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Institut pour une triarticulation sociale
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Science de l'esprit comme connaissance des impulsions de base de l'organisation sociale
Seize conférences,
tenues à Dornach du 6 août au 11 septembre 1920,
et un discours et une conférence à Berlin
les 17 et 18 septembre 1920

1985
Rudolf Steiner VERLAG
DORNACH / SUISSE
D’après les transcriptions non revues du conférencier
édité par la gestion de la succession de Rudolf Steiner
La publication de la 1ère édition a été soignée par Hans W. Zbinden,
celle de la 2e édition par Walter Kugler
1re édition, 1967 Éditions complète Dornach
2, nouvelle édition révisée
(Réimpression photomécanique)
Edition complète Dornach 1985
Éditions particulières
Dornach, 8 août 1920 « Les douze sens de l’humain dans leur relation à l'imagination, l'inspiration et l'intuition »

Dornach 1938 1967 1976 1983
Dornach, le 27 août 1920, « L'éternel dans la logique hégélienne et sa contre image dans le marxisme », Dornach 1958
Autres publications, voir page 297

Bibliographie n° 199
Marques sur la couverture d’après une ébauche de Rudolf Steiner
Dessins dans le texte d’après des dessins au tableau noir de Rudolf Steiner,
exécuté par Asya Tourguenev  et Hedwig Freyt
Tous droits réservés par l'administration de la succession de Rudolf Steiner, Dornach / Suisse
© 1967 par l'administration de la succession de Rudolf Steiner, Dornach / Suisse
Imprimé en Allemagne par Greiserdruck, Rastatt
ISBN 3-7274-1990-3

TABLE DES MATIÈRES

Première conférence, Dornach 6 août 1920               9
En regardant en arrière sur la première année de l'école Waldorf à Stuttgart : l'enseignement religieux, la conception du monde en rapport à la méthodologie et la didactique,  bulletins, le relation fille-garçon, corps enseignants, Emil Molt, conditions financières, classes parallèles, les étudiants invités. Science de l’esprit comme connaissance de fait. Le monde des phénomènes, exposé par l'exemple de l'arc en ciel. Pensée atomistique comme une expression d’un l'esprit débile. S’adonner unilatéralement à la mystique comme expression de l'enfantillage. Sur bien et mal. Les partis politiques comme reflet d’êtres spirituels. La connaissance d'êtres spirituels par les jésuites. Opposition et ses contradictions.

 

Deuxième conférence, Dornach, 7 août 1920               28
Les partis politiques et leur contre image suprasensible. De l’absurdité de l’allégeance au parti. Différences dans la relation entre peuples et groupes de partis aux êtres suprasensibles. L’humain tri-articulé comme image du monde spirituel. Sciences de l’esprit et son rapport au matérialisme. Léninisme et trotskysme comme une continuation du tsarisme. La tâche e la tri-articulation dans le champ de tension est-ouest. Sur l'abstraction des programmes de partis.

TROISIÈME CONFERENCE, Dornach, 8 août 1920               44
Les douze sens de l’humain et leur rapport avec le monde extérieur et intérieur.
Les sept « sens externes » dans leur relation aux trois plus hauts stades de connaissance imagination, inspiration et intuition. Les effets psychiques des cinq « sens intérieurs ». Conclusions sous prise en compte des façons de voir de certains mystiques du Moyen Âge, plus loin les nouvelles descriptions de Leadbeater sur le Dévachan ainsi que les déclarations d’Oswald Spengler.

QUATRIÈME CONFÉRENCE, Dornach 14 août 1920               61
Sur les tâches du mouvement anthroposophique et la responsabilité de chaque membre. Commentaires critiques sur des façons de voir de la science de la nature matérialiste sur le développement de la Terre ainsi que sur la conception du Christ dans la théologie teintée matérialiste du 19ème siècle. Le problème de la liberté au point central des observations de science de l’esprit. La « vraie essence » de la mémoire. Sur le rapport entre science de l’esprit et mystique. Spirituel et matériel dans sa relation réciproque.

 

CINQUIÈME CONFÉRENCE, Dornach 15 août 1920               79
Catégories du jugement (juste et faux, sain et malade, utile et nuisible) dans leur développement spirituel historique. L'inclusion de la volonté dans la formation de jugement. La signification de la « manière occulte de penser » pour évaluer des événements historiques mondiaux. La science d'initiation comme base de la formation de jugement dans la vie sociale, exposé par l'exemple de la vie de l’économie. Le chemin de jugement instinctif du groupe au jugement associatif.

 

Sixième conférence, Dornach 20 août 1920               95
L’humain dans le champ de tension entre « intérieur et extérieur » des phénomènes spirituels et sensoriels. Le problème espace-temps en rapport à la vie entre la mort et une nouvelle naissance. La pensée spatio-temporelle en rapport au monde des sens et au spirituel. Sur le problème de la « façon de voir » comme composante de la formation de la connaissance. L’être étranger à la vie dans la formation du jugement des contemporains, exposé à l'exemple du journaliste René Marchand.

SEPTIEME CONFÉRENCE, Dornach 21 août 1920               109
Conditions pour une vie en commun des peuples orientée vers l'avenir. Le règne des peuples de l'Ouest et son influence sur le reste des peuples. De l’essence du règne des peuples de l’est et les tendances au développement du bolchevisme. Le règne des peuples de l'Ouest et l'importance de la logique chez John Stuart Mill. La « Science chrétienne » comme conséquence des façons de voir occidentales. Sur la signification de la vie prénatale dans la façon de voir orientale et celle de  la vie après la mort dans la façon de voir occidentale comme cellule germinale du spiritisme. La vie de l’esprit, la vie de droit et la vie de l’économie en rapport avec les peuples dans l'Est, dans le centre et dans l'ouest.

HUITIEME CONFÉRENCE, Dornach 22 août 1920               128
L’agencement des trois membres de l'organisation humaine dans les différentes parties de la Terre : la signification de l'organisme métabolique pour les « anciens » Orientaux et la tendance à la surmonter. De l’essence des exercices de yoga dans l'Inde ancienne. La signification du système rythmique pour l'Européen du centre et son rapport avec l'élément juridique-étatique. Traits essentiels de la scolastique. La signification du système nerveux sensoriel pour l’humain occidental. Sur les orientations de développement de chacun des membres de l'organisme humain au sein des différents groupes de peuples. La nouvelle science de l'initiation et son rapport avec les peuples ainsi que les trois membres de l'organisme social.

 

NEUVIEME CONFÉRENCE, Dornach, 27 août 1920               145
Événements importants dans la vie de Hegel. L'éternel dans la « logique » de Hegel et sa contre image dans le marxisme, avec une digression sur la sculpture en bois deb Rudolf Steiner « Le représentant de l'humanité ». Remarques sur la philosophie du droit de Hegel, en particulier sa conception de l'État. La force spirituelle dans l'hégélianisme et sa signification pour l'âge moderne. Sur la perte de moralité parmi les intellectuels de l'époque exposée au conflit entre Ernst Haeckel et son élève Ludwig Plate. La tragédie des « âmes en sommeil » en Europe.

 

DIXIÈME CONFÉRENCE, Dornach, le 28 août 1920               163
Le rapport de l’humain au monde des sens et spirituel. Sur le rapport des organes humains avec le domaine de l'esprit. L’humain en tant que membre du cosmos. De l’être étranger à la vie des communautés religieuses et sociales. Les relations des hiérarchies aux humains. L’au-delà du monde « tapissé de sens » des entités agissantes centripètes. Remarques sur la critique de Oswald Spengler de la « philosophie de Spiesser » et de la « chimie occulte » de Leadbeater.

 

ONZIEME CONFÉRENCE, Dornach, le 29 août 1920               178
Le domaine des forces centrifuges. L’humain comme un médiateur entre mondes des dieux. Sur le sens de l’être humain. L’action des forces centripètes par la tête humaine, celle des forces centrifuges par le système des membres. Sur le chaos dans les rapports sociaux comme conséquence de l'ignorance des rapports de l’humain avec le cosmos. De la différence entre la « pensée sociale » et la « pensée à partir de l'esprit ». De l'importance des statistiques dans la vie sociale actuelle. Forces d'initiation comme force d’orientation pour la vie de l'économie. Europe du milieu et l’édifice de Dornach.

 

DOUXIEME CONFÉRENCE, Dornach ; 3. Septembre 1920               192
L'Orient comme la source de la vie de l’esprit de l'humanité ; Europe centrale comme point de départ pour la vie de droit ; l'Occident comme lieu-source de conceptualités économiques. Égoïsme de familles et l'imitation comme les forces sociales fondamentales dans la pensée de Thomas H. Huxley. La science de l'initiation comme un émetteur de départ pour un design contemporain de la vie sociale. Le rapport du corps éthérique, corps astral et du Je au règne animal, végétal et minéral. L'émergence de la vie spirituelle par le travail de l’humain à son Je, celle de la vie de droit par le travail au corps astral, celle de la vie de l’économie par le travail au corps éthérique.

TREIZIÈME CONFÉRENCE, Dornach 4 septembre 1920               207
Sur les orientations de développement des membres humains essentiels. L’être particulier du corps physique. La familiarité des membres essentiels avec les règnes de la nature. L'émergence des trois domaines de l'organisme social par le travail de l’humain à ses membres essentiels comme expression du côté de la volonté. L'action en retour des trois membres de l'organisme social comme une expression du côté de la perception : la répercussion de la vie de l’esprit sur le corps physique dans le présent et en particulier dans la prochaine vie sur terre. La répercussion de la vie de droit sur le corps éthérique et les effets sur le cosmos. La répercussion de la vie de l’économie sur le corps astral et les répercussions sur le monde spirituel. - Sur le rapport correct de l’humain  prononcé à l'esprit et à la matière.

 

QUATORZIEME CONFÉRENCE, Dornach ; 5 septembre 1920               224
La préparation de la base naturelle pour la prochaine vie sur terre par la vie sociale. L'émergence des trois membres de l'organisme social en Orient, au milieu et à l'Ouest, impulsé par le système métabolisme, rythmique et nerveux sensoriel. Sur les dangers pour la vie de l’esprit par le rattachement avec les vies d’État et de l’économie. De la nécessité du « surgissement » dans le domaine de l’esprit, du sentiment dans le domaine de droit et de la raison dans le domaine de l’économie. L’humain en harmonie avec l'ordre des mondes.

 

QUINZIEME CONFÉRENCE, Dornach, 10 septembre 1920               238
La signification d’impulsions de vie dans des temps plus anciens pour le présent, exposé à l'exemple du rapport de l’humain au cosmos dans l'ancien Orient. Sur la tragédie de la formation de jugement limitée dans le présent en rapport avec l’exigence à l'introduction d’une obligation au travail. L'abolition de « la science du ciel » par la pensée juridique et ses conséquences. La fierté actuelle à l'intelligence acquise, dont l’interprétation matérialiste ainsi que conséquences pour la mise place sociale des humains. L’édifice de Dornach comme emblème pour une nouvelle vie de l’esprit.

 

SEIZIEME CONFÉRENCE, Dornach, 11 septembre 1920               253
La transformation de la signification des noms propres comme exemple pour d’autres modifications dans la langue. Sur l'émancipation de la vie de l'âme humaine des mots. Forces dépourvues d’image dans la vie de l’âme de l’humain comme cause de l'intellectualisme. La signification de ce qui a force d’image dans l'avenir et certains dangers pour l’humain, s’il continue à cultiver ce qui n’a caractère d’image. Le langage d’images de la vie de rêve. De la nécessité de la saisie créatrice du Mystère du Golgotha et la nécessité de la mise en image de toute la vie de culture (NDT il ne s’agit probablement pas d’images extérieures comme photo, cinéma, etc…). Remarques critiques à l'idée provenant de la manière de penser théosophique d’« atome permanent ».

 

ALLOCUTION, Berlin, le 17 septembre 1920               271
à l'Assemblée générale de la branche de Berlin
Commentaires critiques sur l'évaluation de la situation mondiale du côté du gouvernement en 1914 et sur la campagne de diffamation contre l'anthroposophie. Sur l’écrit « Pensées pendant le temps de la guerre ». Motifs propres qui ont amené Rudolf Steiner à son « Appel au peuple allemand et au monde de culture ». Sur le développement du mouvement de tri-articulation et certains malentendus, avec lequel s’oppose à elle. Pour la poursuite du travail à Berlin.

 

DIX-SEPTIÈME CONFÉRENCE, Berlin, 18 septembre 1920               279
Sur la nécessité d'une conscience de l'existence prénatale de l’humain. Sur le concept de l'immortalité à l’intérieur des confessions. Le rapport de la préexistence et des vies terrestres répétées. Digression sur la fréquentation de l'idée de la renaissance dans la pédagogie. La connaissance de la prénatalité comme un point de départ pour une compréhension du rapport entre âme humaine et corps humain. Changement de dentition et maturité sexuelle. Conceptions de l’éternité de la matière et celles concernant l'âme. Sur l’ « innatalité ».

 

Avis               297
Corrections de texte dans la 2e édition  309
Registre des personnes               310
Rudolf Steiner sur les écrits des conférences                313
Vue d'ensemble sur l’Édition complète de Rudolf Steiner               315

 

Geisteswissenschaft als Erkenntnis der Grundimpulse sozialer Gestaltung

Sechzehn Vorträge,
gehalten in Dornach vom 6. August bis 11. September 1920,
und eine Ansprache und ein Vortrag in Berlin
am 17. und 18. September 1920
1985
RUDOLF STEINER VERLAG
DORNACH / SCHWEIZ
Nach vom Vortragenden nicht durchgesehenen Nachschriften
herausgegeben von der Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung
Die Herausgabe der 1. Auflage besorgte Hans W. Zbinden,
die der 2. Auflage Walter Kugler
1. Auflage, Gesamtausgabe Dornach 1967
2., neu durchgesehene Auflage
(photomechanischer Nachdruck)
Gesamtausgabe Dornach 1985
Einzelausgaben
Dornach, 8. August 1920: «Die zwölf Sinne des Menschen in
ihrer Beziehung zu Imagination, Inspiration und Intuition»,
Dornach 1938, 1967, 1976, 1983
Dornach, 27. August 1920:«Das Ewige in der Hegelschen Logik und ihr Gegenbild im Marxismus», Dornach 1958
Nachweis weiterer Veröffentlichungen siehe Seite 297
Bibliographie-Nr. 199
Zeichen auf dem Einband nach einem Entwurf von Rudolf Steiner
Zeichnungen im Text nach Tafelzeichnungen Rudolf Steiners,
ausgeführt von Assja Turgenieff j' und Hedwig Freyt
Alle Rechte bei der Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung, Dornach/Schweiz

© 1967 by Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung, Dornach/Schweiz
Printed in Germany by Greiserdruck, Rastatt
ISBN 3-7274-1990-3

INHALT

ERSTER VORTRAG, Dornach, 6. August 1920                             9
Rückblick auf das erste Jahr der Waldorfschule in Stuttgart: Religionsunterricht, Weltanschauung im Zusammenhang mit Methodik und Didaktik, Zeugnisse, Mädchen-Knaben-Relation, Lehrerschaft, Emil Molt, finanzielle Verhältnisse, Parallelklassen, Hospitanten. Geisteswissenschaft als Taterkenntnis. Die Welt der Erscheinungen, dargestellt am Beispiel des Regenbogens. Atomistisches Denken als Ausdruck schwachsinnigen Geistes. Einseitiges Sich-Hingeben an die Mystik als Ausdruck von Kindsköpfigkeit. Über das Gute und das Böse. Politische Parteien als Abglanz geistiger Wesenheiten. Das Wissen der Jesuiten von geistigen Wesenheiten. Gegnerschaft und ihre Widersprüche.

ZWEITER VORTRAG, Dornach, 7. August 1920   28
Politische Parteien und ihr übersinnliches Gegenbild. Vom Widersinn der Parteiengefolgschaft. Unterschiede in dem Verhältnis von Völkern und Parteigruppen zu übersinnlichen Wesenheiten. Der dreigliedrige Mensch als Abbild der geistigen Welt. Geisteswissenschaft und ihr Verhältnis zum Materialismus. Leninismus und Trotzkismus als Fortsetzung des Zarismus. Die Aufgabe der Dreigliederung im Spannungsfeld von Ost und West. Über die Abstraktheit von Parteiprogrammen.

DRITTER VORTRAG, Dornach, 8. August 1920                 44
Die zwölf Sinne des Menschen und ihr Verhältnis zur äußeren und inneren Welt
Die sieben «äußeren Sinne» in ihrer Beziehung zu den drei höheren Erkenntnis-stufen Imagination, Inspiration und Intuition. Die seelischen Wirkungen der fünf «inneren Sinne». Schlußfolgerungen unter Berücksichtigung der Anschauungen einiger Mystiker des Mittelalters, ferner der Darstellungen Leadbeaters über das Devachan sowie Äußerungen Oswald Spenglers.

VIERTER VORTRAG, Dornach, 14. August 1920                          61
Über die Aufgaben der anthroposophischen Bewegung und die Verantwortung des einzelnen Mitgliedes. Kritische Anmerkungen zu Anschauungen der materialistischen Naturwissenschaft über die Erdenentwicklung sowie über die Christus-Auffassung in der materialistisch tingierten Theologie des 19. Jahrhunderts. Das Problem der Freiheit im Mittelpunkt geisteswissenschaftlicher Betrachtungen. Das «wahre Wesen» der Erinnerung. Über das Verhältnis von Geisteswissenschaft und Mystik. Spirituelles und Materielles in seiner wechselseitigen Beziehung.

FÜNFTER VORTRAG, Dornach, 15. August 1920                        79
Kategorien der Urteilsbildung (richtig und falsch, gesund und krank, nützlich und schädlich) in ihrer geistesgeschichtlichen Entwicklung. Die Einbeziehung des Willens in die Urteilsbildung. Die Bedeutung einer «okkulten Denkweise» für die Beurteilung weltgeschichtlicher Vorgänge. Die Initiationswissenschaft als Grundlage der Urteilsbildung im sozialen Leben, dargestellt am Beispiel des Wirtschaftslebens. Der Weg vom instinktiven Gruppenurteil zum assoziativen Urteil.

SECHSTER VORTRAG, Dornach, 20. August 1920                  95
Der Mensch im Spannungsfeld von «innen und außen», von geistigen und sinnlichen Erscheinungen. Das Raum-Zeit-Problem im Zusammenhang mit dem Leben zwischen dem Tod und einer neuen Geburt. Das Raum-Zeit-Denken in bezug auf die Sinneswelt und das Geistige. Über das Problem der «Anschauung» als Bestandteil der Erkenntnisbildung. Die Lebensfremdheit in der Urteilsbildung von Zeitgenossen, dargestellt am Beispiel des Journalisten René Marchand.

SIEBENTER VORTRAG, Dornach, 21. August 1920                       109
Bedingungen für ein zukunftsorientiertes Zusammenleben der Völker. Das westliche Volkstum und sein Einfluß auf die übrigen Völker. Vom Wesen des östlichen Volkstums und Entwicklungstendenzen des Bolschewismus. Das westliche Volkstum und der Stellenwert der Logik bei John Stuart Mill. Die «Christian Science» als Konsequenz westlicher Anschauungen. Über die Bedeutung des vorgeburtlichen Lebens in der östlichen Anschauung und die des nachtodlichen Lebens in der westlichen Anschauung als Keimzelle des Spiritismus. Geistesleben, Rechtsleben und Wirtschaftsleben im Zusammenhang mit den Völkern im Osten, in der Mitte und im Westen.

 

ACHTER VORTRAG, Dornach, 22. August 1920                 128
Die Ausgestaltung der drei Glieder der menschlichen Organisation in den verschiedenen Teilen der Erde: Die Bedeutung des Stoffwechselorganismus für die «alten» Orientalen und die Tendenz zu seiner Überwindung. Vom Wesen der Jogaübungen im alten Indien. Die Bedeutung des rhythmischen Systems für den Mitteleuropäer und sein Zusammenhang mit dem rechtlich-staatlichen Element. Wesenszüge der Scholastik. Die Bedeutung des Nerven-Sinnes-Systems für den westlichen Menschen. Über die Entwicklungsrichtungen der einzelnen Glieder des menschlichen Organismus innerhalb der verschiedenen Völkergruppen. Die neue Initiationswissenschaft und ihr Zusammenhang mit den Völkern sowie den drei Gliedern des sozialen Organismus.

NEUNTER VORTRAG, Dornach, 27. August 1920   145
Wichtige Stationen im Leben Hegels. Das Ewige in der Hegelschen «Logik» und ihr Gegenbild im Marxismus, mit einem Exkurs über Rudolf Steiners Holzplastik «Der Menschheitsrepräsentant». Anmerkungen zu Hegels Rechtsphilosophie, insbesondere zu seiner Staatsauffassung. Die geistige Kraft im Hegeltum und ihre Bedeutung für die Neuzeit. Über den Verlust der Moralität unter den damaligen Intellektuellen, dargestellt an dem Konflikt zwischen Ernst Haeckel und seinem Schüler Ludwig Plate. Die Tragik der «schlafenden Seelen» in Europa.

ZEHNTER VORTRAG, Dornach, 28. August 1920                     163
Das Verhältnis des Menschen zur Sinnes- und Geistwelt. Über den Zusammenhang der menschlichen Organe mit dem Gebiet des Geistes. Der Mensch als ein Glied des Kosmos. Von der Lebensfremdheit religiöser und sozialer Gemeinschaften. Die Beziehungen der Hierarchien zu den Menschen. Die jenseits des «Sinnesteppiches» liegende Welt der zentripetal wirkenden Wesenheiten. Anmerkungen zu Oswald Spenglers Kritik an der «Spießerphilosophie» und zu Leadbeaters «okkulter Chemie».

ELFTER VORTRAG, Dornach, 29. August 1920                             178
Das Gebiet der zentrifugalen Kräfte. Der Mensch als Vermittler zwischen Götterwelten. Über den Sinn menschlichen Seins. Das Wirken der zentripetalen Kräfte durch das menschliche Haupt, das der zentrifugalen Kräfte durch das Gliedmaßensystem. Über das Chaos in den sozialen Verhältnissen als Folge der Unwissenheit von den Zusammenhängen des Menschen mit dem Kosmos. Vom Unterschied zwischen dem «sozialen Denken» und dem «Denken aus dem Geistigen heraus». Über den Stellenwert von Statistiken im gegenwärtigen sozialen Leben. Initiationskräfte als Richtkräfte für das Wirtschaftsleben. Mitteleuropa und der Dornacher Bau.

ZWÖLFTER VORTRAG, Dornach, 3. September 1920                   192
Der Orient als die Quelle des Geisteslebens der Menschheit; Mitteleuropa als Ausgangspunkt für das Rechtsleben; der Westen als Quellort wirtschaftlicher Begrifflichkeiten. Familienegoismus und Imitation als die sozialen Grundkräfte im Denken von Thomas H. Huxley. Die Initiationswissenschaft als Ausgangs-Funkt für eine geistgemäße Gestaltung des sozialen Lebens: Das Verhältnis des Ätherleibes, Astralleibes und des Ich zum Tier-, Pflanzen- und Mineralreich. Die Entstehung des geistigen Lebens durch die Arbeit des Menschen an seinem Ich, die des Rechtslebens durch die Arbeit am Astralleib, die des Wirtschaftslebens durch die Arbeit am Ätherleib.

DREIZEHNTER VORTRAG, Dornach, 4. September 1920                 207
Über die Entwicklungsrichtungen der menschlichen Wesensglieder. Das Eigensein des physischen Leibes. Die Verwandtschaft der Wesensglieder mit den Naturreichen. Die Entstehung der drei Gebiete des sozialen Organismus durch die Arbeit des Menschen an seinen Wesensgliedern als Ausdruck der Willensseite. Das Zurückwirken der drei Glieder des sozialen Organismus als Ausdruck der Wahrnehmungsseite: Die Rückwirkung des Geisteslebens auf den physischen Leib im gegenwärtigen und insbesondere im nächsten Erdenleben. Die Rückwirkung des Rechtslebens auf den Ätherleib und die Auswirkungen auf den Kosmos. Die Rückwirkung des Wirtschaftslebens auf den Astralleib und die Auswirkungen auf die geistige Welt. — Über das richtige Verhältnis des Menschen zu Geist und Materie.

VIERZEHNTER VORTRAG, Dornach, 5. September 1920                 224
Die Vorbereitung der Naturgrundlage für das nächste Erdenleben durch das soziale Leben. Die Entstehung der drei Glieder des sozialen Organismus im Orient, in der Mitte und im Westen, impulsiert durch das Stoffwechsel-, rhythmische und Nerven-Sinnes-System. 'Über die Gefahren für das Geistesleben durch die Verknüpfung mit dem Staats- und Wirtschaftsleben. Von der Notwendigkeit des «Hereinragens» des Lebens in das Geistgebiet, der Empfindung in das Rechtsgebiet und der Vernunft in das Wirtschaftsgebiet. Der Mensch im Zusammenklang mit der Weltenordnung.

 

FÜNFZEHNTER VORTRAG, Dornach, 10. September 1920          238
Die Bedeutung von Lebensimpulsen in früheren Zeiten für die Gegenwart, dargestellt am Beispiel des Verhältnisses der Menschen zum Kosmos im alten Orient. Über die Tragik der eingeschränkten Urteilsbildung in der Gegenwart im Zusammenhang mit der Forderung nach der Einführung einer Arbeitspflicht. Die Abschaffung der «Himmelswissenscha£t» durch das juristische Denken und ihre Folgen. Der gegenwärtige Stolz auf die erworbene Intelligenz, deren materialistische Deutung sowie Konsequenzen für die soziale Einstellung der Menschen. Der Dornacher Bau als Wahrzeichen für ein neues Geistesleben.

SECHZEHNTER VORTRAG, Dornach, 11. September 1920                 253
Die Wandlung der Bedeutung von Eigennamen als Beispiel für weitere Veränderungen in der Sprache. Über die Emanzipation des menschlichen Seelenlebens von den Worten. Bildlose Kräfte im Seelenleben des Menschen als Ursache für den Intellektualismus. Die Bedeutung des Bildhaften in der Zukunft und einige Gefahren für den Menschen, wenn er weiterhin das Unbildliche pflegt. Die Bildersprache des Traumlebens. Von der Notwendigkeit des schöpferischen Erfassens des Mysteriums von Golgatha und der Notwendigkeit der Verbildlichung des ganzen Kulturlebens. Kritische Bemerkungen zu der aus der theosophischen Denkweise hervorgegangenen Idee des «permanenten Atoms».

 

ANSPRACHE, Berlin, 17. September 1920                                            271
bei der Generalversammlung des Berliner Zweiges
Kritische Anmerkungen zur Einschätzung der Weltlage seitens der Regierung im Jahre 1914 und zur Verleumdungskampagne gegen die Anthroposophie. Über die Schrift «Gedanken während der Zeit des Krieges». Einige Motive, die Rudolf Steiner zu seinem «Aufruf an das deutsche Volk und die Kulturwelt» veranlaßten. Über die Entwicklung der Dreigliederungsbewegung und einige Mißverständnisse, mit denen man ihr entgegentrat. Zur Fortsetzung der Arbeit in Berlin.

SIEBZEHNTER VORTRAG, Berlin, 18. September 1920                    279
Über die Notwendigkeit eines Bewußtseins von der vorgeburtlichen Existenz des Menschen. Zum Begriff der Unsterblichkeit innerhalb der Konfessionen. Der Zusammenhang von Präexistenz und wiederholten Erdenleben. Exkurs über den Umgang mit der Idee der Wiedergeburt in der Pädagogik. Die Kenntnis der Vorgeburtlichkeit als Ausgangspunkt für ein Begreifen des Zusammenhanges von Menschenseele und Menschenleib. Zahnwechsel und geschlechtliche Reife. Auffassungen die Ewigkeit des Stofflichen und die der Seele betreffend. Über die «Ungeborenheit».

Hinweise   297
Textkorrekturen in der 2. Auflage   309
Personenregister  310
Rudolf Steiner über die Vortragsnachschriften   313
Übersicht über die Rudolf Steiner Gesamtausgabe   315