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Institut pour une triarticulation sociale
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disponible en librairie (éd. Triades, EAR, Novalis, et autres)

Facteurs de guérison pour l'organisme social

Dix-sept conférences, tenue à Dornach et Berne entre le 20 mars et le 18 juillet 1920

1984 RUDOLF STEINER VERLAG DORNACH/SCHWEIZ

Transcriptions non revues du conférencier


édité par la gestion de la succession de Rudolf Steiner

La 1ère édition a été soignée par Ernst Weidmann

La révision de la 2e édition a été soignée par Robert Friedenthal

1ère Édition, Édition complète 1969 Dornach
2ème Édition, Édition complète 1984 Dornach

Éditions particulières Dornach, 2 et 3 avril 1920 « Pâques, la fête de l'avertissement » Dornach 1935, 1965, 1981
Publications journal, voir page 299

Bibliographie N° 198

Signes originaux de Rudolf Steiner sur la couverture
Dessins dans le texte d'après des dessins au tableau noir de Rudolf Steiner, effectués par Hedwig Frey

Tous droits réservés par l'administration de la succession de Rudolf Steiner, Dornach / Suisse © 1969 par l'administration de la succession de Rudolf Steiner, Dornach / Suisse
Imprimé en Suisse par les élèves AG, Biel ISBN 3-7274-1980-6

TABLE DES MATIÈRES

PREMIERE CONFERENCE, Dornach, le 20 mars 1920 ...............................11

Le développement de la médecine, le concept de la maladie dans les temps anciens et modernes. Le processus de la connaissance comme un processus de guérison. Sagesse des Mystères comme médecine sociale. La cécité au bleu des Grecs. Nécessaire métamorphose de notre sens de la vue, de l'ouïe et de chaleur. Imagination par l'œil, inspiration par l'oreille, intuition par le sens de la chaleur. 1879, victoire de Michaël comme répétition d'événements similaires dans le passé. Nécessité d'une tri-articulation de l’organisme social.

DEUXIEME CONFERENCE, Dornach, le 21 mars 1920................................. 23

300 av. J.-C. naissance de l'imagination humaine. Le développement de l'intelligence humaine depuis le 15ème siècle. Dans les anciennes écoles de mystère distinction entre la connaissance physique, spirituelle et intellectuelle. Le rendre malade de la vie intellectuelle unilatérale. Science spirituelle anthroposophique comme support d'un nouveau processus de guérison.

TROISIÈME CONFERENCE, Dornach, le 28 mars 1920...................................40

Le jeu dedans du prénatal dans la vie terrestre humaine. Vie de représentation ordinaire - une dépouille emportée du monde suprasensible. La vivification de la pensée morte par une volonté nouveau-née dans la vie terrestre. Organisation tête - Métamorphose du reste de l'organisme à partir de l'incarnation précédente.Tiraillement de vie entre nécessités naturelle et morale. Le problème de la liberté humaine. Dans la période de Jupiter de la Terre.Regroupement des idéaux moraux et du monde des lois naturelles. La lutte contre la science de l'esprit, les attaques de côté catholique.

 

QUATRIÈME CONFÉRENCE, Dornach, le 2 avril, 1920 Vendredi saint, .................55

La vie de Paul. Le revirement provoqué par le Mystère du Golgotha dans le développement de l'humanité. Le problème de la liberté. La non-véracité intérieure de notre temps. La perte du rapport entre terrestre et extra-terrestre. La connaissance purement sensorielle comme tombe de laquelle doit venir une résurrection de l'aspiration à la connaissance suprasensible.

 

CINQUIÈMECONFÉRENCE , Dornach, le 3 avril 1920, samedi de Pâques, ..........71

Paul dans la période de transition de l'ancienne façon de voir suprasensible à une période d'abandon par Dieu de l'humain. La transformation du sang et de la renaissance en Christ. La forme ahrimanienne de l'anti-christianisme. Pâques, la fête de l'avertissement.


SIXIEME CONFERENCE, Dornach, 30 mai 1920......................................85

La lutte de Rome contre la liberté de conscience et de culte. Encycliques papales et syllabus de 1864. Rümelin sur le concept de miracle. Foi religieuse et dans les miracles comme contrepoids à la foi de la science en la causalité. L'idée de science de l'esprit du paraître et disparaître. Le mouvement anti-moderniste dans l'Église catholique. Regard en arrière sur le temps d'Albertus Magnus. Friedrich II de Prusse et Catherine de Russie en tant que protecteurs de l'ordre des jésuites interdit par le pape. Attaques catholiques sur l'anthroposophie.



SEPTIENE CONFERENCE, Dornach 3 juin 1920.......................................... 102

La jalousie anti-moderniste. Vigilance de l'Église catholique vis-à-vis du matérialisme se levant. Immaculée Conception, encycliques et Syllabus 1864, déclaration d'infaillibilité, encyclique « Aeterni Patris ». Un éditorial dans le « En avant » de Bâle. La structure de l'Église catholique en rapport à l'individualisme éthique de la « Philosophie de la liberté ». De l'histoire de l'Ordre des Jésuites.


HUITIEME CONFÉRENCE, Dornach, le 6 juin 1920 ........................................116

Connaissance d'Initiation et science matérialiste. La doctrine de l'âme d'Aristote comme dogme d'église. Immortalité, pré-existence et vies terrestres répétées. L'intention de l'Église catholique de créer un pont de communication entre son pouvoir et le socialisme radical. Le Serment Anti-moderniste.Conscience de communauté et conscience d'idéal.

 

NEUVIEME CONFÉRENCE, Dornach, le 2 juillet 1920 ..................................134

Oswald Spengler « Déclin de l'Occident ». Guérison des forces de déclin seulement par la sagesse de l'initiation. Démocratie et tri-articulation. Dangers du livre de Spengler. Vie de l'âme active en tant que condition préalable à la compréhension d'œuvres en sciences de l'esprit.

 

DIXIÈME CONFÉRENCE, Dornach ; 3. juillet 1920 ......................................150

L'influence continue des courants de culture spirituelle antiques dans le présent. La forme réelle de la vieille sagesse primitive. Culte solaire des anciens mystères. Christ, l’Esprit du Soleil. Le rituel de messe catholique. Les lois de la nature : distillat de verbiage médiéval. Jésuitisme et franc-maçonnerie. Niveaux élevés de certains ordres. Embrouillement de la vie publique par des courants occultes.Nécessité de passer de la diffusion des idées à l'action pratique. Brochure de Kully.Article du pasteur Ernst.

ONZIEME CONFÉRENCE, Dornach, le 4 juillet 1920, ..................................170

Effets du matérialisme dans le présent. Vieilles habitudes de pensée. Nécessité d'une transformation de la constitution d'âme et du penser, aussi dans le domaine économique. Une phrase de Overbeck ami de Nietzsche. Les vues de Rodbertus et Marx. La relation entre le travail spirituel et physique. Nécessaire : aperçu dans les rapports spirituels du monde et une volonté indépendant du matériel du corps.

 

DOUZIEME CONFERENCE, Berne, le 9 juillet 1920. .................................188

Le penser comme un héritage de l'être-là prénatal. Rejet de la pré-existence dans les confessions traditionnelles. Superficialité du penser pour la vie dans le monde sensible. Besoin de communication et de connaissances dans la profession enseignante. La pédagogie Waldorf. L'étalon-or, le libre-échange, barrières douanières. Le monde de la spiritualité et le monde de la vie économique. Le jugement associatif. La philosophie d'état du bolchevisme comme enfant des idées de R. Avenarius Harnack et l'influence de Oswald Spengler. La prise au sérieux de la connaissance des vies terrestres répétées.

TREIZIÈME CONFÉRENCE, Dornach, le 10 juillet 1920.

L'humain entre le monde des idées et le monde des souvenirs et représentations imaginatives. La thèse W.J. Stein « Inatalité » et l'immortalité. Conditions de l'école Waldorf. Un manuel scolastique de la philosophie (Lehmen). L'ancien système des Mysteres et le mystère du Golgotha. Christ comme le soi supérieur de la Terre. Le rapport de la science spirituelle anthroposophique à la science. De la nature. Ajout de la connaissance du suprasensible au sensible. Occupation avec le montant dans l'homme et l'évolution humaine. Le risque du déclin de l'humanité dans la barbarie. Anthroposophie comme christologie. Exemples d'opposition.

 

QUINZIEME CONFÉRENCE, Dornach, le 16 juillet 1920, .......................250

La connaissance originelle des mystères et son abus dans les derniers temps. L’action des mystères dans l'ère chrétienne, et leur disparition progressive. Limites de la mise à part des connaissances suprasensibles. Les dommages causés par mésusage de connaissances suprasensible, si non seulement la vie de l'âme tri-articulée, mais la vie pulsionnelle et instinctive quadri-articulée sera saisie. Les livres d'Oswald Spengler, « Le déclin de l'Occident » et « Prusse et socialisme.»

SEIZIEME CONFÉRENCE, Dornach, le 17 juillet 1920 ......................................266

Paradoxes de la vie de notre époque supplémentaires. Oswald Spengler. Effets du matérialisme. Prénatalité et immortalité. Logique réelle et pure absence de pensée. La responsabilité de l'humain pour l'évolution de la Terre. Incapacité du matérialisme de reconnaître la matière. Le sacrement de l'autel du catholicisme. La connaissance comme communion spirituelle.

DIXSEPTIEME CONFERENCE, Dornach, le 18 juillet 1920 ...........................283

La dédivination de la nature. Le corps humain comme support de l'esprit divin-spirituel créateur. Danger de la perdre de la mission de la Terre. La décision nécessaire entre l'intellectualisme ahrimanien et l'élaboration de la nouvelle connaissance de l'esprit comme fil conducteur de l'action spirituelle et sociale.


Notes. ................................ 299

Rudolf Steiner sur les scripts de conférences, ................317

Vue d'ensemble de l'oeuvre complète Rudolf Steiner ........................ 319


Heilfaktoren für den sozialen Organismus

Siebzehn Vorträge, gehalten in Dornach und Bernzwischen dem 20. März und dem 18. Juli 1920

1984 RUDOLF STEINER VERLAG DORNACH/SCHWEIZ

Nach vom Vortragenden nicht durchgesehenen Nachschriften

herausgegeben von der Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung

Die 1. Auflage war von Ernst Weidmann besorgt worden

Die Durchsicht der 2. Auflage besorgte Robert Friedenthal

1. Auflage, Gesamtausgabe Dornach 1969

2. Auflage, Gesamtausgabe Dornach 1984


Einzelausgaben Dornach, 2. und 3. April 1920: «Ostern, das Fest der Mahnung» Dornach 1935, 1965, 1981 Zeitschriftenveröffentlichungen siehe Seite 299

Bibliographie-Nr. 198

Zeichen auf dem Umschlag nach einem Original Rudolf Steiners Zeichnungen im Text nach Tafelzeichnungen Rudolf Steiners, ausgeführt von Hedwig Frey

Alle Rechte bei der Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung, Dornach/Schweiz ©1969 by Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung, Dornach/Schweiz

Printed in Switzerland by Schüler AG, Biel ISBN 3-7274-1980-6

INHALT

ERSTER VORTRAG, Dornach, 20. März 1920 . . .........................................11

Die Entwicklung der Medizin, der Krankheitsbegriff in alter und neuer Zeit. Der Erkenntnisprozeß als Heilungsprozeß. Mysterienweisheit als soziale Medizin. Die Blaublindheit der Griechen. Notwendige Metamorphose unseres Seh-, Gehör- und Wärmesinnes. Imagination durch das Auge, Inspiration durch das Ohr, Intuition durch den Wärmesinn. 1879 Sieg Michaels als Wiederholung ähnlicher Ereignisse in früheren Zeiten. Notwendigkeit einer Dreigliederung des sozialen Organismus.

 

ZWEITERVORTRAG, Dornach, 21. März 1920. . . ............................................23

300 v. Chr. Geburt der menschlichen Phantasie. Die Entwicklung der menschlicher Intelligenz seit dem 15. Jahrhundert. In den alten Mysterienschulen Unterscheidung zwischen physischem, geistigem und intellektuellem Wissen. Das Krankmachende des einseitigen Intellektlebens. Anthroposophische Geisteswissenschaft als Träger eines neuen Heilungsprozesses.

DRITTERVORTRAG, Dornach, 28. März 1920 . . ............................................. . . 40

Das Hereinspielen des Vorgeburtlichen in das menschliche Erdenleben. Gewöhnliches Vorstellungsleben - ein aus der übersinnlichen Welt mitgenommener Leichnam. Die Belebung des toten Denkens durch den im Erdenleben neugeborenen Willen. Kopforganisation - Metamorphose des übrigen Organismus aus der vorhergehenden Inkarnation. Der Lebenszwiespalt zwischen Naturnotwendigkeit und Sittlichkeit. Das Problem der menschlichen Freiheit. In der Jupiterperiode der Erde. Zusammenschluß der sittlichen Ideale und der Welt der Naturgesetze. Der Kampf gegen die Geisteswissenschaft, Angriffe von katholischer Seite.

VIERTERVORTRAG, Dornach, 2. April 1920, Karfreitag . . . ......................55

Das Leben des Paulus. Der durch das Mysterium von Golgatha bewirkte Umschwung in der Entwicklung der Menschheit. Das Problem der Freiheit. Die innere Unwahrhaftigkeit unserer Zeit. Der Verlust des Zusammenhangs zwischen dem Irdischen und Außerirdischen. Die rein sinnliche Erkenntnis als Grab, aus dem als eine Auferstehung das Streben nach übersinnlicher Erkenntnis kommen muß.


FÜNFTER VORTRAG, Dornach, 3. April 1920, Karsarnstag . . ...........................71

Paulus in der Zeit des Übergangs alter übersinnlicher Anschauungen zu einer Epoche der Gottverlassenheit der Menschen. Die Umwandlung des Blutes und die Wiedergeburt in Christo. Die ahrimanische Gestalt des Anti-Christentums. Ostern, das Fest der Mahnung.

SECHSTERVORTRAG, Dornach, 30. Mai 1920 . . . . ....................................... 85

Roms Kampf gegen die Freiheit des Gewissens und der Kulte. Päpstliche Enzykliken und der Syllabus von 1864. Rümelin über den Begriff des Wunders. Religiöser und Wunderglaube als Gegengewicht zum Kausalitätsglauben der Wissenschaft. Die geisteswissenschaftliche Idee des Entstehens und Vergehens. Die Antimodernistenbewegung in der katholischen Kirche. Rückblick auf die Zeit des Albertus Magnus. Friedrich II. von Preußen und Katharina von Rußland als Protektoren des vom Papst verbotenen Jesuitenordens. Katholische Angriffe auf die Anthroposophie.

SIEBENTERVORTRAG, Dornach, 3. Juni 1920 . . . . . ....................................102

Der Antimodernisteneid. Wachheit der katholischen Kirche gegenüber dem heraufziehenden Materialismus. Conceptio immaculata, Enzykliken und Syllabus 1864, Unfehlbarkeitserklärung, Enzyklika «Aeterni Patris». Ein Leitartikel des Basler «Vorwärts». Die Struktur der katholischen Kirche im Verhältnis zum ethischen Individualismus der «Philosophie der Freiheit». Aus der Geschichte des Jesuitenordens.

ACHTERVORTRAG, Dornach, 6. Juni 1920. . ......................................... 116

Initiationserkenntnis und materialistische Wissenschaft. Die Seelenlehre des Aristoteles als kirchliches Dogma. Unsterblichkeit, Präexistenz und wiederholte Erdenleben. Die Absicht der katholischen Kirche, zwischen ihrer Herrschaft und dem radikalen Sozialismus eine Verbindungsbrücke zu schaffen. Der Antimodernisteneid. Gemeinschaftsbewußtsein und Idealbewußtsein.

NEUNTER VORTRAG, Dornach, 2. Juli 1920. . . ........................................ 134

Oswald Spenglers «Untergang des Abendlandes». Heilung aus den Niedergangskräften nur durch die Weisheit der Initiation. Demokratie und Dreigliederung. Gefahren des Spenglerschen Buches. Aktives Seelenleben als Voraussetzung für das Begreifen geisteswissenschaftlicher Werke.

ZEHNTERVORTRAG, Dornach, 3. Juli 1920 .............................................. 150

Das Fortwirken antiquierter spiritueller Kulturströmungen in der Gegenwart. Die eigentliche Gestalt der alten Urweisheit. Sonnenkult der alten Mysterien. Christus, der Sonnengeist. Das katholische Meßritual. Die Naturgesetze: Destillat mittelalterlicher Worthülsen. Jesuitismus und Freimaurertum. Hochgrade gewisser Orden. Verwirrung des öffentlichen Lebens durch okkulte Strömungen. Notwendigkeit des Übergangs von der Ideenverbreitung zum praktischen Tun. Broschüre von Kully. Aufsatz von Pfarrer Ernst.

ELFTER VORTRAG, Dornach, 4. Juli 1920 . . ....................................170

Wirkungen des Materialismus in der Gegenwart. Alte Denkgewohnheiten. Notwendigkeit einer Umformung der Seelenverfassung und des Denkens, auch auf wirtschaftlichem Gebiet. Ein Satz von Nietzsches Freund Overbeck. Die Anschauungen von Rodbertus und Marx. Das Verhältnis von geistiger und körperlicher Arbeit. Notwendig: Einsicht in die geistigen Zusammenhänge der Welt und ein vom Materiellen des Leibes unabhängiger Wille.

ZWÖLFTERVORTRAG, Bern, 9. Juli 1920 . . ...................................................188

Das Denken als Erbschaft des vorgeburtlichen Daseins. Ablehnung der Präexistenz in den traditionellen Bekenntnissen. Entbehrlichkeit des Denkens für das Leben in der Sinneswelt. Mitteilungs- und Erkenntnisbedürfnis im Lehrberuf. Die Waldorfpädagogik. Goldwährung, Freihandel, Zollschranken. Die Welt der Geistigkeit und die Welt des wirtschaftlichen Lebens. Das assoziative Urteil. Die Staatsphilosophie des Bolschewismus als Kind der Ideen von R. Avenarius Harnack und Oswald Spenglers Einfluß. Das Ernstnehmen der Erkenntnis von wiederholten Erdenleben.

DREIZEHNTER VORTRAG, Dornach, 10. Juli 1920. .

Der Mensch zwischen der Ideenwelt und der Welt der Erinnerungen und Phantasievorstellungen. Die Dissertation von W.J. Stein. «Ungeburtlichkeit» und Unsterblichkeit. Voraussetzungen der Waldorfschule. Ein scholastisches Lehrbuch der Philosophie (Lehmen). Das alte Mysterienwesen und das Mysterium von Golgatha. Christus als das höhere Selbst der Erde. Das Verhältnis der anthroposophischen Geisteswissenschaft zur Naturwissenschaft. Hinzufügung der Erkenntnis des Übersinnlichen zum Sinnlichen. Beschäftigung mit dem Aufsteigenden im Menschen und der Menschheitsentwicklung. Die Gefahr des Verfallens der Menschheit in die Barbarei. Anthroposophie als Christologie. Beispiele von Gegnerschaft.

FÜNFZEHNTERVORTRAG, Dornach, 16. Juli 1920. . . . . ...............................250

Das Urwissen der Mysterien und sein Mißbrauch in späteren Zeiten. Das Wirken der Mysterien in der nachchristlichen Zeit und ihr allmähliches Verschwinden. Grenzen der Sekretierung übersinnlicher Erkenntnisse. Schaden durch Mißbrauch übersinnlichen Wissens, wenn nicht nur das dreigliedrige Seelenleben, sondern das viergliedrige Instinkt- und Triebleben ergriffen wird. Oswald Spenglers Bücher «Der Untergang des Abendlandes» und «Preußentum und Sozialismus».

SECHZEHNTERVORTRAG, Dornach, 17. Juli 1920. ...................................266

Weitere Lebensparadoxien unseres Zeitalters. Oswald Spengler. Auswirkungen des Materialismus. Ungeborenheit und Unsterblichkeit. Reale Logik und bloße Gedankenlosigkeit. Die Verantwortung des Menschen für die Erdenentwicklung. Unfähigkeit des Materialismus, Materie zu erkennen. Das Altarsakrament des Katholizismus. Erkenntnis als geistige Kommunion.

SIEBZEHNTERVORTRAG, Dornach, 18. Juli 1920 . . .............................. . . 283

Die Entgötterung der Natur. Der menschliche Leib als Träger des schöpferischen Göttlich-Geistigen. Gefahr des Verlorengehens der Erdenmission. Die notwendige Entscheidung zwischen dem ahrimanischen Intellektua lismus und der Erarbeitung des neuen Geisteswissens als Richtschnur des geistigen und sozialen Handelns.

Hinweise. ........................... . 299

Rudolf Steiner über die Vortragsnachschriften . . . . 317

Übersicht über die Rudolf Steiner Gesamtausgabe . . . . 319