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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




Albert Schweizer : la banqueroute de l'État de culture.

 Albert Schweizer: der Bankrott des Kulturstaates.

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 225 059-059 (1990) 01/07/1923

Original





Traducteur: FG v.02 - 16/05/2020 Éditeur: SITE
Maintenant Albert Schweizer discute aussi encore le rôle des sur-organisations dans notre délabrement de la culture. Il pense, que les rapports publics œuvrent aussi en entravant la culture parce que partout apparaîtraient des sur-organisations. Aujourd’hui sont donc partout créées des dispositions, des prescriptions, des lois. On est dans une organisation avec tout. Les humains vivent cela sans y penser. Ils font aussi sans y penser. Ils sont toujours organisés dans une quelque chose, ainsi qu’Albert Schweizer trouve qu’aussi cette « sur-organisation » a absolument œuvré comme entravant la culture. "La terrible vérité, qui ne devient pas plus légère mais plus lourde avec les progrès de l'histoire et le développement économique ne vint pas à la parole". - "La banqueroute de l'État de culture, qui devient de plus en plus manifeste de décennie en décennie, ruinera les humains modernes. La démoralisation de l’individu par l’ensemble est pleinement en cours.




Un non-libre, un non-collectionné, un incomplet, un se perdant en absence d’humanité, un donnant prix à la société organisée de son autonomie spirituelle et de son jugement moral, un faisant l’expérience à chaque égard des entraves de la mentalité culturelle : ainsi l’humain moderne traçait son sombre chemin en un temps sombre. Pour le danger dans lequel il se trouvait, la philosophie n'avait aucune compréhension. Ainsi elle ne faisait aucune tentative pour l’aider. Pas une fois pour réfléchir avec lui sur ce qui se passait ».


Dans le troisième chapitre, Albert Schweitzer parle alors de ce qu’une véritable culture devrait avoir un caractère éthique de base.



Nun bespricht Albert Schweitzer auch noch die Rolle der Überorganisation in unserem Kulturverfall. Kulturhemmend, meint er, wirken auch die öffentlichen Verhältnisse dadurch, daß Überorganisation überall aufträte. Es werden ja heute überall organisierende Verfügungen, Verordnungen, Gesetze geschaffen. Man ist mit allem in einer Organisation darinnen. Die Menschen erleben das gedankenlos. Sie tun auch gedankenlos. Sie sind immer in irgend etwas organisiert, so daß Albert Schweitzer findet, daß auch diese «Überorganisation» durchaus kulturhemmend gewirkt hat.  «Die furchtbare Wahrheit, daß mit dem Fortschreiten der Geschichte und der wirtschaftlichen Entwicklung die Kultur nicht leichter, sondern schwerer wird, kam nicht zu Worte.» - «Die furchtbare Wahrheit, daß mit dem Fortschreiten der Geschichte und der wirtschaftlichen Entwicklung die Kultur nicht leichter, sondern schwerer wird, kam nicht zu Worte.» - «Der Bankerott des Kulturstaates, der von Jahrzehnt zu Jahrzehnt offenbarer wird, richtet den modernen Menschen zugrunde. Die Demoralisation des einzelnen durch die Gesamtheit ist in vollem Gange.
 Ein Unfreier, ein Ungesammelter, ein Unvollständiger, ein sich in Humanitätlosigkeit Verlierender, ein seine geistige Selbständigkeit und sein moralisches Urteil an die organisierte Gesellschaft Preisgebender, ein in jeder Hinsicht Hemmungen der Kulturgesinnung Erfahrender: so zog der moderne Mensch seinen dunklen Weg in dunkler Zeit. Für die Gefahr, in der er sich befand, hatte die Philosophie kein Verständnis. So machte sie keinen Versuch, ihm zu helfen. Nicht einmal zum Nachdenken über das, was mit ihm vorging, hielt sie ihn an.»
Im dritten Kapitel spricht dann Albert Schweitzer davon, daß eine wirkliche Kultur einen ethischen Grundcharakter haben müßte.