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Institut pour une tri-articulation sociale
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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




Comparaison de la banque et de l'organisation calorique humaine

 Vergleich der Bank und der humanen kalorischen Organisation

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 201 236-237 (1987) 16/05/1920

Original





Traducteur: FG v.02 - 16/05/2020 Éditeur: SITE

Quand on essaie de discerner comment l'humain se tient dans l'univers entier, il ne s'agit pas seulement de regarder le spatial, mais aussi le temporel. Celui qui suit quelque peu l'évolution historique de l'humanité trouvera que c’est une particularité de la vision du monde orientale de placer le spatial en avant, toutefois pas ainsi que le temporel en resterait complètement ignoré ; mais l'espace se tient au premier plan. Par contre, c'est la vision particulière occidentale du monde qui compte avec le temporel dans une mesure très spéciale. Et tout de suite la vue sur ce temporel dans l'évolution de l'humanité, et de l'univers absolument, est ce qui devra être pris en compte avant toutes choses dans une façon de voir correcte sur la force du Christ. Mais alors, si on veut reconnaître correctement la puissance/force du Christ dans toute sa signification dans l'évolution de l'humanité et de la terre, alors on doit pouvoir correctement placer temporellement l’humain lui-même dans tout l'univers. La croyance générale à la loi de la conservation de l'énergie empêche cela aujourd'hui, comme je l'ai mentionné à plusieurs reprises, et en particulier aussi celle à la loi de conservation de la matière. Cette loi de la conservation de l'énergie, c’est donc cela avant toute chose, que les humains aimeraient mettre ainsi dans l'univers afin qu'en cela, cet humain se tienne en fait seulement à l'intérieur de cet univers comme un produit de la nature. Il y a même déjà des tentatives qui ont été faites pour fonder comment la transmutation de ce que l'homme prend comme nourriture par la combustion passe en forces, et comment alors la chaleur de la combustion apparaissant dans l'être humain et son autre force sinon se donnent comme l’énergie convertie des aliments. De telles tentatives ont déjà été faites avec des étudiants dans les temps récents. Elles sont semblables aux pensées qui voulaient se faire valoir quelque peu de la manière suivante : on voit une maison, entend que c'est une banque, tente par une quelque manipulation de compter tout l'argent qui sera rentré dans cette banque, et compte alors aussi tout l'argent qui sera de nouveau sorti ; et on trouve que c'est le même. Et on en tire maintenant la conclusion : donc, l'argent s'est transformé là-dedans, ou est resté le même, et dans cette maison de banque ne sont pas d'employés, aucun humain. Quelque chose comme ça est en effet le caractère logique de la pensée (NDT : littéralement : logicité de la pensée), que tout ce que l'humain ingère en soi pourrait à nouveau se trouver dans les forces non transformées de son réchauffement, son activité. Là aussi, on n’a seulement pas le courage, j’aimerais dire, d'examiner vraiment une fois la profondeur des pensées qui repose à la base de ces principes modernes. On en recevrait toutes sortes de choses si on examinait ce qui figure dans la soi-disant science du présent, sur sa logique et notamment sur son caractère de réalité.

 

Wenn man versucht zu erkennen, wie der Mensch im ganzen Universum drinnensteht, so handelt es sich darum, nicht nur das Räumliche dabei ins Auge zu fassen, sondern auch das Zeitliche. Wer die Entwicklungsgeschichte der Menschheit etwas verfolgt, wird finden, daß es eine Eigentümlichkeit orientalischer Weltanschauung ist, das Räumliche in den Vordergrund zu stellen, allerdings nicht so, daß das Zeitliche dabei ganz unberücksichtigt bleibt; aber es steht das Räumliche im Vordergrunde. Dahingegen ist es das Eigentümliche abendländischer Weltanschauung, mit dem Zeitlichen in ganz besonderem Maße zu rechnen. Und gerade der Hinblick auf dieses Zeitliche in der Entwickelung der Menschheit und des Universums überhaupt ist dasjenige, was bei einer richtigen Anschauung über die Christus-Kraft vor allen Dingen berücksichtigt werden muß. Dann aber, wenn man die Christus-Kraft in ihrer ganzen Bedeutung innerhalb der Evolution der Menschheit und der Erde richtig erkennen will, dann muß man den Menschen selbst zeitlich richtig in das ganze Universum hineinstellen können. Daran hindert heute, wie ich schon mehrfach erwähnte, der allgemeine Glaube an das Gesetz von der Erhaltung der Kraft und namentlich auch an das Gesetz von der Erhaltung des Stoffes. Dieses Gesetz von der Erhaltung der Kraft, das ist es ja vor allen Dingen, welches den Menschen so in das Weltenall hineinstellen möchte, daß dieser Mensch dabei eigentlich nur wie ein Naturprodukt in diesem Weltenall drinnensteht. Es sind ja sogar schon Versuche gemacht worden zu ergründen, wie die Umwandelung desjenigen, was der Mensch aufnimmt als Nahrung, durch die Verbrennung geschieht in Kräfte, und wie die dann in dem Menschen auftretende Verbrennungswärme und seine sonstige Kraft sich als die umgewandelte Kraft der Nahrungsmittel ergibt. Solche Versuche sind bereits in der neueren Zeit mit Studenten gemacht worden. Sie gleichen dem Gedanken, der etwa in der folgenden Weise sich geltend machen wollte: Man sieht ein Haus, hört, das ist eine Bank, versucht durch irgendwelche Manipulationen alles Geld, welches hineingetragen wird in diese Bank, zu zählen und zählt dann auch alles dasjenige Geld, das wiederum herausgetragen wird; und man findet, daß das dasselbe ist. Und jetzt zieht man daraus den Schluß: also hat sich das Geld darinnen umgewandelt, oder es ist das gleiche geblieben, und es sind keine Beamten, keine Menschen in diesem Bankhaus drinnen. So ungefähr ist ja die Logizität des Gedankens, daß man alles dasjenige, was der Mensch in sich hineinißt, in den umgewandelten Kräften seiner Erwärmung, seiner Betätigung wiederum finden könne. Man hat auch da nur nicht den Mut, wirklich einmal, ich möchte sagen, die Gedankentiefe zu prüfen, die diesen modernen Prinzipien zugrunde liegt. Man würde gar mancherlei herausbekommen, wenn man das, was in der sogenannten Wissenschaft der Gegenwart figuriert, auf seine Logizität und namentlich auf seinen Wirklichkeitscharakter hin prüfen würde.