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Collection: 07 - LES IDEAUX SOCIAUX
Sujet : Christianisme comme égalité absolue de tous les humains
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA054 432-433-(1983) 29/03/1906
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

C'est peut être venu nulle part à l'expression si puissamment et grandiose, ce qu’est l'être le plus intérieur du christianisme, que dans les légendes dans lesquelles nous nous intégrons progressivement et dans lesquelles se joue symboliquement la tâche du christianisme à l'intérieur de l'Europe du centre : dans la légende de Lohengrin et la légende de Parsifal.
Qu'a donc le christianisme comme son élixir de vie ? L'absolue égalité de tous les humains. Ainsi a été au moins ressenti le christianisme dans les temps d'autrefois. Liberté, égalité vis-à-vis du plus haut que l'humain peut se penser, on a éprouvé cela comme le joyau, comme l'envoi et la mission particulière du christianisme. Au nom des ancêtres, au nom d'une lignée ou d'un nom de famille, les héritiers des Germains étaient très fiers dans les temps anciens. Ils se réclamaient de cela quand ils voulaient s’attribuer une valeur dans le monde. Ils se réclamaient sur la loi, sur le titre et le nom dans le temps qui a dissous l'amour de la lignée. Maintenant les deux ne devraient plus valoir, mais seulement le mauvais chemin de l'humain, qui se sentait essentiellement dans son plus intérieur. L'humain sans titre, sans nom était l'idéal chrétien. Quelque chose de grand était dit avec cela. Cela s'exprime dans la légende de Lohengrin et de Parsifal.

Christianisme comme égalité absolue de tous les humains

C'est peut être venu nulle part à l'expression si puissamment et grandiose, ce qu’est l'être le plus intérieur du christianisme, que dans les légendes dans lesquelles nous nous intégrons progressivement et dans lesquelles se joue symboliquement la tâche du christianisme à l'intérieur de l'Europe du centre : dans la légende de Lohengrin et la légende de Parsifal.
Qu'a donc le christianisme comme son élixir de vie ? L'absolue égalité de tous les humains. Ainsi a été au moins ressenti le christianisme dans les temps d'autrefois. Liberté, égalité vis-à-vis du plus haut que l'humain peut se penser, on a éprouvé cela comme le joyau, comme l'envoi et la mission particulière du christianisme. Au nom des ancêtres, au nom d'une lignée ou d'un nom de famille, les héritiers des Germains étaient très fiers dans les temps anciens. Ils se réclamaient de cela quand ils voulaient s’attribuer une valeur dans le monde. Ils se réclamaient sur la loi, sur le titre et le nom dans le temps qui a dissous l'amour de la lignée. Maintenant les deux ne devraient plus valoir, mais seulement le mauvais chemin de l'humain, qui se sentait essentiellement dans son plus intérieur. L'humain sans titre, sans nom était l'idéal chrétien. Quelque chose de grand était dit avec cela. Cela s'exprime dans la légende de Lohengrin et de Parsifal.