Atelier francophone pour une tri-articulation sociale





Collection: F002 Émile Zola 033_125_1894-1905

033, 125
Zola comme Nietsche : la réalité.

Cela devrait devenir autrement. Le type qui s'efforce d'atteindre toute la force, la puissance et la beauté qui ne sont pas prédéterminées mais qui résident en lui-même devrait pouvoir se développer librement. L’humain, qui ne vit que selon la loi, est censé être un pont entre l’animal et le surhumain, qui crée lui-même la loi. Toute croyance en l’au-delà sera surmontée lorsque l’humain aura appris à construire son existence/être-là sur lui-même. J'aimerais aussi décrire Zola comme une personnalité qui œuvre dans le sens de la vision du monde de Nietzsche. Selon l’opinion de Zola, l’œuvre d’art ne doit pas représenter quelque chose de supérieur, de divin, en opposition à la réalité immédiate ; non, l'artiste doit représenter cette réalité telle qu'il la voit à travers son tempérament. Cela lui donne le sentiment d'être un créateur et celui qui en profite ressent le sens de la terre. Tous deux restent dans la réalité, mais ils la présentent de telle manière qu'à travers leur représentation ils éveillent la conscience que l'homme est un être naturel comme toutes les autres choses naturelles, mais un être supérieur, qui est capable de donner aux choses une forme libre à partir de lui-même.

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Das soll anders werden. Der Typus, der nach all der Stärke, der Macht, der Schönheit, die nicht vorgezeichnet sind, sondern die in ihm selbst liegen, strebt, soll frei sich entwickeln können. Der Mensch, der nur nach dem Gesetze lebt, soll eine Brücke sein zwischen dem Tiere und dem Übermenschen, der das Gesetz selbst schafft. Aller Jenseitsglaube wird überwunden sein, wenn der Mensch auf sich selbst sein Dasein zu bauen gelernt haben wird. Ich möchte auch Zola als eine Persönlichkeit bezeichnen, die im Sinne der Weltanschauung Nietzsches wirkt. Nicht ein Höheres, Göttliches soll nach Zolas Meinung das Kunstwerk gegenüber der unmittelbaren Wirklichkeit darstellen, nein, dieses Wirkliche soll der Künstler so darstellen, wie er es durch sein Temperament sieht. Dadurch fühlt er sich als Schaffender und der, welcher ihn genießt, als Sinn der Erde. Beide bleiben innerhalb des Wirklichen, aber sie stellen es so dar, daß sie durch ihre Darstellung das Bewußtsein erwecken, der Mensch ist ein Naturwesen wie alle anderen Naturdinge, aber ein höheres, das aus sich heraus den Dingen eine freie Gestalt zu geben vermag.