Ecole libre Waldorf

Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 111 - Qu'est-ce qu'une école libre ?



Sujet : L'organe central d'administration pousse l'enfant particulier au centre.

 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA310 Arnheim, 21. juillet 1924





Traducteur: FG Editeur: SITE
Tout d’abord je voudrais indiquer que l’âme de tout enseigner et éduquer dans l’école Waldorf est tout d’abord ces conférences de professeurs, lesquelles seront régulièrement tenues par le collègue des professeurs et auxquelles j’assiste quand je peux moi-même être à Stuttgart. Ces conférences de professeurs ne s’occupent maintenant pas purement avec ce que sont des institutions extérieures de l’école, quelque peu avec la rédaction du plan scolaire, avec l’articulation des classes et ainsi de suite, mais elles s’occupent d’une manière détaillée de la vie entière de l’école et avec tout ce qui devrait doter d’âme cette vie de l’école. Maintenant, l’école est donc aménagée sur fournir enseignement et éducation sur la base de la connaissance de l’individualité unique de l’enfant. De là l’observation, l’observation psychologique de l’individualité de l’enfant forme un moment essentiel dans tout le façonnement du cours dans le détail, dans le concret. Dans les conférences de professeurs sera parlé ainsi sur l'enfant particulier/unique que justement dans cette individualité particulière sera tenté de saisir l’essence de la nature humaine qui est donnée dans l’enfant. Vous pouvez vous penser qu’on a là, devant soi, tous les degrés et sortes de capacité enfantines et forces d’âme enfantine. On a tout devant soi qui est disponible dans l’humain enfantin de ce qu’on aimerait dire de mauvaise qualité psychologique-physiologique jusqu’en haut – espérons-le confirmé par la vie – de génialité.
Quand on veut observer des enfants d’après leur véritable essence, alors il s’agit avant tout d’acquérir le coup d’œil psychologique pour l’observation d’enfants. Ce coup d’œil psychologique n’inclut pas seulement une observation grossière des facultés enfantines particulières, mais avant toutes choses une valorisation de ces facultés enfantines. Car vous devez seulement penser ce qui suit : on peut avoir un enfant devant soi qui semble extraordinairement doté en rapport à apprendre à lire ou écrire, qui semble très doté en rapport, par exemple, à apprendre à calculer ou apprendre des langues. Mais rester debout à se dire : cet enfant est doté, car il apprend facilement des langues, apprend facilement à calculer et ainsi de suite – c’est une superficialité psychologique.
Dans l’âge enfantin, quelque peu de 7, 8 ou 9 ans, la facilité avec laquelle l’enfant apprend peut signifier qu’une fois sera un génie ; elle peut justement aussi bien signifier qu’il deviendra un malade des nerfs ou n’importe comment un autre humain malade. Quand on a un coup d’œil dans ce que donc l’entité humaine en dehors du corps physique qui s’offre aux yeux, porte aussi encore le corps éthérique, lequel repose à la base des forces de croissance et d’alimentation/nutrition, qui laisse l’enfant devenir plus grand ; quand on réfléchit plus loin que l’être humain a aussi un corps astral en soi, qui dans ses lois n’a absolument plus rien à voir avec ce qui est construisant physiquement sur la Terre, mais qui simplement déconstruit perpétuellement le physique, il détruit afin que le spirituel ait de la place ; et quand on réfléchit plus loin qu’alors l’organisation-Je est encore liée avec l’humain, ainsi qu’on doit considérer les trois plus hautes organisations – corps éthérique, corps astral, organisation-Je justement ainsi que le corps visible, on devra alors aussi pouvoir se former une représentation de combien est en fait compliquée une telle entité humaine, et comment chacun de ces membres de l’entité humaine peut œuvrer afin que sur un quelque autre domaine est disponible talent ou non talent, ou que se montre un talent illusoire, un talent passager, pathologique.
Pour cela on doit s’approprier un coup d’œil, si maintenant le talent en est un, qui va vers le sain ou qui va vers le maladif/pathologique.
Quand on représente cette connaissance des humains dont est parlé ici dans ces conférences avec l’amour, l’ardeur, et la volonté de sacrifice nécessaire, comme professeur et éducateur, alors en ressort le particulier que dans la vie en commun avec les enfants – ne comprenez pas mal le mot, il ne devrait pas signifier un renommage – devient toujours de plus en plus sage. On le trouve pour ainsi dire soi-même comment on a à évaluer une quelque faculté ou accomplissement d’un enfant. On apprend à se vivre entièrement dedans la nature de l’enfant et relativement vite à se vivre dedans. Je sais que maint dira vite : quand tu prétends là que l’humain en dehors de son corps visible a encore les membres suprasensibles, corps éthérique, corps astral et organisation-Je, ainsi seulement l’humain clairvoyant pourrait être professeur, qui peut regarder ces membres suprasensibles de la nature humaine. Mais cela n’est pas le cas. Tout ce qui par imagination, inspiration et intuition pourra être regardé à l’humain, comme je l’ai maintenant décrit dans mes livres, cela peut, parce que cela s’exprime partout chez l’enfant dans l’organisation physique, aussi être jugé à l’organisation physique. Pour cela est aussi absolument disponible la possibilité qu’un professeur ou un éducateur, qui exerce simplement sa profession d’une manière pleine d’amour sur la base d’une connaissance des humains englobante, peut parler pour cela ainsi que dans un cas précis/déterminé il dise par exemple :
Ici est disponible que l'enfant est entièrement sain en rapport à son Je, son corps astral et aussi en rapport a son corps éthérique, mais le corps physique montre en lui des durcissements, des raidissements, ainsi que l’enfant ne peut développer ses facultés qu’il a de disposées dans le spirituel parce que le corps physique est un obstacle. Et c’est pourquoi le cœur de l’école Waldorf est la conférence de professeur, ce sont les conférences de professeurs qui de temps en temps seront toujours tenues. Quand moi-même je peux être à Stuttgart, elles se passent sous ma direction, mais sinon ces conférences de professeurs ont lieu aussi à des intervalles relativement courts.
Là sera vraiment tout traité jusque dans le détail par l’ensemble de la compagnie de professeurs sur l’ensemble de l’école, ce dont le professeur particulier peut faire comme expériences dans sa classe. Ainsi que ces conférences de professeurs ont la tendance de façonner perpétuellement l’école comme un organisme entier, comme le corps humain est un organisme par ce qu’il a un cœur. Là il s’agit toutefois dans ces conférences de professeurs, beaucoup moins de principes abstraits, mais partout chez les enseignants de la bonne volonté à la vie commune, de la retenue de chaque sorte de rivalité. Et avant toutes choses il s’agit, à cause de cela, que quelque chose, que l’autre utilise, on peut seulement avancer/formuler, quand on a l’amour correspondant à chaque enfant particulier. Mais je pense en cela pas cet amour, dont on parle souvent, mais cet amour qu’on a tout de suite comme professeur artistique.
Cet amour, il a encore une autre nuance que l’amour ordinaire. Il est donc à nouveau une autre nuance, mais qui comme humain peut avoir cependant sincèrement pitié des humains malades, a tout d’abord l’amour humain universel/général. Mais pour traiter un malade, on doit aussi – s’il vous plaît ne comprenez pas cela mal, mais c’est ainsi – pouvoir avoir l’amour pour la maladie. On doit aussi pouvoir parler d’une belle maladie. Elle est naturellement très grave pour le patient, mais elle est pour celui qui doit la traiter, une belle maladie. Sous circonstances, elle peut être une maladie superbe. Elle aimerait être très grave pour le patient, mais elle est pour celui qui doit s’interposer, qui doit pouvoir la traiter avec amour, une superbe maladie. Et ainsi est aussi un garçon complètement bon à rien, un « Strick », comme on dit en Allemagne, qui est sous circonstances par la façon dont il vit sa condition de « Strick », comme il est grave, comme il est bon à rien, de temps à autre ainsi extraordinairement intéressant, qu’on peut l’aimer extraordinairement.
 Zunächst möchte ich dieses andeuten, daß die Seele alles Unterrichtens und Erziehens in der Waldorfschule zunächst die Lehrerkonferenz ist, jene Lehrerkonferenzen, welche regelmäßig vom Lehrerkollegium abgehalten werden und denen ich beiwohne, wenn ich selber in Stuttgart sein kann. Diese Lehrerkonferenzen befassen sich nun nicht bloß mit demjenigen, was äußere Schuleinrichtungen sind, etwa mit der Abfassung des Lehrplanes, mit der Gliederung der Klassen und so weiter, sondern sie befassen sich in einer eingehenden Weise mit dem ganzen Leben der Schule und mit allem, was dieses Leben der Schule beseelen soll. Nun ist ja die Schule daraufhin eingerichtet, Unterricht und Erziehung zu leisten auf Grundlage von Menschenerkenntnis, das heißt aber dann, auf Grundlage der Erkenntnis der einzelnen Kinderindividualitäten. Daher bildet die Beobachtung, die psychologische Beobachtung der Kinderindividualitäten ein wesentliches Moment in der ganzen Ausgestaltung des Unterrichtes im einzelnen, im konkreten. In den Lehrerkonferenzen wird über das einzelne Kind so gesprochen, daß das Wesen der menschlichen Natur eben in jener besonderen Individualität erfaßt zu werden versucht wird, die in einem Kinde gegeben ist. Sie können sich denken, daß man da alle Grade und Arten von kindlichen Befähigungen und kindlichen Seelenkräften vor sich hat. Man hat da alles vor sich, was im kindlichen Menschen vorhanden ist von der, man möchte sagen psychologisch-physiologischen Minderwertigkeit bis hinauf - hoffentlich bestätigt das das Leben - zur Genialität.

Wenn man Kinder beobachten will nach ihrer wirklichen Wesenheit, dann handelt es sich vor allem darum, daß man den psychologischen Blick für die Kinderbeobachtung sich erwirbt. Dieser psychologische Blick schließt nicht nur eine gröbere Beobachtung der einzelnen kindlichen Fähigkeiten ein, sondern vor allen Dingen eine Bewertung dieser kindlichen Fähigkeiten. Denn Sie müssen nur das Folgende bedenken: Man kann ein Kind vor sich haben, das außerordentlich begabt erscheint in bezug auf Lesen- oder Schreibenlernen, das sehr begabt erscheint zum Beispiel in bezug auf Rechnenlernen oder Sprachenlernen. Aber stehenbleiben dabei, sich zu sagen: Dieses Kind ist begabt, denn es lernt leicht Sprachen, lernt leicht Rechnen und so weiter - das ist eine psychologische Oberflächlichkeit. Im kindlichen Alter, etwa von 7, 8 oder 9 Jahren, kann die Leichtigkeit, mit der das Kind lernt, bedeuten, daß aus dem Kinde einstmals ein Genie werden wird; sie kann aber ebensogut bedeuten, daß aus ihm einmal ein nervenkranker oder irgendwie anders kranker Mensch wird. Wenn man einen Einblick darin hat, daß ja die menschliche Wesenheit außer dem physischen Leib, der sich dem Auge darbietet, auch noch den ätherischen Leib in sich trägt, der den Wachstums- und Ernährungskräften zugrunde liegt, der das Kind größer werden läßt; wenn man weiter bedenkt, daß der Mensch auch einen astralischen Leib in sich hat, der in seinen Gesetzen überhaupt nichts mehr mit dem zu tun hat, was physisch aufbauend ist auf der Erde, sondern der eigentlich das Physische fortwährend abbaut, es zerstört, damit das Geistige Platz hat; und wenn man weiter bedenkt, daß dann noch mit dem Menschen die Ich-Organisation verbunden ist, so daß man die drei höheren Organisationen - ätherischer Leib, astralischer Leib, Ich-Organisation ebenso beachten muß wie den sichtbaren physischen Leib, dann wird man sich auch eine Vorstellung davon bilden können, wie kompliziert ein solches Menschenwesen eigentlich ist, und wie jedes dieser Glieder der menschlichen Wesenheit bewirken kann, daß auf irgendeinem Gebiete Begabung oder Nichtbegabung vorhanden ist, oder eine trügerische Begabung, eine vorübergehende, krankhafte Begabung sich zeigt. Dafür muß man sich den Blick aneignen, ob nun die Begabung eine solche ist, die nach dem Gesunden hingeht oder eine solche, die etwa nach dem Krankhaften hingeht.

Wenn man diejenige Menschenerkenntnis, von der hier in diesen Vorträgen die Rede ist, mit der nötigen Liebe, Hingabe und Opferwilligkeit als Lehrer und Erzieher vertritt, dann stellt sich das Eigentümliche heraus, daß man im Zusammenleben mit den Kindern - mißverstehen Sie das Wort nicht, es soll nicht eine Renommage bedeuten - immer weiser und weiser wird. Man findet es sozusagen selber, wie man irgendeine Fähigkeit oder Verrichtung eines Kindes zu taxieren hat. Man lernt sich eben ganz hineinleben in die Natur des Kindes und verhältnismäßig schnell sich hineinleben.

Ich weiß, daß mancher sagen wird: Wenn du uns da behauptest, daß der Mensch außer seinem sichtbaren Leib noch die übersinnlichen Glieder, Ätherleib, Astralleib und Ich-Organisation hat, so könnte doch eigentlich nur der hellsichtige Mensch Lehrer sein, der diese übersinnlichen Glieder der Menschennatur schauen kann. Das ist aber nicht der Fall. Alles was durch Imagination, Inspiration und Intuition am Menschen geschaut werden kann, wie ich es in meinen Büchern beschrieben habe, das kann, weil es beim Kinde in der physischen Organisation überall sich ausdrückt, auch beurteilt werden an der physischen Organisation. Daher liegt durchaus die Möglichkeit vor, daß ein Lehrer oder Erzieher, der einfach in liebevoller Weise auf der Grundlage einer umfassenden Menschenerkenntnis seinen Beruf ausübt, davon sprechen kann, daß er in einem bestimmten Falle zum Beispiel sagt: Hier liegt vor, daß ein Kind in bezug auf sein Ich, seinen astralischen Leib und auch in bezug auf seinen ätherischen Leib ganz gesund ist; der physische Leib aber zeigt in sich Verhärtungen, Versteifungen, so daß das Kind seine Fähigkeiten, die es im Geistigen veranlagt hat, nicht herausbilden kann, weil der physische Leib ein Hindernis ist.

Und deshalb ist das Herz der Waldorfschule, wenn ich von ihrer Organisation spreche, die Lehrerkonferenz, es sind die Lehrerkonferenzen, die von Zeit zu Zeit immer abgehalten werden. Wenn ich selbst in Stuttgart sein kann, geschieht sie unter meiner Leitung, sonst aber finden diese Lehrerkonferenzen auch in verhältnismäßig sehr kurzen Zwischenräumen statt. Da wird wirklich bis ins Einzelnste hinein alles vor der gesamten Lehrerschaft verhandelt über die gesamte Schule, was der einzelne Lehrer in seiner Klasse an Erfahrungen machen kann. So daß fortwährend diese Lehrerkonferenzen die Tendenz haben, die Schule so als einen ganzen Organismus zu gestalten, wie der menschliche Leib ein Organismus ist dadurch, daß er ein Herz hat. Da handelt es sich allerdings bei diesen Lehrerkonferenzen viel weniger um abstrakte Grundsätze, sondern überall bei den Lehrern um den guten Willen zum Zusammenleben, um das Hintanhalten jeder Art von Rivalität. Und vor allen Dingen handelt es sich darum, daß man etwas, was dem anderen nützt, nur vorbringen kann, wenn man die entsprechende Liebe zu jedem einzelnen Kinde hat. Aber ich meine dabei nicht jene Liebe, von der man oft spricht, sondern jene Liebe, die man gerade als artistischer Lehrer hat.

Diese Liebe, die hat noch eine andere Nuance als die gewöhnliche Liebe. Es ist ja wiederum eine andere Nuance, aber dennoch, wer mit kranken Menschen als Menschen innig Mitleid haben kann, hat zunächst die allgemeine Menschenliebe. Aber um einen Kranken zu behandeln, muß man auch - bitte, mißverstehen Sie das nicht, aber es ist so - die Liebe zur Krankheit haben können. Man muß auch sprechen können von einer schönen Krankheit. Die ist natürlich sehr schlimm für den Patienten, aber sie ist für denjenigen, der sie behandeln muß, eine schöne Krankheit. Eine prachtvolle Krankheit kann sie unter Umständen sein. Sie mag sehr schlimm sein für den Patienten, sie ist aber für den, der sich hineinversetzen muß, der sie mit Liebe behandeln können muß, eine prachtvolle Krankheit. Und so ist auch ein völlig nichtsnutziger Knabe, ein Strick, wie man im Deutschen sagt, der ist unter Umständen durch die Art, wie er sein Stricktum auslebt, wie er schlimm ist, wie er nichtsnutzig ist, zuweilen so außerordentlich interessant, daß man ihn außerordentlich lieben kann.