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Institut pour une triarticulation sociale
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La tri-articulation sociale, un contre-projet au nationalisme

par Sylvain Coiplet




9 Résumé

9 Zusammenfassung

 


 




Original




Traducteur: FG Editeur: SITE

Ici ne devrait pas être résumé tout le travail. Aux autres recherches sur le nationalisme sera seulement rappelé par exception. La notice biographique reste complètement épargnée.

Le nationalisme comme distinction entre les nations

Qui tient toute distinction nationale pour le nationalisme, regarde en fait vers les frontières nationales. La nation lui est une unité économique, politique ou culturelle qui est plus petite que le monde. Chacune de ces trois unités peut avoir sa cause soit en elle-même, ou être causé par l’une des deux autres unités. Mais selon Steiner, l’économie, l’état et la culture se laissent tenir l’une hors des autres comme des fonctions sociales. Frontières économiques, politiques et culturelles se déplacent alors indépendamment les unes des autres. Chaque unité a encore son origine seulement en elle-même. Les unités économiques, gouvernementales et culturelles tendent alors par elles-mêmes à l’économie mondiale, à la fédération mondiale des États et à la culture mondiale. Mais si on essaie de les coupler ensemble, elles ne se trouvent plus en elles-mêmes et avec cela à la source de l’universalité propre. Une économie d’État ne peut plus aspirer à l’économie mondiale. Si une unité culturelle veut devenir unité politique, elle se perd pour la culture mondiale.

Le nationalisme comme mépris pour d’autres nations.

Sous nationalisme on peut comprendre chaque mépris national. La question est alors de savoir si ce nationalisme conduit à la guerre. Selon Steiner, seul se fait la guerre ce qui est état ou veut l’être. Si l’économie et la culture se tiennent en dehors de questions politiques, ainsi elles renonceront à chaque arme. Le mépris économique et culturel ne peut alors plus avoir de guerre pour conséquence. La priorité repose ici dans l’autonomisation de l’économie, qui sinon, au lieu d’économie mondiale, deviendra cause décisive de guerre. Démocratie et fédération d’états ne peuvent créer aucune solution contre cela.

Par dessus cela se pose la question si seulement la guerre, ou si même le mépris national, est lui-même à éviter. L’économie mondiale et la culture mondiale présupposent quand même de surmonter le mépris économique et culturel. A Steiner, il est à mon avis plus important d’accentuer que des guerres peuvent déjà s’éviter avant que ce soit aussi loin. L’économie mondiale et la culture mondiale ne peuvent de toute façon pas obliger les États à leur paix. Ils peuvent seulement les priver de la possibilité d’un embargo économique et d’une propagande.

Le nationalisme comme identification avec la nation.

Chaque identification nationale pourra être comprise sous nationalisme. La question est alors, si ce nationalisme est basé sur la coercition. Selon Steiner, une liberté complète est à atteindre seulement avec l’identification culturelle. L’économie et l’état ont par contre une fonction sociale différente à remplir que la liberté. La priorité repose donc ici à l’autonomisation de la culture, qui ne peut sinon pas réaliser son idéal de liberté. Lors de l’identification nationale avec un état, la contrainte de la majorité ne se laisse pas éviter.

Par sa liberté, l’identification culturelle peut même surmonter son caractère national. Elle trouve son chemin vers la culture mondiale par le chemin d’une culture individuelle ou d’une identification avec plusieurs cultures. Cette culture mondiale se tient et tombe avec la liberté.

Sylvain Coiplet

Es soll hier nicht die ganze Arbeit zusammengefaßt werden. An die sonstige Nationalismus-Forschung wird nur ausnahmsweise erinnert. Die biographische Skizze bleibt völlig ausgespart.



Nationalismus als Unterscheidung zwischen Nationen

Wer jede nationale Unterscheidung für Nationalismus hält, schaut eigentlich nach den nationalen Grenzen. Die Nation ist ihm eine wirtschaftliche, poli­tische oder kulturelle Einheit, die kleiner ist als die Welt. Jede dieser drei Einheiten kann entweder ihre Ursache in sich selbst haben oder durch eine der beiden anderen Einheiten verursacht werden. Laut Steiner lassen sich aber Wirtschaft, Staat und Kultur als soziale Funktionen auseinanderhalten. Wirtschaftliche, politische und kulturelle Grenzen bewegen sich dann unabhän­gig voneinander. Jede Einheit hat ihre Ursache nur noch in sich selbst. Die wirtschaftlichen, staatlichen und kulturellen Einheiten tendieren dann von sich aus zur Weltwirtschaft, Weltstaatenbund und Weltkultur. Versucht man aber sie aneinander zu koppeln, finden sie nicht mehr zu sich selbst und damit zur Quelle der eigenen Universalität. Eine Staatswirtschaft kann nicht mehr der Weltwirtschaft zustreben. Will eine kulturelle Einheit zur politischen Einheit werden, so geht sie der Weltkultur verloren.

Nationalismus als Verachtung anderer Nationen

Unter Nationalismus kann man jede nationale Verachtung verstehen. Die Frage ist dann, ob dieser Nationalismus zum Krieg führt. Laut Steiner bekriegt sich nur was Staat ist oder sein will. Halten sich Wirtschaft und Kultur aus politi­schen Fragen heraus, so verzichten sie damit auf jede Waffen. Wirtschaftliche und kulturelle Verachtung können dann keinen Krieg mehr zur Folge haben. Die Priorität liegt hier bei der Verselbständigung der Wirtschaft, die sonst, statt zur Weltwirtschaft, zur entscheidenden Kriegsursache wird. Demokratie und Staatenbund können dagegen keine Abhilfe schaffen.

Es fragt sich darüber hinaus, ob nur der Krieg, oder ob auch die nationale Verachtung selbst zu vermeiden ist. Weltwirtschaft und Weltkultur setzen doch die Überwindung der wirtschaftlichen und kulturellen Verachtung voraus. Steiner ist es meiner Ansicht nach wichtiger zu betonen, daß sich Kriege schon vermeiden lassen, bevor es soweit ist. Ihren Frieden können die Weltwirtschaft und Weltkultur den Staaten ohnehin nicht aufzwingen. Sie können ihnen nur die Möglichkeit des Wirtschaftsembargos und der Propaganda entziehen.

Nationalismus als Identifikation mit der Nation

Es kann unter Nationalismus jede nationale Identifikation verstanden werden. Die Frage ist dann, ob dieser Nationalismus auf Zwang beruht. Laut Steiner ist eine völlige Freiheit nur bei der kulturellen Identifikation zu erreichen. Wirtschaft und Staat haben dagegen eine andere soziale Funktion zu erfüllen als die Freiheit. Die Priorität liegt hier also bei der Verselbständigung der Kultur, die ihr Ideal der Freiheit sonst nicht verwirklichen kann. Bei der nationalen Identifikation mit einem Staat läßt sich der Zwang der Mehrheit nicht vermeiden. Durch ihre Freiheit kann die kulturelle Identifikation sogar ihren nationalen Charakter überwinden. Sie findet zur Weltkultur über den Weg einer individuellen Kultur oder einer Identifikation mit mehreren Kulturen. Diese Weltkultur steht und fällt mit der Freiheit.

Sylvain Coiplet