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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 09 - Nationalisme et âmes de peuple
Sujet : Choix culturel libre et concurrence plutôt que privilège étatique.
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA024 360-362 (1982) 00/07/1917
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Ce qui va se passer dans le détail, cela se montre en de telles choses toujours quand vous vous adonnez au chemin de la réalisation. Car ce ne sont pas des prescriptions sur quelque chose qui a à se passer, mais des prédictions de ce qui se passera quand on laisse les choses aller par la voie exigée par la réalité propre. Et cette réalité propre prescrit conformément à toutes les affaires religieuses et spirituelles-culturelles, à quoi appartient aussi le national, une administration par corporations, auxquelles la personne individuelle se reconnaît et qui seront administrées dans leur parlement comme corporations ainsi que ce parlement ait à faire seulement avec la corporation concernée, mais jamais avec la relation de cette corporation à la personne individuelle.

Et jamais une corporation n'a la permission d'avoir à faire avec une personne appartenant sous le même point de vue à une autre corporation. De telles corporations seront admises dans le cercle du parlement quand elles unissent un certain nombre de personnes. Jusque là, elles restent choses privées, dans lesquelles aucune administration ou représentation n'a à se mêler. Pour qui c'est une pomme acide qu'à partir de telles façons de voir toutes les affaires culturelles spirituelles doivent à l'avenir être privées de leur privilège, celui-là devra justement mordre dans cette pomme acide pour le salut de l'être-lâ des peuples (NDT Volksdaseins).Par l'habitude à ces privilèges se poursuivant toujours, on reconnaîtra donc difficilement dans beaucoup de cercles que sur le chemin du privilège, tout de suite des métiers spirituels, on doit retourner au bon vieux principe originel de la libre formation de corporation. Et que la corporation devrait d'ailleurs rendre un humain capable dans son métier, mais qu'on ne privilégie pas l'exercice de ce métier, mais doit le laisser à la libre concurrence et au libre choix humain. Cela sera difficile à reconnaître par tous ceux qui parlent volontiers de ce que les humains ne seraient donc pas encore mûrs pour cela ou à cela. Dans la réalité cette objection ne viendra donc pas en considération, parce qu'à l'exception des métiers nécessairement libres, la corporation décidera sur le choix des pétitionnaires.