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Institut pour une tri-articulation sociale
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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




Machines et banque comme production de la force spirituelle géniale pourtant incapable d'évolution morale. Inadaptation de la pensée sociale à l'activité industrielle.

Maschinen und Bankgeschäfte als eine Produktion der genialen spirituellen Kraft, die jedoch nicht in der Lage ist, eine moralische Evolution durchzuführen. Unzureichende Anpassung des sozialen Denkens an die industrielle Tätigkeit..

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 056 231-232 (1965) 12/03/1908 Berlin

Original





Traducteur: FG v.02 - 05/05/2020 Éditeur: SITE

Demandons-nous maintenant : la pensée humaine, l’intérêt humain a-t-il aussi agi pour créer cette structure sociale, qui se tient en une quelque harmonie, en quelque adéquation à ce que la force humaine de l’esprit à créer dans les domaines de la technique et de l’industrie ?
Qu'on se pense une fois hypothétiquement, ce qui serait arrivé si les êtres humains, ou si une individualité humaine, avait été en état d'utiliser sa force spirituelle, qui s'est cristallisée de manière si puissante, si génialement, en machines, en banque et en système de transports, pour introduire cela aussi dans une structure sociale appropriée pour ceux qui sont placés dans cette évolution. Nous ne voulons pas nous placer sur le point de vue sur lequel se place un chercheur sur la nature souvent nommé, qui dit que tous les puissants progrès de l’esprit humain, de la science humaine ; de l’industrie humaine, du commerce/de la circulation/des échanges humains n’ont pas du tout contribué au progrès de l’évolution morale humaine, mais quand nous regardons sur ce que les humains ont produit en rapport de morale et de mentalité, ainsi nous nous tiendrions encore aujourd’hui au plus ancien point de vue originel de la barbarie. – Cette opinion ne se rattachera à aucune considération plus profonde ; mais c’est quand même vrai que face à toutes les conquêtes techniques et scientifiques, que nous admirons aujourd’hui, sur domaine extérieur et intérieur, rien ne se tient sur le domaine de la vie sociale, de la structure sociale. Nous voyons, comment s’expriment, dans la disharmonie entre nostalgie humaine, besoins humains et idéaux humains, oui même l’attitude de vie simplement-naturelle humaine, et ce que la réalité offre aujourd’hui pour tous les humains dans sa réalité, de la manière la plus diversifiée, l’inadaptation de la pensée sociale en rapport à l’activité industrielle.

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Fragen wir uns jetzt: Hat menschliches Denken, hat menschliches Interesse auch vermocht, jene soziale Struktur zu schaffen, die in irgendeiner Harmonie, in irgendeiner Angemessenheit steht zu dem, was in den Gebieten der Technik und der Industrie die menschliche Geisteskraft geschaffen hat?
Man denke sich einmal hypothetisch, was geworden wäre, wenn die Menschen, oder wenn eine menschliche Individualität imstande gewesen wäre, ihre Geisteskraft, die in so gewaltiger, so großartiger Weise sich kristallisiert hat in Maschinen, in Banken und im Verkehrswesen, dazu zu verwenden, um diejenigen, welche hineingestellt sind in diese Entwickelung, auch in eine entsprechende soziale Struktur hineinzubringen. Wir wollen uns nicht auf den Standpunkt stellen, auf den sich ein vielgenannter Naturforscher stellt, der sagt, daß alle großartigen, gewaltigen Fortschritte des menschlichen Geistes, der menschlichen "Wissenschaft, der menschlichen Industrie, des menschlichen Verkehrs gar nichts zum Fortschritt der moralischen Menschheitsentwickelung beigetragen haben, sondern wenn wir auf dasjenige blickten, was die Menschen hervorgebracht haben in bezug auf Moral und Gesittung, so stünden wir heute noch auf dem urältesten Standpunkt der Barbarei. - Dieser Meinung wird sich keine tiefere Betrachtung anschließen; aber wahr ist es doch, daß allen den technischen und wissenschaftlichen Errungenschaften, die wir heute bewundern, auf äußerem und auf innerem Gebiete, nichts gegenübersteht auf dem Gebiete des sozialen Lebens, der sozialen Struktur. Wir sehen, wie sich in der Disharmonie zwischen menschlicher Sehnsucht, menschlichem Bedürfnis und menschlichem Ideale, ja sogar der einfach-natürlichen menschlichen Lebenshaltung, und dem, was für alle Menschen das Leben in seiner Realität heute bietet, in der mannigfaltigsten Weise die Unangemessenheit des sozialen Denkens in bezug auf die industrielle Tätigkeit ausprägt.