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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 10 -Anarchistes, anarchisme,
et individualisme éthique.
Organiser le marché anarchique en grand plutôt qu'en petit. Anarchischer Markt im Großen statt Kleinen organisieren.

 

 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes : 330 178-184 (1983) 15/03/1919
Traducteur: FG v. 01/20161119 Editeur: SITE

Ce qui est monté sous le capitalisme récent, ce qui s'est toujours développé de plus en plus, ce qui est arrivé aujourd'hui sur le sommet de sa conscience, nommément à sa conscience de classe, c'est le groupe social d'êtres humains, qui provisoirement comme groupe social consiste au fond seulement en la population de travailleurs manuels, du prolétariat. Qu'est ce qui est à accomplir en rapport à ce groupe social ? Maintenant, ce groupe social a exercé d'une certaine manière le recours à ses propres moyens, il a aussi arraché maintes choses pour lui, qu'il a arraché aux états dirigés selon le capitalisme, à la pure ordonnance économique capitaliste et ainsi de suite. Coopératives, syndicats sont pour l'organisation des groupes sociaux - ce furent tout d'abord des masses anarchiques de travailleurs, non d'après la mentalité, mais apparu tout d'abord anarchiste d'après le groupement. Mais aussi longtemps que nous nous tenions sous l'ancien ordre de l'économie, nous n'avons pu amener ces tentatives d'organisation à aucun but correct. Malgré toute la flagornerie de la protection des travailleurs, du système d'assurance des travailleurs, même de la protection internationale des travailleurs et ainsi de suite, toutes ces choses n'ont pas été appropriées, a organiser vraiment à la mesure de la chose les groupes sociaux qui vivent comme population prolétarienne. Car il resta chez toutes ces tentatives d'organisations quelque chose en vis-à-vis, il resta en vis-à-vis le capital se tenant vis-à-vis et ses représentants. Et ainsi se forma vers dehors ce qui était là, et ce qui aujourd'hui n'est pas encore autrement, la lutte entre une des classes de la société, les porteurs du capitalisme, et l'autre classe de la société, le prolétariat. Lutte, concurrence, c'est cela qui s'en est formé.

 

Et ce a quoi nous somme arrivés par cette lutte, par cette concurrence, que le travailleur organisé en syndicat doit arracher son augmentation de salaire ou sinon quelque chose aux représentants du capital par le regroupement, nous avons donc vu cela. En ce que sent aujourd'hui le prolétariat, s'exprime clairement comme peu l'organisation pouvait jusqu'à présent remplir ce qui reposait comme exigence à l'intérieur du prolétariat.

Dans des conférences précédentes, j'ai déjà rendu attentif en quoi réside le point principal. On pourrait dire, deux points principaux de tout le socialisme reposent en deux revendications, auxquelles comme d'elles-mêmes, comme d'une conséquence évidente, se donne une troisième. Elles reposent premièrement dans l'exigence, qui aujourd'hui déjà a été discutée lors de la discussion du capital, dans l'exigence qu'à l'avenir le capital ayant flué dans les moyens de production n'aurait pas la permission d'être possession. Le capital sera déshabillé du caractère de possession. Deuxièmement, le travail n'a plus la permission d'être marchandise à l'avenir, cela signifie dans la société socialiste ou sociale future, dans l'organisme social sain, le rapport de salaire s'arrêtera. Travail et force de travail n'a pas plus longtemps la permission d'être marchandise. Celui, qui travaille des mains, produit comme compagnon avec le travailleur spirituel de la manière dont ça a déjà été caractérisé. Il n'existe aucun contrat de travail, il existe simplement un contrat sur le partage des prestations. C'est cela qui pourra seulement être atteint, quand le travailleur se tient face au directeur de travail comme un être humain pleinement libre, cela signifie quand il est en état, sur un tout autre sol que celui de la mesure de l'ordre économique, d'établir/de fixer le temps, la sorte de sa force de travail, quand il peut disposer librement sur soi comme humain entier, avant qu'il pénètre dans un rapport de contrat.

Je sais, que les tresses (NDT un auditoire que de femmes?) d'aujourd'hui ne peuvent pas encore se représenter ce qui a été dit comme quelque chose de pratique. Seul, il y a cinquante ans,on n'a pas pu se représenter pratiquement maintes choses qui depuis sont devenues quelque chose de pratique. Le travailleur pénètre dans le rapport de contrat comme un humain libre, qui peut dire : parce que je peux poser le caractère de ma force de travail sur un sol indépendant de la vie de l'économie, je viens maintenant à ta rencontre et travaille avec toi ainsi que ma force de travail est réglée/réglementée. Ce que nous fabriquons, repose sous un contrat de partage avec toi !

Voyez-vous, c'est pourquoi il est nécessaire, qu'à l'avenir sera détaché l'état particulier, le domaine de droit particulier du domaine de l'économie. Par ce que cela se passe, on sera en état de réguler aussi vraiment indépendamment de la vie de l'économie, tout ce qui pourra être régulé/réglementé comme droit sur sol démocratique. La vie de l'économie elle-même pourra seulement être organisée de l'expérience et des fondements réels de cette vie de l'économie. Mais la force de travail peut déjà être organisée quand le travailleur pénètre absolument dans la vie de l'économie. Alors, quand c'est le cas, alors vivra à l'avenir d'un côté le capital circulant,respectivement les moyens de production circulants, qui ainsi ne sont possédé par aucun être humain, mais sont là en réalité pour l'utilisation générale, qui peuvent toujours venir sur les plus compétents par les institutions, qui se sont justement présentées auparavant. Alors sera là de l'autre côté la liberté de l'être humain, pas seulement en rapport à toutes sortes de biens idéaux, mais que le travailleur manuel ne peut compter aujourd'hui aux siens, mais avant toutes choses en rapport à la force de travail humaine. Alors la vie économique sera déchargée des rapports de salaire, car alors il n'y aura dans la vie de l'économie que des biens, ou ma foi, nommons les des marchandises. Alors se tiendrons face à face d'autre manière ce qui est capital, salaire et marché. Alors sera, comme vous avez vu, laisser de côté le capital , le salaire en tout cas, car des prestations seront là, lesquelles le travailleur produit en commun avec le directeur de travail. Le concept de salaire s'arrête d'avoir un sens.

Mais aussi ce qui aujourd'hui est le marché, prendra une autre forme. Aujourd'hui le marché a encore quelque chose d'anarchique, quand aussi beaucoup est déjà organisé dans le plus petit et le petit. Le marché règle les valeurs mutuelles des marchandises, et c'est la seule chose, qui de valeurs devraient être là actuellement dans la vie de l'économie, car la force de travail humain a une valeur comparable avec rien, n'a pas le droit/la permission d'être compté aux valeurs économiques.

Ce qui de valeurs économiques sera là, seront les valeurs de comparaison des marchandises. Sous les rapports décrits sera possible, que les marchandises reçoivent de telles valeurs de comparaison, lesquelles les êtres humains dans la plus large étendue, cela signifie tous les humains, qui travaillent, donnent une aisance le plus possible générale, pas à la mesure de la situation de vie d'un groupe. Cela peut alors seulement être quand le marché cesse d'être, ce qu'il est aujourd'hui, quand il sera organisé de part en part , quand les expériences économiques les plus englobantes, du calcul de ce que sont les soubassements économiques différenciés, se donne une fixation de valeurs de marchandises, qui ne reposent pas sous les rapports anarchiques d'offre et de demande, mais qui sont orientés vers le besoin humain volontiers établi par expérience. Cela pourra seulement être atteint, quand cette vie de l'économie, quand le marché, ou mieux dit, les marchés, seront transformés en associations, en coopératives et ainsi de suite. Cette construction coopérative, cette construction pas seulement quelque peu sur de telles coopératives, comme a déjà été tenté, mais le mener à bien de la vie de l'économie entière avec structure coopérative, sera seulement possible alors, quand à partir des expériences de la vie de l'économie, on s'appropriera une connaissance intuitive des relations entre producteurs et consommateurs. Dans cette relation il y a aussi des bases/points de départ. Vous pouvez apprendre à les connaître dans les efforts de Sidney Webb, où est fourni du grandiose, aussi loin que du grandiose puisse être fourni à l'intérieur de l'ordre économique actuel, qui existe encore en dehors de ces coopératives. Mais l'ordre économique sera-t-il transformé absolument de la manière indiquée, alors il s'agira qu'on devra effectuer la construction coopérative non d'après des exigences subjectives mais d'après ce que donne l'ordre économique.

 

 

Là j'aimerais seulement, afin que vous voyez, que les choses ne pendent pas dans l'air, faire une certaine remarque. Il se soulèvera évidemment pour celui qui prend en considération le caractère d'association de la vie de l'économie comme décrit dans mon livre "Les fondements de l'organisme social" : Comment pouvons-nous par exemple limiter des coopératives ? - Quand on voudra les limiter arbitrairement ou de n'importe quelles considérations reposant en dehors de la vie de l'économie, alors se montrerons toujours de fausses formations de prix et en conséquence de cela de fausses influences de la situation de vie humaine.

Maintenant il y a une loi bien déterminée, laquelle peut conduire à la construction d'une structure coopérative à partir de la réalité. Vous pouvez tout d'abord, quand vous saisissez des yeux les deux courants de la vie de l'économie, la production et la consommation, vous représenter des coopératives, où ces humains là se rassemblent, lesquels de manière économique veulent acheter, ainsi qu'ils exploitent tout ce qui pour l'achat est à exploiter par ce que des consommateur se rassemblent.

De l'autre côté des producteurs peuvent se rassembler, cela s'est donc déjà tout de suite passé jusqu'à la folie à l'intérieur de notre ordre de l'économie, là se montrera alors les coopératives de production. Maintenant, les deux sortes de coopératives auront des tendances entièrement différentes. Qui étudie des coopératives de consommation, trouve que des coopératives de consommation ont tout intérêt, d'avoir premièrement le plus d'humains possibles dans leurs rangs. Elles ne se défendent pas contre l'agrandissement de leur coopérative, quand elles ont leur vrai intérêt aux yeux. Les coopératives de production ont tout de suite la particularité opposée. Les participants craindrons la concurrence quand elles s'agrandissent, et elles ont tout intérêt à cela, de vendre le plus cher possible. Cela vous oriente sur ce que dans l'avenir la guérison/le salut peut seulement résider dans la mise ensemble d'humains avec des intérêts de consommation et de production, en des coopératives de consommation-production ou des coopératives de production-consommation, où pas seulement la consommation réglera la production, mais où sera même réglée la grandeur de la coopérative, en ce que la consommation a la tendance de faire la coopérative la plus grande possible, donc de déployer, d'étendre - la production a la tendance à donner des limites/frontières à la coopérative.

Là sera fait à partir de la chose elle-même, de la réalité, de créer la structure sociale. Je peux vous exposé d'innombrables cas, dont vous reconnaîtriez que qui est en état de penser conformément à la réalité, qui veut vraiment avoir aujourd'hui des idées pratiques en tête, il trouve lui-même dans les points de départs qui sont déjà disponibles dans la réalité, les bases de vraie, véritable socialisation guérissant l'être humain.

 

Mais tout ce que je vous ai dis, présuppose la véritable tri-articulation de l'organisme social. Il n'y aura pas de capitaliste dans le sens actuel, qui apparaissent purement à partir de la vie de l'économie. Il doit y avoir ces humains qui poussent à partie de la vie libre de l'esprit, comme je l'ai caractérisé dans les précédentes conférences, de cette vie de l'esprit, qui ne produira pas des produits de l'esprit abstraits, étrangers à la vie, mais qui déploiera un bien de l'esprit lequel toutefois grimpera d'un côté aux plus grandes hauteurs de l'esprit, de l'autre côté forme les humains en des humains vraiment pratiques. Sur toutes les marches de la vie de l'esprit ne seront pas formés des humains qui sont étrangers à la vie, parce qu'ils savent seulement, mais des humains, qui peuvent penser, qui peuvent disposer.

Un cycle aura lieu dans les limites que j'ai aujourd'hui déjà indiquée/évoquées, à l'intérieur desquelles seront envoyer par dessus - comme je l'ai exposé dans mon livre - ceux de l'administration spirituelle ses gens les plus capables dans la vie de l'économie et la vie de l'économie enverra par dessus ses gens dans les organisations spirituelles afin que là, ils approfondissent plus loin, ce qu'ils ont gagnés comme expérience dans la vie de l'économie, ou volontiers aussi comme professeur instruisent la jeunesse montante dans la vie de l'économie.

Un cycle vivant, porté par des humains eux-mêmes, aura lieu entre les trois membres de l'organisme social. L'organisme tri-articulé ne se désintégrera/divisera pas en trois domaines se tenant debout l'un à côté des autres. L'être humain, qui vivra dans tous les trois domaines, sera/deviendra la vivante unité.

L'être humain avec ses intérêts et forces sociales formera dans le futur absolument ce qui vit à la base de toute vie. Il s'agira beaucoup plus de l'humain qu'aujourd'hui, où l'apparent état unitaire articule tout de suite l'humanité en classes et états et ne laisse pas les humains être des humains pleins et entiers. Aujourd'hui on croit encore, qu'on a n'importe où une constitution, maintenant, alors est beaucoup gagné. Dans l'avenir on comprendra qu'une constitution n'est rien quand les humains ne sont pas là qui portent dans leur vitalité propre les forces de se constituer mutuellement, si j'ai la permission de dire ainsi. C'est cela, ce dont il s'agit, que l'on comprenne ce que j'évoquais déjà récemment : Gladstone, l'homme d'état anglais disait une fois que l'état libre nord américain avait la plus avantageuse constitution. Un autre anglais, qui me semble plus riche d'esprit que Gladston, disait là-dessus : mais ces nord-américains - cela était justement son avis - pourraient avoir une beaucoup, beaucoup plus mauvaise, même une mauvaise constitution farfelue, ce sont des gens tels qu'ils feraient la même chose d'une bonne et d'une mauvaise constitution ! Que nous placions l'humain à la place, cela devrait être particularisé de l'être humain, c'est cela qui doit être atteint. Les directeurs vivants des entreprises proviendrons d'une vie de l'esprit vivante. Le capital est annulé ! (NDT ou s'épanouit selon ce qu'on regarde de la double face du capital entre aujourd'hui et demain) A côté de tels directeurs vivants des entreprises le travailleur libre se tiendra là comme un humain entier. Quand il lancera la question : l'ordonnance de la société me donne-t-elle ma dignité humaine ? - Il saura répondre avec un grand oui. Et un marché, qui est non anarchique, mais organisé, sera en état d'appeler à un correct équilibre/une correcte compensation des valeurs de marchandises.

Was heraufgekommen ist unter dem neueren Kapitalismus, was sich immer mehr und mehr entwickelt hat, was heute gewissermaßen auf dem Höhepunkt seines Bewußtseins, nämlich seines Klassenbewußtseins angekommen ist, das ist die soziale Gruppe von Menschen, die vorläufig als soziale Gruppe im Grunde genommen nur aus der handarbeitenden Bevölkerung, aus dem Proletariat besteht. Was ist zu erfüllen mit Bezug auf diese soziale Gruppe? Nun, diese soziale Gruppe hat in einer gewissen Weise Selbsthilfe geübt, sie hat auch mancherlei für sich erzwungen, was sie abgerungen hat dem kapitalistisch geleiteten Staate, der rein kapitalistischen Wirtschaftsordnung und so weiter. Genossenschaften, Gewerkschaften sind zur Organisierung der sozialen Gruppe - es waren zunächst anarchische Arbeitermassen, nicht der Gesinnung nach, sondern der Gruppierung nach zunächst Anarchist - entstanden. Aber solange wir unter der alten Wirtschaftsordnung standen, haben es diese Organisierungsversuche zu keinem rechten Ziel bringen können. Trotz aller Lobhudelei des Arbeiterschutzes, des Arbeiterversicherungswesens, sogar des internationalen Arbeiterschutzes und so weiter sind alle diese Dinge nicht geeignet gewesen, die sozialen Gruppen, die als proletarische Bevölkerung leben, wirklich sachgemäß zu organisieren. Denn es blieb bei allen diesen Organisationsversuchen etwas zurück, es blieb zurück das gegenüberstehende Kapital und seine Vertreter. Und so bildete sich heraus, was da war, und was heute noch nicht anders ist, der Kampf zwischen der einen Gesellschaftsklasse, den Trägern des Kapitalismus, und der anderen Gesellschaftsklasse, dem Proletariat. Kampf, Konkurrenz, das ist es, was sich herausgebildet hat.

Und wozu wir durch diesen Kampf, durch diese Konkurrenz gekommen sind, daß der gewerkschaftlich organisierte Arbeiter seine Lohnerhöhung oder sonst etwas den Vertretern des Kapitals durch die Zusammenschließung abringen muß, das haben wir ja gesehen. In dem, was heute das Proletariat fühlt, spricht sich deutlich aus, wie wenig die bisherige Organisation erfüllen konnte, was als Forderung innerhalb des Proletariats liegt.

Ich habe in früheren Vorträgen bereits darauf hingewiesen, worin der Hauptpunkt liegt. Man könnte sagen, zwei Hauptpunkte des ganzen Sozialismus liegen in zwei Forderungen, zu denen sich dann wie von selbst, als eine selbstverständliche Konsequenz, eine dritte ergibt. Sie liegen erstens in der Forderung, die heute schon bei Besprechung des Kapitals mitbesprochen worden ist, in der Forderung, daß künftighin das in die Produktionsmittel eingeflossene Kapital nicht mehr Besitz sein dürfte. Kapital wird des Besitzcharakters entkleidet. Zweitens, Arbeit darf in der Zukunft nicht mehr Ware sein, das heißt in der zukünftigen sozialistischen oder sozialen Gesellschaft, im gesunden sozialen Organismus wird das Lohnverhältnis aufhören. Arbeit oder Arbeitskraft darf fernerhin nicht Ware sein. Derjenige, der handarbeitet, produziert als Kompagnon mit dem geistigen Arbeiter in der Weise, wie es schon charakterisiert worden ist. Es besteht kein Arbeitsvertrag, es besteht ein Vertrag lediglich über die Teilung der Leistungen. Das ist dasjenige, was nur erreicht werden kann, wenn der Arbeiter dem Arbeitsleiter als ein völlig freier Mensch gegenübersteht, das heißt wenn er imstande ist, auf einem ganz anderen Boden als dem der Wirtschaftsordnung Maß, Zeit, Art seiner Arbeitskraft festzulegen, wenn er frei verfügen kann über sich als ganzen Menschen, bevor er in ein Vertragsverhältnis eintritt.

Ich weiß, daß die Zöpfe von heute sich das Gesagte noch nicht vorstellen können als etwas Praktisches. Allein, man hat vor fünfzig Jahren sich manches nicht als praktisch vorstellen können, was in den fünfzig Jahren seither etwas Praktisches geworden ist. Der Arbeiter tritt in das Vertragsverhältnis als ein freier Mensch ein, der sagen kann: Weil ich auf einem von dem Wirtschaftsleben unabhängigen Boden den Charakter meiner Arbeitskraft feststellen kann, trete ich dir jetzt entgegen und arbeite so, wie meine Arbeitskraft geregelt ist, mit dir zusammen. Dasjenige, was wir erzeugen, unterliegt einem Teilungsvertrag mit dir!

Sehen Sie, deshalb ist es notwendig, daß in der Zukunft losgelöst werde der eigentliche Staat, das eigentliche soziale Rechtsgebiet von dem Wirtschaftsgebiet. Dadurch, daß dies geschieht, wird man imstande sein, alles, was auf demokratischem Boden als Recht reguliert werden kann, auch wirklich unabhängig vom Wirtschaftsleben zu regulieren. Das Wirtschaftsleben selber kann nur aus der Erfahrung und aus den realen Grundlagen dieses Wirtschaftslebens heraus selber organisiert werden. Arbeitskraft aber kann schon organisiert sein, wenn der Arbeiter überhaupt in das Wirtschaftsleben eintritt. Dann, wenn das der Fall ist, dann wird in der Zukunft leben auf der einen Seite das zirkulierende Kapital beziehungsweise die zirkulierenden Produktionsmittel, die so keines Menschen Besitz sind, sondern zur allgemeinen Verwendung in Wirklichkeit da sind, die immer an den Fähigsten kommen können durch die Einrichtungen, die ich eben vorhin dargestellt habe. Dann wird da sein auf der andern Seite die Freiheit des Menschen, nicht nur in bezug auf allerlei ideale Güter, die aber der Handarbeiter heute nicht zu den seinigen rechnen kann, sondern vor allen Dingen mit Bezug auf die menschliche Arbeitskraft. Dann wird das wirtschaftliche Leben entlastet sein des Lohnverhältnisses, denn dann wird es im Wirtschaftsleben nur Güter geben oder meinetwegen nennen wir es Waren. Dann wird in anderer Weise sich gegenüberstehen das, was heute Kapital, Lohn und Markt ist. Dann wird, wie Sie gesehen haben, das Kapital entfallen sein, der Lohn ebenfalls, denn Leistungen werden da sein, welche der Arbeiter mit dem Arbeitsleiter gemeinsam hervorbringt. Der Lohnbegriff hört auf, einen Sinn zu haben.

Aber auch dasjenige, was heute der Markt ist, wird eine andere Gestalt annehmen. Heute hat der Markt, wenn er auch im Kleinlichen und Kleinen schon vielfach organisiert ist, noch etwas Anarchisches. Der Markt regelt die gegenseitigen Werte der Waren, und das ist das einzige, was an Werten in dem Wirtschaftsleben künftig da sein soll, denn menschliche Arbeitskraft hat einen mit nichts vergleichbaren Wert, darf nicht zu den wirtschaftlichen Werten gezählt werden.

Was an wirtschaftlichen Werten da sein wird, werden die vergleichsweisen Werte der Waren sein. Unter den geschilderten Verhältnissen wird möglich sein, daß die Waren solche vergleichsweisen Werte bekommen, welche den Menschen in weitestem Umfange, das heißt allen Menschen, die arbeiten, eine möglichst dem allgemeinen, nicht einem Gruppenwohlstand angemessene Lebenslage geben. Das kann nur dann sein, wenn der Markt aufhört das zu sein, was er heute ist, wenn er durch und durch organisiert wird, wenn aus den umfassendsten wirtschaftlichen Erfahrungen heraus, aus dem Berechnen desjenigen, was die verschiedenen wirtschaftlichen Unterlagen sind, sich ergibt eine Feststellung von Warenwerten, die nicht den anarchischen Verhältnissen von Angebot und Nachfrage unterliegen, sondern die hinorientiert sind auf den durch Erfahrung wohl festgestellten menschlichen Bedarf. Das wird nur erreicht werden können, wenn dieses Wirtschaftsleben, wenn der Markt, oder besser gesagt, die Märkte, verwandelt werden in Assoziationen, in Genossenschaften und so weiter. Dieser genossenschaftliche Aufbau, dieser Aufbau nicht nur etwa auf solchen Genossenschaften, wie sie schon versucht worden sind, sondern die Durchziehung des ganzen Wirtschaftslebens mit genossenschaftlicher Struktur, wird nur dann möglich sein, wenn man aus den Erfahrungen des Wirtschaftslebens heraus sich aneignen wird eine intuitive Erkenntnis der Beziehungen zwischen Produzenten und Konsumenten. In dieser Beziehung gibt es auch Ansätze. Sie können sie kennenlernen in den Bestrebungen zum Beispiel von Sidney Webb, wo in Genossenschaften Großartiges geleistet ist, soweit sich Großartiges leisten läßt innerhalb der gegenwärtigen Wirtschaftsordnung, die noch außer diesen Genossenschaften besteht. Wird aber die Wirtschaftsordnung überhaupt in der angedeuteten Art umgeändert, dann handelt es sich darum, daß man nicht nach subjektiven Forderungen, sondern nach dem, was die wirtschaftliche Struktur selber ergibt, den genossenschaftlichen Aufbau bewirken muß. Da möchte ich nur, damit Sie sehen, daß die Dinge nicht in der Luft hängen, eine bestimmte Bemerkung machen. Es wird sich selbstverständlich für den, der auf den in meinem Buche «Die Kernpunkte der sozialen Frage» beschriebenen Assoziationscharakter des Wirtschaftslebens Rücksicht nimmt, die Frage aufwerfen: Wie können wir zum Beispiel Genossenschaften begrenzen? -Wenn man sie willkürlich oder aus irgendwelchen außerhalb des Wirtschaftslebens liegenden Rücksichten wird begrenzen wollen, dann werden sich immer falsche Preisbildungen und im Gefolge davon falsche Beeinflussungen der menschlichen Lebenslage ergeben. Nun gibt es ein ganz bestimmtes Gesetz, welches aus der Wirklichkeit heraus zum Aufbau einer genossenschaftlichen Struktur führen kann. Sie können sich zunächst, wenn Sie die beiden Strömungen des Wirtschaftslebens, die Produktion und die Konsumtion, ins Auge fassen, Konsumgenossenschaften vorstellen, wo diejenigen Menschen sich zusammenschließen, welche in ökonomischer Weise kaufen wollen, so daß sie alles das ausnützen, was für das Kaufen auszunützen ist dadurch, daß sich Konsumenten zusammenschließen.

Auf der anderen Seite können sich Produzenten zusammenschließen, bis zum Unfug ist das ja gerade innerhalb unserer Wirtschaftsordnung geschehen, da ergeben sich dann die Produktionsgenossenschaften. Nun haben beide Arten von Genossenschaften ganz verschiedene Tendenzen. Wer Konsumgenossenschaften studiert, findet, daß Konsumgenossenschaften alles Interesse daran haben, erstens möglichst billig einzukaufen und zweitens möglichst viele Menschen in ihren Reihen zu haben. Sie wehren sich niemals gegen die Vergrößerung ihrer Genossenschaft, wenn sie ihr wahres Interesse im Auge haben. Gerade die entgegengesetzte Eigenschaft haben die Produktionsgenossenschaften. Die Teilnehmer werden die Konkurrenz fürchten, wenn sie sich vergrößern, und sie haben doch alles Interesse daran, möglichst teuer zu verkaufen. Das weist Sie darauf hin, daß in der Zukunft das Heil nur bestehen kann in der Zusammenfügung von Menschen mit Konsum- und Produktionsinteressen, in Konsum-Produktions- oder ProduktionsKonsumgenossenschaften, wo nicht nur der Konsum die Produktion regeln wird, sondern wo sogar die Größe der Genossenschaft geregelt werden wird, indem der Konsum die Tendenz hat, die Genossenschaft möglichst groß zu machen, also auszudehnen, zu expandieren - die Produktion die Tendenz hat, der Genossenschaft Grenzen zu geben. Da wird aus der Sache selbst, aus der Wirklichkeit heraus das soziale Gebilde geschaffen. Ich könnte Ihnen unzählige Fälle anführen, woraus Sie ersehen würden, daß, wer wirklichkeitsgemäß zu denken imstande ist, wer wirklich praktische Ideen heute im Kopfe haben will, der findet in den Ansätzen, die in der Wirklichkeit schon vorhanden sind, selber die Grundlagen wahrer, echter, den Menschen heilsamer Sozialisierung.

Alles das aber, was ich Ihnen gesagt habe, setzt voraus die wirkliche Dreigliederung des sozialen Organismus. Kapitalisten im heutigen Sinne, die rein aus dem Wirtschaftsleben heraus entstehen, wird es nicht geben. Geben muß es diejenigen Menschen, welche aus dem freien Geistesleben herauswachsen, wie ich es charakterisiert habe in den vorigen Vorträgen, aus jenem Geistesleben, das nicht lebensfremde, abstrakte Geistesprodukte produzieren wird, sondern das ein Geistesgut entfalten wird, welches allerdings auf der einen Seite zu den höchsten Höhen des Geistes steigt, auf der anderen Seite den Menschen ausbildet zum wirklich praktischen Menschen. Auf allen Stufen des Geisteslebens werden nicht Menschen, die lebensfremd sind, weil sie nur wissen, ausgebildet, sondern Menschen, die denken können, die disponieren können.

Ein Kreislauf wird stattfinden in den Grenzen, die ich heute bereits angedeutet habe, innerhalb dessen hinüberschicken werden - wie ich es in meinem Buche ausgeführt habe - die Verwaltungen der geistigen Organisationen ihre befähigtsten Leute in das Wirtschaftsleben und das Wirtschaftsleben hinüberschicken wird seine Leute in die geistigen Organisationen, damit sie dort dasjenige, was sie an Erfahrungen im Wirtschaftsleben gewonnen haben, weiter vertiefen oder wohl auch als Lehrer die heranwachsende Jugend unterweisen im Wirtschaftsleben.

Ein lebendiger Kreislauf, getragen von Menschen selbst, wird stattfinden zwischen den drei Gliedern des sozialen Organismus. Nicht zerfallen wird der dreigliedrige Organismus in drei nebeneinander stehende Gebiete. Der Mensch, der in allen drei Gliedern leben wird, wird die lebendige Einheit werden.

Der Mensch mit seinen sozialen Interessen und Kräften wird in der Zukunft überhaupt dasjenige bilden, was allem Leben zugrunde liegt. Auf den Menschen wird es viel mehr ankommen als heute, wo der scheinbare Einheitsstaat gerade die Menschheit noch gliedert in Klassen und Stände und die Menschen nicht volle und ganze Menschen sein läßt. Heute glaubt man noch, hat man irgendwo eine Verfassung, nun, dann ist viel gewonnen. In der Zukunft wird man verstehen, daß eine Verfassung nichts ist, wenn die Menschen nicht da sind, die in ihrer eigenen Lebendigkeit die Kräfte tragen, sich gegenseitig zu verfassen, wenn ich so sagen darf. Das ist es, worauf es ankommt, daß man verstehe, was ich neulich schon damit andeutete: Gladstone, der englische Staatsmann, sagte einmal, die vorteilhafteste Verfassung habe der nordamerikanische Freistaat. Ein anderer Engländer, der mir geistreicher zu sein scheint als Gladstone, sagte darauf: Aber diese Nordamerikaner das war eben seine Ansicht - könnten eine viel, viel schlechtere, sogar eine spottschlechte Verfassung haben, sie sind solche Leute, die aus einer guten und aus einer schlechten Verfassung dasselbe machen werden! Daß wir das Menschliche an die Stelle setzen müssen des vom Menschen Abgesonderten, das ist es, was erreicht werden muß. Aus einem lebendigen Geistesleben werden die lebendigen Leiter der Betriebe hervorgehen. Das Kapital entfällt! Neben solchen lebendigen Leitern wird der freie Arbeiter als ein ganzer Mensch dastehen. Er wird, wenn er die Frage aufwirft: Gibt mir die Gesellschaftsordnung meine Menschenwürde? - mit ja zu antworten wissen. Und ein Markt, der nicht anarchisch, sondern organisiert ist, wird einen gerechten Ausgleich in den Warenwerten hervorzurufen imstande sein.