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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 201 - La rente foncière / Die Grundrente
Minimum d'existence hors salariat, cellule économique originelle et formation de prix.  

 

 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA337a 081-082 (1999) 30/05/1919

Original

Traducteur: FG Editeur: SITE

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Minimum d'existence hors salariat, cellule économique originelle et formation de prix.  

 

 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA337a 081-082 (1999) 30/05/1919

Original

Traducteur: FG Editeur: SITE

Il y a maintenant encore quelques autres questions par écrit, par exemple la question suivante :


Dans l'organisme social triarticulé, le travail humain va perdre le caractère de la marchandise.Un salaire au sens qu’il a eu jusqu'à présent, il n’y en aura plus. Aux travailleurs d'une entreprise reviendra par contrat une partie du bénéfice total de l'entreprise concernée, une autre partie appartiendra aux préposés et au dirigeant d'entreprise. De quelle manière sera maintenant veillé à ce qu’aux travailleurs reste assurée une sorte de minimum d’existence, par exemple, lors d’une faible capacité de gain d'une entreprise particulière ?


Cette question est traitée dans mon livre, et je n'ai ici qu’à remarquer que la question, quand vraiment les trois membres de l'organisme social sain existent, est alors dans le sens le plus éminent une question économique, et que par la socialisation de la vie économique, une grande question pratique se constituera pour ces administrations, lesquelles seront actives au sein de l'organisme économique. Essentiellement, aimerai-je dire, cette question se réduit à ce qui suit: Ce qu’on nomme aujourd’hui un minimum d’existence, cela est toujours encore pensé sur le rapport salarial. Ce type de pensée qui ne peut se produire de la même manière dans la vie économique autonome. Là la question devra être proprement placée hors de la vie économique. Cette question se posera alors ainsi, que l'humain, en ce qu’il accomplit une quelque prestation, en ce qu’il produit quelque chose, aura a recevoir par échange pour cette prestation autant à d’autres prestations d'humanité qu’il a besoin pour satisfaire ses besoins et aux besoins de ceux qui font partie de lui jusqu'à ce qu'il a produit un nouveau produit similaire. À cela doit seulement entrer en ligne de compte tout ce que l'humain a à fournir en travail et semblable pour sa famille. Alors on trouvera, une certaine, j’aimerais dire, cellule originelle de la vie économique. Et ce que fera cette cellule primordiale de la vie économique à ce que justement l’humain laissera satisfaire ses besoins jusqu'à ce qu'il produise un nouveau produit similaire, cela vaut pour toutes les branches de la vie spirituelle et matérielle. Ce sera à organiser ainsi afin que les associations, les coalitions, les coopératives de la sorte, comme je l'ai déjà exposé à l’instant, aient à veiller que cette cellule primordiale de la vie économique puisse exister. 

Cela signifie que tout produit en comparaison à d'autres produits, a cette valeur qui équivaut aux autres produits, dont on a besoin pour la satisfaction des besoins jusqu'à la production d’un nouveau produit similaire.Que cette cellule primordiale de la vie de l’économie n'existe pas encore aujourd'hui, cela repose justement sur cela que dans l'offre et la demande du marché actuel fluent ensemble travail, marchandise et droit, et que ces trois domaines doivent être séparés à l'avenir dans un organisme social sain, divisé en trois.

Es liegen nun noch ein paar andere schriftliche Fragen vor, zum Beispiel die Frage:

Im dreigliedrigen sozialen Organismus wird die menschliche Arbeitskraft den Charakter der Ware verlieren. Einen Lohn in seitherigem Sinne wird es nicht mehr geben. Den Arbeitern eines Betriebes wird ein vertraglich zu vereinbarender Teil des Gesamtertrages des betreffenden Betriebes zukommen, ein anderer Teil wird den Angestellten und dem Betriebsleiter gehören. Auf welche Weise wird nun dafür gesorgt sein, daß dem Arbeiter eine Art Existenzminimum gesichert bleibt, zum Beispiel bei geringer Ertragfähigkeit eines einzelnen Betriebes?

Diese Frage ist in meinem Buch behandelt, und ich habe hier nur zu bemerken, daß die Frage im eminentesten Sinne dann, wenn wirklich die drei Glieder des gesunden sozialen Organismus bestehen, eine Wirtschaftsfrage ist und daß durch die Sozialisierung des Wirtschaftslebens eine große praktische Frage für diejenigen Verwaltungen entstehen wird, welche innerhalb des Wirtschaftskörpers tätig sein werden. Im wesentlichen, möchte ich sagen, reduziert sich diese Frage auf das folgende: Dasjenige, was man heute ein Existenzminimum nennt, das ist noch immer auf das Lohnverhältnis hin gedacht. Diese Art des Denkens, die wird beim selbständigen Wirtschaftsleben nicht in derselben Weise stattfinden können. Da wird die Frage reinlich aus dem Wirtschaftsleben heraus gestellt werden müssen. Diese Frage wird sich dann so stellen, daß der Mensch, indem er irgendeine Leistung vollbringt, indem er irgend etwas hervorbringt, für diese Leistung so viel an anderen Menschheitsleistungen durch Austausch wird zu bekommen haben, als er nötig hat, um seine Bedürfnisse und die Bedürfnisse derjenigen, die zu ihm gehören, zu befriedigen, bis er ein neues, gleichartiges Produkt hervorgebracht hat. Dabei muß nur in Anrechnung kommen all das, was der Mensch für seine Familie an Arbeit und dergleichen zu leisten hat. Dann wird man eine gewisse, ich möchte sagen Urzelle des Wirtschaftslebens finden. Und dasjenige, was diese Urzelle des Wirtschaftslebens zu dem machen wird, was eben den Menschen seine Bedürfnisse wird befriedigen lassen, bis er ein gleichartiges, neues Produkt hervorbringt, das gilt für alle Zweige des geistigen und materiellen Lebens. Das wird so zu ordnen sein, daß die Assoziationen, die Koalitionen, die Genossenschaften von der Art, wie ich sie vorhin dargestellt habe, zu sorgen haben werden, daß diese Urzelle des Wirtschaftslebens bestehen kann. Das heißt, daß ein jegliches Produkt im Vergleich mit anderen Produkten denjenigen Wert hat, der gleichkommt den anderen Produkten, die man braucht zu Befriedigung der Bedürfnisse bis zur Herstellung eines neuen, gleichartigen Produkts. Daß diese Urzelle des Wirtschaftslebens heute noch nicht besteht, das beruht eben darauf, daß im Angebot und Nachfrage des heutigen Marktes zusammenfließen Arbeit, Ware und Recht und daß diese drei Gebiete in der Zukunft getrennt werden müssen im dreigeteilten, gesunden sozialen Organismus.