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Institut pour une tri-articulation sociale
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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




Le pape survit comme homme économique précurseur du banquier régnant véritable.  Mais l'humanité doit maintenant s'affranchir...
 Der Papst überlebt als ein Wirtschaftsmann, der der Vorläufer des wahren regierenden Bankiers ist.  Aber die Menschheit muss sich jetzt befreien...

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 191 173-179 (1989) 19/10/1919

Original





Traducteur: FG v.01 - 10/05/2020 Éditeur: SITE

Je vous ai dit que, dans une certaine mesure, la première étape sur ce chemin vers une compréhension, telle qu'elle est nécessaire pour le présent et pour le futur le plus proche, était qu’avec la Réforme s'est développé le règne de l'humain économique. Je vous ai rappelé comment, dans les temps anciens, l'initié régnait. L'initié régnait, comment régnait alors le prêtre, et comment, dès le milieu du quinzième siècle, l'humain économique devenait le souverain. Depuis la Réforme, ceux qui portaient habituellement des manteaux pourpres et représentaient des dirigeants devaient devenir les marionnettes des humains économiques s'ils voulaient régner. En vérité, toujours de plus en plus depuis le milieu du XVe siècle, les humains économiques ont régné, ces humains qui prenaient soin de l'économie des différents territoires de la terre. Quand d’après le nom d'autres régnaient, ainsi c'était seulement justement d’après le nom, et les gouvernements ont été, pris au fond, entièrement imprégnés des principes économiques. On ne parle naturellement pas volontiers de tout ce que l’on fait depuis la Réforme sous des points de vue économiques. On parle d'idéaux et ainsi de suite. Mais ce sont seulement des masques pour le représentant de l'histoire réelle. Afin de ne pas trop lever le voile, depuis la Réforme, ont aussi encore été commandés des ministres des cultes, des ministres de l’enseignement, des ministres de la Justice, et ainsi de suite. Mais tous étaient en fait, nuancés un peu plus faiblement, des ministres de l'économie. Celui qui va aux réalités, il peut déjà voir tout au plus qu'ils ont transmis de vieilles traditions, mais essentiellement quand même sous des considérations économiques.
À cet égard, l'Église catholique a effectivement compris, tout de suite à l'époque de la Réforme, comment être bien conforme au temps.
L'Église catholique a, pris au fond, au lever de l’ère de la réforme, le mieux compris comment soigner le progrès entièrement dans le sens du principe économique le plus récent. On a donc seulement besoin de choisir un fait parmi les autres. Jusqu'alors, l'Église avait amené les choses à pousser les unes aux autres les affaires spirituelles les plus hautes et les affaires les plus triviales de ce monde. On pouvait, dans les temps passés, expier les péchés par toutes sortes d'actions. De proche en proche, cela en est venu à ce qu'on pût expier les péchés en ce qu’on payait. Et le Pape avait, plus vite en fait que les autres, les pouvoirs temporels, très bien compris comment calculer avec les progrès des temps modernes. Il a anticipé ses revenus des temps futurs grâce au remboursement des péchés. Si on a le pouvoir de se faire payer pour les péchés commis par les humains afin qu’ils soient remis, cela signifie un encaissement futur bien impressionnant. Et quand cela est ainsi sécurisé, comme quelque chose peut être sécurisé par la foi des humains, alors cela signifie un encaissement très sûr. C'est pourquoi le plus grand établissement bancaire des siennois a considéré cela comme une affaire sûre, de vendre pour le pape à l'humanité, tant et tant des futures indulgences pour les pêchers. [175] Le pape recouvra des sommes énormes d'un établissement bancaire siennois tandis qu'il utilisait déjà bien cet argent. Et l’établissement bancaire s'embaucha le Tetzel pour recouvrer ces sommes. Il se déplaçait alors dans les pays d'Europe centrale et recouvra de nouveau les sommes pour l’établissement bancaire de Sienne. Vous voyez, l'église a extraordinairement bien compris comment calculer avec les circonstances des temps modernes. Cela est aussi l'histoire ! Cette histoire doit absolument être considérée. L'humain économique montait. L'église était là. Mais finalement, l'administration des affaires spirituelles avec l'aide de l’établissement bancaire siennois et son dispositif de recouvrement, ses agents, est donc quand même seulement un masque pour le réellement spirituel. Et quand vous étudiez l'histoire plus récente, ainsi vous trouverez déjà, que cela a une signification profonde quand on parle de ce que l'humain économique devint le régnant. Le pape est seulement resté un souverain si fort par ce qu'il a compris au moment adéquat comment devenir un humain économique, qu'il s’accommoda du type économique.
Oui, le type économique a prévalu depuis la Réforme. Il a dissous l'ancien type du prêtre. Au XIXe siècle, l'humanité générale était seulement aussi loin qu'était l'église, qui a bien mieux compris le progrès, déjà à l'époque de la Réforme. Mais le type économique humain régna seulement jusque dans le XIXe siècle. Au XIXe siècle, à nouveau un autre type devint régnant. Quand on parle de ce qu'il devint régnant, ce type, ainsi cela signifie que les influences donnant la mesure dans la structure sociale dépendent de ce type. Au XIXe siècle, dans la première, la deuxième décennie du XIXe siècle était alors prévalant l'usurier, je veux dire, le banquier. Si vous cherchiez notamment une définition appropriée du banquier, alors l'histoire sent extrêmement le roussi. Quand notamment à partir de soubassements vraiment socio-économiques on établit une définition - on évite cela très volontiers – des banquiers, des grands et des petits, alors on ne devrait pas en même temps chercher après une définition de l'usurier. Car ces deux définitions se ressembleront l'une l'autre ; elles peuvent seulement se ressembler l'une l'autre.





Mais c'est quelque chose que la nouvelle humanité a justement soigneusement surveillé ainsi qu’un secret, comme certaines sociétés secrètes, leurs « signes » et « paroles ». On n’a pas répandu cela ainsi vers dehors parmi l’humanité générale. Cela est resté un secret dans la vie sociale. Le banquier devenait le régnant. Et quand on recherche comment la structure sociale s’est développée au cours du XIXe siècle, alors on trouve, qu’avec la deuxième décennie du XIXe siècle le banquier, ce type économique spécial, qui gère seulement l'économie avec l’argent, c’est, celui maintenant, tout de suite ainsi qu’autrefois l’humain économique, qui exerce son influence donnant la mesure en large circonférence sur tout ce qui se révèle comme structure sociale, sur toutes les lois des pays et ainsi de suite. Il est très important de voir au travers de ces rapports, il est très important de voir au travers de ce que l’humain, de type économique, devient régnant depuis la Réforme, que le banquier devient régnant depuis le début du XIXe siècle. Et on ne peut pas comprendre les affaires publiques du monde civilisé des temps les plus récents quand on ne voit pas en elles une histoire du pouvoir du système bancaire. Vers la fin du XIXe siècle est alors survenu ce que j’ai déjà expliqué dans mon cycle de conférence de 1908 à Nürnberg : dans la première moitié du XIXe siècle et encore quelque peu dans la deuxième moitié, le porteur/le détenteur de l’argent était le régnant ; mais alors se transforma ce principe régnant ainsi que l’argent en tant que tel régna. Mais dans la première moitié du XIXe siècle, l’humain particulier comme banquier, était encore le régnant. J’ai illustré cela par un exemple, si vous vous souvenez. Je vous ai raconté, comment le Rotschild parisien devait une fois être « pompé », maintenant donc, par le roi de France. N’est-ce pas, quand le Rotschild parisien devait être pompé par le roi de France, ainsi cela trahi déjà un peu qui est le régnant en fait. Maintenant, les rois ne pompent pas directement, n’est-ce pas. Pendant que le roi y envoyait son ministre – on appelle donc « ministre des finances » ce genre de ministre de l’économie –Rotschild avait justement à faire avec un marchand de cuir. Le serviteur dit au ministre, envoyé du roi de France, qu’il devait attendre dans l’antichambre. Cela apparu naturellement comme quelque chose de complètement inhabituel au ministre du roi de France, qu’il devait attendre pendant que Rotschild traitait avec un marchand de cuir. [177] Il devait attendre ? Il n’attend pas, mais arrache la porte : je viens à vous au nom du roi de France.
- S'il vous plaît, prenez-vous un siège -, dit Rothschild. C'était complètement incompréhensible au ministre. Oui, mais je suis l'ambassadeur du roi de France ! – Prenez deux sièges et asseyez-vous ! Voyez-vous, là le banquier individuel particulier était encore le dirigeant. Cela passa progressivement dans le règne des actions, des billets d’argent en tant que tels. Et nous sommes donc progressivement placés dans la période dans laquelle le possesseur particulier d'argent n'est plus l'essentiel, mais l'abstrait, le capital amassé. L’un peut encore aujourd'hui être une fois riche, demain pauvre. L'humain lui-même roule vers en haut et roule vers en bas. La société par actions, l'abstraite - j'ai exposé cela dans le temps en 1908 à Nuremberg -, est ce qui était devenu régnant.



Mais avec cela l’évolution humaine a atteint un extrême, un extrême le plus extérieur. Car, aussitôt que l'argent règne comme tel, dès que l'argent est le moteur propulsant réel, le temps est accompli dans lequel devront être dissous/détaché, j’aimerais dire, les purs chiffres nus dans l'argent par des/les réalités. Maintenant, l'argent est le plus spirituel de l'économie. C'est ce qui, de l'économie, peut seulement être saisi spirituellement. Cela a donc aussi seulement une valeur spirituelle, l'argent, seulement une valeur dans la reconnaissance humaine. On peut certes manger du pain et de la viande, mais on ne peut pas manger de l'argent. On peut vraiment acquérir quelque chose d'utilisable pour les humains par l'argent, quand l'argent est reconnu. Il a purement une valeur d’âme/psychique, spirituelle, une valeur de concept, une valeur de représentation. Le temps est justement accompli ; il doit arriver/s'introduire que l’évolution tourne du pur économique spirituel de l'argent au véritablement saisi en esprit. Et ce qui devrait être promu par la tri-articulation comme compréhension sociale, c'est ce qui doit immédiatement se rattacher au règne de l'économique le plus abstrait, de l'argent. Car aussi sombre, aussi crépusculaire que vit, comme j'ai décrit, la compréhension sociale parmi les humains, aussi claire elle doit en fait devenir. Car pensez-vous une fois, cela (voir dessin) serait une vie humaine du présent de la naissance à la mort. [Planche IX]
Cette vie serait vécue ainsi que l’humain s’acquiert de la compréhension sociale qu'il a, que vraiment la vie sociale, la structure sociale ne seraient pas construites sur la validité de l’argent, mais sur la compréhension sociale. Alors l’humain irait par la porte de la mort, passer par le temps jusqu'à la prochaine naissance, et alors à nouveau vivrait pleinement sa vie de la naissance à la mort. Ce que l’humain s’acquiert ici entre la naissance et la mort de compréhension sociale, cela repose donc aussi intérieurement en lui. Cela va avant tout dans la volonté dormante dont j'ai parlé hier ; cela sera porté à travers la porte de la mort. Ainsi, l’humain porte sa compréhension sociale à travers la porte de la mort jusqu'au minuit des mondes et le porte à nouveau par la naissance dans la prochaine vie terrestre. Que devient maintenant cette compréhension, que l'on s’acquiert par compréhension sociale, dans la prochaine vie terrestre ? - C'est la grande question qui doit être soulevée aujourd'hui. Cela devient la compréhension pour le karma. Cela signifie nous avons atteints présentement dans le cours historique mondial de l'évolution humaine, l'époque de temps dans laquelle l'humanité doit s’acquérir de la compréhension sociale. Car cette compréhension sociale livre, pour la prochaine incarnation, la compréhension pour le karma. Mais aucun homme ne peut s’acquérir de la compréhension sociale autrement qu’il s’acquiert de la compréhension pour le spirituel.

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175 Johann Tetzel autour de 1465-1519, Dominicains. Mandataire pour le fonctionnement des indulgences en Allemagne, sous-commissaire pour les indulgences pontificales. Maison de banque de Sienne: le banquier siennois Agostino Chigi (environ 1465-1520) était banquier de la cour du pape Léon X.

Ich habe Ihnen gesagt, daß gewissermaßen die erste Etappe auf diesem Wege zu einem solchen Verständnis, wie es für die Gegenwart und für die nächste Zukunft notwendig ist, diese war, daß sich
mit der Reformation heraufentwickelt hat die Herrschaft des ökonomischen Menschen. Ich habe Sie darauf verwiesen, wie in alten Zeiten der Eingeweihte, der Initiierte geherrscht hat, wie dann der Priester geherrscht hat, und wie dann seit der Mitte des 15. Jahrhunderts der ökonomische Mensch zu dem Herrschenden geworden ist. Seit der Reformation mußten diejenigen, die sonst Purpurmantel trugen und Herrscher vorstellten, die Puppen werden der ökonomischen Menschen, wenn sie herrschen wollten. In Wahrheit haben immer mehr und mehr seit der Mitte des 15. Jahrhunderts die ökonomischen Menschen geherrscht, diejenigen Menschen, die die Ökonomie der verschiedenen Territorien der Erde besorgten. Wenn dem Namen nach andere herrschten, so war das nur eben dem Namen nach, und die Regierungen wurden im Grunde genommen ganz durchdrungen von den ökonomischen Prinzipien. Man redet natürlich nicht gerne davon, daß man alles dasjenige, was man tut seit der Reformation, unter wirtschaftlichem Gesichtspunkte tut. Man redet von Idealen und so weiter. Aber das sind für den Vertreter der wirklichen Geschichte nur Masken. Um nicht gar zu sehr den Schleier zu lüften, wurden auch seit der Reformation noch Kultusminister, Unterrichtsminister, Justizminister und so weiter bestellt. Aber die alle waren eigentlich nur etwas schwächer nuancierte Wirtschaftsminister. Wer auf die Realitäten geht, der kann das schon sehen, höchstens daß sie alte Überlieferungen übertrugen, aber im wesentlichen doch unter wirtschaftlichen Rücksichten.
In dieser Beziehung hat die katholische Kirche eigentlich verstanden, gerade im Zeitalter der Reformation recht zeitgemäß zu sein.
Die katholische Kirche hat im Grunde genommen in dem Aufgange des Reformationszeitalters am besten verstanden, den Fortschritt ganz im Sinne des neueren ökonomischen Prinzips zu besorgen. Man braucht ja nur eine Tatsache aus den anderen Tatsachen herauszugreifen. Bis zu dieser Zeit hatte es die Kirche dahin gebracht, nahe aneinanderzurücken höchste geistige Angelegenheiten und trivialste weltliche Angelegenheiten. Man konnte in alten Zeiten Sünden abbüßen durch allerlei Taten. Nach und nach ist es dahin gekommen, daß man Sünden abbüßen konnte dadurch, daß man bezahlte. Und der Papst hat es, schneller eigentlich als die anderen, die weltlichen Mächte, sehr gut verstanden, mit dem Fortschritt der neueren Zeit zu rechnen. Er hat vorausgenommen seine Einkünfte der späteren Zeit aus dem Abbüßen der Sünden. Wenn man die Macht hat, daß einem bezahlt werden die von den Menschen begangenen Sünden dafür, daß sie erlassen werden, so bedeutet das eine ganz gewaltige zukünftige Einnahme. Und wenn diese so gesichert ist, wie etwas gesichert sein kann durch den Glauben der Menschen, dann bedeutet es eine sehr sichere Einnahme. Das größte Bankhaus der Sieneser hat es deshalb als ein sicheres Geschäft angesehen, dem Papst so und so viel von den künftigen Sündenabbüßungen der Menschheit abzukaufen.  [175] Der Papst bezog, während er diese Gelder schon gut verwendete, von einem Sieneser Bankhaus Riesensummen. Und das Bankhaus stellte sich den Tetzel an zum Eintreiben dieser Summen. Der zog dann in den Ländern Mitteleuropas herum und trieb die Summen wieder ein für das Sieneser Bankhaus. Sie sehen, die Kirche hat es außerordentlich gut verstanden, mit den Verhältnissen der neueren Zeit zu rechnen. Das ist auch Geschichte ! Diese Geschichte muß durchaus ins Auge gefaßt werden. Der ökonomische Mensch kam herauf. Die Kirche war da. Aber schließlich ist ja die Verwaltung der geistlichen Angelegenheiten mit Hilfe des Sieneser Bankhauses und seines Eintreibers, seines Agenten, für das eigentlich Geistliche doch nur eine Maske. Und wenn Sie die neuere Geschichte studieren, so werden Sie schon finden, daß es eine tiefe Bedeutung hat, wenn man davon spricht, daß der ökonomische Mensch der herrschende wurde. Der Papst ist nur dadurch ein so starker Herrscher geblieben, daß er im rechten Moment verstanden hat, auch ein ökonomischer Mensch zu werden, daß er sich dem ökonomischen Typus anbequemte.
Ja, der ökonomische Typus herrschte seit der Reformation. Er löste ab den alten Priestertypus. Im 19. Jahrhundert war die allgemeine Menschheit erst so weit, wie die Kirche, die viel besser den Fortschritt verstand, schon zur Zeit der Reformation war. Aber der ökonomische Typus Mensch herrschte nur bis ins 19. Jahrhundert. Im 19. Jahrhundert wurde wiederum ein anderer Typus herrschend. Wenn man davon spricht, daß er herrschend wurde, dieser Typus, so bedeutet das, daß die maßgeblichen Einflüsse in der sozialen Struktur von diesem Typus abhängen. Im 19. Jahrhundert, in dem ersten, zweiten Jahrzehnt des 19. Jahrhunderts wurde dann maßgebend der Wucherer, will sagen: der Bankier. Wenn Sie nämlich eine sachgemäße Definition suchen würden des Bankiers, dann wird die Geschichte außerordentlich brenzlig. Wenn man nämlich aus wirklich sozial-ökonomischen Untergründen heraus eine Definition aufstellt - man vermeidet das sehr gern - des Bankiers, des großen und des kleinen, dann soll man nur ja nicht gleichzeitig suchen nach einer Definition des Wucherers. Denn diese beiden Definitionen werden einander gleichen; sie können nur sich einander gleichen.
Aber das ist etwas, was die neuere Menschheit ebenso sorgfältig als ein Geheimnis gehütet hat, wie gewisse Geheimgesellschaften ihre «Zeichen» und «Worte» gehütet haben. Man hat das nicht so unter die allgemeine Menschheit hinausgestreut. Das ist ein Geheimnis im sozialen Leben geblieben. Der Bankier wurde der Herrschende. Und wenn man untersucht, wie sich die soziale Struktur im Laufe des 19. Jahrhunderts entwickelt hat, dann findet man, daß mit dem ersten, zweiten Jahrzehnt des 19. Jahrhunderts der Bankier, dieser spezielle ökonomische Typus, der nur ökonomisiert mit dem Gelde, es ist, der nun, geradeso wie früher der ökonomische Mensch, im weiteren Umfange auf alles, was als soziale Struktur sich herausstellt, auf alle Gesetze der Länder und so weiter seinen maßgebenden Einfluß ausübt. Es ist sehr wichtig, diese Verhältnisse zu durchschauen, es ist sehr wichtig, zu durchschauen, daß der ökonomische Typus Mensch herrschend wird seit der Reformation, daß der Bankier herrschend wird seit dem Beginne des 19. Jahrhunderts. Und man kann nicht die öffentlichen Angelegenheiten der zivilisierten Welt in der neuesten Zeit verstehen, wenn man nicht in ihnen eine Geschichte der Herrschaft des Bankierwesens sieht. Gegen Ende des 19. Jahrhunderts ist dann das eingetreten, was ich 1908 in meinem Nürnberger Vortragszyklus bereits angeführt habe: In der ersten Hälfte des 19. Jahrhunderts und noch etwas hinein in die zweite Hälfte war individuell der Träger des Geldes der Herrschende; dann aber verwandelte sich dieses Herrscherprinzip so, daß das Geld als solches herrschend wurde. In der ersten Hälfte des 19. Jahrhunderts war aber der einzelne individuelle Mensch als Bankier noch Herrscher. Ich habe das durch ein Beispiel illustriert, wenn Sie sich erinnern. Ich habe Ihnen erzählt, wie der Pariser Rothschild einmal «angepumpt»werden sollte, nun ja, von dem König von Frankreich. Nicht wahr, wenn der Pariser Rothschild von dem König von Frankreich angepumpt werden sollte, so verrät das schon ein bißchen, wer eigentlich der Herrschende ist. Nun, Könige pumpen nicht direkt, nicht wahr. Während der König also seinen Minister hinschickte - «Finanzminister» nennt man ja diese Art von Wirtschaftsminister - , hatte der Rothschild gerade mit einem Lederhändler zu tun. Der Diener sagte dem abgesandten Minister des Königs von Frankreich, er solle im Vorzimmer warten. Das erschien natürlich wiederum dem Minister des Königs von Frankreich als etwas höchst Ungewöhnliches, daß er warten solle, während der Rothschild mit einem Lederhändler verhandelt. Er soll warten? Er wartet nicht, sondern reißt die Türe auf: Ich komme zu Ihnen im Auftrage des Königs von Frankreich.  - Bitte, nehmen Sie sich einen Stuhl - , sagte Rothschild. Das war dem Minister natürlich völlig unbegreiflich. Ja, aber ich bin der Abgesandte des Königs von Frankreich! -Nehmen Sie zwei Stühle und setzen Sie sich! Sehen Sie, da war noch der einzelne individuelle Bankier der Herrschende. Das ging allmählich über in die Herrschaft der Aktien, der Geldnoten als solcher. Und wir sind ja allmählich hineingesegelt in die Zeit, in der der einzelne Geldbesitzer nicht mehr das Wesentliche ist, sondern das abstrakte, zusammengehäufte Kapital. Es kann einer einmal heute reich sein, morgen arm. Der Mensch selber kugelt hinauf und kugelt hinunter. Die Aktiengesellschaft, die abstrakte - ich habe das dazumal 1908 in Nürnberg ausgeführt - , ist dasjenige, was herrschend geworden ist.
Damit aber ist die menschliche Entwickelung angelangt an einem Extrem, an einem Äußersten. Denn sobald das Geld als solches herrscht, sobald das Geld der eigentlich treibende Motor ist, ist die Zeit erfüllt, in der abgelöst werden muß, ich möchte sagen, die bloße bare Ziffer im Gelde durch Realitäten. Nun ist das Geld das Allergeistigste der Wirtschaft. Es ist dasjenige von der Wirtschaft, was nur geistig erfaßt werden kann. Es hat ja auch nur einen geistigen Wert, das Geld, nur einen Wert in der menschlichen Anerkennung. Essen kann man zwar Brot und Fleisch, aber Geld kann man nicht essen. Man kann wirklich für die Menschen Brauchbares erwerben durch Geld, wenn das Geld anerkannt ist. Es hat bloß einen seelischen, einen geistigen Wert, einen Begriffswert, einen Vorstellungswert. Es ist eben die Zeit erfüllt; es muß eintreten das,  daß umschlägt die Entwickelung von dem rein wirtschaftlich Geistigen des Geldes zu dem wirklich im Geiste Erfaßten. Und das, was durch die Dreigliederung als soziales Verständnis gefordert werden soll, das ist dasjenige, was sich unmittelbar anschließen muß an die Herrschaft des allerabstraktesten Wirtschaftlichen, des Geldes. Denn so dunkel, so dämmerig das soziale Verständnis, wie ich geschildert habe, unter den Menschen lebt, so hell muß es eigentlich werden. Denn denken Sie sich einmal, dieses (siehe Zeichnung) wäre ein Menschenleben der Gegenwart von der Geburt bis zum Tode. [Tafel 9]
Dieses Leben würde so durchlebt, daß der Mensch sich soziales Verständnis drinnen erwirbt, daß wirklich das soziale Leben, die soziale Struktur nicht gebaut wäre auf die Geldgeltung, die er hat, sondern auf soziales Verständnis. Dann würde der Mensch durch die Pforte des Todes gehen, durchleben die Zeit bis zur nächsten Geburt und dann wiederum sein Leben von der Geburt bis zum Tode durchleben. Dasjenige, was sich der Mensch hier zwischen Geburt und Tod aneignet an sozialem Verständnis, das liegt ja auch innerlich in ihm. Das geht vor allen Dingen in das schlafende Wollen hinein, von dem ich gestern gesprochen habe; das wird durch die Todespforte getragen. So daß der Mensch sein soziales Verständnis durch die Todespforte trägt bis zur Weltenmitternacht und es dann wiederum durch die Geburt ins nächste Erdenleben hineinträgt. Was wird nun dieses Verständnis, das man sich durch soziales Verständnis erwirbt, in dem nächsten Erdenleben ? - Das ist die große Frage, die heute schon aufgeworfen werden muß. Das wird das Verständnis für das Karma. Das heißt, wir haben im weltgeschichtlichen Verlauf der Menschheitsentwickelung gegenwärtig die Zeitepoche erreicht, in welcher die Menschheit sich soziales Verständnis erwerben muß; denn dieses soziale Verständnis liefert für die nächste Inkarnation das Verständnis für das Karma. Aber es kann sich kein Mensch soziales Verständnis erwerben anders, als daß er sich Verständnis für das Geistige erwirbt.

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175 Johann Tetzel, um 1465-1519, Dominikaner. Beauftragter für das Betreiben des Ablaßhandels in Deutschland, Unterkommissar für den päpstlichen Ablaßpächter. Sieneser Bankhaus: Der Sieneser Bankier Agostino Chigi (um 1465-1520) war Hofbankier von Papst Leo X.