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Collection: 10 -Anarchistes, anarchisme,
et individualisme éthique.
Seulement être humain particulier plutôt que vraiment humanité. Nur Einzelmensch statt Menschheit wirklich

 

 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes : 033 048-051 (1967) 00/00/1900
Traducteur: FG v. 01/20161110 Editeur: SITE

La manière dont ce penseur [Hegel] dans un édifice de pensées regardant largement le monde englobat tout savoir, provoqua, que se ralièrent à lui, aussi ceux qui seraient venus plus ou moins à des opinions déviantes, s'ils avaient entendu le langage de leur propre esprit. Après la mort de Hegel ces déviances apparurent pour cela d'autant plus véhémentes. Les plus jeunes philosophes n'interprétèrent plus les paroles de professeurs impartialement, mais leur donnèrent signification dans leur propre sens ou cherchèrent à les développer plus loin dans leur propre avis. Hegel était de l'avis, que toute vérité trouve sa plus haute, exacte expression dans le monde philosophique des pensées. Mais il était aussi de l'opinion, que la philosophie n'est aussi pas la seule forme pour la vérité - elle est aussi disponible dans la religion, seulement pas encore de manière claire, compréhensible, mais en représentation contemplables en images sensorielles. David Friederich Strauss saisit cette idée et la forma plus avant. Dans son livre "La vie de Jésus" (1835-36) il soumit l'histoire évangélique à une critique sagace et arriva à la conclusion, que celle-ci est seulement une représentation mystique de vérités philosophiques. L'entière histoire humaine et chaque vie humaine sont une incarnation de l'entité divine. Tout, ce qui se passe dans le monde de tout temps, est une apparition de ce divin. Dans l'histoire évangélique la tendance formatrice de mythe de l'esprit humain a seulement placer dans un cas unique, sous forme d'image, [] ce qui se déroule toujours et partout : le devenir humain de Dieu.

 

 

 

Bruno Bauer intervient bientôt de manière encore plus radicale dans la dispute des esprits. Il a éprouvé les vérités chrétiennes du point de vue de la conscience de soi humaine et laissa seulement valoir la foi à ce que l'être humain peut reconnaître comme vrai à partir de son propre patrimoine spirituel. Avec cela était déclaré la guerre à un enseignement particulièrement ecclésial à côté de celui gagné de l'esprit de l'être humain. Des étalons critiques semblables/analogues ont été maintenant aussi placés à d'autres rapports/conditions de la vie, à la morale, l'État, la société. Arnold Ruge et Echtermeyer ont fondés en 1838 un périodique pour la représentation de telles questions, les anales «Halleschen Jahrbücher» qui furent bientôt vues (1841) si dangereuses pour l'État, que la Prusse interdit leur parution et qu'elles durent émigrer en Saxe. Le livre de Ludwig Feuerbach "L'essence du christianisme" ( 1841)signifia un pas supplémentaire sur ce chemin. Feuerbach parti de la condition préalable que l'être humain pouvait gagner son savoir seulement de lui-même.

 

Si cela est le cas, ainsi l'être humain ne peut avoir n'importe quelle connaissance sur aucun autre être plus élevé que sur lui-même. Il doit de cela produire avant toute chose enseignement sur l'humain, anthropologie. C'est seulement parce que l'être humain au cours de son évolution historique n'était pas satisfait d'une telle qu'il prit son refuge à des représentation religieuses. Il trouva en soi les pensées des êtres humains, équipa celles-ci avec toutes les perfections auxquelles se laissent hisser les particularités humaines, idéalisa l'image de l'être humain et la transposa comme Dieu dans le monde extérieur. C'est l'avis de Feuerbach que l'être humain s'est créé Dieu d'après [] son image propre. C'est pourquoi devrait, après que ceci est reconnu, que l'anthropologie devrait arriver à la place de la théologie. Le savoir sur le naturel, qui se répand perceptible pour les sens, devrait désormais parvenir à la place de la foi au surnaturel. Aussi en relation morale était attacher avec cela une conséquence importante. Quand l'être humain sera considéré comme l'être le plus élevé, ainsi l'action ne peut avoir d'autre but que de réaliser l'idéal de l'humanité dans le sens le plus parfait. Dans le sens de cette morale un être humain sera d'autant plus vertueux, d'autant plus qu'il s'approche de cet idéal. A la place de l'enseignement moral religieux, un humain devra être placé. Où Feuerbach a laissé tomber ces pensées, Max Stirner les a repris. Il se disait, quand on laisse seulement valoir la réalité/le véritable disponible dans l'espace et dans le temps, ainsi l'idéal de "être humain parfait" doit aussi tomber. Car vraiment disponible est seulement l'être humain particulier, pas une humanité générale. Si Feuerbach se sentait encore contraint, d'instituer la vie ainsi qu'elle s'approche de l'idéal de l'être humain, il se sentait ainsi dans une certaine mesure responsable vis-à-vis de toute le genre humain, ainsi Stirner n'éprouve pas une telle responsabilité.

Qui reconnaît un idéal général d'humanité, doit aussi admettre, que celui-ci ne peut se vivre dans l'individu, mais seulement dans le genre humain entier. L'individu se perd, le genre continue à vivre et développe aussi l'idéal plus loin. Mais si cet idéal est présenté comme apparition de fantôme, comme chimère, comme Stirner fait cela, alors l'être humain n'a aussi pas d'obligation vis-à-vis de lui. Il a besoin de s'orienter vers rien que sa propre tendance, il est [] seulement responsable de lui seul. Ce point de vue, Stirner l'a représenté dans son oeuvre "L'unique et sa propriété" (1845). On voit d'après cela qu'à l'intérieur de la pensée allemande a été aspiré à une conception du monde orientée à la mesure de l'expérience de la réalité.

Die Art, wie dieser Denker [Hegel] in einem weitausschauenden Gedankengebäude alles Wissen umfaßte, bewirkte, daß sich ihm auch diejenigen anschlossen, die zu mehr oder weniger abweichenden Meinungen gekommen wären, wenn sie auf die Sprache ihres eigenen Geistes gehört hätten. Nach dem Tode Hegels kamen diese Abweichungen dafür um so heftiger zum Vorschein. Die jüngeren Philosophen legten des Lehrers Worte nicht mehr unbefangen aus, sondern deuteten sie in ihrem eigenen Sinne um oder suchten sie ihren Ansichten gemäß fortzuentwickeln. In diese aus dem Hegeltum heraus sich entwickelnde philosophische Strömung wurden die religiösen Fragen aufgenommen und einer lebhaften Diskussion unterworfen. Hegel war der Ansicht, daß alle Wahrheit ihren höchsten, richtigsten Ausdruck in der philosophischen Gedankenwelt findet. Aber er war auch der Meinung, daß die Philosophie nicht die einzige Form für die Wahrheit ist - auch in der Religion ist sie vorhanden, nur noch nicht in der klaren, begrifflichen Weise, sondern als anschauliche Vorstellung in Sinnbildern. Diese Idee griff David Friedrich Strauß auf und bildete sie weiter. In seinem Buche «Das Leben Jesu» (1835-36) unterwarf er die evangelische Geschichte einer scharfsinnigen Kritik und kam zu dem Schlusse, daß dieselbe nur eine mythische Darstellung philosophischer Wahrheiten ist. Die ganze Menschengeschichte und jedes einzelne Menschenleben sind eine Verkörperung der göttlichen Wesenheit. Alles, was in der Welt zu jeder Zeit geschieht, ist eine Erscheinung dieses Göttlichen. In der evangelischen Geschichte hat die mythenbildende Neigung des menschlichen Geistes nur in einem einzelnen Fall bildlich [] hingestellt, was sich immer und überall vollzieht: die Menschwerdung Gottes. In noch viel radikalerer Weise griff bald Bruno Bauer in den Streit der Geister ein. Er prüfte die christlichen Wahrheiten von dem Standpunkte des menschlichen Selbstbewußtseins aus und ließ nur den Glauben an dasjenige gelten, was der Mensch aus dem eigenen geistigen Vermögen heraus als wahr anerkennen kann. Damit war einer besonderen kirchlichen Lehre neben der aus dem Geiste des Menschen heraus gewonnenen der Krieg erklärt. Ahnliche kritische Maßstäbe wurden nun auch an die anderen Verhältnisse des Lebens, an die Moral, den Staat, die Gesellschaft gelegt. Arnold Ruge und Echtermeyer begründeten im Jahre 1838 zur Vertretung solcher Fragen eine Zeitschrift, die «Halleschen Jahrbücher», die bald (1841) als so staatsgefährlich angesehen wurden, daß Preußen ihr Erscheinen verbot und sie nach Sachsen übersiedeln mußten.
Einen weiteren Schritt auf diesem Wege bedeutete Ludwig Feuerbachs Buch «Das Wesen des Christentums» (1841). Feuerbach ging von der Voraussetzung aus, daß der Mensch sein Wissen nur aus sich selbst gewinnen könne. Wenn dies aber der Fall ist, so kann der Mensch auch über kein höheres Wesen als über sich selbst irgendwelche Kenntnisse haben. Er soll daher vor allen Dingen Menschenkunde, Anthropologie, treiben. Nur weil der Mensch im Laufe seiner geschichtlichen Entwickelung nicht mit einer solchen zufrieden war, nahm er seine Zuflucht zu religiösen Vorstellungen. Er fand in sich den Gedanken des Menschen, stattete diesen mit allen Vollkommenheiten aus, zu denen sich menschliche Eigenschaften steigern lassen, idealisierte das Bild des Menschen und versetzte es als Gott in die Außenwelt. Es ist Feuerbachs Ansicht, daß der Mensch sich den Gott nach [] seinem eigenen Bilde geschaffen habe. Deshalb soll, nachdem dies erkannt ist, an die Stelle der Theologie die Anthropologie treten. Das Wissen über das Natürliche, das sich für die Sinne wahrnehmbar in Raum und Zeit ausbreitet, sollte nunmehr an die Stelle des Glaubens an das Übernatürliche treten. Auch in sittlicher Beziehung war damit eine wichtige Konsequenz verknüpft. Wenn der Mensch als das höchste Wesen angesehen wird, so kann auch das Handeln kein anderes Ziel haben, als das Ideal der Menschheit in vollkommenstem Sinne zu verwirklichen. Im Sinne dieser Moral wird ein Mensch um so tugendhafter sein, je mehr er sich diesem Ideale nähert. An die Stelle der religiösen Sittenlehre soll eine humane gesetzt werden. Wo Feuerbach diesen Gedanken fallen gelassen hat, nahm ihn Max Stirner wieder auf. Er sagte sich, wenn man nur das Wirkliche, das im Raum und in der Zeit Vorhandene gelten läßt, so muß auch das Ideal des «vollkommenen Menschen» fallen. Denn wirklich vorhanden ist nur der einzelne Mensch, nicht eine allgemeine Menschheit. Fühlte sich Feuerbach noch gedrängt, das Leben so einzurichten, daß es dem Ideale des Menschen nahekommt, fühlte er sich so gewissermaßen der ganzen menschlichen Gattung gegenüber verantwortlich, so empfindet Stirner eine solche Verantwortlichkeit nicht. Wer ein allgemeines Menschheitsideal anerkennt, muß auch zugeben, daß sich dieses nicht im Einzelnen, sondern nur in der ganzen Gattung ausleben kann. Der Einzelne geht zugrunde, die Gattung lebt weiter und entwickelt auch das Ideal weiter. Wird aber dieses Ideal als Spuk, als Hirngespinst hingestellt, wie Stirner das tut, dann hat der Mensch ihm gegenüber auch keine Verpflichtung. Er braucht sich nach nichts als nach seinen eigenen Neigungen zu richten, er ist [] nur sich allein verantwortlich. Diesen Standpunkt hat Stirner in seinem Werk «Der Einzige und sein Eigentum» (1845) vertreten.
Man sieht hieraus, daß innerhalb des deutschen Denkens nach einer auf die erfahrungsmäßige Wirklichkeit gerichteten Weltanschauung gestrebt wurde.