|   Dans l’organisme tri-articulé vivant, conforme à la
                          nature, on a à faire maintenant, j’aimerais dire, avec
                          les deux contraires polaires : d’un côté avec la
                          vie spirituelle et de l’autre côté avec la vie
                          économique. La vie spirituelle, qui, quand seulement
                          elle devient libre, se donne des effets des forces,
                          qu’amènent les êtres humains par leur naissance et
                          leur évolution dans l’être-là, cette vie spirituelle
                          représente justement une réalité par son propre
                          contenu. Là se développera tout de suite le fécond de
                          la vie spirituelle, quand on ne découpe et ne rétrécit
                          pas par n’importe quelle norme ce que quelqu’un peut.
                          Le fécond se donne évidemment tout à fait simplement
                          par ce que cela repose dans l’intérêt de l’être
                          humain, que celui qui peut plus et a les plus grandes
                          dispositions, peut aussi œuvrer plus. Il sera
                          entièrement évident que celui qui sera pris, disons
                          comme professeur, pris pour un certain nombre
                          d’enfants, duquel ceux qui cherchent un professeur
                          peuvent être convaincu, qu’il peut effectuer dans sa
                          sphère ce dont il s’agit.Quand la vie de l’esprit est vraiment libre, la
                          constitution entière de la vie de l’esprit se donne à
                          partir de la nature de la chose elle-même ; dans
                          cette vie de l’esprit œuvrent les êtres humains qui se
                          tiennent dedans. De l’autre côté nous avons la partie
                          de l'économie de l’organisme social tri-articulé. Là
                          se donne à nouveau des besoins de consommation et des
                          possibilités de production, des différentes chaînes,
                          des relations qui se donnent, de tout cela se donne la
                          structure de la vie de l'économie. Je peux seulement
                          évoquer cela brièvement dans cette réponse à une
                          question. Mais alors jouent dedans les différents
                          rapports, qui peuvent jouer entre être humain et être
                          humain, ou entre groupes d’humains et êtres humains
                          particulier. Tout cela mettra la vie de l’économie en
                          mouvement. Et sur ces deux domaines ne viens en fait
                          tout d’abord pas du tout en question ce qu’on appelle
                          « droit », aussi loin que ces deux domaines
                          veillent eux-mêmes à leurs affaires.
 Quand on pense réel – naturellement, les êtres
                          humains ne pensent aujourd’hui pas réel, mais
                          théoriques, à partir du déjà existant, c’est pourquoi
                          ils confondent ce que le domaine de l'esprit a déjà
                          d’idées de droit, avec les idées de droit du domaine
                          de l’économie -, quand on pense réel, pratique, ainsi
                          viennent dans la vie libre de l’esprit pas du tout en
                          considération des impulsions de droit, mais viennent
                          en considération des impulsions de confiance, viennent
                          en considération des impulsions de facultés. C’est
                          simplement une aberration, de parler dans la vie de
                          l’esprit que celui qui peut quelque chose a un droit à
                          œuvrer. Il ne peut pas du tout venir en question de
                          parler d’un tel droit, mais on doit parler de ce qu’on
                          a besoin de lui, qu’il devrait œuvrer. Celui, qui peut
                          faire cours à des enfants, on le laissera évidemment
                          enseigner, et il ne sera aucune question si là est
                          présupposé une autorisation ou pas ; ce n'est pas
                          de quelque façon une question du droit en tant que
                          tel. C’est justement aussi ainsi dans la vie de
                          l’économie. Là joueront un rôle soit des contrats
                          écrits ou verbaux, et la confiance dans les contenus
                          des contrats devra jouer un rôle. Que les contrats
                          seront tenus, cela se donnera quand la vie de
                          l'économie sera entièrement sur elle-même, par ce que
                          la vie de l’économie ne peut simplement pas
                          fonctionner, quand les contrats ne seront pas tenus. |