| Ces États nationaux particuliers,
                        entièrement mis à part les autres conditions de leur
                        constitution, ils seront tout d'abord maintenus ensemble
                        par ce qui monte de l'égoïsme des humains vivants
                        ensemble. Même dans le plus noble du national, en
                        littérature ; art et ainsi de suite c'est
                        l'imagination montant de l'égoïsme qui tient les
                        groupe-peuples ensemble. Ces groupes-peuples ainsi tenus
                        ensemble se sont placés maintenant dans le domaine
                        entier de l'économie mondiale, et ils se tenaient
                        particulièrement fort, toujours de plus en plus fort
                        dedans au cours du 19e siècle et ce se placer dedans
                        atteignit son apogée au début du 20e siècle.
                        Voulons-nous en fait caractériser ce qui se passa là,
                        alors nous devons dire : pendant qu'encore d'autres
                        intérêts, qui ressemblaient bien plus à l'ancienne
                        société de pouvoir, qui autrefois régnait entre les
                        États, le principe de la société d'échange devient tout
                        de suite prépondérant dans les relations réciproques
                        dans la vie internationale des États, ainsi qu'un apogée
                        fut atteint au début du 20e siècle. Comme dans les États
                        particuliers était produit et consommer, ce qui en
                        d'autres États était administré ou retiré d'autres
                        États, cela était absolument tiré dans l'égoïsme des
                        états particuliers. Pour cela fut seulement rendu
                        valable ce à quoi s'intéressait l’État particulier en
                        tant que tel. Comme on établissait des relations
                        réciproques sur domaine économique entre États, cela
                        reposait entièrement et seulement sur le principe de
                        commerce, cela reposait sur le principe que dans la
                        société d'échange régnait en référence la circulation de
                        marchandises. 
 Sur ce champ, mais en grand, là se montrait en
                          particulier comment cette pure société d'échange
                          devait conduire ad absurdum. Et le
                          conduire-ad-absurdum, cela était pour l'essentiel une
                          des raisons principales, une des causes principales à
                          ce qui a amené cette catastrophe guerrière mondiale.
                          Il devient donc tout de suite après toujours de plus
                          en plus clair à l'humain que cette grande différence
                          existait entre l'exigence après une économie mondiale
                          et le placer dans cette économie mondiale des
                          états particuliers, qui s'isolent par douanes et
                          autres, plutôt que de promouvoir l'économie mondiale,
                          et ce qui pouvait être résultat de l'économie
                          mondiale, ils voulaient en profiter pour soi et en ont
                          aussi profité. Cela conduisit à cette guerre que nous
                          décrivons comme la catastrophe guerrière mondiale.  Certainement se mêlent dedans d'autres causes, mais
                          cela est tout de suite une des causes principales.Et ainsi il s'agira de connaître comme tout de suite
                          vis-à-vis de la vie internationale est en toute
                          première ligne nécessaire que la possibilité sera
                          trouvée, par-dessus les frontières de gérer (NDT
                          économiquement) d'après d'autres principes que sont
                          ceux de la pure société d'échange. Il doit devenir
                          possible, tout de suite ainsi comme dans la société
                          commune l'individu doit avoir l'intérêt pour la
                          production, où elle apparaît toujours intérêt pour
                          consommation quand il veut collaborer, comme il doit
                          s'intéresser pour le domaine complet de l'économie –
                          consommation de marchandises, production de
                          marchandises, circulation de marchandises – ainsi ce
                          doit être possible, de trouver des impulsions par
                          lesquelles chaque structure d’État du monde pourrait
                          avoir un véritable intérêt intérieur pour chaque autre
                          structure d’État, ainsi que pas quelque chose d'autre,
                          de semblable au marché de hasard se forme entre les
                          peuples, mais règne une véritable compréhension
                          intérieure entre les peuples.
 Là nous venons aux sources plus profondes de ce qui
                          sera recherché aujourd'hui dans l'abstraction dans la
                          Société des Nations ainsi nommée, qui donc part de ce
                          que seront corrigés certains dommages qui existent
                          dans le vivre ensemble des peuples. Seul il surgit du
                          même principe, duquel aujourd'hui beaucoup surgit. Qui
                          aujourd'hui réfléchit sur les dommages de la vie, il
                          pense très souvent aux prochaines corrections par
                          lesquelles l'un ou l'autre pourra être exécuté. Là un
                          voit que beaucoup de luxe existe, donc il veut imposer
                          le luxe et du genre. Il ne pense pas à aller à la
                          source de ce dont il s'agit, trouver la structure de
                          la vie en commun sociale par laquelle un luxe
                          impossible ne peut apparaître.
 Qu'on doive aller à de telles sources, mais c'est cela
                          dont il s'agit dans la vie des peuples. C'est pourquoi
                          on ne devrait pas venir à une vie en commun intérieure
                          internationale par de quelconques dispositions qui
                          corrigeraient simplement, mais par ce qu'on va
                          vraiment aux sources, par lesquelles compréhension de
                          peuple vis-à-vis de compréhension de peuple pourra
                          être trouvé.
 Maintenant, il ne pourra être trouvé de compréhension
                          de peuple quand purement on tient à l'un, qui se
                          montre dans une certaine mesure comme la croissance
                          elle-même à partir de l'humain, quand on regarde
                          purement sur ce qui, comme j'ai montré, doit conduire
                          au nationalisme, à l'isolement à l'intérieur de
                          l'ensemble des peuples. Qu'avons-nous donc dans la vie
                          spirituelle aujourd'hui, qui au fond unique et seul
                          porte un caractère international et ne l'a seulement
                          pas perdu pendant cette guerre parce que les humains
                          n'étaient pas en état le prendre sur ce domaine ?
                          Car l'auraient-ils pris, ainsi ils auraient du
                          détruire le domaine lui -même. Qu'est cela,qui
                          vraiment est international en fait par la terre
                          entière ? Pris à la base, pas autre chose que le
                          domaine s'étendant sur le monde des sens extérieur de
                          la science de la nature. La science intellectualiste –
                          j'ai montré dans les conférences comment la science de
                          la nature doit être nommée intellectualiste -, elle a
                          pris un caractère international.
 Et c'était facile à remarquer dans ces temps où tant
                          de contraires à la vérité sont entrés dans le monde.
                          Quand quiconque a fait du mal à la science d'en
                          mésuser dans le sens national, ainsi il se comporta à
                          elle pour ainsi dire par son vrai caractère. Mais ne
                          voit-on pas de l'autre côté tout de suite par le fait
                          que je devais justement mentionner que cette sorte de
                          vie de l'esprit, qui se vit dans l'intellectualisme,
                          n'était pas en état de fonder une vie
                          internationale ? On le voit, je pense assez
                          clairement que cette nostalgie, que j'ai décrite des
                          plus différents points de vue pour cette direction
                          spirituelle intellectualiste, s'est entièrement
                          montrée particulièrement à l'internationalisme dans le
                          comportement de cette vie de l'esprit
                          intellectualiste.
 
 La science n'était pas en état, de verser dans l'âme
                          humaine de si profondes impulsions internationales que
                          celles-ci auraient résisté vis-à-vis des terribles
                          événements des dernières années. Et là, où cette
                          science voulait apparaître, former des impulsions
                          sociales comme dans l'internationalisme socialiste, là
                          s'est montré que ce socialisme internationaliste ne
                          pouvait aussi pas se maintenir, mais la plupart du
                          temps refluait dans le chenal national.
                          Pourquoi ? Parce que justement il a tout de suite
                          repris seulement l'intellectualisme des anciens
                          héritages de l'humanité et que l'intellectualisme
                          n'est pas assez fort pour œuvrer formateur dans la
                          vie. C'est cela, qui d'un côté atteste que cette
                          récente direction scientifique, qui est montée en même
                          temps que capitalisme et culture technique, contient
                          certes un élément international, mais en même temps
                          atteste qu'elle est comme impuissante à la fondation
                          d'une véritable vie internationale de l'humanité.
 Vis-à-vis de cela devra maintenant se faire valoir,
                          ce que j'ai expliqué dans la quatrième conférence sur
                          l'orientation de science de l'esprit, qui repose sur
                          la façon de voir, sur la connaissance de l'esprit.
                          Cette façon de voir l'esprit, elle ne repose pas sur
                          façon de voir sensorielle plus extérieure, elle
                          provient de l'évolution de la nature humaine propre.
                          Elle éclot à partir de ce dont éclot aussi
                          l'imagination. Mais elle éclot à partir de profondeurs
                          plus profondes de la nature humaine. C'est pourquoi
                          elle ne se dresse pas purement aux structures
                          individualistes de l'imagination, mais aux structures
                          de connaissance objectives de la réalité spirituelle
                          du monde. Sous ce rapport, cette façon de voir
                          spirituelle sera donc aujourd'hui encore très souvent
                          mal comprise. Ceux qui ne la connaissent pas, ils
                          disent : oui, ce qui de cette manière sera trouvé
                          par cette façon de voir spirituelle, cela est donc
                          seulement subjectif, personne ne peut prouver cela. –
                          Les connaissances mathématiques sont aussi subjectives
                          et ne sont pas démontrables ; et on ne peut
                          jamais confirmer des vérités mathématiques par
                          consensus des humains ! Qui connaît le théorème
                          pythagoricien , celui-là sait, qu'il est
                          correct, quand bien des millions d'humains le
                          contrediraient. Ainsi vient aussi à un intérieurement
                          objectif ce qui est pensé ici avec science de
                          l'esprit. Mais cela prend le même chemin, que
                          l'imagination prend et grimpe plus haut, racine en des
                          profondeurs objectives et grimpe jusqu'en des hauteurs
                          objectives. C'est pourquoi cette façon de voir
                          spirituelle se maintient par-dessus tout ce qui sinon
                          rougeoie incandescent comme imagination par les
                          peuples. Et en même temps sera cherchée cette façon de
                          voir de l'esprit dans ce peuple ou celui-là à partir
                          de cette langue ou celle-là. Elle est une et la même,
                          à travers tous les humains, de par la Terre entière,
                          si seulement elle sera cherchée assez profondément. C'est pourquoi cette façon de voir spirituelle de
                          laquelle je devais montrer qu'elle peut intervenir
                          vraiment façonnante dans la vie pratique sociale, a en
                          même temps la possibilité d'intervenir dans la vie
                          internationale, être un lien de peuple à peuple. Un
                          peuple produira de manière individuelle, sa poésie,
                          les particularités de ses domaines artistiques
                          restants. À partir de l'individualisme d'un peuple
                          apparaîtra quelque chose pour la façon de voir
                          spirituelle qui est entièrement identique à ce qui
                          apparaît n'importe où autrement. Les bases, dont les
                          choses, proviennent sont à différents endroits dans
                          lesquels elles trouvent finalement leur résultats,
                          cela est identique de par la terre entière. Beaucoup
                          d'humains parlent aujourd'hui d'esprit ; ils ne
                          savent seulement pas que l'esprit devra être expliqué.
 Mais quand il sera expliqué alors il est quelque
                          chose qui ne sépare pas les humains, mais relie les
                          humains parce qu'il retourne jusque dans l'être le
                          plus intérieur de l'humain, en ce qu'un humain produit
                          la même chose que l'autre humain, en ce qu'un humain
                          peut pleinement comprendre un autre humain.Et alors prendra de la place dans les peuples
                        particuliers, ce qui peut être chez chaque peuple
                        particulier : intérêt pour production et consommation
                        d'autres peuples. Alors pourra se développer vraiment ce
                        qui est vie de l'esprit des peuples, vie de droit des
                        peuples, la compréhension pour d'autres peuples de par
                        la Terre entière.Alors, quand vraiment, ce qui sinon vient à
                          l'expression seulement de manière individualiste dans
                          l'imagination populaire particulière, on l'approfondit
                          jusqu'à la façon de voir spirituelle alors les
                          révélations de peuple seront seulement des expressions
                          variées pour ce qui est unité dans la façon de voir de
                          l'esprit. Alors, on pourra de par toute la Terre
                          laisser subsister les différentes individualités de
                          peuple parce qu'a besoin de régner non une unité
                          abstraite, mais parce que concret l'un qui sera trouvé
                          par la façon de voir de l'esprit, sera laissé s'amener
                          à l'expression de la manière la plus diversifiée. Et
                          par cela l'un pourra se comprendre dans le spirituel
                          parmi les nombreux. Alors, vous trouverez de l'unité
                          de leurs nombreuses sortes de compréhensions, la
                          possibilité pour les statuts d'une société des
                          nations, alors pourra apparaître aussi du contexte de
                          l'esprit, à partir de la constitution spirituelle, la
                          législation qui lie les peuples.
 | Diese
                        einzelnen Nationalstaaten, ganz abgesehen von den
                        anderen historischen Bedingungen ihres Entstehens, sie
                        werden zunächst zusammengehalten durch das, was aus dem
                        Egoismus der beisammenlebenden Menschen aufsteigt.
                        Selbst im Edelsten des Nationalen, in Literatur, Kunst
                        und so weiter, ist es die aus dem Egoismus aufsteigende
                        Phantasie, die die Volksgruppen zusammenhält. Diese so
                        zusammengehaltenen Volksgruppen stellten sich nun in das
                        ganze Gebiet der Weltwirtschaft hinein, und sie stellten
                        sich besonders stark, immer stärker und stärker hinein
                        im Laufe des 19. Jahrhunderts, und dieses Hineinstellen
                        erreichte seinen Höhepunkt im Beginn des 20.
                        Jahrhunderts. Wollen wir charakterisieren, was da
                        eigentlich geschah, dann müssen wir sagen: Während noch
                        andere Interessen, Interessen, die viel mehr ähnelten
                        der alten Gewaltgesellschaft, früher zwischen den
                        Staaten herrschten, wurde das Prinzip der
                        Tauschgesellschaft gerade im gegenseitigen Verkehre im
                        internationalen Leben der Staaten vorwiegend, so daß ein
                        Höhepunkt erreicht wurde im Beginne des 20.
                        Jahrhunderts. Wie in den einzelnen Staaten produziert
                        und konsumiert wurde, was an andere Staaten verabreicht
                        oder von anderen Staaten bezogen wurde, das war durchaus
                        hineinbezogen in den Egoismus der einzelnen Staaten.
                        Dafür wurde nur geltend gemacht, wofür der einzelne
                        Staat als solcher sich interessierte. Wie man
                        gegenseitige Beziehungen auf wirtschaftlichem Gebiete
                        zwischen den Staaten herstellte, das beruhte ganz und
                        gar auf dem Handelsprinzip, das beruhte auf dem Prinzip,
                        das in der Tauschgesellschaft bezüglich der
                        Warenzirkulation waltete. Auf diesem Felde, aber im großen, da zeigte sich
                          insbesondere, wie sich die bloße Tauschgesellschaft ad
                          absurdum führen mußte. Und das Ad-absurdum-Führen, das
                          war im wesentlichen eine der Hauptveranlassungen,
                          Hauptursachen zu dem, was diese Weltkriegskatastrophe
                          herbeigeführt hat. Es wird ja nachgerade den Menschen
                          immer klarer und klarer, daß dieser große Gegensatz
                          bestand zwischen der Forderung nach Weltwirtschaft und
                          dem Hineinstellen der einzelnen Staaten in diese
                          Weltwirtschaft, die sich abschlossen, statt in ihren
                          Grenzen die Weltwirtschaft zu fördern, durch Zölle und
                          anderes, und das, was Ergebnis der Weltwirtschaft sein
                          konnte, für sich in Anspruch nehmen wollten und auch
                          in Anspruch nahmen. Das führte zu jener Krise, die wir
                          als die Weltkriegskatastrophe bezeichnen. Gewiß
                          mischen sich andere Ursachen hinein, aber das ist
                          gerade eine der Hauptursachen. Und so wird es sich darum handeln, zu erkennen, wie
                          gerade gegenüber dem internationalen Leben in
                          allererster Linie nötig ist, daß die Möglichkeit
                          gefunden werde, über die Grenzen hinüber nach anderen
                          Prinzipien zu wirtschaften, als die der bloßen
                          Tauschgesellschaft sind. Möglich muß es werden,
                          geradeso wie in der Gemeingesellschaft der einzelne
                          das Interesse für Produktion, wo sie immer auftritt,
                          das Interesse für Konsumtion, wo sie immer auftritt,
                          haben muß, wenn er mitarbeiten will, wie er sich für
                          das gesamte Gebiet der Wirtschaft - Warenkonsumtion,
                          Warenproduktion, Warenzirkulation - interessieren muß,
                          so muß es möglich sein, Impulse zu finden, durch die
                          ein jedes Staatsgebilde der Welt ein wirkliches
                          inneres, wahrhaftiges Interesse haben könne für jedes
                          andere Staatsgebilde, so daß nicht etwas anderes, dem
                          Zufallsmarkt Ähnliches sich gestaltet zwischen den
                          Völkern, sondern ein wirklich inneres Verständnis
                          zwischen den Völkern walte. Da kommen wir zu den tieferen Quellen dessen, was
                          heute in der Abstraktheit in dem sogenannten
                          Völkerbund gesucht wird, der ja darauf ausgeht, daß
                          gewisse Schäden, die im Volkszusammenleben bestehen,
                          korrigiert werden. Allein er entspringt aus demselben
                          Prinzip, aus dem heute sehr vieles entspringt. Wer
                          heute nachdenkt über die Schäden des Lebens, er denkt
                          vielfach an die nächsten Korrekturen, durch die das
                          eine oder andere ausgeführt werden kann. Da sieht
                          einer, daß viel Luxus existiert, also will er den
                          Luxus besteuern und dergleichen. Er denkt nicht daran,
                          an die Quellen desjenigen zu gehen, um was es sich
                          handelt, die Struktur des sozialen Zusammenlebens zu
                          finden, durch die ein unmöglicher Luxus nicht
                          entstehen kann. Daß man an solche Quellen gehen muß,
                          das ist es aber, worauf es auch im Völkerleben
                          ankommt. Daher wird man nicht durch irgendwelche
                          Bestimmungen, die bloß korrigierend wirken sollen, zu
                          einem internationalen innerlichen Zusammenleben
                          kommen, sondern dadurch, daß man wirklich an die
                          Quellen herangeht, durch die Volksverständnis
                          gegenüber Volksverständnis gefunden werden kann. Nun,
                          es kann kein Volksverständnis gefunden werden, wenn
                          man bloß auf das eine hält, das sich gewissermaßen wie
                          das Wachstum selber aus dem Menschen heraus ergibt,
                          wenn man bloß auf dasjenige sieht, was, wie ich
                          gezeigt habe, zum Nationalismus, zur Abschließung
                          innerhalb der Volkheit führen muß. Was haben wir denn
                          im geistigen Leben heute, das im Grunde einzig und
                          allein einen internationalen Charakter trägt und ihn
                          nur während dieses Krieges deshalb nicht verloren hat,
                          weil die Menschen nicht imstande waren, ihn auf diesem
                          Gebiete zu nehmen? Denn hätten sie ihn genommen, so
                          hätten sie das Gebiet selber vernichten müssen. Was
                          ist da, das wirklich heute über die ganze Erde
                          eigentlich international ist? Nichts anderes im Grunde
                          genommen, als das Gebiet der auf die äußere Sinneswelt
                          gehenden Naturwissenschaft. Die intellektualistische
                          Wissenschaft - ich habe in den Vorträgen gezeigt, wie
                          die Naturwissenschaft intellektualistisch genannt
                          werden muß -, die hat einen internationalen Charakter
                          angenommen. Und leicht war es zu bemerken in diesen
                          Zeiten, wo so viel Unwahres in die Welt getreten ist:
                          Wenn irgend jemand der Wissenschaft das Leid angetan
                          hat, sie im nationalen Sinne zu mißbrauchen, so benahm
                          er ihr sozusagen dadurch ihren wahren Charakter. Aber
                          sieht man nicht auf der anderen Seite, gerade durch
                          die Tatsache, die ich eben anführen mußte, daß diese
                          Art des Geisteslebens, die sich im Intellektualismus
                          auslebt, nicht imstande war, ein internationales Leben
                          zu begründen? Man sieht es, denke ich, klar genug, daß
                          jene Ohnmacht, die ich von den verschiedensten
                          Gesichtspunkten aus für diese intellektualistische
                          Geistesrichtung geschildert habe, sich ganz besonders
                          deutlich gezeigt hat in dem Verhältnis dieses
                          intellektualistischen Geisteslebens zum
                          Internationalismus. Die Wissenschaft war nicht imstande, so tiefe
                          internationale Impulse in die Menschenseele
                          hineinzugießen, daß diese standgehalten hätten
                          gegenüber den furchtbaren Ereignissen der letzten
                          Jahre. Und da, wo diese Wissenschaft auftreten wollte,
                          Sozialimpulse zu bilden wie im sozialistischen
                          Internationalismus, da hat sich gezeigt, daß dieser
                          internationalistische Sozialismus sich auch nicht
                          halten konnte, sondern zumeist ins nationale
                          Fahrwasser abströmte. Warum? Weil er eben gerade von
                          den alten Erbgütern der Menschheit nur den
                          Intellektualismus übernommen hat, und der
                          Intellektualismus nicht stark genug ist, um ins Leben
                          hinein gestaltend zu wirken. Das ist es, was auf der
                          einen Seite bezeugt, daß diese neuere
                          wissenschaftliche Richtung, die zugleich mit
                          Kapitalismus und Kulturtechnik heraufgekommen ist,
                          zwar ein internationales Element enthält, aber zu
                          gleicher Zeit bezeugt, wie ohnmächtig zur Begründung
                          eines wirklichen internationalen Lebens der Menschheit
                          sie ist. Demgegenüber muß nun geltend gemacht werden, was ich
                          im vierten Vortrage über die geisteswissenschaftliche
                          Richtung auseinandergesetzt habe, die auf der
                          Anschauung, auf der Erkenntnis des Geistes beruht.
                          Diese Geistesanschauung, sie beruht nicht auf äußerer
                          Sinnesanschauung; sie geht hervor aus der Entwickelung
                          der eigenen Menschennatur. Sie sprießt aus dem heraus,
                          woraus auch die Phantasie sprießt. Aber sie sprießt
                          aus tieferen Tiefen der Menschennatur heraus. Deshalb
                          erhebt sie sich nicht bloß zu den individualistischen
                          Gebilden der Phantasie, sondern zu dem objektiven
                          Erkenntnisgebilde der geistigen Wirklichkeit der Welt.
                          In dieser Beziehung wird ja diese Geistanschauung
                          heute noch vielfach mißverstanden. Die sie nicht
                          kennen, die sagen: ja, was auf diese Weise durch die
                          Geistesanschauung gefunden wird, das ist ja nur
                          subjektiv, das kann niemand beweisen. - Die
                          mathematischen Erkenntnisse sind auch subjektiv und
                          sind nicht beweisbar; und niemals kann man durch
                          Übereinstimmung der Menschen mathematische Wahrheiten
                          erhärten! Wer den pythagoräischen Lehrsatz kennt, der
                          weiß, daß er richtig ist, und wenn ihm Millionen
                          Menschen widersprechen würden. So kommt auch zu einem
                          innerlich Objektiven, was mit Geisteswissenschaft hier
                          gemeint ist. Aber es nimmt denselben Weg, den die
                          Phantasie nimmt, und steigt höher hinauf, wurzelt in
                          objektiven Tiefen der Menschennatur und steigt bis zu
                          objektiven Höhen hinauf. Daher erhebt sich diese
                          geistige Anschauung über alles, was sonst als
                          Phantasie die Völker durchglüht. Und gleichzeitig wird
                          in diesem oder jenem Volke aus diesen oder jenen
                          Sprachen heraus diese Geistesanschauung gesucht. Sie
                          ist ein und dieselbe, durch alle Menschen hindurch,
                          über die ganze Erde hin, wenn sie nur tief genug
                          gesucht wird. Daher begründet diese Geistesanschauung, von der ich
                          zeigen mußte, daß sie wirklich gestaltend in das
                          Praktische, in das soziale Leben eingreifen kann,
                          zugleich die Möglichkeit, einzugreifen in das
                          internationale Leben, ein Band zu sein von Volk zu
                          Volk. Seine Dichtung, die Eigentümlichkeiten auch
                          seiner übrigen Kunstgebiete wird ein Volk auf
                          individualistische Art hervorbringen. Aus dem
                          Individualismus des Volkes heraus wird für die
                          Geistanschauung etwas entstehen, was ganz gleich ist
                          dem, was irgendwo anders entsteht. Die Grundlagen, aus
                          denen die Dinge hervorgehen, sind an verschiedenen
                          Orten; worinnen sie zuletzt ihre Ergebnisse finden,
                          das ist über die ganze Erde hin gleich. Es reden heute
                          viele Menschen vom Geiste; sie wissen nur nicht, daß
                          der Geist erklärt werden muß. Wenn er aber erklärt
                          wird, dann ist er etwas, was nicht Menschen trennt,
                          sondern Menschen verbindet, weil es zurückgeht bis auf
                          das innerste Wesen des Menschen, indem ein Mensch
                          dasselbe hervorbringt wie der andere Mensch, indem ein
                          Mensch den anderen Menschen völlig verstehen kann. Dann aber, wenn man wirklich, was sonst nur
                          individualistisch in der einzelnen Volksphantasie zum
                          Ausdrucke kommt, bis zur Geistanschauung vertieft,
                          dann werden die einzelnen Volksoffenbarungen nur
                          mannigfaltige Ausdrücke sein für das, was in der
                          Geistanschauung eine Einheit ist. Dann wird man über
                          die ganze Erde hin bestehen lassen können die
                          verschiedenen Volksindividualitäten, weil nicht eine
                          abstrakte Einheit zu herrschen braucht, sondern weil
                          sich das konkrete eine, das gefunden wird durch die
                          Geistanschauung, in der mannigfaltigsten Weise wird
                          zum Ausdruck bringen lassen. Und dadurch werden sich
                          in dem geistigen einen die vielen verstehen können.
                          Dann werden sie aus ihrem vielartigen Begreifen des
                          Einheitlichen die Möglichkeit finden von Satzungen für
                          ein Bündnis der Nationen, dann wird aus dem
                          Geisteszustand, aus der geistigen Verfassung heraus
                          auch die Rechtssatzung entstehen können, welche die
                          Völker verbindet. Und dann wird Platz greifen in den
                          einzelnen Völkern, was bei jedem einzelnen Volke sein
                          kann: Interesse für Produktion und Konsumtion anderer
                          Völker. Dann wird, was Geistesleben der Völker, was
                          Rechtsleben der Völker ist, das Verständnis für andere
                          Völker über die ganze Erde hin wirklich entwickeln
                          können. |