triarticulation

Institut pour une tri-articulation sociale
(contenu spécifique au site français)
Conditions d'utilisation.

Accueil

 

Deutsch English Dutch Skandinavisk Français Italiano Español Português (Brasileiro) Russisch
Recherche
 contact   BLOG  impressum 
Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




La Terre, devenue organisme global par les banques, a besoin d'une âme !

Die Erde, die durch die Banken zu einem globalen Organismus geworden ist, braucht eine Seele !

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 182 082-083 (1996) 30/04/1918 Ulm

Original





Traducteur: FG v.02 - 05/05/2020 Éditeur: SITE

J'ai la permission de rappeler là à une phrase que j’ai souvent prononcée, comme le savent ces amis qui suivent maintenant notre mouvement depuis des années. J’ai plus d’une fois exprimé qu'au cours des trois à quatre derniers siècles, la Terre avec ses différents peuples, est devenue une unité dans la relation commerciale, industrielle, à la mesure des banques et ainsi de suite.

J'ai indiqué sur ce que les moyens modernes d'échange et ce qui s'est déroulé par les moyens modernes d'échange jusqu’à il y a peu ont déversé sur la Terre entière, de par justement la Terre entière, une unité de l'économique, de la vie extérieure économique, une unité, si nous avons la permission de dire ainsi, de la vie physique de la Terre. Un chèque qui a été établi à New-York, pouvait être tiré à Tokyo ou à Berlin ou bien là où toujours. À ce fait, j'ai toujours ajouté l'exigence, dans les années qui ont précédé cette guerre : pas seulement le corps humain a besoin d'une âme, mais un tel corps a besoin d'une âme, ne peut pas vivre sans âme. Ce qui s'est répandu comme corps physique en relations commerciales, industrielles, en autres relations sinon, cela a besoin d'une âme, une âme telle qu'elle offre la possibilité, que par-dessus la Terre, les humains, ainsi qu'ils se comprennent par l'argent, se comprennent aussi par l'esprit. Donner une âme de la Terre au corps de la Terre, cela est quelque chose, que j'ai souvent prononcé comme valeur à laquelle aspirer.
.

.
 .










Ich darf da erinnern an einen Satz, den ich öfter ausgesprochen habe, wie diejenigen Freunde wissen, die unserer Bewegung nun schon seit Jahren folgen. Ich habe es öfter ausgesprochen, daß im Laufe der letzten drei bis vier Jahrhunderte die Erde mit ihren verschiedenen Völkern in kommerzieller, in industrieller, in bankmäßiger Beziehung und so weiter eine Einheit geworden ist.
Ich habe darauf hingewiesen, wie die modernen Verkehrsmittel und das, was durch die modernen Verkehrsmittel bis vor kurzem über die ganze Erde hingerollt ist, über die ganze Erde hin eben eine Einheit des Wirtschaftlichen, des äußeren wirtschaftlichen Lebens ausgegossen hat, eine Einheit, wenn wir so sagen dürfen, des physischen Erdenlebens. Wir hatten eine Einheit des physischen Erdenlebens. Ein Scheck, der in New York ausgestellt wurde, konnte in Tokio oder in Berlin oder wo immer eingelöst werden. Zu dieser Tatsache habe ich immer die Forderung hinzugefügt in den Jahren, die diesem Kriege vorangegangen sind: Nicht nur der menschliche Leib braucht eine Seele, sondern ein jeglicher Leib braucht eine Seele, kann nicht ohne Seele leben. Was als physischer Leib in kommerzieller, industrieller, in sonstiger Beziehung über die Erde hin wie ein physischer Leib eben sich ausgebreitet hat, das bedarf einer Seele, einer solchen Seele, die die Möglichkeit bietet, daß über die Erde hin die Menschen sich so, wie sie sich kommerziell, so, wie sie sich geldlich verstehen, sich auch geistig verstehen. Dem Erdenleib eine Erdenseele zu geben, das ist etwas, was ich öfter als erstrebenswert ausgesprochen habe.