Dans le présent aussi seront très nombreux ces humains, qui croient dire là quelque chose plein de signification, s'ils parlent de ce que l'humanité pourrait être contentée pour des temps éternels, comment pourraient être amenées des conditions comme conditions idéale de l'humanité. De telle idée d'éternité et de tels conditions idéales de l'humanité, ne pense pas celui qui hume ses connaissances de la véritable vie spirituelle. Comme je l'ai toujours expliqué ici, l'évolution fut ainsi, qu'à la place d'une époque, suivit une autre époque et avant toute chose pour toutes les époques principales du temps post-atlantéen un idéal concret particulier existe, comme aussi pour notre époque et pour l'avenir prochain.

Il ne s'agit pas que d'une manière chiliastique soit introduit un empire de mille ans, mais de ce que le monde spirituel veut réaliser pour un court laps de temps, mais dont on peut seulement mesurer l'ampleur si l'on s'implique dans une science spirituelle. Et notre époque promeut justement de manière pressante ce qui fut fait valoir comme nerf de base de cet appel : la triarticulation de l'organisme social. L'organisme social ne peut être fait sain, s'il ne contient cette triarticulation, que vous avez lu dans l'appel, et comme vous trouverez dans ma brochure « Les points germinatifs de la question sociale dans les nécessités du présent et du futur ». Le présent cycle de l'humanité promeut cette triarticulation.

Voyez-vous, il en aurait été tout autrement, quand dans le milieu ou seulement encore à l'automne de l'année 1917, cette triarticulation s'était fait valoir d'un côté significatif en Allemagne ou Autriche, comme une manifestation de l'impulsion centre européenne vis-à-vis des ainsi nommés quatorze points de Woodrow Wilson lancés du point de vue américain.
Cette fois-là cela aurait été une nécessité historique. J'ai dit cette fois-là à Kühlmann :
vous avez le choix, soit maintenant accepter la raison et écouter ce qui se manifeste dans l'évolution de l'humanité comme devant arriver — car ce qui se tient dans cette confrontation n'est pas un quelconque programme, comme aujourd'hui tant en ont, mais c'est quelque chose qui est lu du développement de l'humanité et sera très certainement réalisé dans les prochaines quinze, vingt années, mais qui avant toute chose doit être réaliser en l'Europe du centre —, aujourd'hui vous avez le choix, soit prendre en considération, ce qui veut se réaliser, réaliser par raison, ou vous allez au devant de révolutions et cataclysmes. -À la place d'entendre raison, nous reçûment la paix de Brest-Litowsk. Pensez ce que ça aurait été — cela peut être dit sans mystère de renom (Renommisterei) —, si contre les ainsi nommés quatorze points cette fois-là avait résonné la voix de l'esprit dans le tonner des canons. Toute l'Europe de l'Est aurait eu de la compréhension pour cela, — chacun le sait, qui connaît les forces en Europe de l'Est —, de dissoudre le tsarisme par la triarticulation de l'organisme social. Alors seraient venues des conditions qui auraient en fait dû venir. Ceux qui, bienveillants ont fait opposition à la chose cette fois-là, on au plus donné le conseil, qu'on devrait l'imprimer comme brochure.

Seulement, représentez-vous une fois, quel non-sens cela aurait été. Dans les multiples choses qui cette fois-là n'ont pas été lues, cela aussi serait évidemment resté littérature. Les temps changent. Aujourd'hui, où tout doit partir de larges masses, aujourd'hui, où entretemps se tinrent les jours d'octobre et novembre de l'année 1918, aujourd'hui le vrai chemin est celui de se tourner vers le large public. Ce sont les plus grands nuisibles de l'humanité, qui toujours croient, la chose doit, si elle devait être juste, aussi loin qu'elle concerne la vie pratique, être juste de même manière en tout temps. Non, notre pensée n'a pas le droit de devenir si paresseuse, comme le croient les gens qui ont cet avis.
Les choses sont en différents temps à juger de tout autres points de vue.

On doit en toutes choses regarder plus profondément dans le développement de l'humanité, si l'on veut valoriser la pleine, l'étendue pratique, de ce qui justement est au fondement de cette triarticulation. Cette triarticulation n'est pas, je dois toujours et toujours à nouveau le souligner, quelque chose qui peut venir à l'esprit de l'un. Elle est quelque chose, que l'esprit du temps et du présent, promeut absolument des humains, ce que l'esprit du temps veut réaliser, ce que l'esprit du temps — s'il vous plaît, si vous entendez ce qui va suivre, vous comprendrez aussi cette phrase que je vais maintenant lancer à l'avant —, que l'esprit du temps réalise de fait. Et justement en cela apparaît le chaos que l'humanité pense autrement et avant toute chose commerce autrement, que l'esprit du temps pense et commerce. En réalité se réalise déjà depuis les années soixante-dix du siècle dernier, ce qui est marqué dans cette triarticulation, seulement les hommes se sont comportés autrement et sont en cela arrivés en de terribles contradictions avec ce qui se réalisera dans les faits.

Vous savez, il s'agit avant toutes choses de la triarticulation de l'organisme social en une part spirituelle, en une part en fait étatique ou politique et en une part économique. Je voudrais souligner dans l'immédiat : faire la preuve de la justesse de cette vision fondamentale peut arriver de la pure raison humaine, comme principalement tout peut être saisi par la saine raison humaine, ce qui est gagné scientifiquement spirituellement, comme je l'ai toujours souligné.

Mais je ne crois pas de toute manière, que de la pensée contemporaine, de manière correcte — ne pas oublier que je dis : de manière correcte — on puisse y arriver. Il est des humains, lesquels sont arrivés à semblable, mais il s'agit de ce qu'on arrive pour cela à de véritables bases pratiques, à une base, qui prend en considération ce qui veut se réaliser en notre temps, et en fait se réalise.