Regards sur les impôts dans une société articulée

Institut pour une triarticulation sociale
(version française du site allemand)
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Avertissement du traducteur :
le texte qui suit est d’une lecture quelque peu déroutante
car souvent il n’apporte explication qu’après affirmation.
De plus, il demande déjà une bonne maitrise des concepts
de la triarticulation.

Regards sur les impôts
dans une société articulée

Ulrich Piel


État au 18 juin 2013, version allemande originale
Traduction FG, version 2 au 17/10/2013

Les prélèvements sont divisés en trois sous concepts, à savoir, redevances, cotisations et impôts.
·Redevances sont à payer à des activités économiques étatiques parce que le Débiteur reçoit la prestation économique.
·Les cotisations sont à payer à des activités économiques étatiques, aussi si le payant ne veut pas ou ne peut pas accepter la prestation économique.
·Les impôts sont à payer et sont repartis d’après buts, discussion et vote par les politiciens en fonction des différents privilèges.
Pour le texte qui suit, est présupposé ici qu’on peut se représenter une articulation sociale qui sera administrée et impulsée par trois systèmes de direction séparés, indépendants les uns des autres, qui là en formules frappantes pourraient peut-être être nommés économie, politique et capital et d'ailleurs dans chaque cas pour la vie économique, la vie du droit et la vie culturelle-créative-spirituelle à l’intérieur de l'ensemble de la vie sociale. 

Il est prévu que sera pensé aussitôt que possible ainsi que dans l'économie (l’administration de l'argent doit appartenir à cette économie) marchandises et services seront produits, distribués et consommés, que dans la politique des droits sont institués et préservés et que dans le capital les compétences humaines seront formées, soignées, exercées ou empêchées.

Rudolf Steiner recommanda, après 1917, une telle société d’ensemble de séparation des pouvoirs. Cela peut être étudié sur Internet.

Aussi sur la question des impôts, prélèvements, attributions d’argent, ont doit présupposer une société triarticulée. Avec cela n’est pas pensé un contexte final paradisiaque, mais un objectif de volonté sociale. Là il ne peut y avoir aucun prélèvement au sens d’aujourd’hui, qui aujourd’hui sont moyen pour une économie de contrainte, pour la privilégiassions – privation de droits et pour l’endoctrinement. 
(Qui se répercute, comment devrait-il en être autrement, aussi de manière triarticulée.)

Nommons attribution d’argent dans une future société triarticulée ce pour quoi aussi aujourd'hui des impôts sont nécessaires. Les futures attributions d’argent ont leurs raisons :
1 selon la détermination de la valeur des prestations
2 selon l’impôt sur les dépenses décidées par l’État « de droit »
3 selon des redevances démocratiquement convenues pour le fonctionnement de l’État « de droit »,
4 selon les dons individuels pour des besoins culturels.
Ordonnons les humains qui reçoivent les attributions d'argent ci-dessus aux domaines du listage, à savoir le domaine 1, domaine 2, et ainsi de suite.

Conditions :
1.    Toute industrie n'est possible que par l'agriculture
Nous ne pouvons pas vivre de ce que nous nous coupions mutuellement les cheveux, nous produisions mutuellement des produits industriels, nous vendions des « produits financiers ». Toute industrie doit être obtenue auprès de l’agriculture. Ce ne pourrait être mis au bilan à la mesure des coûts que si nous avions la triarticulation, quand donc le sol, le travail et les moyens de production ne seraient pas des marchandises. L'industrie se montrerait alors aussi comptablement comme entreprise subventionnée.

2. La rente foncière
Tous les humains dans une région économique qui se lient juridiquement les uns les autres ne peuvent vivre que de la rente foncière de la région. Juridiquement revient à chaque être humain le quotient de la rente foncière par le nombre d’habitants. En termes de coût cela ne pourrait être mesuré que si nous avions la triarticulation, si donc le sol, le travail et des moyens de production n’étaient pas des marchandises.

3 La cellule originelle de l'économie
Si chaque coproducteur, appelé aujourd’hui collaborateur, reçoit des revenus réels au sens d’une cellule primordiale économique, alors les déroulements économiques sont optimaux et les prix peuvent être fixés. La cellule primordiale de l'économie est descriptible ainsi : La valeur d'un produit qu’un coproducteur fabrique dans un temps particulier doit être ainsi que ce coproducteur, pour lui-même et ceux dépendants de lui (!) purs consommateurs associés, puisse tirer tous les biens de besoin de l'économie alentour pour à l'avenir, en un temps similaire et avec les moyens correspondants, produire à nouveau le même produit.

4.Le cadre juridique de l'économie
L'économie associative doit produire des marchandises, déterminer des prix et par la déterminer et transférer des humains capables d’entreprise à entreprise. Les nombreuses agences de travail et autorités de surveillance, avec colonnes de services extérieurs, qui contrôlent les chantiers, la transformation des aliments ou les administrations, montrent que tout est corrompu entre les humains faisant aujourd'hui l’économie. Dans une économie associative, dans laquelle les humains travaillent ensemble avec mêmes droits, agit quotidiennement sur place dans chaque humain en unité le droit vivant comme l'expertise personnelle.

5. Les effets des gens capables
Aujourd'hui, dans le domaine culturel-spirituel ne seront en général planifiées que les contraintes économiques et les revendications des politiciens exprimées plus généralement, conformément à l'idéologie des formations pour la compétitivité et la persistance de l’existant.

Pour l’humain particulier se présentent de ses expériences, des expériences de son âme, les fruits spirituels et compétences ultérieures. Les compétences amenées dans la vie proviennent du prénatal. Les compétences des personnes sont socialement globalement le capital. Le capital ne peut pas être correctement formé et géré si le culturel-spirituel se tient sous le commandement de commandeurs politiques, qui à nouveau doivent plaire aux puissants propriétaires privés.

 Revenus de mesure de la valeur et transferts de revenus

1 Les revenus dans l'agriculture et les biens industriels conformément à la fixation de la valeur des prestations.
L’agriculture nourrit tous les humains. Toute agriculture et toute industrie doivent, à côté de leurs processus de production de biens, effectuer les processus empêchant les dommages et réparant les dommages et devraient fournir tous les humains avec nourriture et maintien de la vie. Ce qui est produit en plus sert à l’édification et la destruction de l’humain et de la terre. Toutes les entreprises sont associées en chaines de fournisseurs-clients jusqu’aux clients finaux, elles sont de toute façon enchaînées plus avant à cause de leurs restitutions et de leurs déchets, et pour cela doivent payer d'autres participations au prix de réparation.

En tant que collaborateur dans les entreprises associées ils reçoivent du revenu avec lequel ils doivent couvrir leurs besoins au sens de la cellule originelle à l’intérieur de l'économie, leur participation aux entreprises de l'état de droit personnel compris, et leurs entreprises préférées de la vie de l’esprit personnel compris. Les contributions à l’État de droit sont fixées, les dépenses au domaine spirituel auto administré pour culture, éducation, médecins, etc. sont des transferts personnels.

 2 Prestations de transferts conformément à l’impôt sur les dépenses décidées par l’État « de droit » à des humains faisant l’économie, donc fournissant ou consommant, pour l'équilibrage de charges
Toute production de biens est nuisible et destructrice. Des processus réparateurs de dommages sont à planifier et mettre en œuvre en parallèle aux processus des biens. Cela augmente les prix. À cela s’ajoute l’élimination des biens consommés et des investissements.

Des processus réparateurs de dommages seront-ils ultérieurement demandés et contractualisés par les communautés juridiques, alors les organes de droit devront déterminer avec l'économie les entreprises réparatrices de dommages et augmenter pour chaque bien particulier un impôt sur les dépenses spécial. Cet impôt sur les dépenses doit être payé par l’acheteur intéressé afin qu'il puisse acheter le bien. L’impôt va à l'entreprise réparatrice de dommages. Lors d’une participation à l'investissement, c’est en conséquence. Un dépositaire d’argent donne t’il son argent pour l’investissement, ainsi il investi dans consommation, usure et dommages. Pour un investissement la limitation des dommages et la restauration de dommages sont à réaliser avec. Pour des dommages d’investissements attendus, des moyens nécessaires pour la réhabilitation des dommages sont à planifier dès le départ ou à payer d’avance comme impôt sur les dépenses sur les sommes d’argent se trouvant prêtes pour la planification des investissements. Alors, si quelqu’un veut donner de l'argent à une banque d’investissement, alors il doit éventuellement payer avant son impôt sur les dépenses pour ça.

Les anciens producteurs après leur vie de travail peuvent être entretenus de l’impôt sur les dépenses, que les entrepreneurs ont à payer sur l’entretien de leurs employés. Par cela, l’impôt sur les dépenses compense sur le salaire l'usure de personnes en âge de la retraite.

Personnes sans aide pourraient tout aussi bien être entretenues ainsi, ce en quoi leurs pensions seraient pour ainsi dire considérées comme ultérieure réparation de manquements historiques de l’humanité.

À partir de raisons culturelles, on pourrait avec des impôts sur les dépenses sur les produits agricoles des secteurs productifs tels que l'agriculture de la borde de Magdebourg soutenir l’agriculture de la lande infertile de Lausitz, afin que là l’agriculture villageoise reste intéressante et la langue sorabe ne se barre pas.

Tous les impôts sur les dépenses adoptées pour certaines raisons dans l’État de droit viennent après coup s’ajouter aux prix des marchandises chargées. Les humains seront poussés à ce qu’ils planifient et associent aussi dès le départ comme collaborateurs de l’économie des entreprises de réparation des dommages et donc dès le début remettent leurs biens à la distribution avec des prix basés sur la valeur. Aussi, les gens seront poussés, à ce que des dommages aux humains puissent être pondérés dès le départ. Dans la société de triarticulation, il y a des communautés juridiques vivantes, chaque humain est habilité à se gouverner lui-même. Il n'y a pas d’État unitaire souverain, qui est un outil de certains cercles pour conduire des sujets derrière la lumière.

La vie spirituelle, la vie économique et la vie du droit seront unité quotidienne sur place. S’il y a alors toujours moins d’impôts spéciaux sur les dépenses, alors c'est une mesure pour la santé sociale.

3 Prestations de transferts selon des redevances démocratiquement convenues pour l’activité de l’État « de droit » démocratique
Dans une société de triarticulation, tous les humains majeurs doivent être habilités à porter leurs institutions indépendamment de l'économie et du capital, donc de la vie spirituelle, dans l'état de droit. Seules la compréhension et la volonté à la triarticulation font du plus d’humains possible des citoyens juridiques également justifiés, qui peuvent trouver un appui dans les institutions juridiques.

Institutions et collaborateurs dans l'autonome domaine du droit de la communauté de droit de tous les humains majeurs, ne faisant pas l’économie, ne commandant pas éducation et culture, doivent être équipés, maintenus et nourris par les produits de la vie économique. Les décisions des communautés juridiques sont atteintes dans les assemblées élues ou par des votes. Tous les moyens financiers porteurs ne peuvent venir que des humains particuliers, parce que ceux-ci doivent et veulent être égaux sur le sol du droit. Les institutions de l'État sont d'un point de vue économique des entreprises (NDT traduites comme « activités » en début de texte pour ne pas compliquer la compréhension d’emblée) qui ne produisent pas de biens, mais livrent seulement des biens de consommation ou des déchets. Une « entreprise publique » doit payer ses biens d'équipement avec des fonds qu’elle a reçus de ses « porteurs ». La vie du droit dans l’économie quotidienne sera facturée en interne de l’entreprise, maint est là sans coût, les humains et les institutions de l'État de droit démocratique, à savoir la démocratie, la police, l'armée, la politique, la surveillance doivent être payé par redevance par tous citoyens juridiques avec le principe de l'égalité par tête. Délinquants incarcérés pourraient être affectés au domaine, « police ». Chaque humain s’investira juridiquement dans le domaine économique pour qu’il reçoive en conséquence assez d'argent pour continuer d’atteindre les prélèvements pour l'état.
Selon le concept actuel ne seraient pas pour cela à dépenser des impôts, mais des redevances et dans l'économie, les humains veillent en sorte qu'ils puissent aussi payer ces redevances.

L'État de droit se finance à court terme non pas par des crédits, mais prend par haut besoin un impôt progressif sur le revenu pour les hauts revenus au-dessus du taux de la rente foncière, des besoins des cellules originelles.

Les coûts de l'État ne peuvent être qu’adaptés oscillants à la performance économique. Mais justement, seulement pour des affaires de droit et non pas pour les actuels « Investissements » et « subventions » et centres de soins de jour (NDT « Kitas »), etc. L'état de droit ne se finance fondamentalement pas par des crédits, cela est donc aussi aujourd'hui répréhensible. Un ministère des finances serait interne, seulement compétent pour la pure surveillance de l’État de droit, et veillerait à ce que les services de l’état de droit puissent être fournis avec les redevances des humains.

Dans une société de triarticulation, l’état de droit ne doit dépenser aucune part pour des redevances pour l’état de droit dans ses salaires internes. Cela permet d'éviter la bureaucratie et des imputations comptables alternées. Les humains pensants et travaillants se développent donc des institutions comme organes du droit préservant le système.

Si peu de personnes sont occupées dans l’état de droit, alors c'est une mesure de la santé sociale.

4 Prestation de transfert selon des dons individuels pour des besoins culturels
Pour l’humain individuel se présentent à partir de ses expériences de vie, des vécus de son âme, les fruits spirituels et les compétences ultérieures. Les compétences des humains sont le capital dans la globalité sociale. Les compétences apportées avec lui par l’enfant proviennent du prénatal. Les humains qui sont socialement actifs dans le secteur culturel, dans la vie spirituelle, sont par exemple :
· l’enseignant pour la génération de capital,
· le médecin pour la réparation du capital,
· l’artiste pour la régénération du capital,
· l’entrepreneur pour la valorisation du capital pour le secteur manufacturier,
· l’avocat pour l'examen de la valorisation du capital,
· le juge pour les empêchements de valorisation du capital,
· etc.

De telles personnes et leurs entreprises doivent être entretenues par les humains en ayant besoin, les consultant, les utilisant par leur propre décision personnelle. Les clients du domaine de société spirituel s'abstiennent de consommer des biens et font passer la valeur de l'argent à des entreprises du secteur culturel créatif. À partir d’une perspective économique, les entreprises culturelles sont, des consommateurs finaux et ne sont pas à l'intérieur d'une chaîne client-fournisseur, mais un membre final, car ils ne produisent pas de biens, seulement des déchets. L'économie se heurte ici à l'homme spirituel. Celui-là ne peut que se nourrir spirituellement quand il renonce lui-même à des biens et donne à ces entreprises dans le secteur culturel et créatif. Pourquoi donne ? Parce que le client ne réalise pas de contre-valeur, mais lui-même avec son propre effort doit attiser en soi les compétences souhaitées. L’entreprise culturelle ne donne que les incitations. Un visiteur de stade ne doit pas se fatiguer, il peut laisser sortir la truie, mais son entrée est « donnée ».

Avec l'idéologie d'aujourd'hui, presque tous les humains ont l’exigence que l'état unitaire paye la culture et la science. Là derrière se tient le motif que les autres doivent payer. Gardant à l'esprit la problématique de la régulation des dommages parallèles à la production de biens devrait être aussi claire que seulement des spécialistes spirituellement indépendants soient en place dans les entreprises pour cela ou comme entrepreneurs spirituellement indépendants puissent organiser des entreprises spéciales. Des symptômes tels que «Asse» "Landminen", "Fukujima", montrent combien doivent être dépravés les « experts » qui sont ancrés à des pouvoirs financiers.

Un commun donner de revenus au domaine de la culture serait un procédé dans les entreprises économiques, par une certaine participation aux gains de certaines institutions du domaine de vie spirituelle pourrait être partagé avec certaines communautés à la place de rester dans les revenus. En ce sens, les récipiendaires pourraient être choisis par un vote sur un effectif parmi lesquels les écoles seraient sans doute préférables. Dans un second vote, les montants pourraient être répartis pour les destinataires sélectionnés. Ces fonds aussi sont toujours des externalisations personnelles de revenus. Par cela serait possible une prise de conscience commune des répercussions souhaitées dans le domaine culturel du domaine du capital. S'il y avait, par exemple, une augmentation frappante des enfants dans une région, alors pourraient avec des votes d’entreprise comme indiqué ci-dessus, être alloué à temps plus de fonds dans la formation des enseignants. Ainsi peuvent coopérer sur place vie spirituelle, vie économique et vie du droit.

Actifs spirituels qui travaillent concourant dans un domaine culturel-créatif autoadministré comme domaine du capital, ont besoin, en plus de leurs débours d'entreprise qu’ils contiennent leurs besoins dans le domaine 1 (biens), 2 (redevances à l’État de droit) et 4 (domaine culturel). Les participations de redevance à l’État de droit doivent également contribuer à la demande, afin que vaille le principe demande-responsabilité.

L'entrepreneur est, selon Steiner, justifié pour sa liberté, de prendre, ce qui est à prendre. Dans une société de triarticulation, il est actif dans la vie spirituelle comme administrateur de capital et reçoit seulement ce qu’on lui accorde.Il ne peut pas vendre le capital.

Résumé

Il est clair qu’une séparation des pouvoirs de la société dans son ensemble, ne peut devenir seulement possible que si des millions d’humains en Europe établissent comme décrit ci-dessus, de nouveaux rapports économiques entre eux, veulent laisser leurs institutions éducatives et culturelles devenir indépendante de l'État en libre autogestion et donc avec cela se dédisent du « père état » ou du « grand frère état » et fondent un nouvel état de droit purement démocratiquement, qui alors ne commande plus la culture et ne scinde plus les humains en investisseurs et perdants économiques avec des flux d’argent. Le rapport à l'impôt sert ici comme exemplairement à se sortir des pensées-béton d’aujourd’hui. Des millions d’humains doivent d'abord se prononcer sur une nouvelle façon de penser et alors vouloir quelque chose, afin que dans les associations séparées d’un état de droit démocratique et de la production de compétences et la préservation des capacités du domaine culturel-créatif, une économie indépendante, une nouvelle façon de penser puisse apparaître.

Au lieu des actuels prélèvements pour l’état unitaire « souverain », s’introduiront alors des externalisations génériques justifiées juridiquement, comme contributions aux l’entreprises de l’état de droit, des externalisations individuelles justifiées juridiquement comme impôt sur les dépenses ciblées à des institutions régulant les dommages et des externalisations individuelles de revenu motivées individuellement comme dons à des entreprises culturelles créatives ne formant pas de contre-valeur actuelle.

· Pas d’impôt collectifs à partir de l'économie à un État de droit
· redevances à l'État de droit par tête
· impôt sur le revenu pour les besoins supplémentaires de l'État de droit au lieu de la dette de l’État aujourd'hui.
· impôts sur les débours à ‘intérieur de l'économie pour les entreprises et institutions réparant les dommages.
· Pas d’impôt pour la culture, mais transfert de consommation individuel comme donation.

Postface : L’ensemble du texte est compilé de descriptions et suggestions de Rudolf Steiner. Les références ne sont donc pas énumérées.

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