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Collection: GA332a   OEUVRES COMPLETES DE RUDOLF STEINER – CONFÉRENCES SUR L'AVENIR SOCIAL




TROISIÈME CONFÉRENCE
Zurich, 26 octobre 1919

Questions de droit – Tâches et limites de la démocratie

Rapports de droit public et soin du droit pénal.

DRITTER VORTRAG
Zürich, 26. Oktober 1919

 Rechtsfragen — Aufgabe und Grenze der Demokratie

Öffentliche Rechtsverhältnisse und Strafrechtspflege

 


 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA332a 076-111 (1977) 26/10/1919


Original



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Traducteur: FG
Editeur: SITE

  Si on gagne des façons de voir à la mesure des choses sur la vie sociale, cela dépend en beaucoup de rapport de cela si on est clair pour soi là dessus quel rapport domine entre les humains, qui dans leur vie en commun provoquent donc bien la vie sociale et les institutions à l'intérieur desquelles vivent les humains. Qui se tient dedans non prévenu dans la vie sociale, celui-là pourra découvrir que finalement tout ce que nous avons autour de nous d'institutions, se constitue par les mesures, par la volonté des humains. Qui se résout à cette façon de voir, celui-là se dira finalement : dans la vie sociale il s'agit avant toutes choses si les humains font leur preuve comme sociaux ou antisociaux de leurs forces, de leurs capacités, de leur mentalité à d'autres humains et ainsi de suite. Des humains avec mentalité sociale, façon de voir la vie sociale vont se former des institutions qui œuvrent socialement. Et on peut dire en très large mesure : si l'individu est en mesure de s'acquérir pour ses encaissements la subsistance correspondante, cela dépendra de cela comme ses semblables lui fabriquent les moyens pour cette subsistance, s’il travaille pour lui ainsi qu'il peut payer sa subsistance de ses moyens.
Si l'individu peut acheter suffisamment de pain – quand on parvient au plus concret -, dépendra justement de cela si les humains ont atteint de telles institutions par lesquelles un tel qui travaille, qui fourni quelque chose, pour son travail, pour sa prestation peut s'échanger le pain correspondant. Et si l'individu est en mesure d'amener son travail vraiment à la mise en œuvre, de se tenir vraiment à la place, sur laquelle il peut acquérir les moyens nécessaires pour sa subsistance, cela dépend à nouveau de cela si les humains parmi lesquels il vit on atteint des instituions sociales par lesquelles il peut venir à sa place correspondante.



Maintenant, il y a en fait besoin seulement peu d'un regard non prévenu dans la vie de société pour reconnaître ce qui justement a été exprimé comme un axiome, comme une connaissance de base de la question sociale. Et qui ne le reconnaît pas, à celui-là on pourra lourdement prouver ce principe parce qu'il n'a pas le penchant de regarder non prévenu sur la vie, pour se convaincre – il le peut de chaque morceau de la vie – que c'est vraiment ainsi.

Toutefois pour l'humain actuel cette façon de voir a quelque chose d'extraordinairement désagréable. Car l'humain actuel place une grande valeur là-dessus qu'on ne tape seulement donc pas à lui-même. Il le laisse facilement trouver à son goût, quand on parle de cela qu'institutions devraient être améliorées, qu'instituions devraient être transformées, mais il le ressent comme une atteinte à sa dignité d'humain quand on est obligé de parler de cela que lui-même dans sa constitution d'âme, dans son comportement de vie devrait se soumettre à une transformation. Il le laisse facilement trouver à son goût, quand on dit, les institutions doivent être formées socialement ; il le laisse difficilement trouver à son goût quand on place l'exigence, il devrait se former social lui-même.

Et ainsi est entré alors quelque chose d'extraordinairement étrange dans les récentes évolutions historiques de l'humanité. La vie économique s'est dans le cours du dernier siècle, comme je l'ai expliqué dans la première conférence, développé vers dehors par dessus ce que les humains on formés de façons de voir, particulièrement de façons de voir juridiques et spirituelles sur cette vie économique. J'ai rendu attentif là dessusdans la première conférence, comme tout de suite la critique de société de Woodrow Wilson équivalait à ce qu'il disait : la vie économique a placé ses exigences, a progressé, a prise certaines formes ; la vie juridique, spirituelle par laquelle nous cherchons à dominer cette vie de l'économie, elle se tient encore sur de vieux points de vue, elle n'a pas suivi. Mais par cela est exprimé absolument un fait profondément significatif de la récente évolution de l'humanité.


Avec la montée des rapports techniques compliqués et des rapports capitalistes compliqués devenus nécessaires, les rapports d'entreprise, la vie économique a posé ses exigences.
Les faits de la vie économique ont, j'aimerais dire, échappé progressivement aux humains, ils prennent plus ou moins leur propre cours. L'humain n'a pas trouvé la force de lui-même par ses représentations, par ses idées de dominer cette vie économique.

De la pensée sur les exigences économiques, de la pensée sur l'économique, comme on l'observe immédiatement, l'humain récent a dédaigné à former toujours de plus en plus ses concepts de droit et aussi ses concepts spirituels.

Et ainsi, on peut dire : le caractéristique dans l'évolution de l'humanité dans les derniers siècles est qu'aussi bien les concepts de droit par lesquels les humains veulent vivre entre eux, comme aussi les concepts de vie de l'esprit, par lesquels ils veulent développer et façonner leurs capacités, sont devenus à un haut degré dépendant de la vie économique.

On ne remarque pas du tout comme tant dans les temps récents les représentations humaines et l'attitude des humains les uns aux autres sont devenu dépendant de la vie économique. Naturellement les humains ont aussi créé eux même les instituions des derniers siècles, mais ils ne les ont pour la grande part pas créé à partir de représentations et idées nouvellement fondées, mais plus à partir d'impulsions inconscientes, de motivations inconscientes. Et par cela s'est montré quelque chose qu'on peut nommer en réalité un certain anarchique dans la structure de l'organisme social. D'après différents points de vue j'ai, dans les deux premières conférences, déjà distingué cet anarchique.

Mais à l'intérieur de cette structure sociale anarchique des temps récents se sont justement développés ces rapports-là qui ont tout de suite conduit à la question prolétarienne. Le prolétaire, qui a été appelé à partir de son artisanat, placé à la machine, parqué dans la fabrique – qu'a-t-il essentiellement vu en ce qu'il regardait la vie, qui se développait autour de lui ?

Il a en premier lieu vu a sa propre vie comme tout est dépendant, ce qu'il peut penser qu'il a de droit vis-à-vis d'autres humains, comme tout cela est déterminé par des rapports de pouvoirs économiques, des rapports de pouvoir économiques qui avant toutes choses sont donné pour lui par cela qu'il est le faible économique vis-à-vis du fort économique.

Et ainsi, on peut dire : chez les cercles dirigeants guides s'est installé un certain reniement de la vérité de base que les instituions humaines devraient provenir de la vie consciente des humains eux-mêmes. Les humains ont oublié de vraiment utiliser ces vérités de base dans la vie sociale. Les cercles dirigeants guides se sont progressivement adonnés instinctifs à une vie – quand aussi pas à une croyance – qui a rendu l'esprit et le droit dépendant du moyen de pouvoir économique. Mais de cela s'est constituer un dogme, une conception de vie de personnalités pensant socialiste et leurs partisans.

La conception de vie est sortie de cela que dans l'évolution de l'humanité, il devrait être ainsi qu'aucune possibilité n’est là que l'humain s'organise de lui-même les rapports de droit, que l'humain lui-même s'organise la vie spirituelle, mais que la vie spirituelle et la vie de droit doivent se monter comme un appendice des réalités économiques, des branches de productions économiques et ainsi de suite.


Et ainsi se constitua la question sociale sous le point de vue d'une certaine exigence chez de larges cercles. À eux la croyance reposait à la base : la vie économique fait la vie de droit, la vie économique fait la vie de l'esprit – ainsi la vie économique doit être transformée en soi ainsi qu'elle produit une vie de droit, une vie de l'esprit comme cela correspond aux exigences de ces cercles.

Ce qui était devenu habitudes de vie des cercles dirigeants guidant, le prolétariat l'a appris, aussi à le remonter dans la conscience ; ce que les autres ont exprimé par leur vie il l'a fait dogme, et nous nous tenons aujourd'hui vis-à-vis de la question sociale que dans de larges cercles est répandue la façon de voir : nous devons seulement transformer la vie de l'économie, les institutions économiques, alors tout le reste, alors tout le reste, la vie de droit, la vie de l'esprit, viendra de soi-même comment se montreront elles-mêmes d'institutions économiquement correctes, bien formées socialement, ces vies de droit et de l'esprit.

Sous l'influence de ce point de vue a été méconnu de quoi il s'agit en fait dans la récente question sociale. Cela a été dans une certaine mesure recouvert, voilé par une grosse erreur, par une puissante illusion venant de ce dogme. En effet, il s'agit en fait de cela : tout de suite cela est un résultat de la récente histoire de l'humanité que la dépendance de la vie de droit et d'esprit de la vie de l'économie doit être surmontée. Et pendant que de larges cercles socialistes pensent aujourd'hui que la vie de l'économie devrait tout d'abord être formée autrement, alors tout le reste se donnerait de soi-même, on a à se poser la question : quels rapports devraient être créés sur les domaines du droit, de la vie de l'esprit en eux-mêmes afin qu'à partir de la vie spirituelle renouvelée, de la vie de droit renouvelée apparaissent des conditions économiques qui expriment un Dasein (NDT être-là) humain digne ? Pas : comment faisons-nous toujours plus et plus la vie de droit, la vie de l'esprit dépendante de la vie de l'économie ? - c'est cela avant toutes choses qui doit être demandé.



Cette considération est une très importante, car elle nous montre, quels obstacles sont là pour une façon de voir de la question sociale du présent dépourvue d'à priori et comme un des plus importants obstacles est un dogme qui s'est formé au cours des siècles. Et ce dogme s'est ainsi incrusté que de nombreux cultivés et non cultivés du présent, prolétaires et non prolétaires, vous moquent tout de suite aujourd'hui quand on croit que de quelque façon à partir d'un autre côté que par la transformation de la vie économique pourrait aussi venir une guérison de la vie de droit et de la vie de l'esprit.


Maintenant ma tâche est de parler aujourd'hui sur la vie de droit, après-demain sur la vie de l'esprit.
La vie de droit a donc aussi dans son essence et signification à placer de multiple fois les humains devant la question : quelle origine a en fait le droit ? Quelle origine a ce que dont les humains disent dans leur comportement réciproque, ce serait légitime ? – Cette question a donc toujours été pour les humains une très, très importante. Seul c'est très remarquable, que chez un large cercle de personnalités observatrices socialement la question du droit proprement dite, on aimerait dire, est tombée dans un trou, n’est plus du tout là. Certes, des discussions académiques théoriques sont aussi aujourd’hui disponibles sur l’essence, la signification du droit et ainsi de suite, mais dans l’observation sociale de larges cercles est justement caractéristique, que la question du droit est plus ou moins passée à travers.

Si je devais vous discuter cela, je dois vous rendre attentif à quelque chose, qui apparaît dans le présent donc toujours de plus en plus souvent, pendant qu’il y a peu de temps ce n'était encore entièrement pas vu. Les humains ont vu monter des conditions sociales intenables. Aussi ceux, qui dans leur propre coût de vie sont restés plus ou moins épargnés par ces conditions non sociales, ont essayé d’y réfléchir.
Et pendant qu’en un temps relativement court ce fut vraiment radicalement ainsi que je vous l’ai justement affirmé, qu’on a seulement ri, quand quelque chose était attendu de question de droit et d’esprit pour les conditions économiques, vous fait front aujourd’hui – mais comme de sombres profondeurs de l’esprit, pourrait-on dire – toujours plus et plus l’affirmation : oui, dans le comportement social réciproque des humains viendrait en considération aussi une telle chose comme des questions d’âme et des questions de droit ; et beaucoup dans le désarroi des conditions sociales reposerait aujourd’hui sur ce qu’on n'aurait pas suffisamment pris en considération les rapports d’âmes, les rapports psychiques et les rapports juridiques dans leur autonomie. - Donc, il sera déjà un peu, parce que c’est tangible, attiré l'attention là dessus, que le salut devrait venir d’un autre côté que du pur côté économique. Mais dans la discussion pratique de la question, cela ne se fait encore que peu valoir.


C’est comme un fil rouge qui se tire à travers tout ce que donnent d’eux les récents penseurs socialistes, qu’une structure sociale doit être amenée, dans laquelle les humains peuvent vivre d’après leurs capacités et d’après leurs besoins.
Que cela soit plus ou moins formé grotesque et radical ou plus d’après une mentalité conservatrice, il ne s'agit pas de cela ; nous entendons partout : les dommages de l’ordre social actuel reposent en grande partie sur ce que l’humain ne serait pas en mesure, à l’intérieur de l’ordre social actuel, d'utiliser vraiment pleinement ses capacités ; de l’autre côté, que cet ordre social serait tel, qu’il ne pourrait pas satisfaire ses besoins, notamment que ne règne pas une certaine régularité dans la satisfaction des besoins.


En ce qu’on exprime cela, on revient sur deux éléments de base de la vie humaine. Capacités, c’est quelque chose qui se rapporte plus à la représentation humaine. Car toutes les capacités surgissent finalement chez l’humain, là où il doit agir consciemment, à partir de ses représentations, de sa volonté de penser. Certes, le sentiment doit continuellement enflammer les capacités de la représentation, les enthousiasmer ; mais le sentiment comme tel ne peut rien faire, si la représentation essentielle n’est pas là. Donc, quand on parle des capacités, aussi lorsque l’on parle des habiletés pratiques, on vient finalement à la vie des représentations. Cela alla donc pour un nombre d’humains, que là devrait être veillé sur ce que l’humain puisse amener à faire valoir sa vie de représentation dans la structure sociale.
L’autre qui alors sera fait valoir va plus sur l’élément de vie de la volonté dans l’humain. La volonté, qui dépend du désir, du besoin après tel ou tel produit, est une force fondamentale de l’être humain.
Et quand on dit, l’humain devrait pouvoir vivre dans une structure sociale d’après ses besoins, alors on regarde vers la volonté.


Sans qu’ils le sachent, les marxistes eux-mêmes parlent donc de l’humain en ce qu’ils soulèvent leur question sociale et en fait aimeraient faire croire qu’ils ne parlent que d’institutions. Ils parlent bien d’institutions, mais ces institutions ils veulent les former ainsi, que la vie des représentations, les capacités humaines, puissent venir à validité, et que les besoins humains puissent être satisfaits uniformément, comme ils sont disponibles.


Maintenant, il y a quelque chose de très particulier dans cette façon de voir. Dans cette façon de voir un élément de vie de l’humain ne vient notamment pas du tout à validité, et c'est la vie du sentiment. Voyez-vous, si on disait : on recherche, on voudrait obtenir une structure sociale, dans laquelle les humains pourraient vivre d’après leurs facultés, d’après leurs sentiments, d’après leurs besoins - , ainsi on atteindrait l’humain entier.Mais de manière curieuse on laisse de côté la vie de sentiment de l’humain, en ce qu’on veut caractériser de manière englobante ce qu’est le but social pour l’humain.
Et qui laisse en dehors la vie du sentiment dans sa vision de l’humanité, celui-là omet en fait chaque regard sur les véritables rapports de droit dans l’organisme social. Car les rapports de droit peuvent seulement se développer dans la vie en commun des humains, comme dans cette vie en commun des humains se racle, s’abrase sentiment à sentiment. Ainsi que les humains se sentent vis-à-vis les uns des autres, ainsi se donne ce qu’est droit public.
Et parce que dans la question de base du mouvement social, on laissait en fait de côté l’élément de vie du sentiment, devait, comme je disais, tomber dans un trou, disparaître la question du droit. Et il s’agit de cela qu’on pousse dans la lumière correcte justement cette question du droit. Certes, on sait qu’un droit est disponible, mais on aimerait placer le droit purement comme un appendice des conditions économiques.

Et comment se développe le droit dans la vie en commun humaine ? Voyez-vous, donner une définition du droit, a été souvent tenté, mais en fait jamais n’est sortie une définition satisfaisante du droit. Justement aussi peu est beaucoup sorti, quand on a recherché l’origine du droit, où le droit fait souche.

On voulait répondre à cette question. Il n’est jamais vraiment sorti quelque chose en cela.
Pourquoi pas ? C’est tout de suite ainsi que quand on voulait développer n’importe comment la langue de la nature humaine et purement de la nature humaine. Il a été souvent dit, et c’est juste : l’humain, qui grandit sur une île déserte, ne viendrait jamais à parler, car la langue s’enflamme aux autres humains, à l’ensemble de la société humaine.

Ainsi s’enflamme le droit aussi du sentiment dans le collaborer le sentiment de l’autre à l'intérieur de la vie publique. On ne peut pas dire, le droit provient de tel ou tel angle de l’humain ou de l’humanité, mais on peut seulement dire : les humains viennent par leurs sentiments, qu’ils développent mutuellement les uns pour les autres, dans de tels rapports, qu’ils définissent, fixent, déterminent cette relation dans des droits.
Le droit est donc quelque chose, après quoi devrait être demandé ainsi, qu’avant toutes choses on considère son développement à l’intérieur de la société humaine. Mais par la considération du droit vient justement dans l’étroite proximité pour l’humain moderne, ce qui s’est développé vers le haut dans l’histoire de l’humanité récente comme exigence démocratique.

On ne parvient pas prêt de l'essence de telle exigence, comme l'est l’exigence démocratique, quand on ne considère pas l’évolution humaine elle-même comme une sorte d’organisme. Mais les actuelles manières de considérer sont très, très éloignées de cela. Chaque humain le ressent, certes comme quelque chose de très risible et paradoxal, quand on voudrait expliquer, comment l’humain se développe de la naissance à la mort sous l’influence des produits alimentaires ; quand on voudrait expliquer, parce que le chou est ainsi, le blé ainsi, la viande de bœuf ainsi, l’humain se développe de la naissance jusqu'à la mort ainsi et ainsi. Non, personne n’admettra que cela est une manière de considérer raisonnable, mais chacun admettra qu’on doit demander :
Comment est-ce fondé dans la nature humaine elle-même, que par exemple autour de la septième année à partir de cette nature humaine les forces viennent, qui provoquent le changement de dents ? On ne peut pas tirer du chou, de la viande de bœuf, les conséquences que le changement de dent se déroule. Tout comme on doit demander : comment se développe à partir de l’organisme humain ce qui par exemple représente la maturité sexuelle ? – et ainsi de suite. On doit sur ce qui se développe, parvenir à sa nature intérieure.

Mais cherchez-vous parmi les sortes de représentations actuelles une que l’on peut appliquer à l’histoire de l’évolution humaine, laquelle par exemple serait claire là-dessus qu’en ce que l’humanité se développe sur la Terre, elle développe d'elle, à partir de son être, dans les différentes époques, certaines forces et capacités, certaines particularités !


Qui apprend à être adéquat dans l’observation de la nature peut aussi transposer cette observation adéquate à l’observation historique. Et là on trouve, que provenant des profondeurs de la nature humaine, depuis le milieu du 15e siècle s'est justement tout de suite développée cette exigence après la démocratie et dans les différentes régions de la Terre a été plus ou moins satisfaite cette exigence : que l’humain dans son comportement aux autres humains ne peut laisser valoir que ce qu’il sent lui-même comme le correct, qu’il sent comme lui étant adapté. Le principe démocratique est devenu à partir des profondeurs de la nature humaine, la signature de l’aspiration humaine dans les relations sociales des temps récents. C’est une exigence élémentaire de l’humanité récente, ce principe démocratique.


Qui voit clair dans ces choses, celui-là doit quand même aussi les prendre pleinement au sérieux, il doit se soulever la question : quelle est la signification et quelles sont les limites du principe démocratique ? – Le principe démocratique – je l’ai justement caractérisé – consiste dans ce que les humains qui vivent ensemble dans un organisme social clos devraient prendre des décisions qui procèdent de chaque individu.
Alors, elles ne peuvent seulement naturellement devenir des décisions liantes pour la société par cela que se montrent des majorités. Démocratique sera seulement alors, ce qui pénètre dans de telles décisions à majorité, quand chaque humain particulier se tient vis-à-vis de l’autre humain particulier comme un égal.
Mais alors, des décisions ne peuvent aussi être prises que sur ces choses, dans lesquelles l’humain individuel comme égal est en réalité égal à chaque autre humain. Cela signifie : sur sol démocratique ne peuvent être prises que des décisions sur lesquelles chaque humain devenu majeur, parce qu’il est devenu majeur, est capable de jugement. Mais avec cela vous avez – je pense aussi clairement que seulement possible – tracé à la démocratie ses limites. Il peut donc seulement être décidé sur le sol de la démocratie, ce qu’on peut simplement juger, parce qu’on est devenu un humain majeur.


Par cela s’exclut des règles de mesure démocratique tout ce qui se rapporte au développement des facultés humaines dans la vie publique. Tout ce qui est système éducatif et d’enseignement, ce qui absolument est vie spirituelle exige l'installation de l’humain individuel – nous parlerons plus exactement de cela après demain -, exige avant toutes choses de réelles connaissances humaines individuelles, exige dans l’enseigner, dans l’éduquer des facultés individuelles particulières qu'absolument l’humain ne peut faire siennes par cela qu'il est simplement un humain devenu majeur.
Soit, on ne le prend pas au sérieux avec la démocratie : alors, on laisse décider aussi sur tout, qui dépend de facultés individuelles ; ou bien on le prend au sérieux avec la démocratie : alors, on doit exclure de la démocratie, l’administration de la vie de l'esprit d’un côté.

Mais on doit aussi exclure de cette démocratie, ce qui est vie de l'économie. Tout ce que j’ai développé hier, repose sur connaissances factuelles et compétences factuelles, que l’individuel acquiert dans le cercle de vie de type économique dans lequel il se tient. Jamais simplement la majorité, la faculté de juger de chaque humain devenu majeur ne peuvent décider sur ce qu’on est un bon paysan, ou un bon industriel ou du même genre. De cela ne peuvent pas non plus être prises des décisions majoritaires par chaque humain devenu majeur sur ce qui a à se passer dans le domaine de la vie de l'économie.



Cela signifie, le démocratique doit être distinguée du sol de la vie de l’esprit, du sol de la vie de l'économie.
Alors se montre entre les deux la véritable vie démocratique d’État, dans laquelle chaque humain se tient vis-à-vis de l’autre comme capable de jugement, majeur, égal, dans laquelle aussi seulement des décisions de la majorité peuvent être prises sur ce qui dépend des mêmes facultés à juger de tous les humains devenus majeurs.


Qui dit ces choses, que j'ai justement exprimées, pas simplement pensant abstrait, mais les mesure à la vie, celui-là voit que les humains justement se trompent sur ces choses parce qu'elles sont en fait malcommodes à représenter parce qu'on n'aimerait pas développer le courage de pénétrer dans les dernières conséquences de ce représenter humain.

Mais cela, qu'on ne voudrait pas cela, qu'on n'opposerait à l'exigence générale après démocratie pas de tout autres choses, cela a eu une signification très, très pratique dans la récente évolution humaine. J'aimerais vous présenter ces choses beaucoup moins de principes abstraits que de l'évolution historique de l'humanité elle-même.

En ces années, nous avons vu un État disparaître, on aimerai dire : disparaître à partir de ses propres conditions, et cet État pourra tout simplement être considéré comme objet d'expérimentation aussi pour questions de droit. C'est la vielle Autriche-Hongrie, n'existant plus. Qui a suivi les années de guerre, celui-là sait certes que finalement l'Autriche est tombée par les purs événements guerriers, mais la dissolution de cet État autrichien est survenue en un deuxième phénomène, comme quelque chose, qui s'est montré à partir de ses conditions intérieures. Cet État s'est disloqué et il se serait vraisemblablement aussi disloqué quand les événements guerriers se seraient produits plus bénins pour l'Autriche.

On peut dire cela, quand on a observé ces rapports en Autriche pendant des décennies, – comme cela a été possible à celui qui ici vous parle ; j'ai passé trente années de ma vie en Autriche.

C'était dans les années soixante du précédent siècle, là apparu de cette Autriche l'exigence après démocratie, cela signifie après une représentation du peuple. Comment serait maintenant formée cette représentation du peuple ? Cette représentation du peuple a été formée ainsi que les représentants du peuple se recrutèrent dans le conseil d'empire autrichien de quatre curies, quatre curies de pure sorte économique : premièrement la curie des gros propriétaires, une curie ; deuxièmement les villes, marchés et lieux d'industrie, deuxième curie ; troisièmement les chambres de commerce, troisième curie ; la quatrième curie fut les communes de pays, mais là vinrent dans les faits, dans les communes de pays, seulement en question des intérêts économiques. Donc selon qu'on était membre d'une commune rurale, chambre des métiers et ainsi de suite, on votait ses représentants dans le conseil d'empire autrichien. Et là siégèrent maintenant ensemble les représentants de purs intérêts économiques. Les décisions, qu’ils prenaient, venaient, par majorité, évidemment, à partir d’humains particuliers, mais les humains particuliers représentaient des intérêts tels qu’ils se présentaient par leur appartenance économique aux propriétaires de fond et sol, aux villes, marchés et lieux industriels, aux chambres de commerce ou aux communes territoriales. Et que vinrent par là à apparaître comme droits publics, qui furent arrêtés par des décisions à la majorité ? Il apparut par là des droits publics qui étaient seulement des intérêts économiques transformés. Car évidemment, quand par exemple les chambres de commerce étaient unies aux gros propriétaires sur une chose quelconque, qui leur apportait des avantages économiques, alors pouvait être prise une décision majoritaire contre les intérêts de la minorité, qui peut-être justement était concernée par la chose.
On peut toujours rassembler des majorités qui prennent des décisions à partir des intérêts économiques quand des représentations d’intérêts économiques siègent au parlement, mais qui n’ont par là rien à voir du tout avec ce qui règne à partir du sentiment d’humain à humain comme conscience du droit.


Ou prenez le fait que par exemple dans le vieux Reichstag allemand siégeait un grand parti, qui se nommait Centre, et qui représentait de purs intérêts spirituels, notamment spirituels-catholiques. Ce parti pouvait s’entendre avec chaque autre, pour que se donne une majorité, et ainsi de purs besoins spirituels étaient transformés en quelque droit public. Cela s’est passé un nombre incalculable de fois.


Ce qui vit là dans les parlements modernes voulant devenir démocratiques, on l’a souvent remarqué. Mais on n’en est pas venu à considérer, ce qui a à se passer : une pure séparation de ce qui est la vie juridique de ce qui est la représentation, l’administration d’intérêts économiques.
L’impulsion pour la tri-articulation de l’organisme social doit de ce fait exiger de manière décisive le démembrement de la vie de droit, du sol du droit de l’administration des conditions économiques, de l’administration du cycle économique.

À l'intérieur du cycle économique devraient se former des associations, comme je l'ai expliqué hier. Des états professionnels se feront face, des producteurs et des consommateurs se feront face les uns les autres. Ce qui là se passera en faits et mesures purement économiques, cela reposera sur contrats que les associations concluront ensemble.
Dans la vie économique, tout reposera sur contrats, sur des prestations réciproques. Là, les corporations se tiendront vis-à-vis de corporations. Là, expertise et compétence métier auront à être déterminants. Là il ne s'agira pas de ce que j'ai comme opinion, disons, quand je suis industriel, quelle validité tout de suite doit avoir ma branche d'industrie dans la vie publique ; non, là-dessus je ne pourrais pas décider, quand la vie économique est autonome, mais j'aurais à fournir dans ma branche d'industrie, j'aurais à conclure des contrats avec les associations d'autres branches d'industrie, et celles-ci auront à me fournir la contre-prestation.
Si je suis dans la situation de les tenir en rapport de contre-prestations, de cela dépendra, si je peux fixer mes prestations. À la manière de contrat se conclura une association de compétence. C'est cela que sont les faits.

 La vie doit se dérouler autrement sur le sol du droit. Sur le sol du droit il ne peut s'agir de la détermination de lois qui justement règlent les droits publics par décisions majoritaires.

Certes, beaucoup d'humains disent : mais qu'est finalement le droit public ? Ce n'est donc pas autre chose qui, saisit en mots, apporte en loi, ce qui vit dans les conditions économiques ! - C'est en beaucoup de rapports ainsi. Mais cela laisse l'idée de la triarticulation de l'organisme social, comme elle ne laisse absolument pas la réalité non prise en compte, absolument pas hors attention : ce qui se montre comme droits par les décisions sur sol démocratique, cela portent évidements les humains, qui font l'économie, dedans la vie de l'économie.
Seulement, ils ne devraient pas le porter dehors et le faire d'abord comme droit. Ils le portent dedans la vie de l'économie.

Les abstraits, ils disent : oui, mais n'est pas dans la vie extérieure ce que l'un gère économiquement avec l'autre, quand il arrête un changement ou semblable et ce qui se montre là dans la législation cambiaire, entièrement contenue dans l'action de la vie économique ? Cela n'est-il pas une pleine unité ? Et tu viens, triarticuleur, et veux maintenant démonter ce qui dans la vie est une pleine unité !


Comme s'il n'y avait pas dans la vie – tout de suite dans la vie où l'humain n'a aucun accès avec ses opinions et qu'il ne peut rien gâter par là - beaucoup de domaines, où des courants de forces se relient en une unité à partir de différents côtés ! Supposez une fois chez l'humain qui grandit : il a différentes particularités, qu'il a reçues par hérédité. Elles adhèrent à lui. Alors, il a certaines particularités, qui lui seront amenées par l'éducation. De deux côtés l'humain grandissant reçoit des particularités : par l'hérédité, par éducation.
Mais faites quelque chose quand vous êtes devenus âgés de quinze ans, ainsi vous ne pouvez pas dire que ce ne serait pas une unité, ce que vous faites !
Le résultat de votre hérédité et le résultat de votre éducation, ils coulent ensemble en une unité. Par cela une unité vit dedans, mais seulement par cela correctement une unité que cela coule ensemble de deux côtés.
Tout de suite par cela ce sera une saine unité, que cela coule ensemble de deux côtés.

Ainsi se montre de la réalité de la vie pour l'idée de l'organisme social triarticulé qu'une saine unité pour l'action dans l'économique apparaît seulement aussi loin que des concepts de droits seront inclus là dedans par cela que les mesures économiques seront administrées indépendamment de points de vue économiques et que les droits seront créés sur le sol de droit démocratique.
Les humains portent alors cela ensemble en une unité. Cela œuvre ensemble, pendant qu'ils font caricatures ces droits, quand ils laissent se constituer eux-mêmes les droits des intérêts de la vie de l'économie. Le droit est alors seulement une photographie, seulement une empreinte des intérêts économique. Le droit n'est pas du tout là. Seulement par que vous laissez le droit apparaître originellement et initialement sur son sol autonome démocratique, vous pouvez le porter dedans la vie de l'économie.

On devrait croire, cela serait clair sans plus, qu'on n'aurait pas besoin en fait de l'expliquer de manière étendue. Mais notre temps a tout de suite le particulier que les plus claires vérités ont été assombries par la vie récente et qu'on déforme les plus claires vérités. On pense aujourd'hui sur le sol sur lequel se développent beaucoup de façons de voir socialistes que
la dépendance de la vie de droit de la vie de l'économie devrait tout de suite être poursuivie. Je vous ai esquissé hier comment une sorte de hiérarchie devrait être fondée d'après modèle politique et comment la vie de l'économie devrait être réglée et administrée d'après cela. Là, pense-t-on, ceux-là, qui administrent la vie de l'économie, développeront ainsi en plus aussi les droits.
On a, en ce qu'on prétend cela, aucun sens pour la vie concrète, véritable. La vie de l'économie dans laquelle on a avant toutes choses à être capable pour la formation des rapports de production ne peut pas produire les rapports de droit, mais ceux-là doivent être produits à côté de la vie de l'économie de leur propre source.
Ils ne seront jamais purement produits de la réflexion, mais par cela que se développe à côté du cycle économique un élément étatique, dans lequel l'humain individuel particulier se tient vis-à-vis de l'autre humain individuel.


Il ne s'agit donc pas de cela, qu'à partir d'une quelque conscience originelle on produise comme gestionnaire économique aussi des lois du droit, mais de ce qu'on créé d'abord le sol concret sur lequel les humains viennent en tels rapports par leurs sentiments qu'ils puissent transformer ces rapports en des rapports de droit.
Il s'agit de cela qu'on créé une réalité à côté de la vie de l'économie. Alors, le droit ne sera pas une pure superstructure par dessus la vie de l'économie, mais sera alors se tenant là comme une entité autonome se formant.
Alors, on ne surmontera pas par une réponse théorique l'erreur de base, la superstition de la question sociale comme si on avait besoin seulement de transformer la vie de l'économie pour parvenir à d'autres concepts de droit, alors on créera simplement la réalité dans l'organisme social triarticulé par là qu'on créé le sol de droit autonome, la réalité à partir de laquelle par circulation humaine et rapport humain se constitue cette forte force de propulsion de la vie de droit qui peut maîtriser la vie de l'économie.

Et finalement l'observation historique des temps récents montre encore à partir d'un autre côté, comment ce que justement j'explique est encore prouvé. Regardez en arrière sur les motivations que les humains ont encore eues pour leurs travaux artisanaux et autres jusqu'au 13, 14e siècle. Il sera souvent accentué par les penseurs socialistes modernes que l'humain serait séparé de ses moyens de production. Cela il l'est à un si haut degré comme c'est maintenant devenu le cas par les rapports économiques modernes. Il est séparé notamment de ses produits. Le travailleur, qui travaille dans la fabrique, combien de part a-t-il alors à ce que l'entrepreneur vend ?
Que sait-il donc de cela ? Que sait-il du chemin que cela fait dans le monde ? Un petit bout d'un grand contexte ! Il ne reçoit peut-être jamais l'occasion de voir le grand contexte.
Pensez -vous ce que cela est comme puissante différence vis-à-vis du vieil artisanat, où le travailleur particulier avait sa joie à ce qu'il produisait, – qui connaît l'histoire sait, comme cela est le cas ; pensez au rapport personnel d'un humain à la production d'une clef de porte, une serrure et semblable.

Quand on vient en des contées primitives, on peut faire encore de très gentilles expériences dans ce rapport, mais où les contrées sont moins primitives, là on ne fait plus de telles expériences. Je vins une fois – pardonnez-moi que je raconte quelque chose de si personnel, mais peut-être cela sert-il à la caractérisation – dans une telle contrée et fut vraiment extraordinairement ravi alors que je rentrais dans une boutique de coiffeur et que le commis coiffeur avait sa claire joie à ce qu'il il pouvait bellement couper les cheveux à un humain !
Il avait sa claire joie à ce qu'il accomplissait. De tels rapports personnels entre l'humain et son produit sont toujours de moins en moins là. Que ce rapport n'est plus là, cela est simplement une exigence de la vie de l'économie moderne. Cela ne peut être autrement sous les rapports compliqués où nous devons travailler sous division du travail.
Et n'aurions-nous pas la division du travail, nous n'aurions pas la vie moderne avec tout ce que nous avons pour nécessaire, n'aurions-nous pas de progrès. Il n'est pas possible que les vieux rapports entre l'humain et son produit soient là.


Mais l'humain a besoin d'un rapport à son travail. L'humain a besoin que puisse exister joie entre lui et son travail, une certaine ardeur à son travail.
La vielle ardeur, l'immédiat être ensemble avec l'objet produit, cela n'est plus, mais cela doit être remplacé par autre chose. Car ce n'est pas supportable pour la nature humaine que ne serait pas là une motivation au travail semblable à celle qui a été là par la joie à l'immédiat produire de l'objet. Cela doit être remplacé par autre chose. Par quoi cela peut-il être remplacé ? Cela peut seul être remplacé par cela que l'horizon de l'humanité sera agrandi, que les humains seront appeler vers le dehors sur un plan sur lequel ils se rencontreront avec leurs semblables en grands cercles – finalement avec tous les semblables, qui habitent avec eux le même organisme social –, pour comme humain développer de l'intérêt pour les humains.
Cela doit arriver que même celui qui dans le coin le plus dérobé travaille à une unique vis pour un grand contexte, n'a pas besoin avec son rapport personnel de s'ouvrir à l'instant à cette vis, mais qu'il puisse porter dedans son atelier, ce qu'il a accueilli comme sentiment pour les autres humains, qu'il le trouve à nouveau, quand il sort de son atelier qu'il a une vivante façon de voir son rapport avec la société humaine qu'il puisse travailler aussi quand il ne travaille pas avec joie pour le produit immédiat, de la raison qu'il se sent un digne membre à l'intérieur du cercle des ses semblables.


Et de ce besoin est issue l'exigence moderne après démocratie et cette façon moderne d'établir le droit, le droit public de manière démocratique. Les choses dépendent intérieurement avec l'essence de l'évolution de l'humanité. Et ces choses peut seulement voir clair qui a l'inclination de regarder vraiment dedans l'essence du développement de l'humanité, comme elle se joue sur sol social. On doit sentir comment l'horizon des humains devrait être élargi, comment ils devraient sentir : certes, je ne sais pas ce que je fais à mes semblables, en ce que je fabrique cette vis ici, mais je sais que par les rapports vivants dans lesquels je viens à eux par le droit public, à l'intérieur de l'ordre de société je suis un membre digne, un parmi les autres membres valant également.


C'est cela qui doit reposer à la base de la démocratie moderne et ce qui doit reposer à la base comme sensation à sensation oeuvrant entre humains, du moderne public statut de droit. Et seulement par cela qu'on regarde dedans la structure intérieure de l'humain on vient à de véritables concepts modernes de ce qui doit se développer comme droit public sur tous les domaines. Nous aurons encore à parler de cela plus exactement dans la cinquième conférence. P94-96 Mais maintenant pour la fin je veux encore vous montrer comment le domaine de la recherche du droit applicable joue du le sol particulier du droit sur le sol de l'esprit.

On peut voir , en ce qu'on regarde simplement à travers les relations que je vous aie maintenant caractérisées, comment apparaissent les lois par émoussage de sensation à sensation entre des humains également justifiés sur sol démocratique, pendant qu'apparaissent sur sol économique les contrats entre coalisions ou aussi entre les humains particuliers.
À partir de l'instant où il s'agit de ce que l'individu a à chercher ou à trouver son droit civilement, ou autrement de quelque manière aussi pénale, a cet instant le droit va du sol d'origine du droit sur le sol de la vie de l'esprit.

La repose à nouveau un point – exactement comme pour la législation fiscale – où la représentation humaine moderne ne s 'accoutumera encore longtemps pas de ce qui en fait, quand on arrive sur les relations fondamentales se montre comme une évidence.

Voyez-vous, quand il s'agit de juger comment une loi qui est donnée est à appliquer à l'humain particulier, là vient en considération le jugement individuel de cet humain particulier ; là, vient en considération qu'on puisse arriver par ses facultés spirituelles à cet humain particulier.

Le soin du droit pénal, le soin du droit civil, celui-là ne peut se tenir sur le sol du droit général, il doit être poussé sur le sol dont je vous déposerai claires les plus profondes particularité après-demain dans l'entretien sur la vie de l'esprit. Il ne peut devenir seulement acte-droit par là que chacun, qui devient juge, soit aussi placé dans la situation de juger à partir des facultés individuelles, oui des rapports individuels aux humains sur lesquels il a à juger. Peut-être pourrait-on se penser que quelque chose de tel pourrait être érigé des plus différentes manières. J'ai rendu attentif sur comment cela pourra être atteint d'une manière dans mes « Noyaux germinatifs de la question sociale ».

Il réside dans l'organisme social triarticulé, l'administration économique autonome que je vous ai caractérisée hier, il réside le sol de droit démocratique,que j'ai esquissé aujourd'hui, et que je vous exposerai plus loin dans la cinquième conférence dans ses interactions avec les autres domaines. Mais il réside aussi le domaine autonome de la vie de l'esprit, où avant toutes choses le système d'enseignement et d'éducation sera administré de la manière, comme je l'ai évoqué hier et exposerait plus loin après demain.Ceux maintenant qui sont les administrateurs de la vie de l'esprit auront en même temps à placer les juges, et chaque humain aura le droit et la possibilité – disons même purement pour une durée – de se déterminer de quel juge il veut être jugé s'il vient dans la situation d'être jugé pour une quelque chose de droit civil ou pénal.

Là l'humain se déterminera son juge à partir des véritables conditions individuelles. Là le juge qui n'est pas un bureaucrate juridique, mais qui sera placé à partir de l'organisme spirituel, d'après les rapports dans lesquels il est en relation sociale avec son environnement, pourra aussi déterminer comment est à juger celui qui est à juger à partir de l'environnement social. Il s'agit de ce que non de besoins étatiques le juge soit placé, mais que les bases à partir desquelles on place un juge soient semblables à celles qu'on fait valoir dans la libre vie de l'esprit lorsqu'on amène le meilleur éducateur à une quelconque place. Le devenir juge sera quelque chose de semblable comme devenir enseignant ou éducateur.


Naturellement la recherche du droit applicable découle de la fixation du droit, qui croit sur des chemins démocratiques. Nous voyons tout de suite à cet exemple comment à partir de la démocratie croit ce qu'est l'affaire individuelle de l'humain, ce qui doit aussi être jugé de manière individuelle.
La fixation du droit est donc dans un sens le plus éminent une affaire sociale. À l'instant où on est contraint de se tourner vers un juge on a en règle à faire avec une affaire sur- ou anti-sociale (NDT peut être « asociale » plutôt que « sur-sociale »), avec quelque chose, qui tombe en dehors de la vie sociale. De telles affaires sont au fond toutes les affaires individuelles de l'humain.
De telles affaires sont les branches d'administration de la vie spirituelle, et sous elles aussi de l'administration de la recherche du droit applicable. La recherche du droit applicable croit vers dehors, par-dessus les frontières de la démocratie.

Ainsi, il s'agit de cela, d'établir en réalité ce que provoque comme réalité la vie de droit entre les humains. Alors, cette vie de droit ne sera pas une superstructure de la vie de l'économie, mais alors cette vie de droit agira dedans la vie de l'économie. Jamais on ne viendra par une pure façon de voir théorique sur ce qui a à se passer sur ce domaine, mais seul par cela qu'on regarde dedans la vie pratique et se dit : une véritable vie de droit avec une force de propulsion correspondante peut seulement se constituer quand on créé un sol autonome du droit. Ce sol de droit autonome a disparu sous la vie de l'économie inondant tout. La vie du droit est devenue un appendice de la vie économique. Elle doit à nouveau devenir autonome, comme aussi la vie de l'esprit doit être émancipée de la vie de l'économie. La grosse erreur doit être surmontée pour voir clair dans la question sociale – la grosse erreur, qu'on aurait purement à transformer les institutions économiques, alors se montrerait tout le reste de soi-même.
Cette erreur est apparue par cela que la vie économique dans les temps récents est seule devenue puissante. On se laisse influencer suggestivement par la seule puissance de la vie de l'économie. On ne sera par cela jamais amené à une solution de ce qu'est la question sociale. Les humains s'adonneront à des illusions, tout de suite celles du prolétariat. Ils voudront sucer de la vie de l'économie ce qu'ils nomment la « juste répartition des biens ». Mais la juste répartition des biens sera faite seulement quand dans l'organisme social se tiennent des humains qui ont les capacités de créer les institutions correspondantes par lesquelles les exigences économiques pourront être satisfaites. Cela peut seulement se passer quand on reconnaîtra : il s'agit à la satisfaction des exigences sociales pas seul de la transformation de la vie de l'économie, mais de cela, de répondre à la question : qu'est-ce qui doit être placé près de la vie de l'économie afin qu'en permanence cette vie de l'économie soit formée sociale par les humains sociaux qui dans la vie du droit, dans la vie de l'esprit, deviennent des humains sociaux ?


Cela doit s'opposer comme vérité à une superstition, un dogme. Et ceux-là qui dans la vie de l'économie cherchent le seul médicament pour une guérison de la vie sociale doivent être renvoyés sur l'esprit et sur le droit. Ils ne devraient pas rêver de cela comme si le droit n’était qu'une fumée, qui monte au-dessus de la vie de l'économie, mais à la mesure de la réalité penser : tout de suite parce que le droit et la conscience du droit se sont retirés dans les temps récents par l'inondation de la vie de l'économie, nous avons besoin pour la formation de notre organisme de société de la réelle création d'un organisme de droit avec la force de propulsion correspondante.


Réponses aux questions après la troisième conférence

Il y a maintenant un nombre de questions qui m'ont été posées. La première :

Comment pourra être réglé le système économique par un droit fermé sur sol autonome ?


Maintenant il est seulement nécessaire qu'on prenne en compte, combien différente est la triarticulation de l'organisme social qui est pensée ici de ce qu'on trouve dans l'État platonique comme triarticulation des humains en trois castes : l'état nourricier, l'état de défense, l'état d'enseignement.
J'ai aussi dû rencontrer en maints malentendus que des gens ont dit : Oui, cette triarticulation en un organisme spirituel, en un organisme de droit ou d'État, et en un organisme économique, cela n'est que le réchauffé du principe platonicien d'état d'enseignement identique à l'organisme spirituel — on croit ainsi, état de défense identique à organisme étatique juridique, état nourricier identique à organisme économique. Ce n'est absolument pas ainsi. C'est le contraire de cela. Avec la triarticulation de l'organisme social il s'agit notamment de ce que les administrations des différentes branches de la vie humaine soient séparées les unes des autres, de manière non pas à ce que les humains soient répartis en états, mais que ce qui est isolé des humains, l'administration des institutions, se divise en trois membres, qui ont à coopérer justement par les humains vivants. Le vivant humain se tient donc dans tous les trois.
La conscience est apparue de proche en proche dans l'humanité qu'il n'est finalement pas de la dignité humaine de développer des différences de classe, d'état et ainsi de suite.
Dans la réalité celles-ci seront surmontées, lorsqu'on articulera l'organisme social selon ce qui est objectif, d'après, ce qui est séparé de l'humain.

Ainsi, on doit se représenter par exemple ce qui suit. J'aurais à vous parler encore sur semblable dans la cinquième conférence. Qui gagne une idée de la vie de l'esprit vraiment libre, celui-là pourra voir à travers comme cette vraiment libre vie de l'esprit n'a pas du tout cette abstraction, qu'a diversement la vie de l'esprit actuelle. Vous connaissez aujourd'hui, ou vous pourriez au moins connaître, toutes sortes de conceptions du monde philosophiques, religieuses et semblables. Pensez seulement comme ces conceptions du monde sont devenues abstraites, comme étrangères à la vie. On n'a besoin que de se souvenir de cela comme aujourd'hui un humain peut avoir sa façon de voir éthique, esthétique, scientifique, religieuse comme commercial, comme industriel, comme agriculteur et à côté de cela il a l'administration de sa fonction, son économie et ainsi de suite. Oui, les deux marchent dans une certaine mesure l'un à côté de l'autre. L'un ne s'élève pas dans l'autre. Cela provient de ce que pris à la base aujourd'hui encore toujours sur le domaine de la vie de l'esprit nous avons la poursuite de la vieille vie de l'esprit grecque, qui est sortie d'entièrement autres rapports. Cela les humains ne le savent pas pour une grande part, mais nous avons réellement dans notre mentalité sociale la poursuite de la vie de l'esprit grecque, qui reposait sur cela que ne conduit un être-là plein dignement humain que celui-là qui en fait ne travaille pas, qui prend soin seulement de la politique et au plus surveille l'agriculture et de ce genre. Celui-là qui travaille, il n'appartenait en fait en réalité pas aux humains qui viennent en considération en un sens plus haut. Chez le grec cela reposait dans une certaine mesure dans le sang de se placer ainsi au règne humain et d'après cela s'aménageait toute sa vie de l'esprit. La vie de l'esprit grecque n'est pas pensable autrement, alors comme formation supérieure par-dessus une large sous formation de gens qui ne pouvaient prendre part à cette vie de l'esprit, qui n'avaient pas la vie de l'esprit grecque en tant que telle.

Mais cette façon de voir de la vie de l'esprit est restée dans notre sensation. On n'a pas besoin de véritablement juger avec passion sur de telles choses, mais on peut les considérer : les cercles dirigeants, guidants se sont souvent occupés de manière très abstraite avec ce qu'est fraternité humaine, l'amour du prochain et ainsi de suite.
Prenons un exemple drastique. Dans le milieu du 19e siècle où les gens ont réfléchi aussi du point de vue de leur conception du monde religieuse, éthique sur l'amour du prochain, sur la fraternité, on a fait un enregistrement statistique sur les dommages du travail à la mine en Angleterre.
Là s'est établi que dans le travail de mine, dans le fait, des enfants de neuf, onze, treize ans était descendus du levé du soleil et seulement remontés après le coucher du soleil, ainsi que les pauvres enfants n'ont pas vu le soleil par tout le jour, par toute la semaine, seulement le dimanche.

Oui, aux charbons qui de cette manière ont été étaler au grand jour en des chambres bien chauffées, les classes cultivées se sont alors entretenues en leurs conceptions du monde étrangères à la vie sur fraternité, sur amour du prochain, ont développé leurs avis éthiques, ont même développés qu'un humain éthique est seulement celui qui sans différence d'état et ainsi de suite aime tout ses semblables.


Mais une telle vie de l'esprit – et pris au fond ce train va par toute notre vie de l'esprit – est une vie de l'esprit étrangère à la vie.
C'est la vie de l'esprit qu'on conduit dans l'intérieur, qui n'a pas la force de propulsion de s'étendre jusque dans la vie. Réfléchissez à quel fossé réside entre ce que le commercial fait vivre en sa formation esthétique, religieuse et ce qu'il notifie dans son livre de caisse. La est d'ailleurs aussi écrit sur la première page : « Avec Dieu », mais c'est peu familier avec le Dieu que là il vénère dans son cœur.

Maintenant, voyez-vous, là vous avez le profond fossé entre la vie de l'esprit abstraite et la concrète réalité extérieure. À ce fossé on s'est aujourd'hui habitué comme à quelque chose d'évident. Il y a des philosophes, des moralistes qui traitent de bienveillance, qui traitent de bonté, d'amour du prochain et tout le possible. Mais prenez un tel livre philosophique et demandez-vous comment on devrait par exemple former la banque. Une vie de l'esprit qui est vraiment émancipée, est placée sur ses propres pieds, elle reliera à nouveau pratique de vie avec activité spirituelle, avec ce qui est vie de l'esprit.


Qui notamment entendra ma conférence d'après demain ne croira pas que dans une quelque nuance je veux donner seulement à la vie de l'esprit un train matérialiste. Vous verrez tout de suite que le contraire sera le cas. Mais tout de suite quand on ne veut pas cela, quand on veut placer la vie de l'esprit sur ses fondements spirituels, alors cela ne peut pas inciter l'un à cela de traiter la vie matérielle comme quelque chose d'étranger à la vie de l'esprit, mais de traiter l'esprit ainsi qu'il peut s'immerger dans l'immédiate réalité. Là-dessus, des humains sont aujourd'hui déjà étonnés quand on leur parle ainsi dans le concret.

Par exemple, un industriel me demanda : « oui, donc, vous voulez que par exemple au praticien, qui travaille dans un métier pratique, s'y connaît, quand il a l'aptitude – quand l'administration spirituelle trouve qu'il a l'aptitude -, serait-il vieux de trente-cinq, quarante ans, suive l'appel, bien égal sur quel domaine de savoir c'est, maintenant d'apprendre à quelque haute ou basse école un certain nombre d'années ». Alors, il sort de nouveau de la pratique ! La vie de l'esprit est séparée de la vie de l'économie. Mais celui qui fait l'économie utilise tout de suite ce qu'il s'approprie dans la vie de l'esprit séparée : un continuel va-et-vient par dessus.


« Mais c'est donc ainsi que l'humain doit être placé d'après ses capacités sur un poste limité, voyez-vous, j'ai dans ma fabrique, dans mon affaire, un humain qui est entièrement fait ainsi qu'il exige toujours que je devrais installer pour lui un laboratoire chimique, dans lequel unique et seul il peut faire des expériences. Les humains sont justement de différentes sortes ! » Ils le sont, ils sont assortis différemment parce qu'ils sont éduqués ainsi par les rapports des temps récents. En vérité, personne ne peut vraiment se tenir dedans la vie de l'esprit, qui ne peut aussi placer son homme dans la vie pratique. Alors seulement quand on peut porter l'esprit partout dans la vie pratique, alors on peut aussi placer son homme dans la vie de l'esprit.

Ainsi, sera tout de suite par cela que ce qui de l'humain est séparé, sera triarticué, le séparé sera rassemblé par l'humain. Quand donc dans le système d’État démocratique apparaît le droit, ainsi les humains, qui alors sont actifs dans la vie de l'économie, introduiront le droit dans la vie de l'économie, feront de telles institutions qui expriment le droit. Par les vivants humains ce sera porté dedans, pas par des mesures abstraites et du même genre. C'est cela de quoi il s'agit : à nouveau placer les institutions sociales sur la base du vivant humain. J'ai aimé répondre cela sur cette question.


Voyez-vous, aussi sur les domaines particuliers se montrera que le savoir peut être vraiment fait fécond à la vie. Voyez aujourd'hui un grand nombre d'universités. Là sera aussi enseignée la pédagogie. Maintenant donc, ainsi en matière annexe les philosophes enseignent la pédagogie dont ils comprennent peu en règle générale. Dans un organisme social sain un quelque maître d'école approprié, qui comprend à se servir pratiquement du cours, a deux ou trois ans à enseigner ; alors, il retournera à nouveau à sa matière pratique. Ainsi, ce sera dans toute la vie. Par cela que cela qui des humains est séparé, est articulé triple, par cela on sera tout de suite en situation que l'humain apporte dans chacun de ces domaines ce qui se vit dans son autonomie dans l'autre domaine.


Deuxième question :

Qui juge dans les affaires de tribunal de commerce, volontiers pas des conseils du domaine culturel seuls, qui sont dénués de connaissances en la matière, pas des experts en la matière seuls ?

Pris à la base, beaucoup est déjà répondu de cette question avec ce que j'ai justement dit maintenant. Par la formation de notre vie de l'esprit l'un est ainsi préparé comme il doit être afin qu'il soit un stagiaire correct, afin qu'il soit un commercial correct et du genre. Il s'agit de ce que justement dans l'organisme social triarticulé, avec la vie de l'esprit autonome, ne sera pas enseigné ainsi, mais que l'humain en fait par l'art et la manière comme la vie de l'esprit pose ses propres conditions, viendra à une certaine pratique de vie, et qu'il pourra aussi former cette pratique de vie.

On n'a donc absolument pas à avoir un jugement conforme aux choses sur tous les domaines. C'est cela tout de suite qui ne peut être et sur quoi n'a pas le droit d'être compté.
Que l'humain correct siège dans un tribunal de commerce, pour cela sera toutefois à veiller à partir de l'administration spirituelle, parce que dans l'administration spirituelle dedans siégeront aussi ces humains-là qui comprennent quelque chose des lois du commerce. Ce qui est savoir, ne sera pas centralisé en matière de la manière dont c'est aujourd'hui, mais ce sera par cela comment les humains sont entre eux dans les corporations de l'organisation spirituelle, possible de rassembler un tel tribunal de manière correspondante, de rassembler a la mesure de la chose, pas à partir d'un quelconque besoin économique ou du genre.

Comment peut-on apprécier correctement les besoins d'un humain ou mesurer la véritable valorisation d'un objet produit par lui, alors que les besoins en marchandises des humains sont si différents ?

Tout de suite parce qu'ils sont différents, doivent être créées de réelles institutions, qui existent en ce que des humains sont là, qui étudient ces besoins, apprennent à connaître ces besoins. De telles choses ne pendent pas en l'air, de telles choses peuvent être posées sur un sol réel. Je peux vous présenter un petit exemple. Il existe une société, elle est en plus inscrite sur les affiches : la société anthroposophique.
Elle s'est, à côté de ce à quoi ici beaucoup d'humains souscrivent, aussi occupée de vraies affaires pratiques, qui se tiennent absolument dans la ligne, aussi en petit, de ce que j'ai expliqué ici sur la question sociale. Ainsi se trouva au sein de la société anthroposophique un monsieur qui pouvait fabriquer du pain. Comme on avait justement à disposition une corporation d'humains qui naturellement sont aussi des consommateurs de pain, une corporation d'anthroposophes, on a pu introduire à peu près une association entre le monsieur comme fabricant de pain et ces consommateurs ; cela signifie qu'il a pu orienter sa production d'après les besoins de la consommation, ainsi qu'on connaît les besoins et qu'on peut organiser absolument la production d'après les besoins existants.


Cela le marché ne le fera pas, qui organise le tout anarchiquement, cela ne peut se passer que si des institutions sont là par les humains, qui étudient vraiment les besoins, dirigent la production d'après les besoins, les règlent par les associations.


Les penseurs socialistes voudraient faire aujourd'hui la mise en évidence des besoins par la statistique. Cela ne peut être fait par la statistique. La vie vivante ne se laisse pas former par la statistique, mais seul par le sens de l'observation directe de l'humain. Des humains doivent être mis dans l'organisme économique par les contextes sociaux à des fonctions précises ou semblables, qui sont là pour la répartition à la production des connaissances concernant les besoins.
Tout de suite parce que les besoins sont différents, il s'agit non pas d'appeler une tyrannie des besoins, qui très certainement apparaîtrait sur la base des programmes sociaux-démocrates actuels, mais il s'agit de connaître les besoins vivants, comment ils devraient être satisfaits . Que certains besoins ne puissent être satisfaits, ressortira aussi de la pratique en tant que telle. Il ne saurait être décidé à partir d'un dogme, parce que quiconque pense, ceci ou cela n'est pas un véritable besoin humain.
Mais si un nombre d'humains ont des besoins, qui appellent des biens à la production desquels des humains devraient être utilisés — cela se produira tout de suite dans la vie économique vivante, reposant sur ses propres pieds —, on ne pourra pas produire ces biens pour ceux qui ont des besoins individuels.
Il s'agira justement pour cela de jauger, si les besoins peuvent être vraiment considérés sans négligence, sans dommage pour les forces humaines.

Question : Comment Dr Steiner pense-t-il la réalisation pratique de la triarticulation ? Est-il possible d’agir dans le Bundesrat ? Ou doit avoir lieu un referendum après une diffusion suffisante du concept ? Ou doit-on attendre jusqu’à ce que révolution et guerre civile aient mis bas l’ordre actuel ?

Pour le moment il s’agit donc de prendre au sérieux, qu’ici une nouvelle méthode, au moins relativement nouvelle méthode vis-à-vis des méthodes, qui sinon sont respectées, doit être mise en œuvre. Il s’agit de ce que, pas comme c’est le cas chez les vieux parlements, soit visé des buts, mais que de la chose elle-même, j’aimerai dire, à partir des tendances de la vie moderne, soit saisi ce qu’en fait les humains promeuvent dans leurs sous conscience, quand aussi ils ne sont pas clairs là-dessus. Et alors, quand on est en mesure, de rendre cela compréhensible, ce dont il s’agit, alors un nombre d’humains sera là, qui comprendra, ce qui a à se passer.

Et quand un grand nombre suffisant d’humains est là, qui ont de la compréhension, pour ce qui doit se passer, là, je crois, les chemins se donneront. J’ai dans mes « Noyaux germinatifs de la question sociale » justement exposé, comment en fait à chaque point de la vie peut être commencé avec cette triarticulation, si seulement on veut, si seulement on comprend son sens.


Que n’est pas envisager, par une quelque révolution, de provoquer ce qui vit dans la triarticulation, cela repose aussi sur une considération historique. J’ai ceci justement à dire que donc des transformations sur des domaines spirituels – que l’on prenne seulement le christianisme – ont eu lieu en Occident, qu'aussi sur des domaines politiques ont eu lieu des transformations.
Mais déjà sur domaines politiques les transformations laissent certains restes. Aujourd’hui, les humains pensent à des révolutions économiques – nous auront encore à parler sur toute la question dans la cinquième conférence, dans les prochaines conférences absolument -, mais de telles révolutions auront toutes le destin que la révolution de l’Est européen aura certainement : seulement générer de la déconstruction, pas de construction, que la révolution hongroise avait, que particulièrement la révolution allemande du 9 novembre 1918 a, qui donc est complètement dans l’ensablement, qui est dans l’ensablement du fait, que se montre clairement qu’aujourd’hui il ne s’agit véritablement pas de produire un quelconque bouleversement puissant, mais d’avoir des idées, par lesquelles des contextes normaux durables peuvent être provoqués.

Se reconnaît un suffisamment grand nombre d’humains à la compréhension de telles choses, alors se présentent les voies. Car l’idée de la triarticulation de l’organisme social n’est pas seulement un but, mais elle est elle-même un chemin. Mais il s’agit que l’on ne se pose pas quelque chose sur le sol, sur lequel tant de gens se posent. Je l’ai par exemple vécu dans certains domaines, lorsque j’ai expliqué la triarticulation, que les gens ont aussi lu mon livre « les fondements de l’organisme social ». Ils ont trouvé cela plausible, ce qui est dedans. Mais des gens de l’aile radicale de la Gauche ont trouvés : oui, cette triarticulation est très bien, mais là doit d’abord se faire avant révolution, dictature du prolétariat, alors nous nous ressaisirons de la triarticulation – et cela a été dit de bien bonne volonté - ; mais maintenant nous la combattons jusqu’au couteau ! – Cela fut la conséquence : parce qu’on est en fait d’accord, on la combat jusqu’au couteau ! Cela m’est donc diversement venu en vis-à-vis. Ces choses reposent en fait absolument sur une fausse pensée : que l’on peut faire une quelconque chose, avant que compréhension ne soit arrivée pour.

Particulièrement caractéristique est un petit épisode : j’ai à un endroit d’Allemagne du sud parlé sur ces choses. La intervint un communiste. L’homme était en fait un très gentil humain. Mais dans le cours de son exposé, il dit à peu près la chose suivante à ses auditeurs, il était aussi un humain très intelligent d’après sa conscience supérieure, dans la sous-conscience nettement moins, moins intelligent :Voyez-vous, je suis un réparateur de souliers. Je sais très bien, que je suis un réparateur de souliers, que je ne suis pas en mesure dans la future société sociale de devenir un officier d’État civil. Pour officier d’État civil, là, on a besoin d’un qui est formé pour cela. – Mais l’homme, il avait auparavant en toute diligence développé ses plans sur l’ordre social desquels ressortait : à ministre dans l’État futur, à cela il se sentait volontiers appelé – à l’officier d’État civil pas, mais volontiers à ministre !


Que telle manière de penser règne, cela je pourrais encore vous le prouver à maints autres gentils exemples. Mais cela montre justement qu’il s’agit que vraiment d’abord une fois une compréhension prenne place pour ce qui est le contenu de la triarticulation. Alors se présenteront des chemins. Et l’on devrait espérer, que cette compréhension pourrait pendre place, avant qu’il ne soit trop tard. Si seulement un peu l’humain actuel pouvait se secouer à la compréhension de ce qui est nécessaire, alors cela y viendrait quand même. Alors, on ne demanderait pas aussi en fait, si on doit s’adresser au Bundesrat par un referendum ou semblable, mais on saurait : aussitôt que suffisamment d’humains sont là, la chose est aussi là – quand suffisamment d’humains la comprennent. C’est, pris fondamentalement, ce qui est le secret d’une société, qui aspire à la démocratie : que la chose est là, quand elle trouve vraiment compréhension intérieure et qu’elle est véritablement claire intérieurement. C’est de cela qu’il s’agit.

Maintenant est déposée la question :

Le principe du droit pénal n'est-il pas un vestige ?

Et :

L'idée du punir a-t-elle elle une justification vis-à-vis de l'idée de l'amélioration éducative ?


L'idée du punir est en fait une des plus difficile, et toutes les réponses possibles ont justement été données au cours de l'observation historique. Sur un tel sol dont proviennent les idées de la triarticulation de l'organisme social, se présentent aussi certaines conséquences, qui sur un autre sol ne se présentent pas.

Tout le particulier qui se passe à l'intérieur d'un ordre social, est, pris fondamentalement, quand même une conséquence de l'ordre social entier. Ainsi que chaque morceau de pain, que je peux acquérir est une conséquence de tout l'organisme social, ainsi les motivations au punir sont fondées dans toute la structure de l'organisme social.
Et tout de suite à la circonstance que des punitions deviennent nécessaires, justement là dedans se montre que dans tout l'organisme social est quelque chose qui ne devrait pas être dedans. Quand on, je ne dis pas maintenant, représente l'organisme social en tant que tel, mais absolument de telles impulsions développent une vision du monde pratique, à partir de laquelle on gagne l'idée de l'organisme tri-articulé, alors se montre véritablement la façon de voir que de toute façon en rapport à peine et régime pénitentiaire on viendra à d'autres choses, et la nécessité de la peine se présentera bien moins, lorsque de telles choses sont socialement véritables comme elles ont par exemple été promues dans la conférence d'aujourd'hui. Le droit pénal, qui comme l'ombre en fait accompagne des conditions non sociales, pourra être réduit à un minimum dans des conditions sociales. De cela les questions qui aujourd'hui émergent vis-à-vis du droit pénal, si c'est un vestige et semblable, seront posées sur une tout autre base si un tel bouleversement se passe vraiment.
J'aimerai dire : quand l'humain est malade, ainsi il fait certaines choses ; quand il est sain, il fait d'autres choses. Ainsi en est-il aussi ici. La nécessité de punir indique vers certains symptômes de maladie à l'intérieur de l'organisme social entier. Quand on aspire de rendre l'organisme social sain, alors les concepts sur peine, droit pénal, régime pénitentiaire pourront justement être placés sur un tout autre sol. Donc j'aimerais dire : on doit essayer de chercher la réponse dans toute l'explication sur la transformation sociale sur ce qui devient aussi alors à partir du particulier comme, par exemple, droit pénal ou régime pénitentiaire.


Repose-t-il dans la capacité à juger de chaque humain de déterminer, combien de temps de travail exige une certaine branche de production ?

Oui, être capable de jugement avec d’autres humains de décider sur de telles questions est quelque chose d’autre que de rester couché dans l’arbitraire de l’humain particulier. Si vous lisez mes « Noyaux germinatifs de la question sociale » - et je reviendrais encore sur le droit du travail dans les conférences – alors vous verrez, que dans l’organisme social triarticulé la régulation de la manière du travail, du temps de travail doit devenir une affaire du droit public, que donc ce qui sera demandé ici doit justement être réglé sur le sol juridique démocratique. Là il s’agit donc de ce qu’une telle question soit réglée par chaque humain ensemble avec tous les humains de l’organisme social. À cela, l’humain est capable de jugement, qu’il peut ensemble avec les autres prévoir une convention sur de telles questions.
Donc, il n’est pas justifié de demander : Repose-t-il dans la capacité à juger de chaque humain de déterminer, combien de temps de travail exige une certaine branche de production ? – Cela ne repose très certainement pas chez l’humain particulier, dans son arbitraire ; mais cela repose dans la possibilité, d’obtenir un jugement public par convention démocratique et majorité démocratique sur une telle base juridique, comme je vous l’ai décrit aujourd’hui.

Ne devons-nous pas tout d'abord clarifier le psychique dans l'humain avant que nous allions aux mises en œuvre en grand dans cet État ?

Maintenant, beaucoup de ce qui ici est pensé sera donc tout de suite l'objet de la prochaine conférence. Mais, voyez-vous, l'idée de la triarticuation de l'organisme social est une idée pratique. C'est pourquoi elle voit aussi toutes choses d'un point de vue conforme à la réalité.
Il y a aujourd'hui beaucoup d'humains qui disent simplement : maintenant nous avons la question sociale donc elle doit être solutionnée, donc on doit réfléchir à un programme, par cela la question sociale sera solutionnée ; aujourd'hui nous avons des conditions sociales qui ne sont pas souhaitables, nous devrons trouver une solution de la question sociale ; alors s'en formeront demain des conditions sociales, qui sont socialement souhaitables.- Mais la chose ne repose pas ainsi. Dans chaque évolution de l'humanité que j'ai aujourd'hui décrite la question sociale s'est justement montrée de certaines constitutions d'âme, constitutions de corps et des conséquences de cela en rapport à la vie sociale. Elle est là, la question sociale, et on ne peut pas la résoudre théoriquement, ne peut pas donner des lois par lesquelles la question sociale sera résolue. Elle est là et restera là. Elle sera chaque jour soulevée sur le nouveau. Pour cela doivent aussi toujours être là des institutions, par lesquelles elle doit chaque jour être résolue sur le nouveau. Donc il ne s'agit pas qu'on répartît la chose si joliment : tout d'abord, nous faisons l'âme humaine appropriée, alors nous amènerons des conditions sociales souhaitables. Non, il s'agit de cela qu'on reconnaisse la question sociale, qu'on essaye, dans la réalité de réaliser quelque chose ainsi, comme, par exemple, l'est le sol de droit autonome ou le sol d'esprit autonome, ce par quoi la question sociale peut être en permanence résolue.


Je me suis, dans mon livre « Les noyaux germinatifs de la question sociale », gardé contre cela qu'on considère ce que j'ai dit sur la similarité entre l'organisme humain particulier et l'organisme social en rapport à la triarticulation de l'organisme social comme un oiseux jeu d'analogie. Je ne voulais véritablement pas faire un quelque jeu d'analogie comme Meray ou plus anciennement Schäffle entre l'organisme humain et l'organisme social. Mais ce que j'ai expliqué dans mon livre « Des énigmes de l'Âme », qu'une véritable observation de la nature vient à cela de considérer l'organisme humain comme une collaboration de trois membres autonomes, cela exige une pensée et une manière de regarder qui alors féconde pourra être utilisé aussi sur l'organisme social, mais pas par transfert, mais tout de site par observation non prévenue du social comme de l'organisme naturel. Là est maint qu'on peut apprendre à l'un ou à l'autre.

N'est-ce pas, les humains aimeraient regarder l'organisme social ainsi que là des institutions sont contenues, que donc tout sera fait de la meilleure manière. Il n'est jamais demandé si cela est aussi possible. Les gens aimeraient fonder une vie de l'économie dans laquelle sont des institutions par lesquelles jamais ne peuvent apparaître des dommages. On ne remarque pas que dans la vie il s'agit justement de vie et non d'abstractions ! Dans les humains, dans l'organisme naturel, est par exemple l'institution que nous inspirions l'oxygène ; celui-là sera transformé en acide carbonique. L'acide carbonique joue un rôle dans l'organisme humain par certains organes, qui l'amènent ainsi en liaison avec d'autres substances, que certaines fonctions de l'organisme humain puissent aller de soi. Oui, là doivent être là certains organes, lesquels font l'un. Ne serait là qu'eux, ainsi des dommages surviendraient dans l'organisme. Ces dommages on doit aussi les laisser survenir, mais dans leur apparition ils devront être empêchés. Cela est l'essence du vivant. Ceux-là qui disent : nous avons un organisme économique, façonnons-le ainsi, qu'il fonctionne par lui-même ; alors, nous avons besoin à côté de celui-là un organisme de droit ou d'esprit – ceux-là parlent exactement comme ceux qui disent : ce serait donc bien mieux de la part du créateur ou des forces de la nature quand on aurait simplement besoin de manger une fois dans la vie et qu'alors l'organisme humain serait organisé ainsi que cela n’est pas toujours à nouveau détruit et toujours de nouveau mangé à neuf.
- Quand il s'agit du vivant, il s'agit de montée et descente des processus. Une vie de l'économie, qui est économiquement correctement organisée, cela laisse apparaître des dommages tout de suite par sa compétence ; et dans l'apparition, dans le status nascendi, on doit en même temps annuler ces dommages. Cela on ne l'a pas par l'organisme économique lui-même, mais le se tenir à côté d'organismes de droit et d'esprit. Ceux-là doivent être là afin qu'ils retiennent les dommages de l'organisme économique dans leur apparition. Cela est le caractère du vivant, que les choses se tiennent en intense interdépendance.

Une telle observation est toutefois plus incommode, mais en est une qui compte avec les réalités, qui ne veut pas réformer l'organisme économique ainsi qu'il se retient lui-même, se détruit lui-même. Il est facile de dire tel et tels dommages sont apparu de la production moderne, donc on la supprime, en institue une autre. - Il ne s'agit pas de simplement exiger une quelque chose, mais d'étudier les possibilités d'une existence vivante. Et une possibilité est celle-là que dans ce membre-là cela appelle d'un côté certaines choses qui si elles poursuivaient le processus unilatéral conduiraient partie de cet organisme à la mort de l'organisme concerné. D'autres membres de l'organisme œuvrent contre et déjà dans le status nascendi, dans le contexte d'apparition, sera exercé correction par l'autre. Ainsi, les trois membres doivent exercer le corriger l'un l'autre. Ainsi, c'est penser conformément à la réalité.
Et qui veut aujourd'hui vraiment s'occuper avec la question sociale, celui-là doit s'habituer à une pensée à la mesure de la réalité. Nous faisons voile dans les pires contextes quand la pensée tordue, caricaturée, qui n'a pas à faire avec réalité, fait le programme à partir des passions, émotions humaines, prend partout place. Mais une pensée conforme à la réalité créera de la réalité. C'est pourquoi il s'agit tout d'abord de gagner une pensée conforme à la réalité.

Ob man sachgemäße Anschauungen über das soziale Leben gewinnt, das hängt in vieler Beziehung davon ab, ob man sich klar darüber ist, welche Beziehung herrscht zwischen den Menschen, die in ihrem Zusammenleben ja doch das soziale Leben bewirken, und den Einrichtungen, innerhalb welcher die Menschen leben. Wer unbefangen in das soziale Leben hineinsieht, der wird entdecken können, daß zuletzt alles, was wir um uns herum an Einrichtungen haben, durch die Maßnahmen, durch den Willen der Menschen entsteht. Wer sich zu dieser Anschauung durchringt, der wird zuletzt sich sagen: Im sozialen Leben kommt es vor allen Dingen darauf an, ob die Menschen aus ihren Kräften, aus ihren Fähigkeiten, aus ihrer Gesinnung zu anderen Menschen und so weiter sich als soziale oder als unsoziale Menschen bewähren. Menschen mit sozialer Gesinnung, sozialer Lebensanschauung werden sich Einrichtungen gestalten, welche sozial wirken. Und man kann in sehr weitem Umfange sagen: Ob der einzelne in der Lage ist, sich für seine Einnahmen den entsprechenden Lebensunterhalt zu erwerben, das wird davon abhängen, wie ihm seine Mitmenschen die Mittel zu diesem Lebensunterhalte herstellen, ob sie für ihn so arbeiten, daß er seinen Lebensunterhalt von seinen Mitteln bestreiten kann. Ob der einzelne genügend Brot kaufen kann -- wenn man in das Allerkonkreteste eingeht —, wird eben davon abhängen, ob die Menschen solche Einrichtungen getroffen haben, durch die ein jeglicher, der arbeitet, der etwas leistet, für seine Arbeit, für seine Leistung sich das entsprechende Brot eintauschen kann. Und ob der einzelne in der Lage ist, seine Arbeit wirklich zur Anwendung zu bringen, wirklich an der Stelle zu stehen, auf der er die nötigen Mittel für seinen Unterhalt erwerben kann, das hängt wiederum davon ab, ob die Menschen, innerhalb welchen er lebt, soziale Einrichtungen getroffen haben, durch die er an seinen entsprechenden Platz kommen kann.

Nun, es bedarf eigentlich nur wenig von einem unbefangenen Blicke in das gesellschaftliche Leben, um das, was eben ausgesprochen worden ist wie ein Axiom, wie eine Grunderkenntnis der sozialen Frage, anzuerkennen. Und wer es nicht anerkennt, dem wird man dieses Prinzip schwer beweisen können, weil er nicht die Neigung hat, unbefangen auf das Leben hinzuschauen, um sich -- aus jedem Stück des Lebens kann er es — zu überzeugen, daß es wirklich so ist.

Allerdings für den gegenwärtigen Menschen hat diese Anschauung etwas außerordentlich Unangenehmes. Denn der gegenwärtige Mensch legt großen Wert darauf, daß man nur ja nicht an ihn selbst herantippt. Er läßt es sich leicht gefallen, wenn man davon spricht, daß Einrichtungen verbessert werden sollen, daß Einrichtungen umgewandelt werden sollen, aber er empfindet es wie ein Antasten seiner Menschenwürde, wenn man davon zu sprechen genötigt ist, daß er selber in seiner Seelenverfassung, in seinem Lebensverhalten sich einer Umwandelung unterziehen soll. Er läßt es sich leicht gefallen, wenn man sagt, die Einrichtungen sollen sozial gestaltet werden; er läßt es sich schwer gefallen, wenn man das Verlangen stellt, er solle sich selber sozial gestalten.

Und so ist denn etwas außerordentlich Merkwürdiges in der neueren Geschichtsentwickelung der Menschheit eingetreten. Es hat sich im Laufe der letzten Jahrhunderte das wirtschaftliche Leben, wie ich bereits im ersten Vortrag auseinandergesetzt habe, hinausentwickelt über dasjenige, was die Menschen an Anschauungen, namentlich an rechtlichen und geistigen Anschauungen über dieses wirtschaftliche Leben ausgestaltet haben. Ich habe im ersten Vortrage darauf hingewiesen, wie gerade die Gesellschaftskritik des Woodrow Wilson darauf hinauslaufe, daß er sagt: Das wirtschaftliche Leben hat seine Forderungen gestellt, ist fortgeschritten, hat gewisse Formen angenommen; das rechtliche, das geistige Leben, durch das wir dieses Wirtschaftsleben zu beherrschen suchen, das steht noch auf alten Standpunkten, das ist nicht nachgekommen. Dadurch aber ist überhaupt eine tief bedeutsame Tatsache der neueren Menschheitsentwickelung ausgesprochen.

Mit dem Heraufkommen der komplizierten technischen Verhältnisse und der dadurch notwendig gewordenen komplizierten kapitalistischen Verhältnisse, der Unternehmungsverhältnisse, hat das wirtschaftliche Leben seine Forderungen gestellt. Die Tatsachen des wirtschaftlichen Lebens sind, ich möchte sagen, den Menschen allmählich entschlüpft; sie nehmen mehr oder weniger ihren eigenen Gang. Der Mensch hat nicht die Kraft gefunden, von sich aus durch seine Vorstellungen, durch seine Ideen dieses wirtschaftliche Leben zu beherrschen. Aus dem Denken über die ökonomischen Forderungen, aus dem Denken über das Wirtschaftliche, wie man es unmittelbar beobachtet, hat sich der neuere Mensch herbeigelassen, immer mehr und mehr seine Rechtsbegriffe und auch seine geistigen Begriffe zu gestalten. Und so kann man sagen: Das Charakteristische in der Entwickelung der Menschheit in den letzten Jahrhunderten ist, daß sowohl die Rechtsbegriffe, durch welche die Menschen miteinander in Frieden leben wollen, wie auch die Begriffe vom Geistesleben, durch die sie ihre Fähigkeiten entwickeln und gestalten wollen, im hohen Grade abhängig geworden sind vom wirtschaftlichen Leben.

Man bemerkt gar nicht, wie sehr in dieser neueren Zeit die menschlichen Vorstellungen und das Verhalten der Menschen zueinander von dem wirtschaftlichen Leben abhängig geworden sind. Natürlich haben die Menschen auch die Einrichtungen der letzten Jahrhunderte selbst geschaffen, aber sie haben sie zum großen Teile nicht aus neugegründeten Vorstellungen und Ideen heraus geschaffen, sondern mehr aus unbewußten Impulsen, unbewußten Antrieben heraus. Und dadurch hat sich etwas ergeben, was man in Wirklichkeit ein gewisses Anarchisches in der Struktur des sozialen Organismus nennen kann. Nach verschiedenen Gesichtspunkten habe ich in den zwei ersten Vorträgen dieses Anarchische schon auseinandergehalten.

Aber innerhalb dieser anarchischen sozialen Struktur der neueren Zeit haben sich eben diejenigen Verhältnisse entwickelt, die zu der modernen Gestalt gerade der proletarischen Frage geführt haben. Der Proletarier, der hinweggerufen worden ist von seinem Handwerk, an die Maschine gestellt worden ist, in die Fabrik gepfercht worden ist — was hat er hauptsächlich gesehen, indem er sich das Leben, das sich um ihn herum entwickelte, ansah? Er hat vorzüglich an seinem eigenen Leben gesehen, wie abhängig alles ist, was er denken kann, was er an Recht hat gegenüber anderen Menschen, wie alles das bestimmt ist von wirtschaftlichen Machtverhältnissen, von den wirtschaftlichen Machtverhältnissen, die vor allen Dingen für ihn dadurch gegeben sind, daß er der wirtschaftlich Schwache gegenüber dem wirtschaftlich Starken ist.

Und so kann man sagen: Bei den leitenden führenden Kreisen hat sich eine gewisse Verleugnung der Grundwahrheit eingestellt, daß die menschlichen Einrichtungen von den Menschen selber aus ihrem bewußten Leben herauskommen sollen. Die Menschen haben vergessen, diese Grundwahrheit im sozialen Leben wirklich anzuwenden. Die leitenden führenden Kreise haben sich allmählich instinktiv einem Leben hingegeben — wenn auch nicht einem Glauben —, das den Geist und das Recht abhängig gemacht hat von den wirtschaftlichen Machtmitteln. Daraus aber ist entstanden ein Dogma, eine Lebensauffassung sozialistisch denkender Persönlichkeiten und ihres Anhanges. Die Lebensauffassung ist daraus hervorgegangen, es müsse in der Menschheitsentwickelung so sein, daß keine Möglichkeit da ist, daß der Mensch von sich selber aus Rechtsverhältnisse organisiere, daß der Mensch selber sich das geistige Leben organisiere, sondern daß das geistige Leben und das Rechtsleben sich wie ein Anhängsel ergeben müssen aus den wirtschaftlichen Realitäten, aus den wirtschaftlichen Produktionszweigen und so weiter.

Und so entstand die soziale Frage unter dem Gesichtspunkte einer bestimmten Forderung bei weiten Kreisen. Ihnen lag der Glaube zugrunde: Das wirtschaftliche Leben macht das Rechtsleben, das wirtschaftliche Leben macht das Geistesleben — also muß das wirtschaftliche Leben für sich so umgestaltet werden, daß es ein Rechtsleben, ein Geistesleben hervorbringt, wie es den Anforderungen dieser Kreise entspricht. Was zu Lebensgewohnheiten der leitenden führenden Kreise geworden war, hat das Proletariat gelernt, auch ins Bewußtsein heraufzuholen; was die anderen instinktiv dargelebt haben, hat es zum Dogma gemacht, und wir stehen heute der sozialen Frage so gegenüber, daß in weitesten Kreisen die Anschauung verbreitet ist: Wir müssen nur das Wirtschaftsleben umgestalten, die wirtschaftlichen Einrichtungen, dann wird alles andere, das Rechtsleben, das Geistesleben, von selber so kommen, wie aus wirtschaftlich richtig, gut, sozial gestalteten Einrichtungen dieses Geistes- und dieses Rechtsleben sich ergeben werden.

Unter dem Einflusse dieses Gesichtspunktes ist verkannt worden, um was es sich eigentlich handelt in der neueren sozialen Frage. Es ist gewissermaßen durch eine große Täuschung, durch eine gewaltige Illusion von diesem Dogma zugedeckt, verhüllt worden. Es handelt sich nämlich eigentlich darum: Gerade dieses ist ein Ergebnis der neueren Geschichte der Menschheit, daß die Abhängigkeit des Rechts- und Geisteslebens vom Wirtschaftsleben überwunden werden muß. Und während weite sozialistische Kreise heute denken, das Wirtschaftsleben müsse zunächst anders gestaltet werden, dann ergebe sich alles andere von selbst, hat man sich die Frage vorzulegen: Welche Verhältnisse müssen auf dem Gebiete des Rechtes, des Geisteslebens für sich geschaffen werden, damit aus dem erneuerten geistigen, aus dem erneuerten Rechtsleben heraus wirtschaftliche Zustände entstehen, die den Forderungen eines menschenwürdigen Daseins entsprechen? Nicht: Wie machen wir immer mehr und mehr das Rechtsleben, das Geistesleben abhängig vom Wirtschaftsleben? — sondern: Wie kommen wir heraus aus der Abhängigkeit? — das ist es vor allen Dingen, was gefragt werden muß.

Diese Betrachtung ist eine sehr wichtige, denn sie zeigt uns, welche Hindernisse da sind für eine vorurteilslose Auffassung der sozialen Frage der Gegenwart, und wie eines der wichtigsten Hindernisse ein Dogma ist, das sich im Lauf der Jahrhunderte herausgebildet hat. Und dieses Dogma hat sich so festgesetzt, daß zahlreiche Gebildete und Ungebildete der Gegenwart, Proletarier und Nichtproletarier, einen heute geradezu auslachen, wenn man glaubt, daß irgendwie von einer anderen Seite her als durch eine Umgestaltung des Wirtschaftslebens auch eine Gesundung des Rechtslebens und des Geisteslebens kommen könne.

Nun ist heute meine Aufgabe, über das Rechtsleben, übermorgen, über das Geistesleben zu sprechen.
Das Rechtsleben hat ja auch in seiner eigenen Wesenheit und Bedeutung die Menschen vielfach vor die Frage gestellt: Welchen Ursprung hat eigentlich das Recht? Welchen Ursprung hat das, wovon die Menschen in ihrem gegenseitigen Verhalten sagen, es sei rechtens? — Diese Frage ist ja immer für die Menschen eine sehr, sehr wichtige gewesen. Allein es ist sehr merkwürdig, daß bei einem weiten Kreise sozial betrachtender Persönlichkeiten die eigentliche Rechtsfrage, man möchte sagen, in ein Loch gefallen ist, gar nicht mehr da ist. Gewiß, akademisch theoretische Erörterungen sind auch heute viele vorhanden über Wesen, Bedeutung des Rechtes und so weiter, aber in der sozialen Betrachtung weiter Kreise ist gerade dieses das Charakteristische, daß die Rechtsfrage mehr oder weniger durchgefallen ist.

Wenn ich Ihnen das erörtern soll, muß ich Sie auf etwas aufmerksam machen, das in der Gegenwart ja schon immer häufiger und häufiger hervortritt, während es noch vor kurzer Zeit ganz übersehen worden ist. Die Menschen haben unhaltbare soziale Zustände heraufkommen sehen. Auch diejenigen, die in ihrer eigenen Lebenshaltung mehr oder weniger unberührt geblieben sind von diesen unsozialen Zuständen, haben versucht, darüber nachzudenken. Und während vor verhältnismäßig kurzer Zeit es wirklich radikal so war, wie ich es eben ausgesprochen habe, daß man eigentlich nur gelacht hat, wenn etwas erwartet worden ist von Rechts- und Geistesfragen für die wirtschaftlichen Zustände, tritt einem heute — aber wie aus dunklen Geistestiefen, könnte man sagen — schon immer mehr und mehr die Behauptung entgegen: Ja, im gegenseitigen sozialen Verhalten der Menschen komme doch auch so etwas in Betracht wie seelische Fragen und Rechtsfragen; und vieles in der Verwirrung der sozialen Zustände rühre heute davon her, daß man die seelischen Verhältnisse der Menschen, die psychischen Verhältnisse und die rechtlichen Verhältnisse in ihrer Selbständigkeit zu wenig berücksichtigt habe. — Also es wird schon ein wenig, weil es handgreiflich ist, darauf hingewiesen, daß von einer anderen als von der rein tatsächlichen, wirtschaftlichen Seite her das Heil kommen müßte. Aber in der praktischen Besprechung der Frage kommt das noch wenig zur Geltung.

Es ist wie ein roter Faden, der sich durch alles, was neuere sozialistisch Denkende von sich geben, hindurchzieht: daß eine gesellschaftliche Struktur herbeigeführt werden müsse, in welcher die Menschen leben können nach ihren Fähigkeiten und nach ihren Bedürfnissen. Ob das mehr oder weniger grotesk radikal ausgestaltet wird oder mehr nach konservativer Gesinnung, darauf kommt es nicht an; wir hören überall: Die Schäden der gegenwärtigen sozialen Ordnung beruhten zum großen Teile darauf, daß der Mensch nicht in der Lage sei, innerhalb der gegenwärtigen gesellschaftlichen Ordnung seine Fähigkeiten wirklich voll anzuwenden; auf der anderen Seite, daß diese gesellschaftliche Ordnung eine solche sei, daß er seine Bedürfnisse nicht befriedigen könne, namentlich daß nicht eine gewisse Gleichmäßigkeit in der Befriedigung der Bedürfnisse herrsche.

Man geht, indem man dieses ausspricht, auf zwei Grundelemente des menschlichen Lebens zurück. Fähigkeiten, das ist etwas, das sich mehr bezieht auf das menschliche Vorstellen. Denn alle Fähigkeiten entspringen zuletzt beim Menschen, da er bewußt handeln muß, aus seiner Vorstellung, aus seinem Denkwillen. Gewiß, das Gefühl muß fortwährend die Fähigkeiten des Vorstellens anfeuern, sie begeistern; aber das Gefühl als solches kann nichts machen, wenn nicht die grundlegende Vorstellung da ist. Also wenn man von den Fähigkeiten spricht, auch wenn man von den praktischen Geschicklichkeiten spricht, kommt man zuletzt auf das Vorstellungsleben. Das ging also einer Anzahl von Menschen auf, daß da gesorgt werden müsse dafür, daß der Mensch in der sozialen Struktur sein Vorstellungsleben zur Geltung bringen könne. Das andere, was dann geltend gemacht wird, geht mehr auf das Lebenselement des Wollens im Menschen. Das Wollen, das mit dem Begehren, mit der Bedürftigkeit nach diesen oder jenen Erzeugnissen zusammenhängt, ist eine Grundkraft des menschlichen Wesens. Und wenn man sagt, der Mensch solle leben können in einer sozialen Struktur nach seinen Bedürfnissen, so sieht man auf das Wollen.

Ohne daß sie es wissen, reden also selbst die Marxisten vom Menschen, indem sie ihre soziale Frage aufwerfen und eigentlich glauben machen möchten, daß sie nur von Einrichtungen sprechen. Sie sprechen wohl von Einrichtungen, aber diese Einrichtungen wollen sie so gestalten, daß das Vorstellungsleben, die menschlichen Fähigkeiten, zur Geltung kommen können, und daß die menschlichen Bedürfnisse gleichmäßig befriedigt werden können, so wie sie vorhanden sind.

Nun gibt es etwas sehr Eigentümliches in dieser Anschauung. In dieser Anschauung kommt nämlich ein Lebenselement des Menschen gar nicht zur Geltung, und das ist das Gefühlsleben. Sehen Sie, wenn man sagen würde: Man bezwecke, man wolle erzielen eine soziale Struktur, in der die Menschen leben können nach ihren Fähigkeiten, nach ihren Gefühlen, nach ihren Bedürfnissen —, so würde man den ganzen Menschen treffen. Aber kurioserweise läßt man, indem man in umfänglicher Weise charakterisieren will, welches das soziale Ziel für den Menschen ist, das Gefühlsleben des Menschen aus. Und wer das Gefühlsleben in seiner Menschheitsbetrachtung ausläßt, der läßt eigentlich jede Betrachtung über die wirklichen Rechtsverhältnisse im sozialen Organismus aus. Denn die Rechtsverhältnisse können sich nur so entwickeln im Zusammenleben der Menschen, wie sich in diesem Zusammenleben der Menschen Gefühl an Gefühl abstreift, abschleift. So wie die Menschen gegenseitig zueinander fühlen, so ergibt sich, was öffentliches Recht ist. Und daher mußte, weil man in der Grundfrage der sozialen Bewegung das Lebenselement des Gefühls wegließ, die Rechtsfrage eigentlich, wie ich sagte, in ein Loch fallen, verschwinden. Und es handelt sich darum, daß man gerade diese Rechtsfrage in das richtige Licht rückt. Gewiß, man weiß, daß ein Recht vorhanden ist, aber man möchte das Recht bloß als ein Anhängsel der wirtschaftlichen Verhältnisse hinstellen.


Und wie entwickelt sich im menschlichen Zusammenleben das Recht? Sehen Sie, eine Definition des Rechtes zu geben, ist oftmals versucht worden, aber niemals ist eigentlich eine befriedigende Definition des Rechtes herausgekommen. Ebensowenig ist viel herausgekommen, wenn man den Ursprung des Rechtes untersucht hat, wo das Recht herstammt. Man wollte diese Frage beantworten. Es ist niemals richtig etwas dabei herausgekommen. Warum nicht? Es ist geradeso wie wenn man irgendwie aus der menschlichen Natur und bloß aus der menschlichen Natur die Sprache entwickeln wollte. Es ist oftmals gesagt worden, und es ist richtig: Der Mensch, der auf einer einsamen Insel aufwächst, würde niemals zum Sprechen kommen, denn die Sprache entzündet sich an den anderen Menschen, an der ganzen menschlichen Gesellschaft.

So entzündet sich aus dem Gefühl im Zusammenwirken mit dem Gefühl des anderen innerhalb des öffentlichen Lebens das Recht. Man kann nicht sagen, es entspringe das Recht aus diesem oder jenem Winkel des Menschen oder der Menschheit, sondern man kann nur sagen: Die Menschen kommen durch ihre Gefühle, die sie gegenseitig füreinander entwickeln, in solche Beziehungen, daß sie diese Beziehungen in Rechten festlegen, festsetzen. Das Recht ist also etwas, nach welchem so gefragt werden sollte, daß man vor allen Dingen auf seine Entwickelung innerhalb der menschlichen Gesellschaft hinsieht. Dadurch aber kommt die Rechtsbetrachtung für den modernen Menschen gerade in unmittelbare Nähe dessen, was sich herauf entwickelt hat in der Geschichte der neueren Menschheit als die demokratische Forderung.

Man kommt dem Wesen solcher Forderungen, wie es die demokratische Forderung ist, nicht nahe, wenn man nicht die menschliche Entwickelung selber wie eine Art Organismus ansieht. Aber davon sind die gegenwärtigen Betrachtungsweisen sehr, sehr weit entfernt. Jeder Mensch empfindet es gewiß als etwas sehr Lächerliches und Paradoxes, wenn man erklären wollte, wie der Mensch von der Geburt bis zum Tode sich entwickelt unter dem Einfluß der Nahrungsmittel; wenn man erklären wollte, weil der Kohl so ist, der Weizen so ist, das Rindfleisch so ist, entwickelt sich der Mensch von seiner Geburt bis zum Tode so und so. Nein, niemand wird zugeben, daß das eine vernünftige Betrachtungsweise ist, sondern jeder wird zugestehen, daß man fragen muß: Wie ist es in der menschlichen Natur selbst begründet, daß zum Beispiel um das siebente Jahr herum aus dieser menschlichen Natur heraus die Kräfte kommen, die den Zahnwechsel bewirken? Man kann nicht aus dem Kohl, aus dem Rindfleisch die Konsequenzen ziehen, daß der Zahnwechsel sich vollzieht. Ebenso muß man fragen: Wie entwikkelt sich aus dem menschlichen Organismus heraus dasjenige, was zum Beispiel die Geschlechtsreife darstellt? — und so weiter. Man muß auf das, was sich entwickelt, auf seine innere Natur eingehen.


Suchen Sie sich unter den heutigen Vorstellungsarten aber eine, welche das auf die menschliche Entwickelungsgeschichte anwenden kann, welche sich zum Beispiel klar darüber wäre, daß, indem die Menschheit auf der Erde sich entwickelt, sie aus sich, aus ihrem Wesen heraus in den verschiedenen Zeitaltern gewisse Kräfte und Fähigkeiten, gewisse Eigentümlichkeiten entwickelt!

Wer lernt, sachgemäß zu sein in der Naturbetrachtung, kann diese sachgemäße Betrachtungsweise auch übertragen auf die Geschichtsbetrachtung. Und da findet man, daß aus den Tiefen der Menschennatur hervorgehend seit der Mitte des 15. Jahrhunderts eben gerade diese Forderung nach Demokratie sich entwickelt hat und in den verschiedenen Gegenden der Erde mehr oder weniger befriedigt worden ist, diese Forderung: daß der Mensch in seinem Verhalten zu anderen Menschen nur dasjenige gelten lassen kann, was er selbst als das Richtige, als das ihm Angemessene empfindet. Das demokratische Prinzip ist aus den Tiefen der Menschennatur heraus die Signatur des menschlichen Strebens in sozialer Beziehung in der neueren Zeit geworden. Es ist eine elementare Forderung der neueren Menschheit, dieses demokratische Prinzip.

Wer diese Dinge durchschaut, der muß sie aber auch völlig ernst nehmen, der muß sich dann die Frage aufwerfen: Welches ist die Bedeutung und welches sind die Grenzen des demokratischen Prinzipes? — Das demokratische Prinzip — ich habe es eben charakterisiert — besteht darinnen, daß die in einem geschlossenen sozialen Organismus zusammenlebenden Menschen Beschlüsse fassen sollen, welche aus jedem einzelnen hervorgehen. Dann können sie natürlich nur für die Gesellschaft bindende Beschlüsse dadurch werden, daß sich Majoritäten ergeben. Demokratisch wird, was in solche Majoritätsbeschlüsse einläuft, nur dann sein, wenn jeder einzelne Mensch als einzelner Mensch dem anderen einzelnen Menschen als ein gleicher gegenübersteht. Dann aber können auch nur über diejenigen Dinge Beschlüsse gefaßt werden, in denen der einzelne Mensch als gleicher jedem anderen Menschen in Wirklichkeit gleich ist. Das heißt: Es können nur Beschlüsse gefaßt werden auf demokratischem Boden, über die jeder mündig gewordene Mensch dadurch, daß er mündig geworden ist, urteilsfähig ist. Damit aber haben sie -- ich meine so klar als nur möglich — der Demokratie ihre Grenzen gezogen. Es kann ja nur dasjenige auf dem Boden der Demokratie beschlossen werden, was man einfach dadurch beurteilen kann, daß man ein mündig gewordener Mensch ist.

Dadurch schließt sich aus von demokratischen Maßregeln alles, was sich auf die Entwickelung der menschlichen Fähigkeiten im öffentlichen Leben bezieht. Alles, was Erziehung und Unterrichtswesen, was geistiges Leben überhaupt ist, erfordert die Einsetzung des individuellen Menschen — wir werden übermorgen im genaueren davon sprechen —, erfordert vor allen Dingen wirkliche individuelle Menschenkenntnis, erfordert in dem Unterrichtenden, in dem Erziehenden besondere individuelle Fähigkeiten, die durchaus nicht dem Menschen dadurch eignen können, daß er einfach ein mündig gewordener Mensch ist. Entweder nimmt man es mit der Demokratie nicht ernst: dann läßt man sie beschließen auch über alles, was an individuellen Fähigkeiten hängt; oder man nimmt es mit der Demokratie ernst: dann muß man ausschließen von der Demokratie die Verwaltung des Geisteslebens auf der einen Seite. Man muß aber auch ausschließen von dieser Demokratie, was Wirtschaftsleben ist. Alles was ich gestern entwickelt habe, beruht auf Sachkenntnis und Fachtüchtigkeit, die sich der einzelne erwirbt in dem Lebenskreis wirtschaftlicher Art, in dem er drinnensteht. Niemals kann einfach die Mündigkeit, die Urteilsfähigkeit jedes mündig gewordenen Menschen darüber entscheiden, ob man ein guter Landwirt, ob man ein guter Industrieller und dergleichen ist. Daher können auch nicht Majoritätsbeschlüsse gefaßt werden von jedem mündig gewordenen Menschen über dasjenige, was auf dem Gebiete des Wirtschaftslebens zu geschehen hat.

Das heißt, das Demokratische muß ausgesondert werden von dem Boden des Geisteslebens, von dem Boden des Wirtschaftslebens. Dann ergibt sich zwischen beiden das eigentliche demokratische Staatsleben, in dem ein jeder Mensch dem anderen als urteilsfähiger, mündiger, gleicher Mensch gegenübersteht, in dem aber auch nur Majoritätsbeschlüsse gefaßt werden können über das, was abhängt von der gleichen Urteilsfähigkeit aller mündig gewordenen Menschen.

Wer diese Dinge, die ich eben ausgesprochen habe, nicht einfach abstrakt denkend sagt, sondern sie am Leben abmißt, der sieht, daß die Menschen gerade deshalb sich über diese Dinge täuschen, weil sie eigentlich unbequem vorzustellen sind, weil man nicht den Mut entwickeln möchte, in die letzten Konsequenzen dieses menschlichen Vorstellens einzudringen.

Das aber, daß man das nicht wollte, daß man der allgemeinen Forderung nach Demokratie nicht ganz andere Dinge entgegenstellte, das hatte in der neueren Menschheitsentwickelung eine sehr, sehr praktische Bedeutung. Ich möchte Ihnen diese Dinge viel weniger aus abstrakten Prinzipien als aus der historischen Entwickelung der Menschheit selber heraus gestalten.

Wir haben in diesen Jahren einen Staat zugrunde gehen sehen, man möchte sagen: aus seinen eigenen Bedingungen heraus zugrunde gehen sehen, und dieser Staat kann geradezu als Experimentierobjekt auch für Rechtsfragen angesehen werden. Es ist das alte, nicht mehr bestehende Österreich-Ungarn. Wer die Kriegsjahre verfolgt hat, der weiß zwar, daß zuletzt Österreich gefallen ist durch die rein kriegerischen Ereignisse, aber die Auflösung dieses österreichischen Staates ist erfolgt als eine zweite Erscheinung, als etwas, was sich aus seinen inneren Zuständen heraus ergeben hat. Dieser Staat ist auseinandergefallen, und er wäre wahrscheinlich auch auseinandergefallen, wenn die kriegerischen Ereignisse für Österreich glimpflicher ausgefallen wären. Das kann man sagen, wenn man diese Verhältnisse in Österreich — wie es dem möglich war, der hier vor Ihnen spricht; dreißig Jahre meines Lebens habe ich in Österreich zugebracht — durch Jahrzehnte hindurch sachgemäß beobachtet hat.

Es war in den sechziger Jahren des vorigen Jahrhunderts, da trat aus diesem Österreich die Forderung hervor nach Demokratie, das heißt nach einer Volksvertretung. Wie wurde nun diese Volksvertretung gestaltet? Diese Volksvertretung wurde so gestaltet, daß die Volksvertreter sich rekrutierten im österreichischen Reichsrat aus vier Kurien, vier Kurien rein wirtschaftlicher Art: erstens die Kurie der Großgrundbesitzer, eine Kurie; zweitens die Städte, Märkte und Industrialorte, zweite Kurie; drittens die Handelskammern, dritte Kurie; die vierte Kurie waren die Landgemeinden, aber da kamen auch in den Landgemeinden nur eigentlich wirtschaftliche Interessen in Frage. Je nachdem man also Angehöriger einer Landgemeinde, Handelskammer und so weiter war, wählte man seine Vertreter in den österreichischen Reichsrat. Und da saßen nun die Vertreter rein wirtschaftlicher Interessen beisammen. Die Beschlüsse, die sie faßten, kamen, durch Majorität selbstverständlich, aus einzelnen Menschen heraus zustande, aber die einzelnen Menschen vertraten solche Interessen, wie sie sich ihnen ergaben aus ihrer wirtschaftlichen Zugehörigkeit zu den Grund- und Bodenbesitzern, zu den Städten, Märkten und Industrialorten, zu den Handelskammern oder zu den Landgemeinden. Und was kamen für öffentliche Rechte, die durch Majoritätsbeschlüsse gefaßt worden sind, dadurch zum Vorschein? Es kamen dadurch öffentliche Rechte zum Vorschein, die nur umgewandelte Wirtschaftsinteressen waren. Denn selbstverständlich, wenn zum Beispiel die Handelskammern mit den Großgrundbesitzern einig waren über irgend etwas, was ihnen wirtschaftliche Vorteile brachte, so konnte ein Majoritätsbeschluß gefaßt werden gegen die Interessen der Minderheit, die vielleicht gerade die Sache anging. Man kann immer, wenn Interessenvertretungen wirtschaftlicher Art in den Parlamenten sitzen, Majoritäten zusammenbringen, die aus den wirtschaftlichen Interessen heraus Beschlüsse fassen, dadurch Rechte schaffen, die aber gar nichts zu tun haben mit dem, was aus dem Gefühl heraus von Mensch zu Mensch als Rechtsbewußtsein waltet.

Oder nehmen Sie die Tatsache, daß zum Beispiel in dem alten deutschen Reichstag eine große Partei saß, die sich Zentrum nannte, und die rein geistige Interessen, nämlich katholisch-geistige Interessen vertrat. Diese Partei konnte sich zusammenschließen mit jeder anderen, um eine Majorität zu ergeben, und so wurden rein geistige Bedürfnisse in irgendwelche öffentlichen Rechte umgewandelt. Unzählige Male ist dies geschehen.

Was da lebt in den demokratisch werden wollenden modernen Parlamenten, hat man oftmals bemerkt. Aber man ist nicht darauf gekommen, einzusehen, was zu geschehen hat: Eine reinliche Abscheidung desjenigen, was das Rechtsleben ist, von dem, was die Vertretung, die Verwaltung wirtschaftlicher Interessen ist. Der Impuls für die Dreigliederung des sozialen Organismus muß daher in entschiedenster Weise die Abgliederung des Rechtslebens, des Rechtsbodens von der Verwaltung der wirtschaftlichen Verhältnisse, von der Verwaltung des Wirtschaftskreislaufes fordern.


Innerhalb des Wirtschaftskreislaufes sollen sich Assoziationen bilden, wie ich gestern auseinandergesetzt habe. Es werden Berufsstände einander gegenüberstehen, es werden Produzenten und Konsumenten einander gegenüberstehen. Was da geschehen wird an rein wirtschaftlichen Tatsachen und Maßnahmen, das wird beruhen auf Verträgen, die die Assoziationen miteinander schließen. Im Wirtschaftsleben wird alles auf Verträgen, alles auf gegenseitigen Leistungen beruhen. Da werden Korporationen Korporationen gegenüberstehen. Da wird Sachkenntnis und Fachtüchtigkeit den Ausschlag zu geben haben. Da wird es sich nicht darum handeln, was ich für eine Meinung habe, sagen wir, wenn ich Industrieller bin, welche Geltung gerade mein Industriezweig im öffentlichen Leben haben soll; nein, darüber werde ich nichts beschließen können, wenn das Wirtschaftsleben selbständig ist, sondern ich werde zu leisten haben in meinem Industriezweige, werde Verträge zu schließen haben mit den Assoziationen anderer Industriezweige, und die werden mir die Gegenleistungen zu bieten haben. Ob ich in der Lage bin, sie zu Gegenleistungen zu verhalten, davon wird es abhängen, ob ich meine Leistungen anbringen kann. Vertragsweise wird sich eine Tüchtigkeitsassoziation abschließen. Das ist es, was Tatsachen sind.

Anders muß sich das Leben abspielen auf dem Rechtsboden. Auf dem Rechtsboden kann der Mensch dem Menschen gegenüberstehen. Auf dem Rechtsboden kann es sich nur handeln um die Festlegung von Gesetzen, die eben die öffentlichen Rechte durch Majoritätsbeschlüsse regeln. Gewiß, sehr viele Menschen sagen: Aber was ist denn schließlich das öffentliche Recht? Es ist ja nichts anderes als dasjenige, was, in Worte gefaßt, in Gesetze bringt, was in den wirtschaftlichen Zuständen lebt! — Es ist in vieler Beziehung so. Aber das läßt die Idee von der Dreigliederung des sozialen Organismus, wie sie die Wirklichkeit überhaupt nicht unberücksichtigt läßt, durchaus nicht außer acht: Was sich durch die Beschlüsse auf demokratischem Boden als rechtens ergibt, das tragen selbstverständlich die Menschen, die wirtschaften, in das Wirtschaftsleben hinein. Nur sollen sie es nicht heraustragen und zum Rechte erst machen. Sie tragen es in das Wirtschaftsleben hinein.

Abstraktlinge, die sagen: Ja, aber ist denn nicht im äußeren Leben dasjenige, was der eine mit dem anderen wirtschaftet, wenn er einen Wechsel ausstellt oder dergleichen, und was sich da im Wechselrecht ergibt, ganz in der Handlung des wirtschaftlichen Lebens drinnen enthalten? Ist denn das nicht eine völlige Einheit? Und du kommst, Dreigliederer, und willst das, was im Leben eine völlige Einheit ist, jetzt auseinandernehmen!

Als ob es nicht im Leben — gerade in dem Leben, wo der Mensch keinen Zutritt hat mit seinen Meinungen und das er dadurch nicht verderben kann — viele Gebiete gäbe, wo sich Kräfteströmungen von verschiedenen Seiten her zu einer Einheit verbinden! Nehmen Sie einmal bei dem Menschen, der heranwächst, an: er hat verschiedene Eigenschaften, die er durch Vererbung bekommen hat. Die haften ihm an. Dann hat er gewisse Eigenschaften, die ihm anerzogen werden. Von zwei Seiten her bekommt der heranwachsende Mensch Eigenschaften: durch Vererbung, durch Erziehung. Aber tun Sie etwas, wenn Sie fünfzehn Jahre alt geworden sind, so können Sie nicht sagen, es sei keine Einheit, was Sie tun! Es fließen als eine Einheit zusammen das Ergebnis Ihrer Vererbung und das Ergebnis Ihrer Erziehung. Dadurch lebt eine Einheit drinnen, aber nur dadurch richtig als eine Einheit, daß es von zwei Seiten zusammenströmt. Gerade dadurch wird es eine gesunde Einheit, daß es von zwei Seiten zusammenströmt.

So ergibt sich aus der Wirklichkeit des Lebens für die Idee des sozialen dreigegliederten Organismus, daß eine gesunde Einheit für das Handeln im Wirtschaftlichen nur entsteht, insofern Rechtsbegriffe darinnen inbegriffen werden, dadurch, daß die wirtschaftlichen Maßnahmen aus wirtschaftlichen Gesichtspunkten selbständig verwaltet werden, und daß auf dem demokratischen Rechtsboden die Rechte geschaffen werden. Die Menschen tragen das dann zu einer Einheit zusammen. Es wirkt zusammen, während Sie, wenn Sie die Rechte aus den Interessen des Wirtschaftens selber heraus entstehen lassen, diese Rechte zu Karikaturen machen. Es ist dann das Recht nur eine Photographie, nur ein Abdruck des wirtschaftlichen Interesses. Es ist das Recht gar nicht da. Nur dadurch, daß Sie das Recht ursprünglich und uranfänglich entstehen lassen auf seinem selbständigen demokratischen Boden, können Sie es hineintragen in das Wirtschaftsleben.

Man sollte glauben, dies wäre so ohne weiteres klar, daß man es eigentlich nicht weitläufig auseinanderzusetzen brauchte. Aber unsere Zeit hat gerade das Eigentümliche, daß die klarsten Wahrheiten durch das neuere Leben verdunkelt worden sind und daß man eigentlich die klarsten Wahrheiten verzerrt. Man denkt heute auf dem Boden, auf dem sich viele sozialistische Anschauungen entwickeln, die Abhängigkeit des Rechtslebens von dem Wirtschaftsleben müsse gerade fortgesetzt werden. Ich habe Ihnen gestern angedeutet, wie eine Art Hierarchie begründet werden soll nach politischem Muster, und wie das Wirtschaftsleben danach geregelt und verwaltet werden soll. Da, denkt man, werden diejenigen, die das Wirtschaftsleben verwalten, schon so nebenbei auch die Rechte entwickeln. Man hat, indem man das behauptet, keinen Sinn für das konkrete, wirkliche Leben. Nicht das Wirtschaftsleben, in dem man vor allen Dingen tüchtig zu sein hat für die Gestaltung der Produktionsverhältnisse, kann die Rechtsverhältnisse hervorbringen, sondern diese müssen neben dem Wirtschaftsleben aus ihrer eigenen Quelle hervorgebracht werden. Sie werden niemals bloß aus dem Nachdenken hervorgebracht, sondern dadurch, daß sich konkret neben dem Wirtschaftskreislauf ein staatliches Element entwickelt, in dem der einzelne individuelle Mensch dem anderen individuellen Menschen gegenübersteht.

Es handelt sich ja nicht darum, daß man aus irgendeinem ursprünglichen Bewußtsein heraus als Wirtschafter auch Rechtsgesetze hervorbringt, sondern darum, daß man erst den konkreten Boden schafft, auf dem die Menschen durch ihre Gefühle in solche Verhältnisse kommen, daß sie diese Verhältnisse in rechtliche Verhältnisse umgestalten können. Es handelt sich darum, daß man eine Realität schafft neben dem Wirtschaftsleben. Dann wird nicht das Recht ein bloßer Überbau über dem Wirtschaftsleben sein, sondern dann wird das Recht dastehen als eine selbständig sich gestaltende Wesenheit. Dann wird man nicht durch eine theoretische Antwort den Grundirrtum, den Aberglauben der sozialen Frage überwinden, als ob man nur das Wirtschaftsleben umzugestalten brauchte, um zu anderen Rechtsbegriffen zu kommen, dann wird man die Realität im dreigegliederten sozialen Organismus einfach dadurch schaffen, daß man den selbständigen Rechtsboden schafft, die Realität, aus der heraus durch Menschenverkehr und Menschenbeziehung diejenige starke Stoßkraft des Rechtslebens entsteht, die das Wirtschaftsleben meistern kann.

Und schließlich zeigt auch noch die geschichtliche Betrachtung der neueren Zeit von einer anderen Seite her, wie das, was ich eben auseinandersetzte, noch bewiesen ist. Blicken Sie zurück auf die Antriebe, die die Menschen bis zum 13., 14. Jahrhundert noch gehabt haben für ihre handwerklichen und sonstigen Arbeiten. Es wird oftmals betont von den modernen sozialistischen Denkern, daß der Mensch getrennt sei von seinen Produktionsmitteln. Das ist er in so hohem Grade, wie es jetzt der Fall ist, erst durch die modernen Wirtschaftsverhältnisse geworden. Namentlich ist er getrennt von seinen Produkten. Der Arbeiter, der in der Fabrik arbeitet, wieviel Anteil hat er denn an dem, was dann der Unternehmer verkauft? Was weiß er denn davon? Was weiß er von dem Weg, den das macht in die Welt? Ein kleines Stück von einem großen Zusammenhang! Er bekommt vielleicht den großen Zusammenhang niemals zu Gesicht. Denken Sie sich, was das für ein gewaltiger Unterschied ist gegenüber dem alten Handwerk, wo der einzelne Arbeiter an dem, was er hervorbrachte, seine Freude hatte -- wer die Geschichte kennt, weiß, wie das der Fall ist; denken Sie an die persönliche Beziehung eines Menschen zu der Hervorbringung eines Türschlüssels, eines Schlosses und dergleichen. Wenn man in primitive Gegenden kommt, kann man in dieser Beziehung noch recht nette Erfahrungen machen, aber wo die Gegenden weniger primitiv sind, da macht man solche Erfahrungen nicht mehr. Ich kam einmal -- verzeihen Sie, daß ich so etwas Persönliches erzähle, aber vielleicht dient es zur Charakteristik — in eine solche Gegend und war wirklich außerordentlich entzückt, als ich in einen Friseurladen hineinging und der Friseurgehilfe seine helle Freude daran hatte, wie er einem Menschen schön die Haare schneiden konnte! Er hatte seine helle Freude an dem, was er leistete. Es ist immer weniger und weniger von solchen persönlichen Zusammenhängen zwischen dem Menschen und seinem Produkte da. Daß dieser Zusammenhang nicht da ist, das ist einfach eine Forderung des modernen Wirtschaftslebens. Das kann nicht anders sein unter den komplizierten Verhältnissen, wo wir unter Arbeitsteilung arbeiten müssen. Und hätten wir die Arbeitsteilung nicht, so hätten wir das moderne Leben mit alldem, was wir notwendig haben, nicht, hätten wir keinen Fortschritt. Es ist nicht möglich, daß die alte Beziehung zwischen dem Menschen und seinem Produkte da ist.

Aber der Mensch braucht eine Beziehung zu seiner Arbeit. Der Mensch hat nötig, daß Freude zwischen ihm und seiner Arbeit, daß eine gewisse Hingabe an seine Arbeit bestehen kann. Die alte Hingabe, das unmittelbare Beisammensein mit dem hervorgebrachten Objekte, das ist nicht mehr, das muß aber durch etwas anderes ersetzt werden. Denn das ist nicht erträglich für die menschliche Natur, daß nicht ein ähnlicher Antrieb zur Arbeit da sei, wie er da war durch die Freude am unmittelbaren Hervorbringen des Objektes. Das muß durch etwas anderes ersetzt werden. Durch was kann es ersetzt werden? Es kann allein dadurch ersetzt werden, daß der Horizont der Menschen vergrößert wird, daß die Menschen herausgerufen werden auf einen Plan, auf den sie mit ihren Mitmenschen in großem Kreise — zuletzt mit allen Mitmenschen, die den gleichen sozialen Organismus mit ihnen bewohnen — zusammentreffen werden, um als Mensch für den Menschen Interesse zu entwickeln. Das muß eintreten, daß selbst derjenige, der in dem verborgensten Winkel an einer einzelnen Schraube für einen großen Zusammenhang arbeitet, mit seinem persönlichen Verhältnisse nicht in dem Anblick dieser Schraube aufzugehen braucht, sondern daß er hineintragen kann in seine Werkstätte, was er als Gefühle für die anderen Menschen aufgenommen hat, daß er es wiederum findet, wenn er herausgeht aus seiner Werkstatt, daß er eine lebendige Anschauung hat von seinem Zusammenhang mit der menschlichen Gesellschaft, daß er arbeiten kann, auch wenn er nicht für das unmittelbare Produkt mit Freude arbeitet, aus dem Grunde, weil er sich als ein würdiges Glied innerhalb des Kreises seiner Mitmenschen fühlt.

Und aus diesem Drange ist hervorgegangen die moderne Forderung nach Demokratie und die moderne Art, auf demokratische Weise das Recht, das öffentliche Recht festzulegen. Die Dinge hängen innerlich mit dem Wesen der Menschheitsentwickelung zusammen. Und diese Dinge kann nur durchschauen, wer in das Wesen der Menschheitsentwickelung, wie sie sich auf sozialem Boden abspielt, wirklich hineinzuschauen die Neigung hat. Man muß fühlen, wie der Horizont der Menschen erweitert werden müßte, wie Sie fühlen müßten: Gewiß, ich weiß nicht, was ich meinen Mitmenschen tue, indem ich diese Schraube hier fabriziere, aber ich weiß, daß ich durch die lebendigen Beziehungen, in die ich durch das öffentliche Recht mit ihnen komme, innerhalb der gesellschaftlichen Ordnung ein würdiges Mitglied, ein mit allen anderen gleich geltendes Mitglied bin.

Das ist es, was zugrunde liegen muß der modernen Demokratie, und was zugrunde liegen muß, als von Gefühl zu Gefühl zwischen Menschen wirkend, den modernen öffentlichen Rechtssatzungen. Und nur dadurch, daß man so in das innere Gefüge des Menschen hineinschaut, kommt man zu wirklich modernen Begriffen von dem, was sich als öffentliches Recht auf allen Gebieten entwickeln muß. Im Genaueren werden wir darüber noch im fünften Vortrag zu sprechen haben. Jetzt aber will ich Ihnen zum Schlusse noch zeigen, wie das Gebiet der Rechtsfindung hinüberspielt von dem eigentlichen Rechtsboden auf den Geistesboden.

Man kann, indem man einfach die Verhältnisse durchblickt, die ich Ihnen jetzt charakterisiert habe, sehen, wie durch das Abschleifen von Gefühl an Gefühl zwischen gleichberechtigten Menschen auf demokratischem Boden die Gesetze entstehen, während dem auf dem Wirtschaftsboden die Verträge zwischen den Koalitionen oder auch zwischen den einzelnen Menschen entstehen. Von dem Augenblicke an, wo es sich darum handelt, daß der einzelne zivilrechtlich, privatrechtlich oder sonst irgendwie, auch strafrechtlich, sein Recht zu suchen hat oder zu finden hat, in diesem Augenblicke geht das Recht über von dem eigentlichen Rechtsboden auf den Boden des Geisteslebens. Da liegt wiederum ein Punkt — geradeso wie bei der Steuergesetzgebung —, wo das moderne menschliche Vorstellen sich noch lange nicht anbequemen wird an das, was sich eigentlich, wenn man auf die Grundverhältnisse eingeht, als ein Selbstverständliches ergibt.


Sehen Sie, wenn es sich darum handelt, zu beurteilen, wie ein Gesetz, das gegeben ist, auf den einzelnen Menschen anzuwenden ist, da kommt die individuelle Beurteilung dieses einzelnen Menschen in Betracht; da kommt in Betracht, daß man wirklich durch seine geistigen Fähigkeiten eingehen kann auf diesen einzelnen Menschen. Die Strafrechtspflege, die Zivilrechtspflege, die kann nicht auf dem allgemeinen Rechtsboden stehen, die muß auf den Boden gerückt werden, dessen tiefere Eigentümlichkeit ich übermorgen bei der Besprechung des Geisteslebens klarlegen werde. Sie kann nur dadurch Rechts-Tat werden, daß jeder, der zum Richter wird, wirklich auch in die Lage versetzt wird, aus den individuellen Fähigkeiten, ja den individuellen Beziehungen zu dem Menschen, über den er zu richten hat, heraus zu richten. Vielleicht könnte man sich denken, daß so etwas auf die verschiedenste Art erreicht werden kann. Ich habe in meinen «Kernpunkten der sozialen Frage» darauf aufmerksam gemacht, wie es auf eine Art erreicht werden kann.

Es besteht im dreigliederigen sozialen Organismus die selbständige, Ihnen gestern charakterisierte Wirtschaftsverwaltung, es besteht der demokratische Rechtsboden, den ich heute skizziert habe und den ich im fünften Vortrag weiter auszuführen haben werde in seiner Wechselwirkung mit den anderen Gebieten. Es besteht aber auch das selbständige Geistesleben, wo vor allen Dingen das Unterrichts- und Erziehungswesen verwaltet wird in der Weise, wie ich es gestern angedeutet habe und übermorgen weiter ausführen werde. Diejenigen nun, die die Verwalter des Geisteslebens sind, werden zu gleicher Zeit die Richter zu stellen haben, und jeder Mensch wird das Recht und die Möglichkeit haben -- sagen wir sogar bloß für Zeitdauer — sich zu bestimmen, von welchem Richter er abgeurteilt sein will, wenn er in die Lage kommt, für irgend etwas Zivil- oder Strafrechtliches abgeurteilt zu werden. Da wird aus den wirklichen individuellen Verhältnissen heraus der Mensch sich seinen Richter bestimmen. Da wird der Richter, der nicht ein juristischer Bürokrat ist, sondern der aus dem geistigen Organismus heraus bestellt wird, aus den Zusammenhängen, in die er mit seiner Umgebung in sozialer Beziehung versetzt ist, auch feststellen können, wie aus der sozialen Umgebung heraus derjenige zu beurteilen ist, über den zu richten ist. Es wird sich darum handeln, daß nicht aus staatlichen Bedürfnissen heraus die Richter bestellt werden, sondern daß die Gründe, aus denen heraus man einen Richter bestellt, ähnliche sind wie die, die man im freien Geistesleben geltend macht dafür, daß man den besten Erzieher an irgendeinen Platz hinbringt. Das Richterwerden wird etwas ähnliches sein wie das Lehrer- und Erzieherwerden.

Natürlich drängt sich dadurch die Rechtsfindung ab von der Feststellung des Rechtes, die auf demokratischem Wege erwächst. Wir sehen gerade an diesem Beispiel der Strafrechtspflege, wie aus der Demokratie dasjenige herauswächst, was individuelle Angelegenheit des Menschen ist, was auch individuellerweise beurteilt werden muß. Die Feststellung des Rechtes ist ja im eminentesten Sinne eine soziale Angelegenheit. In dem Augenblicke, wo man genötigt ist, sich an einen Richter zu wenden, hat man es in der Regel mit einer über- oder antisozialen Angelegenheit zu tun, mit etwas, was aus dem sozialen Leben herausfällt. Solche Angelegenheiten sind im Grunde genommen alle individuellen Angelegenheiten der Menschen. Solche Angelegenheiten sind die Verwaltungszweige des geistigen Lebens, und unter diesen auch die Verwaltung der Rechtsfindung. Die Rechtsfindung wächst heraus, über die Grenzen der Demokratie hinweg.

So handelt es sich darum, in Realität herzustellen, was zwischen Menschen als Realität das Rechtsleben bewirkt. Dann wird dieses Rechtsleben kein Überbau sein des Wirtschaftslebens, sondern dann wird dieses Rechtsleben hineinwirken in das Wirtschaftsleben. Niemals wird man durch eine bloße theoretische Betrachtungsweise auf das kommen, was auf diesem Gebiete zu geschehen hat, sondern allein dadurch, daß man ins praktische Leben hineinschaut und sich sagt: Ein wirkliches Rechtsleben mit einer entsprechenden Stoßkraft kann nur entstehen, wenn man einen selbständigen Rechtsboden schafft. Dieser Rechtsboden ist verschwunden unter dem alles überflutenden Wirtschaftsleben. Das Rechtsleben ist ein Anhängsel des Wirtschaftslebens geworden. Es muß wiederum selbständig werden, wie auch das Geistesleben emanzipiert werden muß vom Wirtschaftsleben. Der große Irrtum muß überwunden werden zum Klarsehen in der sozialen Frage — der große Irrtum, daß man bloß die wirtschaftlichen Einrichtungen umzugestalten habe, dann ergäbe sich alles übrige von selbst. Dieser Irrtum ist dadurch entstanden, daß das wirtschaftliche Leben in der neueren Zeit allein mächtig geworden ist. Man läßt sich suggestiv beeinflussen von der einzigen Macht des Wirtschaftslebens. Man wird dadurch niemals zu einer Lösung bringen, was die soziale Frage ist. Die Menschen werden sich Illusionen hingeben, gerade die vom Proletariat. Sie werden aus dem Wirtschaftsleben heraussaugen wollen, was sie «gerechte Verteilung der Güter» nennen. Die gerechte Verteilung der Güter wird aber nur bewirkt werden, wenn im sozialen Organismus Menschen drinnenstehen, die Fähigkeiten haben, die entsprechenden Einrichtungen, durch die die wirtschaftlichen Forderungen befriedigt werden können, zu schaffen. Das kann nur geschehen, wenn man einsehen wird: Es handelt sich zur Befriedigung der sozialen Forderung nicht allein um die Umgestaltung des Wirtschaftslebens, sondern darum, die Frage zu beantworten: Was muß neben das Wirtschaftsleben hingestellt werden, damit fortdauernd dieses Wirtschaftsleben von den sozialen Menschen, die im Rechtsleben, im Geistesleben soziale Menschen werden, sozial gestaltet werde?

Das muß sich als die Wahrheit einem Aberglauben, einem Dogma entgegensetzen. Und diejenigen, die im Wirtschaftsleben die alleinigen Heilmittel suchen für eine Gesundung des sozialen Lebens, müssen verwiesen werden auf den Geist und auf das Recht. Nicht träumen sollen sie davon, als ob das Recht nur ein Rauch wäre, der aufsteigt aus dem Wirtschaftsleben, sondern wirklichkeitsgemäß denken: Gerade weil das Recht und das Rechtsbewußtsein zurückgetreten sind in der neueren Zeit durch die Überflutung des Wirtschaftslebens, haben wir zur sozialen Gestaltung unseres gesellschaftlichen Organismus nötig die reale Schöpfung eines Rechtsorganismus mit der entsprechenden sozialen Stoßkraft.


Fragenbeantwortung nach dem dritten Vortrag

Es sind nun noch eine Anzahl von Fragen an mich gestellt worden. Die erste:

Wie kann durch ein auf selbständigem Boden beschlossenes Recht das Wirtschaftswesen geregelt werden?

Nun ist es nur notwendig, daß man berücksichtigt, wie verschieden der hier gedachte dreigliederige Organismus ist von dem, was man im platonischen Staat findet als die Gliederung der Menschen eines sozialen Organismus in drei Stände: in den Nährstand, Wehrstand, Lehrstand. Ich habe es unter den mancherlei Mißverständnissen auch treffen müssen, daß Leute gesagt haben: Ja, diese Dreigliederung in einen geistigen Organismus, in einen Rechts- oder Staatsorganismus und in einen Wirtschaftsorganismus, das sei ja nur ein Aufwärmen des platonischen Prinzips von Lehrstand gleich geistiger Organismus — so glaubt man, Wehrstand gleich staatlicher rechtlicher Organismus, Nährstand gleich wirtschaftlicher Organismus. Das ist durchaus nicht so. Es ist das Gegenteil davon. Bei der Dreigliederung des sozialen Organismus handelt es sich nämlich darum, daß die Verwaltungen der betreffenden Zweige des menschlichen Lebens voneinander getrennt werden, daß also nicht etwa die Menschen gegliedert werden in Stände, sondern daß dasjenige, was vom Menschen abgesondert ist, die Verwaltung der Einrichtungen, in drei Glieder zerfällt, die ja zusammenzuwirken haben gerade durch den lebendigen Menschen. Der lebendige Mensch steht ja in allen drei Gebieten drinnen. Es ist nach und nach in der Menschheit das Bewußtsein entstanden, daß es eigentlich nicht menschenwürdig ist, Klassenunterschiede, Standesunterschiede und so weiter zu entwickeln. In der Realität werden diese nur überwunden werden, wenn man den sozialen Organismus nach dem Objektiven gliedert, nach dem, was vom Menschen abgesondert ist.

So muß man sich zum Beispiel folgendes vorstellen. Ich werde im fünften Vortrag über Ähnliches noch zu sprechen haben. Wer eine Anschauung von dem wirklich freien Geistesleben gewinnt, der wird durchschauen können, wie dieses wirklich freie Geistesleben gar nicht jene Abstraktheit hat, die vielfach das heutige Geistesleben hat. Sie kennen heute, oder könnten sie wenigstens kennen, allerlei philosophische, religiöse Weltanschauungen und dergleichen. Denken Sie nur, wie abstrakt, wie lebensfremd diese Weltanschauungen geworden sind. Man braucht sich nur daran zu erinnern, wie heute ein Mensch seine ethischen, ästhetischen, wissenschaftlichen, religiösen Anschauungen haben kann als Kaufmann, als Staatsmann, als Industrieller, als Landwirt, und daneben hat er die Verwaltung seines Amtes, seiner Wirtschaft und so weiter. Ja, beides läuft gewissermaßen nebeneinander her. Eines ragt nicht in das andere hinein. Das rührt davon her, daß wir im Grunde genommen heute noch immer auf dem Gebiete des Geisteslebens die Fortsetzung des alten griechischen Geisteslebens haben, das aus ganz anderen sozialen Verhältnissen hervorgegangen ist. Das wissen die Menschen zum großen Teile nicht, aber wir haben tatsächlich in unserer sozialen Gesinnung die Fortsetzung des griechischen Geisteslebens, das darauf beruhte, daß ein vollständig menschenwürdiges Dasein nur derjenige führt, der eigentlich nicht arbeitet, der nur für Politik sorgt und höchstens Landwirtschaft beaufsichtigt und dergleichen. Derjenige, der arbeitete, der gehörte eigentlich nicht in Wirklichkeit zu den Menschen, die im höheren Sinne in Betracht kommen. Beim Griechen lag es gewissermaßen im Blute, sich so zum Menschtum zu stellen, und danach richtete sich sein ganzes Geistesleben ein. Das griechische Geistesleben ist nicht anders denkbar, denn als Oberbildung über eine breite Unterbildung von Leuten, die nicht an diesem Geistesleben teilnehmen konnten, die nicht das griechische Geistesleben als solches hatten.

Aber diese Anschauung vom Geistesleben ist in unserem Gefühl geblieben. Man braucht über solche Dinge wahrhaftig nicht mit Leidenschaft zu urteilen, aber man kann sie berücksichtigen: die leitenden, führenden Kreise haben sich oftmals in sehr abstrakter Weise mit dem beschäftigt, was menschliche Brüderlichkeit ist, Nächstenliebe ist und so weiter. Nehmen wir ein drastisches Beispiel. In der Mitte des 19. Jahrhunderts, wo die Leute auch vom Standpunkt ihrer religiösen, ihrer ethischen Weltanschauung aus über Nächstenliebe, über Brüderlichkeit nachgedacht haben, hat man eine statistische Aufnahme gemacht über die Schäden der Bergarbeit in England. Da hat sich herausgestellt, daß in der Tat in die Bergschächte neun-, elf-, dreizehnjährige Kinder vor dem Aufgang der Sonne hinuntergelassen und nach dem Untergang der Sonne erst wieder heraufgeholt worden sind, so daß die armen Kinder den ganzen Tag über nicht das Sonnenlicht gesehen haben, die ganze Woche nicht, nur am Sonntag. Ja, bei den Kohlen, die auf diese Weise zutage gefördert worden sind, in gut geheizten Zimmern, haben sich dann die gebildeten Klassen unterhalten in ihrer lebensfremden Weltanschauung über Brüderlichkeit, über Nächstenliebe, haben ihre ethischen Ansichten entwickelt, haben sogar entwickelt, daß ein ethischer Mensch nur derjenige ist, welcher ohne Unterschied des Standes und so weiter alle seine Mitmenschen liebt.

Aber ein solches Geistesleben — und im Grunde genommen geht dieser Zug durch unser ganzes Geistesleben — ist ein lebensfremdes Geistesleben. Das ist das Geistesleben, das man im Inneren führt, das nicht die Stoßkraft hat, bis ins Leben hinein sich zu erstrecken. Bedenken Sie, welche Kluft besteht zwischen dem, was der Kaufmann darlebt in seiner ästhetischen, seiner religiösen Bildung, und dem, was er notifiziert in seinem Kassenbuch. Da steht zwar auch auf der ersten Seite: «Mit Gott», aber es ist wenig bekannt mit dem Gott, den er da in seinem Herzen verehrt.

Nun, sehen Sie, da haben Sie die tiefe Kluft zwischen dem abstrakten Geistesleben und der äußeren konkreten Wirklichkeit. An diese Kluft hat man sich heute gewöhnt als an etwas Selbstverständliches. Es gibt Philosophen, Ethiker, die behandeln Wohlwollen, die behandeln Güte, Nächstenliebe und alles mögliche. Aber nehmen Sie ein solches philosophisches Buch und fragen Sie, wie man zum Beispiel irgendeine Bank gestalten soll, so können Sie daraus nicht irgendeine Anleitung haben, wie man die Bank gestalten soll. Ein Geistesleben, das wirklich emanzipiert ist, auf seine eigenen Füße gestellt ist, das wird wiederum verbinden Lebenspraxis mit dem geistigen Betriebe, mit demjenigen, was Geistesleben ist.

Wer namentlich den übermorgigen Vortrag hören wird von mir, wird nicht glauben, daß ich in irgendeiner Nuance nur dem Geistesleben einen materialistischen Zug geben will. Das gerade Gegenteil, werden Sie sehen, wird der Fall sein. Aber gerade wenn man das nicht will, wenn man das Geistesleben auf seine geistigen Grundlagen stellen will, dann kann das einen nicht dazu verleiten, das materielle Leben wie etwas dem Geistesleben Fremdes zu behandeln, sondern den Geist so zu behandeln, daß er untertauchen kann in die unmittelbare Wirklichkeit. Darüber sind heute schon Menschen erstaunt, wenn man zu ihnen im Konkreten so spricht.

Zum Beispiel fragte mich ein Industrieller: «Ja, also, Sie wollen, daß zum Beispiel an den Praktiker, der in einem praktischen Beruf arbeitet, drinnen sich auskennt, wenn er die Eignung hat — wenn die geistige Verwaltung findet, daß er die Eignung hat —, mag er fünfunddreißig, vierzig Jahre alt sein, der Ruf ergeht, ganz gleichgültig auf welchem Wissensgebiete es ist, nun zu lehren an irgendeiner höheren oder niedereren Schule eine gewisse Zahl von Jahren.» Dann tritt er wieder aus der Praxis heraus! Das Geistesleben ist getrennt vom Wirtschaftsleben. Aber der Wirtschaftende verwendet gerade dasjenige, was er sich aneignet im getrennten Geistesleben: Ein fortwährendes Hinüber und Herüber.

«Aber es ist doch so, daß der Mensch seinen Fähigkeiten nach auf einen eingeschränkten Posten gestellt werden muß. Sehen Sie, ich habe einen Menschen in meinem Geschäft, in meiner Fabrik, der ist ganz so geschaffen, daß er immer fordert, ich soll für ihn ein chemisches Laboratorium einrichten, in dem er einzig und allein Experimente machen kann. Die Menschen sind eben verschiedenartig!» Sie sind es, sie sind verschieden geartet, weil sie durch die Verhältnisse der neueren Zeit so erzogen sind. In Wahrheit kann niemand wirklich im Geistesleben drinnenstehen, der nicht auch im praktischen Leben seinen Mann stellen kann. Nur dann, wenn man den Geist überall hineintragen kann ins praktische Leben, dann kann man auch im Geistesleben seinen Mann stellen.

So wird gerade dadurch, daß dasjenige, was vom Menschen getrennt ist, dreigliederig wird, das Getrennte durch den Menschen zusammengeführt. Wenn also im demokratischen Staatswesen das Recht entsteht, so werden die Menschen, die dann im Wirtschaftsleben tätig sind, das Recht hineintragen ins Wirtschaftsleben, werden solche Einrichtungen machen, die dem Rechte entsprechen. Durch die lebendigen Menschen wird es hineingetragen, nicht durch die abstrakten Maßnahmen und dergleichen. Das ist es, um was es sich handelt: wiederum die sozialen Einrichtungen auf die Grundlage des lebendigen Menschen zu stellen. Das möchte ich auf diese Frage erwidern.

Sehen Sie, auch auf den einzelnen Gebieten wird sich ergeben, daß das Wissen wirklich dem Leben fruchtbar gemacht werden kann. Sehen Sie sich heute eine große Anzahl von Universitäten an. Da wird auch Pädagogik gelehrt. Nun ja, so im Nebenfach lehren die Philosophen Pädagogik, wovon sie in der Regel wenig verstehen. In einem gesunden sozialen Organismus wird irgendein geeigneter Schullehrer, der praktisch den Unterricht zu handhaben versteht, zwei oder drei Jahre Pädagogik zu lehren haben; dann wird er wiederum zurückkehren zu seinem praktischen Fach. So wird es im ganzen Leben sein. Dadurch, daß dasjenige, was vom Menschen getrennt ist, dreifach gegliedert ist, dadurch wird man gerade in der Lage sein, daß der Mensch in jedes dieser Gebiete dasjenige hineinträgt, was sich in seiner Selbständigkeit im anderen Gebiete auslebt.

Die zweite Frage:

Wer richtet in handelsgerichtlichen Angelegenheiten, wohl nicht Räte aus dem Kulturgebiet allein, die der Fachkenntnisse ermangeln, nicht Fachexperten allein?

Im Grunde genommen ist viel von dieser Frage schon beantwortet mit dem, was ich eben jetzt gesagt habe. Durch die Gestaltung unseres Geisteslebens wird einer so vorgebildet, wie er sein muß, damit er ein richtiger Referendar ist, damit er ein richtiger Kaufmann ist und dergleichen. Es handelt sich darum, daß eben im dreigliederigen sozialen Organismus, mit dem selbständigen Geistesleben, nicht so unterrichtet werden wird, sondern daß der Mensch tatsächlich durch die Art und Weise, wie das Geistesleben seine eigenen Bedingungen stellt, zu einer gewissen Lebenspraxis kommen wird, und daß er diese Lebenspraxis auch wird ausgestalten können. Man braucht ja durchaus nicht ein sachgemäßes Urteil auf jedem Gebiete zu haben. Das ist es gerade, was nicht sein kann und worauf nicht gerechnet werden darf. Daß der richtige Mensch in einem Handelsgerichte sitzt, dafür wird allerdings aus der geistigen Verwaltung heraus zu sorgen sein, weil in der geistigen Verwaltung drinnen auch diejenigen Menschen sitzen werden, die etwas von den Handelsgesetzen verstehen. Es wird, was Wissen ist, nicht in Fächern in dieser Weise zentralisiert wie heute, sondern es wird durch dasjenige, wie die Menschen untereinander sind in den Korporationen der geistigen Organisation, möglich sein, solch ein Gericht in der entsprechenden Weise zusammenzusetzen, sachgemäß zusammenzusetzen, nicht aus irgendwelchem wirtschaftlichem Bedürfnis heraus und dergleichen.

Wie kann man richtig die Bedürfnisse eines Menschen feststellen oder die richtige Wertschätzung eines von ihm erzeugten Gegenstandes bemessen, wo doch die Warenbedürfnisse des Menschen so verschieden sind?

Gerade weil sie verschieden sind, müssen reale Einrichtungen geschaffen werden, welche darinnen bestehen, daß Menschen da sind, welche diese Bedürfnisse studieren, diese Bedürfnisse kennenlernen. Solche Dinge hängen nicht in der Luft, solche Dinge können durchaus auf einen realen Boden gestellt werden. Ein kleines Beispiel könnte ich Ihnen ja anführen. Es gibt eine Gesellschaft, sie steht sogar unterschrieben auf den Plakaten: die Anthroposophische Gesellschaft. Sie hat sich neben dem, was ihr manche Menschen zuschreiben, auch mit recht praktischen Angelegenheiten schon beschäftigt, die durchaus in der Linie liegen, wenn auch im kleinen, von dem, was ich hier über die soziale Frage auseinandergesetzt habe. So fand sich innerhalb der Anthroposophischen Gesellschaft ein Mann, der Brot erzeugen konnte. Weil man gerade zur Verfügung hatte eine Korporation von Menschen, die ja natürlich auch Brotkonsumenten sind, eine Korporation von Anthroposophen, konnte man gewissermaßen eine Assoziation herbeiführen zwischen dem Mann als Broterzeuger und diesen Konsumenten; das heißt, er konnte sich in seiner Produktion nach den Bedürfnissen des Konsums richten, so, daß man die Bedürfnisse kennt und nach den vorhandenen Bedürfnissen die Produktion durchaus einrichten kann. Das wird nicht der Markt tun, der das Ganze anarchisch zufällig gestaltet, sondern das kann nur geschehen, wenn Einrichtungen da sind, durch die Menschen, die die Bedürfnisse wirklich studieren, nach den Bedürfnissen die Produktion lenken, sie mit den Assoziationen regeln.

Diese Feststellung der Bedürfnisse möchten sozialistische Denker heute nach der Statistik machen. Das kann nicht nach der Statistik gemacht werden. Das lebendige Leben läßt sich nie nach der Statistik formen, sondern allein nach dem unmittelbaren Beobachtungssinn der Menschen. Es müssen also innerhalb des Wirtschaftsorganismus die Menschen durch die sozialen Zustände in gewisse Ämter oder dergleichen gebracht werden, die da sind zur Verteilung der Bedürfniserkenntnisse an die Produktion. Gerade weil die Bedürfnisse verschieden sind, handelt es sich darum, nicht etwa eine Tyrannisierung der Bedürfnisse hervorzurufen, die ganz gewiß entstehen würde auf Grundlage des heutigen sozialdemokratischen Programms, sondern es handelt sich darum, aus den lebendigen Bedürfnissen zu erkennen, wie diese Bedürfnisse befriedigt werden sollen. Daß selbstverständlich gewisse Bedürfnisse dann nicht befriedigt werden können, das wird auch die Praxis als solche ergeben. Aus einem Dogma heraus, weil irgend jemand meint, dies oder das sei kein richtiges menschliches Bedürfnis, darf darüber nicht entschieden werden. Aber wenn eine Anzahl von Menschen Bedürfnisse haben, die nach Gütern rufen, zu deren Herstellung Menschen ausgenützt werden müßten — das wird sich gerade im lebendigen Wirtschaftsleben ergeben, das auf seine eigenen Füße gestellt ist wird man diese Güter nicht herstellen können, für die einzelne Bedürfnisse haben. Es wird sich gerade darum handeln, zu erfassen, ob die Bedürfnisse ohne Vernachlässigung, ohne Schaden für die menschlichen Kräfte wirklich berücksichtigt werden können.

Wie denkt Dr. Steiner sich die praktische Verwirklichung der Dreigliederung? Ist es möglich, beim Bundesrat einzuwirken? Oder soll nach genügender Verbreitung der Gedanken ein Referendum stattfinden? Oder wird man abwarten müssen, bis Revolution und Bürgerkrieg die gegenwärtige Ordnung gestürzt haben werden?

Zunächst handelt es sich doch darum, ernst zu nehmen, daß hier eine neue Methode, wenigstens relativ neue Methode gegenüber den Methoden, die sonst eingehalten werden, eingeschlagen werden muß. Es handelt sich darum, daß nicht so, wie das bei den alten Parlamenten der Fall ist, Ziele angestrebt werden, sondern daß aus der Sache selbst heraus, ich möchte sagen, aus den Tendenzen des modernen Lebens heraus, erfaßt werde, was eigentlich die Menschen in ihrem Unterbewußtsein fordern, wenn sie sich auch nicht darüber klar sind. Und dann, wenn man in der Lage ist, das verständlich zu machen, um was es sich handelt, dann werden eine Anzahl von Menschen da sein, welche verstehen werden, was zu geschehen hat. Und wenn eine genügend große Anzahl von Menschen da ist, welche Verständnis dafür haben, was zu geschehen hat, dann werden sich, glaube ich, die Wege ergeben. Ich habe in meinen «Kernpunkten der sozialen Frage» gerade ausgeführt, wie an jedem Punkt des Lebens eigentlich angefangen werden kann mit dieser Dreigliederung, wenn man nur will, wenn man nur ihren Sinn wirklich versteht.

Daß nicht beabsichtigt wird, durch irgendeine Revolution herbeizuführen, was in der Dreigliederung lebt, das beruht auch auf einer geschichtlichen Betrachtung. Ich habe dabei eben das zu sagen, daß ja Umwandelungen auf geistigen Gebieten -- man nehme nur das Christentum — im Abendlande stattgefunden haben, daß auch auf politischen Gebieten Umwandelungen stattgefunden haben. Aber schon auf politischen Gebieten lassen die Umwandelungen gewisse Reste übrig. Heute denken die Menschen an wirtschaftliche Revolutionen — wir werden über die ganze Frage im fünften Vortrage noch zu sprechen haben, überhaupt in den nächsten Vorträgen —, aber solche Revolutionen werden alle das Schicksal haben, das die Revolution des europäischen Ostens ganz gewiß haben wird: nur Abbau zu treiben, nicht Aufbau, das die ungarische Revolution hatte, das besonders die deutsche Revolution vom 9. November 1918 hat, die ja vollständig im Versanden ist, die im Versanden ist aus dem Grunde, weil sich deutlich zeigt, daß es heute wahrhaftig nicht darauf ankommt, irgendwelche gewaltigen Umwälzungen herbeizuführen, sondern Ideen zu haben, durch welche normale haltbare Zustände herbeigeführt werden.

Bekennt sich eine genügend große Anzahl von Menschen zum Verständnisse einer solchen Sache, dann ergeben sich die Wege. Denn die Idee von der Dreigliederung des sozialen Organismus ist nicht nur ein Ziel, sondern sie ist eben selbst ein Weg. Aber es handelt sich darum, daß man nicht etwa sich auf den Boden stellt, auf den sich so manche Leute stellen. Ich habe es zum Beispiel in gewissen Gebieten erlebt, als ich die Dreigliederung auseinandergesetzt habe, daß die Leute auch mein Buch «Die Kernpunkte der sozialen Frage» gelesen haben. Sie haben das plausibel gefunden, was drinnensteht. Aber Leute aus dem radikalen Flügel der Linken haben gefunden: Ja, diese Dreigliederung ist sehr gut, aber da muß zuerst Revolution, Diktatur des Proletariats vorausgehen, dann werden wir auf die Dreigliederung zurückgreifen -- und recht wohlwollend ist das gesagt worden —; jetzt aber bekämpfen wir sie bis aufs Messer! -- Das war die Folgerung: Weil man eigentlich einverstanden ist, bekämpft man sie bis aufs Messer! Das ist mir ja vielfach entgegengetreten. Diese Dinge beruhen eigentlich durchaus auf einem falschen Denken: daß man irgend etwas machen kann, bevor Verständnis dafür geschaffen ist.

Besonders charakteristisch ist eine kleine Episode: Ich habe an einem Orte Süddeutschlands über diese Dinge gesprochen. Da trat ein Kommunist auf. Der Mann war eigentlich ein ganz netter Mensch. Aber er sagte ungefähr im Laufe seines Vortrags das Folgende zu seinen Zuhörern, er war auch ein ganz bescheidener Mensch nach seinem Oberbewußtsein, im Unterbewußtsein sehr, sehr erheblich weniger bescheiden: Sehen Sie, ich bin ein Schuhflicker. Ich weiß ganz gut, da ich ein Schuhflicker bin, daß ich nicht imstande bin, in der zukünftigen sozialen Gesellschaft ein Standesbeamter zu werden. Zum Standesbeamten, da braucht man einen, der dazu vorgebildet ist. — Aber der Mann, der hatte vorher in aller Ausführlichkeit seine Pläne entwickelt über die soziale Ordnung, woraus hervorging: zum Minister in dem Zukunftsstaate, dazu fühlte er sich wohl berufen — zum Standesbeamten nicht, wohl aber zum Minister!

Daß solche Denkweise herrscht, das könnte ich Ihnen noch aus manchem anderen netten Beispiel beweisen. Aber es zeigt eben, daß es sich darum handelt, daß zunächst einmal wirklich Verständnis Platz greife für dasjenige, was der Inhalt der Dreigliederung ist. Dann werden sich die Wege ergeben. Und man sollte hoffen, daß dieses Verständnis Platz greifen könnte, ehe es zu spät ist. Wenn nur ein wenig die heutigen Menschen sich aufrütteln könnten zu dem Verständnis desjenigen, was notwendig ist, dann würde es schon dahin kommen. Dann würde man auch nicht eigentlich fragen, ob man beim Bundesrat vorstellig werden soll durch ein Referendum und dergleichen, sondern man würde wissen: Sobald genügend viel Menschen da sind, ist die Sache auch da — wenn genügend viel Menschen sie verstehen. Das ist es im Grunde genommen, was das Geheimnis gerade einer Gesellschaft ist, die nach Demokratie strebt: daß die Sache da ist, wenn sie wirklich inneres Verständnis findet und wenn sie wirklich innerlich klar ist. Das ist es, worauf es ankommt.

Nun liegt die Frage vor:

Ist das Prinzip des Strafrechts nicht ein Überbleibsel?

Weiter:

Hat der Gedanke des Strafens eine Berechtigung gegenüber dem Gedanken der pädagogischen Besserung?

Es ist tatsächlich der Gedanke des Strafens einer der allerschwierigsten, und alle möglichen Antworten sind im Laufe der geschichtlichen Betrachtung gerade auf diese Frage gegeben worden. Auf einem solchen Boden, aus dem Ideen hervorgehen wie die der Dreigliederung des sozialen Organismus, ergeben sich auch gewisse Konsequenzen, die sich auf einem anderen Boden nicht ergeben. Alles einzelne, was innerhalb einer sozialen Ordnung geschieht, ist im Grunde genommen doch eine Konsequenz der ganzen sozialen Ordnung. So wie jedes Stück Brot, das ich erwerben kann, mit seinem Preis eine Konsequenz der ganzen sozialen Ordnung ist, so sind auch die Antriebe beim Strafen in der ganzen Struktur des sozialen Organismus drinnen begründet. Und gerade an dem Umstande, daß Strafen notwendig werden, gerade darinnen zeigt sich, daß im ganzen sozialen Organismus etwas ist, was eigentlich nicht drinnen sein soll. Wenn man, ich sage jetzt nicht, den dreigliederigen sozialen Organismus als solchen vertritt, sondern überhaupt aus solchen Impulsen eine praktische Weltanschauung entwickelt, aus der heraus man die Idee vom dreigliederigen sozialen Organismus gewinnt, dann ergibt sich eigentlich die Anschauung, daß man allerdings mit Bezug auf Strafe und Strafvollzug zu anderen Dingen kommen wird, und die Notwendigkeit des Strafens wird viel weniger eintreten, wenn solche Dinge sozial wirklich sind, wie sie zum Beispiel gerade in dem heutigen Vortrage gefordert worden sind. Das Strafrecht, das wie der Schatten eigentlich unsoziale Zustände begleitet, wird in sozialen Zuständen auf ein Minimum herunter reduziert werden können. Daher werden die Fragen, die heute auftauchen gegenüber dem Strafrecht, ob es ein Überbleibsel ist und dergleichen, auf einen ganz neuen Boden gestellt werden, wenn eine solche Umwälzung wirklich geschieht. Ich möchte sagen: Wenn der Mensch krank ist, so tut er gewisse Dinge; wenn er gesund ist, tut er andere Dinge. So ist es auch hier. Es weist hin die Notwendigkeit, zu strafen, auf gewisse Krankheitssymptome innerhalb des ganzen sozialen Organismus. Wenn man anstrebt, den sozialen Organismus gesund zu machen, so werden die Begriffe über Strafe, Strafrecht, Strafvollzug eben doch auf einen ganz anderen Boden gestellt werden können. Also ich möchte sagen: Man muß versuchen, in der ganzen Auseinandersetzung über die soziale Umwandelung die Antwort zu suchen auf dasjenige, was dann auch aus dem einzelnen, wie zum Beispiel Strafrecht oder Strafvollzug, wird.

Liegt es in der Urteilsfähigkeit jedes Menschen, zu bestimmen, wieviel Arbeitszeit ein bestimmter Produktionszweig erfordert?

Ja, urteilsfähig zu sein mit anderen Menschen zusammen, über solche Fragen zu entscheiden, ist etwas anderes, als das Liegen in der Willkür eines einzelnen Menschen. Wenn Sie meine «Kernpunkte der sozialen Frage» lesen — und ich werde ja auf das Arbeitsrecht noch zurückkommen in den Vorträgen —, dann werden Sie sehen, daß im dreigliederigen sozialen Organismus die Regelung von Art der Arbeit, von Zeit der Arbeit eine Angelegenheit des öffentlichen Rechtes werden soll, daß also das, was hier gefragt wird, geregelt werden soll gerade auf dem demokratischen Rechtsboden. Da handelt es sich also darum, daß eine solche Frage geregelt wird von jedem Menschen mit allen anderen Menschen des sozialen Organismus zusammen. Dazu ist der Mensch urteilsfähig, daß er mit den anderen zusammen über eine solche Frage eine Regelung vornehmen kann. Also es ist nicht berechtigt zu fragen: Liegt es in der Urteilsfähigkeit jedes Menschen, zu bestimmen, wieviel Arbeitszeit ein bestimmter Produktionszweig erfordert? — Das liegt ganz gewiß nicht beim einzelnen Menschen, in seiner Willkür; aber es liegt in der Möglichkeit, darüber ein öffentliches Urteil zu gewinnen durch demokratische Regelung und demokratische Majorität auf einem solchen Rechtsboden, wie ich ihn heute geschildert habe.

Müssen wir nicht zuerst das Seelische im Menschen abklären, bevor wir an die Ausführungen im großen in diesem Staate gehen?

Nun, vieles von dem, was hier gemeint ist, wird ja gerade Gegenstand des nächsten Vortrages sein. Aber, sehen Sie, die Idee der Dreigliederung des sozialen Organismus ist eine praktische Idee. Daher sieht sie auch alle Dinge von einem wirklichkeitsgemäßen Gesichtspunkte an. Es gibt heute viele Menschen, die sagen einfach: Nun, wir haben die soziale Frage, also muß sie gelöst werden, also muß man über ein Programm nachdenken, durch das die soziale Frage gelöst wird; heute haben wir soziale Zustände, die nicht wünschenswert sind, wir werden eine Lösung der sozialen Frage finden; dann werden sich morgen soziale Zustände herausbilden, die sozial wünschenswert sind. — So liegt die Sache aber nicht. In jener Entwickelung der Menschheit, die ich heute geschildert habe, hat sich eben die soziale Frage ergeben aus gewissen Seelenverfassungen, Leibesverfassungen und den Konsequenzen davon in bezug auf das soziale Leben. Sie ist da, die soziale Frage, und man kann sie nicht theoretisch lösen, kann nicht Gesetze geben, durch die die soziale Frage gelöst wird. Sie ist da und wird da bleiben. Sie wird immer da sein. Sie wird jeden Tag aufs neue aufgeworfen werden. Dafür müssen auch immer Einrichtungen da sein, durch die sie jeden Tag aufs neue gelöst werden wird. Also es handelt sich nicht darum, daß man die Sache so hübsch einteilt: Zuerst machen wir die Menschenseelen geeignet, dann werden wir sozial wünschenswerte Zustände herbeiführen. — Nein, es handelt sich darum, daß man die soziale Frage anerkennt, daß man versucht, in der Realität so etwas zu verwirklichen, wie es zum Beispiel der selbständige Rechtsboden oder der selbständige Geistesboden ist, wodurch die soziale Frage fortdauernd gelöst werden kann.


Ich habe in meinem Buche «Die Kernpunkte der sozialen Frage» mich dagegen verwahrt, daß man das, was ich gesagt habe über die Ähnlichkeit zwischen dem einzelnen menschlichen Organismus und dem sozialen Organismus mit Bezug auf die Dreigliederung als ein müßiges Analogiespiel ansieht. Ich wollte wahrhaftig nicht irgendein dem Meray oder dem älteren Schäffle entsprechendes Analogiespiel treiben zwischen dem menschlichen Organismus und dem sozialen Organismus. Aber was ich in meinem Buche «Von Seelenrätseln» ausgeführt habe, daß eine wirkliche Naturbetrachtung dazu kommt, den menschlichen Organismus als eine Zusammenwirkung von drei selbständigen Gliedern anzusehen, das erfordert ein Denken und eine Betrachtungsweise, die dann fruchtbar auch auf den sozialen Organismus angewendet werden können, aber nicht durch Übertragung, sondern gerade durch unbefangene Betrachtung des sozialen wie des natürlichen Organismus. Da ist manches, was man an dem einen und an dem anderen lernen kann.

Nicht wahr, die Menschen möchten den sozialen Organismus so betrachten, daß da Einrichtungen enthalten sind, die ja alles in Idealzuständen erhalten, daß alles in der besten Weise gemacht wird. Es wird nie gefragt, ob das auch möglich ist. Die Leute möchten ein Wirtschaftsleben begründen, in dem Einrichtungen sind, durch die nie Schäden entstehen können. Man bedenkt nicht, daß es sich im Leben eben um Leben handelt und nicht um Abstraktionen! Im Menschen, im natürlichen Organismus, ist zum Beispiel die Einrichtung, daß wir den Sauerstoff einatmen; der wird umgewandelt in Kohlensäure. Der Sauerstoff spielt eine Rolle im menschlichen Organismus durch gewisse Organe, die ihn so in Verbindung bringen mit anderen Stoffen, daß gewisse Funktionen des menschlichen Organismus vor sich gehen können. Ja, da müssen besondere Organe da sein, welche das eine tun. Würden nur sie da sein, so würden Schäden im Organismus entstehen. Diese Schäden muß man auch entstehen lassen, aber im Entstehen müssen sie verhindert werden. Das ist das Wesen des Lebendigen. Diejenigen, die sagen: Wir haben einen Wirtschaftsorganismus, gestalten wir ihn so, daß er durch sich selber funktioniert; dann brauchen wir neben diesem einen Rechts- oder einen Geistesorganismus — die reden geradeso wie diejenigen, die sagen: Es wäre doch viel besser von dem Schöpfer oder den Naturkräften, wenn man bloß einmal im Leben zu essen brauchte und dann der menschliche Organismus so eingerichtet wäre, daß das nicht immer wiederum zerstört wird und immer wieder von neuem gegessen werden muß. — Wenn es sich ums Lebendige handelt, handelt es sich um Absteigen und Aufsteigen der Prozesse. Ein Wirtschaftsleben, das wirtschaftlich richtig eingerichtet ist, das läßt Schäden entstehen gerade durch seine Tüchtigkeit; und im Entstehen, im Status nascendi, muß man gleichzeitig diese Schäden aufheben. Das kann man nicht durch den Wirtschaftsorganismus selber, sondern durch den danebenstehenden Geistes- und Rechtsorganismus. Die müssen da sein, damit sie im Entstehen die Schäden des Wirtschaftsorganismus aufheben. Das ist der Charakter des Lebendigen, daß die Dinge in reger Wechselbeziehung stehen.

Eine solche Betrachtung ist freilich viel unbequemer, ist aber eine solche, die mit den Wirklichkeiten rechnet, die nicht den Wirtschaftsorganismus so reformieren will, daß er sich selber aufhebt, selber zerstört. Es ist leicht zu sagen: Diese und jene Schäden sind entstanden aus der modernen Produktion, also schafft man sie ab, setzt eine andere ein. -- Nicht darum handelt es sich, einfach irgend etwas zu fordern, sondern zu studieren die Möglichkeiten eines lebendig Bestehenden. Und eine Möglichkeit ist diese, daß es in diesem einen Gliede, auf der einen Seite, gewisse Dinge hervorruft, die, wenn sie den einseitigen Prozeß nur verfolgen würden von diesem Organsystem aus, zum Tod des betreffenden Organismus führen würden. Andere Glieder des Organismus wirken entgegen, und schon im Status nascendi, im Entstehungszustande, wird Korrektur geübt durch das andere. So müssen die drei Glieder das Korrigieren aneinander üben. So ist es wirklichkeitsgemäß gedacht. Und wer sich wirklich heute mit der sozialen Frage beschäftigen will, der muß sich an wirklichkeitsgemäßes Denken gewöhnen. Wir segeln in die furchtbarsten Zustände hinein, wenn das verrenkte, karikierte Denken, das nichts zu tun hat mit Wirklichkeit, das Programme macht aus den menschlichen Leidenschaften, Emotionen heraus, überall Platz greift. Ein wirklichkeitsgemäßes Denken wird aber Wirklichkeit schaffen. Daher handelt es sich zunächst darum, ein wirklichkeitsgemäßes Denken zu gewinnen.