La fin formelle de l'Union pour la triarticulation de
l'organisme social en 1922
5ème appel de « l'Union pour la libre vie de
l'esprit »
Transfert de « l'Union pour la triarticuation
de l'organisme social » dans « l'Union pour
la libre vie de l'esprit » (16)
Dans le n ° 50 du journal de la triarticulation le
changement de titre de cet hebdomadaire (17) en
« Anthroposophie, hebdomadaire pour la vie
spirituelle libre » est affiché, et était fondée
la nécessité du rapprochement. C'était le premier pas
pour transformation en temps opportun et reposant dans
les rapports de ce qui repose à la base du mouvement
de triarticulation. Un pas supplémentaire s'avérant
comme nécessaire est le transfert de « l'Union
pour la triarticulation de l'organisme social »
dans une «Union pour la vie libre de l'esprit ».
Le mouvement de triarticulation avait été initié sous
l'hypothèse qu'il trouverait un écho fort, parce qu'il
saisissait ces impulsions lesquelles reposaient dans
le vouloir du temps, de l'humanité moderne dans son
ensemble.Il n'a pas trouvé cet écho. Par
conséquent, son travail s'étendra pour l'avenir sur ce
domaine là qui vient en question comme préliminaire
pour un nouvel élément de culture et c'est une vie de
l'esprit libre.
Le mouvement de triarticulation est apparu par cela
que certaines personnalités de Stuttgart qui étaient
membres du Mouvement anthroposophique, se sont tournés
au printemps de 1919, vers le Dr Steiner avec la
demande de conseils pour la reconstruction de la vie
sociale, après laquelle était partout cherché. Dr
Steiner a ensuite écrit le célèbre appel, « Au
peuple allemand et au monde de la culture! »
derrière lequel se placèrent plusieurs centaines de
personnalités de tous les cercles, et qui a été
diffusé en Allemagne, en Autriche et en Suisse. En
rattachement à cela, le mouvement de triarticulation
apparu. Il se construisit sur ces pensées là que le Dr
Steiner avait déjà représenté dans nombre de
conférences et qu'il a posé dans l'écrit: « Les
points fondamentaux de la question sociale dans les
nécessités du présent et de l'avenir ».
L'impulsion de triarticulation, si elle est
correctement comprise, ne pourra en aucune façon être
identifiée ou confondue avec quelques autres
orientations d'idées sociales. Ce qui sera voulu avec
cela, réside dans les tendances de l'évolution humaine
récente. Il ne devait donc avec cela qu'être
clairement exprimé, ce qui veut tout généralement se
frayer un chemin des nécessités historiques. Cette
impulsion se frayera au travers sous toutes les
circonstances, mais peut-être encore plus difficiles
qu'elles sont à l'heure actuelle, parce qu'elle vit en
fait dans les soubassements inconscients de la
conscience humaine actuelle. On verra cela parce que
de nombreux phénomènes dans le présent en témoignent
déjà.
Le mouvement de triarticulation n'a jamais été
dirigée contre l’État.Il voulait plutôt lui donner par
cela un fondement sûr, qu'il souhaite placer dans une
relation plus juste à lui la vie de l'esprit et la vie
de l'économie, que c'est devenu à son propre détriment
comme résultat des récentes évolutions.
Au sein du mouvement anthroposophique a été tenté de
cultiver une vie de l'esprit, qui est appropriée à
donner à la vie de l'esprit du présent ces impulsions
dont elle a besoin pour la poursuite de son
développement. Le mouvement de triarticulation n'a pas
trouvé assez d'écho, par contre, est disponible pour
l'anthroposophie dans tous les milieux, aussi de tels
du prolétariat une telle compréhension étendue. Pour
ces raisons, a lieu le retrait sur ce domaine là de la
vie de l'esprit libre, laquelle a toujours été
représentée et qui appartient aux tâches culturelles
du mouvement de triarticulation. Dans ce domaine a été
fait un début pratique pour la question aussi
importante dans le présent de l'éducation par la
création de « l'école Waldorf » à Stuttgart,
et pour le progrès culturel général comme tel avec le
« Goetheanum, l'École libre des sciences de
l'esprit ».
Il y a disponible chez de nombreux humains dans le
présent de la situation du monde actuelle un besoin
allant très profond après une façon de voir le monde
nouvelle conforme à l'esprit et porteuse de l'âme.
L'Anthroposophie croit venir à la rencontre de ce
besoin de manière résolument contemporaine. Elle est
comme façon de voir fondée scientifiquement. Elle
s'avère artistiquement fructueuse dans tous les
domaines. Elle conduit en termes religieux à
l'approfondissement et elle est efficace en termes
sociaux.Elle dispose d'une vaste littérature. Les
nombreux écrits du Dr Rudolf Steiner ont atteint des
nombres d'éditions d'une hauteur qui prouvent que dans
les cercles les plus larges est disponible un intérêt
pour l'anthroposophie.
Ce mouvement de façon de voir le monde nécessite
s'il devait s'avérer fructueux pour le progrès de
l'humanité, qu'il se place dans la pleine vie
publique. Il doit être donner la possibilité que par
lui pourra être discuté dans la mesure la plus large
et de manière appropriée. L'Union pour la vie de
l'esprit libre veut créer un tel podium. Elle veut
donner un sol sur lequel peuvent se placer de la
manière la plus libre de nouveaux collaborateurs de
tous les secteurs de la vie. Les publications
périodiques comme l'hebdomadaire
« Anthroposophie »" et le mensuel « Die
Drei » se mettent à la disposition de l'Union. Un
mouvement de façon de voir le monde comme
l'anthroposophique pourra s'avérer d'autant plus
viable, plus il se verra confronté à un jugement
impartial, neutre et libre et d'autant plus qu'il
offre lui-même la main que si possible beaucoup
d'humains pour qui une refonte de la vie de l'esprit
tient à cœur, de leur situation dans la vie, leurs
expériences et leurs compétences peuvent venir à lui
dans une relation libre. Une compagnie d'adeptes
dogmatique et stérile peut seulement lui être un
obstacle dans ses tâches. Il n'a également pas besoin
de reculer devant la lutte, mais ce devrait être la
lutte conduite avec armes spirituelles, non
empoisonnées, avec des moyens honnêtes, pas avec le
contraire.
L'Union pour la vie de l'esprit libre veut donner un
cadre pour cela. Il poursuivra les débuts
aujourd'hui existants d'un mouvement pour des écoles
libres et promouvra tous les efforts aux domaines
scientifiques, artistiques et sociaux, qui se reposent
dans le sens d'une vie de l'esprit libre. Cela
nécessite la participation de cercles supplémentaires
en rapport spirituel comme financier.
L'adhésion à l'Union est obtenue par inscription à la
direction de l'Union ou à l'un des groupes locaux
émergents, qui seront annoncés dan cet hebdomadaire.
La cotisation s'élève à 25 Mark pour l'année. Les
groupes locaux lèvent ici les suppléments nécessaires
pour leurs propres besoins.
Les soussignés expriment l'espoir que l'Union pour
la vie de l'esprit libre, qui vient au devant des
larges besoins de notre temps, aimerait trouver un
écho en de larges cercles, de sorte qu'une vie de
l'esprit libre puisse s'avérer comme moderne, exigée
par l'élément culturel de la situation du monde
lui-même.
Ernst Uehli, comme directeur de l'Union pour la vie
de l'esprit libre, Stuttgart, Champignystraße 17
Recteur Moritz Bartsch, Gottschallstraße 8. Michael
Bauer, Breitbrunn am Ammersee.
Prof. Dr. phil. et jur. Hermann Beckh, Nürnberg,
Marientor graben 1.
Dr. phil. Herbert Hahn, professeur
à l'école libre Waldorf, Stuttgart, Kanonen weg
44.
Dr. med. Eugen Kolisko, professeur
à l'école libre Waldorf, Stuttgart, Kanonenweg
44.
Directeur général Emil Leinhas, Stuttgart,
Champignystr. 17
Conseiller au commerce Emil Molt, Stuttgart,
Spittelerstr.8
Rudolf Meyer, Berlin SO 36, Kottbuser rive 25
Ludwig Polzer-Hoditz, Vienne VI, Köstler Gasse 6/8
Licencié en théologie. Dr.
phil. Rittelmeyer, Berlin W 8, Kronenstraße 70
Dr phil.Walter Johannes Stein, professeur à l'école
Waldorf, Stuttgart, Kanonenweg 44
EAK Stockmeyer, professeur à l'école Waldorf,
Stuttgart, Kanonenweg 44
Dr. Ing. Carl Unger, Stuttgart, Werastraße 13
Ludwig Werbeck, Hambourg, Holzdamm 34
Dr. phil. H. Wohlbold, Munich, Adalberstrasse
55
(16) De l'hebdomadaire « Anthroposophie pour la
vie de l'esprit libre », 4 année, n ° 2, 13
juillet 1922.
(17) Anciennement "Triarticulation de l'organisme
social"
Copyright Gestion du leg Rudolf Steiner : 266c Page:
414
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5. Aufruf des «Bundes für freies
Geistesleben»
Überleitung des «Bundes für
Dreigliederung des sozialen Organismus» in den «Bund
für freies Geistesleben» 16
In Nr. 50 der Dreigliederungs-Zeitung
ist die Titeländerung dieser Wo chenschrift17 in
«Anthroposophie, Wochenschrift für freies
Geistesleben» angezeigt und deren Notwendigkeit des
näheren begründet worden. Es war dieses der erste
Schritt zu einer zeitgemäßen und in den Verhältnissen
liegenden Umgestaltung dessen, was der
Dreigliederungsbewegung zu grunde liegt. Ein weiterer
sich als notwendig erweisender Schritt ist die
Überleitung des «Bundes für Dreigliederung des
sozialen Organismus» in einen «Bund für freies
Geistesleben».
Die Dreigliederungsbewegung war unter
der Voraussetzung eingeleitet worden, daß sie ein
starkes Echo finden werde, weil sie diejenigen Impulse
erfaßte, welche in dem Wollen der Zeit, der neueren
Menschheit im Gesamten liegen. Sie hat dieses Echo
nicht gefunden. Infolgedessen wird sich für die
Zukunft ihr Wirken auf dasjenige Gebiet erstrecken,
das als Vorbereitendes für ein neues Kulturelement in
Frage kommt und dieses ist ein freies Geistesleben.
Die Dreigliederungsbewegung ist dadurch
entstanden, daß einige Stuttgarter Persönlichkeiten,
welche Angehörige der anthroposophischen Bewegung
waren, sich im Frühjahr 1919 an Dr. Steiner wandten
mit der Bitte um einen Ratschlag für den Wiederaufbau
des sozialen Lebens, nach welchem überall damals
gesucht wurde. Dr. Steiner verfaßte dann den bekannten
Aufruf «An das deutsche Volk und an die Kulturwelt!»
hinter den sich mehrere hundert Persönlichkeiten aus
allen Kreisen stellten, und der in Deutschland,
Österreich und der Schweiz verbreitet wurde. Im
Anschluß daran entstand die Dreigliederungsbewegung.
Sie baute sich auf diejenigen Gedanken auf, welche Dr.
Steiner bereits in einer Anzahl Vorträge vertreten
hatte und die er niederlegte in der Schrift: «Die Kern
punkte der sozialen Frage in den Lebensnotwendigkeiten
der Gegenwart und Zukunft».
Der Dreigliederungsimpuls kann, wenn er
richtig verstanden wird, in keiner Weise mit
irgendwelchen anderen sozialen Ideenrichtungen
identifiziert oder verwechselt werden. Was damit
gewollt wird, liegt in den Tendenzen der neueren
Menschheitsentwicklung. Es sollte damit nur klar
ausgesprochen werden, was sich ganz allgemein aus den
geschichtlichen Notwendigkeiten heraufarbeiten will.
Dieser Impuls wird sich unter allen, aber vielleicht
noch schwierigeren Umständen, als sie es gegenwärtig
sind, emporarbeiten, weil er in den unbewußten
Untergründen des heutigen Menschheitsbewußtseins
tatsächlich lebt. Man wird dies sehen, denn manche
Erscheinungen in der Gegenwart legen bereits Zeugnis
dafür ab.
Die Dreigliederungsbewegung war niemals
gegen den Staat gerichtet. Sie wollte ihm
vielmehr dadurch eine sichere Grundlage geben, daß sie
das Geistesleben und das Wirtschaftsleben in ein
richtigeres Verhältnis zu ihm zu setzen wünscht, als
es zu seinem eigenen Nachteil als Ergebnis der neueren
Entwicklung der Fall geworden ist.
Innerhalb der anthroposophischen
Bewegung ist versucht worden, ein Geistesleben zu
pflegen, welches geeignet ist, dem Geistesleben der
Gegenwart diejenigen Impulse zu geben, welche es für
seine Fortentwicklung braucht. Die
Dreigliederungsbewegung hat kein genügendes Echo
gefunden, dagegen ist für Anthroposophie in allen
Kreisen, auch in solchen des Proletariats ein
weitgehendes Verständnis vorhanden. Aus diesen Gründen
erfolgt der Rückzug auf dasjenige Gebiet des freien
Geisteslebens, welches immer vertreten worden ist und
zu der kulturellen Aufgabe der Dreigliederungsbewegung
gehört. Auf diesem Gebiete ist für die in der
Gegenwart so wichtige Frage der Erziehung durch die
Begründung der «Freien Waldorfschule» in Stuttgart,
und für den allgemeinen Kultur fortschritt als solchen
mit dem «Goetheanum, der freien Hochschule für
Geisteswissenschaft» ein praktischer Anfang gemacht
worden.
Es ist bei zahlreichen Menschen in der
Gegenwart aus der heutigen Weltlage heraus ein
tiefgehendes Bedürfnis nach einer neuen geistgemäßen
und seelentragenden Weltanschauung vorhanden. Die
Anthroposophie glaubt diesem Bedürfnis in einer
wahrhaft zeitgemäßen Weise entgegenzukommen. Sie ist
als Weltanschauung wissenschaftlich fundiert. Sie
erweist sich auf allen Gebieten künstlerisch
fruchtbar. Sie führt in religiöser Hinsicht zur
Vertiefung und sie ist in sozialer Hinsicht
wirksam. Sie verfügt über eine umfassende
Literatur. Die zahlreichen Schriften Dr. Rudolf
Steiners haben Auflageziffern von einer Höhe erreicht,
welche erweisen, daß in breitesten Kreisen Interesse
für Anthroposophie vorhanden ist.
Eine solche Weltanschauungsbewegung
erfordert, wenn sie sich für den Fortschritt der
Menschheit fruchtbar erweisen soll, daß sie sich ins
volle öffentliche Leben hineinstellt. Es muß die
Möglichkeit gegeben sein, daß über sie in breitestem
Maße und in sachgemäßer Weise diskutiert werden kann.
Der Bund für freies Geistesleben will ein solches
Podium schaffen. Er will einen Boden abgeben, auf den
sich in freiester Weise neue Mitarbeiter aus allen
Lebensgebieten stellen können. Die periodischen
Publikationen wie die Wochenschrift «Anthroposophie»
und die Monatsschrift «Die Drei» stellen sich für die
Aufgaben des Bundes zur Verfügung. Eine
Weltanschauungsbewegung wie die anthroposophische wird
sich um so lebensfähiger erweisen können, je mehr sie
sich einem freien, unbefangenen neutralen Urteil
gegenübergestellt sieht und je mehr sie selbst die
Hand bietet, daß möglichst viele Menschen, denen eine
Neugestaltung des Geisteslebens am Herzen liegt, aus
ihrer Lebenslage, ihren Erfahrungen und ihren
Fähigkeiten in ein freies Verhältnis zu ihr treten
können. Ein dogmatisches und unproduktives Anhängertum
kann ihr in ihren Aufgaben nur hinderlich sein. Sie
braucht auch nicht vor Kampf zurückzuscheuen, aber es
sollte der Kampf mit geistigen, nicht mit vergifteten
Waffen, mit ehrlichen Mitteln, nicht mit dem Gegenteil
geführt werden.
Der Bund für freies Geistesleben, will
hierfür einen Rahmen abgeben. Er wird die heute
vorhandenen Anfänge einer Bewegung für freie Schulen
weiterführen und alle diejenigen Bestrebungen auf
wissenschaftlichem, künstlerischem und sozialem Gebiet
fördern, welche in der Richtung eines freien
Geisteslebens liegen. Hierzu bedarf es der Mitwirkung
weiterer Kreise in geistiger wie in finanzieller
Beziehung.
Die Mitgliedschaft des Bundes wird
erworben durch Anmeldung an die unterzeichnete
Bundesleitung oder an eine der entstehenden
Ortsgruppen, die in dieser Wochenschrift bekannt
gegeben werden. Der Mitgliedsbeitrag beträgt 25 Mark
für das Jahr. Die Ortsgruppen erheben hier zu die für
ihre eigenen Bedürfnisse notwendigen Zuschläge.
Die Unterzeichneten sprechen die
Erwartung aus, daß der Bund für freies Geistesleben,
der einem weitgehenden Bedürfnisse unserer Zeit
entgegenkommt, in weiten Kreisen ein Echo finden möge,
damit ein freies Geistesleben als ein zeitgemäßes, von
der Weltlage gefordertes Kulturelement sich erweisen
kann.
Ernst Uehli, als Leiter des Bundes für
freies Geistesleben, Stuttgart, Champignystraße 17.
Rektor Moritz Bartsch, Breslau,
Gottschallstraße 8. Michael Bauer, Breitbrunn am
Ammersee.
Prof. Dr. phil. et jur. Hermann Beckh,
Nürnberg, Marientor graben 1.
Dr. phil. Herbert Hahn, Lehrer an
der Freien Waldorfschule, Stuttgart, Kanonen weg 44.
Dr. med. Eugen Kolisko, Lehrer an
der Freien Waldorfschule, Stuttgart, Kanonenweg 44.
Generaldirektor Emil Leinhas, Stuttgart,
Champignystr. 17.
Kommerzienrat Emil Molt, Stuttgart,
Spittelerstr. 8.
Rudolf Meyer, Berlin SO 36, Kottbuser
Ufer 25.
Ludwig Polzer-Hoditz, Wien VI,
Köstlergasse 6/8.
Lic. theol. Dr.
phil. Rittelmeyer, Berlin W 8, Kronenstraße 70.
Dr. phil. Walter Johannes Stein, Lehrer
an der Freien Waldorfschule, Stuttgart, Kanonenweg 44.
E.A.K. Stockmeyer, Lehrer an der Freien
Waldorfschule, Stuttgart, Kanonenweg 44.
Dr. ing. Carl Unger, Stuttgart,
Werastraße 13.
Ludwig Werbeck, Hamburg, Holzdamm 34.
Prof. Dr. phil. H. Wohlbold,
München, Adalberstraße 55.
( 16 ), Aus Wochenschrift
«Anthroposophie für freies Geistesleben», 4. Jg., Nr.
2, 13. Juli 1922.
( 17 ) Vormals «Dreigliederung des
sozialen Organismus».
Copyright Rudolf Steiner
Nachlass-Verwaltung Buch: 266c Seite: 414
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