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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




Mondanités : le banquier juif chez le chanoine catholique qui annote le Goethe scientifique.

Mondanités: der jüdische Bankier im katholischen Domherr, der den wissenschaftlichen Goethe kommentiert.

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 163 071-073 () 20/06/1916

Original





Traducteur: FG Éditeur: SITE
Là vous avez une caricature de ce que je vous ai donc dit, comme il a un empire dans l'Imperio, un petit cercle, qui rayonne de son pouvoir dans l'autre. Seulement l'Anglais se présente à lui, et Franz avec lui, comme une communauté de rabbin  et de monsignores ; là sont maintenant tout de suite ceux qui ne sont pas là-dedans! Mais vous voyez, il tâtonne seulement ainsi à travers. Pourquoi tâtonne-t-il en fait ? Oui, il se rappelle une fois de nouveau les caprices fantaisistes de l'Anglais: « Et bien plus tard, il est venu aux idées si peut-être quelqu'un à qui ce genre de compétences ne serait pas inné, deviennent leurs associés en participant, si on pourrait s'éduquer à de telles forces, si elles peuvent être apprises par entraînement. Mais les exercices théosophiques l'on bientôt déçu... » Ceux-là il les a abandonnés ! Vous voyez, il y a en notre présent, un tel tâtonner, tâtonnement. Des gens comme Bahr, viennent en un âge élevé, alors ils arrivent là-dessus, et alors ils se font des représentations grotesques. Une telle représentation grotesque est encore contenue là. Oui, voyez-vous, là ce Franz est maintenant invité en son pays chez un chanoine. Ce chanoine est une personnalité très mystérieuse, un chanoine salzbourgeois , qui a une grande importance à Salzbourg- la ville de Salzbourg n'est pas mentionnée, mais on la reconnaît seulement - une plus grande importance que le cardinal ; car la ville entière ne parlent plus du cardinal, mais du chanoine : du chanoine, bien qu'il y ai une douzaine de chanoines, mais on parle du chanoine, ainsi que le Franz a donc parfois ainsi l'idée s'il n'est pas lui-même un tel de la Loge blanche. Vous savez donc, on peut facilement venir à de telles vues. Maintenant, là il est une fois invité dans une réception chez le chanoine, le Franz. Là sont maintes gens, et le chanoine est vraiment un homme très tolérant car pensez qu'il est chanoine catholique et s'est invité ensemble le banquier juif avec un jésuite, le Franz et quelques autres, et avec un moine franciscain. C’est un déjeuner amusant. Le banquier juif est notabene un banquier, auquel presque tous les gens sont obligés d’un quelque remerciement tintant, mais qui fait tout ça vraiment désintéressé, car il n'exige généralement pas du tout qu’on lui rende de nouveau ce qu’apparemment on emprunte de lui, mais il veut juste être invité tous les ans chez un Seigneur tel que le chanoine; cela le rend heureux. Et bientôt le Jésuite et ce banquier juif sont dans une conversation que cela devient trop fort au Franz. Il s'en va, parce qu'ils font maintenant des blagues vraiment honteuses, il va à la bibliothèque, et le chanoine le suit. «Elle» - la bibliothèque - « n'était pas grande, mais choisie. De théologie seulement tout de suite le nécessaire, les Bollandistes, beaucoup de franciscains, Maître Eckhart, les exercices spirituels, Catherine de Gênes, la mystique de Gorres et la symbolique de Mohler. La philosophie déjà plus: tout Kant, y compris les écrits de la Société Kant, Upanishads de Deussen et son histoire de la philosophie, la philosophie du comme si  de Vaihinger, et beaucoup d'épistémologique. Ensuite, les classiques grecs et romains, Shakespeare, Calderon, Cervantes, Dante, Machiavel et Balzac dans l'original, mais des Allemands seulement Novalis et Goethe, celui-là dans différentes éditions, ses écrits de science de la nature dans celle de Weimar. Franz en pris un volume et trouva de nombreuse remarques marginales de la main du chanoine, qui à ce moment-là délaisse le jeune moine et le jésuite et se dirigea vers lui. Il a dit: « Oui, les écrits de science de la nature de Goethe personne ne les connaît ». Maintenant, ce qui est caractéristique, c'est ce que le chanoine trouve caractéristique aux écrits scientifiques de Goethe, c'est aussi bien d'un côté, ce qui est maintenant vraiment à l'intérieur et ce que le chanoine éclaire maintenant aussi parce qu'il est vraiment un chanoine catholique.





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Da haben Sie eine Karikatur von dem, was ich Ihnen ja gesagt habe, wie es gleichsam ein Imperium in Imperio gibt, einen kleinen Kreis, der in die anderen seine Macht ausstrahlt. Nur stellt sich ihn der Engländer vor, und der Franz mit ihm, als eine Gemeinschaft der Rabbiner und Monsignori; das sind nun gerade diejenigen, die nicht darinnen sind! Aber Sie sehen, er tappt sich nur so durch. Warum tappt er denn eigentlich? Ja, er erinnert sich einmal wieder der schwärmerischen Schrullen des Engländers: «Und viel später erst war er auf den Gedanken gekommen, ob denn nicht vielleicht auch jemand, dem derlei Fähigkeiten nicht angeboren wären, ihrer teilhaftig werden, ob man sich zu solchen Kräften erziehen, ob man sie durch Training erlernen könnte. Aber die theosophischen Übungen hatten ihn bald enttäuscht ...» Die hat er aufgegeben! Sehen Sie, es gibt in unserer Gegenwart ein solches Tappen, Tasten. Menschen wie Bahr, sie kommen ins höhere Alter, da kommen sie darauf, und dann machen sie sich groteske Vorstellungen. Eine solche groteske Vorstellung ist da noch enthalten. Ja, sehen Sie, da ist nun dieser Franz eingeladen in seiner Heimat bei einem Domherrn. Dieser Domherr ist eine ganz geheimnisvolle Persönlichkeit, Salzburger Domherr, der in Salzburg eine große Wichtigkeit hat - die Stadt Salzburg ist nicht genannt, man erkennt sie nur -, eine größere Wichtigkeit als der Kardinal; denn die ganze Stadt spricht nicht mehr von dem Kardinal, aber von dem Domherrn:
Der Domherr, obwohl es dort ein Dutzend Domherren gibt, aber von dem Domherrn spricht man, so daß der Franz manchmal so die Idee hat, ob der nicht selber so einer ist von der weißen Loge. Sie wissen ja, man kann leicht zu solchen Anschauungen kommen. Nun, da ist er einmal in eine Gesellschaft beim Domherrn eingeladen, der Franz. Da sind manche Leute, und der Domherr ist wirklich ein sehr toleranter Mann, denn denken Sie, er ist katholischer Domherr und hat sich den jüdischen Bankier mit einem Jesuiten, dem Franz und einigen anderen und mit einem Franziskanermönch zusammen eingeladen. Es ist ein lustiges Mittagsmahl. Der jüdische Bankier ist notabene ein Bankier, dem fast alle Leute zu irgendwelchem klingenden Dank verpflichtet sind, der das aber wirklich alles selbstlos tut, denn er fordert in der Regel gar nicht, daß man ihm das wieder zurückgibt, was man sich scheinbar ausleiht von ihm, sondern er will nur alle Jahre bei so einem Herrn, wie der Domherr ist, eingeladen sein; das macht ihm Freude. Und bald sind der Jesuit und dieser jüdische Bankier in einem Gespräch darinnen, daß es dem Franz zu stark wird. Er geht weg, weil sie nun wirklich schon schändliche Witze machen, geht an die Bibliothek, und der Domherr geht ihm nach. «Sie» - die Bibliothek - «war nicht groß, aber gewählt. Von Theologie nur gerade das Nötigste, die Bollandisten, viel Franziskanisches, Meister Eckhart, die geistlichen Übungen, Katharina von Genua, die Mystik von Görres und Möhlers Symbolik. Philosophie schon mehr: der ganze Kant, samt den Schriften der Kantgesellschaft, Deussens Upanischaden und seine Geschichte der Philosophie, Vaihingers Philosophie des Als Ob, und sehr viel Erkenntniskritisches. Dann die griechischen und römischen Klassiker, Shakespeare, Calderon, Cervantes, Dante, Macchiavell und Balzac im Original, aber von Deutschen nur Novalis und Goethe, dieser in verschiedenen Ausgaben, seine naturwissenschaftlichen Schriften in der Weimarer. Einen Band davon nahm Franz und fand viele Randbemerkungen von der Hand des Domherrn, der in diesem Augenblick den jungen Mönch und den Jesuiten verließ und zu ihm trat. Er sagte: <Ja die naturwissenschaftlichen Schriften Goethes kennt niemand>.» Nun ist es charakteristisch, was der Domherr an den naturwissenschaftlichen Schriften Goethes findet, charakteristisch sowohl nach der einen Seite, nach dem, was nun wirklich drinnen ist und dem Domherrn nun auch davon aufleuchtet, wie demjenigen, was dem Domherrn nun aufleuchtet, weil er wirklich ein katholischer Domherr ist.