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Institut pour une triarticulation sociale
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ga 023 -Les points germinatifs de la question sociale



 REMARQUES PRÉLIMINAIRES SUR L'INTENTION DE CET ÉCRIT

VORBEMERKUNGEN ÜBER DIE ABSICHT DIESER SCHRIFT



 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes : 023 023-028 (1961) 28/04/1919
(Notes ajoutées, mises en évidence et paragraphes numérotés selon l'édition des 41.-80.000 de 1920)

Original




Traducteur:  FG  v.01 02/06/2019  Editeur: SITE

La vie sociale du présent pose des tâches sérieuses et globales. Des revendication surgissent pour de nouvelles institutions dans cette vie et montrent que pour la résolution de ces tâches, des chemins devront être cherchés auxquels n'a pas été pensés jusqu'à présent. Appuyé par les faits du présent, trouve peut-être même aujourd'hui déjà une audience celui qui, à partir des expériences de la vie, doit s’avouer de l'opinion que ce non-penser des chemins devenus nécessaires a propulser dans le désarroi social. C'est sur la base d'un tel avis que se tiennent les explications de cet écrit. Elles aimeraient parler de ce qui devrait se passer pour mettre les exigences qui seront posée actuellement par une grande partie de l'humanité sur le chemin d'une volonté sociale consciemment ciblée. – Si à l'un ou l'autre ces exigences plaisent ou non, la formation d'une telle volonté devrait dépendre peu en dépendre. Elles sont là, et on doit compter avec elles comme avec des faits de la vie sociale. A cela pourraient réfléchir ceux qui, en raison de leur situation personnelle, aimeraient trouver que l'auteur de ce livre parle quelque peu d'une façon qui ne leur plait pas dans sa présentation des revendications prolétariennes parce qu’à leur avis, il se réfère trop unilatéralement à ces revendications comme quelque chose dont la volonté sociale doit tenir compte. Mais l'auteur aimerait parler à partir de la pleine réalité de la vie présente, aussi loin que cela lui est possible selon sa connaissance de cette vie. A lui se tiennent devant les yeux les conséquences désastreuses qui doivent survenir quand on ne veut rien voir des faits qui se sont dressées de la vie de l'humanité nouvelle ; quand on ne veut rien savoir d'une volonté sociale qui compte avec ces faits.

 


Peu satisfaites par les exposés de l'auteur seront aussi tout d’abord des personnalités qui se considèrent comme des pratiquants de la vie de la même manière comme on prend aujourd'hui, sous l'influence de maintes habitudes devenues chères, la représentation de la pratique de la vie. Elles trouveront que dans cet écrit ne parle aucun praticien de la vie. De ces personnalités, l'auteur croit que tout de suite elles devront tout de suite fondamentalement apprendre autrement/se reconvertir. Car leur « pratique de la vie » lui semble être celle qui s’est absolument avérée comme une erreur par les faits qu’a dû vivre l'humanité du présent. Comme cette erreur qui a conduit à des désastres dans une étendue illimitée. Ils devront envisager qu'il est nécessaire de reconnaître comme pratique maintes choses qui leur sont apparues comme de l'idéalisme buté. Ils aimeraient penser que le point de départ de cet écrit est erroné parce que dans ses premières parties, est moins parlé du chaos économique et plus de la vie de l’esprit de la nouvelle humanité. L'auteur doit penser, à partir de sa connaissance de la vie, qu’aux erreurs commises d'innombrables autres s'ajouteront si l'on ne se décide pas d'accorder l'attention nécessaire à la vie de l’esprit de la nouvelle humanité. -Aussi ceux qui, dans les formes les plus variées, produisent toujours seulement les phrases que l'humanité devrait sortir de sa dévotion aux intérêts purement matériels et se tourner « vers l'esprit », « vers l'idéalisme », ne trouveront aucun plaisir correct à ce que l'auteur dit dans cet écrit.
 Car il ne tient pas beaucoup à la simple référence à « l'esprit », au parler d'un monde brumeux de l’esprit. Il peut seulement reconnaître la spiritualité qui devient le contenu propre/personnel de la vie de l'humain. Celui-ci s'avère tout aussi efficace dans la maitrise des tâches pratiques de la vie que pour la formation d’une façon de voir le monde et la vie qui satisfasse les besoins d’âme. Il ne s’agit pas que l'on sache ou croie savoir d’une spiritualité, mais de ce que ce soit une spiritualité qui vienne aussi au jour lors de la saisie des tâches pratiques de la vie. Une telle accompagne cette réalité de la vie non comme un courant secondaire réservé uniquement à l'être intérieur de l'âme. - Ainsi, les explications de cet écrit sembleront probablement trop peu spirituelles aux « spirituels », trop étrangères à la vie aux « praticiens ». L'auteur est d'avis qu'il pourra servir la vie du présent à sa façon, tout de suite parce qu'il ne tend pas à l’étrangeté à la vie de maint humain qui se considère aujourd'hui comme un « praticien », et parce qu'il ne peut aussi attribuer aucune justification à ce discours sur « l'esprit » qui crée les illusions de la vie à partir de mots.



La « question sociale » sera discutée dans les exposés cet écrit en tant que question d’économie, de droit et d’esprit. L'auteur croit reconnaître comment la « vraie forme » de cette question résulte des exigences de la vie de l’économie, de droit et de l’esprit. Mais ce n'est qu'à partir de cette connaissance que peuvent provenir les impulsions pour un aménagement sain de ces trois domaines de la vie à l’intérieur de l'ordre social. - Dans des temps plus anciens de l’évolution humaine, les instincts sociaux veillaient à ce que ces trois domaines s’articulaient dans la vie sociale dans son ensemble d'une façon correspondant à la nature humaine. Dans le présent de cette évolution, on se tient devant la nécessité d’aspirer à cette articulation par une volonté sociale consciemment ciblée. Entre ces temps anciens et le présent, il y a, pour les pays qui entrent tout d’abord en considération pour une telle volonté, un œuvrer l’un à travers l’autre des anciens instincts et de la conscience plus récente, qui n'a plus grandi à la hauteur des exigences de l'humanité contemporaine. Mais en de maintes choses que l'on tient aujourd'hui pour une pensée sociale consciemment ciblée, survivent encore les vieux instincts. Cela rend cette pensée faible vis-à-vis des faits exigeants. Plus fondamentalement que maints se le représentent, l'humain du présent doit s’élaborer hors de ce qui n'est plus viable. Comment les vies de l’économie, de droit et de l’esprit devraient se former dans le sens d'une vie sociale saine exigée par les temps nouveaux eux-mêmes, cela – ainsi pense l'auteur - peut seulement se donner à celui qui développe la bonne volonté de laisser valoir ce qui a justement été exprimé. Ce que l'auteur croit devoir dire sur une telle nécessaire mise en forme, il voudrait le soumettre aux jugements du présent avec ce livre. L'auteur voudrait donner une impulsion à un chemin vers des buts sociaux qui correspondent aux réalités et nécessités actuelles de la vie. Car il pense que seul un tel effort peut conduire au-delà de/par dessus la spiritualité d'essaim et hors de l'utopisme dans le domaine de la volonté sociale. Quiconque trouve quand-même quelque chose d'utopique dans cet écrit, l'auteur aimerait le prier de considérer combien on se distancie actuellement de la vie réelle et tombe dans de la spiritualité d’essaim avec maintes représentations que l’on se fait sur l’évolution possible des conditions sociales. C'est pourquoi on voit comme une utopie ce qui est tiré de la réalité vraie et de l'expérience de la vie, de la manière dont on essaie de la présenter dans cet écrit. Maint verra quelque chose d'« abstrait » dans cette présentation parce que le « concret » n'est que ce à quoi il est habitué à penser et « abstrait » est alors aussi le concret s’il n’est pas habitué à le penser*.



 Que des têtes étroitement enserrées dans des programmes de partis seront tout d'abord insatisfaites avec des telles formulations de l'auteur, il le sait.

 

(* L'auteur a consciemment évité de s'en tenir, dans ses exposés, aux termes couramment utilisés dans la littérature d’économie de peuple. Il connaît exactement les passages à partir desquels un jugement « d'expert » dira que ce serait dilettante. Mais ne le déterminait pas seulement à sa manière de s’exprimer, qu'il aimerait aussi parler pour des humains à qui la littérature des sciences de peuple et sociales n’est pas familière, mais avant tout la vue qu'un temps nouveau laissera apparaître que la plupart d'entre elles sont unilatérales et inadéquates, même sous la forme d'expression que l'on trouve dans cette littérature comme « experte ». Qui pense quelque peu que l'auteur aurait dû se référer aux idées sociales des autres, qui, d'une manière ou d'une autre, semblent rappeler ce qui est décrit ici, je le prierai de garder à l'esprit que les points de départ et les chemins de la façon de voir caractérisée ici, que l'auteur estime devoir à des décennies d'expérience, sont l'essentiel lors de la réalisation pratique des impulsions données et pas quelque peu purement les pensées de telle ou telle nature. Aussi, comme on peut le voir à la section IV, l'auteur a déjà essayé de s'engager pour la réalisation pratique lorsque des pensées semblant similaires n'ont pas encore été remarquées en rapport à l'une ou l'autre.)

Il pense quand même que beaucoup d'humains de parti en viendront bientôt à la conclusion que les faits de l’évolution ont déjà grandi hors les programmes de partis, et qu'un jugement indépendant sur ces programmes, sur les prochains objectifs de la volonté sociale est avant tout nécessaire.

Début avril 1919.

Rudolf Steiner.

Das soziale Leben der Gegenwart stellt ernste, umfassende Aufgaben. Forderungen nach Neueinrichtungen in diesem Leben treten auf und zeigen, daß zur Lösung dieser Aufgaben Wege gesucht werden müssen, an die bisher nicht gedacht worden ist. Durch die Tatsachen der Gegenwart unterstützt, findet vielleicht heute schon derjenige Gehör, der, aus den Erfahrungen des Lebens heraus, sich zu der Meinung bekennen muß, daß dieses Nichtdenken an notwendig gewordene Wege in die soziale Verwirrung hineingetrieben hat. Auf der Grundlage einer solchen Meinung stehen die Ausführungen dieser Schrift. Sie möchten von dem sprechen, was geschehen sollte, um die Forderungen, die von einem großen Teile der Menschheit gegenwärtig gestellt werden, auf den Weg eines zielbewußten sozialen Wollens zu bringen. — Ob dem einen oder dem andern diese Forderungen gefallen oder nicht gefallen, davon sollte bei der Bildung eines solchen Wollens wenig abhängen. Sie sind da, und man muß mit ihnen als mit Tatsachen des sozialen Lebens rechnen. Das mögen diejenigen bedenken, die, aus ihrer persönlichen Lebenslage heraus, etwa finden, daß der Verfasser dieser Schrift in seiner Darstellung von den proletarischen Forderungen in einer Art spricht, die ihnen nicht gefällt, weil sie, nach ihrer Ansicht, zu einseitig auf diese Forderungen als auf etwas hinweist, mit dem das soziale Wollen rechnen muß. Der Verfasser aber möchte aus der vollen Wirklichkeit des gegenwärtigen Lebens heraus sprechen, soweit ihm dieses nach seiner Erkenntnis dieses Lebens möglich ist. Ihm stehen die verhängnisvollen Folgen vor Augen, die entstehen müssen, wenn man Tatsachen, die nun einmal aus dem Leben der neueren Menschheit sich erhoben haben, nicht sehen will; wenn man von einem sozialen Wollen nichts wissen will, das mit diesen Tatsachen rechnet.

Wenig befriedigt von den Ausführungen des Verfassers werden auch zunächst Persönlichkeiten sein, die sich in der Weise als Lebenspraktiker ansehen, wie man unter dem Einflusse mancher liebgewordener Gewohnheiten die Vorstellung der Lebenspraxis heute nimmt. Sie werden finden, daß in dieser Schrift kein Lebenspraktiker spricht. Von diesen Persönlichkeiten glaubt der Verfasser, daß gerade sie werden gründlich umlernen müssen. Denn ihm erscheint ihre «Lebenspraxis» als dasjenige, was durch die Tatsachen, welche die Menschheit der Gegenwart hat erleben müssen, unbedingt als ein Irrtum erwiesen ist. Als derjenige Irrtum, der in unbegrenztem Umfange zu Verhängnissen geführt hat. Sie werden einsehen müssen, daß es notwendig ist, manches als praktisch anzuerkennen, das ihnen als verbohrter Idealismus erschienen ist. Mögen sie meinen, der Ausgangspunkt dieser Schrift sei deshalb verfehlt, weil in deren ersten Teilen weniger von dem Wirtschaos- und mehr von dem Geistesleben der neueren Menschheit gesprochen ist. Der Verfasser muß aus seiner Lebenserkenntnis heraus meinen, daß zu den begangenen Fehlern ungezählte weitere werden hinzugemacht werden, wenn man sich nicht entschließt, auf das Geistesleben der neueren Menschheit die sachgemäße Aufmerksamkeit zu wenden.—Auch diejenigen, welche in den verschiedensten Formen nur immer die Phrasen hervorbringen, die Menschheit müsse aus der Hingabe an rein materielle Interessen herauskommen und sich «zum Geiste», «zum Idealismus» wenden, werden an dem, was der Verfasser in dieser Schrift sagt, kein rechtes Gefallen finden. Denn er hält nicht viel von dem bloßen Hinweis auf «den Geist», von dem Reden über eine nebelhafte Geisteswelt. Er kann nur die Geistigkeit anerkennen, die der eigene Lebensinhalt des Menschen wird. Dieser erweist sich in der Bewältigung der praktischen Lebensaufgaben ebenso wirksam wie in der Bildung einer Welt- und Lebensanschauung, welche die seelischen Bedürfnisse befriedigt. Es kommt nicht darauf an, daß man von einer Geistigkeit weiß oder zu wissen glaubt, sondern darauf, daß dies eine Geistigkeit ist, die auch beim Erfassen der praktischen Lebenswirklichkeit zutage tritt. Eine solche begleitet diese Lebenswirklichkeit nicht als eine bloß für das innere Seelenwesen reservierte Nebenströmung. — So werden die Ausführungen dieser Schrift den «Geistigen» wohl zu ungeistig, den «Praktikern» zu lebensfremd erscheinen. Der Verfasser hat die Ansicht, daß er gerade deshalb dem Leben der Gegenwart werde in seiner Art dienen können, weil er der Lebensfremdheit manches Menschen, der sich heute für einen «Praktiker» hält, nicht zuneigt, und weil er auch demjenigen Reden vom «Geiste», das aus Worten Lebensillusionen schafft, keine Berechtigung zusprechen kann.

Als eine Wirtschafts-, Rechts- und Geistesfrage wird die «soziale Frage» in den Ausführungen dieser Schrift besprochen. Der Verfasser glaubt zu erkennen, wie aus den Forderungen des Wirtschafts-, Rechts- und Geisteslebens die «wahre Gestalt» dieser Frage sich ergibt. Nur aus dieser Erkenntnis heraus können aber die Impulse kommen für eine gesunde Ausgestaltung dieser drei Lebensgebiete innerhalb der sozialen Ordnung. — In älteren Zeiten der Menschheitsentwickelung sorgten die sozialen Instinkte dafür, daß diese drei Gebiete in einer der Menschennatur damals entsprechenden Art sich im sozialen Gesamtleben gliederten. In der Gegenwart dieser Entwickelung steht man vor der Notwendigkeit, diese Gliederung durch zielbewußtes soziales Wollen zu erstreben. Zwischen jenen ältern Zeiten und der Gegenwart liegt für die Länder, die für ein solches Wollen zunächst in Betracht kommen, ein Durcheinanderwirken der alten Instinkte und der neueren Bewußtheit vor, das den Anforderungen der gegenwärtigen Menschheit nicht mehr gewachsen ist. In manchem, das man heute für zielbewußtes soziales Denken hält, leben aber noch die alten Instinkte fort. Das macht dieses Denken schwach gegenüber den fordernden Tatsachen. Gründlicher, als mancher sich vorstellt, muß der Mensch der Gegenwart sich aus dem herausarbeiten, das nicht mehr lebensfähig ist. Wie Wirtschafts-, Rechts- und Geistesleben im Sinne des von der neueren Zeit selbst geforderten gesunden sozialen Lebens sich gestalten sollen, das — so meint der Verfasser — kann sich nur dem ergeben, der den guten Willen entwickelt, das eben Ausgesprochene gelten zu lassen. Was der Verfasser glaubt, über eine solche notwendige Gestaltung sagen zu müssen, das möchte er dem Urteile der Gegenwart mit diesem Buche unterbreiten. Eine Anregung zu einem Wege nach sozialen Zielen, die der gegenwärtigen Lebenswirklichkeit und Lebensnotwendigkeit entsprechen, möchte der Verfasser geben.
Denn er meint, daß nur ein solches Streben über Schwarmgeisterei und Utopismus auf dem Gebiete des sozialen Wollens hinausführen kann.
Wer doch etwas Utopistisches in dieser Schrift findet, den möchte der Verfasser bitten, zu bedenken, wie stark man sich gegenwärtig mit manchen Vorstellungen, die man sich über eine mögliche Entwickelung der sozialen Verhältnisse macht, von dem wirklichen Leben entfernt und in Schwarmgeisterei verfällt. Deshalb sieht man das aus der wahren Wirklichkeit und Lebenserfahrung Geholte von der Art, wie es in dieser Schrift darzustellen versucht ist, als Utopie an. Mancher wird in dieser Darstellung deshalb etwas «Abstraktes» sehen, weil ihm «konkret» nur ist, was er zu denken gewohnt ist und «abstrakt» auch das Konkrete dann, wenn er nicht gewöhnt ist, es zu denken*.

 Daß stramm in Parteiprogramme eingespannte Köpfe mit den Aufstellungen des Verfassers zunächst unzufrieden sein werden, weiß er.


( * Der Verfasser hat bewußt vermieden, sich in seinen Ausführungen unbedingt an die in der volkswirtschaftlichen Literatur gebräuchlichen Ausdrücke zu halten. Er kennt genau die Stellen, von denen ein «fachmännisches» Urteil sagen wird, das sei dilettantisch. Ihn bestimmte zu seiner Ausdrucksweise aber nicht nur, daß er auch für Menschen sprechen möchte, denen die volks- und sozialwissenschaftliche Literatur ungeläufig ist, sondern vor allem die Ansicht, daß eine neue Zeit das meiste von dem einseitig und unzulänglich sogar schon in der Ausdrucksform wird erscheinen lassen, das in dieser Literatur als «fachmännisch» sich findet. Wer etwa meint, der Verfasser hätte auch hinweisen sollen auf die sozialen Ideen anderer, die in dem einen oder andern an das hier Dargestellte anzuklingen scheinen, den bitte ich zu bedenken, daß die Ausgangspunkte und die Wege der hier gekennzeichneten Anschauung, welche der Verfasser einer jahrzehntelangen Lebenserfahrung zu verdanken glaubt, das Wesentliche bei der praktischen Verwirklichung der gegebenen Impulse sind und nicht etwa bloß so oder anders geartete Gedanken. Auch hat der Verfasser, wie man aus dem Abschnitt IV ersehen kann, für die praktische Verwirklichung sich schon einzusetzen versucht, als ähnlich scheinende Gedanken in bezug auf das eine oder andere noch nicht bemerkt wurden.)

Doch er glaubt, viele Parteimenschen werden recht bald zu der Überzeugung gelangen, daß die Tatsachen der Entwickelung schon weit über die Parteiprogramme hinausgewachsen sind, und daß ein von solchen Programmen unabhängiges Urteil über die nächsten Ziele des sozialen Wollens vor allem notwendig ist.

Anfang April 1919.

Rudolf Steiner.

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