seite erscheint uns mehr der Wert, der sich in Kapital umsetzt, wenn wir die Arbeit durch den Geist verändert erblicken. Dann kann allerdings der Preis entstehen, indem Werte des einen Poles mit Werten des anderen Poles zusammenstoßen, oder indem Werte innerhalb eines Poles miteinander in Wechselwirkung treten. Aber jedesmal, wenn Preisbildung überhaupt in Betracht kommt, dann ist es so, daß Wert mit Wert in Wechselwirkung tritt. Das heißt, wir müssen ganz absehen von alledem, was sonst da ist, von dem Stoffe selber, von alledem müssen wir absehen und müssen zunächst sehen, wie Werte gebildet werden auf der einen Seite und wie Werte gebildet werden auf der anderen Seite. Dann werden wir zu dem Problem des Preises vordringen können.

Français seulement

DEUXIEME CONFÉRENCE, Dornach, 25 juillet 1922
01
Les premiers concepts et façons de voir que nous aurons à développer, tout de suite dans le domaine d'économie de peuple, devront être quelque peu compliqués, et ce pour une raison très objective. Vous devez vous représenter que l'économie de peuple, même si nous la considérons comme une économie mondiale, est en constante évolution, que j'aimerais dire, comme le sang circule à travers l'humain, ainsi les biens circulent comme marchandises par tous les chemins possibles à travers tout le corps économique. En cela nous avons alors à saisir comme les choses les plus importantes à l'intérieur de ce processus d'économie de peuple, ce qui se joue entre l'achat et la vente. C'est du moins ce qui doit valoir pour l'économie de peuple actuelle. Ce qui toujours sinon aimerait être disponible - et nous aurons à discuter des diverses impulsions qui sont contenues dans le corps d'économie de peuple - mais quoi qu'il en soit : l'économie de peuple en tant que telle s'approche de l'humain quand il a quelque chose à vendre ou à acheter. C'est ce qui se joue entre l'acheteur et le vendeur, à quoi finalement vise, culmine, toute pensée instinctive sur l'économie de peuple de chaque humain naïf, et sur quoi, pris fondamentalement, tout arrive.
02
Maintenant, prenez seulement une fois ce qui se fait valoir là, quand, à l'intérieur de la circulation d'économie de peuple, de l'achat et la vente entrent en considération. Ce dont il s'agit pour l'humain, c'est le prix d'une quelque marchandise, d'un quelque bien. La question du prix est absolument en fin de compte cette question à laquelle les explications d'économie de peuple les plus importantes doivent conduire/courir, car dans le prix culmine tout ce qui d'impulsions, de forces est en fait actif dans l'économie de peuple. Donc, dans une certaine mesure, nous devrons d'abord saisir de l'œil le problème des prix, mais le problème du prix n'est pas d'une simplicité extraordinaire. Vous avez donc seulement à penser au cas le plus simple : nous avons à un endroit, A, une quelque marchandise, qui a un certain prix dans cet endroit A ; elle n'y sera pas achetée, elle sera conduite plus loin. Il devra être ambitionné qu'alors au prix, s'ajoute ce qui était nécessaire pour payer le fret jusqu'à la deuxième place, B. Le prix change pendant la circulation. C'est le cas le plus simple, j'aimerais dire le plus banal. Mais bien sûr, il y a des cas beaucoup plus compliqués.
03
Supposons, disons, qu'une maison dans une grande ville coûte tant et tant à un moment donné. Après quinze ans, la même maison coûte peut être six ou huit fois autant. Et nous n'avons même pas besoin de penser, en parlant de cette hausse des prix, que la chose principale reposerait dans la dévaluation de l'argent. Nous ne voulons pas du tout supposer cela. L'augmentation des prix peut simplement être due au fait qu'entre-temps beaucoup d'autres maisons ont été construites tout autour, dans les environs se trouvent d'autres bâtiments qui augmentent particulièrement la valeur de la maison. Il peut résider dans dix ou quinze autres circonstances que le prix de cette maison a été augmenté. Nous ne sommes en fait jamais dans la situation de dire quelque chose de général dans des cas particuliers : pour les maisons, les marchandises en fer ou pour les céréales, reposent la possibilité de déterminer clairement le prix pour un quelque endroit à partir d'une quelque condition. - Tout d'abord, nous ne pouvons pas en dire beaucoup plus : nous devons observer comment le prix fluctue avec le lieu, avec le temps. - Et nous pouvons peut-être suivre certaines des conditions par lesquelles, dans un lieu concret, le prix s'établit tout de suite de la manière qu'il est. Mais il ne peut y avoir une définition générale de comment le prix se compose d'une quelque manière, elle est en fait impossible. Par conséquent, cela doit toujours de nouveau et à nouveau surprendre, que, dans les œuvres d'économies nationales usuelles, nous trouvions parlé sur le prix comme si on pouvait définir le prix. On ne peut pas le définir, car le prix est partout un concret, et avec chaque définition on a tout de suite, chez des choses d'économie de peuple, en fait quelque chose de donné qui ne s'approche pas une fois de la chose de quelque façon que ce soit.
04
Par exemple, j'ai vécu une fois le cas de parcelles de terrain dans une région où les prix étaient très bas. Une société a un homme assez célèbre en son centre. Cette société s'achète maintenant tout le terrain bon marché et fait ensuite construire une maison à l'homme célèbre dans ce quartier. Alors, les terrains seront proposés. Ils sont à proposer pour essentiellement plus cher en argent qu'ils n'ont été achetés, purement par ce que l'homme célèbre a été incité à se construire une maison là.
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Ce sont des choses qui vous montrent de quelles conditions indéterminées dépend le prix d'une chose dans le processus d'économie de peuple. Vous pouvez maintenant naturellement dire : oui, mais de telles choses, on doit les piloter. - Les réformateurs fonciers et des personnes semblables s'opposent à de telles choses, veulent déterminer d'une certaine manière un prix équitable pour les choses par toutes sortes de mesures. On le peut, mais pensé en termes d'économie de peuple, le prix n'est pas changé par cela. On peut par exemple, disons, quand quelque chose comme cela se passe et qu'alors les parcelles de terrain seront vendues plus cher, on peut à nouveau retirer l'argent aux gens sous forme d'un impôt foncier élevé. Alors l'État met ce qui en tombe dans sa poche. Mais on n'a pas encore saisi la réalité avec cela. En réalité, la chose est malgré tout devenue plus chère. Vous pouvez donc prendre des contre-mesures, mais elles cachent seulement la chose. Le prix est quand même celui qui serait devenu sans ces mesures. On fait seulement un réarrangement ; et ce n'est pas pensé économiquement quand on dit alors que les propriétés ne sont pas devenues plus chères après dix ans quand on a caché la chose par des mesures. Il s'agit de ce que l'économie de peuple doit se tenir avec les deux jambes justement dans la réalité et que, dans l'économie de peuple, on doit seulement toujours parler des conditions/rapports qui sont là tout de suite à une époque donnée et tout de suite là où on parle. Que les choses puissent être différentes se donnera alors pour celui qui veut le progrès de l'humanité ; mais les choses devront d'abord être considérées dans leur réalité de l'instant. De là, vous voyez comme c'est en fait impossible d'approcher quelque chose comme le concept le plus important dans l'économie de peuple : le prix, et vouloir saisir ce prix avec un concept aux contours très nets. Ainsi dans l'économie de peuple, on ne peut pas venir à quelque chose de tel. D'autres chemins devront absolument être empruntés. Le processus d'économie de peuple lui-même devra être regardé.
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Néanmoins, le problème du prix est le plus important de tous, et nous devons nous diriger vers ce problème du prix, c'est-à-dire saisir de l'œil le processus d'économie de peuple et essayer d'attraper le point, pour ainsi dire, où, n'importe où ou n'importe quand, le prix résulte des soubassements d'économie de peuple pour une quelque chose.
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Quand vous suivez maintenant les enseignements/théories d'économie de peuple d'usage, ainsi vous trouverez habituellement énumérés là trois facteurs, par desquels l'interaction de l'ensemble de l'économie de peuple se joue. Vous trouvez répertoriés : la nature, le travail humain et le capital. Certes, on peut dire tout d'abord : quand on suit le processus d'économie de peuple, on trouve au cours de celui-ci ce qui vient de la nature, ce qui est obtenu par le travail humain, et ce qui sera entrepris ou sera ordonné par le capital. Mais quand nous regardons ainsi, j'aimerais dire, simplement l'un à côté de l'autre la nature, le travail et le capital, ainsi on ne saisira pas vivant le processus d'économie de peuple. Par une telle considération, on sera conduit aux unilatéralités les plus diverses. Et l'histoire de la théorie de l'économie de peuple montre donc cela. Pendant que les uns pensent que toute valeur reposerait dans la nature et qu'en réalité aucune valeur particulière ne s'ajouterait à la matière des objets naturels par le travail humain, d'autres sont d'avis qu'en fait toute valeur d'économie de peuple est imprimée à un quelque bien, une marchandise, par le, comme on dit aussi volontiers, le travail cristallisé en elle. À nouveau, à l'instant où vous juxtaposez le capital et le travail, vous trouverez d'un côté que les gens disent que c'est en fait le capital qui rend le travail uniquement possible, et que le salaire serait payé sur la masse du capital. De l'autre côté, sera dit : Non, tout ce qui produit des valeurs, c'est le travail, et ce que gagne/remporte le capital est seulement la valeur ajoutée/plus-value retirée du résultat du travail.
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La chose est ainsi : si on regarde les choses de l'un des points de vue, l'un a raison ; si on la regarde de l'autre point de vue, l'autre a raison. Une telle vision de la réalité vous vient vraiment en vis-à-vis en fait comme maintes comptabilités : si on place le poste là, c'est ça qui sort ; si on le met là-bas, c'est ça qui sort, et ainsi de suite. On peut très bien parler de valeur ajoutée/plus-value avec de très fortes raisons fictives/d'apparences, qu'en fait le salaire du travail est retiré et que le capitaliste se l'approprie. On peut parler avec des raisons tout aussi bonnes qu'en fait, dans le contexte d'économie de peuple, tout revient aux capitalistes et qu'il paie ses travailleurs seulement à partir de ce qu'il peut utiliser pour le salaire du travail. Il y a de très bonnes, et aussi de très mauvaises raisons pour les deux. Toutes ces considérations ne peuvent notamment pas en fait absolument parvenir à la réalité d'économie de peuple. Ces considérations sont bonnes comme base pour l'agitation, mais elles ne sont absolument pas quelque chose qui vient n'importe comment en considération dans la sérieuse théorie d'économie de peuple. D'autres bases doivent être présentes en premier, quand on veut parler avec un certain droit d'un développement ultérieur de l'organisme d'économie de peuple. Maintenant, naturellement, jusqu'à un certain degré, de telles constellations sont déjà justifiées ; et quand Adam Smith voit, par exemple, dans le travail qui est utilisé sur les choses, le facteur primordial/originel de formation de valeur, ainsi on peut aussi avancer de très bonnes raisons pour cela. Un homme comme Adam Smith ne pensait pas de façon absurde, mais ce qui là aussi repose à la base est que l'on pense toujours pouvoir saisir une quelque chose qui reste immobile et ensuite donner une définition, pendant que dans le processus d'économie de peuple tout est constamment en mouvement. Il est relativement facile de construire des concepts sur les phénomènes naturels, même les plus compliqués, par opposition à ces façons de voir dont on a besoin pour un enseignement d'économie de peuple. Les phénomènes de l'économie de peuple sont infiniment plus complexes, instables/labiles et variables que ceux de la nature, beaucoup plus fluctuants et beaucoup moins faciles à saisir avec quelque concept déterminé.
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On doit justement utiliser une méthode complètement différente. Cette méthode vous sera seulement difficile dans les toutes premières heures, mais vous verrez qu'en ressortira ce qu'on peut poser à la base d'un véritable enseignement de l'économie de peuple. On peut dire que dans ce processus d'économie de peuple, que l'on a à saisir de l'œil, cours dedans la nature, le travail humain et - donc tout d'abord lorsque l'on considère le pur extérieur de l'économie de peuple - le capital. Tout d'abord !
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Mais maintenant, lorsque nous regardons immédiatement le central, le travail humain, nous essayons de nous forger une façon de voir parce que nous descendons une fois - j'ai déjà fait de telles allusions hier - dans le domaine de l'animal et regardons l'économie des moineaux, l'économie des hirondelles au lieu de l'économie de peuple. Oui, là, la nature est la base pour l'économie. Le moineau doit aussi faire une sorte de travail. Il doit au moins sauter dans tous les sens et sauter là où il trouve son petit grain, et parfois il a même beaucoup à sauter par jour jusqu'à ce qu'il trouve son petit grain. L'hirondelle qui construit son nid doit aussi faire une sorte de travail. Elle a aussi beaucoup à faire avec cela. Néanmoins, au sens d'économie de peuple, nous ne pouvons pas appeler cela travail. Nous ne pouvons pas aller plus loin avec des façons de voir d'économie de peuple lorsque nous appelons cela du travail ; parce que, si nous y regardons de plus près, nous devons dire : le moineau, l'hirondelle sont en fait exactement organisés de telle sorte que les choses qu'ils doivent exécuter dans une certaine mesure pour trouver leur nourriture, ils les exécutent tout de suite. Ils ne pourraient pas du tout être en bonne santé s'ils ne pouvaient pas se déplacer/mouvoir de cette manière. C'est une continuation de leur organisation, qui leur appartient comme ils ont des jambes ou des ailes. De sorte que, dans ce cas, nous pouvons nous passer de ce que l'on pourrait appeler un travail apparent/en apparence quand nous voulons construire des concepts d'économie de peuple. Où la nature sera prise immédiatement et que l'être individuel/particulier effectue le travail apparent correspondant simplement pour satisfaire soi ou ses tout proches, là nous devons en fait alors retirer ce travail apparent quand nous voulons déterminer ce qui est valeur au sens d'économie de peuple. Et c'est pourquoi il s'agit d'abord nous nous approchions d'une façon de voir la valeur d'économie de peuple.
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Donc, si nous regardons l'économie animale, nous pouvons seulement dire : celle-ci est ainsi que la nature elle-même forme simplement de la valeur. Pour l'économie animale, juste la nature elle-même est formatrice de la valeur. Mais maintenant, à l'instant où nous arrivons en haut à l'humain, cela signifie à l'économie de peuple, nous avons toutefois du côté de la nature le point de épart de la valeur de nature ; mais à l'instant où des humains prennent soin pas seulement d'eux ou de leurs tout proches, mais prennent soin les uns des autres, vient maintenant toutefois aussitôt en considération ce qu'est le travail humain. Aussi ce que l'humain doit maintenant faire à l'instant où il n'utilise pas purement les produits de la nature pour soi, mais où il se tient en relation avec d'autres humains et échange des biens avec eux, ce qu'il fait devient du travail par rapport/vis-à-vis de la nature. Et ici, nous avons un des côtés de la valeur dans l'économie de peuple. Ce côté-là apparaît du fait que du travail humain sera utilisé sur des produits naturels, et nous avons des produits naturels transformés (NDT retouchés) par le travail humain dans la circulation économique en face de nous. C'est là qu'apparaît en fait en premier une réelle valeur d'économie de peuple. Aussi longtemps que le produit naturel est à son lieu de découverte, intact, il n'a pas d'autre valeur que celle qu'il a pour l'animal, par exemple. À l'instant où vous faites le premier pas pour ajouter le produit naturel au processus de circulation d'économie de peuple, le produit naturel retouché commence à avoir une valeur économique. Dans ce cas, nous pouvons caractériser cette valeur d'économie de peuple en exprimant la phrase/le principe : la valeur d'économie de peuple de ce côté-là est un produit naturel, transformé/retouché par le travail humain. - Que ce travail humain consiste à creuser, à hacher ou à transporter le produit naturel d'un endroit à un autre, ne fait rien à la chose. Si nous voulons d'abord avoir la détermination de la valeur en général, ainsi nous devons dire que le travail humain forme la valeur, qui change ainsi un produit naturel de telle manière qu'il peut passer dans le processus de circulation d'économie de peuple.
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Si vous saisissez cela de l'œil, alors vous aurez aussitôt la valeur entièrement fluctuante d'un bien qui circule dans l'économie de peuple. Car le travail est quelque chose de continuellement disponible qui est utilisé sur le bien d'économie de peuple. Ainsi que vous ne pouvez en fait pas du tout dire ce qu'est la valeur, mais pouvez seulement dire : la valeur apparaît à un endroit déterminé en un temps déterminé en ce que le travail humain transforme un produit naturel. -- Là apparaît la valeur. Nous ne pouvons et ne voulons pas du tout définir d'abord la valeur, mais nous voulons seulement pointer/indiquer vers l'endroit où la valeur apparaît. J'aimerais vous décrire cela schématiquement, j'aimerais vous le décrire schématiquement ainsi que je vous dis : dans une certaine mesure, nous avons la nature en arrière-plan (voir dessin 2, à gauche) ; et nous avons, s'approchant de la nature, le travail humain ; et ce qui apparaît à travers l'interaction de la nature et du travail humain, pour ainsi dire, ce qui y devient visible là, c'est d'un côté la valeur. Dessin 2. Ce n'est absolument pas une image fausse, quand vous vous dites, par exemple : vous regardez une surface noire, une quelque chose de noir à travers quelque chose de clair - vous le voyez bleu. Mais selon que le clair est épais ou mince, c'est bleu différemment. Selon la façon dont vous le déplacez, c'est différemment dense. C'est fluctuant. Ainsi est la valeur dans l'économie de peuple, qui n'est en fait rien d'autre que l'apparence/la manifestation de la nature à travers le travail humain, fluctuant partout.
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Nous ne gagnons tout d'abord pas grand-chose d'autre avec ces choses, que quelques indices abstraits ; mais ceux-ci nous orienteront dans les prochains jours pour chercher les choses concrètes. Maintenant, vous y êtes habitué, on commence dans toutes les sciences avec ce qui est d'abord le plus simple. Voyez-vous, le travail en soi n'a justement aucune détermination dans le contexte/pendant d'économie de peuple. Car si un humain coupe/fend du bois ou se place debout sur une roue, il y en a parce qu'il est gros et qu'il grimpe toujours d'une marche à l'autre - elle va en bas - et il s'amincit ainsi : il peut fournir le même travail que celui qui coupe du bois. Regarder le travail de la même façon que Marx le regarde, par exemple, en disant qu'on devrait chercher comme équivalent ce qui est consommé par le travail à l'organisme humain, c'est un non-sens colossal ; car la même chose sera consommée quand un humain danse sur une roue comme quand il coupe du bois. Il ne s'agit pas de ce qui arrive à l'humain au sens d'économie de peuple. Nous avons donc vu que l'économie de peuple frôle le non économique de peuple. D'un point de vue purement d'économie de peuple, il n'y a aucune justification d'indiquer n'importe comment sur ce que le travail - du moins dans un premier temps pour placer le concept du travail selon l'économie de peuple - épuise/use les humains. Il a une signification indirecte, parce qu'on doit à nouveau s'occuper des besoins de l'humain. Comme Marx a fait les observations, on a à faire avec un non-sens colossal.
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Maintenant, qu'est-ce qui est nécessaire pour saisir le travail dans le processus d'économie de peuple ? Là, il est nécessaire que d'abord on ignore l'être humain et regarde comment le travail s'intègre/se place dans le processus d'économie de peuple. Le travail n'entre pas du tout en jeu dans un tel rouage, il adhère complètement à l'humain ; fendre du bois se place dans le processus d'économie de peuple. Il s'agit seulement de comment le travail se place dans le processus d'économie de peuple. Et ici, il s'agit en fait pour tout ce qui vient en considération, de ce que la nature sera partout transformée par le travail humain. Et seulement aussi loin que la nature est transformée par le travail humain, nous produisons des valeurs d'économie de peuple d'après un côté. Quand, par exemple, disons, nous trouvons correct pour notre santé corporelle, de travailler à la nature et, entre-temps, dansons toujours un peu alentour ou faisons de l'eurythmie, alors cela peut être jugé d'un point de vue différent ; mais ce que nous faisons entre-temps ne doit pas être qualifié de travail d'économie de peuple et ne pas être considéré comme une quelque valorisation d'économie de peuple. D'un autre côté, cela peut être générateur de valeur, mais nous devons d'abord nous former les concepts purs des valeurs d'économie de peuple en tant que telles.
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Maintenant, il y a cependant une tout autre possibilité, qu'une valeur d'économie de peuple apparaisse. C'est celle que nous considérons le travail comme tel et que nous prenions maintenant le travail d'abord comme quelque chose de donné. Alors c'est donc, comme vous venez de le voir, ce travail est tout d'abord quelque chose de complètement neutre, insignifiant d'un point de vue d'économie de peuple. Mais il devient économiquement créateur de valeur dans chaque cas où nous dirigeons ce travail à travers l'esprit, l'intelligence de l'humain - je dois parler là un peu différemment qu'avant. Vous pourriez même penser dans les cas les plus extrêmes, que quelque chose qui sinon n'est pas du tout travail, est transformé en travail par l'esprit de l'humain. Si cela vous vient lorsque quelqu'un utilise cette roue, la met dans sa chambre et veut devenir plus mince, alors aucune valeur d'économie de peuple n'est disponible là. Mais quand quelqu'un tire une corde autour de la roue et que cette corde intervient d'une manière ou d'une autre pour entraîner une machine, alors vous avez utilisé par l'esprit ce qui n'est pas du tout travail. L'effet secondaire/collatéral, c'est qu'il devient déjà maigre ; mais ce qui est décisif ici, c'est que le travail sera amené dans une certaine direction par l'esprit, par l'intelligence, par la réflexion, peut-être aussi par la spéculation, que les travaux seront amenés dans certaines interactions, et ainsi de suite. Ainsi que nous pouvons dire : nous avons ici le deuxième côté de la création de valeur dans l'économie de peuple. Là où le travail se tient en arrière-plan et où devant l'esprit dirige le travail, là le travail nous brille à travers l'esprit et génère une valeur d'économie de peuple.
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Nous verrons déjà que ces deux côtés sont absolument présents partout. Quand j'ai dessiné le schéma ici de telle manière (voir dessin 2, à gauche) que tout de suite la valeur d'économie de peuple apparaisse - tableau 2 -, quand nous avons la nature apparaissant à travers le travail, ainsi je devrais dessiner ce que j'ai maintenant expliqué ainsi que nous avons le travail là derrière et là devant ce qui est spirituel, ce qui donne une certaine modification au travail. (voir dessin 2, à droite).
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Ce sont pour l'essentiel les deux pôles du processus d'économie de peuple. Vous ne trouverez aucune autre façon dont des valeurs économiques seront produites: soit la nature sera modifiée par le travail, soit le travail sera modifié par l'esprit, ce en quoi l'esprit se vit à l'extérieur très souvent dans les formations du capital, de sorte qu'en rapport à l'économie de peuple, l'esprit devra être recherché dans la configuration des capitaux. Au moins son expression extérieure est là. Cela se donnera quand même à nous quand nous considérons le capital comme tel, puis alors le capital comme moyen d'argent.
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Ainsi vous voyez donc que nous ne pouvons pas parler de ce qu'une définition de la valeur d'économie de peuple peut se donner. Car à nouveau pensez seulement de quoi tout cela dépend, de combien de gens stupides et intelligents cela dépend, que n'importe où le travail sera modifié par l'esprit. Il y a là toutes sortes de conditions fluctuantes. Mais pour cela vaut toujours ce qui est conforme à la façon de voir : que les moments formateurs de valeur dans le processus d'économie de peuple sont à chercher sur ces deux contraires polaires.
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Maintenant, quand c'est le cas, alors c'est disponible : quand nous nous tenons quelque part dans le processus d'économie de peuple, et que le processus d'économie de peuple, j'aimerais le dire, se joue n'importe où lors de l'achat et de la vente, ainsi nous avons dans l'achat et la vente pour l'essentiel échange de valeur, un échange de valeurs. Vous ne trouvez aucun autre échange que celui de valeurs. Il est en fait faux quand on parle d'échange de biens. Dans le processus d'économie de peuple, le bien est, qu'il s'agisse d'un produit naturel modifié ou maintenant d'un travail modifié, une valeur. Ce qui sera échangé, ce sont des valeurs. C'est de cela qu'il s'agit. Ainsi que - vous devez donc vous dire : quand n'importe où se jouent l'achat et la vente, ainsi des valeurs seront échangées. - Et ce qui ressort maintenant dans le processus d'économie de peuple, quand valeur et valeur entrent en collision dans une certaine mesure pour s'échanger, c'est le prix. Vous ne trouvez jamais le prix à apparaître autrement que comme valeur entrant en collision avec valeur dans le processus d'économie de peuple. C'est pourquoi, on ne peut aussi pas du tout réfléchir sur le prix quand on pense à l'échange de purs biens. Quand vous achetez une pomme pour, oui, je ne sais pas, disons, cinq pfennigs, alors vous pouvez dire, vous échangez un bien contre un autre bien, la pomme pour cinq pfennigs. Mais de cette manière, vous n'arrivez jamais à une observation/considération d'économie de peuple. Car la pomme est cueillie quelque part, a alors été promue, et s'est peut-être encore passé beaucoup d'autres choses autour d'elle. C'est le travail qui l'a modifiée. Vous n'avez pas à faire avec la pomme, mais avec le produit naturel modifié par le travail de l'humain, qui représente une valeur. Et on doit toujours partir de la valeur dans l'économie de peuple. Vous avez justement à faire ainsi avec une valeur avec les cinq pfennigs et non avec un bien ; car ces cinq pfennigs sont quand même volontiers seulement le signe qu'il y a une autre valeur dans l'humain qui doit s'acheter la pomme, qu'il échange pour cela.
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Donc, ce dont il s'agit pour moi, c'est qu'aujourd'hui, nous en arrivons à la vue que c'est faux de parler des biens dans l'économie de peuple, que nous devons parler comme/que de l'élémentaire, des valeurs, et que c'est faux de vouloir essayer de saisir le prix autrement, d'une autre façon que de ce qu'on saisisse de l'œil le jeu des valeurs. La valeur contre la valeur donne le prix. Si déjà la valeur est quelque chose de fluctuant qu'on ne peut pas définir, alors est donc, quand vous échangez de la valeur contre de la valeur, dans une certaine mesure, ce qui survient dans l'échange comme prix, c'est quelque chose de fluctuant au carré.
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Mais de toutes ces choses, peut s'en suivre pour vous qu'il est tout à fait vain de vouloir saisir n'importe comment des valeurs et des prix afin de se tenir sur un sol solide dans l'économie de peuple et quelque peu vouloir intervenir dans un processus d'économie de peuple. Ce qui vient là en considération doit être quelque chose de complètement différent. Cela doit reposer derrière lui et ça repose donc aussi derrière lui. C'est ce que montre une observation très simple.
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Pensez-vous seulement une seule fois : la nature nous apparaît à travers le travail humain. Quand, disons, nous gagnons du fer à un endroit dans des conditions extraordinairement difficiles, ainsi ce qui en sort comme valeur est un objet naturel modifié par le travail humain. Si, à un autre endroit, le fer devait être produit sous des conditions plus légères, il en résulte éventuellement une valeur complètement différente. Vous voyez donc qu'on ne doit pas saisir la chose à la valeur, mais qu'il faut la saisir derrière la valeur. On doit revenir à ce qui constitue/forme la valeur, et là, on doit peut-être en venir progressivement aux rapports plus constants, sur lesquelles on peut alors avoir une influence immédiate. Car à l'instant où vous avez amené la valeur dans la circulation d'économie de peuple, là vous devez la laisser fluctuer au sens de l'organisme d'économie de peuple. Tout de suite aussi peu que lorsque vous regardez la composition plus fine des cellules sanguines, qui est différente dans la tête et différente dans le cœur et différente dans le foie, que vous avez là dans la main pour le dire : Il s'agit pour trouver une définition du sang - c'est pourquoi il ne peut s'agir d'une définition, il ne peut s'agir que de ce que sont les aliments les plus favorables/avantageux dans tel ou tel cas ; justement ainsi, il ne peut jamais s'agir de tourner autour du pot sur valeur et prix, mais seulement qu'on aille aux premiers facteurs, à ceux qui, quand alors c'est correctement formé, font justement ressortir le prix correspondant, qui alors deviendra ainsi déjà de lui-même.
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C'est tout à fait impossible de rester immobile dans le domaine de la valeur ou de la définition de prix avec la considération d'économie de peuple, mais on doit revenir partout à ce que sont les points de départ, c'est-à-dire à ce dont le processus d'économie de peuple tire son alimentation/sa nourriture d'un côté et d'où il est régulé de l'autre côté : donc à la nature sur un côté, à l'esprit sur l'autre.
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Cela a été la difficulté avec toutes les théories d'économie de peuple de ces derniers temps, que l'on a toujours voulu tout d'abord saisir ce qui est fluctuant. Par cela, presque aucune fausse définition ne s’est donné, pour celui qui voit à travers la chose, pris au fond, mais seulement des correctes. On doit déjà vraiment taper beaucoup à côté, quand on dit : le travail correspond à ce qui doit être à nouveau remplacé dans l'organisme humain, il est de la substance épuisée. - On doit déjà taper beaucoup à côté et ne pas voir les choses les plus ordinaires. Mais il s'agit qu'aussi des gens correctement/bien intelligents ont trébuché/échoués lors de la formation de leur théorie d'économie de peuple parce qu'ils ont voulu observer au repos les choses qui sont dans le courant/le flux. On peut faire cela aux choses de la nature, on doit le faire souvent, mais là il suffit d'observer ce qui est au repos d'une tout autre manière. Quand nous regardons le mouvement, ainsi nous en sommes seulement arrivés dans l'observation de la nature, de la regarder composée de petits repos/répis qui sautent alors plus loin. En ce que nous intégrons, nous regardons aussi le mouvement comme quelque chose qui se compose de repos.
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Il n'est pas possible d'examiner le processus d'économie de peuple d'après le modèle d'une telle connaissance. Ainsi qu'on doit dire : ce dont il s'agit est d'aborder d'abord la théorie d'économie de peuple de la façon et la manière comme d'un côté, la valeur apparaît en ce que la nature sera transformée par le travail, la nature sera vue par le travail, et de l'autre côté comment la valeur apparaît en en ce que le travail sera vu par l'esprit. Et ces deux origines des valeurs sont absolument polairement différentes, ainsi que dans le spectre, l'un des pôles, le pôle clair, le pôle jaune, est différent du pôle bleu, violet. Ainsi que vous pouvez déjà retenir l'image : tout comme d'un côté les couleurs chaudes apparaissent dans le spectre, ainsi apparaît d'un côté la valeur de la nature, qui se manifestera davantage dans la formation des rentes lorsque nous percevons la nature transformée par le travail ; de l'autre côté nous apparaît davantage la valeur qui se transforme en capital lorsque nous jetons un coup d'œil au travail transformé par l'esprit. Alors, le prix peut toutefois survenir lorsque les valeurs d'un pôle entrent en collision avec les valeurs de l'autre pôle, ou lorsque les valeurs à l'intérieur d'un pôle interagissent entre elles. Mais chaque fois que la formation de prix vient en considération, alors c'est ainsi que la valeur interagit avec la valeur. Cela signifie que nous devons nous abstenir complètement de tout ce qui est là sinon, des substances elles-mêmes, de tout cela nous devons nous abstenir et nous devons d'abord voir comment les valeurs seront formées d'un côté, et comment les valeurs sont formées de l'autre côté. Alors nous pourrons avancer au problème du prix.