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Lettre circulaire de la Saint Sylvestre 2016-2017


Editorial


Chers amis et membres de la Section des sciences sociales,

L’année touche à sa fin. Il est maintenant temps de regarder en arrière, le temps de créer de nouvelles forces et le temps, de former de nouvelles impulsions. C'est aussi ainsi dans notre section. Une époque se termine. En Novembre 2000, Paul Mackay a repris la direction de section et l'a exercée jusqu'à l'été 2016. Depuis lors, la direction repose maintenant entièrement dans mes mains. L'ancien prend fin, du nouveau veut apparaître. Cela a besoin de temps, de force, de chance - et de vous!

... Je comprends la section comme un grand contexte mondial. La section a un bureau à Dornach, mais spirituellement, humainement et en fait elle vit partout où des humains recherchent et travaillent en son sens. Seulement si nous la comprenons ainsi - et non purement physiquement - elle pourra vivre et devenir efficace de manière correcte. Et seulement quand chacun/une de nous n'attend pas seulement ce qui vient des autres, mais devient aussi lui-même initiative et actif, ce travail peut agir dans le monde et porter des fruits.

Ce n’est pas ainsi que nous faisons ce travail pour nous-mêmes. Beaucoup plus, le monde crie après changement, soins, guérison. De milliers d’événements pénètre à notre oreille, l'appel à une compréhension plus profonde des forces sociales efficaces d’aujourd’hui et pour des impulsions efficaces pour un assainissement des conditions culturelles, juridiques et économiques

Le monde titube vers des conditions chaotiques. La simultanéité des non simultanéités, la perte de chaque relation, imprime notre temps. Tout semble se dissoudre. Ce qui tenait encore ensemble les sociétés, déchire de plus en plus. Les humains vivent de plus en plus dans des bulles d’opinion et d'autres, le dialogue plein de compréhension par-dessus les frontières est de plus en plus difficile. Campagnes de haine, en particulier dans les médias «sociaux», empoisonnent le climat de la société. Le fossé entre riches et pauvres menace notre vie commune. Les guerres et les crises, la violence et la persécution, l'autoritarisme et le terrorisme sont à la hausse dans le monde entier. Pendant je vous écris, 60 millions d'humains dans le monde sont en fuite, sans défense et sans-abri, à la recherche de la sécurité, l'accueil, le sens, le futur. Ces développements déclenchent le traumatisme et la peur. Et ils préparent le terrain à ceux qui cherchent la solution qui ne consiste pas dans l'aller les uns vers les autres, mais dans le nationalisme et la séparation, la haine et la violence.

L’humanité est de plus en plus à la croisée des chemins. Nous nous y sommes conduits nous-même. Nous avons détruit, conceptuellement, comme socialement, à un rythme à couper le souffle au cours du siècle passé et avant tout les dernières décennies, les formes anciennes dans lesquels nous, humains, avons vécus (ensemble) pendant de longues périodes. Voilà ce qui fait peur à beaucoup, consciemment ou inconsciemment, et laisse devenir certains des criminels contre l’absence Dieu et de cœur supposée de cette culture. Le pressentiment grandit, de par le monde, que cela ne peut pas continuer. Mais où cela va-t-il ?

L’obscurité crée-t-elle en nous-mêmes seulement de la noirceur ? Est-ce que nous voulons, paralysé par la peur, tout juste retourner en arrière (en un passé déjà perdu, ne pouvant être produit ainsi) ? Ou nous trouvons-nous à travers l’obscurité, une nouvelle lumière ? Déjà si nous comprenons la nécessité de ce cours sombre, lourd dans la vie de l’âme de chaque individu comme dans l’univers, parce qu’elle nous mène en premier à la vraie liberté, peut nous aider à pressentir la direction de la lumière dans l’obscurité. Car maintenant, nous commençons à comprendre : Il s’agit de tout fonder à neuf sur l’autre tout côté. De et en toute liberté. Nous cherchons (et trouvons !) une nouvelle force et une profondeur, de nouvelles formes de rencontre, de communauté, de propriété et de responsabilité de la vie en commun et du travail en commun, de la liberté, de la connaissance et de l’amour. A la place de cela, par exemple, la vielle fraternité, attachée à la terre et au sang, forcée par l'église, la famille et les traditions et arrachée avec contrainte étatique entre dans une nouvelle fraternité libre et auto-déterminée. A la place d'une économie purement propulsée par le profit apparaît une autre économie sociale orientée sur le bien-être de l'autre et de la Terre. A la place des anciennes formes de pouvoir et d'oppression ou de l'application des intérêts de groupe ,de partis et d'économie apparaissent des formes immédiates, nouvelles, délibératives et participatives, de l'accord de droit et de la démocratie. Au lieu d’une vie de l'esprit devenue matérialiste arrivent de nouvelles formes de recherche et de connaissance plus conformes à l'esprit.

Tout cela a déjà commencé. Beaucoup sont déjà en chemin, ensemble avec nous, même si certains n'ont jamais entendu parler de Rudolf Steiner et de l'anthroposophie. Mais Steiner, a créé la possibilité d'une connaissance consciente du chemin décrit, ainsi que de ce qui veut se former de nouveau de et par nous.

Trouvons-nous les archétypes, qui reposent à la base des caricatures d’aujourd’hui ? Pouvons-nous consciemment et en toute liberté saisir qui est apparu précédemment contraignant et mélangé ?

Le temps présent est à bien des égards un miroir de la situation d’il y a 100 ans. A cette époque - dans la destruction des empires accompagné par le matérialisme, le nationalisme et de la guerre - Rudolf Steiner développa les points de départ d’une nouvelle articulation sociale globale. Ce qui jadis n’a pas réussi, se tient aujourd’hui en double urgence comme tâche devant nous. Il n’y a plus personne à qui on peut se référer. De notre faculté d'inspection, d’action et de travail en commun dépend quel avenir sera accordé à la terre et à l’humanité. Il repose entre nos mains.


Comme l'année tire à sa fin - et nous nous trouvons comblés. Comblés par la paix, l'amour et la lumière du temps de Noël, comblé par le calme et la force des douze nuits saintes, comblé par le mystère de la naissance du Christ. Je nous souhaite, à vous et a tous cette lumière et la paix de Noël - et que renforcés, avec des pensées lumineuses, de vrais sentiments, de la bonne volonté et de nouvelles forces vous alliez au-devant des tâches et des défis qui vous vous posez vous-mêmes et qui se posent à nous tous, en une responsabilité commune, croissante pour ce monde merveilleux et son avenir!


votre

Gerald Häfner

Situation und Veränderung in der Sektion

23 Nov, 2015

Liebe Freunde und Mitglieder der Sozialwissenschaftlichen Sektion,


In den wachsenden Spannungen und Krisen unserer Zeit gären die ungelösten sozialen Fragen und fordern Antworten. Die Welt wächst zusammen – doch politische Schranken, ökonomische Bedingungen, soziale Abgründe, materialistische Gedanken und einseitige Medienkommunikation trennen die Menschen zunehmend und schüren Unfrieden und Gewalt. Eine Zukunft in Freiheit, Frieden und Menschenwürde ist nur durch einen umfassenden sozialen Neuanfang möglich.

Die Erfahrung, dass alte Formen, Begriffe und Institutionen nicht mehr tragen und die Suche nach einem neuen Verständnis des Sozialen werden heute von vielen Menschen auf der ganzen Welt geteilt.

Die Sektion für Sozialwissenschaften ist ein Ort, an dem das Nachdenken über die Gesellschaft der Zukunft frei von politischen Ideologien und ökonomischen Zwängen geübt wird und von dem Impulse für soziale Neugestaltungen weltweit ausgehen können. Sie sieht als ihre Aufgabe, diejenigen Bedingungen und Gesetzmässigkeiten zu erforschen, durch die ein sach- und menschengemäßes Handeln im sozialen Kontext möglich wird. Und sie möchte diejenigen Fähigkeiten und Einrichtungen schulen und entwickeln helfen, durch die in der Gesellschaft menschenwürdige Lebensverhältnisse entstehen können.

Die Sektion für Sozialwissenschaften steht vor substanziellen Veränderungen. 1975 war ihre Leitung in die Hände von Manfred Schmidt-Brabant gelegt worden, 2000 in diejenigen von Paul Mackay; seit Sommer 2016 nun in meine Hände. Das bedeutet nicht nur personell, sondern auch formell einen Neuanfang. Denn damit wurde seit langer Zeit zum ersten Mal ein Sektionsleiter berufen, der nicht zugleich auch Mitglied des Vorstandes der Allgemeinen Anthroposophischen Gesellschaft ist. Und es hat auch strukturelle Konsequenzen. Denn bisher wurde die Sektion im Wesentlichen aus Vorstandsmitteln getragen. Das galt auch für die Mitarbeiter. Nun aber bedarf sie zunehmend eigener Mittel, um ihre vielfältige Arbeit leisten zu können.

Und es wird uns an Arbeit nicht fehlen. Das liegt zum einen an dem weltweit immer dramatischer werdenden Ruf nach ökonomischer, politischer und sozialer Veränderung, der von uns die Bereitschaft und Fähigkeit zur sozialen Innovation und Mitsprache in den öffentlichen Angelegenheiten verlangt, sondern auch an der Tatsache, dass der Impuls zur Dreigliederung des Sozialen Organismus nun bald 100 Jahre auf Erden gelebt haben wird. Das bedeutet nicht nur eine Chance, sondern vor allem auch eine große Verantwortung, diesen Impuls im Sinne einer neuen Zeit verstärkt zu ergreifen, ins Bewußtsein der Menschen und der Öffentlichkeit zu tragen und für die heute anstehenden Fragen und Aufgaben wirksam zu machen.

Über meine diesbezüglichen Impulse und Vorhaben, über das Selbstverständnis und die künftige Arbeit der Sektion, über unsere vorrangigen Themen, Vorhaben und Mitarbeiter werde ich in künftigen Ausgaben dieses Rundbriefes berichten.

Heute aber ist es mir ein dringendes Bedürfnis, zunächst noch einmal ganz herzlich Paul Mackay zu danken! Er hat unsere Sektion von 2000 bis 2016 – viele Jahre lang zusammen mit Uli Rösch und dann in den letzten Jahren ganz alleine - geleitet. Paul hat sich immer schon intensiv mit sozialen Gestaltungsfragen, vor allem im Bereich der Wirtschaft und des Geldes, beschäftigt. Seine immensen Interessen und Fähigkeiten, sein Leben für den und aus dem Anthroposophischen Sozialimpuls, sein unternehmerisches Denken und Handeln sowie seine ernste und tiefe Spiritualität haben in dieser Zeit nicht nur die Sektion geprägt, sondern auch weit über sie hinaus gewirkt. In der Zeit der gemeinsamen Leitung haben wir uns immer die Hände gereicht und vertrauensvoll zusammengearbeitet. Das soll auch so bleiben. Paul hat ein tiefes Verhältnis zu dieser Sektion und ich habe ihn deshalb eingeladen, weiter in unserer Sektion – und auch im Sektionskollegium mitzuarbeiten.

Mein ganz herzlicher Dank geht ebenso an Seraina Seyffer. Sie war zwar formell nie bei der Sektion angestellt, sondern hatte vielmehr als dessen Assistentin die Aufgabe, Paul in seinen verschiedenen Arbeitsbereichen zu unterstützen. Tatsächlich aber wurde sie von den meisten immer als eigentliche Mitarbeiterin der Sektion empfunden, präsent, hilfreich, zuverlässig und mit Gedanken und Herzen dabei. Seraina empfand ein ganz besonderes Interesse und Engagement für den Bereich der Sozialwissenschaft – weshalb ihr dieser Teil ihrer Arbeit immer besonders am Herzen lag. Seraina hat jedoch ihre Tätigkeit am Goetheanum und damit indirekt auch die Arbeit für die Sektion zugleich mit Pauls Ausscheiden im Sommer dieses Jahres ebenfalls beendet.

Und schließlich geht mein herzlicher Dank an Bijan Kafi, der während langer Zeit die Verantwortung für unseren Newsletter übernommen und diesen überaus engagiert und professionell betreut hatte. Bijan hatte stets einen offenen und weiten Blick auf aktuelle Vorgänge und Ereignisse, so dass der Newsletter immer auch ein Tor zur Welt war. Bijan ist ebenfalls ein Mensch mit intensiven sozialen Anliegen und großen Fähigkeiten – auch wenn er sich beruflich künftig anderen Aufgaben widmen möchte und nicht mehr unseren Newsletter betreuen kann, bin ich mir sicher, dass wir einander durch das verbindende inhaltliche Interesse noch oft begegnen und gegebenenfalls auch wieder etwas zusammen tun werden.

Die Sektion ist derzeit im Umbau. Trotz einer Basis-Finanzierung durch das Goetheanum und die Anthroposophische Gesellschaft - Wir brauchen alles: Räume, Mitarbeiter, Geld. Und vor allem brauchen wir Sie! Ihren guten Willen und Ihre Verbundenheit, Ihre Ideen und Impulse, ihre Anregungen, Beiträge und Mitarbeit. Ohne diese kann die Sektion nicht aufleben und an Kraft und Ausstrahlung gewinnen. Denn sie hat nur scheinbar, hat nur physisch ihren Ort im Goetheanum in Dornach. Geistig und tatsächlich reicht die Sektion weit darüber hinaus. Sie ist in der Welt anwesend und tätig, überall dort, wo Menschen in enger Verbindung mit der Leitung am Goetheanum auf ihrem Boden aktiv werden, einander begegnen, ins Gespräch kommen, Arbeitsgruppen bilden, Forschungsfragen verfolgen, kulturelle, rechtliche, politische, ökonomische oder soziale Initiativen ergreifen und sich für sach-, zeit- und menschengemäße soziale Erneuerung engagieren. Ich möchte sehr gerne, dass dieses Element in Zukunft noch weit stärker in Erscheinung tritt.

Was den Newsletter betrifft, so ist unser Plan, ihn künftig aus eigenen Mitteln von Dornach aus herzustellen und zu versenden. Selbst wenn er zunächst weniger ansprechend sein sollte, ist uns doch wichtig, dass sich in ihm unmittelbar niederschlägt, woran wir an den verschiedenen Stellen in der Sektion konkret arbeiten. Dies wird sich von Ausgabe zu Ausgabe deutlicher erkennen lassen. Für diesmal haben wir nur eine schmale Auswahl der verschiedenen Aktivitäten und dafür ein langes Editorial und einen Text über den Wechsel in der Sektion aufgenommen. Diese Gewichtung wird sich, je nach Sachlage, ändern.


Die Internetseite der Sektion ist bisher nur sehr sporadisch aktualisiert worden. Wir haben begonnen, überholte Informationen zu löschen und neue aufzunehmen. Aber noch immer werden Sie an etlichen Stellen veraltete Informationen finden und manch neuere vermissen. Um dies verbessern zu können bitten wir auch Sie um Mithilfe:


Wir möchten Sie einladen, uns jederzeit gerne Hinweise auf Aktuelles, Ereignisse, Veranstaltungen, Publikationen, Initiativen oder Berichte zuzusenden, die Sie uns zur Aufnahme in den Newsletter, in der Website oder aus anderen Gründen empfehlen.

Mit herzlichen Grüßen

und den besten Wünschen für eine lichtvolle Zeit „zwischen den Jahren“

und ein gutes Jahr 2017,

Ihr

Gerald Häfner

 






Liebe Freunde und Mitglieder der Sozialwissenschaftlichen Sektion,

Das Jahr neigt sich dem Ende zu. Jetzt ist Zeit, zurückzublicken, Zeit, neue Kräfte zu schöpfen und Zeit, neue Impulse zu bilden. So ist es auch in unserer Sektion. Eine Ära geht zu Ende. Im November 2000 hatte Paul Mackay die Sektionsleitung übernommen und bis Sommer 2016 ausgeübt. Seither liegt die Leitung nun ganz in meinen Händen. Altes geht zu Ende, Neues will entstehen. Das braucht Zeit, Kraft, Glück - und Sie!


... Ich verstehe die Sektion als einen großen weltumspannenden Zusammenhang. Die Sektion hat zwar ein Büro in Dornach, aber geistig, menschlich und tatsächlich lebt sie überall, wo Menschen in ihrem Sinne forschen und arbeiten. Nur wenn wir sie so – und nicht rein physisch – verstehen, wird sie in rechter Weise aufleben und wirksam werden können. Und nur wenn jede/r von uns nicht nur wartet, was von anderen kommt, sondern auch selbst initiativ und tätig wird, kann diese Arbeit in der Welt wirken und Früchte tragen.

Es ist ja nicht so, dass wir diese Arbeit für uns selbst tun. Vielmehr schreit die Welt nach Veränderung, Zuwendung, Heilung. Aus Tausenden Ereignissen dringt an unser Ohr der Ruf nach einem vertieften Verständnis der heute in den Untergründen des Sozialen wirksamen Kräfte und nach wirksamen Impulsen zu einer Gesundung der kulturellen, rechtlichen und ökonomischen Verhältnisse.

Die Welt taumelt chaotischen Verhältnissen entgegen. Die Gleichzeitigkeit des Ungleichzeitigen, der Verlust jeden Zusammenhanges, prägt unsere Zeit. Alles scheint sich aufzulösen. Was früher noch die Gesellschaften zusammenhielt, reißt zunehmend auseinander. Die Menschen leben zunehmend in Meinungs- und anderen Blasen, das verständnisvolle Gespräch über deren Grenzen hinweg fällt immer schwerer. Hasskampagnen, vor allem in den „sozialen“ Medien, vergiften das gesellschaftliche Klima. Das Auseinanderklaffen von Arm und Reich bedroht unser Zusammenleben. Kriege und Krisen, Gewalt und Verfolgung, Autoritarismus und Terror sind weltweit auf dem Vormarsch. Während ich Ihnen schreibe, sind weltweit 60 Millionen Menschen auf der Flucht, hilf- und heimatlos, auf der Suche nach Sicherheit, Aufnahme, Zukunft, Sinn. Diese Entwicklungen lösen Erschütterung und Angst aus. Und sie bereiten jenen den Boden, die die Lösung nicht im Aufeinander-Zugehen, sondern in Nationalismus und Abgrenzung, Hass und Gewalt suchen.

Die Menschheit steht zunehmend an einem Scheideweg. Wir selbst haben uns dorthin geführt. Wir haben die alten Formen, gedankliche wie gesellschaftliche, in denen wir Menschen über lange Zeit (zusammen)lebten, im vergangenen Jahrhundert und vor allem den letzten Jahrzehnten mit atemberaubendem Tempo zerstört. Das ist es, was vielen, bewusst oder unbewusst, Angst macht und manche gar zu Gewalttätern gegen die vermeintliche Gott- und Herzlosigkeit dieser Kultur werden lässt. Die Ahnung wächst, weltweit, dass es so nicht weitergehen kann. Aber wo geht es hin?

Erzeugt die Finsternis auch in uns selbst nur Schwärze? Wollen wir, gelähmt vor Angst, nur noch zurück (in eine schon verlorene, so nie mehr herstellbare, Vergangenheit)? Oder finden wir durch das Dunkel zu neuem Licht? Schon wenn wir nur verstehen, wie notwendig dieser dunkle, schwere Gang im Seelenleben jedes Einzelnen wie im Weltenganzen ist, weil er uns erst zu wirklicher Freiheit führt, kann uns das helfen, die Richtung des Lichtes in der Finsternis zu ahnen. Denn nun fangen wir an, zu begreifen: Es geht darum, auf der anderen Seite alles neu zu gründen. Aus und in Freiheit. Wir suchen (und finden!) eine neue Kraft und Tiefe, neue Formen der Begegnung, der Gemeinschaft, des Eigentums und der Verantwortung, des zusammen Lebens und des zusammen Arbeitens, aus Freiheit, Erkenntnis und Liebe. An die Stelle, beispielsweise, der alten, erd- und blutsgebundenen, von Kirche, Familie und Traditionen erzwungenen und mit staatlichen Zwängen ertrotzten Brüderlichkeit tritt eine ganz neue, freie und selbstbestimmte Brüderlichkeit. An die Stelle einer rein profitgetriebenen Wirtschaft tritt eine am Wohl der anderen und der Erde orientierte soziale Ökonomie. An die Stelle alter Formen von Macht und Unterdrückung oder der Durchsetzung von Partei-, Wirtschafts- und Gruppeninteressen treten neue, deliberative, partizipative, unmittelbare Formen der Rechtsvereinbarung und Demokratie. An die Stelle eines materialistisch gewordenen Geisteslebens treten neue Formen geistgemäßer Forschung und Erkenntnis.   


All das hat schon begonnen. Viele sind schon unterwegs, mit uns gemeinsam, auch wenn einige nie von Rudolf Steiner und der Anthroposophie gehört haben. Steiner aber hat die Möglichkeit einer bewussten Erkenntnis des beschriebenen Weges geschaffen sowie dessen, was sich aus und durch uns neu gestalten will.

Finden wir die Urbilder, die den heutigen Zerrbildern zugrunde liegen? Können wir bewusst und in Freiheit ergreifen, was früher zwanghaft und durchmischt auftrat?

Die heutige Zeit ist in vielem ein Spiegel der Situation vor 100 Jahren. Damals – im von Materialismus, Nationalismus und Krieg begleiteten Untergang des Kaiserreiches – entwickelte Rudolf Steiner Ansätze einer umfassenden gesellschaftlichen Neugliederung. Was damals nicht gelang, steht heute mit doppelter Dringlichkeit als Aufgabe vor uns. Es gibt niemanden mehr, auf den wir verweisen können. Von unserer Einsichts- Handlungs- und Zusammenarbeitsfähigkeit hängt ab, welche Zukunft der Erde und der Menschheit beschieden sein wird. Sie liegt in unseren Händen.

Das Jahr neigt sich dem Ende zu – und wir finden uns beschenkt. Beschenkt durch den Frieden, die Liebe und das Licht der Weihnachtszeit, beschenkt durch die Ruhe und Kraft der zwölf heiligen Nächte, beschenkt durch das Mysterium der Christgeburt. Ich wünsche uns, Ihnen und allen dieses Licht und den Frieden der Weihnacht - und dass sie gestärkt, mit lichten Gedanken, wahren Empfindungen, gutem Willen und neuen Kräften den Aufgaben und Herausforderungen entgegengehen, die Sie sich selbst stellen und die sich uns allen stellen in gemeinsamer, wachsender Verantwortung für diese wunderbare Welt und ihre Zukunft!

 Ihr
Gerald Häfner

Situation et changement dans la section

23 novembre 2015

Chers amis et membres de la Section des sciences sociales,

Dans les tensions et les crises croissantes de notre temps les questions sociales en suspens fermentent et exigent des réponses. Le monde devient plus petit - les barrières politiques, les conditions économiques, les précipices sociaux, les pensées matérialistes et les communication unilatérales des médias séparent de plus en plus les humains et fomenter la discorde et la violence. Un avenir de liberté, de paix et la dignité humaine est seulement possible par un nouveau début social englobant.

L’expérience que les formes, les concepts et les institutions anciennes ne portent plus et la recherche d’une nouvelle compréhension de la vie sociale seront aujourd’hui partagés par de nombreux humains à travers le monde.

La Section pour les sciences sociales est un lieu où la réflexion sur la société de l'avenir sera exercée libre d’idéologies politiques et de contraintes économiques et d’où peut partir mondialement des impulsions pour de nouveaux façonnements sociaux. Elle voit comme sa tâche d'investiguer ces conditions et légalités, par lesquelles un agir conforme aux faits et aux humains deviendra possible dans le contexte social.

Et elle voudrait exercer et aider à développer ces compétences et les institutions, par lesquelles peuvent apparaître dans la société, des conditions de vie dignes de l'être humain.

La Section pour les sciences sociales se tien devant des changements substantiels. En 1975 lsa direction avait été placée dans les mains de Manfred Schmidt-Brabant, en 2000, dans celles de Paul Mackay; depuis l'été 2016 maintenant dans mes mains. Cela signifie pas seulement personnellement, mais aussi formellement un nouveau début. Car avec cela a été pour la première fois depuis une longue période appelé un chef de section qui n’est pas en même temps aussi membre du conseil de la Société anthroposophique. Et cela a aussi des conséquences structurelles. Car jusqu’à présent, la section a été pour l'essentiel portée par des moyens du conseil. Cela valait aussi pour les collaborateurs. Mais maintenant elle a besoin de manière croissante de ressources propres pour pouvoir mener son travail diversifié.

Et le travail ne manquera pas. Cela repose en partie dans l’appel mondial devenant toujours plus dramatique pour le changement économique, politique et social, qui exige de nous la disponibilité et la faculté à l'innovation sociale et le regard aux affaires publiques, mais aussi au fait que la l’impulsion de la tri-articulation de l’organisme social aura vécu depuis bientôt près de 100 ans sur Terre. Cela ne signifie pas seulement une chance, mais avant tout aussi une grande responsabilité de saisir cet élan renforcé dans le sens d’un nouveau temps pour le porter à la conscience des humains et de la vie publique et le rendre efficace aujourd’hui pour les questions et des tâches naissantes.


A propos de mes impulsions et projets afférents sur la connaissance de soi et le travail futur de la section, sur nos thèmes, projets prioritaires, et collaborateurs, j'informerais dans les prochaines éditions de ce bulletin.


Mais aujourd’hui, il m’est un besoin urgent, tout d'abord remercier sincèrement encore une fois Paul Mackay ! Il a dirigé notre section de 2000 à 2016 - pendant de nombreuses années ainsi Uli Rösch, et alors tout seul au cours des dernières années. Paul s’est toujours déjà occupé intensément avec des problèmes de façonnement social, avant tout dans le domaine de l'économie et de l'argent. Ses immenses intérêts et facultés, sa vie pour et hors de l’impulsion sociale anthroposophique, son esprit d’entreprise et sa spiritualité sérieuse et profonde ont imprimé en cette période non seulement la section , mais aussi agit bien au–delà. Dans le temps de la direction commune , nous nous somme toujours tenus les mains et travaillé ensemble en toute confiance. Cela devrait aussi rester ainsi. Paul a une relation profonde avec cette section et à cause de cela je l'ai invité à poursuivre dans notre section - et participer au collège de section.

Mes remerciements de tout coeur aussi à Seraina Seyffer. Elle n’a jamais été officiellement affecté à la section, mais avait beaucoup plus comme son assistante la tâche d’aider Paul dans ses différents domaines de travail. Mais en fait, elle a toujours été perçue par la plupart comme un collaboratrice de fait de la section, présente, utile, fiable et cela avec pensée et cœur. Seraina éprouvait un engagement et un intérêt particulier pour le domaine de la sciences sociale – c'est pourquoi cette partie de son travail lui tenait toujours particulièrement à coeur. Seraina a toutefois mis fin à son activité au Goetheanum et donc indirectement au travail de la section dans le même temps que le départ de Paul cet été.

Et finalement, je tiens à offrir mes sincères remerciements à Bijan Kafi, qui avait depuis longtemps assumé la responsabilité de notre bulletin d’information et cela très dévoué et professionnel. Bijan avait toujours un coup d'oeil large et ouvert des événements et des actions en cours, de sorte que le bulletin d'information a toujours été une porte vers le monde. Bijan est aussi un homme avec préoccupation sociale intense et de grandes compétences - même si professionnellement il veut à l’avenir se concentrer sur d’autres tâches et ne peut plus prendre soin de notre bulletin d’information, je suis sûr que nous nous rencontrons encore souvent à travers l'intérêt substantiel et ferons peut - être aussi fera à nouveau quelque chose ensemble.

La section est actuellement en cours de transformation. En dépit dd’un financement de base par le Goetheanum et la Société anthroposophique - Nous avons besoin de tout: locaux, collaborateurs, argent. Et avant tout, nous avons besoin de vous ! Votre bonne volonté et de votre fidélité, vos idées et vos impulsions, vos suggestions, vos contributions et coopération. Sans cela, la section ne peut pas s'animer et gagner de la force et du rayonnement. Car elle n’a qu’en apparence, a seulement physiquement sa place dans le Goetheanum à Dornach. spirituellement et en fait la section va bien au - delà. Elle est présente et active dans le monde, partout où des humains en lien étroit avec la direction au Goetheanum seront actifs sur son sol, se rencontrent, entrent en contact, mettre en place des groupes de travail, poursuivre des questions de recherche, prennent des initiatives culturelles, juridiques, politiques, économiques ou sociales et s'engagent pour le renouvellement social conforme aux faits, temps et sà l'humain. J'aimerais bien volontiers que cet élément se manifeste beaucoup plus loin à l'avenir.

En ce qui concerne la lettre d’information, ainsi est notre plan, de la fabriquer et diffuser de nos propres ressources de Dornach. Même si elle devait être initialement moins attrayante, il nous est néanmoins important qu'en elle se reflète directement ce à quuoi nous travaillons concrètement aux divers emplacements de la section. Cela se laissera reconnaître plus clairement de tâche en tâche. Pour cette fois , nous avons accueilli seulement une petite sélection des différentes activités et pour cela un long éditorial et un texte sur le changement de la section. Cette pondération sera, mofifiée selon les circonstances.

Les pages internet de la section ont seulement été mises à jour de façon sporadique jusqu'à présent. Nous avons commencé à effacer des informations périmées et enregistrer de nouvelles. Mais vous trouverez encore à plusieurs endroits des informations périmées et maintes plus récentes manqueront. Pour améliorer cela, nous vous demandons également de l’aide :

Nous aimerions vous inviter à envoyer à tout moment des notes sur les mises à jour, les événements, les manifestations, les publications, les initiatives ou les rapports que vous nous recommandez d'inclure dans le bulletin d’information, le site Web, ou pour d’autres raisons.

Avec nos salutations du coeur

et les meilleurs vœux pour un temps lumineux "entre les années"

et une bonne année 2017,

votre

Gerald Häfner