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Collection: GA328 OEUVRES COMPLETES DE RUDOLF STEINER – CONFÉRENCES SUR LA VIE SOCIALE ET LA TRIARTICULATION DE L'ORGANISME SOCIAL - La question sociale



Quatrième conférence
Zurich, 12 février 1919

L'évolution de la pensée et volonté sociales et les circonstances de l'humanité présente.

VIERTER VORTRAG
Zürich, 12. Februar 1919

Die Entwickelung des sozialen Denkens und Wollens und die Lebenslage der gegenwärtigen Menschheit

 


 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA328 075-103 (1977) 12/02/1919

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Original





Traducteur: FG Editeur: SITE


Peut-être les conférences que j'ai maintenant eu le droit de tenir ici au cours de la dernière et cette semaine ont -elles d'un certain point de vue attestées qu'il est justifié de dire : les circonstances de l'humanité présente sont profondément influencées par l'évolution qu'ont prises la pensée et la volonté sociale des temps récents jusque dans notre présent.
Peut-être plus qu'aujourd'hui maint ne le pressent, l'impulsion sociale intervient
dans la vie immédiate de l'humain particulier ; mais elle interviendra dedans toujours plus et plus. Elle deviendra déterminante tout de suite pour les forces du comportement le plus individuel. Et on pourra à peine comprendre correctement comme on se tient aujourd'hui dedans dans la vie sociale de l'humanité, laquelle est parcourue de vagues et pulsée par les impulsions sociales, quand on ne saisit pas des yeux, comme de deux origines sont en fait apparues de différentes couches d'humains la pensée et la volonté sociale au cours de la vie récente de l'humanité. Car la survie des origines jusque dans le présent, cela œuvre sur ce domaine en fait ainsi que ça donne socialement la forme à cette vie présente.

J'ai dans une des conférences rendu attentif là dessus, qu'on ne s'en sort pas, quand pour la compréhension d'une telle chose on regarde, simplement de la manière dont on a été habitué, la vie historique d'après le déroulement de cause et effet, ainsi que toujours on indique de ce qui suit sur ce qui s'est passé. J'ai tenté de rendre attentif à ce que cette vie historique de l'humanité dans son essence ou fond en rapport a certaines crises de l'évolution, mieux dit, sur l'être disponible de crises de l'évolution, est similaire à la vie de l'humain particulier. Dans la vie de l'humain particulier il n'y a aussi pas une progression en droite ligne, ainsi que toujours le suivant est sans un saut de l'effet du précédent.

On doit, pour repousser dans ses frontières de manière appropriée la pensée confortable, souvent mal comprise, que la nature ne ferait pas des bonds toujours de nouveau et à nouveau rendre attentif là-dessus comme des crises rentrent dans la progression en ligne droite de la vie individuelle, comme la crise de la sixième, septième année survient avec le changement de dentition, comme la crise intervient, qui semble comme sourcer vers en haut des sous-bassement élémentaires de l'organique dans la vie sexuelle. Et a qui est compétent dans le déroulement de la vie humaine, à lui se montrent de tels revirements de crise aussi dans les âges ultérieurs de la vie, quand aussi elles
ne se présentent pas de manière décisive comme les deux premières pour une observation superficielle.

Observer de tel revirement de crise dans la vie historique est nécessaire pour comprendre vraiment cette vie historique. Ainsi autant aussi l'actuelle humanité est encore peu disposée de regarder et tendre l'oreille sur de telles choses, ainsi il est tout de suite nécessaire dans le présent, dans la compréhension sociale de la vie que sera promue, de rendre radical attentif fortement à de telles choses. Un des derniers grands revirements – ainsi, j'ai exposé dans les conférences précédentes – dans le cours de l'évolution de l'humanité, nous avons à le décrire environ autour du tournant du 15 et 16es siècles. Et seulement parce qu'on n'observe pas assez profondément le déroulement historique des choses, on ne sait pas comme radicalement différent certes tout cela qui se passe dans l'âme humaine, ce qui dans l'âme humaine comme exigence, ce qui règne comme nostalgie après certaines satisfactions, comme cela s'est transformé vis-à-vis de ce qui était disponible à ce moment.

Maintenant rentre en même temps comme conséquence de ce revirement élémentaire de la récente évolution de l'humanité ce qu'on peut décrire ainsi qu'on dit : ce qui autrefois a vécu dans l'âme humaine elle-même comme impulsions sociales, qui alors ont conduit aux structures sociales de la société humaine, cela s'est vécu plus instinctif devant cette période. Les humains vivaient socialement ensemble à partir de certains instincts. Autour du temps indiqué entra à la place de la pensée et volonté sociale instinctive la saisie consciente d'impulsions sociales. Et monta lentement et progressivement de manière radicale de la circonstance de la moyenâgeuse et ancienne humanité, mais cela se différencie de la circonstance dans laquelle par cela l'humanité moderne se mute. Mais là nous voyons alors aussitôt comme avec le rehaussement des impulsions sociales de l'instinctif dans la vie consciente se montrent deux courants, deux courants d'issue du penser et vouloir social.


L'un entre par ces humains-là qui jusqu'aux jours d'aujourd'hui peuvent être nommés les couches de société dirigeantes, guides, de l'humanité. L'autre courant entre un peu plus tard, mais clairement différencié chez celui que nous décrivons aujourd'hui comme le monde prolétarien. Les cercles intellectuels bourgeois sont avec tous leurs intérêts de vie, lorsque le temps récent pousse vers le haut, alliés avec la récente structure d'État qui s'est progressivement formée vers le dehors des formes de la vie commune moyenâgeuse des humains. Ces cercles dirigeants bourgeois sont par leurs intérêts certes alliés avec cela que sous les trois membres que j'ai mentionnés pour l'organisme social, nous pouvons décrire comme le véritable État de droit, comme la véritable structure politique, laquelle provient soit instinctive ou consciente sur l'ordonnance de ce qui se rapporte au rapport d'humain à humain. Plus ou moins ainsi que se montrent les traditions du passé et aussi en certaines relations les récents rapports économiques, les cercles dirigeants bourgeois relient leurs intérêts avec ce qui est aujourd'hui encore tenu comme la seule structure sociale par beaucoup de gens, justement avec l'État.


Et en ce qu'ils passent consciemment de la vieille vie sociale instinctive à la vie sociale moderne consciente, elles pensent tout d'abord étatiquement au sens de l'État de droit. Et la vie de l'économie moderne devenant toujours plus compliquée, que
notamment par l'élargissement de l'horizon d'activité humain sur le monde entier elle devient toujours plus compliquée, les cercles dirigeants tentent de façonner cela dedans la structure d’État. Ils veulent dans une certaine mesure faire l’État toujours plus et plus comme gestionnaire. Cet effort prend un certain cours et nous voyons qu'a l'intérieur de certains cercles des branches particulières de l'économie seront toujours plus et plus incorporées à la structure étatique. J'ai rendu attentif la dernière fois sur de telles branches de l'économie. Ce qui est essentiel de ce côté est que la pensée sociale gagne par là, chez ces cercles, sa formation bien déterminée qu'ils veulent conquérir la vie de l'économie complique déferlante pour l’État auquel ils sont intéressés.

L'impulsion sociale se développe tout autrement à l'intérieur du prolétariat. Ce prolétariat moderne n’est pas engagé de la même manière avec ses intérêts à l'intérieur du véritable domaine étatique dans le développement vers le haut des temps récents. Il se tient, dans un certain rapport que je ne peux pas exposer ici plus loin par manque de temps – la chose est facile à deviner -, à l'écart de ce que les cercles bourgeois dirigeants représentent comme leurs intérêts à l’intérieur de cette structure d’État. Mais ce prolétariat agira tout de suite de manière radicale dedans la formation de la vie de l'économie. Tout son penser et vouloir se déroule de la manière que c'est comme un reflet de ce qui sera fait dans la vie de l'économie. Et ainsi, les impulsions sociales du prolétariat seront justement déterminées ainsi par les structures sociales de l'économie de l'humanité, de la vie de l'économie, comme les impulsions sociales des cercles dirigeants bourgeois et intellectuels seront déterminées par les impulsions de l’État de droit, des impulsions de la véritable structure politique. Et les deux courants se développent toujours plus et plus ainsi que justement vient au jour ce à quoi j'ai rendu attentif dans l'introduction de la conférence d'avant-hier, qu'un fossé, un abîme existe entre la configuration particulière du penser et ressentir social des cercles dirigeants bourgeois et des cercles prolétaires.

Car cela, disais-je, serait le plus tragique de la récente évolution dans l'actuelle formation des circonstances de l'humanité que cet abîme demeure, que si difficile soit
à trouver une compréhension, une compréhension mutuelle des deux couches de population caractéristiques. Ainsi devrait rentrer ce que nous pouvons voir maintenant : que les deux couches de la population s'opposent comme armées pour un combat pour la vie. Et l'essentiel dans ce combat, qui pour part se vit déjà, mais pour part premièrement se prépare, et qui, comme cela peut éclairer, n'atteint lui-même aujourd'hui que superficiellement la vie en société, qui prendra des formes gigantesques, l'essentiel est que d'un côté les cercles dirigeants bourgeois veulent conquérir plus et plus la vie de l'économie pour l’État, veulent conquérir avec cela d'une manière particulière, pour l’État, avec cette vie de l'économie, la prestation de travail et la force de travail du prolétariat lui-même, et que de l'autre côté le prolétariat veut conquérir l’État pour cela qu'il vit pour lui d'intérêt dans la vie de l'économie isolée.


Cela est pour l'essentiel le principe de base du combat, qui joue là dedans si plein de signification dans la circonstance de l'humanité actuelle. Et on a sur tout cela qui, ouvert, se passe dans la conscience, oubliée, laissée hors attention, j'aimerais dire, presser vers en bas dans le sous-conscient de l'âme humaine ce qui se cache en fait derrière ces deux impulsions que j'ai mentionnées. Ce qui veut se travailler vers le haut à cette surface de la vie humaine, depuis que le revirement à nature de crises au 15e siècle est rentré dans l'évolution de la récente humanité, cela montre tout d'abord pendant que l'autre très souvent justement se joue seulement masqué dans la conscience, ce qui creuse et agit et pulse dans la vie humaine : c'est l'aspiration après un plein faire-valoir de la personnalité humaine, ainsi que les époques anciennes ne l'on pas connu. Faire valoir de la personnalité humaine, ressenti de l'être humain en soi, cela est en fait le nerf de base de la question sociale, et cela s'habille seulement d'après ces différents rapports de vie dans les formes données qui donc tout de suite sont confirmées par qui a été mentionné. Et ainsi, cela pourrait venir qu'un combat, qui pris à la base est un combat pour l'obtention de la pleine dignité humaine chez tous les humains, serait lui-même devenu un combat de différents intérêts opposés, un combat de classes, un combat qui jette ses forces dans le présent d'une manière si fatale.


Que quelque chose de caché et masqué se dévoile dans cette récente évolution de l'humanité, cela a provoqué qu'on n'oriente pas le regard, ou mieux dit que jusqu'à présent on n'apprenne pas à orienter le regard sur ce dont il s'agit. À l'intérieur du temps, dans lequel les impulsions sociales ont œuvré instinctives, on pouvait aussi laisser l'organisme social se former instinctivement. Désormais, là les impulsions sociales sont entrées dans la conscience des humains, quant aussi en forme masquée, là est nécessaire, là c'est le plus important en rapport aux problèmes sociaux des temps récents, que compréhension sociale, compréhension pour la formation de l'organisme social rentre dans chaque âme humaine particulière, quand aussi cette compréhension n'a pas besoin d'être une savante, mais une telle qui vive dans le sentiment, dans la sensation et se vive en cela que l'humain particulier ressent comme cette ou telle nécessité, se placer dedans dans la société humaine.


C'est pourquoi c'est aujourd'hui si nécessaire de faire cela que je tentais de faire en ces conférences ; orienter le regard sur cela sur quoi tout tend dans l'aspiration de la récente humanité, mais qui en fait ne peut se presser à la surface aujourd'hui que par ces conditions particulières
 ; tourner le regard là dessus que l'organisme social doit devenir vraiment une structure vivante, une structure telle qu'on comprend dans ses conditions de vie, comprend toutefois vivant, pas théorique.
C'est pourquoi j'indique là dessus que la santé de l'organisme social dépend de ce que ne soit pas jeté comme des dés chaotiquement ce que sont les trois membres de l'organisme social : vie spirituelle dans la plus large étendue ; vie du droit ou politique, donc la vie de l’État
dans le sens le plus étroit, et la vie de l'économie. Par là d'abord les forces actives dans les trois membres expérimenteront leur nécessaire formation et leur nécessaire libération, ainsi que ces trois membres ne seront jamais aspirés l'un par les autres, mais qu'ils se déploient libre l'un à côté des autres et tout de suite en une certaine autonomie, comme j'ai déjà mentionné de différents points de vue, œuvre à côté les uns des autres et ensemble.
Les véritables tendances
de l'évolution humaines étaient orientées jusqu'à présent contre cette autonomie à partir de certaines conditions préalables. La différenciation de ce qui a été emmêlé l'un par l'autre, cela est maintenant la nécessaire question de vie en rapport au système social de l'humanité présente.

On a éprouvé de différents côtés du penser et sentir humain que, cela que je pense ici, toujours déjà, comme justement à la lumière de la conscience des impulsions sociales les humains commencèrent chacun selon leurs prédispositions spirituelles à penser ainsi ou ainsi sur les rapports de vie d’État et de vie de l'économie. Là nous voyons se former des ainsi nommées manières de penser sociales ou nationales économiques - comme on veut maintenant le nommer est indifférent. Cela ne peut pas être ma tâche d'exposer ici l'évolution de la pensée sociale dans les temps récents. Seulement, je veux rendre attentif à une chose, qui j'aimerais dire, éclaire fortement maint sur cela dont tout de suite il doit s'agir dans ces conférences.

Sous toutes les sortes de manière de penser, sortes de représentation en rapport à l'interdépendance des vies économique avec l'étatique et la spirituelle de l'humanité apparu aussi cela dans les temps récents, entra ce qu'on décrivait au 18e siècle comment l'ainsi nommée pensée nationale économique physiocratique. D'une pensée plus ancienne, qui à l'intérieur de l'organisme d’État voulait organiser davantage la vie de l'économie, se forma comme par un contraire nécessaire cette pensée physiocratique. Elle se forma ainsi qu'on voulu passer à cela, de ne pas tyranniser la vie de l'économie par la vie du droit de l’État, par la vie politique de la structure d’État au sens étroit, qu'on voulait laisser à la vie de l'économie ses propres lois naturelles, lui laisser les impulsions, desquelles elle vient quand simplement l'humain libre engage le jeu à partir de ses intérêts.

Là maints connaisseurs de ce système ont en fait parlé de ces choses très éclairantes, ce qui pourra
ainsi un être répété quelque peu. Les gens disaient : pourquoi en fait à l'intérieur de la structure d'état politique un système de lois devrait être formé, lequel règle la vie de l'économie ? Soit ces lois devront être les même que celles que se donne elle-même la vie de l'économie quand elle est laissée au libre jeu des forces, ou bien elles seront autres et lui seront opposées.
Dans le premier cas, quand ce sont les mêmes, alors elles ne sont pas nécessaires, alors on n'en a pas besoin, alors la vie de l'économie se donne ses propres lois, alors on n'a pas besoin d'atteler la vie de l'économie dans des lois d’État
particulières. Mais œuvrent les lois d’État contre la vie de l'économie, alors elles l'entravent, alors elles la restreignent, alors elles sont dommageables à celle-là.


J'aimerais dire : ce qui s'exprime dans ces deux principes contradictoires, cela est à cause de cela encore bien ancré dans beaucoup de têtes, parce que l'humanité moderne se croit aussi tant être pratique, avoir du sens pour la réalité, donc terriblement rongée par un certain sens pour d'abstraites, théoriques unilatéralités. Et testerait-on combien dans cela qui apparaît à beaucoup de gens comme la véritable vie pratique n'est pas autre chose qu'unilatéralité réalisée, théorise unilatérale réalisée, alors on butterait sur tant d'énigmes de vie et pourrait aboutir à une solution partielle de celles-ci.

Ce qui sonne plausible, ce qui sonne plus évident que quand je dis : soit les lois étatiques marchent dans la même direction que les économiques, alors on n'en a pas besoin, ou elles les contredisent, alors elles doivent nuire à la vie de l'économie. Mais on pense dans ces contraires seulement quand on considère l'organisme social comme quelque chose qui se laisse régler par concepts, par lois, par principes, par programmes, quand on ne peut prendre son essor à l'avis que l'organisme social est quelque chose qui doit avoir de la vie en soi, qui doit vivre par sa propre entité doit vivre.
Mais ce qui par son propre contenu de vie, par ses propres impulsions de vie prospère et pousse, cela a des contraires à soi dans la vie véritable. Et l'organisme social doit, s'il doit être un réel, un véritable, avoir des contraires en soi.

C'est pourquoi c'est correct, ce qui apparaît peut être tout de suite comme une absurdité à beaucoup d'âme du présent déterminées théoriquement : la vie étatique, pure juridique, pure politique doit tout de suite en une certaine manière limiter, œuvrer dans ses lois contre la vie économique afin que la vie de l'humanité qui n'est pas une pure économique, pas une pure juridique, mais est une économique, juridique et spirituelle, puisse avec cela se déployer ainsi que dans l'organisme humain particulier – j'utilise la comparaison encore une fois en ce que je rends attentif là dessus, pas comme si je voulais faire un jeu d'analogie de la physiologie et de la sociologie – le système de digestion se déroule pour lui-même d'une certaine manière relativement autonome et a près de lui le système rythmique, le système de la respiration, du cœur et les deux se limitent et se font frontière réciproquement dans leurs événements dans les processus vivants. Ainsi, il est nécessaire que soient placées l'un à côté de l'autre dans le véritable organisme social la vie de l'économie d'un côté et dans le sens étroit la vie d'état politique de l'autre côté, et doit se joindre à elles avec relative autonomie la vie de l'esprit, comme je l'ai à nouveau montré d'un autre point de vue la dernière fois.


Car cela repose sur ce qui suit : la vie économique a en soi de toutes autres forces que la vie de droit, avec laquelle elle doit collaborer afin que la vie d'ensemble de l'humanité puisse prospérer et de nouveau d'autres que la vie de l'esprit. On pourrait quand on voudrait amener plus ou moins en formes abstraites quelque chose de vivant concret, mais qui donc peut être à partir d'un côté, quand aussi unilatérales, font justement les choses compréhensibles, dire ce qui suit : dans la vie de l'économie, ainsi qu'elle consiste en production de marchandises, circulation de marchandise et dans la consommation de marchandises, il s'agit qu'apparaisse la formation de valeur correspondante de tout cela. Et cette formation de valeur se déroule pour l'essentiel ainsi que la valeur doit se former, quand l'organisme social doit être sain, sous l'influence de l'impulsion que la consommation de ce que l'organisme économique prend en compte pour lui – qu'on le nomme marché ou autrement – et tient prêt pour la consommation, que la consommation de la marchandise en soit une la plus appropriée possible, une la plus avantageuse possible. Une marchandise devra être présentée à la consommation ainsi, quand l'organisme social est sain, qu'elle se laisse entièrement consommer de la manière la plus appropriée, qu'elle dure aussi longtemps que c'est approprié ou est consommé aussi vite que c'est approprié, mais que toutefois son contenu entier tende vers la consommation.

La force de travail humaine serait-elle pleinement attelée dans la vie de l'économie – et cette vie de l'économie peut seule se développer sainement sous le point de vue de la formation de prix des marchandises d'après la consommation correspondante -, ainsi serait remplie ce que la façon de voir marxiste du prolétariat prétend, que la force de travail humaine serait elle-même marchandise et ainsi serait donc cette force de travail comme chargée avec le caractère de marchandise dans l'organisme social de devoir recevoir sa valeur en cela qu'elle serait pleinement consommée de manière appropriée. Le membre économique de l'organisme social a aussi, quand on le regarde plus exactement, la tendance en soi, de consommer l'humain et le membre économique de l'organisme social suivrait-il seulement ses propres lois, ainsi serait justement consommée la force de travail humaine à l'intérieur de ce membre. En cela que les cercles dirigeants bourgeois ne faisaient pas attention à cela, ils ont tout de suite contribué à ce qu'a l'intérieur de la vie de l'économie et de la position du prolétariat dans la vie de l'économie s'est formé le nerf de la question sociale moderne, qui montre sa vie dans ce que tout de suite le prolétaire moderne le prend tout particulièrement en compte pour soi, de dévêtir sa force de travail du caractère de marchandise. Comme aussi sinon maint se masque dans la question sociale et que beaucoup de cela vit dans le sous-conscient du prolétaire moderne, c'est un facteur essentiel que l'âme prolétaire aspire après la libération du caractère de marchandise de la force humaine de travail.

Mais cela ne peut jamais se passer quand le processus économique se déroule d'après ses lois, et quand on fait de l'ensemble de la vie de l'État seulement une seule économie comme c'est l'idéal de beaucoup de socialistes modernes. Cela ne peut aussi pas se passer alors quand d'une manière unilatérale on veut faire l'État de lui-même gestionnaire. Un rapport sain se donne seulement alors quand on laisse à l'organisme économique en lui-même déployer sa relative efficacité, quand, comme cela se passe aussi dans la vie organique naturelle, on laisse dans une certaine mesure pour cela un système, afin qu'il forme pleinement les forces reposants en lui, se déployer en une relative autonomie et alors limite, améliore cela qui se montre par un système reposant à côté, relativement autonome, comme dans l'organisme naturel un système se développe pleinement, amène aussi à l'expression ses dommages, mais ces dommages seront perpétuellement paralysés par le système reposant à côté. Là-dessus repose toute efficacité organique. Là-dessus doit aussi reposer la guérison de l'organisme social.

Il ne s'agit pas véritablement pour moi comment on définit l'organisme économique, comment on définit l'organisme étatique, comment on pense sur eux, mais de cela il s'agit pour moi, que ces deux membres doivent être là à côté l'un de l'autre, et que l'un doit se développer relativement autonome, doit même développer la tendance de ses dommages à partir de lui-même afin que l'autre système à côté doive se développer et doit paralyser cela qui sinon se donnerait comme dommages dans l'autre système. Cela est l'essence du vivant ; cela doit aussi être l'essence de l'organisme social vivant. Alors seulement, quand le corps économique s'administre lui-même, administre à partir de ses propres conditions, le corps juridique, politique s'administre lui-même à nouveau à partir de ses propres conditions, qui se montrent par la régulation de rapport de droit d'humain à humain, et quand alors un de chaque de ces organismes se régule autonome, en ce qu'ils œuvrent à côté l'un de l'autre et l'un sur l'autre, alors se constitue une vie sociale saine. La question sociale n'est pas à résoudre par une théorie, pas à résoudre par des lois, mais est seulement à résoudre par cela que dans la vie vivante une des sortes de force, l'économique, à côté de l'autre, l'étatique, la politique œuvre dans l'immédiat, dans l'existence propre, que les deux se développent à côté l'une de l'autre et l'une dans l'autre, mais se développent ainsi que chacune d'elles se tient là dans son autonomie.

C'est cela qui à partir d'une certaine nécessité historique a été raté. Car ce qui s'est passé est naturellement nécessaire. Il ne devrait pas ici être donné une critique, mais un exposé des rapports. Mais c'est cela qui doit se manifester comme une nécessité dans le progrès des humains pour la vie du présent et du proche futur. Il s’avérera que, pour la guérison de l'organisme social, la volonté de la vie de l'économie deviendra une associative, qu'elle s'articule ainsi que donc les coopératives, syndicats et ainsi de suite, ayant les capacités pour cela, se formeront ainsi qu'elles ôtent ce qu'elles ont encore repris des préjugés, que tout devrait se former d'après le vieux modèle de l’État de droit.


Ce qui vit encore de vie d’État
dans ces associations servant la vie de l'économie, cela devra être enlevé. Elles doivent devenir des corporations servant purement la vie de l'économie, de telles corporations qui reposent sur le rapport qu'à l'intérieur de la vie de l'économie l'humain doit avoir, que ce soit aux bases de nature de la vie de l'économie, que ce soit à la nécessité de valoriser telle ou telle sorte de matière première, d'amener les marchandises en circulation, d'amener le rapport de consommation dans le rapport correct à la production et au commerce et ainsi de suite. La complexité de la vie humaine le rend aujourd'hui nécessaire qu'un système entier d'associations et coalitions, qui seront provoquées par les bases naturelles de la vie de l'économie, se formeront sous les humains, de telles associations et coalitions, lesquelles consistent dans l'essentiel sur la compréhension de la valorisation des bases naturelles et de l'introduction des marchandises à consommation appropriée. Justement, la complexité exige que sur ce domaine tout un système d'association se forme. Mais ces associations seront formées à partir des rapports de l'humain avec les forces économiques elle-mêmes. Là se montrera que justement se présente cela toujours de nouveau et à nouveau pénètre dans la véritable vie, que la vie de l'économie tend à cela : de consommer l'humain.

À côté de la vie de l'économie doit se tenir la vie politique qui au contraire de la vie de l'économie qui a à reposer sur des associations, doit plus reposer sur la démocratie, car la vie étatique englobe le rapport d'humain à humain. Elle englobe tout cela à quoi, de mêmes manières, tous les humains ont leur intérêt. Comme la vie de l'économie repose sur la valeur économique des biens, ainsi la vie de l’État aura à reposer pour l'essentiel sur le droit public, qui fonde dans la loi ou fonde la loi, qui détermine là le rapport de l'humain parmi les humains. Et en interaction vivante devra être limité, borné, ce qui se développe hors la vie de l'économie. Des bases pour cela sont donc disponibles, mais une raison sociale énergique doit saisir sa place.

Cela devra s'en former qui avant toutes choses protège l'humain devant ce qui, de la vie de l'économie
est orientée sur la consommation, d'être consommé soi-même en rapport à sa force de travail.

Justement ainsi comme formation de prix, formation de valeur est l'essentiel à l'intérieur du corps économique, justement ainsi la formation du droit concret, du droit public concret, cela régule la vie de l'humain à côté de l'humain est l'essentiel dans la vie de l’État politique. Peut-on en rapport au sentiment, qui existe vis-à-vis du droit public, ne pas dire aujourd'hui encore qu'il ne s'est pas encore résolu à une clarté toute particulière ?

On peut beaucoup, beaucoup chez ceux-là qui devraient savoir la chose, qui devraient avoir beaucoup réfléchi et fait des recherches sur la chose, on peut beaucoup se renseigner chez ceux-là,
ce qui est à comprendre sous l'essence du droit, du droit qui donc toujours se présente en formes concrètes. On reçoit en premier un concept des difficultés qui sont disponibles là quand par exemple on s'embarque sur une telle question comme celle-ci fut, que mon ami décédé Ludwig Laistner a placé à la base de sa thèse de doctorat, « Le droit à la punition ». Cela peut tout seul devenir une question, en quoi consiste le droit de la société humaine à la punition dans le droit concert.

On peut beaucoup tenter, pour s'approcher de l'impulsion du droit. En particulier en notre temps actuel, où des plus différents côtés sera tant parlé de droit, cela repose donc sur la main, de toujours vouloir de nouveau et à nouveau se rapprocher de cela qu'est en fait l'essence du droit. Quand on essaye de venir là derrière, sur quoi un tel droit concret repose – aussi le droit de possession est fondé sur un droit ; le rapport de possession fonde sur le droit d'utiliser une parcelle de sol ou une quelque chose exclusivement pour soi avec directive d'éloignement de l'autre -, l'objet du véritable membre politique du corps social est, ainsi les uns ne trouvent absolument rien d'autre que cela finalement retourne donc au pouvoir.

Les autres trouvent que cela retournerait sur un sentiment humain originel. On vient donc bien trop facilement, quand on veut se pousser la chose au corps, sur des formes vides. Sans que je puisse m'embarquer
ce qui donc prendrait des heures - sur une pleine justification, j'aimerais quand même dire cela que le droit fonde donc un certain rapport de l'humain à une chose quelconque, une chose ou un processus ou du genre ou une somme de processus, avec exclusion d'autres humains. Sur quoi cela repose-t-il en fait maintenant qu'on peut développer le sentiment : un quelque humain ou un peuple aurait un droit sur cela qu'on a en vue ? Et on ne reçoit là donc, quand on se donne ainsi tant de mal, rien d'autre que cela qu'on peut se dire : dans la vie publique, le droit fonde cela que la condition préalable à le droit d'exister, que celui, qui a la permission d'orienter son activité à une chose ou un processus ou une série de processus, fait cela avec la plus grande vraisemblance plus au sens de l'ensemble de l'humanité qu'un quelque autre.


Dans l'instant où on a le sentiment qu'un quelque quelqu'un amène en rapport à une chose ou à quelque chose d'autre plus à l'expression de l'utilité de l'ensemble de l'humanité, que quand un autre utilise cette chose ou arrive dans ce rapport, ainsi on peut reconnaître le droit sur la chose au concerné. Cela sera donc aussi dans l'essentiel, ce qui dans le sentiment de l'humanité donnera le décisif, quand maintenant les grandes questions de droit de la vie internationale rentrent dans l'être-là, dans le
véritable être-là. On reconnaîtra pleinement le droit sur un certain territoire à ceux-là chez qui existe la vue qu'au sens du bien de l'ensemble de l'humanité tout de suite ce peuple pourra administrer le territoire le plus fructueusement, le plus sûrement.


Ainsi on vient à cela que dans le système d’État démocratique peuvent tisser et fluer les impulsions qui doivent orienter la vie d'humain à humain, qui, que ce serait dans l'assurance du travailleur, serait-ce en quelques autres assurances, qui sont là pour la protection des dommages de la vie économique, en tout cela doit vivre comme le fondement du droit duquel j'ai parlé. Et une compréhension, mais maintenant pas une compréhension pour une quelque définition générale du droit, mais une compréhension pour l'efficacité du droit dans le cas particulier concret, c'est cela qui doit entrer dans le but d'une saine vie sociale de l'humanité. Cette vie du droit, cette vie de l’État politique dans le sens étroit, le deuxième membre d'un organisme social sain, ce sera aussi cela qui seul reconduira à la frontière le véritable point de croisement, aimerai-je dire, de la question sociale moderne, pas par quelque réalisation de vues théoriques et principes et programmes, mais par la vie immédiate, notamment le point que j'ai auparavant décrit comme l'exigence du prolétariat moderne : dévêtir la force de travail de l'humain du caractère de marchandise.



À cela est toutefois nécessaire qu'on comprenne aussi, j'aimerais dire, comprenne à partir des fondements ce dont il s'agit à la participation du travail humain dans la vie humaine générale, dans la structure qu'a la société humaine. À nouveau cela demanderait des heures quand je voudrais ici fonder une loi sociale fondamentale du travail humain ; intuitif, je crois, et instinctif chaque humain, qui voit relativement à travers la vie, peut comprendre ce que je vais exprimer maintenant. J'ai essayé, déjà au début du siècle dans un essai sur la question sociale qui cette fois-là est paru dans ma revue « Luzifer-Gnosis » paraissant autrefois, de tout de suite rendre attentif sur cette loi sociale fondamentale. Mais on prêchait autrefois et prêche sur beaucoup de choses dans ce domaine aussi aujourd'hui encore à de sourdes oreilles, malheureusement.

Cette loi consiste là dedans, que personne, aussi loin qu'il fait partie du corps social, de
l'organisme social, ne travaille en réalité pour lui-même. Il faut souligner, aussi loin que l'humain fait partie de l'organisme social, il ne travaille pas pour lui-même. Chaque travail que l'humain fourni ne peut jamais retomber sur lui, aussi pas en son réel bénéfice, mais il peut seulement être fournit pour les autres humains. Et cela que les autres humains fournissent, cela doit revenir à nous-mêmes. Ce n'est pas purement un altruisme à promouvoir éthiquement, qui vit dans ces choses, mais c'est simplement une loi sociale. Nous ne pouvons pas du tout autrement, justement aussi peu comme nous pouvons conduire notre sang autrement, que d’œuvrer ainsi dans la circulation de l'activité humaine que notre activité vienne à l'avantage de tous les autres, et l'activité de tous les autres vienne à notre avantage, que jamais notre propre activité retombe sur nous même.

Aussi paradoxal que ça sonne, quand vous examinez quel véritable processus de circulation fait le travail humain dans l'organisme social, vous trouverez : il sort de l'humain, il vient à l'avantage de l'autre, et cela que les uns ont de la force de travail, cela est le résultat de la force de travail d'autres. Comme dit, aussi paradoxal que ça sonne, c'est vrai. On peut justement aussi peu vivre de son propre travail dans l'organisme social qu'on peut terminer de se manger soit même pour se nourrir.

Bien qu'au fond la loi est très facile à comprendre, nous pouvons lui objecter : quand maintenant je suis un tailleur et parmi les habits que je fabrique pour les autres, je me fais aussi une fois un costume moi-même, alors j'ai donc utilisé ma force de travail sur moi-même ! - Cela est seulement une illusion, comme absolument c'est toujours une illusion quand je crois que le résultat du travail personnel retombe sur moi. En ce que je me fais une robe, un pantalon ou du même, je ne travaille en réalité pas pour moi, mais je me mets dans la situation de continuer à travailler pour d'autres. C'est cela que le travail humain a comme fonction purement par une loi sociale à l'intérieur de l'organisme social. Qui transgresse cette loi, il travaille contre l'organisme social. C'est pourquoi on travaille contre l'organisme social quand on continue à réaliser cela qui s'est montré dans la récente vie historique, qu'on laisse vivre le travailleur prolétarien des bénéfices de sa force de travail.

Car ce n'est aucune vérité, c'est une non-vérité cachée, réalisée, par les moyens de liaison sociaux qui se presse comme destructrice dedans la vie de l'économie.
C'est cela, mais qui dans la vie de l'économie pourra seulement être réglé quand cette vie de l'économie se développe autonome et à côté d'elle relativement autonome se développe le politique, l'étroite vie d’État, qui continuellement arrache à la vie économique la possibilité de conduire le travail humain sur lui-même.
À l'intérieur du système de droit sera obtenu dans la compréhension sociale correcte que le travail humain reçoive cette fonction qu'il doit recevoir à la mesure du véritable déroulement de la vie dans l'organisme social. L'organisme économique pour lui-même a toujours la tendance, de consommer la force de travail de l'humain. La vie du droit doit toujours assigner sa position altruiste conformément à
la nature à la force de travail, et c'est toujours nécessaire à nouveau, par de nouvelles législations démocratiques concrètes, d'arracher toujours nouvellement à cette vie économique ce que la vie économique veut réaliser en non-vérité, et toujours sur le neuf arracher vers dehors la force de travail humaine des griffes de la vie de l'économie sur les chemins du droit public.
Tout de suite ainsi que
doivent collaborer le pur système digestif avec la vie respiratoire-circulatoire en ce que sera accueilli par le sang circulant ce qu'incorporera le système digestif, ainsi doivent œuvrer l'un à côté de l'autre, agir l'un sur l'autre ce qui se passe dans la vie de l'économie et ce qui se passe dans la vie du droit, sinon l'un et l'autre ne prospèrent pas. Le pur État de droit quand il veut devenir gestionnaire, paralyse la vie de l'économie ; l'organisme économique, quand il veut se conquérir l’État, tue le système, la vie du droit public.



C'est cela que j'aimerais encore ajouté aux dits des précédentes conférences pour la fondation de la nature triarticulée (NDT Dreigliedrigkeit) de l'organisme social. En ce que les cercles dirigeants bourgeois avaient dans une certaine mesure orienté comme hypnotisés le regard seulement sur l’État, l’État leur devint quelque chose comme une idole. L'attention n'a pas été dirigée sur cette nécessaire différenciation de l'organisme social en trois membres.
Et ainsi cela est venu que dans les temps récents la vie de l'esprit a aussi été aspirée par les États, par la vie politique dans le sens le plus étroit. Ainsi que la circulation de marchandise repose dans la vie de l'économie sur formation de prix
et de valeur, ainsi que la vie à l'intérieur de l'organisme social politique repose sur la vie du droit, ainsi repose toute vie spirituelle sur l'immédiat contenu du produit (NDT de ce qui est produit). Et réfléchissez seulement quelle différence puissante est entre la vie de l'économie et la vie spirituelle. Dans la vie de l'économie tout dépend de cela que la marchandise sera poussée à la consommation appropriée. La production spirituelle serait-ce sur le domaine du système d'éducation, d'école, serait-ce sur le domaine de l'art, serait-ce sur un quelque autre domaine spirituel, placer la production spirituelle en rapport avec le concept de la consommation est tout simplement une absurdité. On ne le peut pas. On ne peut pas placer ce qui est produit spirituellement dans la même ligne que ce qui circule dans le processus économique. C'est cela, qui a aussi œuvré, que la l'aspiration par exemple du système scolaire par l’État, le système universitaire par l’État et semblable, est devenu dans l'évolution moderne un facteur paralysant, maintenant aussi paralysant au sens réel. Et c'est cela qui doit rendre l'humanité attentive que cette vie de l'esprit devra être à nouveau libérée, désenchaînée.
Et j'ai déjà rendu attentif là dessus qu'à ce membre spirituel de l'organisme social maintenant aussi doit être compté ce qu'aujourd'hui encore semblera à maints
maintenant aussi un paradoxe, la véritable pratique du jugement de droit pénal et privé. Aussi étrange que ça sonne, aussi là il y a déjà une tendance dans la vie moderne, qui ne sera seulement pas correctement jugée. Ce qui toujours plus et plus par une psychologie justement ratée a été pris en compte pour la justice, c'est cela qui tend vers un principe non encore reconnu, mais nécessairement à reconnaître de l'incorporation de l'action de droit pénal et privé dans le membre spirituel, qui à nouveau avec relative autonomie se tient là, aussi avec relative autonomie se tient là vis-à-vis de toute la vie qui se développe comme la vie politique plus étroite, qui se développe comme la vie du droit public, de la législation. Certes, il sera par exemple a chercher le voleur dans le futur par ce qui se montre dans le deuxième membre, dans le membre politique. Mais quand c'est cherché, alors il sera condamné par un juge, auquel il se tient en vis-à-vis en un rapport humain individuel.



Sur cette question peut aussi seulement juger peut être celui qui, à partir de l'histoire comme moi, qui vous parle maintenant, des années, des années durant a pu observer un territoire, où était vraiment difficile, de gouverner unitairement, et où donc, j'aimerais dire, on voulait gouverner étatiquement unitairement : sur un territoire comme en Autriche. Là on pouvait observer, ce que ça aurait donné quand par-dessus les frontières linguistiques une juridiction aurait été là ; quand malgré les frontières de langue le bohémien vivant en secteur allemand aurait pu choisir le juge voisin tchèque ou bohème de l'autre côté, l'habitant bohème à nouveau son juge dans le secteur allemand. On a vu comment ce principe a agit salutaire dans l'aspiration à des associations scolaires malheureusement restée à son début.

Là-dedans repose quelque chose, j'aimerais dire, comme un lourd cauchemar aujourd'hui encore sur l'âme de celui qui a participé à cette vie autrichienne, que cet œuf de Colomb n'a pas été trouvé : le libre choix du juge et la vivante collaboration du plaignant, du juge et de l'inculpé, à la place du juge à partir de l'état politique centralisé, qui ne peut être donnant la mesure seulement non pour la justice, mais pour la recherche et la remise du voleur ou alors pour l'exécution du jugement.


Aussi paradoxal que cela sonne aujourd'hui encore à l'humanité, le rapport de l'humain à son juge en rapport de droit pénal et privé doit être incorporé au membre spirituel autonome. Déjà avant-hier j'ai rendu attentif là dessus que l'administration extérieure ne dépendra pas du choix (NDT ou de l'élection) des personnes dans le membre spirituel de l’État. Qui peut regarder dedans les rapports modernes, celui-là se dévoile aussi cela, que la vie la plus intérieure de science et art et tout spirituel devient dépendant de cela de quoi cela n'a pas le droit de devenir dépendant, quand ce membre spirituel ne peut pas se développer en relative autonomie à côté des deux autres membres. Il apparaît aujourd'hui encore à beaucoup comme quelque chose de paradoxal, quand maintenant je dis en récapitulant que chacun de ces domaines devrait avoir une certaine souveraineté, son propre système de représentativité, sa propre législation (NDT ou compétence législative), qui a poussée à partir de ses conditions, qui poussent des rapports d'association dans le domaine économique, donc ont son administration, sa compétence législative autonome. Un domaine social déterminé poussera de manière démocratique de l'humanité d'ensemble pour le véritable état politique, dans lequel sera réglé le rapport de l'humain à l'humain, le rapport à l'économie, le rapport à la vie spirituelle ; mais sans que sera intervenu dans les deux à partir des lois de l'État, et des forces actives dans la vie spirituelle elle-même se donnera l'articulation aussi de l'administration pour la vie spirituelle. À un degré encore beaucoup plus haut la vie spirituelle vraiment moderne pourra être émancipée, dans un plus haut degré que ce fut le cas en des temps anciens, alors que la seule vie spirituelle qui venait en considération pour beaucoup d'humains, consistait en vie religieuse, à partir de laquelle s'est donc aussi formé le système scolaire, la vie universitaire.

Certainement l'intervention du système de l’État moderne a été nécessaire, pour renvoyer ce qui des formes de religion vieillies et des administrations vieillies, ne leur revenait plus. Mais à partir de la vie moderne elle-même doit à nouveau se développer la vie de l'esprit autonome. Cela est donc tout de suite déjà, ce qu'une orientation de science de l'esprit, comme elle repose à la base de ces considérations sociales ici, doit prendre en compte pour elle, ce qu'elle doit prendre en compte des bases, parce qu'elle sait que l'ensemble de la véritable vie de l'esprit productive, aussi ce qui par exemple se vit dans des inventions techniques, idées techniques, que cela peut seulement se développer avec vraiment des impulsions guérissantes pour l'humanité quand cela se développe du spirituel vivant, autonome, indépendamment des deux autres membres de l'organisme social. L'esprit aura seulement de la manière correcte la force de propulsion à la productivité dans l'humain quand cette vie de l'esprit est relativement autonome. On peut travailler du chapeau, théoriser, imaginer des choses, ma foi aussi ainsi que cela s'est admirablement passé d'une certaine orientation dans la technique moderne et la science de la nature, notamment dans leurs méthodes, aussi inventer, mais la véritable idée productive, qui est si productive qu'elle sert le vrai progrès de l'humanité et en même temps le vrai salut de l'humanité, cette idée pourra seulement être mise au monde à l'intérieur d'une vie de l'esprit placée sur elle-même.

On est encore tellement éloigné aujourd'hui de ce qu'en fait je pense ici et ce qui devra nécessairement être compris quand la question sociale devrait être placée sur une base guérissante que maintes gens m'ont rétorqué quand je leur ai expliqué cela : oui, cela est donc seulement en un sens moderne de nouveau une rénovation de la vieille idée platonicienne de tripartition du corps social en trois statuts : statut nourricier, statut défensif, statut enseignant – Non, cela n'est aucune rénovation de cette vieille idée platonicienne, mais cela est en certain rapport le radical contraire de cela, et il s'agit de cela. Car entre ce qui pouvait être pensé platoniquement comme quelque chose de grand en Grèce et encore pour des temps plus tardifs, et ce qui devra aujourd'hui être pensé pour le salut et la guérison de l'organisme social, repose la grande, à nature de crise, césure d'humanité autour du 15e siècle. Cette fois là, aux temps platoniciens, l'articulation de l'organisme social était une telle qu'on répartissait les humains d'après des états (NDT ou des castes). L'articulation de laquelle je parlais ici, celle-là n'articule pas les humains, elle articule l'organisme social ; elle articule cet organisme social ainsi, que sous conditions un humain peut être dans tous les trois membre, peut faire le correspondant, mais par cela que l'organisme social est articulé, il n'est pas dans la situation d'agir dedans de n'importe quelle manière dommageable d'un membre dans l'autre, pas une fois alors quand, comme cela s'est passé très souvent dans les parlements modernes, le même humain ma foi comme agriculteur se tient en même temps dans un parti étatique. Aujourd'hui c'est encore possible qu’il inaugure une représentation d'intérêts par de quelconques associations , que dedans la vie de droit vienne une représentation d'intérêts économiques. J'ai la dernière fois fourni un exemple où tout un état a été noyauté par une telle représentation d'intérêts.

Cela sera hors de question. Mais ce que je
décris comme triarticulé dans l'organisme social sain, cela c'est l'organisme social isolé de l'humain. L'humain sera tout de suite autonome par cela, sera tout de suite dévêtu du caractère d'un esclave de l'organisme social que pas des classes d'humains, des couches d'humains se tiennent là comme membres, mais que l'organisme social sera lui-même articulé. Cela indique en même temps là-dessus que cette pensée qui repose à la base de cela est véritablement une à la mesure de la réalité, est éloignée de tout ce que j'ai avant hier décrit comme spiritualité d’attroupement (NDT Schwarmgeisterei).

Cette spiritualité d'attroupement apparaît donc chez les plus différents partis. Elle est tout autant disponible en cercles bourgeois comme du côté de la social-démocratie. Et cette spiritualité d'attroupement saisit alors les humains quand toujours de nouveau et à nouveau ils ne développent aucune intuition de ce que l'organisme social en tant que tel peut en fait ambitionner quand il est sain. Toujours de nouveau et à nouveau la pensée sociale souffre sous l'influence du sentiment, de l'idée, comme si pouvait être ambitionné immédiatement, par un quelque programme, un organisme social qui provoque le bonheur de l'humanité ou la satisfaction de l'humanité ou de ce genre. Cela ne pourra pas être ambitionné immédiatement. Ce qui pourra être ambitionné immédiatement, cela est un organisme social capable de vie, un tel, qui a justement en soi des forces vivantes de la vie. Placé dans un tel organisme, vivant dans un tel organisme, l'humain peut d'abord fonder son bonheur. Cela a de tout autres soubassements. Mais ces soubassements, ceux-là devront être libérés de leur enchaînement. Et ils seront seulement libérés quand un organisme capable de vie repose à la base. Ainsi qu'en un organisme vraiment capable de vie l'âme peut se développer, être en lui de manière appropriée, ainsi en un organisme social capable de vie (peut se développer) une humanité heureuse, satisfaite, docile au travail et ayant des raisons au travail (NDT arbeitsverständige). C'est de cela qu’il s'agit pour la guérison de l'organisme social.

Un coup d’œil sur ce que nous avons vécu dans une époque catastrophique peut aussi, j'aimerais dire, d'un point de vue international et d'un point de vue historique plus grand confirmer comme ce que ce que je mentionne ici, comme ces trois membres, est une véritable nécessité pour la forme de vie présente de l'humanité et la forme de vie de l'humanité pour le proche futur. J'aimerais dire, avant que cette terrible catastrophe, qu'on appelle une guerre, ait éclatée sur l'humanité, était atteinte la culmination du jeter-comme-des-dès l'un dans l'autre et emmêler l'un dans l'autre des trois membres qui doivent se différencier. Et tout de suite par là que ces trois membres ne pouvaient pas œuvrer en relative autonomie à côté les uns des autres, par cela est beaucoup rentrer de ce qui au véritable sens doit être compté au point de départ et aux causes de cette catastrophe guerrière. On a donc seulement besoin d'indiquer sur peu. Le regard de tous les humains était orienté là-dessus comment la guerre a pris son point de départ de la relation de l'État autrichien aux conditions des Balkans, nommément à la Serbie.


Qui était initié aux conditions autrichiennes depuis des décennies, celui-là savait juger comment
les rapports économiques, qui jouèrent entre l'Autriche et le Sud-est européen, étaient croisés de manière non naturelle avec les rapports qui, relativement autonomes, auraient du se développer à côté d'eux, avec les purement politiques, et comme par cet amalgame, par cela que maintenant les rapports politiques devaient décider pour eux-mêmes sur quelque chose qui était profondément fondé sur des rapports économiques, une contrevérité réalisée se constitua et explosa.

Comme la chose serait devenue autre – je peux seulement évoqué cela à la fin de la conférence d'aujourd'hui -, quand le rapport de tels états voisins aurait été conforme à la tri-articulation, quand par-dessus la frontière le rapport aurait été un pur politique, reposant sur base démocratique et isolée des autres membres, de la même façon qu'est sinon la forme de gouvernement. Mais quand maintenant corrigeant, harmonisant par dessus la frontière autonome les facteurs économiques et spirituels auraient agit, là aurait été répandu sur le système des états, des ainsi nommés états quelque chose comme harmonie d'intérêts et raccordement d'intérêts (NDT Interessenverquickung), où toujours l'un corrige l'autre, où pas l'un peut unilatéralement provoquer une explosion.
Des rapports sains par dessus les frontières apparaîtraient par cette tripartition
(NDT ici bien « tripartition ») dans le rapport international des peuples.

Et à nouveau, comment l'humanité internationale a orienté le regard sur l'Allemagne, que donc a précédé dans les déclarations de guerre, au moins extérieurement. Qui est initié en ce domaine, celui-là sait, comment le malheur s'est produit. On a très souvent dit, en juillet et août, dans les jours fatals que la politique avait échoué à côté de la véritable conduite de guerre, à côté de l'armée. Mais politique et armée sont là où les deux font des choses qui marchent ensemble. Elles ne sont pas à séparer sans plus. Elles peuvent seulement se déployer de manière saine quand elles œuvrent à l’intérieur de l'un, la structure étatique dans un organisme social triparti. Sinon la politique devra nécessairement au moins dans un des membres prendre un caractère unitaire. Elle culminera à un moment déterminé dans le militaire ou dans le non-militaire.
Car ce qui dans sa nature, quand c'est aussi raccordé
par erreur humaine avec d'autres systèmes, doit être unitaire, cela ne peut pas se répandre vers dehors l'un corrigeant l'autre.
Dans ce terrible contexte de peur duquel à grandi à partir de cela à Berlin que dans les derniers jours de juillet et les premiers d'août, là a agit la pression rassemblée sur un seul système qui aurait dût être répartie. Cela se pressa ensemble sous la responsabilité d'un seul système, ce qu'un seul système n'a jamais le droit de porter
pour le salut de l'humanité. Les conditions concrètes l'enseigneront tout de suite quand ces choses seront une fois examinées libres de préjugés et non prévenues.
Oh, combien d'absurdité a tout de suite été dites en rapport à la politique et à l'administration militaire ! Il a donc été dit tant d'absurdités dans les dernières
quatre années et demie ! Je veux seulement en exposer une : parce que dans un membre insécable de l'organisme social politique et stratégie peuvent œuvrer en paix, ainsi la politique ne peut jamais influencer cette stratégie de manière saine, quand la stratégie est amenée à ne se tenir que sur elle-même. On a dit, se référant toujours de nouveau et à nouveau à une phrase de Clausewitz : la conduite de la guerre serait la poursuite de la politique avec d'autres moyens. - Je ne veux pas me répandre en critiquant sur cette phrase, aussi loin qu'elle se tient en rapport de toute l'explication guerrière. Mais ainsi, comme les messieurs, qui toujours de nouveau et à nouveau ont utilisé cette phrase – ça a aussi été des dames -, là elle a à peu près justement autant de sens, que quand on dit : le divorce est la poursuite du mariage avec d'autres moyens.

Une absurdité de ce genre a été produite d'une pensée non naturelle, qui à nouveau est intervenue non naturelle dans les conditions réelles. Quand on regarde impartial au travers les choses, on verra comme tout se serait déroulé autrement. Évidemment, ce qui s'est passé est historiquement nécessaire, et cela qui devra être exprimé, soit valoir comme impulsion pour l'avenir, mais hypothétiquement on peut donc dire, comment tout se serait déroulé autrement quand la structure des relations internationales européennes auraient été construites sous l'influence de la triarticulation sociale. On dira : cela qui est venu, est venu par les rapports d'alliances. Mais les rapports d'alliance n'auraient jamais pu se présenter sous l'influence de la triarticulation sociale. La fin de telles formations d'alliances comme étaient celles qui ont conduit aux malheurs des dernières quatre années et demie, est alors là quand les humains s'orientent au sens de la triarticulation de l'organisme social sain.


Ce que j'explique ici, c'est absolument penser dans un sens réel, c'est pensé à partir de la réalité. C'est pourquoi j'ai aussi toujours dit quand je me suis efforcé jadis pendant les années d'horreur de rendre attentif de manière appropriée sur la triarticulation à des positions d'autorité : ce qui est réel, change de jour en jour, et il pourrait évidemment être que quand les conditions auront de nouveau changées, je doive parler autrement sur ces choses. Je disais aux gens :

ce qui sera exposé ici n'est pas un
programme, n'est pas un idéal, cela prend sa source de l'observation de ce qui veut se réaliser dans les dix, vingt prochaines années en Europe du centre et de l'est, absolument en Europe. Vous avez le choix, soit d'appliquer la raison aujourd'hui, ou aller au-devant de révolutions et cataclysmes.

Cela a déjà commencé et cela se montrera encore d'autres manières. Mais aujourd'hui, j'aimerais répéter ce que j'ai aussi dit d'après un autre point de vue lors de ces occasions. J'ai toujours dit : qui est un utopiste, un théoricien, qui ne pense pas à partir de la réalité, mais à partir ce certaines exigences abstraites ou impulsions de parti, celui-là a un intérêt à ce que ce qu'il donne comme un programme ou du genre, serait aussi exécuté ainsi comme il le donne dans le détail. Il ne s'agit pas de cela à ces choses que j'ai à représenter – ainsi, je parlais cette fois-là. Il se pourrait aujourd'hui – disais-je et cela je dis encore aujourd'hui -, que de la formulation de ce que je représente, ne reste pas pierre sur pierre. Car il ne s'agit pas de cela qu'une quelconque chose pensée sera réalisée, mais que la réalité soit empoignée à un point. Alors on trouvera, en ce qu'on l'empoigne, comment elle a à continuer. Il pourrait s'établir dans les réalisations supplémentaires que toutes les formulations devraient être autres. Il ne s'agit pas de cela quand on n'est pas un utopiste, pas un esprit rêveur que les choses seront exécutées littéralement, mais que soit vraiment commencé à un endroit. Et a un tel endroit où devra être commencé, je voulais rendre attentif et veut encore aujourd'hui rendre attentif, avant que cela devienne entièrement trop tard, avant que les instincts humains soient déchaînés si loin qu'un accord entre les humains ne serait plus possible peut être sur des décennies.



C'est pourquoilaissez-moi exprimer cela pour la fin, bien qu'au sens étroit cela n'appartienne pas à ma conférence – je pense aussi qu'aujourd'hui celui qui est relié avec son âme de quelque façon n'a pas seulement la tâche d'exprimer les choses, mais d'utiliser tous les moyens pour les amener à la compréhension des contemporains.
Car c'est donc ce que nous pouvons faire en tout premier : appeler à le la compréhension sociale mutuelle. Beaucoup a été gâté, gâté sur les plus différents domaines du monde par ce qu'une pensée à courte maille comme je l'ai ici récemment caractérisée, a été proclamée dans le monde, que n'a pas
été pensé le correct au bon moment.
C'est pourquoi je dois saluer avec un certain contentement que cela a été possible, tout de même à partir des conditions difficiles, d'atteindre quelque chose en relativement peu de temps aussi en rapport à des effets pratiques des idées exposées ici . De telles personnalités chez lesquelles en certaine manière, si j'ai le droit de dire ainsi, le feu a commencé qui ici a été développé comme examen
de la réalité de la question sociale, elles se sont embarquées là dessus d’œuvrer à ce qu'au moins sur ce domaine, sur lequel le malheur peut être le meilleur enseignant, se présente une compréhension pour ces choses.
Toutefois, j'aimerais le décrire comme un bonheur particulier, quand ici sur domaine suisse, où relativement est encore une possibilité pour une tranquille objectivité, tout de suite à cause de la possibilité de cette objectivité tranquille pouvait aussi se présenter une compréhension plus profonde, allant à ce qu'on considère la nécessité qu'a la compréhension sociale réciproque de l'humanité sera faite quelque chose dans le sens indiqué dans ces quatre conférences. Tout de même, sous les douleurs et dans les douleurs, qu'on peut avoir par le déroulement de tant d'événements
et sur le destin de tant de membres de l'humanité aujourd'hui, cela peut être accompli avec une certaine satisfaction, que le malheur a quand même appris quelque chose à maints humains. Ainsi, cela pouvait se passer – permettez-moi que j'introduise cela parce que tout de même cela peut être significatif, quand on veut traiter pas purement abstrait, mais concret de la question sociale -, qu'un appel, dans lequel j'ai incarné en courtes phrases que ce que j'ai représenté ici en détail, qu'un appel qui en fait est déterminé pour une action dans le monde entier, a donc jusqu'à présent trouvé l'entrée des cœurs de ceux qui en Allemagne, et Autriche allemande sont durement mis à l'épreuve par le malheur et sont dans une certaine mesure instruits par le malheur.
J'ai dans cet appel tout de suite tenté d'expliquer comment l'empire allemand alors qu'il a été fondé, tomba avec sa fondation dans ce
temps où les possibilités d'évolution de l'humanité récente auraient demandées dans le sens le plus éminent d' aller vers de nouvelles tâches sociales par une telle création.

On s'est même adonné à de petites choses de manière étendue ; seul tout de suite on n'a pu voir ce qui aurait incombé à cet empire de donner son cadre un contenu approprié à partir des forces d 'évolution de l'humanité moderne qui maintenant vont une fois vers cette triarticulation.
Et est venu de cela que le monde restant se plaça ainsi à cette Europe du centre.
Comment le reste du monde pouvait-il comprendre la justification de cette fondation d'empire particulière quand rien ne provenait de cette fondation d'empire qui indiquait, irréversible, son droit à l'intérieur des processus de l'humanité !

C'est pourquoi j'ai cru comme un programme correct, quand j'ai maintenant le droit de dire - mais vous savez de ce qui s'est passé : ce n'est pas un programme, c'est une réalité -, c'est pourquoi j'ai cru avoir le droit de formuler en un appel à l'humanité, une tâche qui à présent pourrait grandir à l'humanité européenne qui donc se tient devant la nécessité d'une nouvelle construction. Et tout de même, on pouvait vivre avec satisfaction que jusqu'à hier midi cet appel avait déjà trouvé plus de signatures en Allemagne que l’appel unilatéral des quatre-vingt-dix-neuf intellectuels de funeste mémoire, que sont disponibles pour cet appel par dessus cent signatures en Allemagne et jusque hier midi plus de soixante-dix en Autriche allemande. Je mentionne cela parce que je j'aimerai parler à partir de la réalité et par cela rendre attentif là dessus que maintenant avec ce que je crois qui est nécessaire dans le processus de développement, je ne sois pas aussi là tout seul quand il s'agit de faire valoir cela pour le réciproque rapport des humains les uns entres les autres.



Et ainsi devra être œuvré plus loin tout d'abord sur le chemin d'une véritable explication sociale. Car celle-ci est la prochaine chose. L'humanité se tient une fois aujourd'hui en rapport à une grande partie du monde civilisé devant la nécessité de se placer le problème social devant les yeux. Elle devra résoudre un problème – laissez-moi exprimer cela pour la fin -, en ce que lui est au plus haut degré inconfortable aux habitudes de penser. Beaucoup d'humains veulent encore admettre qu'on aurait besoin d'une transformation des institutions, une transformation aussi de la structure sociale.
Mais tout l'esprit des conférences duquel m'autorise ici de parler, tout cet esprit n'a-t-il pas prouvé qu'une autre chose est encore nécessaire ?
Quand des dirigeants prolétariens cultivés marxistes toujours de nouveau et à nouveau soulignent que la parole marxiste est vraie : les philosophes ont interprété, expliqué le monde ; mais il ne s'agit pas seulement d'expliqué le monde d'après des pensées, mais de transformer -, ainsi cela
est malgré tout vis-à-vis des exigences décisives actuelles de l'époque, pas seulement une moitié, peut être pas une fois un quart.
Cela qui est nécessaire, c'est qu'on n'applique pas seulement les pensées sur une quelque transformation d'institutions, de structures sociales, mais que c'est même nécessaire, de transformer les pensées elles-mêmes. Seulement sur des pensées nouvelles, transformées pourra se développer un organisme social sain. Des institutions, cela les humains les laisse encore facilement leur plaire ; penser autrement, cela leur plaît moins. Mais cela est nécessaire. Et tant qu'on ne considérera pas cela, on ne s'orientera
pas vers la guérison de l'organisme social et ne pourra collaborer à la guérison de l'organisme social .

Les réflexions et décisions humaines importantes concernant la question sociale ont longtemps frappé à la porte. Maintenant elle s'est introduite dans la maison de l'humanité. Elle ne pourra plus être jetée dehors, car elle est une magicienne en un certain rapport vis-à-vis de l'évolution de l'humanité. Elle n'oeuvre pas seulement sur les structures extérieures de l'humanité, elle agit ainsi que les humains se tiennent devant la nécessité, soit de transformer leur penser ou ajouter au malheur disponible un malheur toujours multiplié.

Avec cela on évoque ce qui est nécessaire, ce qui devra nécessairement être réalisé, quand il ne devrait pas devenir trop tard dans la relation, que les instincts, comme je disais déjà, prennent des formes telles qu'une compréhension entre les différentes classes humaines ne serait plus possible. Alors seulement nous allons au-devant de la guérison de l'organisme social quand nous ne voulons pas fondé le guérissant, que nous espérons, sur de vieilles pensées, mais quand nous décidons audacieux et plein de force d'appliquer notre force à des nouvelles pensées à la poursuite de l'évolution de l'humanité ; car de nouvelles pensées seules fleuriront les possibilités de vie de nouvelles générations. Ainsi, on devrait penser que la question sociale est montée, qu'elle a grandi les conditions de la vie moderne. Mais on pensera faux quand on croira qu'on pourrait la résoudre momentanément de quelque façon.
Le socialisme n'est pas quelque chose qui est une solution ou une tentative de solution, non, la vie moderne et la vie de l'humanité dans le futur ont fait
remonter la question sociale. Elle sera toujours là. Dans l'organisme social vivant, elle devra toujours être résolue. La vie de l'humanité future devra consister en partie là-dedans que de chaque génération sur la nouvelle la question devra être résolue, résolue par de nouvelles formes, cette question, qui est montée une fois, mettant en garde et bouleversant l'entière structure de la pensée et volonté humaine, la question sociale. Tournons-nous vers elle avec tous nos cœurs, avec toutes nos âmes, sinon elle se tournera vers nous, mais alors toutefois pas pour notre salut, mais pour notre malheur.




Vielleicht haben die Vorträge, die ich nun hier halten durfte im Laufe der vorigen und dieser Woche, von einem gewissen Gesichtspunkte her bezeugt, daß es gerechtfertigt ist zu sagen: Die Lebenslage der gegenwärtigen Menschheit ist tief beeinflußt von der Entwickelung, welche das soziale Denken und Wollen im Laufe der neueren Zeit bis zu unserer Gegenwart herein angenommen hat. Mehr vielleicht, als heute mancher ahnt, greift herein der soziale Impuls in das unmittelbare Leben des Einzelmenschen; aber er wird immer mehr und mehr noch hereingreifen. Er wird bestimmend werden geradezu für die Kräfte des allerindividuellsten Verhaltens. Und man wird kaum richtig verstehen können, wie man heute drinnensteht im gesellschaftlichen Leben der Menschheit, welches durchwellt und durchpulst ist von den sozialen Impulsen, wenn man nicht ins Auge faßt, wie aus zwei Ursprüngen eigentlich im Laufe des neueren Lebens der Menschheit das soziale Denken und Wollen ver­schiedener Menschenschichten entstanden ist. Denn das Fortleben der Ursprünge bis in die Gegenwart herein, das wirkt auf diesem Gebiete eigentlich so, daß es sozial diesem gegenwärtigen Leben die Gestaltung gibt.

Ich habe in einem der Vorträge darauf hingewiesen, daß man nicht auskommt, wenn man zum Verständnis einer solchen Sache einfach in der Weise, wie man das gewohnt worden ist, das geschichtliche Leben geradlinig nach dem Verlaufe von Ursache und Wirkung betrachtet, so daß man immer mit Bezug auf das Folgende auf das Vorhergehende hinweist. Ich habe versucht, darauf aufmerksam zu machen, daß dieses geschichtliche Leben der Menschheit in seinem Wesen oder Grund mit Bezug auf gewisse Krisen des Verlaufs, besser gesagt, auf das Vorhandensein von Krisen des Verlaufs, ähnlich ist dem Leben des einzelnen Menschen. Im Leben des einzelnen Menschen gibt es auch nicht eine geradlinige Fortentwickelung, so daß immer das Folgende ohne einen Sprung die Wirkung des Vorhergehenden ist. Man muß, um den bequemen, oft mißverstandenen Gedanken, die Natur mache keine Sprünge, in der entsprechenden Weise in seine Grenzen zurückzuweisen, immer wieder und wiederum darauf aufmerksam machen, wie in dem geradlinigen Fortschreiten des individuellen Lebens Krisen eintreten, wie die Krise des sechsten, siebenten Jahres mit dem Zahnwechsel auftritt, wie die Krisis eintritt, die aus den elementaren Untergründen des Organischen wie heraufzuquellen scheint in dem Geschlechtsleben. Und wer kundig ist des Verlaufes des menschlichen Lebens, dem zeigen sich solche krisenhaften Umschwünge auch in den späteren Lebensaltern, wenn sie auch für eine oberflächliche Betrachtung nicht in einer so entschiedenen Weise wie die zwei ersten auftreten.

Solche krisenhaften Umschwünge zu beobachten im geschichtlichen Leben der Menschheit ist notwendig, um dieses geschichtliche Leben wirklich zu verstehen. So sehr auch die heutige Menschheit noch abgeneigt ist, auf solche Dinge hinzuschauen und hinzuhorchen, so notwendig ist es gerade in der Gegenwart, in der soziales Verständnis des Lebens gefordert wird, auf solche Dinge radikal stark hinzuweisen. Einen der letzten großen Umschwünge — so habe ich in den vorhergehenden Vorträgen ausgeführt — im Entwickelungsgange der Menschheit haben wir zu verzeichnen etwa um die Wende des 15., 16. Jahrhunderts. Und nur weil man nicht tiefgehend genug den geschichtlichen Hergang der Dinge beobachtet, weiß man nicht, wie radikal verschieden namentlich alles das, was in der menschlichen Seele vorgeht, was in der menschlichen Seele als Forderung, was als Sehnsucht nach gewissen Befriedigungen herrscht, wie das sich verändert hat gegenüber dem, was vor diesem Zeitpunkt vorhanden war.

Nun tritt zu gleicher Zeit wie im Gefolge dieses elementarischen Umschwunges der neueren Menschheitsentwickelung das ein, was man so bezeichnen könnte, daß man sagt : Was früher in der Menschenseele selbst gelebt hat als soziale Impulse, die dann zu der sozialen Struktur der menschlichen Gesellschaft geführt haben, das hat sich vor diesem Zeitraum mehr instinktiv ausgelebt. Die Menschen lebten gesellschaftlich zusammen, ordneten ihre Angelegenheiten gesellschaftlich aus gewissen Instinkten heraus. Um die angedeutete Zeit tritt an die Stelle des instinktiven sozialen Denkens und Wollens das bewußte Ergreifen sozialer Impulse. Es tritt langsam und allmählich auf; aber es unterscheidet sich die Lebenslage, in die sich dadurch die moderne Menschheit versetzt, in radikaler Weise von der Lebenslage der mittelalterlichen und alten Menschheit. Da aber sehen wir dann sogleich, wie mit dem Heraufnehmen der sozialen Impulse aus dem instinktiven in das bewußte Leben deutlich sich zwei Strömungen, zwei Ausgangsströmungen des sozialen Denkens und Wollens zeigen.

Die eine tritt ein bei denjenigen Menschen, die bis zum heutigen Tage genannt werden können die führende, die leitende Gesellschaftsschicht der Menschheit. Die andere Strömung tritt etwas später, aber deutlich von der anderen unterschieden bei dem ein, was wir heute als die prole­tarische Welt bezeichnen. Die leitenden intellektuellen bürgerlichen Kreise sind mit allen ihren Lebensinteressen, als die neuere Zeit heraufrückt, verbunden mit dem, was als die neueren Staatsgebilde sich allmählich herausgebildet hat aus den Formen des mittelalterlichen Zusammenlebens der Menschen. Diese bürgerlich leitenden Kreise sind durch ihre Interessen namentlich mit dem verbunden, was wir unter den drei Gliedern, die ich angeführt habe für den sozialen Organismus, be­zeichnen können als den eigentlichen Rechtsstaat, als das eigentliche politische Gebilde, welches entweder instinktiv oder bewußt auf Ordnung alles dessen ausgeht, was sich auf das Verhältnis von Mensch zu Mensch bezieht. Mehr oder weniger so, wie die Traditionen der Vergangenheit und auch wie in gewisser Beziehung die neueren wirtschaftlichen Verhältnisse sich ergeben, verbinden die leitenden bürgerlichen Kreise ihre Interessen mit dem, was von vielen Leuten als das einzige soziale Gebilde heute noch gehalten wird, eben mit dem Staate. Und indem sie bewußt übergehen von dem alten instinktiven sozialen Leben zu dem modernen bewußten, denken sie zunächst staatlich im Sinne des Rechtsstaates. Und das immer komplizierter werdende moderne Wirtschaftsleben, das namentlich durch die Ausbreitung des menschlichen Betätigungshorizontes über die ganze Welt immer komplizierter wird, das versuchen diese leitenden Kreise hereinzugestalten in das Staatsgebilde. Den Staat wollen sie gewissermaßen immer mehr und mehr zum Wirtschafter machen. Diese Bestrebung nimmt einen gewissen Fortgang, und wir sehen, daß innerhalb gewisser Kreise einzelne Wirt­schaftszweige immer mehr und mehr dem staatlichen Gebilde einverleibt werden. Ich habe auf solche Wirtschaftszweige das letzte Mal hingewiesen. Was wesentlich ist von dieser Seite, ist, daß das soziale Denken bei diesen Kreisen seine ganz bestimmte Gestaltung dadurch gewinnt, daß sie erobern wollen für den Staat, für den sie interessiert sind, das hereinbrechende komplizierte Wirtschaftsleben.

Ganz anders entwickelt sich innerhalb des Proletariats der soziale Impuls. Dieses moderne Proletariat ist in der Heraufentwickelung der neueren Zeit nicht in gleicher Weise mit seinen Interessen engagiert in­nerhalb des eigentlichen staatlichen Gebietes. Es steht in einer gewissen Beziehung, die ich hier nicht weiter ausführen kann wegen Mangel an Zeit — die Sache ist leicht zu durchschauen —, abseits von dem, was die bürgerlich leitenden Kreise als ihre Interessen vertreten innerhalb des Staatsgebildes. Aber es wird gerade in der radikalsten Weise dieses Proletariat hineingetrieben in die Gestaltung des Wirtschaftslebens. Sein ganzes Denken und Wollen verläuft in der Weise, daß es ist wie eine Abspiegelung dessen, was im Wirtschaftsleben durchgemacht wird. Und so werden die sozialen Impulse des Proletariats ebenso bestimmt von den sozialen Gebilden der Ökonomie der Menschheit, des Wirtschaftslebens, wie die sozialen Impulse der bürgerlich leitenden und auch der intellektuellen Kreise bestimmt werden von den Impulsen des Rechtsstaates, von den Impulsen des eigentlichen politischen Gebildes. Und beide Strömungen entwickeln sich immer mehr und mehr so, daß eben das zutage tritt, auf das ich in der Einleitung zum vorgestrigen Vortrage hingewiesen habe, daß eine Kluft, ein Abgrund besteht zwischen der besonderen Konfiguration des sozialen Denkens und Fühlens der leitenden bürgerlichen und der proletarischen Kreise. Denn das, sagte ich, sei das Tragischeste der neueren Entwickelung in der gegenwärtigen Ausge­staltung der Lebenslage der Menschheit, daß dieser Abgrund besteht, daß so schwer ein Verständnis, ein gegenseitiges Verständnis der beiden charakterisierten Bevölkerungsschichten zu finden ist. So mußte eintre­ten, was wir nun kommen sehen : daß wie gerüstet zu einem Lebenskampfe die beiden Bevölkerungsschichten sich gegenüberstehen. Und das Wesentliche in diesem Kampfe, der zum Teil sich schon auslebt, zum Teil aber erst sich vorbereitet, und der, wie es einleuchten kann, selbst noch heute nur oberflächlich das gesellschaftliche Leben ergreift, der gigantische Formen annehmen wird, das Wesentliche ist, daß auf der einen Seite die bürgerlich leitenden Kreise das Wirtschaftsleben mehr und mehr erobern wollen für den Staat, miterobern wollen für den Staat mit diesem Wirtschaftsleben in einer eigentümlichen Weise die Arbeits­leistung und Arbeitskraft des Proletariats selbst, und daß auf der anderen Seite das Proletariat den Staat erobern will für das, was es für sich an Interessen im abgesonderten Wirtschaftsleben erlebt.

Das ist im wesentlichen das Grundprinzip des Kampfes, der da so bedeutungsvoll hereinspielt in die Lebenslage der gegenwärtigen Menschheit. Und man hat über alldem, was offen im Bewußtsein vorgeht, vergessen, außer Aufmerksamkeit gelassen, ich möchte sagen, ins Unterbewußte der menschlichen Seele hinuntergedrängt das, was sich hinter diesen zwei Impulsen, die ich angeführt habe, eigentlich verbirgt. Das, was sich heraufarbeiten will an die Oberfläche des menschlichen Lebens, seitdem der krisenhafte Umschwung im 15. Jahrhundert in der Entwik­kelung der neueren Menschheit eingetreten ist, das zeigt erst, während das andere vielfach eben nur im Bewußtsein maskiert sich abspielt, was wühlt und treibt und pulst im menschlichen Leben : das ist das Streben nach einer vollen Geltendmachung der menschlichen Persönlichkeit, so wie es die früheren Zeiten nicht gekannt haben. Geltendmachung der menschlichen Persönlichkeit, Fühlen des Menschenwesens in sich, das ist eigentlich der Grundnerv der sozialen Frage, und das kleidet sich nur nach diesen verschiedenen Lebensverhältnissen, die ja gerade mit dem Angegebenen bestimmt sind, in die gegebenen Formen. Und so konnte es kommen, daß ein Kampf, der im Grunde genommen ein Kampf ist um die Erringung der vollen Menschenwürde bei allen Menschen, ein Kampf gegenseitiger verschiedener Interessen selbst geworden ist, ein Kampf der Klassen, ein Kampf, der in die Gegenwart herein in einer so verhängnisvollen Weise seine Kräfte wirft.

Daß sich etwas verbirgt und maskiert offenbart in dieser neueren Ent­wickelung der Menschheit, das hat verursacht, daß man den Blick nicht richtete, oder besser gesagt, daß man bis jetzt nicht lernte, den Blick zu richten auf das, worauf es ankommt. Innerhalb der Zeit, in der die sozia­len Impulse instinktiv gewirkt haben, konnte man den sozialen Organis­mus auch instinktiv sich ausgestalten lassen. Nunmehr, da die sozialen Impulse in das Bewußtsein der Menschen eingetreten sind, wenn auch in maskierter Gestalt, da ist es notwendig, da ist es das Wichtigste in bezug auf das soziale Problem der neueren Zeit, daß soziales Verständnis, Ver­ständnis für die Gestaltung des sozialen Organismus in jede einzelne Menschenseele einzieht, wenn dieses Verständnis auch kein gelehrtenhaftes zu sein braucht, sondern ein solches, das in der Empfindung, im Gefühle lebt und das sich auslebt in dem, was der einzelne Mensch als diese oder jene Notwendigkeit empfindet, sich hineinzustellen in die menschliche Gesellschaft.

Deshalb ist es heute so notwendig, das zu tun,
was ich versuchte, in diesen Vorträgen zu tun : den Blick hinzuwenden auf das, worauf alles in dem Streben der neueren Menschheit tendiert, was aber eigentlich erst heute sich durch die besonderen Verhältnisse an die Oberfläche drängen kann; den Blick darauf hinzuwenden, daß der soziale Organismus wirklich ein lebendiges Gebilde werden muß, ein solches Gebilde, das man in seinen Lebensbedingungen versteht, allerdings lebendig versteht, nicht theoretisch. Deshalb wies ich darauf hin, daß die Gesundheit des sozialen Organismus davon abhängt, daß nicht chaotisch durcheinandergewürfelt werde das, was die drei Glieder des sozialen Organismus sind: geistiges Leben im weitesten Umfange, Rechts- oder politisches Leben, also das Staatsleben im engeren Sinne, und das Wirtschaftsleben. Erst dadurch werden die in den drei Gliedern wirksamen Kräfte ihre notwendige Ausbildung und ihre notwendige Befreiung erfahren, so daß diese drei Gebilde nicht je eines von den anderen aufgesogen werden, sondern daß sie sich frei nebeneinander entfalten und gerade in gewisser Selbständigkeit, wie ich von verschiedenen Gesichtspunkten aus schon ausgeführt habe, nebeneinander- und zusammenwirken. Gegen diese Selbständigkeit war bisher aus gewissen Voraussetzungen heraus die eigentliche Tendenz der menschlichen Entwickelung gerichtet. Differenzierung dessen, was durcheinandergewirrt worden ist, das ist nun die notwendigste Lebensfrage mit Bezug auf das soziale Wesen der gegenwärtigen Menschheit.

Empfunden hat man von gewissen Seiten des menschlichen Denkens und Empfindens das, was ich hier meine, schon immer, als eben im Lichte der Bewußtheit der sozialen Impulse die Menschen anfingen, je nach ihren geistigen Voraussetzungen so oder so zu denken über die Verhältnisse von Staatsleben und Wirtschaftsleben. Da sehen wir sogenannte soziale oder nationalökonomische — wie man es nun nennen will, das ist gleichgültig — Denkweisen, Denkgewohnheiten sich herausbilden. Es kann nicht meine Aufgabe sein, die Entwickelung des sozialen Denkens in der neueren Zeit hier darzustellen. Nur auf eines will ich aufmerksam machen, das, ich möchte sagen, stark beleuchtet manches, auf das es gerade hier in diesen Vorträgen ankommen muß.

Unter den mancherlei Denkweisen, Vorstellungsarten in bezug auf die Verflechtung des wirtschaftlichen mit dem staatlichen und dem geistigen Leben der Menschheit trat auch dasjenige auf in der neueren Zeit, was man im 18. Jahrhundert als das sogenannte physiokratische national­ökonomische Denken bezeichnete. Aus einem früheren Denken, das innerhalb des Staatsorganismus das Wirtschaftsleben mehr organisieren wollte, bildete sich wie durch einen notwendigen Gegensatz dieses physiokratische Denken aus. So bildete es sich aus, daß man dazu übergehen wollte, das Wirtschaftsleben nicht zu tyrannisieren durch das Rechtsleben des Staates, durch das politische Leben des Staatsgebildes im engeren Sinne, daß man das wirtschaftliche Leben seinen eigenen natürlichen Gesetzen überlassen wollte, es überlassen wollte den Impulsen, denen es verfällt, wenn einfach der Mensch frei heraus aus seinen Interessen das Spiel des Wirtschaftslebens einleitet. Da haben manche Bekenner dieses Systems eigentlich diese Dinge sehr beleuchtende Worte gesprochen, was etwa so nachgesprochen werden kann. Die Leute sagten : Wozu soll eigentlich innerhalb des politischen Staatsgebildes ein System von Gesetzen ausgebildet werden, welche das Wirtschaftsleben regeln? Entweder werden diese Gesetze die gleichen sein wie diejenigen, die sich das Wirtschaftsleben selbst gibt, wenn es dem freien Spiel der Kräfte überlassen ist, oder aber sie werden andere und ihm entgegengesetzte sein. Im ersteren Falle, wenn es dieselben sind, dann sind sie ja unnötig, dann braucht man sie nicht, dann gibt sich das Wirtschaftsleben seine eigenen Gesetze, dann braucht man nicht erst das Wirtschaftsleben einzuspan­nen in besondere Staatsgesetze. Wirken aber die Staatsgesetze entgegen dem Wirtschaftsleben, dann hemmen sie es, dann beeinträchtigen sie es, dann sind sie demselben schädlich.

Ich möchte sagen : Was sich in diesen beiden gegenteiligen Sätzen aus­spricht, es spukt heute noch in vielen Köpfen. Es spukt deshalb in vielen Köpfen, weil die moderne Menschheit, so sehr sie auch glaubt, praktisch zu sein, Sinn zu haben für das Reale, doch furchtbar angefressen ist von einem gewissen Sinn für abstrakte, für theoretische Einseitigkeit. Und würde man prüfen, wieviel in dem, was sehr vielen Leuten heute als das eigentlich praktische Leben erscheint, nichts anderes ist als verwirklichte Einseitigkeit, verwirklichte einseitige Theorie, dann würde man auf so manches Lebensrätsel stoßen und eine teilweise Lösung desselben herbeiführen können. Was klingt plausibler, was klingt selbstverständlicher, als wenn ich sage : Entweder laufen die staatlichen Gesetze in der­selben Richtung wie die wirtschaftlichen, dann braucht man sie nicht, oder sie widersprechen ihnen, dann müssen sie dem Wirtschaftsleben schaden. Man denkt aber in diesen Gegensätzen nur, wenn man den sozialen Organismus ansieht wie etwas, das sich durch Begriffe, durch Gesetze, durch Prinzipien, durch Programme regeln lasse, wenn man nicht sich zu der Ansicht aufschwingen kann, daß der soziale Organismus etwas ist, was Leben in sich haben muß, was durch seine eigene Wesenheit leben muß. Was aber durch seinen eigenen Lebensinhalt, durch seine eigenen Lebensimpulse gedeiht und sprießt, das hat im wirklichen Leben Gegensätze in sich. Und der soziale Organismus muß, soll er ein realer, ein wirklicher sein, Gegensätze in sich haben.

Daher ist das richtig, was vielleicht gerade vielen theoretisch ge­stimmten Seelen der Gegenwart wie eine Absurdität erscheint: das staat­liche, rein rechtliche, rein politische Leben muß gerade in einer gewissen Weise beschränken, in seinen Gesetzen entgegenwirken dem wirtschaftlichen Leben, damit das Gesamtleben der Menschheit, das nicht bloß ein wirtschaftliches, nicht bloß ein rechtliches ist, sondern das ein wirt­schaftliches, rechtliches und geistiges ist, damit sich das entfalten kann, so wie im einzelnen menschlichen Organismus -- ich gebrauche den Vergleich noch einmal, indem ich darauf hinweise, nicht als ob ich ein Analogiespiel aus der Physiologie und der Soziologie treiben wollte — das Verdauungssystem in einer gewissen Weise relativ selbständig für sich verläuft und neben sich das rhythmische System, das Atmungs-, Herzsy­stem hat, und beide sich in ihren Vorgängen in dem lebendigen Prozesse beschränken und gegenseitig begrenzen. So ist es notwendig, daß nebeneinandergestellt werden im wirklichen sozialen Organismus das Wirtschaftsleben auf der einen Seite und im engeren Sinne politisches Staatsleben auf der anderen Seite, und dem sich beigesellen muß mit relativer Selbständigkeit das geistige Leben, wie ich dies das letzte Mal wiederum von einem anderen Gesichtspunkt aus gezeigt habe.

Denn auf Folgendem beruht das, auf was es ankommt: Das wirt­schaftliche Leben hat in sich ganz andere innere Kräfte als das Rechtsleben, mit dem es zusammenwirken muß, damit das Gesamtleben der Menschheit gedeihen kann, und wieder andere als das geistige Leben. Man könnte, wenn man mehr oder weniger etwas konkret Lebendiges in abstrakte Formen bringen wollte, die aber doch vielleicht von einer Seite her, wenn auch einseitig, eben die Dinge verständlich machen, das Folgende sagen: Im Wirtschaftsleben, so wie es besteht in der Warenproduktion, Warenzirkulation und im Warenkonsum, kommt alles dar­auf an, daß die dem Leben entsprechende Wertbildung entsteht. Und diese Wertbildung vollzieht sich im wesentlichen so, daß der Wert sich bilden muß, wenn der soziale Organismus gesund sein soll, unter dem Einflusse des Impulses, daß der Verbrauch dessen, was der wirtschaft­liche Organismus für sich in Anspruch nimmt — nenne man es Markt oder anderswie — und für den Konsum bereit hält, daß der Verbrauch der Ware ein möglichst zweckmäßiger, ein möglichst vorteilhafter ist. Eine Ware muß so dem Konsum dargeboten werden, wenn der soziale Organismus gesund ist, daß sie sich in der zweckmäßigsten Weise ganz verbrauchen läßt, daß sie so lange dauert, als es zweckmäßig ist, oder so schnell verbraucht werden kann, als es zweckmäßig ist, daß aber jeden­falls ihr ganzer Inhalt auf den Verbrauch hintendiert.

Würde die menschliche Arbeitskraft voll eingespannt in das Wirt­schaftsleben — und dieses Wirtschaftsleben kann sich allein gesund ent­wickeln unter dem Gesichtspunkte der Waren-Preisbildung nach dem entsprechenden Verbrauche —, so wäre erfüllt, was die marxistische Anschauung des Proletariats behauptet, daß die menschliche Arbeitskraft selber Ware wäre, und so würde ja diese Arbeitskraft als mit dem Charakter der Ware behaftet im sozialen Organismus ihren Wert erhalten müssen, indem sie in der zweckmäßigsten Weise voll verbraucht würde. Das wirtschaftliche Glied des sozialen Organismus hat auch, wenn man es genauer betrachtet, die Tendenz in sich, den Menschen zu verbrauchen, und würde das wirtschaftliche Glied des sozialen Organismus nur seinen eigenen Gesetzen folgen, so würde eben innerhalb dieses Gliedes die menschliche Arbeitskraft verbraucht werden. Indem die bürgerlich leitenden Kreise dieses nicht beachteten, haben sie gerade dazu beigetra­gen, daß innerhalb des Wirtschaftslebens und der Stellung des Proleta­riats im Wirtschaftsleben sich der Nerv der modernen sozialen Frage herausgebildet hat, der sein Leben darin zeigt, daß gerade der moderne Proletarier es ganz besonders für sich in Anspruch nimmt, seine Arbeits­kraft des Charakters der Ware zu entkleiden. Wie sich auch sonst man­ches in der sozialen Frage maskiert und vieles davon im Unterbewußten des modernen Proletariers lebt, das ist ein wesentlicher Faktor, daß die proletarische Seele nach der Befreiung der menschlichen Arbeitskraft von dem Charakter der Ware hinstrebt.

Das aber kann niemals geschehen, wenn der Wirtschaftsprozeß nach seinen Gesetzen verläuft, und wenn man das gesamte Staatsleben nur zu einer einzigen Wirtschaft macht, wie es das Ideal vieler moderner Sozialisten ist. Das kann auch nicht dann geschehen, wenn man in einseitiger Weise den Staat von sich aus zum Wirtschafter machen will. Ein gesun­des Verhältnis ergibt sich nur dann, wenn man den wirtschaftlichen Organismus in sich selber seine relative Wirksamkeit entfalten läßt, wenn man, wie es im natürlichen organischen Leben auch geschieht, ein System gewissermaßen darum, daß es seine in ihm liegenden Kräfte voll ausbildet, in relativer Selbständigkeit sich entfalten läßt und dann dasje­nige, was sich ergibt, begrenzt, verbessert durch ein danebenliegendes, relativ selbständiges System, wie im natürlichen Organismus ein System sich voll entwickelt, auch seine Schäden zum Ausdruck bringt, diese Schäden aber fortwährend paralysiert werden durch das danebenliegende System. Darauf beruht alle organische Wirksamkeit. Darauf muß auch beruhen die Gesundung des sozialen Organismus.

Es kommt mir wahrhaftig nicht darauf an, wie man den Wirtschaftsorganismus, wie man den Staatsorganismus definiert, wie man über sie denke, sondern darauf kommt es mir an, daß diese zwei Glieder neben­einander da sein müssen, und das eine sich relativ selbständig entwickeln muß, sogar die Veranlagung seiner Schäden aus sich heraus entwickeln muß, daß das andere System daneben sich entwickeln muß und paraly­sieren muß das, was sich sonst als Schäden ergeben würde im anderen System. Das ist das Wesen des Lebendigen; das muß auch das Wesen des lebendigen sozialen Organismus sein. Nur dann, wenn der wirtschaftliche Körper sich selbst verwaltet, verwaltet aus seinen eigenen Bedingungen heraus, der rechtliche, der politische Körper sich selbst verwaltet, wiederum aus seinen eigenen Bedingungen heraus, die sich ergeben durch die Regelung der Rechtsverhältnisse von Mensch zu Mensch, und wenn dann ein jeder dieser Organismen sich selbständig regelt, indem sie nebeneinander und aufeinander wirken, dann entsteht ein gesundes soziales Leben. Die soziale Frage ist nicht zu lösen durch eine Theorie, nicht zu lösen durch Gesetze, sondern sie ist nur dadurch zu lösen, daß im lebendigen Leben die eine Kräfteart, die wirtschaftliche, neben der anderen, der staatlichen, der politischen, im unmittelbaren, im eigenen Dasein wirkt, daß sich die beiden nebeneinander und ineinander entwikkeln, aber so entwickeln, daß eine jede in ihrer Selbständigkeit dasteht.

Das ist es, was aus einer gewissen historischen Notwendigkeit heraus versäumt worden ist. Denn was geschehen ist, ist natürlich notwendig. Es soll keine Kritik, sondern eine Darstellung der Verhältnisse hier gegeben werden. Das ist es aber, was sich als eine Notwendigkeit im Men­schenfortschritte für das Leben der Gegenwart und der nächsten Zu­kunft einstellen muß. Ergeben wird sich, daß um der Gesundung des sozialen Organismus willen das Wirtschaftsleben ein assoziatives wird, daß es sich so gliedert, daß ja die veranlagten Genossenschaften, Ge­werkschaften und so weiter sich so ausbilden, daß sie abstreifen, was sie noch übernommen haben aus dem Vorurteil, daß alles sich nach dem Muster des alten Rechtsstaates bilden müsse. Was noch an Staatsleben lebt in diesen dem Wirtschaftsleben dienenden Assoziationen, das muß abgestreift werden. Sie müssen rein dem Wirtschaftsleben dienende Körperschaften werden, solche Körperschaften, die beruhen auf dem Verhältnis, das innerhalb des Wirtschaftslebens der Mensch haben muß, sei es zu der Naturgrundlage des Wirtschaftslebens, sei es zu der Notwendigkeit, auf diese oder jene Art die Rohstoffe zu verwerten, die Waren in Zirkulation zu bringen, das Konsumverhältnis in das richtige Verhältnis zur Produktion und zum Handel zu bringen und so weiter. Die Kompliziertheit des menschlichen Lebens macht es heute notwen­dig, daß ein ganzes System von Assoziationen und Koalitionen, die herausgefordert werden durch die Naturgrundlage des Wirtschaftslebens, sich unter den Menschen bilden, solche Assoziationen und Koalitionen, welche im wesentlichen auf dem Verständnis der Verwertung der Naturgrundlage und der Hinleitung der Ware zur zweckmäßigen Konsumtion bestehen. Eben die Kompliziertheit erfordert, daß auf diesem Gebiete ein ganzes System von Assoziationen sich ausbildet. Aber diese Assoziationen werden herausgestaltet sein aus dem Zusammenhange des Menschen mit den wirtschaftlichen Kräften selber. Da wird sich er­geben, daß eben das eintritt, immer wieder und wiederum im wirklichen Leben eintritt, daß das Wirtschaftsleben dazu tendiert, den Menschen zu verbrauchen.

Neben dem Wirtschaftsleben muß stehen das politische Leben, das im Gegensatze zum Wirtschaftsleben, das aufAs soziationen zu beruhen hat, mehr auf der Demokratie ruhen muß, denn das staatliche Leben umfaßt das Verhältnis von Mensch zu Mensch. Es umfaßt alles das, woran alle Menschen in gleicher Weise ihr Interesse haben. Wie das Wirtschaftsle­ben beruht auf dem wirtschaftlichen Wert der Güter, so wird das Staats­leben zu beruhen haben im wesentlichen auf dem öffentlichen Recht, das im Gesetze gründet oder das das Gesetz begründet, das da bestimmt das Verhältnis des Menschen unter Menschen. Und in lebendiger Wechselwirkung wird dasjenige, was sich aus dem Wirtschaftsleben heraus ent­wickelt, begrenzt, beschränkt werden müssen. Ansätze dazu sind ja vorhanden, aber eine durchgreifende soziale Einsicht muß Platz greifen. Dasjenige wird sich herausbilden müssen, was vor allen Dingen den Menschen davor schützt, von dem Wirtschaftsleben, das auf den Verbrauch hin orientiert ist, selber mit Bezug auf seine Arbeitskraft verbraucht zu werden.

Ebenso wie Preisbildung, Wertbildung das Wesentliche ist innerhalb des Wirtschaftskörpers, ebenso ist die Ausgestaltung des konkreten Rechtes, des konkreten öffentlichen Rechtes, das reguliert das Leben des Menschen neben dem Menschen, das Wesentliche im Leben des politi­schen Staates. Kann man in bezug auf die Empfindung, die gegenüber dem öffentlichen Rechte besteht, nicht eigentlich auch heute noch sagen, daß sie zu keiner ganz besonderen Klarheit sich durchgerungen hat? Man kann viel, viel bei denjenigen, die die Sache wissen sollten, die viel nachgedacht und nachgeforscht haben sollten über die Sache, man kann viel bei diesen nachfragen, was eigentlich unter dem Wesen des Rechtes zu verstehen ist, des Rechtes, das ja immer in konkreten Formen auftritt. Man bekommt erst einen Begriff von den Schwierigkeiten, die da vorliegen, wenn man zum Beispiel sich einläßt auf eine solche Frage, wie diejenige war, die in seiner Doktordissertation mein verstorbener Freund Ludwig Laistner zugrunde gelegt hat, «das Recht zur Strafe». Das kann selbst eine Frage werden, worinnen im Konkreten das Recht der menschlichen Gesellschaft zur Strafe besteht.

Man kann vieles versuchen, um nahezukommen dem Impuls des Rechtes. Insbesondere in unserer heutigen Zeit, wo von den verschie­densten Seiten her so viel vom Recht gesprochen wird, liegt es ja auf der Hand, sich immer wieder und wiederum dem nähern zu wollen, was eigentlich das Wesen des Rechtes ist. Wenn man versucht, dahinter zu kommen, worauf ein solches konkretes Recht beruht — auch das Besitzrecht ist auf ein Recht begründet ; das Besitzverhältnis gründet auf dem Recht, ein Grundstück oder irgend etwas ausschließlich für sich, zu sei­ner Betätigung zu benützen mit Hinwegweisung der anderen —, das Ge­genstand des eigentlichen politischen Gliedes des sozialen Körpers ist, so finden die einen überhaupt nichts anderes, als daß es zuletzt doch auf Macht zurückgeht. Die anderen finden, daß es auf ein ursprüngliches menschliches Empfinden zurückgehe. Man kommt ja allzuleicht, wenn man der Sache zu Leibe rücken will, auf leere Formen. Ohne daß ich mich — was ja Stunden in Anspruch nehmen würde — einlassen kann auf eine volle Begründung, möchte ich doch dieses sagen, daß das Recht ja begründet ein gewisses Verhältnis des Menschen zu irgend etwas, einer Sache oder einem Vorgang oder dergleichen oder einer Summe von Vorgängen, mit Ausschluß von anderen Menschen. Worauf beruht es denn nun eigentlich, daß man die Empfindung, das Gefühl entwickeln kann : Irgendein Mensch oder ein Volk habe ein Recht auf das, was man im Auge hat? Und man bekommt da doch, wenn man noch so sehr sich abmüht, nichts anderes heraus, als daß man sich sagen kann: Im öffentlichen Leben begründet den Rechtsanspruch das, daß die Voraussetzung bestehen darf, daß der, der seine Betätigung einer Sache oder einem Vorgange oder einer Reihe von Vorgängen zuwenden darf, dies mit der größeren Wahrscheinlichkeit mehr im Sinne der allgemeinen Menschheit tut als irgendein anderer. In dem Augenblick, wo man die Empfindung hat, daß irgend jemandes Verhältnis zu einer Sache oder zu etwas anderem mehr zum Ausdrucke bringt den Nutzen der allgemei­nen Menschheit, als wenn ein anderer diese Sache benützt oder in dieses Verhältnis eingeht, so kann man dem Betreffenden das Recht auf diese Sache zusprechen. Das wird es ja auch im wesentlichen sein, was in der Empfindung der Menschheit den Ausschlag geben wird, wenn jetzt die großen Rechtsfragen des internationalen Lebens ins Dasein, ins wirkliche Dasein treten. Man wird demjenigen voll zusprechen das Recht über ein gewisses Territorium, bei dem die Aussicht besteht, daß im Sinne des Wohles der allgemeinen Menschheit gerade dieses Volk das Territorium am fruchtbarsten, am sichersten verwalten kann.

So kommt man zu dem, was im demokratischen Staatswesen durch­weben und durchfluten kann die Impulse, die orientieren müssen das Leben von Mensch zu Mensch, die, sei es in der Arbeiterversicherung, sei es irgendwie in anderen Versicherungen, die da sind zum Schutze ge­gen die Schäden des Wirtschaftslebens, in alledem muß das leben als das Fundament des Rechtes, von dem ich eben gesprochen habe. Und ein Verständnis, aber jetzt nicht ein Verständnis für irgendeine allgemeine abstrakte Definition des Rechtes, sondern ein Veständnis für die Wirksamkeit des Rechtes im einzelnen konkreten Fall, das ist es, was behufs eines gesunden sozialen Lebens der Menschheit eintreten muß. Dieses Rechtsleben, dieses Leben des politischen Staates im engeren Sinn, des zweiten Gliedes eines gesunden sozialen Organismus, das wird es auch sein, welches den eigentlichen Kreuzpunkt, möchte ich sagen, der modernen sozialen Frage allein, nicht durch irgendwelche Verwirkli­chungen von theoretischen Ansichten und Prinzipien und Program­men, sondern durch das unmittelbare Leben aus der Welt schaffen wird, nämlich den Punkt, den ich vorhin bezeichnet habe als die Forderung des modernen Proletariats : die Arbeitskraft des Menschen des Warencharakters zu entkleiden.

Dazu ist allerdings notwendig, daß man auch verstehe, ich möchte sagen, aus dem Fundament heraus verstehe, worauf es ankommt bei dem Anteil, den menschliche Arbeit im allgemeinen menschlichen Leben, in der Struktur der menschlichen Gesellschaft hat. Wiederum würde es Stunden in Anspruch nehmen, wenn ich ein soziales Grundge­setz der menschlichen Arbeit hier im einzelnen begründen wollte; intui­tiv, glaube ich, und instinktiv kann jeder Mensch, der das Leben nur einigermaßen durchschaut, begreifen, was ich jetzt aussprechen werde. Ich habe versucht, bereits im Beginne des Jahrhunderts in einem Auf­satz, der dazumal in meiner damals erscheinenden Zeitschrift «Luzifer-Gnosis» über die soziale Frage erschienen ist, gerade auf dieses funda­mentale soziale Gesetz aufmerksam zu machen. Aber man predigte damals und predigt über viele Dinge auf diesem Gebiet auch heute noch tauben Ohren, leider. Dieses Gesetz besteht darin, daß niemand, inso­fern er dem sozialen Körper, dem sozialen Organismus angehört, für sich selber in Wirklichkeit arbeitet. Wohlgemerkt, insoferne der Mensch dem sozialen Organismus angehört, arbeitet er nicht für sich selbst. Jegliche Arbeit, die der Mensch leistet, kann niemals auf ihn zurückfallen, auch nicht in ihrem wirklichen Erträgnis, sondern sie kann nur für die anderen Menschen geleistet sein. Und das, was die anderen Menschen leisten, das muß uns selbst zugute kommen. Es ist nicht bloß ein ethisch zu fordernder Altruismus, der in diesen Dingen lebt, sondern es ist einfach ein soziales Gesetz. Wir können gar nicht anders, ebensowenig wie wir unser Blut anders leiten können, als in der Zirkulation der mensch­lichen Betätigung so wirken, daß unsere Tätigkeit allen anderen, und aller anderer Tätigkeit uns zugute kommt, daß niemals unsere eigene Tätigkeit auf uns selbst zurückfällt.

So paradox es klingt, wenn Sie untersuchen, welchen wirklichen Zirkulationsprozeß menschliche Arbeit im sozialen Organismus macht, Sie werden finden: sie geht aus dem Menschen heraus, sie kommt den anderen zugute, und das, was die einen von der Arbeitskraft haben, das ist das Ergebnis der Arbeitskraft anderer. Wie gesagt, so paradox es klingt, wahr ist es. Man kann ebensowenig leben von seiner eigenen Arbeit im sozialen Organismus, als man sich selber aufessen kann, um sich zu ernähren.

Obschon im Grunde genommen das Gesetz sehr leicht zu verstehen ist, können Sie einwenden: Wenn ich nun aber ein Schneider bin und unter den Kleidern, die ich für andere herstelle, auch einmal mir selber einen Anzug mache, dann habe ich doch meine Arbeitskraft auf mich selber angewendet ! Das ist nur eine Täuschung, wie es überhaupt immer eine Täuschung ist, wenn ich glaube, daß das Ergebnis eigener Arbeit auf mich zurückfällt. Indem ich mir einen Rock, eine Hose oder dergleichen mache, arbeite ich in Wahrheit nicht für mich, sondern ich setze mich in die Lage, weiter für andere zu arbeiten. Das ist das, was die menschliche Arbeit als Funktion rein durch ein soziales Gesetz innerhalb des sozialen Organismus hat. Wer gegen dieses Gesetz verstößt, der arbeitet gegen den sozialen Organismus. Deshalb arbeitet man gegen den sozialen Organismus, wenn man weiter verwirklicht dasjenige, was sich im neueren geschichtlichen Leben ergeben hat, daß man den prole­tarischen Arbeiter von dem Erträgnis seiner Arbeitskraft leben läßt. Denn das ist keine Wahrheit, das ist eine durch die sozialen Verhältnismittel kaschierte, realisierte Unwahrheit, die sich hereindrängt als zerstörend in das Wirtschaftsleben. Das ist dasjenige, was aber in dem Wirt­schaftsleben nur geregelt werden kann, wenn dieses Wirtschaftsleben sich selbständig entwickelt und neben ihm relativ selbständig das politische, das engere Staatsleben sich entwickelt, das immerzu entreißt dem wirtschaftlichen Leben die Möglichkeit, die menschliche Arbeit auf sich selber zu lenken. Innerhalb des Rechtssystems wird das bewirkt im richtigen sozialen Verständnis, daß die menschliche Arbeit diejenige Funktion erhalte, welche sie erhalten muß gemäß dem wahrhaftigen Verlaufe des Lebens im sozialen Organismus. Der wirtschaftliche Organismus für sich hat immer die Tendenz, die Arbeitskraft des Menschen zu verbrauchen. Das Rechtsleben muß immer der Arbeitskraft ihre naturge­mäße altruistische Stellung anweisen, und immer ist es von neuem not­wendig, durch neue konkrete demokratische Gesetzgebung das, was das Wirtschaftsleben in Unwahrheit realisieren will, diesem Wirtschaftsle­ben immer aufs neue zu entreißen, und immer aufs neue die menschliche Arbeitskraft aus den Fängen des Wirtschaftslebens auf dem Wege des öffentlichen Rechtes herauszureißen. Geradeso wie zusammenwirken müssen das bloße Verdauungssystem mit dem Atmungs-Zirkulationsleben, indem aufgenommen wird von dem zirkulierenden Blute das, was dem Verdauungssystem einverleibt wird, so muß nebeneinanderwir­ken, aufeinanderwirken das, was im Wirtschaftsleben vorgeht und das, was im Rechtsleben vorgeht, sonst gedeiht das eine und das andere nicht. Der bloße Rechtsstaat, wenn er Wirtschafter werden will, lähmt das Wirtschaftsleben ; der Wirtschaftsorganismus, wenn er sich den Staat erobern will, tötet das System, das Leben des öffentlichen Rechtes.

Das ist es, was ich zu dem in den vorigen Vorträgen Gesagten noch hinzufügen möchte zur Begründung der Dreigliedrigkeit des sozialen Organismus. Indem die bürgerlich leitenden Kreise gewissermaßen den Blick wie hypnotisiert nur auf den Staat gerichtet hatten, wurde ihnen der Staat etwas wie ein Götze. Es wurde die Aufmerksamkeit nicht hin­gelenkt auf die notwendige Differenzierung des sozialen Organismus in die drei Glieder. Und so kam es, daß in der neueren Zeit auch aufgeso­gen, absorbiert wurde von dem Staate, von dem politischen Leben im engeren Sinne das geistige Leben. So wie die Warenzirkulation im Wirt­schaftsleben auf der Preis- und Wertbildung beruht, so wie das Leben innerhalb des politischen sozialen Organismus auf dem Rechtsleben be­ruht, so beruht alles geistige Leben auf dem unmittelbaren Inhalt des Produzierten. Und bedenken Sie nur, was für ein gewaltiger Unter­schied ist zwischen dem Wirtschaftsleben und dem geistigen Leben. Im Wirtschaftsleben kommt alles darauf an, daß die Ware zum zweckmäßigsten Verbrauch getrieben wird. Geistige Hervorbringung, sei es auf dem Gebiete des Erziehungs-, des Schulwesens, sei es auf dem Gebiete der Kunst, sei es auf irgendeinem anderen eben geistigen Gebiete, geistige Hervorbringung mit dem Begriff des Verbrauches in Zusammenhang zu stellen ist geradezu eine Absurdität. Man kann es nicht. Man kann nicht das, was geistig hervorgebracht ist, in dieselbe Linie stellen wie das, was im Wirtschaftsprozeß zirkuliert. Das ist es, was auch bewirkt hat, daß die Aufsaugung zum Beispiel des Schulwesens durch den Staat, des Universitätswesens durch den Staat und ähnliches, in der modernen Entwickelung zu einem hemmenden, auch jetzt im realen Sinne hemmenden Faktor geworden ist. Und das ist es, was die Menschheit aufmerksam machen muß, daß dieses Geistesleben wiederum befreit, entfesselt werden muß. Und ich habe schon aufmerksam darauf gemacht, daß zu diesem geistigen Gliede des sozialen Organismus nun auch gerechnet werden muß, was heute noch manchem nun auch paradox erscheinen wird, die wirkliche Praxis des privaten und des strafrechtlichen Urteilens. So sonderbar das klingt, auch da gibt es schon eine Tendenz im modernen Leben, die nur nicht in der richtigen Weise beurteilt wird. Was immer mehr und mehr von einer eben verfehlten Psychologie in Anspruch genommen worden ist für die Rechtsprechung, das ist es, was tendiert nach einem noch nicht erkannten, aber notwendigerweise zu erkennenden Prinzip der Einverleibung des privat- und strafrechtlichen Wirkens in das geistige Glied, das wiederum mit relativer Selbständigkeit dasteht, auch mit relativer Selbständigkeit dasteht gegenüber all dem Leben, das sich als das engere politische Leben entwikkelt, das sich als das Leben des öffentlichen Rechtes, der Gesetzgebung entwickelt. Gewiß, es wird in Zukunft in einem gesunden sozialen Organismus der Verbrecher zum Beispiel zu suchen sein von dem, was sich im zweiten Gliede, im politischen Gliede ergibt. Wenn er aber gesucht ist, dann wird er abgeurteilt von dem Richter, dem er in einem in­dividuellen menschlichen Verhältnis gegenübersteht.

Über diese Frage kann auch nur der vielleicht aus der Geschichte her­aus urteilen, der wie ich, der zu Ihnen jetzt spricht, Jahre, jahrelang be­obachten konnte auf einem Territorium, wo es wahrhaftig schwer wurde, einheitlich zu regieren, und wo man doch, ich möchte sagen, zwangsmäßig einheitlich staatlich regieren wollte : auf einem Territo­rium wie in Österreich. Da konnte man beobachten, was es ergeben hätte, wenn über die reinen Sprachgrenzen hinüber freie Gerichtsbar­keit dagewesen wäre; wenn sich trotz der Sprachgrenzen der in einem deutschen Gebiete wohnende Böhme den benachbarten tschechischen oder böhmischen Richter drüben, der böhmische Bewohner wiederum seinen Richter in dem deutschen Gebiete hätte wählen können. Man hat gesehen, wie segensreich dieses Prinzip gewirkt hat in dem leider An­fang gebliebenen Bestreben der verschiedenen Schulvereine. Darinnen liegt etwas, was, ich möchte sagen, wie ein schwerer Alpdruck heute noch immer dem, der dieses österreichische Leben miterlebt hat, auf der Seele ruht, daß dieses Ei des Kolumbus nicht gefunden worden ist : die freie Wahl des Richters und das lebendige Zusammenwirken des Klägers, des Richters und des Angeklagten, statt des Richters aus dem zentralisierten politischen Staate heraus, der nur maßgebend sein kann nicht für die Rechtsprechung, sondern für das Aufsuchen und Abliefern des Verbrechers oder dann für die Ausführung des Urteils.

So paradox das heute noch der Menschheit klingt, es muß einverleibt werden das Verhältnis des Menschen zu seinem Richter in straf- und pri­vatrechtlicher Beziehung dem geistig selbständigen Gliede. Schon vorgestern habe ich darauf aufmerksam gemacht, daß nicht abhängen wird die äußere Verwaltung, die Wahl der Personen in dem geistigen Gliede vom Staate. Wer hineinschauen kann in die modernen Verhältnisse, dem offenbart sich das auch, daß das innerste Leben von Wissenschaft und Kunst und allem Geistigen abhängig wird von dem, von dem es nicht abhängig werden darf, wenn sich dieses geistige Glied neben den ande­ren beiden Gliedern nicht in relativer Selbständigkeit entwickeln kann. Es erscheint heute noch vielen als etwas Paradoxes, wenn ich nun zusammenfassend sage, jedes dieser Gebiete müsse eine gewisse Souveränität haben, sein eigenes Repräsentativsystem, seine eigene Gesetzgebung, die aus seinen Verhältnissen herausgewachsen ist, die aus den Assoziationsverhältnissen im wirtschaftlichen Gebiete herauswachsen, also seine Verwaltung, seine Gesetzgebung selbständig haben. In demokratischer Weise wird herauswachsen aus der Gesamtmenschheit eines bestimmten sozialen Gebietes für den eigentlichen politischen Staat, in dem geregelt wird das Verhältnis des Menschen zum Menschen, das Verhältnis zur Wirtschaft, das Verhältnis zum geistigen Leben; ohne daß in die beiden aber eingegriffen wird aus den Gesetzen des Staates heraus, und aus den im geistigen Leben selbst tätigen Kräften wird sich die Gliederung ergeben auch der Verwaltung für das geistige Leben. In einem noch viel höheren Grade kann aus wirklich modernem Leben her­aus das geistige Leben emanzipiert werden, in einem höheren Grad als es in alten Zeiten der Fall war, als das einzige geistige Leben, das für viele Menschen in Betracht kam, im religiösen Leben bestand, aus dem heraus sich ja auch das Schulwesen, das Universitätswesen gebildet hat.

Gewiß war das Eingreifen des modernen Staatswesens notwendig, um veralteten Religionsformen und veralteten Verwaltungen das zu verweisen, was ihnen nicht mehr zukam. Aber aus dem modernen Leben selber heraus muß sich wiederum das selbständige Geistesleben entwikkeln. Das ist es ja gerade, was eine geisteswissenschaftliche Richtung, wie sie diesen sozialen Betrachtungen hier zugrunde liegt, für sich in Anspruch nehmen muß, was sie in Anspruch nehmen muß aus dem Grunde, weil sie weiß, daß das gesamte wirkliche produktive Geistesleben, auch das, was sich zum Beispiel in technischen Erfindungen, technischen Ideen auslebt, daß sich das nur mit wirklich der Menschheit heilsamen Impulsen entwickeln kann, wenn es sich aus dem lebendigen, selbständigen Geistigen entwickelt, unabhängig von den anderen beiden Gliedern des sozialen Organismus. Der Geist wird im Menschen nur in der rechten Weise zur Produktivität die Stoßkraft haben, wenn dieses geistige Leben relativ selbständig ist. Spintisieren, theoretisieren, Dinge ausdenken, meinetwillen auch so, wie es von einer gewissen Rich­tung her in moderner Technik und Naturwissenschaft, namentlich in ihren Methoden bewundernswert geschehen ist, auch erfinden kann man, aber die wirkliche produktive Idee, die so produktiv ist, daß sie dem wahren Menschheitsfortschritte und zugleich dem wahren Menschheitsheile dient, diese Idee kann nur geboren werden innerhalb eines auf sich selbst gestellten Geisteslebens.

So weit ist man heute noch entfernt von dem, was ich hier eigentlich meine und was notwendig verstanden werden muß, wenn die soziale Frage auf eine heilsame Grundlage gestellt werden soll, daß manche Leute mir erwidert haben, wenn ich ihnen das auseinandergesetzt habe: Ja, das ist ja nur in einem modernen Sinne eine Wiedererneuerung der alten platonischen Idee von der Dreiteilung des sozialen Körpers in die drei Stände : Nährstand, Wehrstand, Lehrstand. — Nein, das ist keine Erneuerung dieser alten platonischen Idee, sondern das ist in gewisser Beziehung das radikale Gegenteil davon, und darauf kommt es an. Denn zwischen dem, was platonisch gedacht werden konnte als etwas Großes in Griechenland und noch für spätere Zeiten, und demjenigen, was heute gedacht werden muß zum Heile und zur Gesundung des sozialen Organismus, liegt der große, krisenhafte Menschheitseinschnitt um das 15. Jahrhundert. Dazumal, zu platonischen Zeiten, war die Gliederung des sozialen Organismus eine solche, daß man die Menschen nach Ständen einteilte. Die Gliederung, von der ich hier sprach, die gliedert nicht die Menschen, die gliedert den sozialen Organismus ; die gliedert diesen sozialen Organismus so, daß unter Umständen ein Mensch in allen drei Gliedern drinnen sein kann, das Entsprechende tun kann, aber dadurch, daß der soziale Organismus gegliedert ist, ist er nicht in der Lage, irgendwie schädlich von dem einen Gliede in das andere hineinzuwirken, nicht einmal dann, wenn, wie es in modernen Parlamenten vielfach geschehen ist, derselbe Mensch meinetwillen als Landwirt zugleich in einer staatlichen Partei drinnensteht. Heute ist es noch möglich, daß er durch irgendwelche Assoziationen eine Interessenvertretung inaugu­riert, daß in das Rechtsleben hinein eine wirtschaftliche Interessenvertretung kommt. Ich habe das letzte Mal ein Beispiel angeführt, wo ein ganzer Staat in seinem Rechtsleben von einer solchen Interessenvertre­tung durchsetzt wurde. Das wird ausgeschlossen. Aber was ich als dreigliederig bezeichne im gesunden sozialen Organismus, das ist der vom Menschen abgesonderte soziale Organismus. Der Mensch wird gerade dadurch selbständig, wird gerade dadurch entkleidet des Charakters eines Sklaven des sozialen Organismus, daß nicht Menschenklassen, Menschenschichten als Glieder dastehen, sondern daß der soziale Orga­nismus selber gegliedert wird. Das weist zu gleicher Zeit darauf hin, daß dieses Denken, das hier zugrunde liegt, ein wahrhaft wirklichkeitsgemä­ßes ist, entfernt ist von alldem, was ich vorgestern als Schwarmgeisterei bezeichnet habe.

Diese Schwarmgeisterei tritt ja auf bei den verschiedensten Parteien. Sie ist ebenso in bürgerlichen Kreisen vorhanden wie auf seiten der Sozialdemokratie. Und diese Schwarmgeisterei ergreift dann die Men­schen, wenn sie immer wieder und wiederum keine Ahnung davon ent­wickeln, was der soziale Organismus als solcher eigentlich anstreben kann, wenn er gesund ist. Immer wieder und wiederum leidet das soziale Denken unter dem Einfluß der Empfindung, der Idee, als ob angestrebt werden könne unmittelbar, durch irgendwelche Programme, ein sozia­ler Organismus, der das Glück der Menschheit oder die Zufriedenheit der Menschheit oder dergleichen bedingt. Das kann nicht unmittelbar angestrebt werden. Was unmittelbar angestrebt werden kann, das ist ein lebensfähiger sozialer Organismus, ein solcher, der lebendige Kräfte des Lebens eben in sich hat. Hineingestellt in einen solchen Organismus, lebend in einem solchen Organismus, kann erst aus ganz anderen Untergründen heraus der Mensch sein Glück begründen. Das hat ganz andere Untergründe. Aber diese Untergründe, die müssen befreit werden von ihrer Fesselung. Und sie werden nur befreit, wenn ein lebensfähiger Organismus zugrunde liegt. So wie in einem wirklich lebensfähigen Organismus die Seele sich entwickeln kann, in ihm in entsprechender Weise sein kann, so in einem lebensfähigen sozialen Organismus eine glückliche, zufriedene, arbeitswillige und arbeitsverständige Menschheit. Das ist es, worauf es ankommt zur Gesundung des sozialen Orga­nismus.

Ein Blick auf das, was wir in einer katastrophalen Zeit erlebt haben, kann auch, ich möchte sagen, von einem internationalen Gesichtspunkte her und von einem größeren historischen Gesichtspunkte her erhärten, wie das, was ich hier als diese drei Glieder anführe, eine wirkliche Notwendigkeit für die gegenwärtige Lebensform der Menschheit und die Lebensform der Menschheit für die nächste Zukunft ist. Man möchte sagen, bevor diese schreckliche Katastrophe, die man einen Krieg nennt, über die Menschheit hereingebrochen ist, war die Kulmi­nation des Durcheinanderwürfelns und Durcheinanderwirrens der drei Glieder, die sich differenzieren müssen, erreicht. Und gerade dadurch, daß diese drei Glieder nicht in relativer Selbständigkeit nebeneinander wirken konnten, dadurch ist vieles von dem eingetreten, was in wahrhaftigem Sinne zu dem Ausgangspunkt und den Ursachen dieser kriegerischen Katastrophe gerechnet werden muß. Man braucht ja nur auf Weniges hinzuweisen. Der Blick aller Menschen war darauf gerichtet, wie von der Beziehung des österreichischen Staates zu dem Balkanverhältnis, namentlich zu Serbien, der Krieg seinen Ausgangspunkt genommen hat. Wer eingeweiht war in die österreichischen Verhältnisse seit Jahrzehnten, der wußte zu beurteilen, wie die wirtschaftlichen Verhältnisse, die zwischen Österreich und dem europäischen Südosten spielten, in unnatürlicher Weise mit den Verhältnissen verschlungen waren, die relativ selbständig neben ihnen sich hätten entwickeln sollen, mit den rein politischen, und wie durch diese Verquickung, dadurch, daß nun die politischen Verhältnisse plötzlich für sich entscheiden soll­ten über etwas, was in wirtschaftlichen Verhältnissen tief begründet war, eine realisierte Unwahrheit entstand und explodierte.

Wie anders wäre diese Sache geworden — ich kann dies am Schluß des heutigen Vortrages nur andeuten —, wenn das Verhältnis solcher Nach­barstaaten entsprechend der Dreigliederung gewesen wäre, wenn über die Grenze hinüber das Verhältnis ein rein politisches, auf demokrati­scher Grundlage beruhend und abgesondert gewesen wäre von den an­deren Gliedern, gleich wie sonst die Regierungsform ist. Wenn nun aber korrigierend, harmonisierend über die Grenze hinüber selbständig die wirtschaftlichen und geistigen Faktoren wirkten, da würde über das System der Staaten, der sogenannten Staaten so etwas an Interessenhar­monie und an Interessenverquickung ausgebreitet, wo immer das eine das andere korrigiert, wo nicht das eine einseitig eine Explosion herbeiführen kann. Gesunde Verhältnisse über die Grenzen hinüber würden durch diese Dreiteilung im internationalen Verhältnis der Völker entste­hen.

Und wiederum, wie hat die internationale Menschheit den Blick ge­richtet auf Deutschland, das ja in den Kriegserklärungen, wenigstens äußerlich, vorangegangen ist. Wer auf diesem Gebiet eingeweiht ist, der weiß, wie das Unglück geschehen ist. Man hat vielfach gesagt, im Juli und August, in den verhängnisvollen Tagen, habe die Politik neben der eigentlichen Kriegsführung, neben dem Heerwesen, versagt. Aber Politik und Heerwesen sind da, wo beide wirken, gleichlaufende Dinge. Die sind nicht ohne weiteres zu trennen. Sie können nur in gesunder Weise sich entfalten, wenn sie wirken innerhalb des einen, des staatlichen Gebildes in einem dreigeteilten sozialen Organismus. Sonst wird notwendigerweise die Politik, wenigstens in dem einen Gliede, einen einheitlichen Charakter annehmen müssen. Sie wird zu einer bestimmten Zeit entweder im Militär oder im Nichtmilitär kulminieren. Denn was in sei­ner Natur, wenn es auch verquickt ist durch menschlichen Irrtum mit anderen Systemen, etwas Einheitliches sein muß, das kann sich nach außen nicht, das eine über das andere korrigierend, ergehen. In jenem furchtbaren Angstzustande, aus dem heraus in Berlin erwachsen ist das,das in den letzten Juli-, in den ersten Tagen des August erwachsen ist, da hat gewirkt die Zusammendrängung auf ein einziges System, was hätte verteilt sein sollen. Es drängte sich zusammen unter die Verant­wortung eines einzigen Systems, was ein einziges System zum Heile der Menschheit niemals tragen darf. Die konkreten Verhältnisse werden es gerade dann lehren, wenn man diese Dinge einmal vorurteilslos und un­befangen untersuchen wird. Oh, wieviel Unsinn ist gerade mit Bezug auf Politik und Heeresverwaltung gesagt worden ! Es ist ja soviel Un­sinn gesagt worden in den letzten viereinhalb Jahren! Ich will nur das eine ausführen : Weil in einem untrennbaren Gliede des sozialen Organismus ruhend Politik und Strategie nur wirken können, so kann niemals, wenn die Strategie veranlaßt ist, nur auf sich selbst zu sehen, die Politik diese Strategie in gesunder Weise beeinflussen. Man hat gesagt, sich immer wieder und wiederum auf einen Clausewitzschen Satz berufend : Die Kriegführung sei die Fortsetzung der Politik mit anderen Mitteln. — Ich will nicht mich kritisierend ergehen über diesen Satz, insoferne er im Zusammenhang der ganzen kriegerischen Auseinandersetzung steht. Aber so, wie die Herren, die immer wieder und wiederum diesen Satz — es sind auch Damen gewesen — angewendet haben, da hat er ungefähr ebensoviel Sinn, als wenn man sagt : Die Scheidung ist die Fortsetzung der Ehe mit anderen Mitteln.

Unsinn dieser Art ist aus einem unnatürlichen Denken, das wiederum unnatürlich in die realen Verhältnisse eingegriffen hat, viel produziert worden. Wenn man einmal die Dinge unbefangen durchschaut, wird man sehen, wie alles anders verlaufen wäre. Selbstverständlich ist das, was geschehen ist, historisch notwendig, und das, was ausgesprochen werden soll, soll als der Impuls für die Zukunft gelten, aber hypothe­tisch kann man doch sagen, wie alles anders verlaufen wäre, wenn die Struktur der europäischen internationalen Verhältnisse aufgebaut ge­wesen wäre unter dem Einfluß der sozialen Dreigliederung. Man wird sagen : Das, was gekommen ist, ist durch die Bündnisverhältnisse ge­kommen. Aber diese Bündnisverhältnisse hätten unter dem Einfluß der sozialen Dreigliederung niemals eintreten können. Das Ende solcher Bündnisbildungen wie diejenigen waren, welche zu dem Unglücke der letzten viereinhalb Jahre geführt haben, ist dann da, wenn die Menschen sich orientieren im Sinne der Dreigliederung des gesunden sozialen Organismus.

Das, was ich hier auseinandersetze, es ist durchaus im realen Sinne gedacht, es ist aus der Wirklichkeit heraus gedacht. Deshalb habe ich auch immer gesagt, wenn ich mich damals bemüht habe während dieser Schreckensjahre, an autoritativer Stelle in entsprechender Weise für die damalige Zeit auf die Dreigliederung hinzuweisen: Dasjenige, was real ist, ändert sich von Tag zu Tag, und es könnte selbstverständlich sein, daß, wenn die Verhältnisse sich wieder geändert haben, ich über diese Dinge anders sprechen müßte. Ich sagte zu den Leuten : Was hier vorgelegt wird, ist nicht ein Programm, ist nicht ein Ideal, es entspringt der Beobachtung dessen, was sich in den nächsten zehn, zwanzig Jahren in Mittel- und Osteuropa verwirklichen will, überhaupt in Europa. Sie haben die Wahl, entweder Vernunft anzuwenden heute, oder entgegenzugehen Revolutionen und Kataklysmen.

Es hat schon begonnen und es wird sich in noch anderer Weise zeigen. Heute aber möchte ich wiederholen, was ich auch noch nach anderer Hinsicht bei diesen Gelegenheiten gesagt habe. Gesagt habe ich immer: Wer ein Utopist, ein Theoretiker ist, der nicht aus der Wirklichkeit heraus denkt, sondern aus gewissen abstrakten Forderungen oder aus Parteiimpulsen heraus, der hat ein Interesse daran, daß das, was er wie ein Programm oder dergleichen gibt, auch wirklich so ausgeführt werde, wie er es im einzelnen gibt. Mir kommt es bei diesen Dingen, die ich zu vertreten habe, darauf nicht an — so sprach ich dazumal. Es könnte sein — sagte ich, und das sage ich auch heute noch —, daß von der Formulierung dessen, was ich vertrete, kein Stein auf dem anderen bleibt. Denn nicht darauf kommt es an, daß irgendwelche ausgedachten Dinge realisiert werden, sondern daß die Wirklichkeit an einem Punkte angepackt werde. Dann wird man finden, indem man sie anpackt, wie es weiterzugehen hat. Es könnte sich in weiteren Ausführungen herausstellen, daß alle Formulierungen anders werden müßten. Darauf kommt es nicht an, wenn man kein Utopist, kein Schwarmgeist ist, daß die Dinge wörtlich ausgeführt werden, sondern daß an einer Stelle wirklich angefangen werde. Und auf eine solche Stelle, wo angefangen werden muß, wollte ich hinweisen und will ich auch heute noch hinweisen, bevor es ganz zu spät wird, bevor die menschlichen Instinkte so weit entfesselt sind, daß eine Verständigung unter den Menschen, vielleicht auf Jahrzehnte hin­aus, nicht mehr möglich sein würde.

Daher — lassen Sie mich das zum Schlusse noch aussprechen, obwohl es nicht im engeren Sinne zu meinem Vortrage gehört — denke ich auch, daß heute derjenige, der mit der sozialen Frage irgendwie mit seiner Seele verknüpft ist, nicht nur die Aufgabe hat, die Dinge auszusprechen, sondern alle Mittel anzuwenden, um sie zum Verständnis der Mitwelt zu bringen. Denn das ist ja das, was wir als erstes tun können : gegenseitiges soziales Verständnis hervorrufen. Vieles ist verdorben worden, verdorben worden auf den verschiedensten Gebieten der Welt dadurch, daß ein kurzmaschiges Denken, wie ich es hier neulich charakterisiert habe, hinausgerufen worden ist in die Welt, daß nicht zur rechten Zeit an das Rechte gedacht worden ist. Deshalb muß ich es mit einer gewissen Befriedigung begrüßen, daß es möglich geworden ist, immerhin aus den schwierigen Verhältnissen der Gegenwart heraus möglich geworden ist, auch mit Bezug auf praktische Auswirkung der hier vorgetragenen Ideen, in verhältnismäßig kurzer Zeit einiges zu erreichen. Solche Persönlichkeiten, bei denen in gewisser Weise, wenn ich so sagen darf, Feuer gefangen hat das, was hier als Wirklichkeitsansicht von der sozialen Frage entwickelt worden ist, sie haben sich darauf eingelassen, dahin zu wirken, daß wenigstens auf diesem Gebiete, auf dem heute das Unglück der große Lehrer sein kann, ein Verständnis für diese Dinge eintrete. Allerdings möchte ich es als ein besonderes Glück bezeichnen, wenn hier auf schweizerischem Gebiete, wo verhältnismäßig noch Gele­genheit zu ruhiger Objektivität ist, gerade wegen der Möglichkeit dieser ruhigen Objektivität auch tieferes Verständnis eintreten könnte, dahin­gehend, daß man die Notwendigkeit einsieht, daß zum gegenseitigen sozialen Verständnis der Menschheit in dem in diesen vier Vorträgen an­gedeuteten Sinne etwas getan werden soll. Immerhin, unter den Schmerzen und in die Schmerzen hinein, die man über den Verlauf so mancher Ereignisse und über das Schicksal so mancher Glieder der Menschheit heute haben kann, kann es mit einer gewissen Befriedigung erfüllen, daß das Unglück manche Menschen doch etwas gelehrt hat. So konnte es geschehen — gestatten Sie, daß ich das anführe, weil es immerhin doch bedeutsam sein kann, wenn man nicht bloß abstrakt, sondern konkret über die soziale Frage handeln will —, daß ein Aufruf, dem ich einverleibt habe das, was ich hier ausführlich vertreten habe, in kurzen Sätzen, daß ein Aufruf, der eigentlich bestimmt ist zur Wirkung in alle Welt, doch bis jetzt Eingang gefunden hat in die Herzen derjenigen, die in Deutschland und Deutsch-Österreich schwer geprüft sind durch das Unglück und durch das Unglück einigermaßen belehrt sind. Ich habe in diesem Aufruf gerade auseinanderzusetzen versucht, wie das Deutsche Reich, als es gegründet worden ist, mit seiner Gründung in diejenige Zeit hineinfiel, wo die Entwickelungsmöglichkeiten der neueren Menschheit von einer solchen Neugründung im eminentesten Sinne ein Hingehen zu neuen sozialen Aufgaben verlangt hätten. Kleinen Dingen hat man sich sogar in umfassender Weise hingegeben; allein gerade das, was diesem Reiche obgelegen hätte, seinem Rahmen einen entsprechenden Inhalt zu geben aus den Entwickelungskräften der modernen Menschheit heraus, die nun einmal nach dieser Dreigliederung hingehen, das hat man nicht sehen können. Und davon ist es gekommen, daß sich die übrige Welt so zu diesem Mitteleuropa stellte. Wie konnte die übrige Welt verstehen die Berechtigung dieser besonderen Reichsgrün­dung, wenn nicht aus dieser Reichsgründung etwas hervorging, was unwiderstehlich sein Recht innerhalb des internationalen Menschheitsprozesses darwies !

Deshalb habe ich geglaubt, als ein rechtes, wenn ich jetzt sagen darf, Programm — aber Sie wissen aus dem Vorangegangenen: es ist kein Pro­gramm, es ist eine Wirklichkeit —, deshalb habe ich geglaubt, formulie­ren zu dürfen in einem Aufruf an die Menschheit eine Aufgabe, die nunmehr erwachsen könnte der europäischen Menschheit, die ja vor der Notwendigkeit eines Neuaufbaues steht. Und immerhin konnte man mit Befriedigung erleben, daß bis gestern Mittag dieser Aufruf schon mehr Unterschriften in Deutschland gefunden hat, als der einstige Auf­ruf der neunundneunzig Intellektuellen unglückseligen Angedenkens, daß über hundert Unterschriften für diesen Aufruf aus Deutschland und bis gestern Mittag über siebzig Unterschriften aus Deutsch-Österreich für diesen Aufruf vorhanden sind. Ich erwähne das, weil ich aus der Realität heraus reden möchte und dadurch aufmerksam darauf machen möchte, daß ich nun mit dem, was ich glaube, daß notwendig ist im sozialen Fortentwickelungsprozeß, doch nicht mehr ganz allein dastehe, auch wenn es darauf ankommt, dies geltend zu machen für das gegenseitige soziale Verhältnis der Menschen untereinander.

Und so wird weiter gewirkt werden müssen zunächst auf dem Wege einer wirklichen sozialen Aufklärung. Denn die ist das nächste. Die Menschheit steht einmal heute in bezug auf einen großen Teil der zivili­sierten Welt vor der Notwendigkeit, dem sozialen Problem sich Auge in Auge gegenüberzustellen. Sie wird dabei ein Problem lösen müssen — lassen Sie mich das zum Schlusse aussprechen —, das ihr im höchsten Grade den Denkgewohnheiten gegenüber unbequem ist. Viele Men­schen wollen noch zugeben, daß man eine Umwandelung der Einrichtungen, eine Umwandelung auch der sozialen Struktur notwendig habe. Hat aber nicht der ganze Geist der Vorträge, von dem ich mir erlaubte hier zu sprechen, hat nicht dieser ganze Geist nachgewiesen, daß noch ein anderes notwendig ist ? Wenn marxistisch gebildete proletarische Führer immer wieder und wiederum betonen, daß das marxistische Wort wahr ist : Die Philosophen haben die Welt interpretiert, erklärt; es handelt sich aber darum, die Welt nach Gedanken nicht nur zu erklären, sondern umzugestalten —, so ist das trotzdem den heutigen einschneidenden Zeitforderungen gegenüber nicht nur eine Halbheit, vielleicht nicht einmal eine Viertelheit. Das, was notwendig ist, das ist, daß man nicht nur die Gedanken anwenden soll auf irgendwelche Umwandelung von Einrichtungen, von sozialen Strukturen, sondern daß es sogar notwendig ist, die Gedanken selber umzuwandeln. Nur aus neuen, nur aus umgewandelten Gedanken wird ein gesunder sozialer Organismus sich entwickeln können. Einrichtungen, das lassen sich die Menschen noch leicht gefallen; umzudenken, das lassen sie sich weniger gefallen. Das aber ist notwendig. Und ehe man das nicht einsehen wird, wird man nicht sich orientieren und nicht mitwirken können an der Gesundung des sozialen Organismus.

Lange Zeit hat gepocht an das Tor der wichtigsten menschlichen Erwägungen und Entschlüsse die soziale Frage. Jetzt ist sie eingedrungen in das Haus der Menschheit. Sie kann nicht wieder hinausgeworfen wer­den, denn sie ist in gewisser Beziehung der Menschheitsentwickelung gegenüber eine Zauberin. Sie wirkt nicht nur auf das Äußere des Menschheitsgefüges, sie wirkt so, daß die Menschen vor der Notwen­digkeit stehen, entweder umzudenken oder zu dem schon vorhandenen Unglück ein immer vermehrteres Unglück zu fügen.

Damit deutet man an, was notwendig ist, was notwendig realisiert werden muß, wenn es nicht zu spät werden soll in der Beziehung, daß die Instinkte, wie ich schon sagte, Formen annehmen, so daß eine Verständigung zwischen den verschiedenen Menschenklassen nicht mehr möglich sein werde. Nur dann gehen wir der Gesundung des sozialen Organismus entgegen, wenn wir das Neue, das wir erwarten, wenn wir das Gesundende, das wir erhoffen, nicht begründen wollen auf die alten Gedanken, sondern wenn wir uns kühn und kraftvoll entschließen, zur Fortentwickelung der Menschheit unsere Kraft zu wenden an neue Gedanken; denn aus neuen Gedanken wird allein erblühen die Lebensmöglichkeit von neuen Generationen. So wird man denken müssen, daß die soziale Frage heraufgekommen ist, daß sie entwachsen ist den Bedingungen des modernen Lebens. Aber man wird falsch denken, wenn man glauben wird, man könne sie irgendwie momentan lösen. Der Sozialismus ist nicht etwas, was eine Lösung oder ein Lösungsversuch ist, nein, das moderne Leben und das Leben der Menschheit in die Zukunft hinein hat die soziale Frage heraufgebracht. Sie wird immer da sein. Im lebenden sozialen Organismus wird sie immer gelöst werden müssen. Darin wird ein Teil, ein Stück des Lebens der zukünftigen Menschheit bestehen müssen, daß in jeder Generation aufs neue diese Frage gelöst werden muß, aus neuen Formen gelöst werden muß, diese Frage, die einmal heraufgezogen ist, mahnend und erschütternd das ganze Gefüge des menschlichen Denkens und Wollens, die soziale Frage. Wenden wir uns ihr zu mit unserem ganzen Herzen, mit unserer ganzen Seele, sonst wird sie sich uns zuwenden, dann aber allerdings nicht zu unserem Heil, sondern zu unserem Unheil.