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Collection: 09 - Nationalisme et âmes de peuple
Sujet : Progrès de culture par différence plutôt qu'unité des peuples et individus
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA031 164-176 (1966) 00/00/1892
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Une « Société pour culture éthique » en Allemagne
Cela ne va pas plus loin, comme nous l'avons jusqu’à présent fait. La moralité profondément entrée dans la poussière devra de nouveau être aidée à être debout ! Ainsi pensait un nombre d'êtres humains bien pensant, et ils fondèrent une « association pour une culture éthique ». Ainsi justement, de Berlin, par les journaux, la nouvelle parti que ce nouvel établissement pour le salut de l'humanité était entrée dans la vie, et l'invitation à s'y joindre. Et nous trouvons parmi les fondateurs maints noms dont une des personnalités appartenant aux personnalités admirées par nous. L'objectif de l'association devrait être, vis-à-vis de toutes les particularités religieuses et morales des religions et cultures particulières de faire étalage de l’universellement humain et faire cela porteur de sa conception du monde et sa conduite de vie.
(…) L'erreur fondamentale, qui repose ici à la base, est la croyance à une moralité humaine universelle. Aussi peu que « l'être humain en général » est possible mais est seulement une fiction conceptuelle, aussi peu pourra être parlé d'une éthique en général. Chaque peuple, chaque époque, oui au fond, chaque individu a sa propre moralité. Le penseur peut alors rechercher le commun de toutes ces façons de voir morales, il peut chercher après les forces propulsantes, qui sont également agissantes en tous. Mais le résultat obtenu par là a seulement une valeur théorique. C'est infiniment important pour la connaissance de la nature éthique de l'être humain, son entité morale ; ce ne pourra jamais, et jamais plus, être fait porteur de la conduite de vie. Et cela ne peut rien donner de plus satisfaisant que ce n'est pas possible. À la place du vécu individuel des natures de peuple et d'êtres humains, d'époques et individus interviendrait sinon un traitement de nature routinière de poupées morales, qui seraient toujours tirées aux fils de la doctrine morale universellement humaine.

Nulle part plus que dans la vie morale peut valoir le principe : vivre et laisser vivre ! La moralité du moment d'un être humain ou d'une époque est le résultat inconscient de sa façon de voir le monde et la vie. Conformément à une certaine sorte de pensée et sentir, l'action gagne une marque individuelle ; et jamais ne pourra être pensé à un soin isolé de cette dernière. Une élite de personnes cultivées travaille aujourd'hui à une rénovation de notre façon de voir la vie, aussi bien en rapport à la science comme à la religion et à l'art. Chacun fait le sien pour cela. Ce qui ressort de cela, cela deviendra déterminant pour notre action. Le soin du savoir, de la vérité, de la façon de voir artistique peut être le contenu d'efforts communs. Elle aura alors d'elle-même pour conséquence une éthique commune en de nombreuse chose. Chacun expose ouvert ce qu'il sait, apporte sur le plan public ce qu'il a fourni ; bref, qu'il se vive d'après chaque direction : alors il sera plus à l'ensemble que quand il se présente devant lui avec la prétention de pouvoir lui dire, comment il devrait se comporter. Beaucoup de nos contemporains ont enfin rassasié le discours sur ce que nous devrions faire et laisser. Ils réclament après de la raison dans l'animation du monde. Quand vous avez celle-ci, alors vous savez aussi, comment vous avez à vous comporter dans ce monde reconnu. Et qui n'a pas cette raison et cependant se présente à elle avec ses bonnes théories pour notre action, il vaut pour elle comme sophiste moral. Notre tâche à l'intérieur de l'humanité se donne simplement de notre connaissance de l'essence de cette partie-là du même être auquel nous appartenons. Pour celui qui reconnaît la vérité de ce principe, pour celui-là les efforts, comme ils reposent à la base de l' « association pour culture éthique », valent comme non modernes et arriérés.

Nous avons de toutes autres choses à faire que de penser à comment nous devrions nous comporter. Toute notre vie est sur le fond dans une période de transition, parce que nous vieilles façon de voir ne suffisent plus à la conscience moderne, et parce que le matérialisme, que les sciences de la nature veulent nous mettre à sa place, est seulement une raison pour des têtes plates.

Nous sommes peut-être bientôt au point où n'importe qui prononce la parole libératrice, laquelle délie l'énigme du monde du côté duquel l'humanité du présent l'a lancée. Nous souffrons de nouveau aux grandes questions de connaissance et aux problèmes artistiques les plus hauts. L'ancien est devenu pourri. Et quand elle sera trouvée la grande solution, à laquelle les humains pourrons croire pour quelque temps, quand il sera là le nouvel évangile, alors, comme toujours dans ce cas, la nouvelle coutume apparaîtra aussi elle-même comme conséquence nécessaire. De nouvelles façons de voir le monde actualisent d'elles-mêmes une nouvelle éthique. Le messie de la vérité est toujours aussi le messie de la morale. Pédagogues du peuple qui ont beaucoup pour notre cœur, mais rien pour notre tête, nous ne pouvons pas utiliser. Le cœur suit la tête, quand la dernière à seulement une direction déterminée.

Quand en Amérique des efforts comme l'« association pour la culture éthique »les a, sont depuis longtemps à l'ordre du jour, ainsi nous, Allemands, n'avons aucune raison d'imiter quelque chose de tel. Parmi les peuples avec de tendances matérielles, pratiques est une certaine mollesse en rapport aux questions de connaissances. Ils n'ont donc pas l'intérêt plein de vie pour les questions du connaître et de la vérité qui est encore chez lui chez nous en Allemagne. De cela, il leur est donc commode de pouvoir se le rendre commode sur le lit de repos d'une éthique universellement humaine. Ce à quoi ils pensent, cela la morale modèle ne l'entrave pas. Ils ne connaissent pas les tourments du penseur, pas ceux de l'artiste. Au moins pas ceux qui appartiennent aux sociétés pour culture éthique. Mais qui, comme l'allemand a en soi une vie idéelle, qui veut aller de l'avant dans le spirituel, pour lui la vie doit reposer libre et ouverte, ne pas être embarrassée par des prescriptions morales et des mesures d'éducation populaires.

C'est pourquoi aucun penseur moderne peut se rattacher ou approuver ces tendances de l'association en cause. Je ne doute pas que le mot « tolérance » que la société a écrit sur ses drapeaux, exercera son effet simili-or sur de larges couches de la société. On obtiendra justement ainsi certes beaucoup comme avec l'autre non moins mésusé : libéralisme et humanité. Goethe disait, il voudrait ne rien savoir d'idées libérales, seules opinions et sentiments pourraient être libéraux. Un libéral ne jurant que par là, alors que je citais la façon de voir du grand poète, a eu vite terminé avec ses jugements : elle serait justement une des maintes faiblesses que Goethe aurait eu. Mais à moi elle semble comme un des nombreux avis qu'a eu Goethe avec tous les être humain s'activant énergiquement sur domaine spirituel : la pénétration sans scrupules pour ce qui est reconnu et vérifié comme vrai, qui en même temps se relie avec le plus élevé respect de l'individualité étrangère. Seul qui est lui-même quelque chose, peut aussi reconnaître l'autre, qui pareillement signifie quelque chose. L'être humain moyen, qui tout et à cause de cela ne veut rien être, réclame justement de tels riens à côté de son soi propre. Qui lui-même vit d'après le modèle, aimerait aussi façonner l'autre d'après. C'est pourquoi tous les êtres humains qui ont quelque chose à dire ont aussi de l'intérêt pour les autres. Mais ceux, qui en fait n'ont rien du tout à dire, ils parlent de tolérance et de libéralisme. Ils ne pensent avec cela rien plus loin que devrait être créé un home pour tout le non significatif et plat. À cela ils devraient seulement ne pas compter sur ceux qui ont des tâches dans le monde. Pour ceux-là, c'est blessant quand on exige d'eux de se plier sous le joug d'une quelconque collectivité ; que ce soit une quelconque norme artistique ou quelconque morale collective. Ils veulent être libres, avoir libre mouvement de leur individualité. Dans le rejet de quelque norme repose tout simplement le train fondamental de la conscience moderne. Le principe de Kant : vis ainsi que la maxime de ton action puisse être valable universellement, est défaite. A sa place doit venir celle-ci : vis ainsi comme cela exprime le mieux ton être intérieur ; vis-toi entièrement, sans reste. Tout de suite alors, quand un donne cela à l'ensemble, qu'aucun autre, mais seulement lui peut donner, alors il fournit le plus pour elle. Mais le principe de Kant promeut la prestation de ce que tous peuvent uniformément. Qui est un vrai être humain, cela ne l'intéresse donc pas. La « société pour culture éthique » comprend mal notre temps. Son programme prouve cela.

 

Une « société pour culture éthique »

Pourquoi Friederich Nietzsche s'est-il follement pensé sur les grandes questions de la morale humaine ? Parce que cela aurait été plus simple d'écouter le professeur de philosophie d’Amérique Felix Adler sur la « moralité commune à tous les bons êtres humains », et annoncer celle apprise de lui au peuple allemand comme doctrine de salut.

Ainsi l'a fait une élite de cultivés allemands et fondé une « société pour culture éthique », dont l'objectif est de faire ce «commun » porteur principal de la conduite de vie des êtres humains cultivés. Je remarque tout de suite du début que sous les raisons de la société se trouvent des messieurs que j'estime hautement. Mais la fondation elle-même jaillit d'une conception de vie arriérée. Des philosophes officiels, qui aujourd'hui encore toujours remâche le vieux Kant – l'estropié du concept le nomme Nietsche, se tiennent fortement au point de vue de croire qu'il y aurait quelque chose comme une morale « commune à tous les bons êtres humains » ; pensée moderne, qui saisit son temps et voit aussi un peu l'avenir est par-dessus cela. « Agit ainsi, que le principe de ton action puisse valoir pour tous les humains ; cela est le principe noyau de la doctrine morale de Kant ; Et en toutes les sortes de tons résonne la petite phrase dans les oreilles de la confession de ceux qui se nomment libéraux, apôtres de l'humanité, etc.

Mais il y a aujourd'hui aussi déjà un cercle d'êtres humains qui savent, que ce principe est la mort de toute vie individuelle, et que tout progrès de la culture, repose sur le vivre de l'individualité jusqu'au bout. Ce qui est fiché de particulier dans chaque être humain, cela doit sortir de lui et devenir une partie constitutive du processus d'évolution. Voit-on à partir de ce particulier que chacun a pour lui, alors reste seulement un entièrement banal « universel », que l'humanité ne peut aussi pas porter plus loin pour un laps de temps Une paire de règles d'utilités/d'opportunités pour la circulation mutuelle, c'est tout qui peut sortir là comme « commun à tous les bons êtres humains », qui commence juste là dans le sens véritable de la vie éthique où celles-ci arrêtent à des lois fondées sur l'utilité. Et cette vie peut seulement faire souche du point central de la personnalité et sera jamais le résultat de principes implantés. Une éthique universellement humaine, il n'a pas. Au principe Kantien le sentiment moderne doit justement rétorquer le contraire : agit ainsi, comme, d'après ton individualité propre tu peux tout de suite agir ; alors tu portes le plus au tout ; car tu accomplis alors ce qu'un autre ne pourrait. Ainsi s'y sont aussi tenus les être humains dont l'histoire sait raconter quelque chose. C'est pourquoi il y a autant de conceptions morales qu'il y a eu et il y a de peuples, époques, oui pris fondamentalement, d'individus. Et quand à la place de cette loi de la nature entra ce qui sera tenu pour correct par le philosophe moral pensant au sens kantien : une fade uniformité de toute action humaine serait la conséquence nécessaire. De tels principes moraux « universels » ont souvent été établit ; mais jamais un être humain n'a organisé sa vie d'après ; Et la connaissance qu'il s'agit ici d'une affaire pour têtes oiseuses, devrait donner le cachet à toute pensée moderne.

 

Je peux volontiers me penser quelles objections seront dressées contre ces principes. « Cela fonde donc la pure anarchie ! » « Quand chacun se vit seulement jusqu'au bout, alors n'est pas à penser à un ouvrage commun ! Si je n'avais pas réellement entendu de telles objections, je le trouverais superflu de les rayer aussi avec quelques mots. Il est question ici, comme déjà dit, de la vie éthique de l'être humain. Ce qui repose sous son niveau, ce n'est pas soumis à des étalons moraux ; cela est soumis seul au jugement d'après son opportunité et inopportunité. Atteindre ici le correct est tâche des corps sociaux ; l'éthique n'a rien a voir avec cela. L'état aimerait veiller sur l'utilité ou la nuisibilité des actions humaines et soigner le plus approprié ; la valeur éthique de mes actes, est quelque chose que j'ai à définir comme individu avec moi-même. Il peut y avoir des prescriptions de l'opportunité d'une action, et leur respect aimerait aussi être contrainte avec pouvoir ; des prescriptions de l'action morale il n'y a pas. L'anarchisme n'est pas à rejeter à cause de ce qu'il est immoral mais parce qu'il est inapproprié. Dans le domaine de la réelle moralité peut seul valoir le principe : vivre et laisser vivre. Qu'en Amérique, où tout passe sous le soin des besoins de vie commun sous une éminente vie de culture matérielle, la pensée des « sociétés éthiques » ait trouvé une résonance n'est pas étonnant. Mais en Allemagne, où est encore un sens pour les plus hautes tâches de l'humanité, le semblable ne devrait pas être imité. Où on pense seulement à cela de rendre la vie physique aussi confortable que possible, là on aimerait chercher après le moyen agréable d'informer de principes moraux parce qu'il manque donc d'impulsions morales. Mais dans un domaine de culture où règne une vraie vie de l'esprit la conduite de vie morale correspondante peut seulement être le résultat de la conception du monde dominante. Comme je me place au deux d'après ma conception de nature et monde des humains, de cela dépendra mon attitude dans la vie. La morale est toujours une conséquence nécessaire de la connaissance d'une époque, peuple ou être humain. C'est pourquoi de grandes individualités qui annoncent de nouvelles vérités à leur époque, donnent toujours aussi une empreinte nouvelle à la conduite de vie. Le messie d'une nouvelle vérité est toujours aussi l'annonciateur d'une nouvelle morale Un moraliste qui n'a donné que des dispositions d'administration sans savoir quelque chose de particulier sur la nature ou bien les êtres humains, ne sera jamais entendu. C'est pourquoi il ne peut rien y avoir de plus inversé que la disposition décidée par l'assemblée constitutive de la « société éthique », de vouloir intervenir sur l'amélioration de la vie éthique par diffusion d'écrits moraux.

 

Qu'en cela on ait entièrement mis à part les écrits allemands et pour le moment on pense seulement à des traductions de livres américains, m'est entièrement éclairant. En Allemagne, on ne trouverait pas beaucoup d'utilisable pour cet objectif. Des livres sur l'éthique font ici seulement les philosophes d'école imbus de doctrine kantienne non moderne. Mais ils écrivent une langue d'école tout à fait incompréhensible pour de tels cercles sur lesquels comptent la « société éthique ». Mais des philosophes se tenant hors de l'école n'érigent aucun principe moral. Ici la manière de penser individualiste morale s'est déjà profondément intégrée. Les livres américains de cette sorte contiennent la plupart du temps des trivialités qui ne sont à conseiller seulement qu'à de vaporeuses vieilles filles ou d'immatures garçons des écoles. Le philistin allemand correct, cultivé ou non en achètera maints, saura raconter aussi beaucoup de glorieux d'eux, il ne les lira pas. Des messieurs de quelque connaissance qui ne sont pas complètement venus en bas par notre triste philosophie d'école savent que dans la plupart de ces livres sont écrites seulement des sagesses sur lesquelles chez nous des progressistes, il y a plus de cent ans, auraient seulement eu au plus un bâillement.

Mais c'est pitoyable à entendre qu'à l'éducation de la jeunesse devrait être inoculé ces maximes de moralité ennuyeuse. Monsieur de Gizycky à prononcer les plus acérées paroles sur l'influence pédagogique blâmable de l'éducation purement confessionnelle. Là-dessus un penseur moderne ne disputera à peine avec lui. Mais ce que les confessions font avec leurs principes moraux, cela la « société éthique » veut l'imiter avec l'universellement-humain. Mais ici et là ne sera rien atteint que la mise à mort de l'individu et l'assujettissement de la vie par des lois rigides dépourvues de vie. À la place des curetons des religions devraient entrer les curetons de la morale universellement humaine. Mais avec ceux-ci c'est encore pire qu'avec ceux-là. Les coutumes morales confessionnelles sont les résultats de conceptions du monde déterminées, qui quand même font une fois le contenu de culture justifié de l'humanité ; la doctrine morale universellement humaine est une somme de lieux communs ; ce sont des lambeaux ramenés ensemble de toutes conceptions morales possibles qui ne se détachent pas de l'arrière-plan d'une grande façon de voir d'époque. Qui tient du même pour capable de vie ou d'approprié, de réformer le contenu éthique de notre culture, il délivre avec cela à son avis psychologique un mauvais bulletin.

Nous nous tenons devant une réorganisation de toute notre conception du monde. Toutes les douleurs qu'une génération luttant avec les plus hautes questions a à traverser, reposent sur nous. Nous ressentons le supplice des questions ; le bonheur de la solution des grandes énigmes devrait nous apporter un messie, que nous attendons en fait. Notre temps de souffrance sera peut-être long, car nous sommes devenus exigeants ; et nous ne nous laisserons pas si vite éconduire. Mais tant est certain : ce qu'il nous annoncera aussi, le réformateur : avec la nouvelle connaissance viendra aussi une nouvelle morale. Alors nous saurons aussi comment nous avons à nous adapter à la nouvelle vie. Placer maintenant les anciens vestiges de culture comme la formation d'un bien moral éternel de l'humanité, signifie l'émousser pour le sentiment de la manifestation de fermentation du temps, et la rendre inappropriée pour la collaboration aux tâches du proche avenir.

(…) Dans l'édition du dimanche du « journal-national » du 15 mai 1892 est paru une sorte de programme officiel de la société, sans doute de la plume d'un de ses fondateurs les plus remarquables. Là, il est question de : « L'affirmation qu'il n'y aurait pas de morale universellement humaine, est une injure, que l'humanité n'a pas la permission d'accepter, sans subir une perte à un sentiment de soi sain et à la foi en sa destinée ». Et quelques lignes plus loin sera placé comme principe de la « culture éthique » : « développer … la formation morale...seulement des conditions d'existence et lois fondamentales de la nature humaine ». Cela signifie alors donc, regarder la chose quelque peu superficiellement. Chaque période de formation a sa propre façon de voir des conditions d'existences et lois fondamentales de la nature ; d'après cette façon de voir, l'éthique s'oriente. Celle -ci est est aussi changeante que celles-là. On devrait véritablement pas se présenter à des tentatives de cure morale, sans connaître les paroles vigoureuses de la « Généalogie morale » de Nietsche, qui nous témoigne fort et intelligible de l'évolution des vérités éthiques, aussi quand nous n'avons pas de sens pour une pensée abstraite. Mais une recette de masse de l'entourage de la grande pharmacie morale doit tout de suite être énergiquement repoussé par les préparateurs d'un avenir meilleur.