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Institut pour une tri-articulation sociale
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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




L'étude du commerce spirituel des indulgences pour une banque de Gênes faisant crédit au pape éclaire sur la nature spirituelle de tout capital et  la nature de l'État jusqu'à présent.
 Die Studie über den geistlichen Handel mit Ablässen für eine Bank in Genua, die dem Papst einen Kredit gewährt, beleuchtet die geistliche Natur des gesamten Kapitals und die Art des bisherigen Staates.

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 337a 134-135 (1999) 30/07/1919

Original





Traducteur: FG  v.01 - 06/05/2020 Éditeur: SITE

Mais autre chose est pris en compte. Prenons un certain fait, n'est-ce pas, le fait de la façon dont le Protestantisme a une fois émergé. Dans les livres d'histoire c'est donc très souvent raconté ainsi que le Tetzel (NDT : Johann Tetzel (1465-1519) prêtre dominicain) s'est déplacé à l'intérieur de l'Europe centrale, et que les gens étaient indignés de la vente des indulgences et du genre. Mais ce n'était pas seulement cela, ce n'est que le point de vue de surface. La chose principale qui était cachée là derrière, était le fait qu’il y avait à Gênes un établissement bancaire, en contrat avec lequel - pas en contrat avec le Pape – cet épicier d'indulgences a fait le tour en Allemagne, car cet établissement bancaire avait accordé des crédits au Pape pour ses autres besoins. Toute l'histoire était une entreprise capitaliste. À cet exemple du commerce des indulgences comme une entreprise capitaliste, où il a été fait du commerce avec du spirituel, à cet exemple, vous pouvez étudier - ou mieux dit, quand on commence là à étudier, on en vient peu à peu sur ce que finalement toute la puissance du capital revient finalement à la suprématie du spirituel. Étudiez comment le capital est en fait venu à son pouvoir, ainsi vous trouvez partout la suprématie du spirituel. Et c'est vraiment ainsi. N'est-ce pas, ce qui est malin, qui est plein de ressources, c'est un pouvoir plus grand que celui qui n'est pas malin, n'a pas de ressources. Et de cette manière, beaucoup de ce qui est rassemblement en bandes du capital apparaît de manière justifiée - ou aussi de manière injustifiée. Cela doit être pris en compte lorsqu'on tient à l'œil le concept de capital.
Lors de telles études réelles on arrive derrière ce que le capital repose sur le déploiement du pouvoir spirituel et qu’aux droits à fond et sol (NDT : foncier), aux droits de conquérant, d’un autre côté s’est joint le pouvoir de l’ancien esprit théocratique. De la vieille église, il est beaucoup sorti de ce qui alors est en fait passé dans le capitalisme moderne. Il y a un pendant secret entre le pouvoir capitaliste moderne et le pouvoir de la vieille église. Et tout cela s’est rassemblé en un foutoir (NDT : ein Kuddelmuddel) dans l’état moderne de pouvoir. Là-dedans vous trouvez les vestiges des vieilles théocraties, les vestiges des vieilles conquêtes. Et finalement les conquêtes modernes vinrent à cela, et la conquête la plus moderne devrait maintenant être la conquête de l’État par le socialisme. Mais ainsi, on n’a en réalité pas la permission de le faire. Il doit venir quelque chose de nouveau, qui fait complètement le ménage avec ces vieux concepts et impulsions. C’est pourquoi il s’agira que dans nos études nous nous occupions aussi avec les concepts qui reposent aussi à la base ici. Nous devons aujourd’hui donner à chacun qui veut parler sur des choses sociales, exactement une explication sur ce qu’est droit, ce qui est un pouvoir et ce qui est en réalité un bien (économique), un bien en forme de marchandise et du genre. Sur ce domaine seront faites les plus grandes erreurs. Je veux par exemple rendre attentif à une chose ; si vous n’êtes pas attentif là-dessus, vous comprendrez beaucoup de travers dans mes livres.

Aber auch noch etwas anderes ist berücksichtigt. Nehmen wir eine bestimmte Tatsache, nicht wahr, die Tatsache, wie der Protestantismus einmal entstanden ist. In den Geschichtsbüchern wird es ja sehr häufig so erzählt, daß der Tetzel herumgezogen ist innerhalb Mitteleuropas und daß die Leute entrüstet waren über den Ablaßverkauf und dergleichen. Aber das war es nicht allein, das ist nur die Oberflächenansicht. Die Hauptsache, die dahinter stak, war die Tatsache, daß es in Genua ein Bankhaus gab, in dessen Auftrag - nicht im Auftrag des Papstes - dieser Ablaßkrämer in Deutschland herumzog, denn dieses Bankhaus hatte dem Papst für seine anderen Bedürfnisse Kredite gewährt. Die ganze Geschichte war eine kapitalistische Unternehmung. An diesem Beispiel des Ablaßhandels als einer kapitalistischen Unternehmung, wo sogar auch mit Geistigem gehandelt worden ist, an diesem Beispiel können Sie studieren - oder besser gesagt, wenn man da anfängt zu studieren, kommt man allmählich darauf - , daß schließlich alle Kapitalmacht zurückgeht auf die Übermacht des Geistigen. Studieren Sie, wie das Kapital eigentlich zu seiner Macht gekommen ist, so finden Sie überall die Übermacht des Geistigen. Und so ist es wirklich. Nicht wahr, wer schlau ist, wer findig ist, der hat eine größere Macht als derjenige, der nicht schlau, der nicht findig ist. Und auf diese Art entsteht gerechtfertigterweise - oder auch ungerechtfertigterweise — vieles, was Zusammenscharrung des Kapitals ist. Das muß berücksichtigt werden, wenn man ins Auge faßt den Kapitalbegriff.
Bei solchen realen Studien kommt man dahinter, daß Kapital auf Entfaltung der geistigen Macht beruht und daß zu den Grund- und Bodenrechten, zu den Erobererrechten, von anderer Seite hinzugekommen ist die Macht des alten theokratischen Geistes. Von der alten Kirche ist viel von dem ausgegangen, was dann übergegangen ist eigentlich in den modernen Kapitalismus. Es gibt einen geheimen Zusammenhang zwischen der modernen kapitalistischen Macht und der Macht der alten Kirche. Und das alles hat sich zu einem Kuddelmuddel zusammengezogen in den modernen Machtstaat. Da drinnen finden Sie die Überreste der alten Theokratie, die Überreste der alten Eroberungen. Und schließlich kamen die modernen Eroberungen dazu, und die allermodernste Eroberung soll jetzt die Eroberung des Staates durch den Sozialismus sein. Aber so darf man es in Wirklichkeit nicht machen. Es muß etwas Neues werden, was mit diesen alten Begriffen und Impulsen vollständig aufräumt. Daher wird es darauf ankommen, daß wir uns bei unseren Studien auch befassen mit den Begriffen, die hier zugrundeliegen. Wir müssen heute jedem, der über soziale Sachen reden will, genau Aufschluß geben darüber, was Recht ist, was Macht ist und was in Wirklichkeit ein [wirtschaftliches] Gut ist, ein Gut in Form von Waren und dergleichen. Auf diesem Gebiet werden die größten Fehler gemacht. Ich will zum Beispiel auf einen aufmerksam machen; wenn Sie darauf nicht aufmerksam sind, werden Sie vieles in meinem Buche mißverstehen.