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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 05 - LA VIE JURIDIQUE DEMOCRATIQUE
Sujet: Salaire est une non vérité sociale.
 
Les références : Rudolf Steiner Oeuvres complètes 332a 073-075 (1977) 25/10/1919
Original
Traducteur: FG Editeur: SITE

Question: à partir de quoi le salaire du travail doit-il être payé, si pas par la recette de la marchandise ?

Penser sur le salaire du travail – le temps est donc ainsi avancé, que je ne peux que brièvement aller là-dessus -, est en fait vraiment intéressant. Il est remarquable, comme de proche en proche unique et seule la vie économique a si fortement agit hypnotisant, que dans l’époque dans laquelle l’humanité commença à s’adonner à la grande illusion, que le programme socialiste éprouva justement à une pleine transformation en rapport à de telles choses. Il appartient aux plus intéressantes études du mouvement moderne des travailleurs, de faire connaissance des trois programmes : le programme d’Eisenach, le Gotha, le programme d’Erfurt. Prend-on les programmes – jusqu’à celui d’Erfurt, qui a été arrêté en 1891 -, ainsi on trouve partout : là est encore disponible une conscience de ce que doit être travailler à partir de certaines visions du droit – et de l’État – et politique. De cela on trouve comme les deux exigences principales du programme le plus ancien la suppression du salaire et la mise en place de droits politiques égaux. Mais le programme d’Erfurt est entièrement purement un programme économique, mais un politisé, comme je vous l’ai exposé aujourd’hui. Là sont présentées des exigences principales : transfert des moyens de production dans l’administration commune, dans la propriété commune, et production par la communauté. Le programme est fixé purement économiquement, mais pensé politiquement.

On pense si fortement dans les sens de l’actuel ordre de société, de l’ordre social actuel, qu’on ne discerne absolument pas dans de larges cercles, comment donc le salaire en tant que tel en réalité est une non-vérité sociale. En réalité, le rapport consiste ainsi que l’ainsi nommé salarié travaille avec le dirigeant de l’entreprise, et ce qui à lieu, est en réalité un affrontement – qui sera seulement cachée par toute sorte de rapports trompeurs, par des rapports de pouvoir le plus souvent et ainsi de suite – sur la répartition du résultat. Si on voulait parler paradoxe, on pourrait dire : un salaire il n’y en a pas du tout, mais il y a une répartition du résultat -  déjà aujourd’hui, seulement que dans la règle aujourd’hui celui qui est le faible économique, se trouve taper sur l’oreille lors de la répartition. C’est toute la chose. Il s’agit de ce qu’ici pas quelque chose qui seulement repose sur une erreur sociale soit transporté sur la réalité.

Dans l’instant où la structure sociale est ainsi comme je l’ai exposée dans mon livre « Les fondements de la question sociale », il deviendra transparent, comment une collaboration existe entre les ainsi nommés employés et employeurs, comment ces concepts employés et employeurs arrêtent, et comment un rapport de répartition existe.
Alors, le rapport de salariat a absolument complètement perdu sa signification

Mais alors n’a plus le droit d’être pensé à payer le travail comme tel ; C’est naturellement l’autre pôle. Le travail sera subordonné à un rapport de droit – je parlerai encore de cela demain - ; le travail sera d’après mesure et manière déterminé dans la vie commune démocratique, dans l’État de droit. Le travail sera ainsi les forces de la nature, comme bases de l’ordre économique, et ce qui sera produit, ne sera pas là comme mesure pour une quelconque rémunération.

Ce qui sera là sur le sol économique sera seulement la valorisation de la prestation. Là il s’agit de ce que soit connu le fondement, dans une certaine mesure la cellule originelle de la vie économique. Cette cellule originelle, je l’ai souvent exprimée ainsi, que je disais : dans l’essentiel les institutions que j’ai décrites aujourd’hui doivent partir de ce que par l’action vivante des associations chaque humain reçoit comme équivalent pour quoi il fabrique, qui le met en position, de satisfaire ses besoins aussi longtemps jusqu'à ce qu’il aura fabriqué à nouveau un produit identique. Parlé simplement : si je fabrique une paire de bottes, ainsi par les institutions que j’ai aujourd’hui esquissées, ces bottes doivent être d’autant de valeur, je dois recevoir autant pour cela, que j’ai besoin, jusqu'à ce que j’ai de nouveau apprêté une paire de bottes.

Donc, il ne peut pas du tout s’agir d’une quelque détermination du salaire pour travail, mais de la détermination des prix réciproques. Doit être encalculé naturellement tout ce qui est soutien d’invalides, malades et ainsi de suite, pour l’éducation des enfants et ainsi de suite. Là-dessus, dois encore être parlé. Il s’agit de ce qu’une telle structure sociale soit créée, par laquelle la prestation soit vraiment poussée à l’avant-plan, mais le travail puisse être purement fondé sur un rapport de droit, car il ne peut être réglé autrement, que l’un travaille pour les autres. Mais cela doit être réglé sur le sol du droit : comment l’un travaille pour les autres, cela n’a pas le droit de se tenir sur le sol du marché des rapports économiques. Vous verrez donc demain que ces choses se tiennent aussi absolument sur de véritables bases réelles.

Frage: Wovon soll der Arbeitslohn bezahlt werden, wenn nicht durch den Erlös der Ware?

Über den Arbeitslohn zu denken - es ist ja die Zeit so vorgeschritten, daß ich nur kurz darauf eingehen kann -, ist eigentlich recht interessant. Es ist merkwürdig, wie nach und nach einzig und allein das Wirtschaftsleben so stark hypnotisierend gewirkt hat, daß in der Zeit, in der die Menschheit begann sich der großen Täuschung hinzugeben, das sozialistische Programm eine vollständige Umgestaltung erfuhr gerade mit Bezug auf solche Dinge. Es gehört zum interessantesten Studium der modernen Arbeiterbewegung, kennenzulernen die drei Programme: Das Eisenacher Programm, das Gothaer, das Erfurter Programm. Nimmt man die Programme - bis zum Erfurter, das im Jahre 1891 gefaßt worden ist -, so findet man überall: Da ist noch ein Bewußtsein davon vorhanden, daß aus gewissen Rechts- und Staats- und politischen Anschauungen heraus gearbeitet werden soll. Daher findet man als die zwei Hauptforderungen der älteren Programme die Abschaffung des Lohnes und die Herstellung gleicher politischer Rechte. Das Erfurter Programm aber ist ganz ein bloßes Wirtschaftsprogramm, aber ein politisierendes, wie ich heute dargestellt habe. Da werden als die Hauptforderungen aufgestellt: Überführung der Produktionsmittel in die Gemeinverwaltung, in das Gemeineigentum, und Produktion durch die Gemeinschaft. Rein wirtschaftlich, aber politisch gedacht, wird das Programm festgelegt.

Man denkt so stark im Sinne der heutigen Gesellschaftsordnung, der heutigen sozialen Ordnung, daß man in weitesten Kreisen überhaupt gar nicht gewahr wird, wie der Lohn als solcher ja in Wirklichkeit eine soziale Unwahrheit ist. In Wirklichkeit besteht das Verhältnis so, daß der sogenannte Lohnarbeiter zusammenarbeitet mit dem Leiter der Unternehmung, und was stattfindet, ist in Wirklichkeit eine Auseinandersetzung - die nur kaschiert wird durch allerlei täuschende Verhältnisse, durch Machtverhältnisse meistens und so weiter - über die Verteilung des Erlöses. Wenn man paradox sprechen wollte, so könnte man sagen: Lohn gibt es ja gar nicht, sondern Verteilung des Erlöses gibt es - heute schon, nur daß in der Regel derjenige heute, der der wirtschaftlich Schwache ist, sich bei der Teilung übers Ohr gehauen findet. Das ist das ganze. Es handelt sich darum, hier nicht etwas, was nur auf einem sozialen Irrtum beruht, auf die Wirklichkeit zu übertragen. In dem Augenblicke, wo die soziale Struktur so ist, wie ich sie dargestellt habe in meinem Buch: « Die Kernpunkte der sozialen Frage », wird es durchsichtig sein, wie ein Zusammenarbeiten besteht zwischen dem sogenannten Arbeitnehmer und Arbeitgeber, wie diese Begriffe Arbeitnehmer und Arbeitgeber aufhören, und wie ein Verteilungsverhältnis besteht. Dann hat das Lohnverhältnis überhaupt vollständig seine Bedeutung verloren.

Dann aber darf nicht mehr daran gedacht werden, die Arbeit als solche zu bezahlen. Das ist natürlich der andere Pol. Die Arbeit wird einem Rechtsverhältnis - ich werde morgen davon noch sprechen - unterstellt; die Arbeit wird nach Maß und Art bestimmt im demokratischen Zusammenleben, im Rechtsstaat. Die Arbeit wird so, wie die Naturkräfte, zur Grundlage der wirtschaftlichen Ordnung, und das, was produziert wird, wird nicht als Maßstab für irgendeine Entlöhnung da sein.

Was da sein wird auf dem Wirtschaftsboden, wird lediglich die Bewertung der Leistung sein. Da handelt es sich darum, kennenzulernen das Fundament, gewissermaßen die Urzelle des Wirtschaftslebens. Diese Urzelle, ich habe sie öfter so ausgesprochen, daß ich sagte: Im wesentlichen müssen die Einrichtungen, die ich heute geschildert habe, darauf hinauslaufen, daß durch die lebendige Wirksamkeit der Assoziationen ein jeder Mensch als Gleichwertiges für das, was er erzeugt, das bekommt, was ihn in den Stand setzt, seine Bedürfnisse so lange zu befriedigen, bis er ein gleiches Produkt wieder erzeugt haben wird. Einfach gesprochen: Erzeuge ich ein paar Stiefel, so müssen durch die Einrichtungen, die ich heute geschildert habe, diese Stiefel so viel wert sein, muß ich so viel dafür bekommen, als ich brauche, bis ich wieder ein paar Stiefel angefertigt habe.

Also es kann sich gar nicht handeln um irgendwelche Bestimmung des Lohnes für Arbeit, sondern um die Bestimmung der gegenseitigen Preise. Eingerechnet muß natürlich sein alles, was Invaliden-, Kranken- und so weiter -Unterstützung ist, für Kindererziehung und so weiter. Darüber soll noch gesprochen werden. Es handelt sich darum, daß eine solche soziale Struktur geschaffen werde, wodurch wirklich die Leistung in den Vordergrund geschoben wird, die Arbeit aber bloß auf ein Rechtsverhältnis begründet werden kann, denn die kann nicht anders geregelt werden, als daß der eine für den anderen arbeitet. Das aber muß auf dem Rechtsboden geregelt werden: wie der eine für den anderen arbeitet; das darf nicht auf dem Marktboden der wirtschaftlichen Verhältnisse stehen. Sie werden ja morgen sehen, daß diese Dinge durchaus auch auf realer wirklicher Grundlage stehen.