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Collection:  340 - Cours d'économie nationale.

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Sujet:  QUATORZIÈME CONFÉRENCE, Dornach, 6 août 1922
VIERZENHTER VORTRAG, Dornach, 6. August 1922

 

Les références : Rudolf Steiner Œuvres complètes GA340 199-215 (2002) 06/08/1922

Original




Traducteur: FG  v. 01 30/06/2022
Editeur: SITE

Vous aurez vu des considérations que nous avons enclenchées/amorcées en ce temps qu'il s'agit vraiment de trouver ici des concepts, mieux dit, des images sur la vie économique, par lesquelles on peut maintenant s'immerger/plonger en fait dans cette vie économique. Ce n'est donc absolument sur aucun des domaines qui seront aujourd'hui mis en mouvement à l’intérieur du mouvement anthroposophique et auxquels je participe, quelque peu ma conviction que tout ce qui est là de résultats scientifiques devrait être réduit à néant ; c'est plutôt ma conviction que nous avons nous-mêmes beaucoup de choses utiles de grande portée dans nos sciences, que seul le traitement/la prise en main de ces choses utiles, tant dans les sciences de la nature que dans les sciences de la culture, exige un développement essentiel supplémentaire. Et ainsi je voulais alors principalement vous donner des images conceptuelles qui pourraient vous offrir des indices sur la manière d'utiliser correctement ce qui est donc aussi là malgré tout d’utilisable dans la science de l’économie, d’utilisable dans une large étendue. C'est pourquoi j'ai donné de telles images, qui devraient être immédiatement vivantes. Mais le vivant – rendez-vous cela seulement clair ! - est toujours une chose qui à de l’ambiguïté/beaucoup de significations. Maints d'entre vous pourront donc peut-être quitter ces réflexions avec le sentiment que l'une ou l'autre chose serait à objecter à ceci ou à cela. Dans un certain sens, je suis heureux quand cela se passe avec un réel sérieux de chercheur et un esprit de chercheur, quand ce sentiment est disponible ; car ce sentiment doit toujours être disponible envers le vivant. Le vivant ne tolère aucune théorie dogmatique. Et c'est ainsi que vous devez aussi saisir les concepts que je vous ai donnés.

01

Sie werden aus den Betrachtungen, die wir in dieser Zeit angestellt haben, gesehen haben, daß es sich hier wirklich darum handelt, Begriffe zu finden, Bilder, besser gesagt, über das wirtschaftliche Leben, durch die man nun tatsächlich in dieses wirtschaftliche Leben untertauchen kann. Es ist ja durchaus auf keinem der Gebiete, die innerhalb der anthroposophischen Bewegung heute getrieben werden und an deren Betreibung ich mich beteilige, etwa meine Überzeugung, daß alles kurz und klein geschlagen werden sollte, was an wissenschaftlichen Ergebnissen da ist; sondern es ist meine Überzeugung, daß wir innerhalb unserer Wissenschaften selbst vieles weitausgedehntes Brauchbare haben, daß nur die Handhabung dieses Brauchbaren, sowohl in der Naturwissenschaft wie auch in den Kulturwissenschaften, eine wesentliche Weiterentwickelung erfordert. Und so wollte ich Ihnen denn hauptsächlich solche Begriffsbilder geben, welche Ihnen Anhaltspunkte bieten können, dasjenige, was ja auch in der Wirtschaftswissenschaft immerhin Brauchbares, in weitem Umfang Brauchbares da ist, das in der richtigen Weise zu gebrauchen. Deshalb gab ich solche Bilder, welche unmittelbar lebendig sein sollten. Das Lebendige aber — machen Sie sich das nur ganz klar! — ist immer ein Vieldeutiges. Daher wird mancher von Ihnen aus diesen Betrachtungen vielleicht weggehen können mit dem Gefühl, gegen das eine oder das andere sei dieses oder jenes einzuwenden. Ich bin in einem gewissen Sinne, wenn das mit einem wirklichen Forscherernst und Forschergeist geschieht, froh, wenn dieses Gefühl vorhanden ist; denn dieses Gefühl muß dem Lebendigen gegenüber immer vorhanden sein. Das Lebendige duldet keine dogmatische Theorie. Und so müssen Sie auch die Begriffsbilder, die ich gegeben habe, auffassen.

Un concept extraordinairement ambigu, j’aimerais dire, est donc celui de l'argent qui vieillit ou qui s'use. Mais avec de telles images conceptuelles, cela se comporte ainsi qu'on a à se tenir vis-à-vis d’elles, comme on se tient vis-à-vis d’un être humain en devenir. On a le sentiment général qu'il pourra fournir telle ou telle chose bonne. On peut alors peut-être se faire des représentations sur comment il fournira cela. Mais ces représentations sur comment il le fournit n’ont pas toujours besoin d’être exactes. La personne concernée peut le fournir d'une autre manière. Et ainsi vous pouvez également trouver différentes modalités pour le concept du s'user de l'argent, comment cette usure de l'argent peut se passer. J'ai essayé de vous présenter le mode de fonctionnement qui est le moins pensé à partir du bureaucratique, le plus pensé ainsi qu’il se donne à partir de la vie de l’économie elle-même.

02

Ein, ich möchte sagen, außerordentlich vieldeutiges Begriffsbild ist ja das des altwerdenden oder sich abnützenden Geldes. Aber mit solchen Begriffsbildern verhält es sich so, daß man ihnen gegenüber so zu stehen hat, wie man etwa, sagen wir, einem werdenden Menschen gegenübersteht. Man hat das allgemeine Gefühl: der wird dieses oder jenes Tüchtige leisten können. Man kann dann vielleicht sich Vorstellungen darüber machen, wie er das leistet. Diese Vorstellungen aber, wie er es leistet, die brauchen ja nicht immer zutreffend zu sein. Der Betreffende kann das auf andere Weise leisten. Und so können Sie auch unter Umständen für den Begriff des sich abnützenden Geldes verschiedene Modalitäten finden, wie diese Abnützung des Geldes geschehen kann. Ich versuchte denjenigen Modus vor Sie hinzustellen, der sozusagen am wenigsten aus dem Bürokratischen heraus gedacht ist, der mehr so gedacht ist, daß er sich aus dem Wirtschaftsleben selbst heraus ergibt.

Objections sur objections peuvent survenir là. Je veux vous rendre attentif sur ce qu'on peut très facilement objecter : Oui, par quoi devrait-il être déterminé, que par exemple, un quelque entrepreneur devrait tout de suite ficher de l'argent jeune dans son entreprise, puisque peut-être dans peu de temps, on ne pourra plus savoir si c'était de l'argent jeune ou non ; car l'entreprise part justement. Oui, mais vous devez à nouveau garder à l'esprit/réfléchir qu'il ne prend pas l'argent en/de l’air, mais que quelqu'un prête. Et puisque vous voyez dans mes « Points centraux de la question sociale » que je ne suis pas de la conviction que l'intérêt en tant que tel doit tomber de l'argent, qui a de la valeur, mais jusqu’à un certain degré est justement nécessaire dans la vie économique, ainsi vous vous direz : Oui, comment devrai-je comme entrepreneur, obtenir l'argent des gens qui devraient me le prêter, si je leur payais des intérêts seulement pour une période extrêmement courte ? Les gens me donneront de l'argent de telle sorte que puisse exister le mode/modus qu'ils obtiennent leurs intérêts à partir de mon entreprise le plus longtemps possible. - Peut-être trouveront-ils alors que ce n'est pas du tout suffisant de laisser l'argent devenir vieux de cette manière. Oui, alors vous pouvez continuer à penser sur le mode/la modalité, que peut-être pour de l'argent qui a été dépensé aujourd'hui, on n'écrit pas dessus l'année qui est en cours, mais une année future, de sorte que jusque là il ait une valeur croissante et seulement alors une valeur décroissante.

03

Einwendungen über Einwendungen mögen da kommen. Ich will Sie aufmerksam darauf machen, wie man ja sehr leicht einwenden kann: Ja, wodurch sollte es denn bestimmt werden, daß zum Beispiel irgendein Unternehmer gerade junges Geld in seine Unternehmungen hineinstecken sollte, da man ja vielleicht in kurzer Zeit nicht mehr wissen kann, ob das junges Geld war oder nicht; denn der Betrieb geht eben fort. Ja, da müssen Sie aber wiederum bedenken, daß der das Geld ja nicht aus der Luft nimmt, sondern von jemand leiht, borgt. Und da Sie aus meinen «Kernpunkten der sozialen Frage» sehen, daß ich nicht der Überzeugung bin, daß der Zins als solcher wegfallen muß von dem Geld, das Wert hat, sondern bis zu einem gewissen Grade eben notwendig ist im wirtschaftlichen Leben, so werden Sie sich sagen : Ja, wie soll ich als Unternehmer von den Leuten, die mir Geld leihen sollen, Geld bekommen, wenn ich ihnen nur für eine ungeheuer kurze Zeit Zins bezahlen würde? Die Leute werden mir Geld geben so, daß der Modus bestehen kann, daß sie möglichst lange aus meinem Unternehmen heraus ihre Zinsen bekommen. — Sie werden dann vielleicht finden, daß das noch gar nicht genügt, in der Weise das Geld alt werden zu lassen. Ja, dann können Sie über den Modus weiter nachdenken, daß man vielleicht für Geld, das heute ausgegeben worden ist, nicht die heutige Jahreszahl darauf schreibt, sondern eine künftige, so daß es bis dahin einen zunehmenden und dann erst einen abnehmenden Wert hat.

Bref, ce qui vit peut se réaliser des manières les plus différentes. Par conséquent, au moment où l'on se place soit même, vivant, la possibilité, est aussitôt donné que cela peut se réaliser de la manière la plus diverse ; tout comme donc un humain peut aussi appliquer sa compétence de la manière la plus diverse. C'est l'essence même du concept non dogmatique. Mais quand vous faites vôtres de tels concepts, en particulier en science d’économie de peuple, alors vous verrez en premier comment les choses interviennent dans la vie et comment vous pouvez en premier utiliser sur une telle base ce qui est là aujourd'hui, malgré tout, à partir d'observations partielles dans l'économie dite nationale.

04

Kurz, dasjenige, was lebt, kann in der verschiedensten Weise sich verwirklichen. Daher ist in dem Momente, wo man lebendig selber hinstellt die Möglichkeit, sofort gegeben, daß diese in der verschiedensten Weise sich verwirklicht; wie ja auch ein Mensch in der verschiedensten Weise seine Tüchtigkeit anwenden kann. Das ist das Wesenhafte des nicht dogmatischen Begriffs. Aber wenn Sie solche Begriffe zu den Ihrigen machen, insbesondere in der Volkswirtschaftswissenschaft, dann werden Sie erst sehen, wie die Dinge ins Leben hineingreifen und wie Sie erst auf einer solchen Grundlage das brauchen können, was ja immerhin aus partiellen Beobachtungen in der sogenannten Nationalökonomie heute da ist.

Prenez, par exemple, les explications sur le prix, vous trouverez que vous sera dit, les conditions du niveau des prix du côté du vendeur seraient celle-ci : quel est son besoin d'argent, quelle est la valeur de l'argent, quels coûts de production devraient être réunis et quelle est justement la concurrence du côté de l'acheteur. Mais si vous analysez alors ces concepts, vous trouverez partout où vous pouvez réfléchir très justement sur ces concepts, mais qu'avec ces concepts vous ne pouvez pas entrer dans la réalité économique, pour la simple raison que vous devez d'abord/en premier donc vous demander : Oui, est-ce alors aussi un contexte économique sain, quand tout de suite un certain entrepreneur à un certain moment a besoin d'argent et par cela d’après un certain flux/courant, d’après son besoin d'argent, les prix baissent ou grimpent, est aussi ce que l'on peut appeler la valeur d’utilité de l’argent, quelque chose qui peut œuvrer/agir de manière saine ? - Les deux peuvent œuvrer d'une manière saine et pathologique. Et encore une fois/à nouveau, quand vous pensez aux coûts de production, il peut être souhaitable de ne pas réfléchir à l’établissement d’un prix sain, comment les prix se placent quand on envisage les coûts de production comme quelque chose d’absolu, mais de réfléchir à comment les coûts de production pour un article devraient être réduits/minimisés s'il devait avoir un prix sain sur le marché. Il s’agit donc que vous ayez des concepts tels que maintenant ils peuvent commencer à leur début. Tout de suite aussi peu, que vous laisser un humain vivant commencer à vivre dans sa vingt-cinquième année de vie, justement aussi peu on devrait laisser des concepts, qui jouent dans la vie, commencer n'importe où à volonté. On ne devrait pas purement, disons, laisser commencer des concepts d’économie de peuple, disons, par/chez la concurrence des acheteurs ou des vendeurs ; car il s'agit de savoir si, sous certaines conditions, ce n'est pas précisément l'erreur économique principielle qu'il y ait une concurrence excessive des vendeurs ou aussi des acheteurs. Ce sont des choses dont il faut tenir compte énormément dans le principe.

05

Nehmen Sie zum Beispiel die Auseinandersetzungen über den Preis, so werden Sie finden, daß da Ihnen gesagt wird, die Bedingungen der Preishöhe auf der Seite des Verkäufers seien diese : welches sein Geldbedarf ist, welchen Wert das Geld hat, welche Produktionskosten aufgebracht werden sollen und welche Konkurrenz von Seite der Käufer eben da ist. Wenn Sie aber dann diese Begriffe analysieren, so werden Sie überall finden, daß Sie zwar ganz richtig über diese Begriffe nachdenken können, daß Sie aber mit diesen Begriffen nicht in die wirtschaftliche Wirklichkeit hineinkommen können, aus dem einfachen Grunde, weil Sie sich ja erst fragen müssen : Ja, ist es denn auch ein wirtschaftlich gesunder Zustand, wenn gerade ein bestimmter Unternehmer zu einer bestimmten Zeit Geldbedarf hat und dadurch nach einer bestimmten Strömung hin, nach seinem Geldbedarf, die Preise sinken oder steigen, ist auch das, was man den Gebrauchswert des Geldes nennen kann, etwas, was in gesunder Weise wirken kann? — Beides kann in gesunder und krankhafter Weise wirken. Und wiederum, wenn Sie an die Produktionskosten denken, so kann es wünschenswert sein, zur Herstellung eines gesunden Preises nicht nachzudenken, wie sich die Preise stellen, wenn man die Produktionskosten als etwas Absolutes ansieht, sondern nachzudenken, wie die Produktionskosten für einen Artikel vermindert werden müßten, wenn er auf dem Markt einen gesunden Preis haben soll. Also es handelt sich darum, daß Sie solche Begriffe haben, die nun wirklich an ihrem Anfang anfangen können. Geradesowenig wie Sie einen lebendigen Menschen anfangen lassen zu leben in seinem fünfundzwanzigsten Lebensjahre, ebensowenig sollte man Begriffe, die ins Leben hineinspielen, beliebig wo anfangen lassen. Man sollte nicht volkswirtschaftliche Begriffe bloß, sagen wir, bei der Konkurrenz der Käufer oder Verkäufer anfangen lassen; denn es handelt sich darum, ob unter gewissen Voraussetzungen nicht gerade das der prinzipielle wirtschaftliche Fehler ist, daß eine übertriebene Konkurrenz der Verkäufer oder auch der Käufer da ist. Das sind die Dinge, die man gerade bei dem Prinzipiellen ungeheuer stark berücksichtigen muß.

Et entièrement indépendamment de si l'un trouve l’une ou l'autre chose correcte dans les explications que nous avons sillonnées : ce a quoi est aspiré par toute la séquence/suite des considérations, c’est que les concepts sont vivants. Ils indiquent alors, même dans le cas donné, où on doit les modifier. Il s’agit que nous soyons amenés sur le sentier de ces concepts vivants. Et ainsi nous pouvons nous dire : quand nous avons d'un côté l'argent qui s'use, c'est-à-dire l'argent qui vieillit/devient vieux, ainsi j'ai tout de suite essayé, parce que l'argent vient en circulation et figure comme argent d'achat, argent de prêt et argent de donation, tout de suite par ces particularités spéciales de l'argent j'ai essayé de montrer comment, quand il fonctionne sans encombre, de manière purement économique, par cela de soi-même, simplement par les besoins qui surgissent alors, dans un endroit le besoin pour le jeune argent et dans l'autre endroit le besoin pour le vieil argent se feront jour.

06

Und ganz abgesehen davon, ob der eine das eine oder andere für richtig findet in den Auseinandersetzungen, die wir gepflogen haben : das ist angestrebt durch die ganze Folge der Betrachtungen hindurch, daß die Begriffe lebendige sind. Die zeigen dann schon selbst im gegebenen Falle, wo man sie modifizieren muß. Es handelt sich darum, daß wir auf den Pfad dieser lebendigen Begriffe gebracht werden. Und so können wir uns sagen: Wenn wir auf der einen Seite haben das sich abnützende Geld, das heißt das altwerdende Geld, so versuchte ich eben gerade dadurch, daß das Geld in Zirkulation kommt und als Kaufgeld, Leihgeld und Schenkungsgeld figuriert, gerade durch diese besonderen Eigentümlichkeiten des Geldes versuchte ich zu zeigen, wie, wenn es in ungehinderter, rein wirtschaftlicher Weise funktioniert, dadurch von selber, einfach durch die dann entstehenden Bedürfnisse, an der einen Stelle das Bedürfnis nach jungem Geld und an der anderen Stelle das Bedürfnis nach altem Geld entstehen wird.

Naturellement, je devrais pouvoir consolider tout cela des semaines durant maintenant, ainsi vous verriez que cela s'insère sans reste dans une économie nationale saine, et quand n’importe où une maladie survient dans le corps économique, on verrait tout de suite que par l’observation de ces choses, la chose pourra être guérie.

07

Das alles müßte ich natürlich nun wochenlang ausbauen können, so würden Sie sehen, daß es sich restlos in eine gesunde Nationalökonomie einfügt, und wenn irgendwo eine Krankheit im wirtschaftlichen Körper auftritt, würde man sehen, daß gerade durch die Beobachtung dieser Dinge die Sache geheilt werden kann.

Maintenant, qu’est-ce qui apparaît lorsque nous pensons de cette manière que nous avons réellement dans l'argent circulant une sorte d'image de ce qui est maintenant justement aussi usable dans les marchandises de consommation les plus diverses - car des prestations spirituelles sont donc aussi des marchandises de consommation dans le sens économique ? Dans l'argent s'usant, nous avons le flux parallèle aux marchandises, biens, valeurs s’usant, donc des valeurs de choses. Qu'avons-nous donc en fait quand nous - nous pouvons l'étendre à l'ensemble de l'économie mondiale - négligeons ce parallélisme de valeur symbolique/signe et de valeur de chose -? Nous avons en fait, pris au fond, ce qu'on pourrait appeler la comptabilité, la tenue de livres étendue par-dessus l'ensemble de l'économie mondiale. C'est la comptabilité mondiale, car l'action qui sera effectuée lorsqu'un objet passe par-dessus ou par-dessus signifie justement rien d'autre que l'écrire d’un poste à un autre endroit. Mais cela sera en réalité accompli par ce que l'argent et la marchandise passent d'une main à l'autre. Il importe peu que la possibilité de placer les articles au bon endroit dans un système comptable gigantesque qui couvre l'ensemble de l'économie mondiale, de placer les postes à l’endroit correct et de diriger alors l'ensemble, de sorte que seuls les soldes créditeurs/avoirs soient réécrits, ou de rédiger l'abonnement correspondant et de le remettre à la personne concernée, afin que l'affaire soit traitée en termes réels. Nous avons donc la comptabilité mondiale comme chiffre d'affaires. Et ce serait ce que chacun, pris au fond, peut envisager, qui devrait en fait être ambitionné. Car ainsi nous avons à nouveau rendu à l'argent ce qu'il devrait seulement quand même être : le moyen externe pour l'échange. Car sinon, l'argent n'est rien d'autre, quand nous regardons dans les profondeurs de l'économie de peuple que le moyen d'un échange mutuel des prestations. Car en réalité les gens vivent de prestations, et non des signes de ces prestations.

08

Nun, was entsteht dann aber eigentlich, wenn wir uns in dieser Weise denken, daß wir in dem zirkulierenden Geld wirklich eine Art Abbild haben von dem, was in den verschiedensten Gebrauchswaren — denn geistige Leistungen sind ja auch Gebrauchswaren im wirtschaftlichen Sinn — nun eben auch abnützbar ist? In dem sich abnützenden Geld haben wir die Parallelströmung zu den sich abnützenden Waren, Gütern, Werten, also Sachwerten. Was haben wir also eigentlich, wenn wir — wir können es gleich auf die ganze Weltwirtschaft ausdehnen — nun diesen Parallelismus von Zeichenwert und Sachwert überschauen? Wir haben eigentlich im Grunde genommen dasjenige, was man die über die ganze Weltwirtschaft ausgedehnte Buchführung, Buchhaltung nennen könnte. Es ist die Weltbuchhaltung; denn die Handlung, die ausgeführt wird, wenn irgendein Posten hinüber- oder herübergeht, bedeutet eben nichts anderes als das Hinschreiben eines Postens an einen anderen Ort. Das aber wird im Realen vollzogen dadurch, daß eben Geld und Ware von einer Hand in die andere übergeht. Es ist im Grunde genommen völlig einerlei, ob die Möglichkeit herbeigeführt wird, in einer Riesenbuchhaltung, die über die ganze Weltwirtschaft geht, die Posten an die richtige Stelle zu stellen und das Ganze dann zu dirigieren, so daß nur die Guthaben umgeschrieben werden, oder die betreffende Einzeichnung herauszuschreiben und dem Betreffenden zu geben, so daß die Sache realiter ausgeführt wird. Wir haben also als Geldumsatz die Weltbuchhaltung. Und das wäre dasjenige, was ja im Grunde genommen jeder einsehen kann, das eigentlich angestrebt werden muß. Denn dadurch haben wir dem Gelde wiederum zurückgegeben dasjenige, was es doch nur sein kann: das äußere Mittel für den Austausch. Denn sonst ist das Geld dennoch nichts anderes, wenn wir bis in die Tiefen der Volkswirtschaft hineinschauen, als das Mittel des gegenseitigen Austauschs der Leistungen. Denn die Menschen leben von Leistungen, und nicht von den Zeichen dieser Leistungen, in Wirklichkeit.

Toutefois, c'est tout de suite parce que l’argent, dans un certain sens, falsifie les prestations qui interviennent/se présentent qu'alors aussi par une sorte de commerce intermédiaire avec l’argent, peut intervenir une falsification de l'ensemble de l'économie. Mais c'est justement alors la falsification, qui est possible, quand on ne prête pas à l’argent son véritable caractère.

09

Es kann ja allerdings gerade dadurch, daß das Geld in gewissem Sinne fälscht die Leistungen, das eintreten, daß dann auch durch eine Art von Zwischenhandel mit Geld eine Fälschung der ganzen Wirtschaft eintreten kann. Aber das ist eben dann Fälschung, die möglich ist, wenn man dem Geld nicht seinen wahren Charakter beilegt.

Mais maintenant, il s’agit que nous devions donc voir - et je l'ai en particulier montré hier - que les prestations devront être jugées de diverses manières en rapport à ce qui circule comme valeurs dans la vie économique. Hier, nous avons pu rendre attentif hier sur ce qui est d'abord gagné de la nature et sur quoi du travail humain sera utilisé, correspond en fait à l'image que le travail sera combiné avec l'objet de la nature, de sorte qu'on peut commencer le processus économique, pour ainsi dire, à un endroit, avec ce que l’on peut dire : la valeur sera produite par le travail que j'ajoute à un produit de la nature. Mais dans le processus d’économie de peuple, il y a aussi le courant inverse, qui se produit lorsque justement les prestations spirituelles apparaissent. Parce que des prestations spirituelles apparaissent, il est nécessaire d'introduire une formule d'évaluation différente, si je puis dire ainsi. C'est celle qu'une prestation spirituelle est d’autant de valeur qu'elle épargne le travail du producteur. Celui qui produit donc un tableau et fournit ainsi une valeur, une valeur pour laquelle il y a justement un intérêt, sinon il n’y aurait aucune valeur, il doit – s’il devait absolument y avoir un contexte sain dans l'économie de peuple que ce tableau soit produit, que le peintre soit là - évaluer de telle sorte que lui soit épargné autant de travail qu’il a besoin pour lui-même, jusqu’à ce qu’il ait pu produire à nouveau un nouveau tableau de la même manière. Ainsi qu'on peut donc voir : Par ce que, dans le processus d’économie de peuple, des prestations spirituelles apparaissent vis-à-vis de prestations qui sont simplement basées sur la l’élaboration de la nature, c'est-à-dire sur le travail manuel, respectivement sur la transformation par des moyens de production - par ce que, d'un côté, le travail qui se lie aux moyens de production est nécessaire, de l'autre côté, du travail doit être épargné –, par cela se produit ce cycle économique avec deux courants opposés, qui doivent se compenser de manière saine.

10

Nun handelt es sich darum aber, daß wir ja sehen müssen — und ich habe das insbesondere gestern gezeigt —, daß die Leistungen in der verschiedensten Weise beurteilt werden müssen in bezug auf das, was als Werte im wirtschaftlichen Leben zirkuliert. Wir haben aufmerksam darauf machen können gestern, wie dasjenige, was zunächst aus der Natur gewonnen wird und worauf menschliche Arbeit verwendet wird, in der Tat entspricht dem Bilde, daß da Arbeit zusammengefaßt wird mit dem Naturobjekt, so daß man den wirtschaftlichen Prozeß sozusagen an einer Stelle damit beginnen kann, daß man sagen kann : Der Wert wird erzeugt durch die Arbeit, die ich einem Naturprodukt hinzufüge. Aber im volkswirtschaftlichen Prozeß ist auch die entgegenlaufende Strömung, die dann eintritt, wenn eben geistige Leistungen auftreten. Dadurch, daß geistige Leistungen auftreten, ist es notwendig, eine andere Bewertungsformel, wenn ich so sagen darf, einzuführen. Das ist diese, daß eine geistige Leistung so viel wert ist, als sie dem Hervorbringer Arbeit erspart. Derjenige also, der ein Bild hervorbringt und damit einen Wert liefert, einen Wert, für den eben Interesse vorhanden ist, sonst wäre es kein Wert, der muß es — wenn es überhaupt ein gesunder Zustand in der Volkswirtschaft sein soll, daß dieses Bild hervorgebracht wird, daß der Maler da ist — so bewerten, daß ihm soviel Arbeit erspart wird, als er für sich braucht, bis er wiederum ein neues Bild in derselben Weise hervorgebracht haben kann. So daß man also sehen kann: Dadurch, daß im volkswirtschaftlichen Prozeß geistige Leistungen entgegentreten den Leistungen, die lediglich auf Bearbeitung der Natur, also auf Handarbeit beruhen beziehungsweise auf Bearbeitung durch Produktionsmittel — dadurch, daß auf der einen Seite an die Produktionsmittel sich bindende Arbeit notwendig ist, auf der anderen Seite Arbeit erspart werden muß —, dadurch entsteht dieser wirtschaftliche Kreislauf mit zwei einander entgegengesetzten Strömungen, die sich in gesunder Weise kompensieren müssen.

Maintenant il se demande toutefois : comment devraient-ils se compenser ? N'est-ce pas, tout d’abord nous avons seulement besoin de penser vraiment à la comptabilité générale de toute l'économie mondiale, car à l’intérieur de cette comptabilité générale se donnerait ce qui devrait s'annuler mutuellement. Et là le prix apparaîtrait. Mais il s’agit de ce que les postes dans cette comptabilité générale devraient signifier quelque chose. Les postes devraient signifier quelque chose. Il doit y avoir un poste que j'insère dans ma comptabilité générale : A, correspondrait soit à ce que je peux appeler « le travail lié à la nature », soit un autre poste : B, correspondant à « tant de travail sera économisé par cette prestation ». Donc, chacun de tels postes doit signifier quelque chose. Il peut seulement signifier quelque chose quand il représente quelque chose de comparable ou du moins rendu comparable par l'économie de peuple ; car on ne peut pas se demander sans plus : combien de noix vaut une pomme de terre ? – On ne peut pas demander cela sans plus. Il s'agit de ce qu’on doit demander : la noix signifie un produit de la nature lié avec du travail humain ; la pomme de terre signifie un produit de la nature lié au travail humain ; comment les deux valeurs se comparent-elles ?

11

Nun fragt es sich allerdings : Wie sollen sie sich kompensieren? Nicht wahr, zunächst brauchen wir wirklich nur zu denken an die Generalbuchhaltung der ganzen Weltwirtschaft; denn innerhalb dieser Generalbuchhaltung würde sich ergeben dasjenige, was sich gegenseitig aufheben muß. Und da würde der Preis entstehen. Aber es handelt sich darum, daß ja die Posten in dieser Generalbuchhaltung etwas bedeuten müßten. Die Posten müßten etwas bedeuten. Es muß ein Posten, den ich einsetze in meine Generalbuchhaltung : A, entweder entsprechen dem, was ich nennen kann «mit Natur verbundene Arbeit », oder ein anderer Posten: B, muß entsprechen dem «so viel wird durch diese Leistung Arbeit erspart ». Also jeder solcher Posten muß eben etwas bedeuten. Er kann nur etwas bedeuten, wenn er etwas darstellt, was vergleichbar ist oder wenigstens durch die Volkswirtschaft vergleichbar gemacht wird; denn man kann nicht ohne weiteres fragen: Wieviel Nüsse ist eine Kartoffel wert? — Man kann das nicht ohne weiteres fragen. Es handelt sich darum, daß man fragen muß : Die Nuß bedeutet Naturprodukt, verbunden mit menschlicher Arbeit; die Kartoffel bedeutet Naturprodukt, verbunden mit menschlicher Arbeit; wie vergleichen sich beide Werte?

Il s'agira de trouver quelque chose qui permette réellement d'évaluer les valeurs économiques les unes par rapport aux autres. La chose devient encore plus difficile lorsque, par exemple, un essai est écrit, qui doit avoir autant de valeur au sens de l’économie de peuple qu'il permet d'économiser du travail physique à un quelque moyen de production, déduite la toute petite quantité de travail qui sera utilisée pour mettre par écrit. Mais en chaque cas, vous pouvez vous représenter que ce n'est pas tout de suite une chose facile de calculer maintenant comment ces choses sont à comparer, comment elles sont à estimer réciproquement. Et pourtant, quand on touche maintenant au processus d’économie de peuple à une autre extrémité, on arrive à la possibilité d'une telle estimation. D'un côté, nous avons le travail physique appliqué aux moyens de production - auxquels appartient également la nature - qui, à un certain moment, est un travail bien spécifique ; en d'autres termes : à un certain moment, un certain travail humain est nécessaire, disons, pour produire du blé sur un bout de surface a grand d’un mètre carré, aussi loin que le blé soit chez le commerçant ou sinon n’importe où, donc pour produire du blé. C'est absolument quelque chose qui est une grandeur donnée, une grandeur qui peut même être mise en évidence dans une certaine relation ; car toute prestation économique humaine, quand on l’embrasse du regard, retourne néanmoins à la nature. Ce n'est pas du tout possible autrement qu’elle retourne à elle n’importe où. L'agriculteur travaille directement à la nature ; celui qui, disons, s'occupe des/veille aux vêtements ne travaille pas directement à la nature, mais son travail retourne à la nature. Mais en tout cas son travail contiendra déjà quelque chose de ce qui est du travail épargné, aussi loin qu’il applique l'esprit sur sa chose. Mais en tout cas, son travail retourne à/sur la nature. Jusqu'aux réalisations spirituelles les plus compliquées, tout revient finalement à la nature, respectivement au travail avec des moyens de production. Vous pouvez démarrer une réflexion, aussi impartiale que vous le voulez seulement, vous arriverez toujours sur ce que toutes les choses d’économie de peuple retournent quand même finalement au travail corporel à la nature, et que ce qui commence à être générateur de valeur à la nature - la dépense du travail jusqu'à un certain point reposant le plus proche que possible de la nature – que là sont les valeurs qui doivent maintenant être réparties sur l'ensemble du domaine de l'économie de peuple fermée sur soi.

12

Da wird es sich darum handeln, etwas aufzufinden, was nun wirklich die Möglichkeit, die volkswirtschaftlichen Werte gegenseitig aneinander abzuschätzen, ergibt. Noch schwieriger wird die Sache, wenn zum Beispiel ein Aufsatz geschrieben wird, der ja im volkswirtschaftlichen Sinn ebensoviel wert sein muß, als damit physische Arbeit an irgendeinem Produktionsmittel erspart wird, abzüglich der ganz kleinen Arbeit, die auf das Schreiben verwendet wird. Jedenfalls aber können Sie sich vorstellen, daß das nicht gerade eine einfache Sache ist, nun herauszurechnen, wie diese Dinge zu vergleichen sind, gegenseitig abzuschätzen sind. Und dennoch, wenn man den wirtschaftlichen Prozeß nun an einem andern Ende anfaßt, kommt man dazu, die Möglichkeit einer solchen Schätzung herbeizuführen. Wir haben ja auf der einen Seite die auf die Produktionsmittel — wozu also auch die Natur gehört — angewendete physische Arbeit, die für einen bestimmten Zeitpunkt eben eine ganz bestimmte Arbeit ist; das heißt mit anderen Worten : Für einen bestimmten Zeitpunkt ist eine bestimmte menschliche Arbeit notwendig, sagen wir, um auf einem a Quadratmeter großen Flächenstück Weizen zu produzieren, soweit bis der Weizen beim Kaufmann oder sonst irgendwo ist — also um Weizen zu produzieren. Das ist durchaus etwas, was eine gegebene Größe ist, eine Größe, die in einer gewissen Beziehung sogar herauszubringen ist; denn alle menschliche wirtschaftliche Leistung, wenn man sie überblickt, geht dennoch auf die Natur zurück. Es ist gar nicht anders möglich, als daß sie irgendwo auf sie zurückgeht. Der Landmann arbeitet direkt an der Natur; derjenige, der, sagen wir, für die Bekleidungen sorgt, arbeitet nicht direkt an der Natur, aber seine Arbeit geht auf die Natur zurück. Seine Arbeit wird schon etwas von dem in sich enthalten, was ersparte Arbeit ist, insofern er auf seine Sache Geist anwendet. Aber jedenfalls geht seine Arbeit auf die Natur zurück. Bis zu den kompliziertesten geistigen Leistungen geht schließlich alles auf die Natur, beziehungsweise auf das Arbeiten mit Produktionsmitteln zurück. Sie können eine Überlegung anstellen, so unbefangen Sie nur wollen, Sie werden immer darauf kommen, daß alles Volkswirtschaftliche doch zuletzt zurückgeht auf das körperliche Arbeiten an der Natur, und daß dasjenige, was beginnt an der Natur wertebildend zu sein — die Aufwendung der Arbeit bis zu einem bestimmten, möglichst nahe der Natur liegenden Punkt —, daß das die Werte sind, die nun auf das gesamte Gebiet der in sich geschlossenen Volkswirtschaft verteilt werden müssen.

Reprenez encore une fois l'hypothétique, que j'ai mentionnée hier : une économie de village fermée ! Donc, dans cette économie villageoise fermée, vous avez ce que sont les travailleurs corporels, et de travailleurs spirituels, je n'ai mentionné que le professeur et le prêtre, peut-être encore l'administrateur communal. Maintenant, c'est une économie très simple. Là, la plupart des gens travailleront corporellement, travailleront corporellement au sol ; seulement ils devront cofournir le travail corporel dont l'enseignant, le prêtre et l'administrateur local ont besoin pour manger, s'habiller, etc. Ils doivent le fournir conjointement, car l’enseignant, le prêtre et l'administrateur communal n’accomplissent pas eux-mêmes leur travail à la nature. Maintenant, pensez cette économie villageoise fermée aurait trente agriculteurs et les trois - enfin, comment les appeler ? - Honorables/notables, les trois seraient là. Ces trois-là fournissent leurs prestations spirituelles. Ils ont besoin du travail épargné des autres. Supposons : Chacun de ces trente agriculteurs donne aux trois personnes, ou à chaque individu, un signe, un morceau de papier, sur lequel il est écrit, disons, tant et tant de a = blé, ce avec quoi est pensé le blé qui a déjà été élaboré d'une certaine manière. Un autre donne un bout de papier sur laquelle est écrit quelque chose d'autre qui se laisse comparer au blé en rapport à la consommation. Ces choses se laissent trouver. Maintenant le prêtre, le professeur, et le scribe de la communauté engrangent cela. Au lieu qu’ils se rendent eux-mêmes sur le champ se chercher le blé, le grain, la viande de bœuf, au lieu de cela ils donnent les bouts de papier aux gens. Ils l’élaborent aussi et leur donnent pour cela le produit. C'est le processus qui doit s’en développer de lui-même. Le processus ne peut pas du tout être différent, même s'il arrivait à une tête intelligente d'introduire de la monnaie métallique au lieu du bout de papier. Le processus est une fois celui-ci, qu'on doit créer la possibilité de former des instructions/informations sur la base du travail matériel stocké/sauvegardé, du travail fourni aux moyens de production, donc du travail investi dans les valeurs d’économie de peuple, que l'on remet/transfère, afin que ceux qui en ont besoin puissent s’épargner du travail avec ces bouts de papier.

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Nehmen Sie noch einmal das Hypothetische, was ich gestern angeführt habe: Eine geschlossene Dorfwirtschaft! In dieser geschlossenen Dorfwirtschaft haben Sie also das, was die körperlichen Arbeiter sind, und von geistigen Arbeitern habe ich nur angeführt den Lehrer und den Pfarrer, vielleicht noch den Gemeindeverwalter. Nun, das ist eine sehr einfache Wirtschaft. Da werden die meisten Leute körperlich arbeiten, körperlich arbeiten am Boden; nur müssen sie das an körperlicher Arbeit mitleisten, was der Lehrer und der Pfarrer und der Gemeindeverwalter brauchen zum Essen, Kleiden und so weiter. Das müssen sie mitleisten; denn Lehrer und Pfarrer und der Gemeindeverwalter verrichten ihre Arbeit an der Natur nicht selber. Nun denken Tafel 12  Sie sich, diese geschlossene Dorfwirtschaft hätte dreißig Bauern und die drei — na, wie soll man sie nennen? — Honoratioren, die drei wären da. Diese drei liefern ihre geistigen Leistungen. Sie brauchen die ersparte Arbeit der andern. Nehmen Sie an: Jeder von diesen dreißig Bauern gibt den drei Personen, oder jedem einzelnen, ein Zeichen, einen Zettel, auf dem steht, sagen wir, so und so viel a = Weizen, womit gemeint ist der Weizen, der schon in bestimmter Weise bearbeitet ist. Ein anderer gibt einen Zettel, worauf etwas anderes steht, was sich mit Weizen vergleichen läßt in bezug auf den Konsum. Diese Dinge lassen sich finden. Nun, das heimsen der Pfarrer, der Lehrer und Gemeindeschreiber ein. Statt daß sie sich nun selber auf das Feld begeben, den Weizen, das Korn, das Rindfleisch sich zu verschaffen, statt dessen geben sie dann die Zettel an die Leute ab. Die arbeiten es mit und geben ihnen dafür das Produkt. Das ist der Vorgang, der sich von selbst herausbilden muß. Der Vorgang kann gar nicht anders sein, selbst wenn es einem pfiffigen Kopf einfallen würde, statt der Zettel Metallgeld einzuführen. Der Vorgang ist einmal dieser, daß man die Möglichkeit schaffen muß, Anweisungen zu bilden auf Grundlage der aufgespeicherten materiellen Arbeit, der an den Produktionsmitteln geleisteten Arbeit, also der in den volkswirtschaftlichen Werten investierten Arbeit, die man übergibt, damit mit diesen Zetteln diejenigen, die es brauchen, Arbeit ersparen können.

De là, vous verrez qu'aucune sorte d’argent ne peut être autre chose qu'une simple expression pour la somme des moyens de production utilisables qui se trouvent dans une quelque région – ce en quoi sera naturellement en première ligne, le foncier - les moyens de production utilisables qui sont dans une région, réduits à ce en quoi ils peuvent se laisser exprimer le plus facilement. Et cela ramènera l'ensemble du processus d’économie de peuple à quelque chose qu'il est néanmoins justement possible de saisir.

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Daraus werden Sie sehen, daß keinerlei Art von Geld etwas anderes sein kann als lediglich ein Ausdruck für die Summe der brauchbaren Produktionsmittel, die in irgendeinem Gebiete sind — worin natürlich vorzugsweise, in erster Linie der Grund und Boden bestehen wird —, die brauchbaren Produktionsmittel, die in einem Gebiete sind, reduziert auf dasjenige, worin sie sich am leichtesten ausdrücken lassen. Und das wird dann zurückführen den ganzen volkswirtschaftlichen Prozeß auf etwas, was eben dennoch erfaßbar ist.

Ce qui devra être dit à ce sujet, c'est qu'aucun paradis d’économie de peuple ne peut être amené nulle part dans le monde. Cela peut être cru par ceux qui mettent en place des utopies qui ne sont pas liées à la réalité. On peut très facilement dire du poignet que l'économie doit être constituée de telle ou telle manière ; mais une économie, et aussi toute l'économie de la terre, c'est-à-dire ce qu'on peut appeler l'économie mondiale, ne peuvent être constituées de manière absolue d'aucune manière, mais seulement de manière relative. Car pensez, nous avons dans un quelque domaine fermé économique une surface de sol : S. Quand tous les gens sur cette surface de terre entreprennent vraiment les tâches possibles aux humains, ainsi quelque chose d'autre est créé pour la consommation, quand il y a, disons, une population de 8 millions sur cette surface de terre, ou s'il y a une population de 131 millions sur cette même surface de terre.

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Das, was darüber gesagt werden muß, hängt damit zusammen, daß man ja nirgends auf der Erde ein volkswirtschaftliches Paradies herbeiführen kann. Das mögen diejenigen glauben, die Utopien aufstellen, welche nicht mit der Wirklichkeit zusammenhängen. Man kann sehr leicht aus dem Handgelenk sagen, so und so müsse die Wirtschaft beschaffen sein; aber eine Wirtschaft, und auch die ganze Erdenwirtschaft, also dasjenige, was man Weltwirtschaft nennen kann, kann nicht in absoluter Weise irgendwie beschaffen sein, sondern nur in relativer Weise irgendwie beschaffen sein. Denn denken Sie sich, wir haben in irgendeinem geschlossenen Wirtschaftsgebiet eine Bodenfläche: Fl. Wenn nun alle Leute auf dieser Bodenfläche die den Menschen möglichen Verrichtungen wirklich vornehmen, so entsteht etwas anderes zum Konsum, wenn auf dieser Bodenfläche, sagen wir, eine Bevölkerung von 8 Millionen ist, oder wenn auf dieser selben Fläche eine Bevölkerung von 131- Millionen ist.

Ce dont il s’agit dépend absolument du rapport entre la masse de population à la surface du sol, et donc aussi de ce qu’un certain nombre de population peut élaborer à partir de la surface du sol - tout vient finalement de la surface du sol. Maintenant, établissez le cas hypothétique, qu’une quelque zone économique Tableau 12 aurait, disons, trente-cinq millions d'habitants - peu importe le nombre. Ce qui s'applique ici à un espace économique fermé s'applique également à l'économie mondiale. Une zone économique compte trente-cinq millions d'habitants à un quelque moment. Et formuler l'hypothèse que ces trente-cinq millions d'habitants doivent maintenant être amenés dans un contexte qui soit le plus correct possible selon l’économie de peuple. Ce n'est pas exprimé entièrement exactement et clairement, mais vous verrez bientôt ce que je comprends là-dessous. Que devrait-on donc faire quand on voulait absolument que sur ce domaine règne parmi les trente-cinq millions ce qui a amené des prix possibles ? Alors vous devriez, à l’instant où vous commencez à transformer la vie de l'économie en une vie saine, donner à chaque humain individuel autant de la superficie de sol - mais maintenant calculée sur un niveau moyen de fertilité et de maniabilité/traitement - que la superficie totale des sols qui rend possible la production divisée par trente-cinq millions. Pensez-y, chaque enfant aurait tout simplement autant de surface de sol à la naissance pour une culture continue : si chaque humain avait simplement autant à la naissance, alors pourraient survenir les prix qui peuvent apparaître sur une telle surface, car les choses auraient alors leur valeur d'échange évidente.

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Dasjenige, um was es sich handelt, hängt durchaus von dem Verhältnis der Bevölkerungsmenge zu der Bodenfläche ab, also auch davon, wieviel aus der Bodenfläche - aus der Bodenfläche kommt zuletzt alles - eine gewisse Bevölkerungszahl herausarbeiten kann. Setzen Sie jetzt den hypothetischen Fall, irgendein Wirtschaftsgebiet Tafel 12 habe, sagen wir, fünfunddreißig Millionen Einwohner - es ist ja ganz gleichgültig, wieviel. Das, was hier von einem geschlossenen Wirtschaftsgebiet gilt, gilt auch von der Weltwirtschaft. Ein Wirtschaftsgebiet habe fünfunddreißig Millionen Einwohner in irgendeinem Zeitpunkt. Und setzen Sie die Hypothese, das sei so, daß diese fünfunddreißig Millionen Einwohner nun gebracht werden sollen in einen Zustand, der möglichst volkswirtschaftlich gerecht ist. Es ist das nicht ganz genau und deutlich ausgesprochen, aber Sie werden gleich sehen, was ich darunter verstehe. Was müßte man denn da tun, wenn man überhaupt wollte, daß auf diesem Gebiet unter den fünfunddreißig Millionen dasjenige herrscht, was mögliche Preise herbeiführt? Dann müßten Sie in dem Zeitpunkt, in dem Sie anfangen, das Wirtschaftsleben in ein gesundes überzuführen, jedem einzelnen Menschen so viel geben von der Bodenfläche - aber jetzt auf ein Durchschnittsmaß der Fruchtbarkeit und Bearbeitbarkeit berechnet -, als die gesamte, die Produktion möglich machende Bodenfläche durch fünfunddreißig Millionen dividiert, bedeutet. Denken Sie sich, jedes Kind würde einfach so viel Bodenfläche bei seiner Geburt mitbekommen zur fortwährenden Bearbeitung: wenn jeder Mensch bei seiner Geburt so und so viel mitbekäme, dann würden die Preise entstehen, die überhaupt auf einer solchen Fläche entstehen können; denn die Dinge haben dann ihren selbstverständlichen Austauschwert.

Mais ce que je vous cite comme hypothèse qui, curieusement, vous touche, c’est en effet la réalité. Le processus d’économie de peuple indépendant de l'humain, il fait cela en effet dans le fait. Il le fait - maintenant, vous ne croirez donc pas que ce que je dis maintenant, je le pense autrement que par force d'image - en ce que ce processus d’économie de peuple en fait, puisque donc les conditions sont là, répartit toute la surface du sol sur tant et tant d’humains, où alors les humains doivent élaborer plus loin conformément tout ce qui se distingue du sol ; vous pouvez vous penser toute la surface de sol répartie sur le nombre d'habitants, et cela donne, comme fait réel, à chaque chose sa valeur d'échange, et vous pouvez inscrire n’importe où les valeurs d'échange et l'expérience peut donner une très forte approximation à ces valeurs. Mais si vous comparez cela à notre réalité d'aujourd'hui, vous trouverez que cela a un prix loin en dessous, l'autre loin au-dessus. Maintenant, vous pouvez donc, quand vous pouvez vous représenter que n’importe où une quelque utopie apparaît dans laquelle vous pouvez transposer tous ces enfants nouveau-nés qui seront initialement fournis/soignés par des anges - mais vous leur donnez chacun avec sa parcelle/son bout de terre -, alors vous pouvez l’amener à ce que, quand ils peuvent commencer à travailler, les valeurs évidentes d'échange apparaissent. Quand alors après un certain temps d'autres prix sont là, alors l'un doit avoir retiré la chose à l'autre. Et c'est ce qui donne justement les différentes insatisfactions, que cela sera ressenti sombrement, qu’ici quelque chose peut jouer dans le processus d’économie de peuple qui ne correspond pas du tout aux prix réels.

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Aber was ich Ihnen da als eine Sie kurios berührende Hypothese anführe, das ist ja nämlich die Wirklichkeit. Der von dem Menschen unabhängige volkswirtschaftliche Prozeß, der tut das nämlich in der Tat. Er tut es - nun, Sie werden ja nicht glauben, daß ich das, was ich jetzt sage, anders als bildhaft meine -, indem dieser volkswirtschaftliche Prozeß tatsächlich, da ja die Bedingungen da sind, die ganze Bodenfläche auf so und so viel Menschen verteilt, wo dann die Menschen alles das, was sich vom Boden abhebt, entsprechend weiter bearbeiten müssen; Sie können sich denken die ganze Bodenfläche auf die Einwohnerzahl verteilt, und das als reale Tatsache gibt jedem einzelnen Ding seinen Tauschwert, und Sie können irgendwo die Tauschwerte aufschreiben und die Erfahrung kann sehr starke Annäherung an diese Werte geben. Aber wenn Sie das dann vergleichen mit unserer heutigen Wirklichkeit, so werden Sie finden, daß das eine einen Preis hat weit darunter, das andere weit darüber. Nun, Sie können ja, wenn Sie sich vorstellen, daß irgendwo irgendeine Utopia entsteht, in die Sie versetzen können lauter neugeborne Kinder, die von Engeln zunächst besorgt werden — aber Sie geben ihnen jedem sein Stück Land mit —, dann können Sie es dahinbringen, daß, wenn sie zu arbeiten anfangen können, die selbstverständlichen Tauschwerte entstehen. Wenn dann nach einiger Zeit andere Preise da sind, dann muß der eine dem anderen die Sache weggenommen haben. Und das ist dasjenige, was die verschiedenen Unzufriedenheiten eben gibt, daß das dunkel gefühlt wird, daß hier in den volkswirtschaftlichen Prozeß etwas hineinspielen kann, was den realen Preisen gar nicht entspricht.

Mais tout de suite par une pénétration de l'organisme d’économie de peuple avec une manière de penser qui est conservée dans le style que nous avons affiché ici dans ces considérations, sera amené par les mesures elles-mêmes ce que j’ai mentionné. C'est de cela qu’il s’agit. Et ainsi nous trouverons que sur cet argent, qui, j’aimerais dire, représente la comptabilité volante de l'économie mondiale, quelque chose de similaire devra se tenir comme sur une surface au sol de tant et tant de mètres carrés de blé productible, qui sera alors comparé aux autres choses. Les produits du sol se laissent le plus simplement comparer les uns avec les autres. Et vous voyez donc ce dont on doit partir. On doit partir de quelque chose, les chiffres doivent signifier quelque chose. Cela éloigne justement bonnement et simplement de la réalité lorsque nous avons inscrit tant et tant de contenu d'or sur notre argent ; mais cela conduit à la réalité lorsque nous avons inscrit dessus tant et tant de travail sur un produit naturel déterminé. Alors nous pourrions dire : Supposons donc, par exemple, qu'est écrit dessus X-blé, que sur tout l'argent est écrit X-blé, Y-blé, Z-blé - et il serait clair ce à quoi reconduit l'économie de peuple dans son ensemble. Avec cela vous avez reconduit la devise sur les moyens de production utilisables auxquels s'effectue le travail corporel - moyens de production d’une quelque zone/domaine économique - et c'est la seule monnaie saine : la somme des moyens de production utilisables.

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Aber gerade durch ein Durchdringen des volkswirtschaftlichen Organismus mit einer Denkweise, die in dem Stile gehalten ist, den wir hier in diesen Betrachtungen angeschlagen haben, wird durch die Maßnahmen selber das herbeigeführt, was ich angeführt habe. Das ist es, worauf es ankommt. Und so werden wir finden, daß auf diesem, ich möchte sagen, die fliegende Buchhaltung der Weltwirtschaft darstellenden Geld, so etwas Ähnliches wird stehen müssen wie auf einer so und so viel Quadratmeter großen Bodenfläche herstellbarer Weizen, der dann mit den anderen Dingen verglichen wird. Es lassen sich am leichtesten Bodenprodukte miteinander vergleichen. Und Sie sehen also, wovon man ausgehen muß. Man muß von etwas ausgehen, die Zahlen müssen etwas bedeuten. Es führt schlechterdings eben weg von der Wirklichkeit, wenn wir auf unserem Geld stehen haben so und so viel Goldgehalt; aber es führt zur Wirklichkeit hin, wenn wir darauf stehen haben : Das bedeutet so und so viel Arbeit an einem bestimmten Naturprodukt. Dann würden wir sagen können: Nehmen wir also zum Beispiel an, dadrauf steht X-Weizen, auf allem Geld steht X-Weizen, Y-Weizen, Z-Weizen — und es würde klar sein, worauf die ganze Volkswirtschaft zurückführt. Damit haben Sie zurückgeführt die Währung auf die brauchbaren Produktionsmittel, an denen körperliche Arbeit geleistet wird — Produktionsmittel irgendeines Wirtschaftsgebietes —, und das ist die einzige gesunde Währung : die Summe der brauchbaren Produktionsmittel.

Pour celui qui peut voir dans la réalité de façon impartiale, pour celui-ci se donne cette chose ainsi de la façon de voir, bien que quelqu'un puisse peut-être dire : Très exactement ne se laisse aussi pas comparer avec une telle chose une quelque autre valeur. Cela se laissera comparer jusqu’à un degré élevé de précision. Car en général les valeurs se comparent parce que lors de cette valorisation/estimation finalement/à la fin tout est évalué par la consommation, les valeurs des prestations que trop. -- Serais-je encore un travailleur si spirituel, j'ai besoin de tant de travail économisé/épargné chaque année, dont j'ai justement besoin, afin de me maintenir comme être humain. Et par quelque chose comme ça deviendra clair sans plus alors de quelle manière un travailleur de l’esprit a justement encore besoin de quelque chose en plus du tien, ce dont un travailleur manuel a besoin. Et quand la chose est ainsi transparente, cela sera aussi reconnu alors partout parce qu'elle est transparente. Il y a malgré tout, dans des contextes d’économies fermées, qui deviendront de plus en plus rares, mais qui sont malgré tout encore là aujourd'hui, où les travailleurs de l’esprit obtiennent/reçoivent en fait abondamment de ce dont ils ont besoin, où les gens le leur donne volontiers sans en premier l'écrire sur un bout de papier. Je ne dis pas cela parce que j’aimerais reconduire un aspect d’économie de peuple à un aspect sentimental, mais je dis cela parce que cela fait aussi partie des réalités de l'économie de peuple et parce qu’on butte partout cependant/néanmoins sur les humains à l’intérieur de l'économie de peuple.

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Für den, der unbefangen in die Wirklichkeit hineinschauen kann, für den ergibt sich diese Sache so aus der Anschauung, obgleich vielleicht jemand sagen kann: Ganz genau läßt sich auch nicht mit so etwas vergleichen irgendein anderer Wert. Bis zu einem hohen Grad genau wird es sich vergleichen lassen. Denn im allgemeinen unterscheiden sich, weil bei dieser Bewertung zum Schluß alles durch den Konsum bewertet ist, die Werte der Leistungen nicht allzusehr. -- Sei ich ein noch so geistiger Arbeiter, ich brauche so viel ersparte Arbeit in jedem Jahr, als ich eben brauche, um mich als Mensch zu erhalten. Und es wird ohne weiteres durch so etwas klarwerden dann, auf welche Weise ein Geistesarbeiter eben noch etwas hinzu braucht zu dein, was ein Handarbeiter braucht. Und wenn die Sache so durchsichtig ist, wird das dann auch überall anerkannt werden, weil es durchsichtig ist. Es gibt immerhin in geschlossenen Wirtschaften Zustände, die ja immer seltener und seltener werden, die aber doch immerhin heute noch da sind, wo die Geistesarbeiter eigentlich reichlich das bekommen, was sie brauchen, wo die Leute es ihnen gerne geben, ohne daß sie es erst auf Zettel schreiben. Das sage ich nicht, weil ich zurückführen möchte ein Volkswirtschaftliches auf ein Sentimentales, sondern ich sage das, weil das auch in die Realitäten der Volkswirtschaft hineingehört und weil man überall dennoch innerhalb der Volkswirtschaft auf den Menschen stößt.

Avant toutes choses, sera atteint par cela un rapport vraiment gérable à l’intérieur des membres particuliers d'un tout économique. Il sera atteint la possibilité que chacun à chaque instant ait encore son lien/pendant avec la nature aussi dans l'argent. Et c'est donc ce qui rend tous nos rapports si malsains qu'ils se distinguent/se détachent tellement de la nature, que la connexion/le pendant avec la nature n'est plus là. Quand nous l’amenons à cela - et la réponse à la question est donc seulement une question de technique, que l’on peut justement se former dans la vie associative – en fait au lieu de la valeur indéfinissable d'or, la valeur de nature sur notre papier, alors nous envisagerons immédiatement, envisagerons dans les transactions/échanges/circulations ordinaires, de quelle valeur est aussi une quelque prestation spirituelle ; car alors je sais : si peint un tableau, ainsi, parce que j'ai peint le tableau, tant et tant de mois ou années, disons, les travailleurs agricoles travaillent au blé, à l'avoine et ainsi de suite. Pensez à quel point le processus économique serait transparent par cela. Selon l'usage linguistique/de la langue actuelle, on pourrait justement alors dire : il y a une devise de nature au lieu d'une devise en or. Ce serait aussi la chose correcte. Ce serait ce qui donne vraiment un contexte économique.

20

Vor allen Dingen wird dadurch erreicht ein wirklich überschaubares Verhältnis innerhalb der einzelnen Glieder eines wirtschaftlichen Ganzen. Es wird erreicht die Möglichkeit, daß jeder in jedem Augenblick seinen Zusammenhang mit der Natur auch im Gelde noch hat. Und das ist ja dasjenige, was alle unsere Verhältnisse so ungesund macht, daß sie sich so viel abheben von der Natur, der Zusammenhang mit der Natur gar nicht mehr da ist. Wenn wir es dazu bringen — und die Beantwortung der Frage ist ja nur eine Sache der Technik, die man eben im assoziativen Leben sich bilden kann —, tatsächlich statt des undefinierbaren Goldwertes den Naturwert zu haben auf unserem Papier, dann werden wir unmittelbar einsehen, im gewöhnlichen Verkehr einsehen, wieviel auch irgendeine geistige Leistung wert ist; denn ich weiß dann: Wenn ich ein Bild male, so müssen, weil ich das Bild gemalt habe, so und so viel, sagen wir, Landarbeiter so und so viel Monate oder Jahre arbeiten an Weizen, an Hafer und so weiter. Denken Sie sich, wie übersichtlich dadurch der wirtschaftliche Prozeß würde. Man würde ja nach dem heutigen Sprachgebrauch eben dann sagen: Es ist dann eben eine Naturwährung statt einer Goldwährung da. Das würde auch gerade das Richtige sein. Das würde dasjenige sein, was einen wirtschaftlichen Zustand wirklich gibt.

Maintenant, vous avez à nouveau mis une telle image en place. Je dois justement parler en de telles images parce que ces images donnent la réalité, car ce que les gens ont habituellement dans la tête dans le trafic/la circulation économique, ce n'est pas la réalité. Seul celui qui sait que s'il reçoit telle et telle pièce d'argent pour quelque chose, cela signifie tant et tant de travail du sol, respectivement à cela doit être aussi calculer le travail avec d'autres moyens de production, mais qui seront, équivalents à la nature, en ce qu'à l’instant où ils sont élaborés/terminés/finalisés, où donc ils échappent au domaine des marchandises, passent en un contexte de dévalorisation, de l’impossibilité de les acheter ou vendre ; par cela ils deviennent aussitôt les moyens de production que nous avons dans la nature. Ce n'est qu'une continuation/poursuite du processus que nous avons dans la nature lorsque nous disons que les moyens de production doivent être traités de cette manière. Par cela sera créé en premier un concept clair aussi pour la nature elle-même en tant que moyen de production, car vis-à-vis des concepts que l'on trouve sinon aux fonds et sols/au foncier, pourra toujours encore être rétorqué, si vous n'introduisez pas ainsi le concept de moyen de production comme j'ai essayé/tenté de le faire dans les « Points clés de la question sociale ». Car vous avez seulement besoin de réfléchir qu'un domaine de la nature aussi doit, sous conditions, d'abord être cultivé/travaillé avant d’être un foncier utilisable, de sorte que jusqu'au moment où la nature, où un quelque domaine de la nature a été défrichée, où il pourra être transmis dans l’utilisation - jusque-là du travail devra donc aussi être utilisé - de sorte donc qu'à la fin de ce travail, jusqu’à ce que ce travail soit terminé, un bout de fond et sol/foncier est aussi une marchandise de manière justifiée, une valeur économique en ce sens que le bien est lié au travail.

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Nun haben Sie wiederum ein solches Bild hingestellt. Ich muß eben in solchen Bildern sprechen, weil diese Bilder die Wirklichkeit geben; denn das, was gewöhnlich die Leute im Kopfe haben im wirtschaftlichen Verkehr, das ist keine Wirklichkeit. Eine Wirklichkeit hat erst der, der weiß : wenn er für irgendeine Sache ein so und so großes Geldstück kriegt, so bedeutet das so und so viel Bodenbearbeitung beziehungsweise es muß dazu auch verrechnet werden die Arbeit mit anderen Produktionsmitteln, die aber gleichwertig werden mit der Natur, indem sie in dem Augenblick, wo sie verfertigt sind, wo sie also dem Warengebiet , übergehen in einen Zustand der Entwertung, der Unmöglichkeit, sie zu kaufen oder zu verkaufen; dadurch werden sie gleich den Produktionsmitteln, die wir in der Natur haben. Es ist nur eine Fortsetzung des Prozesses, den wir in der Natur haben, wenn wir sagen, die Produktionsmittel müssen in dieser Weise behandelt werden. Dadurch wird erst ein klarer Begriff geschaffen auch für die Natur selber als Produktionsmittel; denn gegenüber den Begriffen, die Sie sonst an Grund und Boden finden, kann immer noch einiges eingewendet werden, wenn Sie nicht den Begriff des Produktionsmittels so einführen, wie ich das versucht habe in den «Kernpunkten der sozialen Frage ». Denn Sie brauchen sich nur zu überlegen, daß auch ein Gebiet der Natur unter Umständen erst bearbeitet werden muß, bevor es ein brauchbarer Grund und Boden ist, so daß bis zu dem Moment, wo die Natur, wo irgendein Gebiet der Natur ausgerodet ist, wo es dem Gebrauch übergeben werden kann — bis dahin muß ja auch Arbeit darauf verwendet werden —, so daß also am Ende dieser Arbeit, bis diese Arbeit fertig ist, bis dahin ja auch ein Stück Grund und Boden in berechtigter Weise eine Ware ist, ein wirtschaftlicher Wert in dem Sinn, daß Gut verbunden ist mit Arbeit.

Ce n'est donc qu'en formulant réellement les concepts de cette manière, comme nous l'avons fait, que vous parviendrez à avoir le concept des moyens de production dans une pure façon de voir ; vous serez alors capable de le réaliser/exécuter dans les domaines les plus différents ; alors vous réaliserez très clairement au bon moment que lorsque quelqu'un livre un essai, la principale chose de valeur est le travail épargné, que l’on a seulement à déduire/décompter le peu que représente le travail corporel direct de l'écriture. Les concepts se différencient immédiatement selon les directions les plus diverses afin qu'ils se tiennent correctement dans la vie, si vous les formez correctement à partir de la vie. Vous ne pouvez donc pas autre chose, quand vous voulez traiter n’importe comment la question du prix, de remonter cette question du prix justement pas purement jusqu'aux coûts de production, mais vous devez la remonter jusqu'à la production originelle et devez voir comment sont les conditions de la formation des prix à partir de la production originelle. Alors, vous pouvez pour la première fois suivre la formation du prix jusqu'à un quelque point à l’intérieur de processus d’économie de peuple.

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Also nur dadurch, daß Sie wirklich in dieser Weise, wie wir es getan haben, sich die Begriffe formulieren, kommen Sie dazu, den Begriff des Produktionsmittels in reiner Anschauung zu haben; dann werden Sie ihn in die verschiedensten Gebiete durchführen können; dann wird Ihnen durchaus im rechten Moment klar aufgehen, daß, wenn einer einen Aufsatz liefert, eben die Hauptsache des Wertes besteht in der ersparten Arbeit, daß man nur das kleine bißchen abzurechnen hat, was die direkte körperliche Arbeit des Schreibens ausmacht. Es differenzieren sich Ihnen nach den verschiedensten Richtungen hin sogleich die Begriffe so, daß sie richtig im Leben drinnenstehen, wenn Sie sie richtig aus dem Leben heraus bilden. Sie können also gar nicht anders, als, wenn Sie irgendwie die Preisfrage behandeln wollen, diese Preisfrage zurückzuverfolgen eben nicht bloß bis zu den Produktionskosten, sondern Sie müssen sie zurückverfolgen bis zu der Urproduktion und müssen sehen, wie die Bedingungen sind der Preisbildung von der Urproduktion an. Dann können Sie erst die Preisbildung bis auf irgendeinen Punkt innerhalb des volkswirtschaftlichen Prozesses verfolgen.

Avec cela j’ai peut-être au moins pu vous donner une représentation directrice de ce qui entre réellement en considération pour la question principale de l'économie, la formation de prix. Car l'économie signifie justement : apporter ce qui sont des produits à l’échange parmi les humains ; et l'échange parmi les humains se vit dans la formation de prix. Cette formation de prix, elle doit tout d'abord être ce dont il s’agit. Et vous envisagerez qu'il n'est pas nécessaire de revenir à quelque chose d'assez indéfini, si l'on remonte au rapport des valeurs que l'on obtient pour le travail de la terre par le rapport du nombre d'habitants à la surface utile de la terre. Dans ce rapport, vous trouvez ce qui, à l'origine, repose justement à la base de la formation de valeurs, parce que tout travail qui peut être fait peut seulement venir du nombre de la population, et tout ce avec quoi ce travail peut se lier doit venir du sol ; car c'est ce dont chacun a besoin, et ceux qui l’épargnent à cause de leur prestation spirituelle, pour ceux-là les autres doivent justement le fournir avec/cofournir, c’est pourquoi nous arrivons à ce qui repose à la base de l'économie de peuple.

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Damit habe ich Ihnen wenigstens vielleicht eine auf den Weg leitende Vorstellung geben können von dem, was für die Hauptfrage der Wirtschaft, die Preisbildung, eigentlich in Betracht kommt. Denn wirtschaften heißt eben: dasjenige, was Erzeugnisse sind, zum Austausch unter Menschen zu bringen; und der Austausch unter Menschen, der lebt sich aus in der Preisbildung. Diese Preisbildung, die muß zunächst das sein, worauf es ankommt. Und daß wir da nicht zu etwas zurückzugehen brauchen, was ein ganz Unbestimmtes ist, das werden Sie einsehen, wenn Sie eben zurückverfolgen alles bis zu demjenigen Wertverhältnisse, das für die Bodenarbeit herbeigeführt wird durch das Verhältnis der Bevölkerungszahl zu der brauchbaren Bodenfläche. In diesem Verhältnis finden Sie, was ursprünglich eben der Wertbildung zugrunde liegt, weil alle Arbeit, die verrichtet werden kann, nur von der Bevölkerungszahl kommen kann, und alles, womit sich diese Arbeit verbinden kann, aus dem Boden kommen muß; denn das ist das, was jeder braucht, und diejenigen, die es ersparen wegen ihrer geistigen Leistung, für die müssen es eben die anderen mit-leisten; daher kommen wir hier zu dem, was der Volkswirtschaft zugrunde liegt.

Maintenant, quand nous regardons la chose ainsi, nous devons dire que dans notre économie actuelle, très compliquée, nous entrons aussi dans ce qui, dans les circonstances/rapports économiques les plus primitifs, était absolument là où, ma foi il s’agissait seulement, pour l’essentiel d’un échange de marchandises. Seulement que nous ne sommes plus en situation de déceler ce pendant partout. Nous l'aurons toujours aussitôt devant nous quand sur nos billets d’argent sera exprimé ce lien avec la nature. Car en réalité, il est justement quand même là. Ne l'oubliez jamais ! C'est la réalité. J’aimerais dire - c'est de nouveau parlé au sens figuré : tandis que j'abandonne inconsidérément mes francs pour une quelque chose, il y a toujours un petit démon qui écrit toujours dessus combien de travail accompli à la nature, la chose correspondante est toujours là. C'est la réalité. On doit là aussi pour arriver à la réalité, ne pas se tenir à la surface extérieure.

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Nun, wenn wir die Sache so betrachten, so müssen wir sagen: Es geht in unsere gegenwärtige, ganz komplizierte Wirtschaft auch noch dasjenige herein, was in den primitivsten Wirtschaftsverhältnissen durchaus da war, wo es sich nur meinetwillen um Warenaustausch im wesentlichen gehandelt hat. Nur daß wir nicht mehr in der Lage sind, diesen Zusammenhang überall zu durchschauen. Wir werden ihn immer sofort vor uns haben, wenn auf unseren Geldscheinen dieser Zusammenhang mit der Natur ausgedrückt ist. Denn in Wirklichkeit ist er eben doch da. Vergessen Sie das nie! Die Realität ist es. Ich möchte sagen — es ist wieder bildlich gesprochen: Während ich ganz gedankenlos meinen Franken für irgend etwas hingebe, ist immer ein kleiner Dämon da, der immer darauf schreibt, wieviel an der Natur vollbrachte Arbeit das Entsprechende da immer ist. Das ist die Realität. Man muß auch da, um auf die Wirklichkeit zu kommen, nicht an die äußere Oberfläche sich halten.

Maintenant, il n'a vraiment pas été possible au cours de ces quatorze jours de donner quelque chose d'autre que quelques suggestions qui devaient mettre sur la voie, suggestions dont je sais donc, qu’elles devraient être développées plus loin partout, et que le plus important est peut-être que vous en arrivez à ce que les concepts-images qui ont été développés ici représentent un vivant en rapport à ceux qui sont développés sinon. Quand vous avez absorbé en vous ce qui est vivant dans ces concepts-images, alors vous n'aurez pas passé ces quatorze jours ici pour rien.

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Nun, es war wirklich nicht möglich, in diesen vierzehn Tagen etwas anderes zu geben als einige Anregungen, die auf den Weg leiten sollten, Anregungen, bei denen ich ja weiß, daß sie überall weiter ausgeführt werden müßten, und daß das Wichtigste vielleicht dabei ist, wenn Sie darauf kommen, wie die Bildbegriffe, die hier entwickelt worden sind, eben im Verhältnis zu dem, was sonst entwickelt wird, ein Lebendiges darstellen. Wenn Sie das in sich aufgenommen haben, was lebendig ist an diesen Bildbegriffen, dann werden Sie doch nicht umsonst diese vierzehn Tage hier zugebracht haben.

Et c'est ce qui repose si lourdement sur l'âme aujourd'hui que des choses monstrueuses s'opposent à ce que les humains devraient gagner une vue libre en ce qui est nécessaire pour la guérison de maints dommages culturels. Il sera terriblement parlé alentour de ce qui devrait se passer. Mais il y a peu de volonté de s'immerger dans la réalité et de prendre la parole sur ce qui devrait se passer aussi extrait/cherché de la réalité. C'est en effet ainsi aujourd'hui que nous sommes progressivement sortis de la sphère de la vérité, du vrai droit venant de la nature de l'humain et de ce qui doit se développer en l'humain s'il devait avoir de la valeur pour ses semblables, de la pratique de la vie, à savoir de la parole de vérité dans la phrase, du sentir/de l’éprouver de la justice dans le conventionnel et de la pratique de la vie à la simple routine de la vie. Et nous ne sortons pas de ce triple mensonge/cette triple non-véracité, de la phrase, de la convention et de la routine, quand nous ne développons pas la volonté de nous immerger dans les choses, de voir comment elles se façonnent réellement dans leur réalité. Alors nous trouverons la possibilité, tout de suite comme ceux qui veulent considérer de telles choses du côté de l'étude, alors nous trouverons la possibilité d'être compris. Il y a beaucoup de choses dans le monde d'aujourd'hui qui font de terribles dégâts sous forme d'expression/de phrases d'agitation, parce qu'il y a si peu d’humains qui ont sérieusement la volonté d’aller aux réalités.

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Und das ist ja dasjenige, was einem heute so schwer auf der Seele liegt, daß Ungeheures entgegensteht, wenn es sich darum handelt, daß die Menschen einen freien Ausblick gewinnen sollen in das, was zur Heilung mancher Kulturschäden notwendig ist. Es wird eben furchtbar viel herumgeredet, was geschehen soll. Aber es ist wenig Wille vorhanden, in die Wirklichkeit unterzutauchen, und das Wort über das, was geschehen soll, auch aus der Wirklichkeit hervorzuholen. Es ist schon tatsächlich so, daß wir heute aus der Sphäre von Wahrheit, von wirklichem, aus der Natur des Menschen kommendem Recht und aus demjenigen, was im Menschen sich entwickeln muß, wenn er für seine Mitmenschen Wert haben soll, aus der Lebenspraxis, allmählich herausgekommen sind, und zwar aus dem Wahrheitswort in die Phrase, aus dem Rechtsempfinden in das Konventionelle und aus der Lebenspraxis in die bloße Lebensroutine hinein. Und wir kommen aus dieser dreifachen Unwahrhaftigkeit, aus Phrase, Konvention und Routine nicht heraus, wenn wir nicht den Willen entwickeln, unterzutauchen in die Dinge, hinzuschauen, wie sie sich eigentlich in ihrer Wirklichkeit gestalten. Dann werden wir die Möglichkeit finden, gerade als diejenigen, die solche Dinge von der Studienseite her ansehen wollen, dann werden wir die Möglichkeit finden, verstanden zu werden. Es ist in der Welt heute vieles, was als Agitationsphrase einen furchtbaren Schaden anrichtet, weil so wenig Menschen da sind, die ernsthaft den Willen haben, auf die Wirklichkeiten einzugehen.

C'est pourquoi ce fut une profonde satisfaction que vous soyez venu ici et que vous ayez voulu passer quatorze jours à réfléchir dans le domaine de l'économie de peuple. Je vous remercie de tout cœur pour cela, parce que j'ai la permission d'exprimer cette gratitude, parce que je crois savoir ce que cela a pour signification que tout de suite ceux qui se tiennent aujourd'hui comme universitaires dans le domaine de l'économie de peuple pourront contribuer/collaborer énormément au rétablissement/à la reconstruction de notre vie culturelle, à la reconstruction de la vie de l’humanité.

27

Deshalb war es mir eine tiefe Befriedigung, daß Sie hierher gekommen sind und sich mit mir haben vierzehn Tage lang beschäftigen wollen, durchzudenken das Gebiet der Volkswirtschaft. Ich danke Ihnen herzlich dafür; denn ich darf diesen Dank aussprechen, weil ich zu wissen glaube, was es für eine Bedeutung hat, daß gerade die, die heute im Leben als Akademiker stehen auf dem Gebiet der Volkswirtschaft, werden ungeheuer viel mitarbeiten können an der Gesundung unseres Kulturlebens, an dem Wiederaufbau des Menschheitslebens.

Et nous devons déjà aspirer à ce que l'économie de peuple ne soit pas purement une théorie, mais que l’économie de peuple s'avère elle-même être une valeur d’économie de peuple, afin que ce que nous épargnons de travail puisse être appliqué de manière fructueuse par ceux qui nous l’épargne pour la poursuite de l’évolution de l'humanité. Je crois qu'en décidant de venir ici, vous avez été conscients de cette tâche importante des scientifiques de l'économie, et il me serait agréable quand vous étiez renforcé par ce qui a pu être élaboré parmi nous, quoique de manière inadéquate.

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Und wir müssen schon anstreben, daß Volkswirtschaft nicht bloß eine Theorie ist, sondern daß Volkswirtschaft tatsächlich auch sich erweist selber als ein volkswirtschaftlicher Wert, damit dasjenige, was wir an Arbeit ersparen, tatsächlich von denjenigen, die es uns ersparen, in fruchtbarer Weise für die Fortentwickelung der Menschheit angewendet werden kann. Ich glaube, Sie waren sich, indem Sie den Entschluß gefaßt haben, hierherzukommen, dieser wichtigen Aufgabe des Wirtschaftswissenschafters bewußt, und es wäre mir lieb, wenn Sie befestigt würden durch das, was, allerdings in unzulänglicher Weise, hat unter uns erarbeitet werden können.

J'espère que nous aurons l'occasion de travailler une fois les choses plus avant.

29

Hoffentlich haben wir Gelegenheit, die Dinge einmal weiter zu arbeiten.



Français seulement
01
Vous aurez vu des considérations que nous avons enclenchées/amorcées en ce temps qu'il s'agit vraiment de trouver ici des concepts, mieux dit, des images sur la vie économique, par lesquelles on peut maintenant s'immerger/plonger en fait dans cette vie économique. Ce n'est donc absolument sur aucun des domaines qui seront aujourd'hui mis en mouvement à l’intérieur du mouvement anthroposophique et auxquels je participe, quelque peu ma conviction que tout ce qui est là de résultats scientifiques devrait être réduit à néant ; c'est plutôt ma conviction que nous avons nous-mêmes beaucoup de choses utiles de grande portée dans nos sciences, que seul le traitement/la prise en main de ces choses utiles, tant dans les sciences de la nature que dans les sciences de la culture, exige un développement essentiel supplémentaire. Et ainsi je voulais alors principalement vous donner des images conceptuelles qui pourraient vous offrir des indices sur la manière d'utiliser correctement ce qui est donc aussi là malgré tout d’utilisable dans la science de l’économie, d’utilisable dans une large étendue. C'est pourquoi j'ai donné de telles images, qui devraient être immédiatement vivantes. Mais le vivant – rendez-vous cela seulement clair ! - est toujours une chose qui à de l’ambiguïté/beaucoup de significations. Maints d'entre vous pourront donc peut-être quitter ces réflexions avec le sentiment que l'une ou l'autre chose serait à objecter à ceci ou à cela. Dans un certain sens, je suis heureux quand cela se passe avec un réel sérieux de chercheur et un esprit de chercheur, quand ce sentiment est disponible ; car ce sentiment doit toujours être disponible envers le vivant. Le vivant ne tolère aucune théorie dogmatique. Et c'est ainsi que vous devez aussi saisir les concepts que je vous ai donnés.
02
Un concept extraordinairement ambigu, j’aimerais dire, est donc celui de l'argent qui vieillit ou qui s'use. Mais avec de telles images conceptuelles, cela se comporte ainsi qu'on a à se tenir vis-à-vis d’elles, comme on se tient vis-à-vis d’un être humain en devenir. On a le sentiment général qu'il pourra fournir telle ou telle chose bonne. On peut alors peut-être se faire des représentations sur comment il fournira cela. Mais ces représentations sur comment il le fournit n’ont pas toujours besoin d’être exactes. La personne concernée peut le fournir d'une autre manière. Et ainsi vous pouvez également trouver différentes modalités pour le concept du s'user de l'argent, comment cette usure de l'argent peut se passer. J'ai essayé de vous présenter le mode de fonctionnement qui est le moins pensé à partir du bureaucratique, le plus pensé ainsi qu’il se donne à partir de la vie de l’économie elle-même.
03
Objections sur objections peuvent survenir là. Je veux vous rendre attentif sur ce qu'on peut très facilement objecter : Oui, par quoi devrait-il être déterminé, que par exemple, un quelque entrepreneur devrait tout de suite ficher de l'argent jeune dans son entreprise, puisque peut-être dans peu de temps, on ne pourra plus savoir si c'était de l'argent jeune ou non ; car l'entreprise part justement. Oui, mais vous devez à nouveau garder à l'esprit/réfléchir qu'il ne prend pas l'argent en/de l’air, mais que quelqu'un prête. Et puisque vous voyez dans mes « Points centraux de la question sociale » que je ne suis pas de la conviction que l'intérêt en tant que tel doit tomber de l'argent, qui a de la valeur, mais jusqu’à un certain degré est justement nécessaire dans la vie économique, ainsi vous vous direz : Oui, comment devrai-je comme entrepreneur, obtenir l'argent des gens qui devraient me le prêter, si je leur payais des intérêts seulement pour une période extrêmement courte ? Les gens me donneront de l'argent de telle sorte que puisse exister le mode/modus qu'ils obtiennent leurs intérêts à partir de mon entreprise le plus longtemps possible. - Peut-être trouveront-ils alors que ce n'est pas du tout suffisant de laisser l'argent devenir vieux de cette manière. Oui, alors vous pouvez continuer à penser sur le mode/la modalité, que peut-être pour de l'argent qui a été dépensé aujourd'hui, on n'écrit pas dessus l'année qui est en cours, mais une année future, de sorte que jusque là il ait une valeur croissante et seulement alors une valeur décroissante.
04
Bref, ce qui vit peut se réaliser des manières les plus différentes. Par conséquent, au moment où l'on se place soit même, vivant, la possibilité, est aussitôt donné que cela peut se réaliser de la manière la plus diverse ; tout comme donc un humain peut aussi appliquer sa compétence de la manière la plus diverse. C'est l'essence même du concept non dogmatique. Mais quand vous faites vôtres de tels concepts, en particulier en science d’économie de peuple, alors vous verrez en premier comment les choses interviennent dans la vie et comment vous pouvez en premier utiliser sur une telle base ce qui est là aujourd'hui, malgré tout, à partir d'observations partielles dans l'économie dite nationale.
05
Prenez, par exemple, les explications sur le prix, vous trouverez que vous sera dit, les conditions du niveau des prix du côté du vendeur seraient celle-ci : quel est son besoin d'argent, quelle est la valeur de l'argent, quels coûts de production devraient être réunis et quelle est justement la concurrence du côté de l'acheteur. Mais si vous analysez alors ces concepts, vous trouverez partout où vous pouvez réfléchir très justement sur ces concepts, mais qu'avec ces concepts vous ne pouvez pas entrer dans la réalité économique, pour la simple raison que vous devez d'abord/en premier donc vous demander : Oui, est-ce alors aussi un contexte économique sain, quand tout de suite un certain entrepreneur à un certain moment a besoin d'argent et par cela d’après un certain flux/courant, d’après son besoin d'argent, les prix baissent ou grimpent, est aussi ce que l'on peut appeler la valeur d’utilité de l’argent, quelque chose qui peut œuvrer/agir de manière saine ? - Les deux peuvent œuvrer d'une manière saine et pathologique. Et encore une fois/à nouveau, quand vous pensez aux coûts de production, il peut être souhaitable de ne pas réfléchir à l’établissement d’un prix sain, comment les prix se placent quand on envisage les coûts de production comme quelque chose d’absolu, mais de réfléchir à comment les coûts de production pour un article devraient être réduits/minimisés s'il devait avoir un prix sain sur le marché. Il s’agit donc que vous ayez des concepts tels que maintenant ils peuvent commencer à leur début. Tout de suite aussi peu, que vous laisser un humain vivant commencer à vivre dans sa vingt-cinquième année de vie, justement aussi peu on devrait laisser des concepts, qui jouent dans la vie, commencer n'importe où à volonté. On ne devrait pas purement, disons, laisser commencer des concepts d’économie de peuple, disons, par/chez la concurrence des acheteurs ou des vendeurs ; car il s'agit de savoir si, sous certaines conditions, ce n'est pas précisément l'erreur économique principielle qu'il y ait une concurrence excessive des vendeurs ou aussi des acheteurs. Ce sont des choses dont il faut tenir compte énormément dans le principe.
06
Et entièrement indépendamment de si l'un trouve l’une ou l'autre chose correcte dans les explications que nous avons sillonnées : ce a quoi est aspiré par toute la séquence/suite des considérations, c’est que les concepts sont vivants. Ils indiquent alors, même dans le cas donné, où on doit les modifier. Il s’agit que nous soyons amenés sur le sentier de ces concepts vivants. Et ainsi nous pouvons nous dire : quand nous avons d'un côté l'argent qui s'use, c'est-à-dire l'argent qui vieillit/devient vieux, ainsi j'ai tout de suite essayé, parce que l'argent vient en circulation et figure comme argent d'achat, argent de prêt et argent de donation, tout de suite par ces particularités spéciales de l'argent j'ai essayé de montrer comment, quand il fonctionne sans encombre, de manière purement économique, par cela de soi-même, simplement par les besoins qui surgissent alors, dans un endroit le besoin pour le jeune argent et dans l'autre endroit le besoin pour le vieil argent se feront jour.
07
Naturellement, je devrais pouvoir consolider tout cela des semaines durant maintenant, ainsi vous verriez que cela s'insère sans reste dans une économie nationale saine, et quand n’importe où une maladie survient dans le corps économique, on verrait tout de suite que par l’observation de ces choses, la chose pourra être guérie.
08
Maintenant, qu’est-ce qui apparaît lorsque nous pensons de cette manière que nous avons réellement dans l'argent circulant une sorte d'image de ce qui est maintenant justement aussi usable dans les marchandises de consommation les plus diverses - car des prestations spirituelles sont donc aussi des marchandises de consommation dans le sens économique ? Dans l'argent s'usant, nous avons le flux parallèle aux marchandises, biens, valeurs s’usant, donc des valeurs de choses. Qu'avons-nous donc en fait quand nous - nous pouvons l'étendre à l'ensemble de l'économie mondiale - négligeons ce parallélisme de valeur symbolique/signe et de valeur de chose -? Nous avons en fait, pris au fond, ce qu'on pourrait appeler la comptabilité, la tenue de livres étendue par-dessus l'ensemble de l'économie mondiale. C'est la comptabilité mondiale, car l'action qui sera effectuée lorsqu'un objet passe par-dessus ou par-dessus signifie justement rien d'autre que l'écrire d’un poste à un autre endroit. Mais cela sera en réalité accompli par ce que l'argent et la marchandise passent d'une main à l'autre. Il importe peu que la possibilité de placer les articles au bon endroit dans un système comptable gigantesque qui couvre l'ensemble de l'économie mondiale, de placer les postes à l’endroit correct et de diriger alors l'ensemble, de sorte que seuls les soldes créditeurs/avoirs soient réécrits, ou de rédiger l'abonnement correspondant et de le remettre à la personne concernée, afin que l'affaire soit traitée en termes réels. Nous avons donc la comptabilité mondiale comme chiffre d'affaires. Et ce serait ce que chacun, pris au fond, peut envisager, qui devrait en fait être ambitionné. Car ainsi nous avons à nouveau rendu à l'argent ce qu'il devrait seulement quand même être : le moyen externe pour l'échange. Car sinon, l'argent n'est rien d'autre, quand nous regardons dans les profondeurs de l'économie de peuple que le moyen d'un échange mutuel des prestations. Car en réalité les gens vivent de prestations, et non des signes de ces prestations.
09
Toutefois, c'est tout de suite parce que l’argent, dans un certain sens, falsifie les prestations qui interviennent/se présentent qu'alors aussi par une sorte de commerce intermédiaire avec l’argent, peut intervenir une falsification de l'ensemble de l'économie. Mais c'est justement alors la falsification, qui est possible, quand on ne prête pas à l’argent son véritable caractère.
10
Mais maintenant, il s’agit que nous devions donc voir - et je l'ai en particulier montré hier - que les prestations devront être jugées de diverses manières en rapport à ce qui circule comme valeurs dans la vie économique. Hier, nous avons pu rendre attentif hier sur ce qui est d'abord gagné de la nature et sur quoi du travail humain sera utilisé, correspond en fait à l'image que le travail sera combiné avec l'objet de la nature, de sorte qu'on peut commencer le processus économique, pour ainsi dire, à un endroit, avec ce que l’on peut dire : la valeur sera produite par le travail que j'ajoute à un produit de la nature. Mais dans le processus d’économie de peuple, il y a aussi le courant inverse, qui se produit lorsque justement les prestations spirituelles apparaissent. Parce que des prestations spirituelles apparaissent, il est nécessaire d'introduire une formule d'évaluation différente, si je puis dire ainsi. C'est celle qu'une prestation spirituelle est d’autant de valeur qu'elle épargne le travail du producteur. Celui qui produit donc un tableau et fournit ainsi une valeur, une valeur pour laquelle il y a justement un intérêt, sinon il n’y aurait aucune valeur, il doit – s’il devait absolument y avoir un contexte sain dans l'économie de peuple que ce tableau soit produit, que le peintre soit là - évaluer de telle sorte que lui soit épargné autant de travail qu’il a besoin pour lui-même, jusqu’à ce qu’il ait pu produire à nouveau un nouveau tableau de la même manière. Ainsi qu'on peut donc voir : Par ce que, dans le processus d’économie de peuple, des prestations spirituelles apparaissent vis-à-vis de prestations qui sont simplement basées sur la l’élaboration de la nature, c'est-à-dire sur le travail manuel, respectivement sur la transformation par des moyens de production - par ce que, d'un côté, le travail qui se lie aux moyens de production est nécessaire, de l'autre côté, du travail doit être épargné –, par cela se produit ce cycle économique avec deux courants opposés, qui doivent se compenser de manière saine.
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Maintenant il se demande toutefois : comment devraient-ils se compenser ? N'est-ce pas, tout d’abord nous avons seulement besoin de penser vraiment à la comptabilité générale de toute l'économie mondiale, car à l’intérieur de cette comptabilité générale se donnerait ce qui devrait s'annuler mutuellement. Et là le prix apparaîtrait. Mais il s’agit de ce que les postes dans cette comptabilité générale devraient signifier quelque chose. Les postes devraient signifier quelque chose. Il doit y avoir un poste que j'insère dans ma comptabilité générale : A, correspondrait soit à ce que je peux appeler « le travail lié à la nature », soit un autre poste : B, correspondant à « tant de travail sera économisé par cette prestation ». Donc, chacun de tels postes doit signifier quelque chose. Il peut seulement signifier quelque chose quand il représente quelque chose de comparable ou du moins rendu comparable par l'économie de peuple ; car on ne peut pas se demander sans plus : combien de noix vaut une pomme de terre ? – On ne peut pas demander cela sans plus. Il s'agit de ce qu’on doit demander : la noix signifie un produit de la nature lié avec du travail humain ; la pomme de terre signifie un produit de la nature lié au travail humain ; comment les deux valeurs se comparent-elles ?
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Il s'agira de trouver quelque chose qui permette réellement d'évaluer les valeurs économiques les unes par rapport aux autres. La chose devient encore plus difficile lorsque, par exemple, un essai est écrit, qui doit avoir autant de valeur au sens de l’économie de peuple qu'il permet d'économiser du travail physique à un quelque moyen de production, déduite la toute petite quantité de travail qui sera utilisée pour mettre par écrit. Mais en chaque cas, vous pouvez vous représenter que ce n'est pas tout de suite une chose facile de calculer maintenant comment ces choses sont à comparer, comment elles sont à estimer réciproquement. Et pourtant, quand on touche maintenant au processus d’économie de peuple à une autre extrémité, on arrive à la possibilité d'une telle estimation. D'un côté, nous avons le travail physique appliqué aux moyens de production - auxquels appartient également la nature - qui, à un certain moment, est un travail bien spécifique ; en d'autres termes : à un certain moment, un certain travail humain est nécessaire, disons, pour produire du blé sur un bout de surface a grand d’un mètre carré, aussi loin que le blé soit chez le commerçant ou sinon n’importe où, donc pour produire du blé. C'est absolument quelque chose qui est une grandeur donnée, une grandeur qui peut même être mise en évidence dans une certaine relation ; car toute prestation économique humaine, quand on l’embrasse du regard, retourne néanmoins à la nature. Ce n'est pas du tout possible autrement qu’elle retourne à elle n’importe où. L'agriculteur travaille directement à la nature ; celui qui, disons, s'occupe des/veille aux vêtements ne travaille pas directement à la nature, mais son travail retourne à la nature. Mais en tout cas son travail contiendra déjà quelque chose de ce qui est du travail épargné, aussi loin qu’il applique l'esprit sur sa chose. Mais en tout cas, son travail retourne à/sur la nature. Jusqu'aux réalisations spirituelles les plus compliquées, tout revient finalement à la nature, respectivement au travail avec des moyens de production. Vous pouvez démarrer une réflexion, aussi impartiale que vous le voulez seulement, vous arriverez toujours sur ce que toutes les choses d’économie de peuple retournent quand même finalement au travail corporel à la nature, et que ce qui commence à être générateur de valeur à la nature - la dépense du travail jusqu'à un certain point reposant le plus proche que possible de la nature – que là sont les valeurs qui doivent maintenant être réparties sur l'ensemble du domaine de l'économie de peuple fermée sur soi.
13
Reprenez encore une fois l'hypothétique, que j'ai mentionnée hier : une économie de village fermée ! Donc, dans cette économie villageoise fermée, vous avez ce que sont les travailleurs corporels, et de travailleurs spirituels, je n'ai mentionné que le professeur et le prêtre, peut-être encore l'administrateur communal. Maintenant, c'est une économie très simple. Là, la plupart des gens travailleront corporellement, travailleront corporellement au sol ; seulement ils devront cofournir le travail corporel dont l'enseignant, le prêtre et l'administrateur local ont besoin pour manger, s'habiller, etc. Ils doivent le fournir conjointement, car l’enseignant, le prêtre et l'administrateur communal n’accomplissent pas eux-mêmes leur travail à la nature. Maintenant, pensez cette économie villageoise fermée aurait trente agriculteurs et les trois - enfin, comment les appeler ? - Honorables/notables, les trois seraient là. Ces trois-là fournissent leurs prestations spirituelles. Ils ont besoin du travail épargné des autres. Supposons  : Chacun de ces trente agriculteurs donne aux trois personnes, ou à chaque individu, un signe, un morceau de papier, sur lequel il est écrit, disons, tant et tant de a = blé, ce avec quoi est pensé le blé qui a déjà été élaboré d'une certaine manière. Un autre donne un bout de papier sur laquelle est écrit quelque chose d'autre qui se laisse comparer au blé en rapport à la consommation. Ces choses se laissent trouver. Maintenant le prêtre, le professeur, et le scribe de la communauté engrangent cela. Au lieu qu’ils se rendent eux-mêmes sur le champ se chercher le blé, le grain, la viande de bœuf, au lieu de cela ils donnent les bouts de papier aux gens. Ils l’élaborent aussi et leur donnent pour cela le produit. C'est le processus qui doit s’en développer de lui-même. Le processus ne peut pas du tout être différent, même s'il arrivait à une tête intelligente d'introduire de la monnaie métallique au lieu du bout de papier. Le processus est une fois celui-ci, qu'on doit créer la possibilité de former des instructions/informations sur la base du travail matériel stocké/sauvegardé, du travail fourni aux moyens de production, donc du travail investi dans les valeurs d’économie de peuple, que l'on remet/transfère, afin que ceux qui en ont besoin puissent s’épargner du travail avec ces bouts de papier.
14
De là, vous verrez qu'aucune sorte d’argent ne peut être autre chose qu'une simple expression pour la somme des moyens de production utilisables qui se trouvent dans une quelque région – ce en quoi sera naturellement en première ligne, le foncier - les moyens de production utilisables qui sont dans une région, réduits à ce en quoi ils peuvent se laisser exprimer le plus facilement. Et cela ramènera l'ensemble du processus d’économie de peuple à quelque chose qu'il est néanmoins justement possible de saisir.
15
Ce qui devra être dit à ce sujet, c'est qu'aucun paradis d’économie de peuple ne peut être amené nulle part dans le monde. Cela peut être cru par ceux qui mettent en place des utopies qui ne sont pas liées à la réalité. On peut très facilement dire du poignet que l'économie doit être constituée de telle ou telle manière ; mais une économie, et aussi toute l'économie de la terre, c'est-à-dire ce qu'on peut appeler l'économie mondiale, ne peuvent être constituées de manière absolue d'aucune manière, mais seulement de manière relative. Car pensez, nous avons dans un quelque domaine fermé économique une surface de sol : S. Quand tous les gens sur cette surface de terre entreprennent vraiment les tâches possibles aux humains, ainsi quelque chose d'autre est créé pour la consommation, quand il y a, disons, une population de 8 millions sur cette surface de terre, ou s'il y a une population de 131 millions sur cette même surface de terre.
16
Ce dont il s’agit dépend absolument du rapport entre la masse de population à la surface du sol, et donc aussi de ce qu’un certain nombre de population peut élaborer à partir de la surface du sol - tout vient finalement de la surface du sol. Maintenant, établissez le cas hypothétique, qu’une quelque zone économique Tableau 12 aurait, disons, trente-cinq millions d'habitants - peu importe le nombre. Ce qui s'applique ici à un espace économique fermé s'applique également à l'économie mondiale. Une zone économique compte trente-cinq millions d'habitants à un quelque moment. Et formuler l'hypothèse que ces trente-cinq millions d'habitants doivent maintenant être amenés dans un contexte qui soit le plus correct possible selon l’économie de peuple. Ce n'est pas exprimé entièrement exactement et clairement, mais vous verrez bientôt ce que je comprends là-dessous. Que devrait-on donc faire quand on voulait absolument que sur ce domaine règne parmi les trente-cinq millions ce qui a amené des prix possibles ? Alors vous devriez, à l’instant où vous commencez à transformer la vie de l'économie en une vie saine, donner à chaque humain individuel autant de la superficie de sol - mais maintenant calculée sur un niveau moyen de fertilité et de maniabilité/traitement - que la superficie totale des sols qui rend possible la production divisée par trente-cinq millions. Pensez-y, chaque enfant aurait tout simplement autant de surface de sol à la naissance pour une culture continue : si chaque humain avait simplement autant à la naissance, alors pourraient survenir les prix qui peuvent apparaître sur une telle surface, car les choses auraient alors leur valeur d'échange évidente.
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Mais ce que je vous cite comme hypothèse qui, curieusement, vous touche, c’est en effet la réalité. Le processus d’économie de peuple indépendant de l'humain, il fait cela en effet dans le fait. Il le fait - maintenant, vous ne croirez donc pas que ce que je dis maintenant, je le pense autrement que par force d'image - en ce que ce processus d’économie de peuple en fait, puisque donc les conditions sont là, répartit toute la surface du sol sur tant et tant d’humains, où alors les humains doivent élaborer plus loin conformément tout ce qui se distingue du sol ; vous pouvez vous penser toute la surface de sol répartie sur le nombre d'habitants, et cela donne, comme fait réel, à chaque chose sa valeur d'échange, et vous pouvez inscrire n’importe où les valeurs d'échange et l'expérience peut donner une très forte approximation à ces valeurs. Mais si vous comparez cela à notre réalité d'aujourd'hui, vous trouverez que cela a un prix loin en dessous, l'autre loin au-dessus. Maintenant, vous pouvez donc, quand vous pouvez vous représenter que n’importe où une quelque utopie apparaît dans laquelle vous pouvez transposer tous ces enfants nouveau-nés qui seront initialement fournis/soignés par des anges - mais vous leur donnez chacun avec sa parcelle/son bout de terre -, alors vous pouvez l’amener à ce que, quand ils peuvent commencer à travailler, les valeurs évidentes d'échange apparaissent. Quand alors après un certain temps d'autres prix sont là, alors l'un doit avoir retiré la chose à l'autre. Et c'est ce qui donne justement les différentes insatisfactions, que cela sera ressenti sombrement, qu’ici quelque chose peut jouer dans le processus d’économie de peuple qui ne correspond pas du tout aux prix réels.
18
Mais tout de suite par une pénétration de l'organisme d’économie de peuple avec une manière de penser qui est conservée dans le style que nous avons affiché ici dans ces considérations, sera amené par les mesures elles-mêmes ce que j’ai mentionné. C'est de cela qu’il s’agit. Et ainsi nous trouverons que sur cet argent, qui, j’aimerais dire, représente la comptabilité volante de l'économie mondiale, quelque chose de similaire devra se tenir comme sur une surface au sol de tant et tant de mètres carrés de blé productible, qui sera alors comparé aux autres choses. Les produits du sol se laissent le plus simplement comparer les uns avec les autres. Et vous voyez donc ce dont on doit partir. On doit partir de quelque chose, les chiffres doivent signifier quelque chose. Cela éloigne justement bonnement et simplement de la réalité lorsque nous avons inscrit tant et tant de contenu d'or sur notre argent ; mais cela conduit à la réalité lorsque nous avons inscrit dessus tant et tant de travail sur un produit naturel déterminé. Alors nous pourrions dire : Supposons donc, par exemple, qu'est écrit dessus X-blé, que sur tout l'argent est écrit X-blé, Y-blé, Z-blé - et il serait clair ce à quoi reconduit l'économie de peuple dans son ensemble. Avec cela vous avez reconduit la devise sur les moyens de production utilisables auxquels s'effectue le travail corporel - moyens de production d’une quelque zone/domaine économique - et c'est la seule monnaie saine : la somme des moyens de production utilisables.
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Pour celui qui peut voir dans la réalité de façon impartiale, pour celui-ci se donne cette chose ainsi de la façon de voir, bien que quelqu'un puisse peut-être dire : Très exactement ne se laisse aussi pas comparer avec une telle chose une quelque autre valeur. Cela se laissera comparer jusqu’à un degré élevé de précision. Car en général les valeurs se comparent parce que lors de cette valorisation/estimation finalement/à la fin tout est évalué par la consommation, les valeurs des prestations que trop. -- Serais-je encore un travailleur si spirituel, j'ai besoin de tant de travail économisé/épargné chaque année, dont j'ai justement besoin, afin de me maintenir comme être humain. Et par quelque chose comme ça deviendra clair sans plus alors de quelle manière un travailleur de l’esprit a justement encore besoin de quelque chose en plus du tien, ce dont un travailleur manuel a besoin. Et quand la chose est ainsi transparente, cela sera aussi reconnu alors partout parce qu'elle est transparente. Il y a malgré tout, dans des contextes d’économies fermées, qui deviendront de plus en plus rares, mais qui sont malgré tout encore là aujourd'hui, où les travailleurs de l’esprit obtiennent/reçoivent en fait abondamment de ce dont ils ont besoin, où les gens le leur donne volontiers sans en premier l'écrire sur un bout de papier. Je ne dis pas cela parce que j’aimerais reconduire un aspect d’économie de peuple à un aspect sentimental, mais je dis cela parce que cela fait aussi partie des réalités de l'économie de peuple et parce qu’on butte partout cependant/néanmoins sur les humains à l’intérieur de l'économie de peuple.
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Avant toutes choses, sera atteint par cela un rapport vraiment gérable à l’intérieur des membres particuliers d'un tout économique. Il sera atteint la possibilité que chacun à chaque instant ait encore son lien/pendant avec la nature aussi dans l'argent. Et c'est donc ce qui rend tous nos rapports si malsains qu'ils se distinguent/se détachent tellement de la nature, que la connexion/le pendant avec la nature n'est plus là. Quand nous l’amenons à cela - et la réponse à la question est donc seulement une question de technique, que l’on peut justement se former dans la vie associative – en fait au lieu de la valeur indéfinissable d'or, la valeur de nature sur notre papier, alors nous envisagerons immédiatement, envisagerons dans les transactions/échanges/circulations ordinaires, de quelle valeur est aussi une quelque prestation spirituelle ; car alors je sais : si peint un tableau, ainsi, parce que j'ai peint le tableau, tant et tant de mois ou années, disons, les travailleurs agricoles travaillent au blé, à l'avoine et ainsi de suite. Pensez à quel point le processus économique serait transparent par cela. Selon l'usage linguistique/de la langue actuelle, on pourrait justement alors dire : il y a une devise de nature au lieu d'une devise en or. Ce serait aussi la chose correcte. Ce serait ce qui donne vraiment un contexte économique.
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Maintenant, vous avez à nouveau mis une telle image en place. Je dois justement parler en de telles images parce que ces images donnent la réalité, car ce que les gens ont habituellement dans la tête dans le trafic/la circulation économique, ce n'est pas la réalité. Seul celui qui sait que s'il reçoit telle et telle pièce d'argent pour quelque chose, cela signifie tant et tant de travail du sol, respectivement à cela doit être aussi calculer le travail avec d'autres moyens de production, mais qui seront, équivalents à la nature, en ce qu'à l’instant où ils sont élaborés/terminés/finalisés, où donc ils échappent au domaine des marchandises, passent en un contexte de dévalorisation, de l’impossibilité de les acheter ou vendre ; par cela ils deviennent aussitôt les moyens de production que nous avons dans la nature. Ce n'est qu'une continuation/poursuite du processus que nous avons dans la nature lorsque nous disons que les moyens de production doivent être traités de cette manière. Par cela sera créé en premier un concept clair aussi pour la nature elle-même en tant que moyen de production, car vis-à-vis des concepts que l'on trouve sinon aux fonds et sols/au foncier, pourra toujours encore être rétorqué, si vous n'introduisez pas ainsi le concept de moyen de production comme j'ai essayé/tenté de le faire dans les « Points clés de la question sociale ». Car vous avez seulement besoin de réfléchir qu'un domaine de la nature aussi doit, sous conditions, d'abord être cultivé/travaillé avant d’être un foncier utilisable, de sorte que jusqu'au moment où la nature, où un quelque domaine de la nature a été défrichée, où il pourra être transmis dans l’utilisation - jusque-là du travail devra donc aussi être utilisé - de sorte donc qu'à la fin de ce travail, jusqu’à ce que ce travail soit terminé, un bout de fond et sol/foncier est aussi une marchandise de manière justifiée, une valeur économique en ce sens que le bien est lié au travail.
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Ce n'est donc qu'en formulant réellement les concepts de cette manière, comme nous l'avons fait, que vous parviendrez à avoir le concept des moyens de production dans une pure façon de voir ; vous serez alors capable de le réaliser/exécuter dans les domaines les plus différents ; alors vous réaliserez très clairement au bon moment que lorsque quelqu'un livre un essai, la principale chose de valeur est le travail épargné, que l’on a seulement à déduire/décompter le peu que représente le travail corporel direct de l'écriture. Les concepts se différencient immédiatement selon les directions les plus diverses afin qu'ils se tiennent correctement dans la vie, si vous les formez correctement à partir de la vie. Vous ne pouvez donc pas autre chose, quand vous voulez traiter n’importe comment la question du prix, de remonter cette question du prix justement pas purement jusqu'aux coûts de production, mais vous devez la remonter jusqu'à la production originelle et devez voir comment sont les conditions de la formation des prix à partir de la production originelle. Alors, vous pouvez pour la première fois suivre la formation du prix jusqu'à un quelque point à l’intérieur de processus d’économie de peuple.
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Avec cela j’ai peut-être au moins pu vous donner une représentation directrice de ce qui entre réellement en considération pour la question principale de l'économie, la formation de prix. Car l'économie signifie justement : apporter ce qui sont des produits à l’échange parmi les humains ; et l'échange parmi les humains se vit dans la formation de prix. Cette formation de prix, elle doit tout d'abord être ce dont il s’agit. Et vous envisagerez qu'il n'est pas nécessaire de revenir à quelque chose d'assez indéfini, si l'on remonte au rapport des valeurs que l'on obtient pour le travail de la terre par le rapport du nombre d'habitants à la surface utile de la terre. Dans ce rapport, vous trouvez ce qui, à l'origine, repose justement à la base de la formation de valeurs, parce que tout travail qui peut être fait peut seulement venir du nombre de la population, et tout ce avec quoi ce travail peut se lier doit venir du sol ; car c'est ce dont chacun a besoin, et ceux qui l’épargnent à cause de leur prestation spirituelle, pour ceux-là les autres doivent justement le fournir avec/cofournir, c’est pourquoi nous arrivons à ce qui repose à la base de l'économie de peuple.
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Maintenant, quand nous regardons la chose ainsi, nous devons dire que dans notre économie actuelle, très compliquée, nous entrons aussi dans ce qui, dans les circonstances/rapports économiques les plus primitifs, était absolument là où, ma foi il s’agissait seulement, pour l’essentiel d’un échange de marchandises. Seulement que nous ne sommes plus en situation de déceler ce pendant partout. Nous l'aurons toujours aussitôt devant nous quand sur nos billets d’argent sera exprimé ce lien avec la nature. Car en réalité, il est justement quand même là. Ne l'oubliez jamais ! C'est la réalité. J’aimerais dire - c'est de nouveau parlé au sens figuré : tandis que j'abandonne inconsidérément mes francs pour une quelque chose, il y a toujours un petit démon qui écrit toujours dessus combien de travail accompli à la nature, la chose correspondante est toujours là. C'est la réalité. On doit là aussi pour arriver à la réalité, ne pas se tenir à la surface extérieure.
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Maintenant, il n'a vraiment pas été possible au cours de ces quatorze jours de donner quelque chose d'autre que quelques suggestions qui devaient mettre sur la voie, suggestions dont je sais donc, qu’elles devraient être développées plus loin partout, et que le plus important est peut-être que vous en arrivez à ce que les concepts-images qui ont été développés ici représentent un vivant en rapport à ceux qui sont développés sinon. Quand vous avez absorbé en vous ce qui est vivant dans ces concepts-images, alors vous n'aurez pas passé ces quatorze jours ici pour rien.
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Et c'est ce qui repose si lourdement sur l'âme aujourd'hui que des choses monstrueuses s'opposent à ce que les humains devraient gagner une vue libre en ce qui est nécessaire pour la guérison de maints dommages culturels. Il sera terriblement parlé alentour de ce qui devrait se passer. Mais il y a peu de volonté de s'immerger dans la réalité et de prendre la parole sur ce qui devrait se passer aussi extrait/cherché de la réalité. C'est en effet ainsi aujourd'hui que nous sommes progressivement sortis de la sphère de la vérité, du vrai droit venant de la nature de l'humain et de ce qui doit se développer en l'humain s'il devait avoir de la valeur pour ses semblables, de la pratique de la vie, à savoir de la parole de vérité dans la phrase, du sentir/de l’éprouver de la justice dans le conventionnel et de la pratique de la vie à la simple routine de la vie. Et nous ne sortons pas de ce triple mensonge/cette triple non-véracité, de la phrase, de la convention et de la routine, quand nous ne développons pas la volonté de nous immerger dans les choses, de voir comment elles se façonnent réellement dans leur réalité. Alors nous trouverons la possibilité, tout de suite comme ceux qui veulent considérer de telles choses du côté de l'étude, alors nous trouverons la possibilité d'être compris. Il y a beaucoup de choses dans le monde d'aujourd'hui qui font de terribles dégâts sous forme d'expression/de phrases d'agitation, parce qu'il y a si peu d’humains qui ont sérieusement la volonté d’aller aux réalités.
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C'est pourquoi ce fut une profonde satisfaction que vous soyez venu ici et que vous ayez voulu passer quatorze jours à réfléchir dans le domaine de l'économie de peuple. Je vous remercie de tout cœur pour cela, parce que j'ai la permission d'exprimer cette gratitude, parce que je crois savoir ce que cela a pour signification que tout de suite ceux qui se tiennent aujourd'hui comme universitaires dans le domaine de l'économie de peuple pourront contribuer/collaborer énormément au rétablissement/à la reconstruction de notre vie culturelle, à la reconstruction de la vie de l’humanité.
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Et nous devons déjà aspirer à ce que l'économie de peuple ne soit pas purement une théorie, mais que l’économie de peuple s'avère elle-même être une valeur d’économie de peuple, afin que ce que nous épargnons de travail puisse être appliqué de manière fructueuse par ceux qui nous l’épargne pour la poursuite de l’évolution de l'humanité. Je crois qu'en décidant de venir ici, vous avez été conscients de cette tâche importante des scientifiques de l'économie, et il me serait agréable quand vous étiez renforcé par ce qui a pu être élaboré parmi nous, quoique de manière inadéquate.
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J'espère que nous aurons l'occasion de travailler une fois les choses plus avant.