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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 110 - ECONOMIE ET PLAN SCOLAIRE
Histoire comme alternances de vie de l'économie, vie de l'esprit et vie de droit. Geschichte als Wechselwirkungen von Wirtschaftsleben,Geistesleben und Rechtsleben

 

 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes : 295 079-082 (xml) 28/08/1919
Original
Traducteur: FG Editeur: (EAR,2007)

Décrivez clairement comment les pèlerins qui sont allés en Orient ont appris à connaître des choses tout autres. En Europe, l’agriculture était à cette époque encore très [98] retardée. En Orient, on pouvait apprendre à connaître une bien meilleure façon de traiter les terres. Les pèlerins qui sont allés en Orient et qui sont revenus en Europe (beaucoup en revinrent, certes) rapportèrent avec eux une connaissance développée de la pratique de l’agriculture. La production agricole subit réellement un essor. En Europe, on est redevable de cela aux expériences que les pèlerins ont rapportées en Europe.

 

07023 - Décrivez clairement, pour que l’enfant voie dans les formes, comment le froment et le blé poussaient moins bien avant les Croisades, comme ils restaient bas, comme ils étaient plus grêles, moins pleins. Tout cela en images. Décrivez ensuite comment les pèlerins ont aussi réellement appris à connaître le développement industriel de l’Orient d’alors, ce que l’Europe n’avait pas. Beaucoup de choses passèrent de l’Orient à l’Occident. Ce qui sera ensuite si bien décrit de l’activité industrielle des villes d’Italie et des villes situées plus au nord, cela est redevable aux Croisades. L’art est également redevable aux Croisades. Vous pouvez alors provoquer des images du progrès de la culture spirituelle de ce temps.

07024 - Mais vous pouvez également parler aux enfants et leur dire : voyez-vous, enfants, les Européens ont appris à connaître tout d’abord les Grecs. Ceux-ci, déjà durant le premier millénaire, se sont séparés de Rome et sont pourtant restés chrétiens. Dans toutes les contrées occidentales, on a cru que l’on ne pouvait pas être chrétien sans avoir les yeux dirigés vers le Pape. Et maintenant, expliquez aux enfants comment les Croisés ont appris à leur grande surprise et édification qu’il y a également des chrétiens qui ne [99] reconnaissent pas le Pape romain. Cette séparation du côté spirituel de la chrétienté, de l’orientation temporelle de l’Église, était alors quelque chose de tout à fait nouveau. Qu’on explique cela aux enfants.

07025 - Montrez ensuite que parmi les Musulmans qui étaient certes des citoyens peu réjouissants de la Terre, on trouvait pourtant aussi des hommes généreux et courageux et que par cela, les pèlerins ont appris à connaître des hommes qui pouvaient être courageux et généreux sans être des chrétiens. On pouvait donc être un homme bon et courageux sans être chrétien. Cela fut un grand enseignement pour les Européens d’alors qui fut rapporté par les Croisés en Europe.

07026 - C’est une foule de choses que ces Croisés ont conquises en Orient et ont rapportées en Europe pour la culture spirituelle.

07027 - On explique aux enfants : voyez-vous, les Européens n’avaient même pas le coton. Ils n’avaient même pas un mot pour cela. Ils n’avaient pas de mousseline, c’est aussi un mot oriental. Ils ne pouvaient pas s’étendre et se laisser tomber sur un sofa, car ce ne sont que les Croisés qui ont apporté le sofa et l’expression « sofa ». Ils n’avaient pas non plus de matelas. Matelas aussi est un mot oriental. Le bazar vient de là également, qui témoigne d’une manière de penser opposée à celle qui a produit les magasins publics avec leurs grands étalages. Selon leur conception des choses, les Orientaux ont développé les bazars sur une grande échelle. Avant que les Européens aient entrepris les Croisades, il n’y avait rien de semblable. De même le mot magasin n’est pas européen, dans la mesure du moins où il se rapporte au commerce. Cette manière d’utiliser les magasins causée par le développement du commerce, les Européens [100] l’ont seulement apprise des Orientaux. On peut se représenter, dit-on aux enfants, combien la vie en Europe était étroite par le fait qu’on n’ait même pas eu des magasins à utiliser. Le mot arsenal vient aussi de là-bas, mais voyez-vous, il y a autre chose également que les Européens ont appris des Orientaux. C’est ce qu’ils ont rapporté avec le mot « tarifs ». Compter les impôts, les peuples européens savaient très peu le faire jusqu’au 13e siècle, mais payer des impôts selon un tarif, payer toutes sortes de taxes, cela ne fut introduit en Europe que lorsque les Croisés l’eurent appris des Orientaux.

07028 - Ainsi, on voit bien que beaucoup, beaucoup d’autres choses sont venues en Europe par les Croisades. De ce que les Croisés avaient voulu, peu de choses se sont réalisées. Mais beaucoup d’autres choses qu’on a apprises en Orient ont, de diverses manières, transformé l’Europe. Tout cela se lia alors à la façon dont les Orientaux conçoivent l’État. La notion d’État s’est développée en Orient beaucoup plus tôt qu’en Europe. Avant les Croisades, l’administration se faisait d’une façon beaucoup moins stricte qu’après. De cela, il résulta qu’on rassembla de vastes territoires d’un point de vue étatique. Cela n’est venu, finalement, qu’avec les Croisades.

07029 - Je suppose toujours que les enfants ont l’âge que j’ai indiqué. On peut alors leur apprendre ce qui suit : vous voyez, enfants, vous avez déjà appris par vos leçons d’histoire que les Romains, dans les temps passés, ont étendu leur domination sur bien des pays. À cette époque-là, l’Europe devint toujours plus pauvre. D’où provenait cet appauvrissement ? On devait donner son argent à d’autres. L’Europe centrale s’appauvrira maintenant à nouveau parce qu’elle [101] doit donner son argent à d’autres. À cette époque, les Européens devaient céder leur argent à d’autres. En ce temps-là les Européens devaient donner leur argent aux Asiatiques. Des masses d’argent partirent pour les frontières de l’Empire romain. Une économie du troc s’instaura de plus en plus. C’est quelque chose qui pourrait à nouveau survenir, si triste que ce soit, si les hommes ne rétablissent pas le contact avec le spirituel. De toute façon, dans cette pauvreté se développa l’esprit d’ascèse et d’abnégation.



07030 - Mais c’est alors que les Européens apprirent d’Asie toutes sortes de choses grâce aux Croisades, la production industrielle, l’agriculture. Par cela, ils purent de nouveau produire des choses que les Asiatiques purent leur acheter. L’argent leur revint, l’Europe devint toujours plus riche, précisément pendant les Croisades. Cet enrichissement de l’Europe provint de ce qu’elle augmenta sa propre production. C’est une conséquence plus lointaine. Les Croisades sont de véritables émigrations vers l’Asie. En Europe revint une certaine connaissance. Ce n’est que par cette connaissance qu’il fut possible de créer Florence, d’en faire ce qu’elle est devenue. C’est par cela seulement que des personnalités comme Dante et d’autres purent apparaître.

07031 - Voyez-vous, il serait nécessaire qu’on laisse de telles impulsions traverser la représentation historique. Lorsqu’on dit aujourd’hui que l’on doit s’occuper davantage de l’histoire de la culture, les gens pensent alors qu’ils doivent décrire d’une façon absolument sèche comment les faits s’enchaînent. C’est ainsi qu’on devrait décrire l’histoire déjà dans ce degré inférieur de l’enseignement : d’une façon subjective, en développant des images montrant que [102] le temps produit réellement des résurrections, que la pauvre Europe ressuscite alors qu’elle n’était recouverte que de territoires à peu près inhabités, où il n’y avait pas de villes, où les gens ne pratiquaient qu’une pauvre agriculture. Il faut montrer que c’est précisément de cette pauvre Europe que surgit l’enthousiasme pour les Croisades et que les gens ne furent précisément pas à la hauteur, qu’ils n’en vinrent qu’à se battre entre eux. Montrez comment l’immoralité se répandit, comment la lutte gagna l’Europe elle-même, comment ce que les Croisés s’efforçaient d’obtenir ne fut précisément pas atteint, mais comment, au contraire, on fit le jeu des Musulmans, comment les Européens apprirent beaucoup en Orient, comment des villes florissantes surgirent et dans ces villes, une culture spirituellement riche parallèlement à l’agriculture. Montrez comment les champs devinrent plus fertiles, comment l’industrie s’épanouit, comment aussi la culture de l’esprit prit un essor.

07032 - Qu’on s’efforce de présenter tout cela aux enfants en images claires et de leur expliquer comment les hommes avant les Croisades, n’auraient pas pu s’étendre sur les sofas, il n’y avait pas alors de vie bourgeoise avec des sofas dans des pièces agréables. Essayez de dépeindre clairement cette histoire ; vous donnerez alors une histoire plus vraie. Montrez comment l’Europe s’était appauvrie jusqu’au troc et ne s’est enrichie de nouveau que grâce à ce qu’on a appris. Cela rendra vos leçons d’histoire vivantes.

 

Remarque : L'histoire se déroule pour Steiner manifestement comme "évolution" de l'organisme social triarticulé. Les professeurs d'histoire qui aimeraient approfondir ce rapport le trouveront explicitement mis en évidence par ex. dans la GA 83, en particulier dans la dernière conférence, et très clairement par ex. aussi dans GA 305, conférences 10, 11 et 12.

Schildern Sie anschaulich, wie die Pilger, die nach dem Orient gezogen sind, noch ganz anderes, viel Neues kennengelernt haben. In Europa war die Landwirtschaft damals noch sehr weit zurück. Im Orient konnte man eine sehr viel bessere Bewirtschaftung der Ländereien kennenlernen. Die Pilger, die nach dem Orient gekommen sind und nachher wieder nach Europa zurückkehrten - es kamen ja noch viele zurück -, die haben eine ausgebildete Kenntnis landwirtschaftlichen Betriebswesens mitgebracht, und es kam wirklich ein Aufschwung der landwirtschaftlichen Produktion. Den verdankt man in Europa den Erfahrungen, welche die Pilger nach Europa mitbrachten.

So anschaulich, daß es das Kind förmlich sieht, schildern Sie, wie der Weizen und das Korn schlechter gewachsen sind vor den Kreuzzügen, wie sie niedriger waren, wie sie schütterer waren, weniger voll waren, und wie sie nach den Kreuzzügen voller waren - das alles in Bildern! Dann schildern Sie, wie die Pilger wirklich auch kennengelernt haben, was der Orient damals hatte an Industriellem, was Europa damals noch nicht hatte. Es war der Okzident um vieles hinter dem Orient zurück. Was sich dann so schön herausbildet an industrieller Tätigkeit in den Städten Italiens, auch in den mehr nördlich gelegenen Städten, das ward den Kreuzzügen verdankt. Und auch Künstlerisches wird den Kreuzzügen verdankt.

Da können Sie also Bilder hervorrufen von dem geistigen Kulturfortschritt in dieser Zeit. Aber Sie können den Kindern auch schildern und sagen: «Seht ihr, Kinder, da haben die Europäer zuerst die Griechen kennengelernt; die sind schon im ersten Jahrtausend abgefallen von Rom, sind aber Christen geblieben. In allen westlichen Gegenden hat man geglaubt, daß 79 man überhaupt kein Christ sein kann, ohne zu dem Papst als oberstem Haupt der Kirche emporzuschauen.» Jetzt mache man den Kindern klar, wie die Kreuzfahrer kennengelernt haben, zu ihrer großen Überraschung und Belehrung, daß es auch Christen gibt, die nicht den römischen Papst anerkennen. Dieses Loslösen der geistigen Seite des Christentums von der weltlichen Kircheneinrichtung, das war etwas ganz Neues damals. Das mache man den Kindern klar.

Dann, daß unter den Muselmanen, die ja wenig erfreuliche Erdenbürger waren, es aber doch auch edle, freigebige, tapfere Menschen gab. Und dadurch haben die Pilger Menschen kennengelernt, die sogar tapfer und freigebig sein konnten, ohne Christen zu sein. Man konnte also sogar ein guter, tapferer Mensch sein, ohne Christ zu sein. Das war eine große Lehre, die für die damaligen Menschen Europas durch die Kreuzfahrer nach Europa zurückgebracht worden ist.

Also eine ganze Menge haben die Kreuzfahrer sich erobert im Orient, was sie für die geistige Kultur nach Europa gebracht haben.

Man macht den Kindern klar: «Seht, die Europäer, sie hätten nicht einmal Kattun, ja sie hätten nicht einmal ein Wort dafür. Sie hätten kein Musselin, auch das ist ein orientalisches Wort. Sie könnten sich nicht niederlegen, zurückräkeln auf ein Sofa, denn das Sofa haben die Kreuzfahrer, mit dem Ausdruck Sofa, erst mitgebracht. Sie hatten auch keine Matratze, auch Matratze ist ein orientalisches Wort. Auch der Bazar gehört hierher, was gleich auf eine ganze Gesinnung gegenüber dem öffentlichen Schaustellen von Erzeugnissen hinweist, was Schaustellungen im großen produziert. Bazare haben die Orientalen nach ihrer Gesinnung im weiten Umfange gemacht. In Europa gab es früher nicht etwas Ähnliches, bevor die Europäer die Kreuzzüge unternommen haben. Sogar das Wort Magazin ist kein europäisches, so sehr es mit Handeln und so weiter zusammenhängt. Diese Art, Magazine zu brauchen wegen des Umfangreichen des Handelns, das haben die Europäer erst von den Orientalen gelernt. - Man kann sich vorstellen», sagt man zu den Kindern, «wie eingeschränkt das Leben in Europa war, daß sie nicht einmal Magazine gebraucht haben. Auch das Wort Arsenal gehört hierher. Aber seht, etwas anderes haben die Europäer auch gelernt bei den Orientalen; das haben sie sich mitgebracht in dem Wort 80 Tarif. Steuerzahlen, das kannten die europäischen Völker bis zum 13. Jahrhundert sehr wenig. Aber tarifmäßig Steuer bezahlen, allerlei Abgaben bezahlen, das wurde erst eingeführt in Europa, als die Kreuzfahrer es bei den Orientalen kennenlernten.»

Also man sieht schon, es ist vieles, vieles anders geworden in Europa durch die Kreuzzüge. Von dem hat sich nicht viel erfüllt, was die Kreuzfahrer gewollt haben. Es hat sich aber anderes, Vielfaches an Umgestaltung von Europa vollzogen durch das, was man im Orient kennengelernt hatte. Das alles verband sich dann noch mit der Anschauung der orientalischen Staatswesen, denn das Staatswesen hat sich im Orient schon viel früher ausgebildet als in Europa. In Europa waren die Gebilde der Verwaltung viel loser vor den Kreuzzügen, als sie nach den Kreuzzügen waren.


Daß man dann weite Territorien unter staatlichen Gesichtspunkten zusammenfaßte, das ist schließlich auch erst durch die Kreuzzüge gekommen. Nun kann man aber auch - ich setze immer voraus, daß die Kinder das Alter haben, das ich angedeutet habe - sie mit folgendem bekanntmachen: «Seht, Kinder, ihr habt früher durch geschichtliche Erzählung erfahren, daß die Römer früher einmal ihre Herrschaft ausgebreitet haben. Damals, als die Römer ihre Herrschaft ausgebreitet haben im Beginne der christlichen Zeitrechnung, da wurde Europa sehr arm, immer ärmer. Wodurch kam dieses Armwerden? Man mußte sein Geld hergeben an andere. Mitteleuropa wird jetzt auch wieder arm werden, weil es sein Geld abgeben muß an andere. Damals mußten die Europäer ihr Geld an die Asiaten abgeben. An die Grenzen des Römerreiches wanderten die Geldmassen. Dadurch kam immer mehr die Naturalwirtschaft auf. Das ist etwas, was wieder passieren könnte, so traurig es wäre, wenn die Menschen sich nicht zum Geistigen aufraffen. Allerdings, in dieser Armut, da entwickelte sich der asketische, hingebungsvolle Geist der Kreuzzüge.

Jetzt aber lernten die Europäer durch die Kreuzzüge in Asien drüben allerlei Neues kennen, industrielles Produzieren, Landwirtschaft. Dadurch konnten sie wiederum Dinge hervorbringen, die ihnen die Asiaten abkaufen konnten. Das Geld wanderte wieder zurück. Europa wurde immer reicher, gerade während der Kreuzzüge. Diese Bereicherung 81 Europas kam dadurch, daß es seine eigene Produktion erhöhte. Das ist eine weitere Folge. Die Kreuzzüge sind wahre Völkerwanderungen nach Asien. Nach Europa kam wieder zurück ein gewisses Können. Nur durch dieses Können ist Florenz möglich und zu dem geworden, was es eben nachher war. Nur dadurch konnten sich Gestalten entwickeln wie Dante und andere.»

Sehen Sie, es wäre notwendig, daß man die geschichtliche Darstellung von solchen Impulsen durchzogen sein ließe. Wenn heute gesagt wird, man soll mehr Kulturgeschichte treiben, dann denken die Leute, sie müssen recht trocken schildern, wie das eine aus dem anderen folgt. Geschichte sollte aber auch schon auf diesen unteren Schulstufen so geschildert werden, daß man subjektiv dabei ist, daß man Bilder entwickelt, daß die Zeit wirklich aufersteht. Daß aufersteht das arme, nur mit schwachbesetzten Feldern überdeckte Europa, wo keine Städte waren, wo die Leute ihre Landwirtschaft betrieben, die aber spärlich war. Wie aber gerade aus diesem armen Europa hervorgeht die Begeisterung für die Kreuzzüge. Wie dann die Leute ihrer Aufgabe doch nicht gewachsen sind, wie sie in Streit kommen, wie Unmoral um sich greift, wie sie dann in Europa selber in Streit geraten. Wie gerade dasjenige nicht erreicht wird, was durch die Kreuzzüge angestrebt wird, sondern im Gegenteil, wie Boden geschaffen wird für die Muselmanen. Wie aber der Europäer vieles lernte im Orient; wie Städte, blühende Städte entstehen und in den Städten eine reiche geistige Kultur. Aber auch wie die Landwirtschaft sich hebt, wie die Felder fruchtbarer werden, wie die Industrie aufblüht, wie auch die geistige Kultur sich hebt.

 

Das alles versuche man in anschaulichen Bildern vor die Kinder hinzustellen und ihnen klarzumachen, wie sich die Menschen vor den Kreuzzügen nicht hingeräkelt haben auf Sofas, wie sich Spießbürgerlichkeit noch nicht geltend machen konnte in den Familien auf Sofas in den guten Stuben. Versuchen Sie anschaulich diese Geschichte zu schildern, dann werden Sie eine wahrere Geschichte geben. Zeigen Sie, wie Europa arm geworden ist bis zur Naturalwirtschaft und wieder reich geworden ist durch das, was man gelernt hat. Das wird die Geschichte beleben! 82

 

Anmerkung: Geschichte vollzieht sich für Steiner offenbar als ’Evolution’ des dreigliedrigen sozialen Organismus. Geschichtslehrer, die diesen
Zusammenhang vertiefen möchten, finden ihn explizit herausgestellt z.B. in GA 83, insbesondere im letzten Vortrag, und sehr anschaulich z.B. auch in GA 305, Vortrag 10, 11 und 12.