On
peut volontiers exprimer la
caractéristique qui a conduit à la
forme particulière de la question
sociale dans les temps récents en
ce qu'on dise : la vie économique,
portée par la technique, le
capitalisme moderne, ils ont
travaillé avec une certaine
évidence naturelle et ont
introduit la société moderne dans
un certain ordre interne. A côté
de la prise en compte de
l'attention humaine sur ce que la
technique et le capitalisme ont
apporté, l'attention a été
détournée pour d'autres branches,
d'autres domaines de l'organisme
social. Si l'organisme social doit
être en bonne santé, il doit être
également nécessaire que la
conscience humaine l'instruise
pour qu'elle soit tout aussi
efficace.
J'ai
la
permission, pour cela, qui ici,
tout de suite comme impulsion
motrice d'une observation
englobante et de multiples côtés
sur la question sociale, devrait
être caractérisé, de dire
clairement, peut être de partir
d'une comparaison. Mais il sera
à faire
attention
qu'avec
cette comparaison rien
ne
devrait être pensé d'autre que
justement une
comparaison.
Une telle peut soutenir la
compréhension humaine afin de
l'amener tout
de
suite dans
cette
direction qui est nécessaire pour
se
faire
des
représentations
sur l'assainissement/la
guérison
de l'organisme social. Celui qui,
du
point de vue adopté ici doit
regarder
l'organisme naturel le plus
compliqué, l'organisme humain, il
doit orienté
son
attention sur
ce
que toute
l'entité
de cet organisme humain comporte
trois systèmes fonctionnant côte à
côte, dont chacun fonctionne avec
une certaine autonomie. Ces trois
systèmes efficaces/efficient
côte
à
côte on
peut les caractériser quelque
peu
de la manière qui
suit. Dans l'organisme naturel
humain, le système qui comprend la
vie des
nefs/nerveuse
et
la vie sensorielle agit comme un domaine.
On pourrait aussi l'appeler
l'organisme-tête
d'après la partie la plus
importante de l'organisme, où la
vie nerveuse et sensorielle est
dans une certaine mesure
centralisée.
En
tant que deuxième membre de
l'organisation humaine, on a à
reconnaître, quand on veut
acquérir une véritable
compréhension pour elle, ce que
j'aimerais appeler le système
rythmique. Elle consiste en la
respiration, la circulation
sanguine, tout ce qui s'exprime
dans des processus rythmiques de
l'organisme humain.
En tant que troisième système, on
a alors à reconnaître tout ce qui
en tant qu'organes et activités
est pendant avec le métabolisme
réel.
Dans
ces
trois systèmes est contenu tout ce
qui entretien de façon saine,
quand c'est organisé l'un sur
l'autre, le processus d'ensemble
de l'organisme humain*.
*L'articulation
(NDT :
) pensée ici n'en est pas une
selon les membres du corps
délimitables dans l'espace, mais
une selon les activités
(fonctions) de l'organisme.
« Organisme de la tête »
est seulement à utiliser lorsqu'on
est conscient que dans la tête,
est centralisée la vie des
nerfs et des
sens. Mais quand
même,
l'activité rythmique et
métabolique est naturellement
aussi disponible
dans la tête, comme l'activité des
nerfs
et des sens
est présente dans les autres membres/parties
du corps. Malgré
cela,
les trois sortes
d'activités sont strictement
séparées
les
unes
des autres par
leur
essence.
J'ai
essayé,
en plein accord avec tout ce que
la recherche en sciences de la
nature peut déjà dire aujourd'hui,
de caractériser cette
tri-articulation de l'organisme
naturel humain au moins d'abord de
manière esquissée dans mon livre
"Von Seelenrätseln" (« Des
énigmes de l'âme »).
Je suis au clair sur ce que la
biologie, la physiologie, toute la
science de la nature à l'égard de
l'être humain poussera dans un
avenir très proche vers une telle
vision de l'organisme humain,
laquelle voit à travers comment
ces trois membres - le système de
la tête, le système circulatoire
ou système de la poitrine et le
système métabolique - maintiennent
le processus d'ensemble dans
l'organisme humain en ce qu'ils
agissent dans une certaine
autonomie, qu'e
n'existe
pas de centralisation absolue de
l'organisme humain, qu'aussi
chacun de ces systèmes a une
relation particulière,
existant
pour soi, au
monde extérieur. Le système de la
tête par les sens, le système
circulatoire ou système rythmique
par la respiration, et le système
métabolique par les organes de la
nutrition et du mouvement.
En
ce qui concerne les méthodes de
science de la nature, on n'est pas
encore tout à fait aussi loin
d'amener ce que j'ai évoqué ici,
ce que j'ai cherché à exploiter
pour les sciences naturelles à
partir de l'arrière-plan de
sciences de l'esprit, même au sein
des cercles de science de la
nature eux-mêmes, à une
reconnaissance générale dans un
tel degré comme cela peut sembler
souhaitable pour le progrès de la
connaissance. Mais, cela signifie
que nos habitudes de pensée, toute
notre façon de représenter le
monde, ne sont pas encore tout à
fait appropriées à ce qui, par
exemple, se présente dans
l'organisme humain comme l'essence
intérieure
de l'effet/l'action de la nature.
On pourrait volontiers
dire
maintenant
:
eh bien, la science de
la nature peut
attendre,
elle se
hâtera
de
proche en proche
vers ses idéaux, elle en viendra
déjà à reconnaître une telle
approche comme étant la sienne.
Mais en
rapport à l'observation/contemplation
et
surtout l'action/l'effet
de l'organisme social on ne peut
pas attendre. Là
ne
doit pas
seulement
chez n'importe quels spécialistes,
mais là doit dans chaque
âme
humaine - car chaque âme humaine
participe à l'efficacité pour
l'organisme social – être
disponible
au
moins une connaissance instinctive
de ce qui est nécessaire à
cet organisme social. Une pensée
et un sentiment sains, une volonté
et un désir sains en
rapport à la conception/formation
de l'organisme social peuvent seulement
se
développer si l'on est au
clair, que
ce
soit
plus ou moins instinctif, que cet
organisme social, devrait-il
être sain, être justement
ainsi
tri-articulé
que l'organisme naturel.
Depuis
que
Schäffle a écrit son livre sur la
construction de l'organisme social,
une tentative a été faite pour
trouver des analogies entre
l'organisation d'un être naturel -
disons, l'organisation de l'être
humain
- et la société humaine en tant que
telle. On
a
voulu établir ce que
sont les cellules de l'organisme
social, ce
que
sont les structures cellulaires, ce
que
sont les tissus et ainsi de suite !
Récemment un livre a donc
été
publié
par Meray,
« Weltmutation » (« Mutation
du
monde »),
dans lequel certains faits et lois de
science
de
la nature
sont simplement transférés - comme
on le pense - à l'organisme social
humain. Avec toutes ces choses, avec
toutes ces jeux/gadgets
d'analogies,
ce
qui
est pensé
ici n'a absolument rien à faire. Et
qui pense que même dans ces
réflexions un tel jeu
d'analogie
serait
fait entre l'organisme naturel et le
sociétal,
celui-là
prouvera seulement qu'il n'a pas
pénétré dans l'esprit de ce qui est
pensé
ici. Car
n'est
pas aspiré
ici à
transplanter une
quelque
vérité
allant
à
des faits
de science de la nature
sur l'organisme social ; mais le
pleinement
autre
que la pensée humaine, le sentiment
humain apprenne
à ressentir ce qui est le
possible
de
la vie en regardant/à
la contemplation de
l'organisme conforme
à
la nature
et
peut alors
ensuite appliquer cette
manière
d'éprouver/de sentir
à l'organisme social. Quand
on
transfère
simplement à l'organisme social ce
que l'on croit avoir appris sur
l'organisme naturel, comme cela
se
passe souvent,
on montre seulement qu'on ne veut
pas acquérir la faculté
de considérer l'organisme social
comme justement
aussi
indépendant, justement
aussi
pour lui-même,
de l'investigation
d'après
ses propres lois comme
on
le tient pour nécessaire
pour la
compréhension
de
l'organisme naturel. À
l'instant
où
l'on
se confronte vraiment objectivement,
comme le chercheur
à
la nature se
confronte à
l'organisme naturel, à
l'organisme
social
dans son indépendance, pour
ressentir ses propres lois, en
cet
instant s'arrête tout
jeu
d'analogie
vis-à-vis du sérieux
de la contemplation.
On
pourrait aussi penser que la
présentation donnée ici serait
basée sur la croyance que
l'organisme social devrait être
« construit » à partir
d'une théorie grise modelée sur
les sciences de la nature. Mais
c'est aussi loin que possible de
ce dont nous parlons ici. Il faut
souligner quelque chose de
complètement différent. La crise
historique actuelle de l'humanité
exige que certaines sensations
surgissent en chaque être humain
particulier, que la stimulation de
ces sensations soit donnée par le
système éducatif et scolaire de la
même manière que pour
l'apprentissage des quatre types
de calculs. Ce qui a donner
jusqu'à présent les anciennes
formes de l'organisme social sans
la prise en compte consciente dans
la vie de l'âme humaine ne sera
plus efficace à l'avenir. Cela
appartient aux impulsions de
développement qui veulent entrer à
nouveau dans la vie humaine à
partir du présent, que les
sentiments suggérés seront
promus
ainsi
par les
humains particuliers comme
une
certaine
éducation scolaire sera
exigée depuis longtemps. Que l'on
doit apprendre à se sentir sainement,
comment les forces
de l'organisme social devraient agir,
afin
qu'il s'avère viable, cela
sera
exigé
à
présent, de l'être humain. On
devra s'acquérir/s'approprier un
sentiment qu'il est malsain,
antisocial de ne pas vouloir
se
placer
dans cet organisme avec de telles
sensations.
On
entend aujourd'hui parler de
« socialisation » comme
de ce qui est nécessaire à
l'époque. Cette socialisation ne
sera pas un processus de guérison,
mais un processus de charlatanisme
dans l'organisme social, peut-être
même un processus de destruction,
quand dans le cœur humain, dans
les âmes humaines, emménage au
moins la connaissance instinctive
de la nécessité de la
tri-articulation de l'organisme
social. S'il devait agir
sainement, cet organisme social
devrait former légalement trois
membres tels.
L'un
de
ces membres
est la vie de
l'économie.
Ici
devrait
être commencer avec
sa contemplation, parce
qu'il
s'est
doncout
à
fait visiblement former
dans
la société humaine, dominant
toute
autre vie, par
la
technique
moderne et le capitalisme moderne.
Cette vie économique doit être un
membre
indépendant pour
soi
à l'intérieur
de l'organisme social, ainsi relativement
indépendant
que
le
système nerveux-sensoriel est
relativement
indépendant dans
l'organisme humain. Cette vie de
l'économie
a
à faire
avec tout ce qui est la production
de
marchandises,
la circulation de
marchandises et
la consommation de marchandises.
Comme
deuxième
membre de l'organisme social est à
contempler la vie du droit public,
la vraie vie politique. A elle
appartient ce que l'on pourrait
décrire comme la vie réelle de
l'État au sens de l'ancien État de
droit. Pendant que la vie de
l'économie a à faire avec tout ce
dont l'humain a besoin à partir de
la nature et de sa propre
production, avec des
marchandises,
la circulation de
marchandises
et la consommation de marchandises,
ce deuxième membre
de l'organisme social peut seulement
avoir
à
faire avec tout ce qui se
rapporte au
rapport
de l'humain à
l'humain à
partir de soubassements
purement humains.
Il est essentiel pour la connaissance
des membres de l'organisme social
que l'on sache quelle différence
existe entre le système de droit
public, qu'il peut seulement
avoir
à faire
à
partir de soubassements
humains avec le rapport d'humain
à
humain,
et le système économique, qu'il
a
seulement
à
faire qu'avec la production de marchandises,
la circulation de marchandises,
la consommation de marchandises.
On
doit
différencier ceci sentant
dans la vie, afin
qu'n
conséquence
de ce sentiment la vie de
l'économie
se
sépare de la vie de
droit,
comme dans l'organisme naturel
humain l'activité du poumon pour le
traitement
de
l'air extérieur se sépare des
processus dans la vie nerveuse-sensorielle.
Comme
troisième
membre,
qui doit se
placer tout
aussi
indépendant
à
côté des
deux
autres membres,
on
a à saisir
dans l'organisme social ce qui s'étend sur
la vie spirituelle. On pourrait
dire encore plus précisément,
parce que peut-être la
description « culture
spirituelle »
ou tout ce qui s'étend
sur
la vie spirituelle n'est pas tout
à fait exact : tout ce qui est
basé sur la dotation/les
talents
naturels
de l'individu particulier
humain, qui doit entrer dans
l'organisme social sur la base de
cette dotation naturelle, aussi
bien
spirituelle que
physique de l'individu humain particulier.
Le premier système, le système de
l'économie,
a
à faire
avec tout ce qui doit être là afin
que l'humain
puisse réguler son
rapport
matériel au
monde extérieur. Le second système
a
à faire avec
ce
qui doit être là
dans l'organisme social à
cause du rapport d'être
humain
à être humain.
Le troisième système a
à faire avec
tout ce qui doit émerger/germer
et être intégré dans l'organisme
social à partir de l'individualité
humaine particulière.
Tout
comme
il est vrai que la technique
moderne et le capitalisme moderne
ont en fait donné
une
empreinte
notre vie sociétale
ces derniers temps, il est tout
aussi nécessaire que ces
blessures qui de
ce côté là ont
nécessairement
frappées
la
société humaine soient guéries en
amenant l'humain
et la vie en
commun
humaine
dans un rapport
correct
avec les trois membres de cet
organisme social. Ces derniers
temps, la vie économique a pris
des formes très spécifiques, tout
simplement par elle-même. Elle
s'est placée particulièrement
puissamment dans la vie humaine
grâce à une efficacité
unilatérale. Les deux autres
membres de la vie sociale n'ont
jusqu'à présent pas été dans
la
situation
de s'intégrer/s'articuler
avec la même évidence dans
l'organisme social de la manière correcte
selon
leurs
propres lois. Pour eux, il est
nécessaire que l'humain,
à partir des sensations indiquées
ci-dessus, effectue l'articulation
sociale,
chacun à sa place ; à la
place
où il se tient tout
de
suite.
Car
au
sens de ces tentatives de résoudre
les questions sociales qui sont pensées
ici, chaque humain
particulier a
sa tâche sociale dans le présent
et dans un avenir proche.
Ce
qui est le premier membre de
l'organisme social, la vie de
l'économie, cela repose d'abord
sur la base de la nature, tout
comme l'être humain individuel
repose sur le talent de son
organisme spirituel et physique en
rapport à ce qu'il peut devenir
pour lui-même par l'apprentissage,
par l'éducation, par la vie. Cette
base naturelle imprime simplement
son empreinte sur la vie de
l'économie et donc sur l'ensemble
de l'organisme social. Mais cette
base naturelle est là, sans
qu'elle puisse être atteinte par
aucune organisation sociale, par
aucune socialisation sous sa forme
originelle. Elle devra être posée
comme base pour la vie de
l'organisme social, comme il doit
être posé comme base pour
l'éducation de l'être humain, le
talent qu'il a dans les différents
domaines, son efficacité physique
et spirituelle naturelle. De toute
socialisation, de toute tentative
de donner une forme économique à
la coexistence humaine devra être
tenu compte de la base naturelle.
Car toute circulation de
marchandises et aussi tout travail
humain et aussi toute vie
spirituelle repose à la base comme
un premier originel
élémentaire qui enchaîne l'humain à
un morceau déterminé
de
nature. On
doit
penser sur
le
pendant
de l'organisme social avec la base
de
nature,
comment
on doit penser en
rapport
avec enseigner
chez
l'être
humain
individuel sur
son
rapport à son
talent. On peut s'en rendre compte
dans les cas extrêmes. On
a seulement à réfléchir,
par exemple, que dans certaines
régions de
la Terre,
où la banane fournit un aliment
évident pour les humains, vient
en
considération pour la vie en
commun humaine ce qui en
travail devra
être fait pour amener la banane de
son lieu d'origine à une
destination et en faire un moyen
de consommation. Si on
compare
le travail humain qui
doit
être réuni
pour rendre la banane propre à la
consommation dans la société
humaine avec le travail nécessaire
pour rendre le blé propre à la
consommation dans nos régions
d'Europe centrale, ainsi
le travail requis pour la banane
est calculé
court,
trois cents fois plus
petit
que pour le blé.
Certes,
il
s'agit d'un cas extrême. Mais de
telles différences en rapport à la
mesure nécessaire de travail en
rapport à la base naturelle sont
aussi là parmi les branches de
production représentées dans un
quelque organisme social de
l'Europe - non dans cette
différence radicale comme pour la
banane et le blé, mais elles sont
là en tant que différences. C'est
bien fondé ainsi dans l'organisme
économique que par le rapport de
l'humain à la base naturelle de
son activité économique est
conditionnée la mesure de force de
travail-d'œuvre qu'il doit
apporter dans le processus
économique. Et on a donc seulement
besoin, par exemple, de
comparer : en Allemagne, dans
les zones à rendement moyen, le
rendement de la culture du blé est
environ que
sept
à
huit fois la
semence rentre par
la récolte ; au Chili, rentre
douze
fois,
au nord du Mexique, rentre
dix-sept
fois,
au Pérou, rentre
vingt
fois.
(Voir Jentsch, Théorie
d'économie
de peuple,
p. 64.).
Tout
cet
ensemble d'êtres
appartenant
ensemble,
qui se
déroulent en
processus qui commencent avec le
rapport
de l'humain à
la nature, qui se
poursuivent
dans tout ce que l'humain
a
à
faire pour transformer les
produits naturels et les amener à
la consommabilité,
tous ces processus et seulement
ceux-là englobent son membre
économique pour un organisme
social sain. Celui-ci
se tient
dans l'organisme social comme le
système de tête, dont les talents
individuels sont conditionnés, se
tient
dans l'organisme humain d'ensemble.
Mais
de même que ce système de tête
dépend du système pulmonaire et
cardiaque, de même le système
économique dépend de la prestation
humaine de
travail. Mais maintenant
de
même que la tête ne peut pas
produire indépendamment la
régulation de la respiration, de
même le système humain de travail
ne devrait pas être régulé par les
forces en vigueur dans la vie de
l'économie
elle-même.
Dans
la
vie économique, l'être humain se
tient par ses intérêts. Ceux-ci
ont leur base dans ses besoins
d'âme et spirituels. Comment
servir au mieux les intérêts au
sein d'un organisme social, afin
que l'individu puisse satisfaire
ses intérêts de la meilleure
manière possible à travers cet
organisme, et qu'il puisse aussi
entrer dans l'économie de la
manière la plus bénéfique : cette
question doit être résolue
concrètement dans les institutions
du corps économique. Cela peut se
faire seulement parce que les
intérêts peuvent réellement se
faire valoir librement et
qu'apparaissent aussi la volonté
et la possibilité de faire le
nécessaire pour leur satisfaction.
L'émergence des intérêts se situe
en dehors du cercle qui délimite
la vie de l'économie. Ils se
forment avec le déploiement de
l'être humain d'âme et naturel.
C'est la tâche de la vie de
l'économie que des institutions
existent pour les satisfaire. Ces
institutions ne peuvent avoir à le
faire autrement
que
seulement
avec
la
production et l'échange de marchandises,
c'est-à-dire de biens qui obtiennent
leur valeur par
les
besoins humains. La marchandise
a
sa valeur
par
celui
qui la
consomme. Parce
que la
marchandise
obtient sa valeur par
le
consommateur, elle
se
tient d'une
toute
autre
façon
complètement différente dans
l'organisme social que d'autres choses
qui ont une valeur pour l'humain
en tant que membres de cet
organisme. On
devrait regarder impartial
la
vie de
l'économie
dans
cet
environnement auquel appartiennent
production de marchandises,
échange de marchandise et
consommation de marchandises.
On
ne remarquera pas purement la
différence essentielle qui existe
entre le rapport d'humain à
humain, en ce que l'un produit des
marchandises pour les autres, et
celui qui doit reposer sur un
rapport de droit. On viendra de
cette contemplation à l'exigence
pratique que la vie juridique dans
l'organisme social soit pleinement
séparée de la vie de l'économie.
Des activités que les humains
doivent développer à l'intérieur
des institutions qui servent la
production de marchandises et
l'échange de marchandises ne
peuvent pas immédiatement se
donner les meilleures impulsions
possibles pour les rapports
juridiques qui doivent exister
entre les humains.
Au l'intérieur
des institutions économiques, l'humain
se tourne vers l'humainomme
parce
que l'un sert l'intérêt de l'autre
; fondamentalement différente
de cela est
la
relation qu'un humain
entretient avec l'autre à
l'intérieur de
la vie de
droit.
On
pourrait maintenant croire que
cette distinction exigée par la
vie aurait été suffisante quand
à
l'intérieur
des institutions qui
servent
la vie de
l'économie,
serait
aussi
veillé aux
droits qui doivent exister les
uns
aux autres dans
les
rapports que
devraient
avoir les
humains
placés dans cette vie économique.
Une telle foi/croyance
n'a pas ses racines dans la
réalité de la vie. L'humain
peut seulement
expérimenter
correctement
le
rapport de droit
qui doit exister entre lui et d'autres
êtres
humains quand
il
n'expérimente pas ce rapport
dans le
domaine
économique, mais sur un terrain pleinement
séparé de celle-ci.
C'est
pourquoi,
dans
un
organisme social sain, ià
côté de
la vie de
l'économie
et
en
indépendance, doit
se
déploier
une vie dans laquelle les droits apparaissent
et
seront
administrés,
qui
existent
d'humain à humain.
Mais la vie de
droit
est celle du
domaine véritablement
politique, de l'État. Si les humains
portent ces
intérêts qu'ils doivent servir
dans leur vie de
l'économie
dans
la législation et l'administration
de l'état
de
droit, ainsi
les
droits
qui apparaitraient
seront
seulement
l'expression de ces intérêts
économiques. Si l'État de droit
lui-même est gestionnaire,
il perd la faculté
de réguler
la vie de
droit des humains.
Car
ses
mesures et ses institutions
devront répondre aux besoins
humains en marchandises ;
ils seront donc écartés par là
des
impulsions qui sont orientées
vers la vie de
droit.
L'organisme
social
sain exige
comme
deuxième membre à
côté du
corps de l'économie
une
vie politique indépendante. Dans le
corps
indépendant de
l'économie,
les
humains viendront
par les forces de la vie
économique à des insttutions
qui servent à la production de
marchandises et
à l'échange de marchandises
de la meilleure façon possible. Dans
le
corps
politique de l'État apparaîtront
des
institutions telles quelle
orienteront
les relations mutuelles entre les
humains
et les groupes d'humains
de telle sorte que la conscience du
droit
des humains
sera satisfaite.
Le
point de vue à partir duquel est posé
ici l'exigence
caractérisée
après
une pleine séparation de
l'État de droit du
domaine de l'économie en
est un qui repose
dans la vie humaine réelle. Un
tel point de vue, celui
qui
veut
combiner
la vie de
droit
et la vie de l'économie
l'une
avec
l'autre ne
l'adopte
pas.
Les humains
se
tenant
dans la vie économique ont évidemment
la conscience du
droit ;
mais ils s'occuperont
seulement
à partir de celle-ci et non des
intérêts
économiques
de
la législation et de
l'administration dans le sens du
droit, quand
ils
ont
à
la juger dans l'État de droit, qui
en tant que tel n'a aucune
part à
la vie de
l'économie.
Un
tel État de droit a son
propre corps
législatif et administratif, tous
deux construits
selon les principes issus de la
conscience du
droit qui se donne
de l'époque récente. Il sera
construit sur les impulsions dans
la conscience de l'humanité, que
l'on appelle actuellement les
démocratiques. Le
domaine
économique formera ses corporations
législatives
et administratives à
partir des impulsions de la vie de
l'économie.
Le
trafic nécessaire entre les directions
des
corps de droit
et d'économie
aura
lieu
approximativement comme actuellement
entre les gouvernements de domaines
d'états
souverains. Par
cette articulation,
ce qui
se déploie
dans un des
corps
pourra exercer
l'effet nécessaire sur ce qui apparaît
dans l'autre. Cet effet sera
entravé parce
qu'un domaine
veut déployer
en lui-même
ce
qui doit s'écouler
vers
lui
de l'autre.
Comme
la
vie de
l'économie,
d'un
côté,
est soumise aux conditions de la
base naturelle (climat, nature
géographique du
domaine,
disponibilités
de trésors
du
sol
et ainsi de suite), elle
est
de l'autre côté,
dépendante
des rapports
de
droit
que l'État crée entre les humains
et
les groupes de personnes faisant
l'économie.
Avec
cela
sont dessinées
les limites de ce que l'activité de
la vie de l'économie
peut
et devrait
englober. Comme
la nature crée des conditions
préalables qui reposent
en dehors du
cycle de l'économie
et
celles
que
l'humain
faisant
l'économie
doit
accepter comme quelque
chose
de
donné sur quoi
il
peut premièrement
construire son économie, ainsi
tout ce qui fonde
un rapport
de
droit d'humain
à humain,
dans l'organisme
social
sain devra faire l'expérience de
sa régulation par
l’État
de droit,
qui, comme la base naturelle, se
développe comme quelque chose qui
se
déploie se tenant en vis-à-vis
indépendamment de
la vie de
l'économie.
Dans
l'organisme
social qui s'est
formé
dans
le
devenir
historique de l'humanité jusqu'à
ce jour et qui, par
l'âge
des
machines
et par
la forme économique capitaliste
moderne, est devenu ce qui donne
sa
marque au
mouvement social, la vie de
l'économie
englobe
plus qu'elle ne devrait englober
dans l'organisme social sain. À
l'heure actuelle, dans le cycle
économique où purement
des
marchandises devraient
se mouvoir,
se
meut aussi la
force humaine
de
travail bouge aussi, et aussi
des
droits. On
peut actuellement,
dans
le
corps de l'économie
qui
repose
sur la division du travail, pas
seulement échanger des marchandises
contre des marchandises,
mais, par le même processus
économique, aussi des marchandises
contre du travail et des marchandises
contre des droits. (J'appelle marchandise chaque
chose qui, par une
activité
humaine
est
devenue
cela,
lorsqu'elle sera apportée
en
un quelque
endroit
par
les
êtres
humains, qu'elle
sera conduite
à
sa consommation.
Bien que cette description
puisse sembler offensant ou
insuffisante
pour maints
professeurs d'économie de
peuple,
elle
peut rendre un bon service pour
comprendre ce qui devrait appartenir
à
la vie de
l'économie.) Quand
quelqu'un acquiert un terrain par
achat, cela devra
être considéré comme un échange du
terrain contre des marchandises
pour lesquels l'argent
de
l'/d'achat a
à valoir
comme un représentant. Mais,
le
terrain
lui-même
n'ouvre
pas comme
une
marchandise
dans la vie de
l'économie.
Il
se
tient
dans l'organisme social par le
droit de l'être humain a
sur son utilisation.
*Il
ne s'agit pas justement lors d'une
présentation
qui
sera
faite
au
service de la vie, de donner des
définitions dérivées d'une
théorie, mais des idées qui rendent
imagé
ce qui joue un rôle vital dans la
réalité. « Marchandise »
pensé
dans le sens ci-dessus, indique
sur quelque chose que l'humain
vit/expérimente, chaque autre
concept de
« marchandise » laisse
quelque chose absent ou ajoute
quelque chose, ainsi que le
concept ne
se
recouvre
pas avec les processus de la vie
dans leur vraie réalité.
Ce
droit est substantiellement quelque
chose
d'autre que le rapport dans
lequel
se trouve
le producteur d'une marchandise
à
celle-ci.
Dans le
dernier rapport,
repose
essentiellement
justifié
qu'il ne
gagne pas
sur
la
relation de toute autre sorte
d'humain à humain,
qui sera
établie
par le fait qu'a
quelqu'un revienne la seule
utilisation d'un terrain.
Le possesseur amène
d'autres humains
qui
pour l'entretien
de
leur vie seront employés/mis au
travail par lui
sur ce terrain,
ou qui doivent vivre dessus,
en dépendance
de lui. Parce
qu'on
échange réciproquement
de véritables
marchandises,
que l'on produit ou consomme, ne
s'installe pas
une
dépendance, qui œuvre
de la même sorte
entre humain
et humain.
Qui
voit à
travers un tel fait de la vie de
manière impartiale, à
lui s'éclairera,
qu'il doit trouver son expression
dans les institutions de
l'organisme social sain. Aussi
longtemps
que des marchandises
sont échangées
contre des marchandises
dans la vie de
l'économie,
la
formation
de
la valeur
de
ces marchandises
reste indépendante du rapport
de
droit entre des
personnes et des
groupes de personnes. Aussitôt
que
des
marchandises seront
échangées
contre des droits, le
rapport de droit lui-même
sera
affecté. Il ne s'agit pas d'un
échange en tant que tel. Celui-ci
est
l'élément
nécessaire à la vie de l'organisme
social actuel, reposant
sur la division du travail ; mais
il s'agit de
ce que
par l'échange
du
droit avec la
marchandise,
le droit lui-même sera fait
marchandise quand
le droit apparaît à
l'intérieur de
la vie de
l'économie.
Ceci
sera
seulement empêché par cela
que dans l'organisme social d'un côté,
existent
des institutions qui visent
seulement à effectuer le
cycle
des marchandises
de la manière la plus conforme
au
but ;
et, de
l'autre
côté
de
telles,
qui, réglent les droits vivant
dans l'échange de marchandises
des personnes qui produisent, font
du
commerce
et
consomment. De par leur nature
même, ces droits ne sont pas
différents d'autres
droits
qui doivent exister dans un rapport
de personne à personne entièrement
indépendant de l'échange de
marchandises. Quand
je blesse ou promeut mes
semblables par la vente d'une
marchandise,
ainsi
cela
appartient
au même domaine de la vie sociale
que le dommage ou la promotion par
une activité ou une omission qui ne
vient
pas immédiatement à
l'expression
dans un échange de marchandises.
Dans
la
vie courante
de
l'humain
individuel,
les effets des institutions de
droit
confluent
avec ceux
de l'activité purement économique.
Dans un organisme social sain, ils
doivent venir de deux directions
différentes.
Dans l'organisation économique a
à déliver
les points de vue nécessaires aux
dirigeants ceux
de
l'éducation
pour
une branche
de l'économie et
ceux
de la
bonne
connaissance
gagnée
de
l'expérience avec
lui.
Dans l'organisation de
droit sera
réalise par
la
loi et
l'administration ce qui
sera exigé de
la conscience du
droit comme
relation
d'humains
individuels
ou de groupes d'humains les
uns
aux autres.
L'organisation de
l'économie
permettra
à des humains
ayant les mêmes intérêts
professionnels ou de consommation
ou ayant les mêmes besoins à
d'autres égards de se
laisser rassemblé en
coopératives qui, dans
l'alternance des
échanges
réciproques,
amènent
l'économie d'ensemble en
état.
Cette organisation se construira
sur une base associative et sur le
rapport
des associations. Ces associations
développeront une activité
purement économique. La base de
droit
sur laquelle elles
travaillent, leur
vient
de l'organisation de droit.
Quand
de telles associations de
l'économie
peuvent
amener
leurs intérêts économiques à
validité dans
les
corps
de
représentation
et d'administration
de l'organisation de
l'économie,
alors
elles ne développeront pas le
besoin pressant
de pénétrer la direction
législative ou administrative de
l'Etat de droit (par exemple comme
Fédération des agriculteurs, comme
le Parti des industriels, comme la
démocratie sociale orientée
économiuement)
afin de lutter là
pour
ce
qu'elles ne sont pas capables d'obtenir
dans la vie de
l'économie.
Et
quand
l'État de droit n'opère dans aucune branche
de
l'économie,
alors
il
ne créera seulement
des institutions issues de la
conscience de
droit
des personnes qui en font partie.
Aussi
quand
dans
la
représentation de l'État de droit,
comme c'est
donc
évident,
siègent
les
mêmes
personnes
qui sont actives dans la vie de
l'économie,
ainsi
de
l'articulation
en vie de
l'économie
et
de
droit
ne se
produira/donnera
pas une influence de
la vie de
l'économie
sur
la vie de
droit,
qui sape tant
la
santé de l'organisme social comme
elle
pourra être
sapée quand
l'organisation de
l'état
elle-même fournit/soigne
des
branches
de la vie de
l'économie,
et
quand
les mêmes
représentants
de
la vie de
l'économie
décident
des lois à
partir de ces
intérêts.
Un
exemple typique de la fusion de la
vie de
l'économie
et
de la vie de
droit a
été offert par
l'Autriche avec la constitution qu'elle
s'est
donnée
dans les années soixante du
dix-neuvième siècle. Les
représentants du Conseil impérial
de cette région de
pays ont
été
élus parmi les quatre branches de
la vie de
l'économie,
parmi
la communauté des grands
propriétaires fonciers, des
chambres de commerce, des
villes, des
marchés et les lieux industriels
et les communes
rurales. On voit que pour cette
composition de la représentation
étatique, n'a été pensé d'abord et
avant tout à
rien
d'autre
si ce n'est que du
faire valoir
des rapports
économiques se
donnerait
la vie de
droit.
Il est certain que les forces de dispersion
de
ses
nationalités
ont collaboré
significativement
à
la désintégration actuelle de
l'Autriche. Il peut tout
autant
certainement valoir
qu'une organisation de
droit
qui aurait pu développer son
activité à
côté
de l'économique, aurait développé
à partir de la conscience de
droit
une formation
de l'organisme social dans lequel
une vie
commune
des peuples aurait
été
possible.
L'être
humain
qui s'intéresse actuellement à la
vie publique porte habituellement
son coup
d'oeil
sur des choses qui viennent seulement
secondairement
en
considération pour
cette vie. Il le fait parce que
son habitude de penser l'amène
à
saisir
l'organisme social comme une structure
unifiée/uniforme/unitaire.
Mais
pour
une
telle structure ne peut se
trouver
aucun mode
d'élection/de
choix
lui correspondant.
Car
pour
chaque modes de choix/d'élections,
les intérêts économiques et les
impulsions de la vie de
droit
doivent se
gèner dans le corps de
représentation.
Et ce qui s'écoule de la gène
pour la vie sociale doit conduire
à des ébranlements
de l'organisme de
la société.
En
première position comme fixation
nécessaire d'objectifs
de
la vie publique, doit
actuellement se
tenir de travailler à
une séparation radicale/énergique
de la vie de l'économie
et
de l'organisation de
droit.
En ce
qu'on se vive
dans cette séparation, les
organisations qui se séparent
trouveront la meilleure façon
d'élire/de
choisir
leurs législateurs et
administrateurs sur leurs propres
bases.
En
ce qui presse
actuellement à
une décision, les questions de mode
de
choix/électoral,
quand
elles sont aussi
d'une
signification
fondamentale en tant que telles,
n'ont quand
même
qu'une
importance
secondaire. Là où les anciens rapports sont
encore disponibles,
serait
à
traviller de ceux-ci sur
l'articulation
indiquée. Là où l'ancien s'est
déjà dissous
ou est saisi
en
cours de dissolution,
des
personnes
particulières
et des
alliances entre personnes
devraient tenter
l'initiative d'une réorganisation
qui se
meut
dans la direction caractérisée.
Vouloir transformer la vie
publique d'un jour à l'autre est
quelque chose que même les
socialistes raisonnables
voient comme la
spiritualité d'un
essaim. Ils attendent l'assainissement
pensé
par eux par
une
transformation graduelle et
appropriée. Mais
que
les forces historiques de
développement/d'évolution
de l'humanité rendent
nécessaire
actuellement un vouloir
raisonnable (NDT
vernünftig) après
un
nouvel ordre social, cela peut
enseigner
à
toute personne impartiale des
faits d'une grande portée.
Celui
qui
considère "pratiquement
réalisable" ce à quoi il s'est
habitué à
partir
d'un cercle étroit de la vie triendra
ce qui est suggéré ici comme
« impraticable/non
pratique ».
S'il ne peut pas se convertir, et
s'il conserve de l'influence sur
un
quelque
domaine de la vie, alors il oeuvrera
non
au
rétablissement, mais à
la maladie supplémentaire
de l'organisme social, comme des
gens de sa
mentalité
ont oeuvrés
à
la mise en place des conditions
actuelles.
L'aspiration avec laquelle les
cercles dirigeants de l'humanité
ont commencé et qui a conduit à la
suprématie de certaines
branches
de l'économie (services postaux,
chemins de fer, etc.) dans la vie
de l'Etat doit virer à
l'opposé :
la
séparation/le
détachement vers l'extérieur
de toute activité économique du domaine du
système d'État
politique.
Les penseurs qui croient avec leur
volonté, se
trouver
dans la direction d'un organisme
social sain, tirent la conclusion
extrême des efforts d'étatisation
de ces cercles jusqu'à
présent
dirigeants. Ils veulent la
socialisation
tous les moyens de la vie de
l'économie,
aussi
loin
que ce
sont des moyens de production. Une
évolution
saine
donnera à la vie économique son
indépendance/son
autonomie
et à l'État politique la faculté
d'agir ainsi
sur
le
corps de
l'économie
que
le système juridique de telle
sorte que l'humain
individuel
ne resente
pas
son
intégration/en-articulation
dans l'organisme social en
contradiction avec sa
conscience du
droit.
On
peut voir à travers la façon dont
les pensées présentées ici sont fondées
dans la vie réelle de l'humanité
quand on dirige son regard vers le
travail que l'humain
fait pour l'organisme social par sa
force corporelle de
travail. A
l'intérieur de la forme de
l'économique,
ce
travail s'est
en-articuler
ainsi à
l'organisme social qu'il sera
acheté par l'employeur (NDT :
lit.
Donneur de travail)
comme une marchandise à
l'employé (NDT :
lit.
Preneur de travail).
Un échange sera conclu
entre l'argent (en tant que
représentant de la marchandise) et
le travail. Mais un tel échange ne
peut pas se
dérouler en
réalité.
Il
semble seulement se
dérouler.
En réalité, l'employeur prend au
travailleur
des
marchandises
qui peuvent seulement
apparaître
quand
le travailleur donne
sa
force de
travail pour leur création.
*Il
est
absolument
possible que dans la vie des
processus ne soient pas seulement
expliqués dans le mauvais sens,
mais qu'ils se
produisent
dans le mauvais sens. L'argent et
le travail ne sont pas des valeurs
échangeables,
mais
seulement
de
l'argent et des produits du
travail. Si
donc
je
donne de l'argent pour du
travail, ainsi
je
fais quelque chose de faux.
Je crée
un processus
d'apparence
(NDT :
virtuel aujourd'hui ?).
Parce qu'en réalité, je peux seulement
donner de l'argent que pour des
produits du
travail.
De la
contre-valeur
de
ces marchandises,
le travailleur obtient
une partie,
l'employeur l'autre. La production
des marchandises se
produit à
travers l'interaction/la
collaboration
de l'employeur et de l'employé. Le
produit du travail commun passe premièrement
dans le cycle de la vie de
l'économie.
Pour
la production/fabrication
du produit, un rapport
de
droit
entre le travailleur et
l'entrepreneur est nécessaire.
Mais ceci
peut être transformé par la
sorte/façon
capitaliste de l'économie en un tel
conditionné par la supériorité
économique de l'employeur sur le
travailleur. Dans l'organisme
social
sain, il doit venir au
jour
que le travail ne pourra
être payé.
Car
celui-ci
ne peut pas obtenir
une
valeur économique en
comparaison avec
une
marchandise.
Une
telle
à en premier la marchandise
produite
par le travail en comparaison avec
d'autres marchandises.
La façon
dont, et
la mesure dans laquelle
un humain
a
à
travailler pour l'existence de
l'organisme social, doivent
être réglés à
partir
de
sa faculté
et des
conditions d'une existence/d'un
être-là
digne de l'humain.
Cela
peut seulement
se
passer quand
cette réglementation/régulation
se passe à
partir de l'État politique en
indépendance
des administrations de la vie de
l'économie.
Par
un
telle
règulation/convention
sera
crée un support
de la
valeur
à
la
marchandise, qui se
laisse
comparer
avec l'autre, qui existe dans les
conditions de
la nature.
Comme
la
valeur d'une
marchandise croit
par rapport à un autre parce que
l'obtention
des
matières premières pour la
même est
plus
difficile
que pour l'autre, ainsi
la
valeur de
marchandise devra devenir
dépendante de
quelle sorte
et quelle
mesure
de travail pour la
production
de la marchandise ont
la permission d'être réunis
d'après l'ordannance de droits*.
De
cette manière,
la vie de
l'économie
sera
soumise de deux côtés à ses
conditions nécessaires : du côté
de la base naturelle que
l'humanité doit accepter telle
qu'elle lui
est
donnée,
et du côté de la base de
droit
qui devrait
être créée à partir de la
conscience du
droit
sur le
sol
de l'état politique indépendant de
la vie de
l'économie.
Il
est facile de considérer
que
par une
telle gouvernance
de l'organisme social la
prospérité économique chutera
et grimpera
en fonction de la quantité de
travail qui sera consacré
à
partir
de la conscience de
droit.
Seule
une
telle dépendance de
la prospérité économique est
nécessaire dans un organisme
social sain. Elle seule peut
empêcher que
l'humain
serait
consumé ainsi
par
la
vie de
l'économie
qu'il
ne peut plus ressentir
son
existence comme
digne de l'humain.
Et sur
la
disponibilité de
la sensation d'un être-lâ/d'une
existence inhumaine, reposent
en
vérité tous
les
ébranlements
dans l'organisme social.
Une
possibilité
de ne pas trop réduire la
prospérité économique à
partir du côté du
droit
consiste
d'une façon analogue à une telle
pour l'amélioration de
la base de
nature.
On
peut rendre un
sol à faible rendement plus
productif par des moyens
techniques ; on
peut, incité par la trop forte
diminution de la prospérité,
changer la
manière et l'étendue du travail.
Mais ce changement ne devrait pas
venir immédiatement
du cycle de la vie de
l'économie,
mais
de la
raison
qui se développe sur la base de
la
vie de
droit
indépendante de la vie de
l'économie.
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