| 
                         C'est donc compréhensible que tout de
                          suite dans les dernières décennies à partir des
                          différentes idées sociales toujours à nouveau émergea
                          le souci de venir derrière combien grande devait être
                          en fait la masse de travail à apporter par l'humanité
                          [dans son ensemble] quand l'humanité devait justement
                          venir à bout de cette masse de travail. Naturellement
                          le travail serait économiquement utilisé au mieux
                          quand seulement serait fourni autant de travail qu'il
                          est nécessaire pour ce que l'humanité veut consommer.
                          Et il est très compréhensible qu'on ne puisse faire
                          que des déclarations estimatives. Mais dans différents
                          cercles dans lesquels on s'est efforcé de venir
                          derrière ces questions – ce n'est justement pas
                          particulièrement facile -, on a pu quand même se faire
                          des représentations, de combien trop de travail
                          manuel, cela signifie de simples forces de travail de
                          l'humain seront gaspillées dans le présent. Si
                          précisément on ne peut naturellement pas le savoir
                          quand on ne s’occupe pas en dilettante de la chose,
                          mais à sa mesure, mais nous pouvons au moins pour une
                          partie de la force de travail humain, pour le travail
                          corporel dire la chose suivante. Quand on peut
                          accepter que tout le monde, d'après ses facultés
                          corporelles, exécuterait du travail corporel, alors
                          serait nécessaire, que chaque humain à l'intérieur du
                          monde civilisé – les « sauvages » ne sont
                          pas considérés en cela – travaille journellement
                          quelques 2,5 à 3 heures. Cela signifie donc quand
                          chaque humain travaille journellement quelque 2,5 à 3
                          heures corporellement, ainsi serait réunie la force de
                          travail nécessaire pour l'humanité. Évidemment, c'est
                          une déclaration, qui en fait est seulement comme un
                          principe approximatif donnant une direction, car dans
                          la pratique se place naturellement la nécessité que
                          l'un travaille corporellement plus, l'autre moins, par
                          exemple que l'un qui a à particulièrement à fournir du
                          travail spirituel ne soit peut être pas chargé avec du
                          travail corporel ; alors un autre devra fournir
                          plus. Mais quand contre cela vous ajoutez maintenant
                          ce qui aujourd'hui sera fourni en travail corporel
                          ainsi on peut donc dire que de loin la plus grande
                          partie de l'humanité doit travailler si longtemps que
                          justement en sorte bien plus de force de travail
                          appliquée qui en fait devrait être appliquée,
                          vraisemblablement – cela est à nouveau une déclaration
                          approximative -, cinq à six fois en travail corporel.
                          Ainsi, vous voyez combien de force de travail humaine
                          sera en fait gaspillée aujourd'hui par la
                          non-économie, qui existe.  
                          Bien plus qu'on ne croit, sera gaspillé. C'est ce qui
                          aujourd'hui ressortirait par la [réalisation de la]
                          triarticulation de l'organisme social et que veulent
                          voir si peu ceux qui justement n'ont pas de sens
                          pratique. 
                        Combien les humains aujourd'hui ont peu
                          de sens pratique cela se montre dans ses moindre faits
                          et gestes en particulier dans les jugements qui seront
                          apportés contre l'impulsion de la triarticulation de
                          l'organisme social. Ce qui justement ne veut
                          absolument pas être compris c'est qu'aujourd'hui
                          vis-à-vis de ce qui décline il vaut de développer de
                          nouvelles forces spirituelles ; et pour cela,
                          parce ce que ce ne sera pas compris, ces forces
                          spirituelles doivent aujourd'hui se presser par,
                          j'aimerai dire, les fissures de l'ordonnance sociale
                          si elles veulent absolument venir à validité. Car à
                          partir de cela qu'un État peut ordonner et organiser
                          ne peut absolument pas ressortir de soin spirituel.
                          C'est une pleine illusion quand on croit que par
                          l'administration de l’État un quelque soin spirituel
                          pourrait ressortir. Toutes les prescriptions d’État
                          sont en rapport à la vie de l'esprit pour part besoin
                          de se mettre en avant, pour part sembler en faire
                          beaucoup pour bien peu, et ce qui sera alors vraiment
                          fourni spirituellement sera justement fourni malgré
                          ces prescriptions. Cela signifie, parlé grossièrement,
                          quand il y a encore aujourd'hui des enfants qui
                          apprennent quelque chose, ainsi ils n'apprennent pas
                          parce que l’État est là, mais malgré que l’État soit
                          là, parce que toujours encore une masse de choses peut
                          se passer à l'école contre la loi scolaire. Et ce qui
                          se passe dans le sens de la loi scolaire, cela n'amène
                          pas les forces spirituelles au développement, mais
                          cela empêche le développement spirituel. [Dans une
                          libre vie de l'esprit par contre], là d'abord seraient
                          dévoilées les forces des humains avant tout par là que
                          les humains qui dans une telle libre vie de l'esprit
                          seront formés et alors placés dans la vie du droit et
                          de l'économie, que ces humains aient alors vraiment
                          des vues d'ensemble dans les domaines particuliers de
                          la vie qu'ils pourraient se comporter économiquement
                          et qu'ils pourraient y ordonner ce qui aujourd'hui ne
                          peut y être ordonné. Aujourd'hui on peut en fait
                          désespérer quand on voit ma foi comment les affaires
                          seront aménagées. Celui là qui peut seulement penser
                          un peu et est contraint de poursuivre une fois l'art
                          et la manière comment les affaires seront aménagées,
                          celui-là voit donc aussitôt que dans ces cas en fait
                          dix fois de forces seront gaspillées, parce qu'à
                          personne n'est disponible suffisamment de force pour
                          tirer les forces économiquement ensemble, pour relier
                          économiquement les forces, mais parce qu'on se met
                          aussi largement que possible aux choses. Il s'agit
                          avant toute chose de cela, par la vie associative de
                          reconnaître les humains qui vont vraiment ensemble –
                          on doit d'abord les reconnaître quand on veut aménager
                          la vie économique. Tout de suite par la
                          triarticulation de l'organisme social sera d'abord
                          possible cette économie, et d'arrêter progressivement
                          le gaspillage des forces. 
                         
                         
                       |